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Invité a posté ce message Mar 14 Aoû 2018 - 10:32 #


   
A fairytale can begin like a nightmare
Les embruns du voyage de plusieurs avaient plongé Ursula dans une irritation contagieuse. Prête à montrer les dents, heureusement que ses exquises lèvres cachent avec brio ses canines acérées ou elle aurait déchiqueté quiconque se serait mis sur son passage ou une pizza, elle se serait pliée en quatre pour une pizza, surtout à côté de la nourriture à moitié mutante proposée dans les avions. Son but n’était guère de faire un régime drastique mais de trouver un endroit où se poser. Ses cheveux balayant ses épaules et s’emmêlant dans ses bagages la gênaient outre mesure mais ce qui l’agaçait encore plus fut l’incivilité du chauffeur qui la conduisit en cet endroit et qui lui demanda une fortune afin qu’elle règle la course pour de malheureux kilomètres. Elle l’avait planté avant l’arrivée et avait terminé son chemin à pied, se servant des panneaux comme repère et de son cellulaire comme gps. L’hôtel qu’on lui avait conseillé et où elle avait réservé une chambre n’avait pas la prétention de ceux que s’arrachent les stars hollywoodiennes mais il semblait délicieusement accueillant de par son architecture et l’ambiance y régnant. Attirée par le confort qui lui serait octroyé contre quelques-uns de ses deniers, la belle franchit la porte, sa valise en main et ses deux trois autres sacs de voyage perchés sur ses épaules. Prenant le temps de détailler les lieux sans qu’on ne l’interrompe, elle se dirigea sagement vers l’accueil en laissant retomber tout son bazar à ses pieds avant d’esquisser un sourire aimable à l’attention du réceptionniste. « Bonjour, je suis Ursula Hartmann, j’ai réservé une chambre chez vous pour une semaine. » Fouillant dans son sac à main, la blonde en extirpa le bon de réservation. « Bien il va me falloir vos papiers d’identité mademoiselle Hartmann. » Il n’aurait guère usé du terme ‘madame’, aucun anneau ne trônait fièrement au doigt de l’allemande et tout tendait à la qualifier de vieille fille nourrissant ses pauvres matous qui lui donnent l’affection qu’elle n’est point susceptible de recevoir de la part d’un homme. Soit, déposant lourdement son sac à main sur le comptoir, Ursula tendit la fameuse pièce tant convoitée par l’homme qui pianota sur son ordinateur afin de vérifier les informations, judicieusement vraies de l’étrangère. S’ensuivirent quelques brèves consignes sur le règlement de l’établissement, la distribution des cartes d’accès pour les différents lieux de l’hôtel et l’organisation de la partie restauration/piscine/bar ; bref le BABA de la parfaite petite voyageuse, celle qui vient pour comprendre et non pour se détendre.

Il y avait du monde mais aucun ne semblait se pencher sur son cas, peut-être quelques-uns se retournèrent face à son accent allemand mais rien de plus. Méthodiquement, les pièces à conviction et de choix pour pouvoir aller à son bon vouloir dans le Pointe Plaza furent rangées avec précision car sa maladresse pourrait être un frein à son libre accès et, si des affaires morales l’entrainaient dans cette nouvelle vie, parenthèse de celle bien rangée dont elle s’était extirpée un moment, Ursula comptait profiter de cette ville hétéroclite qui faisait rêver les plus braves. Le standardiste l’arracha à ses réflexions puisqu’il lui transféra la facture et lui indiqua le montant. Ses yeux se teintèrent d’un orage soudain et ses lèvres s’étirèrent pour former une grimace à peine dissimulée tandis que ses paroles trahissaient son agacement. « Vous n’êtes pas sérieux ! Vous avez une suite à Berlin avec ce montant ! » Peut-être n’avait-elle jamais réellement fréquenté d’hôtels et pensait prétendre avoir la science infuse à ce sujet mais on lui avait assuré que les prix étaient corrects ici. Le coût de la vie différait forcément mais cela n’arrêta point l’insubordonnée qui continua sa tirade par : « Je ne prétends pas faire votre travail mieux que vous mais je pense que vous vous êtes trompés d’un zéro… » ajouta Ursula en pointant du doigt ce qui aurait dû être une erreur mais qui n’en était guère une. Son petit manège avait attiré l’attention de quelques clients qui s’offusquaient probablement de son comportement. Pourtant, elle n’avait d’autres choix que de rester, n’ayant nulle part où aller et point la force de repartir dans cet état. « Nous pourrions peut-être nous arranger ? Je vous fais un peu de paperasse, du service ou je ne sais pas trop… et on revoit cela ? Mais suis-je donc la seule à trouver ces prix scandaleux ! » renchérit-elle, prise par une colère teintée de fatigue, fatigue provoquée par son vol long et assommant.
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Invité a posté ce message Ven 17 Aoû 2018 - 1:23 #


