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Invité a posté ce message Ven 14 Déc 2018 - 20:15 #

x marks the spot, where we fell apart. he poisoned the well, every man for himself. I knew it from the first Old Fashioned, we were cursed. it hit you like a shotgun shot to the heart.  @Emil Becker
Il y a des jours comme ceux-là où tu te demandes vraiment si tu n'avais pas dû te ruiner dans les dettes afin de vivre seule pour éviter ce genre de situation où tu ne peux pas quitter ton appartement parce que la conquête de ta colocataire dort comme une bûche et tu es trop paranoïaque pour lui laisser la clé par peur qu'il oubli de fermer (eh oui, je suis complètement le genre à tout vérifier dix fois avant de pouvoir quitter un endroit avec la conscience tranquille). D'un autre côté, avant que Camila et moi décidions d'emménager ensemble, nous passions tout notre temps libre l'une chez l'autre alors, ça l'aurait été un peu stupide de ne pas le faire. Il n'y a rien qui me déplait dans le fait d'avoir ma meilleure amie faire partie de ma routine quotidienne, sauf le fait qu'elle semble faire exprès de toujours me laisser seule avec son copain de lit, je suppose. Je dois admettre que, lorsqu'elle me questionne sur le pourquoi je ne l'aime pas, il n'y a jamais une explication solide et convaincante qui sort de ma bouche. Dans le faits, il m'énerve, mais pas assez pour que je sois capable de salir son image avec mes mots lorsque je parle de lui parce que je le respecte malgré nos chicanes qui sont, soyons honnêtes, souvent vide de sens. C'est compliqué, comme on dit. Une fois, il avait un homme que j'avais rencontré dans un bar qui n'arrêtait plus de m'appeler et venir cogner à ma porte. Je n'ai jamais sût comment il a fait, mais Cami m'avait assuré qu'Emil s'en était occupé et qu'il ne serait plus un problème. Depuis, chaque fois qu'il dort dans notre appartement, je m'assure de lui préparer son café et petit déjeuner comme il l'aime, quelque chose que j'ai appris avec le temps, par par intérêt. De plus, c'est un peu ma façon de le remercier sans avoir à en reparler. Tout le monde y gagne. Puisque je n'ai pas pu profiter d'une bonne nuit de sommeil après une journée haute en émotions dû aux activités de Camila et Emil, je me disais que je pourrais au moins lui rendre l'appareil à lui. En effet, puisque j'ai joué dans les représentations de 2pm et 8 pm la veille, inutile de dire que je n'étais pas très de bonne humeur et aurais apprécié un moment de paix pour me reposer, ce qui explique et justifie (à mon humble avis) pourquoi je n'aie eu aucune gêne lorsque j'ai constaté à quel point il était tôt et eût l'idée de mettre de la musique en préparant le petit déjeuner. Ce ne fût pas très long avec qu'Emil surgisse de la chambre de la belle brunette et que je l'accueillis avec un grand sourire, presque pas forcé, en continuant de danser et chanter alors que je surveillais mes crêpes dans la poêle. ''Becker. Quel honneur de toujours se retrouver. Je commence à croire que je vais devoir charger pour mes services. C'est devenue une vraie auberge ici, moins le roulement de clientèle, bien sûr.'' Je hausse les sourcils pour lui montrer que je blague (à peine) en lui tendant sa tasse dans laquelle j'ai préparé le café. ''Tu bosses sur quoi en ce moment?''  S'il y a avait bien un sujet qui l’intéressait, c'était leur travail qui lui rappelait les séries de flics dont elle était dingue. De toute façon, la jeune femme était reconnue pour passer d'un truc à l'autre sans trop réfléchir.
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Invité a posté ce message Dim 16 Déc 2018 - 12:26 #

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@Scout Mikkelsen and Emil Becker

