Invité a posté ce message Ven 31 Aoû 2018 - 23:31#
la fête de tropCombien de chance avait-elle de tombé sur la personne qu'elle ne voulait plus croiser pour le restant de sa vie ? Pas beaucoup, vu l'ampleur de New York, ses quartiers, sa densité, bref. La Grosse Pomme porte bien son surnom, il y a de la place pour toutes sortes de fins et un nombre infini de commencements, mais là, c'était une continuité dans la série "Maiwenn Hemmings est un boulet". Elle ne sait pas comment elle s'est laissée persuader de venir, car ce n'est pas réellement son genre. Heureusement que dans son sac à main, elle a toujours un livre qui traine, le temps que son ami s'amuse et la raccompagne. Évidemment, elle avait refusé de conduire, même sobre elle est un danger, alors elle a préféré s'abstenir et voilà qu'elle dépend de quelqu'un pour rentrer, alors qu'elle en aura marre depuis longtemps. A peine rentrée dans la demeure, elle soupire, fait une moue d'enfant.
Les dernières sorties avant la reprise de cours, c'est apparemment important. Elle ne voit pas vraiment ça du même œil, elle se dit plutôt qu'il y a des livres qui ne demandent qu'à être lu avant d'être surchargée par les lectures pour les cours, sans compter toutes ces séries et films Netflix qui n'attendent qu'elle ! Bon, même si le film qu'elle a regardé cette après-midi était totalement nul, cette histoire sur des copines qui vont en Espagne et puis qui suivent un DJ juste car il a parlé avec une des trois filles... Pff. Une perte de temps, mais que soit. Elle tente de se gonfler à bloc, elle se dit que peut-être, elle pourrait quand même s'amuser un peu, alors la coréenne s'avance vers là où il semble y avoir plus de bruit. On dirait qu'il n'y a pas autant de monde qu'elle l'aurait pensé, et ça la rassure un peu, même si ça ne la met pas totalement à son aise. Elle préfère les soirées en petit comité, mais elle ne dira rien.
Maiwenn s'avance, regarde les quelques groupes déjà formés qui parlent, boivent et rient ensemble, elle se sent soudainement toute petite. Son accompagnateur est déjà parti rejoindre d'autres personnes, et elle a l'impression d'être une alien, avec ses cheveux attachés et sa robe fleurie, qui lui donne cet air d'enfant. Finalement, elle va dans le côté salon pour s'asseoir sur un canapé, frottant nerveusement ses mains entre elles alors qu'elle sort son lire, quitte à se faire passer pour une fille bizarre, autant le faire à fond. Ce n'est pas réellement le bruit qui la dérange, et ça ne la déconcentre pas pour le moins du monde. Quelques pages défilent sous ses yeux, elle relève en vitesse la tête pour inspecter les lieux et voir où ça en est, cette fête, et son regard sombre se bloque sur une seule personne. Le gars de la bibliothèque. Oh bordel. Soudainement, elle souhaite disparaitre, avoir un malaise, ou mourir subitement pour éviter de lui parler à nouveau tellement la honte est présente.
la fête de tropLes vacances touchaient à leur fin. Et tu savais qu'il s'agissait désormais des derniers moment pour profiter. Ta mère t'avait mis à la porte, pour que tu sortes, et que tu profites des restes de l'été. Même si désormais, il y avait une légère brise qui donnait une sensation de fraîcheur sur ta peau. Et c'était peut-être pour ça que t'avais pas forcé à rentrer. Puis tes deux meilleurs potes étaient invités à une soirée, et apparemment, toi aussi. Tant de raisons qui avaient poussé ta mère à te faire sortir, et qui te conservaient à l'extérieur. T'étais allé te préparer chez Embry, histoire de ne pas rester trop " à rien faire". Monsieur Clifford était d'accord avec ta mère, il fallait te changer les idées. Et apparemment, il n'y avait que en changeant de paysage, soit d'appartement..