   
A fairytale can begin like a nightmare
Voilà un mois que Björn est arrivé à New-York et pour tous vous dire, il avait beaucoup d'incertitude en arrivant dans cette ville. Déjà pour s'adapter, ce qui n'était pas une mince à faire quand on sait que dans le nord de son pays les températures avoisinent les moins trente degrés pendant certains hivers. Que la ville qui la vue naître et qui est la plus grande ville du nord de la Norvège compte seulement 76.000 habitants, alors imaginaient quand on lui a dit qu'il allait devoir rester dans une ville telle que New-York pendant un certain temps ? Mais malgré toutes ces inquiétudes, Björn commence tout juste à s'habituer au rythme de la ville américaine. Il y a eu l'affaire du plaza hôtel que son défunt père avait commencé à engager des négociations avec l'ancien propriétaire, mais sont décès à arrêter le processus d'achat jusqu'au jour où Björn est venu dans la ville. À vrai dire sa raison de son séjour à New-York était d'annuler définitivement les négociations, il n'était pas vraiment emballé à l'idée de s'installer dans cette ville, mais il se ravise au dernier moment pour finalement acheter l'hôtel. L'idée de son père n'était peut-être pas si nul que cela après tout, bien que New-York soit connu pour abriter des personnes fortunées elle est aussi une ville touriste ou beaucoup de monde veulent passer quelques jours dans cette ville à un prix abordable pour les classes moyennes même si pour des étrangers ça peut paraître encore assez cher. Cet hôtel était parfait pour cette stratégie et c'est option là qui a pesé dans la balance lors de l'achat de l'hôtel. Aujourd'hui on peut dire que les affaires marchent plutôt bien, certes l'hôtel n'est pas aussi luxueux que certain dans le nord de New-York, mais Björn a fait en sorte d'améliorer le plus de choses possibles pour permettre d'améliorer la qualité de l'hôtel. Il met aussi l'accent sur la discrétion des clients, parfait pour des clients riches désireux de passer inaperçus dans des hôtels qu'on ne penserait pas les voir fréquenter par exemple.

Björn s'est vu assaillir dès le matin à cause d'une réunion avec tous ses avocats et comptables qui viennent régulièrement le voir pour le tenir au courant des activités financières familiales. Oui, parce que le plaza hôtel n'était pas sa seule activité, sa famille a investi dans plusieurs centaines d'entreprises à travers le monde qui faut gérer à distance. Mais fort heureusement cette réunion n'avait duré seulement jusqu'à l'heure de midi, le laissant enfin libre il prit la direction de l'hôtel qui n'était pas loin. En passant la porte d'entrée de l'hôtel il salue les employés qu'il rencontre sur son chemin avant de monter les escaliers pour arriver au troisième étage où il arriva devant une porte qu'il ouvrit en sortant une clé de sa poche. Oui, quoiqu'il ait un domicile au nord de New-York il n'est pas rare de voir Björn prendre une chambre de libre pour se loger une nuit ou deux pour rester près de l'hôtel pendant les saisons ou l'activité de l'hôtel est à son maximum. Il prit la liberté de prendre une douche pour ensuite enfile un costume qu'ils portent toujours quand il travaille. Il ressortit de la chambre une telle minute plus tard fin prête et prend l'initiative de circuler dans les couloirs des étages inférieurs pour contrôler lui-même si rien n'était en désordre ou si quelque chose clocher. Paranoïaque dîtes-vous ? Non, seulement une mauvaise habitude héritée de son père, parfois il ne peut s'empêcher de passer derrière ses employés pour être sûr que tout soit parfaitement à sa place ou propre. Après une inspection méticuleuse, Bjorn descend au hall, très vite sont attention se porte vers la réception de l'hôtel quand il entendit du bruit. Il s'arrêta net parmi la folle de client en voyant une jeune femme devant le réceptionniste en se plainant des tarifs, mais bizarrement il ne se préoccupait pas vraiment de la conversation à cet instant, préfère regarder la jeune femme devant lui. Un employé qui n'était pas très loin de Björn lui fit signe pour savoir s'il fallait faire quelque chose, le norvégien répondit d'un simple mouvement de la tête pour lui répondre que non. La scène que fessait cette femme pourrait être mauvaise pour l'image de l'hôtel et pourtant cela passer au second plan pour Björn à cet instant précis. Et encore plus surprenant, un petit sourire s'échappa de son visage d'habitude froid en regarde cette jeune femme qui argumenter du mieux qu'elle pouvait pour arriver à ses fins. Jusqu'à même avoir un petit rire étouffer au fond de la gorge quand il entendit qu'elle serait prête à faire de la paperasse pour arriver à un tarif moins onéreux pour elle. Non pas qu'il se moquait d'elle mais admiré la façon qu'elle avait d'essayer de faire basculer une situation à son avantage.