Ce n’est pas la première fois que j’ai l’occasion de passer la nuit dans cette chambre, de pouvoir compter sur la présence de Camila à mes côtés, de sentir son corps nu, contre le mien tout aussi peu fournis en vêtement. Il y a une forte amitié qui est venue naître entre nous avec le temps et les années, mais jamais elle n’a été mise à mal par ce stade que l’on a su passer plus d’une fois. Ce que l’on vit c’est une amitié améliorée, sans le moindre doute, il n’y a aucune prise de tête entre nous, on sait tous les deux à quoi s’attendre, pas d’attache, simplement du sexe et du plaisir, pour de l’extase garantie. Il nous est déjà arrivée de franchir ce cap au sein de la colocation où je vis, dans cette chambre qui est la mienne et de savoir apprécier la chaleur de Camila contre moi. Seulement ces moments sont rares, puisque la plupart du temps, c’est dans son appartement que l’on se retrouve, dans sa chambre que nos ébats ont lieu, ça malgré la présence de sa meilleure amie et colocataire : Scout. De mon propre point avis, je n’ai aucun remords, bien au contraire, présente ou non dans l’appartement, je prend plaisir à jouer des charmes de Camila, de me laisser aller avec elle et nous laisser aller sur la route du septième ciel, sans prendre de gant, sans prendre la peine de contrôler le volume sonore de nos ébats, comme de nos plaisirs respectifs. C’est de bonne guerre. C’est un peu ce que je me dis, rien ne m’oppose à cette artiste de Broadway, mais rien ne nous rapproche réellement, à part bien évidemment : Camila. Ce matin, je n’ai pas le temps de me souvenir du rêve dans lequel je suis plongé, que déjà je le sens s’éloigner pour me permettre de me connecter à la réalité, de sortir du sommeil dans lequel je me trouve, pour prendre conscience de la réalité en laissant mes yeux s’ouvrir faiblement. Je ne suis pas en train de rêver, ce n’est pas mon inconscient qui est venu me donner ce son de musique parvenir jusqu’à mes oreilles, c’est bel et bien la réalité. « Mmmh .. » C’est le seul son que je laisse entendre, un grognement que je ne masque pas, en laissant ma tête tomber sur l’oreiller, mes yeux se fermer quelques secondes. « Tu fais chier Mikkelsen ! » Un murmure que je suis le seul à pouvoir entendre, face à ma pensée que je laisse s’exprimer, pour se réveil bien plus brutal que celui que j’aurais voulu avoir. Je le sais, que ce n’est pas Camila qui est derrière le volume bien trop imposant de la musique résonnant jusque dans cette chambre. Le lieutenant, je la connais de trop, ses petites habitudes matinales, je suis le premier à les connaître et à l’heure qu’il est, elle doit être en train de fouler les rues New-Yorkais au traver d’un footing dont elle seule à le secret de si bonne heure.

Mon tee-shirt à la main, je franchis la porte de la chambre, pour laisser mes pieds nus trouver le contact avec le sol du couloir, qui me mène droit à la source de mon réveil. Avant de sortir de la chambre de Camila, j’ai pris le temps de couvrir mon corps, de ne pas en sortir aussi nu qu’un verre. C’est donc un caleçon et mon jean qui me permettent de couvrir la partie inférieur de mon corps, pour un torse que je n’ai pas de mal à laisser à la vue de qui souhaite y déposer le regard, avec mes yeux peinent à s’ouvrir en plein, montrant l’envie présente de me laisser aller une nouvelle fois dans les bras de morphée. « Détends toi pour les charges, c’est à Cami que je les donne. » Des propos que j’accompagne de mes mains qui oeuvrent dans le seul but de venir couvrir mon torse du haut que j’ai entre mes doigts. C’est un lien étrange qui nous uni, on sait se pousser à bout, comme elle sait faire preuve de sympathie avec moi, comme cette tasse de café qu’elle vient me donner. Ce changement, il est en lien avec un service du passé, qu’elle n’est pas venue me demander directement, mais que je suis venu lui rendre, pour aujourd’hui se retrouver dans la même position, qu’un chien qui se mord la queue. On tourne en rond. On apprécie se détester et se pousser à bout, comme on sait s’apprécier. « Sur un meurtre dans une colocation. » Dis-je la voix remplis de sarcasme, alors que je m’approche de la source de mon réveil. « La victime, si on peut l’appeler ainsi, a jugé amusant de mettre musique à fond avant une heure décente. » Un schéma qui ressemble à celui que l’on vit aujourd’hui, pour une enquête qui n’existe absolument pas, du moins pas au sein de l’unité des renseignements, dans laquelle j’évolue. Un problème après l’autre, le volume est en train de nettement diminuer dans l’appartement, résonnant beaucoup moins, avec pour principal responsable : moi. « Alors que ce drame aurait pu être évité. » Petit à petit, je laisse mes yeux s’ouvrir un peu plus, alors que je pose mes fesses sur une chaise, apportant la tasse à mes lèvres. C’est étrange de voir que l’on a du mal à s’entendre, mais que jamais elle ne se trompe dans la préparation de ce liquide ambré que je sais apprécier. Je n’ai aucune origine italienne, les miennes sont argentines, mais rien ne vaut un expresso, un vrai, sans le moindre ajout à l’intérieur, pas même un carré de sucre. « Un café .. Et des crêpes .. » Ma voix est tout autant suspicieuse que le regard que je porte à cette artiste de Broadway. « Je ne savais pas que tu avais envie de prendre soin de moi et de me redonner des forces après la nuit que j’ai passé avec Cami. » Je sais qu’elle nous a entendu, il aurait été difficile d’en faire autrement, que ce soit sa meilleure amie, comme moi, on a pas cherché à faire preuve de discrétion la nuit dernière, on a simplement cherché à prendre du plaisir dans une partie de jambe en l’air, comme si personne d’autre était dans cet appartement.
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Invité a posté ce message Mar 22 Jan 2019 - 17:11 #