Toi, les fêtes, c'était pas forcément ton truc, à la base. Mais depuis que t'étais à l'université, t'essayais quand même de te fondre dans la masse. Pas de sortir du lot, juste de ne pas te faire remarquer ni parce que t'en faisais trop, ni parce que t'en faisais pas assez. Tu ne t'en sentais pas l'obligation, mais t'avais envie d'essayer que ton temps à la fac passe comme une lettre à la poste. Et du coup, t'avais rien trouvé de mieux.Mais c'était déjà bien, non ? Et puis, même si t'avais l'art et la manière de contredire ta mère, tu savais que c'était important de bien se dépenser avant la rentrée en faisant la fête. Et puis, ça permettait surtout de bien reprendre des forces avant de passer des mois entiers à bucher. Même si t'aimais ça, de bucher, fallait quand même que t'aies ton capital social au taquet. Parce que oui, dans le fond, avec certaines personnes, te sociabiliser, c'était plutôt sympa.
Vous étiez arrivés à trois, toi et tes deux potes de proximité, comme les appelait Monsieur Clifford, et ils étaient partis vaquer à leurs occupations. Toi, t'avais du mal à aller dans un des groupes qui étaient déjà formés, parce que tu n'appartenais pas vraiment à l'un d'eux. Même si certains étaient composées de personnes que tu connaissais, qui te connaissaient, et qui t'aimaient bien. Mais toi, t'étais pas comme eux, dans le fond, et ça te freinait. Bien que rien ne t'empêchait de saluer les uns et les autres, ce que tu faisais toujours volontiers, à condition qu'on ne te demande pas de t'éterniser. C'était la seule chose chose qui était comme un fait implicite que chacun savait. Et apparemment, le mystère que ça faisait planer, bien contre ta volonté, te permettait d'être encore un peu apprécié par certaines personnes. Tant mieux. Après, toi, t'étais pas contre les connaître, mais pas forcément dans le contexte scolaire, parce que c'était dans ce contexte que vos différences créaient des fossés entre vous.
la fête de tropCe n'était pas qu'elle n'appréciait pas les gens, en réalité, ça ne la dérange pas, de parler avec les autres, sympathiser, mais les fêtes... Maiwenn a toujours l'impression d'être décalée, de venir d'un autre monde, ne serait-ce que par ses origines, déjà. Généralement, ça craint un peu d'être la seule asiatique dans une fête, ou alors on la vanne à ce sujet. A force, ça ne lui fait plus grand chose, même si ça la frustre. Ensuite, avec son côté geek, elle n'a pas forcément les mêmes intérêts. Pourtant, elle a des tas de sujets de conversations, mais c'est comme si à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche, elle sortait quelque chose de trop stupide pour les autres.
Néanmoins, elle continuait d'essayer. Peut-être que ce n'est pas une cause perdue, qu'elle peut toujours commencer à apprécier le fait de sortir, de fréquenter des nouvelles personnes, de boire un peu, mais juste le minimum, en cas où elle devrait conduire après. Mais la voilà encore une fois, dans une fête où elle se sent comme un poisson hors de l'eau, et elle se dit qu'heureusement, elle se balade toujours avec un livre dans son sac, quitte à être la plante, elle fera au moins la plante intellectuelle qui se prépare à lire des livres non-stop pendant un an dans le cadre de ses études. Enfin... Même hors études.
Pile au moment où Maiwenn se disait que c'était encore une fête banale à ses yeux, le détail qui va tout changer, elle le sait, vient de se faire remarquer à ses yeux. Ce grand brun, avec qui elle a eu un débat interminable à la bibliothèque, sur qui elle est tombée avant de partir en lui laissant un "Dobby est un elfe libre !". Elle est tombée sur lui dans tous les sens du terme, c'est le cas de le dire. Merci le côté boulet de la coréenne de toujours la mettre dans de telles situations. Pas le temps de s'ennuyer avec elle ! Alors, quand elle est avec Livia... C'est encore pire. Les deux meilleures amies boulets en action, pire qu'une réaction chimique qui finit en explosion. Comme si ça ne suffisait pas, son livre tombe et pendant ce temps, il rattrape la distance entre eux et voilà qu'il ramasse son bouquin. Car il peut être serviable ? Waw, une première.