Björn s'avança pour éviter de voir son réceptionniste succomber au charme de cette sulfureuse blonde et à ces demandes.  « Bonjour mademoiselle, je suis le responsable en l'absence du patron dès lieu » Annonça t'il en admirant la jeune femme devant lui dans un premier temps avant de plonger son regard dans celle de la cliente en colère. Le réceptionniste ne comprenait pas ce qui se passer en voyant son patron se présenter comme un simple employé, mais il ajouta rien d'autre en pensant certainement que cet évènement allait lui retomber dessus et qu'il voulait certainement se faire oublier. « Je tiens à m'excuser, mais le système informatique a dû faire une erreur, les prix ne sont pas si chers que ce qui est indiqué sur la facture. » Faux et cela se voyait dans les yeux du réceptionniste qui trouvait de plus en plus son patron bizarre, pourquoi ferait-il un geste pour cette femme se demanda certainement l’employée. Après avoir capté toute l'attention de la jeune femme devant lui en parlant d'une erreur informatique, il se rappelle des propositions faite il y a quelques instants par la jeune femme. « En y repensant, seriez-vous prêtes à accepter un diner en ma compagnie ce soir en échange d'une réduction sur votre séjour parmi nous ? »

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@Ursula Hartmann

   
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Invité a posté ce message Ven 17 Aoû 2018 - 13:07 #

Ursula Hartmann a écrit:

   
A fairytale can begin like a nightmare
Drôle de façon d’entamer la journée bien que ce fut celle que choisit Ursula afin de marquer le début des hostilités. La chance n’est pas coutumière de la belle qui doit briller grâce à d’autres atouts pour se sortir de situations indélicates, telle que cette dernière. Ses valises trônaient à ses pieds et son visage affichait clairement les heures de sommeil qui lui manquaient tandis que ses yeux voyaient rouges, lançant presque des éclairs sur ce pauvre garçon qui n’y pouvait rien et n’avait pas mérité sa colère, mélange de ses préoccupations et de son insomnie. Point amoureuse des scandales, elle toussota, revivant la scène et sentant la honte l’accabler mais l’intérêt reprit le dessus puisqu’une voix s’éleva, aux accents suaves et à la couleur guère locale, une voix qui l’intrigua avant même qu’elle ne découvre la silhouette de son propriétaire. Cet homme qui se dessinait face à elle lui semblait familier et pourtant tellement étranger, un subtil cocktail dont elle ne parvint à se soustraire puisque de ses lèvres coulaient des mots qui lui plaisaient sans qu’il prononce une parole de travers. Il allait dans son sens et un bref sourire illumina le visage d’Ursula, jadis obscurci par les nuages de cette dette qu’elle ne pouvait payer, celle de cette chambre qu’elle avait pensé plus abordable…La magie des sites internet qui trompent pour vendre et font rêver pour tomber en désuétude. La belle ne saisit guère les mimiques indignées du réceptionniste alors que ses orbes se perdaient dans la contemplation de celles du gérant provisoire à la stature imposante, les traits du visage délicatement sculptés pour être admirés et des manières dignes d’un gentleman. Un parfait suspect et un parfait criminel déguisé en Christian Grey. Ursula n’était guère en chasse et la notion de prédation lui était inconnue. Néanmoins, ses paroles l’interpellèrent, soudoyer ne faisait pas partie de ses principes mais s’il fallait en passer par là pour retrouver ce fameux Ødegård, elle n’hésiterait pas. Exit les manières de fliquette respectable, son ennemi n’en avait point usé, elle ne prendrait guère de gants.