-Merci, arrive-t-elle à articuler, difficilement, en reprenant sa lecture.
Ses joues s'empourprent à la phrase qu'il lui dit, et rangeant son bouquin dans son sac à main, elle cache son visage entre ses mains. Néanmoins, il semble un peu moins... Râleur que la dernière fois. Ce n'est peut-être que le début, après tout, mais ça la détend un peu plus. Elle en vient même à lâcher un petit rire. Il ne peut pas être si pire que ça, après tout ? Les conditions de leur première rencontre n'étaient pas excellentes, et les apparences sont souvent trompeuses.
-Moi non plus, mais c'était sans compter ma poisse légendaire... qu'elle commence. Généralement, c'est pas trop mon truc, les fêtes, mais j'ai fait une exception pour un ami.
Elle fait une petite moue, pince ses lèvres entre elles, joue nerveusement avec ses mains avant de s'assurer que son élastique serre assez fort ses cheveux pour les maintenir attachés, son regard foncé se baladant pour regarder la pièce. Mais rien à faire, elle revient toujours au grand brun qui la surplombait. Bon, puisqu'on dirait qu'il va être sa seule compagnie potable...
Invité a posté ce message Mer 19 Sep 2018 - 16:26#
la fête de tropTu ne savais pas vraiment si t'avais envie d'être là. Les fêtes, c'était toujours bondé, dans l'excès, et toi, t'étais pas le genre de gars à être dans l'excès. T'aurais le temps, plus tard, pour passer tes soirées à t'amuser, à la décadence et à la perte de toi-même. Mais d'abord, t'avais tes études, et t'avais toujours voulu les faire passer avant toute chose. Sauf que voilà, la fac, ça n'avait pas encore repris. Et toi, il était grand temps que tu ressemble à tous les étudiants. Que tu te familiarise avec cet univers qui n'était pas tient. Parce que toi, ce que tu entendais dans le mot "étudiant" c'était surtout le mot "études" tandis que d'autres semblaient entendre "s'éclater". Mais tu t'étais promis de ne pas sortir du lot par ta différence, même si les cours n'avaient pas encore commencé. Histoire de te fondre dans le décor au mieux. Alors, te voilà.
Et bien sûr, ça semble normal à New-York de retomber sur le boucan de la bibliothèque. Oui, cette fille qui semblait obnubilée par ses foutues carottes qui faisaient trop de bruit à manger. Bon sang, mais les panneaux "nourriture bruyante proscrite", ça n'existait donc pas ? Quelle était la probabilité pour que vous vous retrouviez, ici, dans cette fête ? Toi qui faisait des mathématiques, tu savais qu'en prenant en compte cette ville qui était immense et surpeuplée, le nombre d'université, et d'étudiant qui passaient leur été à New-York, mais qui allaient dans d'autres villes après, les probabilités étaient plus qu'infimes. Mais l'univers se jouait de toi, apparemment. T'espérais qu'au moins, il prenait du plaisir à ça. Parce que toi, pendant un petit moment, tu t'étais trouvé en mauvaise posture.
Pourtant, t'avais appelé la fille pour qu'elle reste. Tu ne savais pas son prénom, et les rares fois où t'avais pensé à cet évènement étrange qu'il s'était passé à la bibliothèque municipale, t'avais prénommé cette fille Dobby. C'était idiot, parce que tu avais saisi la référence à Harry Potter, et pourtant, tu n'avais pas d'autre nom à lui donner. Alors oui, quand tu lui avais dit ne jamais penser la revoir, et que t'avais utilisé ce surnom idiot, c'était un peu sur le ton de la moquerie. Mais aussi pour lui faire remarquer qu'elle avait de la chance : tu ne connaissais pas son identité. Et même si votre rencontre avait été chaotique, t'étais pas totalement un con, et t'avais ramassé son livre, et tu le lui avais rendu. Parce que tu savais ce que c'était de ne plus trouver un livre, tu ne le souhaitais à personne qui aimait lire. C'était presque comme perdre son téléphone. On se trouvait démuni, et on ne savait plus ni où ni quoi chercher pour le trouver ou pour le substituer. Si encore, on était capable de se satisfaire d'une substitution. Tu ne pouvais t'empêcher de rire en l'entendant répondre à ta remarque. C'était assez peu étonnant. Disons que votre rencontre tirait plus d'un hasard in-fortuit que d'une chance. « De la poisse, carrément. Ouch !» lançais-tu, avec un petit rire, pour montrer que bien que ce soit bien envoyé, ça ne te vexait pas. Pour une fois. Après tout tu comprenais. T'aurais dit la même chose, si t'étais parti en hurlant être un elfe libre. Tout le quartier de la bibliothèque avait dû l'entendre.
la fête de tropTrop de fois, Maiwenn avait été confondue avec une lycéenne, même pire, une collégienne. Elle acceptait de vieillir, c'est vrai, mais son style vestimentaire... Elle le trouvait trop mignon. Par contre, à côté, y a des lycéens qui ont l'air d'universitaires et là on dit rien ! C'est vrai, quand on lui demandait si elle avait treize ans, ça la renfrognait. En plus avec sa petite taille, c'est à peine si on la voit parfois... Mais ce qui est sûr, c'est que ce garçon l'a bien vue, avec ses carottes, et il ne pourra plus la rater. Preuve ce soir... Il a fallu qu'elle tombe sur cette mince probabilité. Dans les livres, c'est souvent un signe. Quand on recroise une personne, c'est rarement innocemment, par hasard. Chaque personne qu'on rencontre a une place dans notre histoire. Et elle ne sait pas trop ce qu'elle doit penser de cette rencontre singulière, entre un chieur et une chieuse qui mange des carottes, car comparé à 99% de la population, elle adore en manger comme ça. Et elle adore aussi le bruit que ça fait quand le légume croque sous sa dent, elle avoue tout.
Doucement, elle secoue sa tête suite à sa relance sur sa poisse légendaire, et elle est presque surprise de l'entendre rire. Ça doit certainement se lire sur le visage de la coréenne, qui écarquille les yeux un moment. Donc il n'est pas un robot, il a des sentiments et des émotions ? Ding ding, c'est un bon point pour elle ! Peut-être que finalement, elle lui trouvera des bons côtés, autre qu'une certaine détermination et un physique... Avantageux, va-t-on dire. Elle ne pouvait pas lui enlever ça, elle lui ferait presque les yeux doux, si l'envie de fuir n'était pas aussi présente. A l'idée de le savoir pas trop fana des fêtes, la brune arque un sourcil. Préjugé bidon : pas tous les beaux gosses sont accros aux fêtes et à la salle de sport, enregistré dans sa petite tête. Finalement, c'était peut-être elle le problème... Enfin, plus qu'elle ne le pensait. Sinon, elle savait qu'elle était un problème dans la société rien que par sa maladresse, notamment au volant.
-Et j'imagine qu'ils ont dû t'abandonner pour que tu te retrouves à parler avec moi ? demande-t-elle en riant légèrement.
Son visage est plus joli quand il sourit, quand même, qu'elle ne peut pas s'empêcher de penser. C'est plus fort qu'elle, même s'il l'a agacée et qu'ils sont partis de très mauvais pied, elle se dit que ça ne détermine pas tout. Si on devait toujours se fier à la première impression, les relations humaines n'iraient pas bien loin ! L'air de rien, Maiwenn commençait à se détendre et ça lui faisait du bien, d'être un peu plus à son aise et moins avec l'envie de partir à toute vitesse.