« Je m’excuse aussi pour ma petite scène, je manque de sommeil » ajouta l’allemande en esquissant un bref hochement de tête à l’attention du réceptionniste sans pour autant quitter son interlocuteur actuel des yeux. « Nous allons pouvoir nous entendre » finit par lâcher Ursula, ayant capitulé face à la proposition du bellâtre qui lui faisait face. Elle n’en retirerait qu’une réduction et une soirée loin de ses soucis présents et peut-être cela serait-il salvateur pour la donzelle. Elle ne reverrait plus l’adonis sachant éperdument qu’il n’apportera ni destrier blanc et ne lui clamera aucune chanson en se mettant à genoux, ça c’est pour Blanche-Neige ou une autre princesse BCBG du monde parfait de Walt Disney. Il aurait mieux fait de s’étouffer avec du chocolat ce dernier au lieu de briser le cœur des petites filles naïves en leur laissant croire que l’homme est une espèce parfaite, là où il brise les femmes en avançant la suprématie du masochisme et du code d’honneur du mâle en chaleur. Ils ne sifflent pas dans les dessins animés, ils chantent, ils ne mattent pas, ils contemplent…chose qu’était encore en train de faire Ursula. Reprenant un pied dans la réalité, la blonde posa ses bagages sur le comptoir et surenchérit d’une voix claire : « Je pense que cela pourrait se faire, vous pourriez me conseiller sur la nourriture locale afin de ne pas m’intoxiquer. » Réprimant un rire, elle étira ses bras au-dessus de sa tête en étouffant un bâillement. Venant replacer les mèches rebelles de ses cheveux derrière son oreille, la donzelle ne prononça un mot, essayant tout de même de quantifier le risque qu’elle prenait à accepter cette demande. Au pire, elle garderait son arme sous la robe qu’elle ne mettrait pas, préférant un jean qui lui assurerait une soirée sans ambiguïtés bien que se faire belle pour cet homme n’aurait rien de déplaisant. Les idées déferlaient dans sa tête, parvenant presque à chasser celle qui l’obsédait, venger celui qui avait tout donné pour elle. Cet homme qu’elle adulait et qu’aucun autre n’égalerait jamais tant par sa bienveillance que par son intégrité. Un dieu, voilà à quel rang elle avait placé son père. Quelques passants allaient et venaient mais c’est son cas qu’elle souhaitait que l’on règle, tendant sa carte bleue afin de régler le dernier prix. « J’aimerais pouvoir profiter de ma chambre, je vous fais confiance et si jamais la somme ne me convient pas, je vous tiendrai pour responsable…personnellement » finit-elle par lâcher, un sourire mesquin accroché à ses lèvres et sa complainte se poursuivit : « Serait-il possible que quelqu’un monte mes bagages ? Ce genre de service doit bien exister dans cet hôtel ? » Priant intérieurement pour qu’il l’accompagne, les dés étaient jetés.
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Invité a posté ce message Mer 29 Aoû 2018 - 21:04 #


   
A fairytale can begin like a nightmare
Björn s'est toujours tenu à respecter une règle qu'il s'était fixée concernant ces conquêtes, jamais au travail. Enfin oui, il a peut-être dérapé une fois pendant l'un de ses nombreux voyages d'affaires en Suède il y a de cela deux ans, à bien y repenser... Peut-être deux fois, bref quoi qu'il en soit il c'est jurer de ne jamais refaire la même erreur, sa dernière erreur lui avait couté environ 500.000 euros pour convaincre la femme en question de ne rien dire sur ses relations complexes avec les femmes. Et apparemment le norvégien et à New-York pour un moment ont dirait bien, alors il est bien décidé à se comporter tel un gentleman et de ne pas faire de vague concernant ses penchants pour les femmes. Rien de comparable en Norvège dans sa petite ville natale où il est fort aisé de cacher un secret, contrairement à ici où tout se sait surtout concernant une information qui pourrait nuire à autrui. Mais depuis sont arrivées, il faut bien dire que cette ville ne fait rien pour arranger sa décision et que New-York n'est pas le meilleur endroit si on veut faire preuve de chasteté pour quelqu'un qui apprécie seulement la compagnie physique de l'agente féminine. Et ont dit bien que le sort s'acharne à nouveau sur lui aujourd'hui, une charmante femme comme il les aime se présente à lui, certes un peu différente de ses dernières conquêtes. Lui qui a l'habitude que les femmes viennent vers lui, qu'elle soit tactile et qui vont droit au but, à vrai dire cette femme devant lui avait l'air d'être à l’opposer des femmes qu'il fréquente régulièrement. Rapidement il conclut qu'elle devait faire partie des femmes rangées, avec des principes, qui croient en l'amour, le vrai. À un détail près, elle avait un caractère bien trempé qui habituellement le fait fuir mais étrangement Björn adoré ce côté-là, généralement il n'est pas du genre à perdre son temps pour avoir la femme qu'il souhaite avoir pour la nuit, il essaye et si ça ne marche pas il ne retente avec une autre jusqu'à qu'il en trouve une pour la nuit. En fait, plus il la regardait, plus il apprécier ce côté qu'elle se donner, c'est-à-dire à la fois une femme inaccessible et innocente, mais aussi au fond d'elle curieuse qui n'hésite pas à aller vers l'inconnu.

La proposition de Björn fut accepter par la future cliente. « Naturellement, je serais ravi de pouvoir vous conseiller dans ce domaine ! » Björn et cette ville ? Au fond de lui il ne connaît pas vraiment cette ville et les États-Unis ne sont pas connus pour leur gastronomie comparée au vieux continent comme la France. Et concernant ce fameux rendez-vous il est évident que le but final est de séduire la sublime blonde devant lui, ne sachant pas comment l'aborder est son côté noble le pousser à proposer ce rendez-vous pour mieux saisir sa personnalité et pour augmenter ses chances pour la ramener dans sa chambre. Ça ne lui ressemble pas dite-vous ? En effet, en temps normal il aurait été droit au but en lui proposant de le rejoindre dans une chambre, mais il fallait se rendre à l'évidence que cette magnifique blonde attisée son envie de l'avoir pour lui durant une nuit. Deviendrait-il sentimental ? Pas vraiment, à vrai dire pour lui c'est comme un jeu, là où il abandonner des au premier signe de refus de sa cible cette fois il la veut, il est prêt à changer son mode opératoire franc pour le remplacer pour quelque chose de moins direct ou qui pourrait l'effrayer. L'homme qui était à l'accueil réceptionne les informations personnelles ainsi que la carte bancaire de la jeune femme pour finaliser la location d'une chambre, pendant ce temps elle continue à surprendre le maître des lieux. Malgré son innocence, elle avait se petit quelque chose qui faisait réagir Björn, l'un se retenait de ne pas user de ses méthodes habituelles pour séduire sa cible et l'autre montré aucun signe d'attirance pour l'inconnu devant elle et garder ses distances malgré ses désirs et une curiosité intérieures qui lui disaient de se lâcher. « Alors dans ce cas, je vais m'occuper moi-même du paiement » Réplique-t-il en se dirigeant vers l'accueil avant de continuer : « Oui ce service existe dans cet hôtel, mais ça fera 50 dollars de plus ! » Lança-t-il subitement avec un large sourire moqueur, bien entendu ce service n'était pas payant, il voulait seulement tester la femme devant lui. « Mais comme vous cette en odeur de sainteté aujourd'hui, je peux encore vous faire cadeau de ce service. » Répond-il en esquissant un petit rire étouffer, vite remplacer par un sourire, pour continuer dans son élan il ne se propose pas pour emmener les bagages de la sublime blonde dans sa chambre, bien que ce n'était pas l'envie qui lui manquer, mais il souhaitait rester à l'accueil pour faire le paiement qui en réalité était une excuse pour avoir des informations sur sa nouvelle cible, qui elle était ? d’où elle venait ? Tant de questions qui lui parcourait l'esprit depuis qu'il la vue dans ce hall. C'est un autre employé de l'hôtel qui prit les bagages de la jeune femme et la conduit à sa chambre au troisième étage à la chambre dix. En la voyant partir au loin, Bjorn souffla un bon coup comme s'il venait d'arrêter de respirer pendant plusieurs minutes, c'est à ce moment-là qu'il se rendit compte que ça allait être dure de respecter sa promesse concernant les femmes. Lui qui draguer avec toutes les femmes qu'il trouvait jolies, mais il voulait faire les choses différemment avec elle comparé à ses anciennes conquêtes. Pendant ce temps, il remplit la facture, une fausse facture pour être plus précis. Il avait décidé de ne pas lui faire payer la chambre, mais il ne souhaiter pas qu'elle le sache ou pas tout de suite en tout cas c'est pourquoi il remplit cette facture pour le couvrir. Mais ce qui l'intéressait le plus été les informations qu'il a pu avoir grâce à la carte de crédit, cette femme se nommer Ursula Hartmann, une Allemande de toute évidence conclue très vite Björn. Coïncidence sa famille et lui ont été plusieurs fois en Allemagne, il adore ce pays et va régulièrement là-bas pour les affaires familiales ou bien pour le simple plaisir. Quelques minutes plus tard il se retrouva devant la porte de la chambre de la femme qui occupe son esprit depuis toute ta l'heure, il devait lui rentre la facture mais il avait l'espoir d'utiliser ce moyen pour essayer de discuter avec elle.

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