-Je ne sais pas si "enchantée" serait le mot que j'emploierai pour notre rencontre, déclare-t-elle en faisant mine de réfléchir.
Bien sûr, vu son humour spécial, il pourrait le prendre mal. Mais apparemment question humour, il ne semblait pas ni mieux, ni pire qu'elle, tout n'est pas perdu ! Tandis qu'elle est à fond dans son moment, arrivant enfin à se divertir convenablement, avec une interaction sociale avec quelqu'un encore sobre, elle entend un vacarme pas possible, des cris qui fusent de partout et elle comprend qu'il doit se passer très certainement quelque chose de débile mais qui intéresse tout le monde. Faisant une grimace, elle a l'impression d'avoir perdu ses tympans.
Invité a posté ce message Ven 12 Oct 2018 - 22:12#
la fête de tropLes fêtes, c'est vraiment pas ton truc. Toi, t'aimes vraiment mieux la vie, seul chez toi, avec un bon bouquin. Voir des amis ? Oui, pourquoi pas. mais uniquement par petit groupe, et si possible, pas dans un endroit bondé, bruyant et puant l'alcool, alors que la "fête" ne venait que de commencer. Ce qui était le plus étonnant, c'était que t'étais presque soulagé de voir Maiwenn présente, et d'avoir à discuter avec elle. Pourtant, c'était vraiment pas comme si votre rencontre avait été mémorable. Ou plutôt, si, elle l'était. Elle était même désormais certainement dans les anales des pires rencontres à faire à la bibliothèque et à retrouver à la fac. Pourtant, l'éventualité qu'elle s'en aille, ça t'aurais presque gêné. La preuve : t'avais insisté pour qu'elle reste.
Invité a posté ce message Ven 26 Oct 2018 - 21:23#
la fête de tropEtrangement, le fait de savoir qu'elle n'était peut-être pas si différente que ça de cet inconnu faisait sourire Maiwenn, et se sentir plus détendue au fur et à mesure. Néanmoins, elle lui en voulait encore un peu pour cette histoire à la bibliothèque, car elle est du genre rancunière, personne ne peut le nier. Surtout quand il s'agit de jeux. Malheureusement, elle est bien souvent celle qui perd... Mais ça, c'est un autre sujet. La brune, elle aimait bien aussi le sourire de Mael, elle l'avait tellement vu tiré la tronche qu'elle trouvait que dès ses lèvres s'étiraient, ça illuminait son visage. Lui donnait un air plus gentil, plus... appréciable, pour ne pas dire aimable. Elle n'allait pas s'avancer jusque là.
A sa réponse, elle hoche vivement la tête positivement. Elle connait plutôt bien ça aussi, c'est ce qu'elle vit même en ce moment. Elle regrette d'avoir laissé son livre et Netflix seuls pour la nuit, si c'est pour venir et se faire chier... Enfin, presque, si la vexation universelle n'existait pas. Car on sait tous qu'il y a toujours quelque chose pour partir en couilles lorsqu'on espère que tout se passe bien, et quand on a une poisse comme Maiwenn, tout a tendance à partir très vite en vrilles, preuve avec sa sortie à la bibliothèque. Tout ça pour des carottes. Bon, elle pourrait concéder que ce n'était pas une nourriture très adéquate, mais juste pour l'enrager un peu plus, elle ne le dirait certainement jamais.
En voyant les clés, le sourire de la Hemmings s'élargit et naturellement, elle le prend par la main ─du moins, s'il se laisse faire─ et l'emmène vers la sortie, s'assurant ne rien avoir oublié derrière elle. Sinon, elle n'a plus qu'à espérer que son ami retrouvera ses affaires. Sortant de la maison, elle prend un grand bol d'air frais et profite de s'éloigner du bruit et des gens. Il fait encore bon dehors en prime, alors avec sa veste légère, elle se sent assez bien. Puis sa compagnie est... Physiquement charmant, caractériellement un peu moins, mais elle ne reviendra pas sur ce sujet.