x marks the spot, where we fell apart. he poisoned the well, every man for himself. I knew it from the first Old Fashioned, we were cursed. it hit you like a shotgun shot to the heart.  @Emil Becker
Aussitôt qu'il franchît la porte, mon regard se dépose évidement sur la partie supérieure de son corps. C'est quand même ridicule qu'un être qui paraît plutôt bien, j'imagine, peut s'avérer être aussi irritant le trois quart du temps. Pour sa défense, mes efforts d'améliorer notre relation sont très minimes. D'un côté, je réalise qu'il est important pour Cami et je ne veux pas lui faire de mal avec des ultimatums de gamines (de toute façon, la situation n'est pas si dramatique que cela), mais j'ai aussi toujours l'impression que cette histoire ne peut pas simplement fonctionner jusqu'au jour où ils en auront assez et réussirons malgré tout à retourner à l'amitié sans les avantages que leur entente incluais. Le sexe finit toujours par des complications. Je le sais parce que Cami n'est pas ma meilleure amie pour rien et j'ai tendance à faire ce même genre d'erreur, jusqu'au jour où mon cœur de glace ressent quelque chose et je dois tout arrêter abruptement par peur de me perdre. Dans le fond, je suis une très bonne amie qui cherche seulement à leur éviter une chicane potentielle dans une amitié homme/femme. Un ange, carrément.  

''Non, t'es sérieux? Mais c'était vraiment une connasse de première! Elle aurait dû plutôt finir derrière les barreaux. J'ai le sentiment qu'elle serait très jolie en orange.''  j'explique presque en chantant, un petit rire suivant mes mots parce que, bon, il avait un point. En même temps, il était parfaitement capable de se déplacer chez lui après ses ébats. On n'était quand même pas pour lui faire sentir que mi casa es su casa. Des plans pour qu'il en fasse un déménagement permanent. L'horreur! ''Je te jure, Emil, tu fais mention de ce qui s'est passé encore une fois et ma gentillesse va s'évaporer comme les personnages Marvel dans le dernier Avengers.'' Je grimace en me rappelant du bruit qui m'a empêché de dormir pendant des heures, poussant délicatement une mèche de cheveux derrière mon oreille avant de finir les fameuses crêpes, prenant soin d'y ajouter des yeux en bluets et une bouche en bacon parce que je ne fais jamais les choses à moitié et ça m'amuse pas mal de l'infantilisé un tout petit peu.

Je dépose l'assiette devant lui avant de m'assoir sur le tabouret d'à côté, prenant une gorgée de mon chocolat chaud parce que si je bois une autre goutte de café, je risque de vraiment avoir un problème d'hyperactivité et, bien que ce serait amusant de rendre Emil fou, je dois avouer que je n'aie pas l'énergie de gérer tout ça quand c'est le grand jour pour moi au travail. En effet, l'enregistrement de la bande sonore du musical dans lequel je suis se passe durant toute la semaine et c'est ce qui me rends un peu dingue parce que je n'aie pas une seconde pour moi, ou presque. ''Dis, ça t'arrive d'avoir des amies sans franchir la ligne? Aussi surprenant que cela peut l'être, ma question n'est même pas sarcastique. C'est juste quelque chose qui me passe par la tête chaque fois que je le croise avec d'autres dans les rues de New York et qu'après il apparaît soudainement ici.  ''Je suis la dernière personne qui te jugerais sur le sujet mais c'est à se demander si tu travailles parfois où si tes partenaires font tout le boulot pendant que tu utilises ton charme irrésistible dans ton uniforme.

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Invité a posté ce message Dim 10 Fév 2019 - 18:32 #

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@Scout Mikkelsen and Emil Becker

Les aventures de Scout et Emil, elles sont nombreuses, mais toutes se terminent de la même façon et suivent le même schéma, étrangement, sans jamais que l’on ne s’en rende réellement compte ou alors ça nous amuse de toujours répéter la même histoire. Assis dans la cuisine, mes bras contre le bois de la table, mes doigts entourant la tasse de café, qui dégage immédiatement une douce chaleur agréable contre ma peau, je ne peux m’empêcher de laisser un esprit joueur se réveiller doucement, en même temps que moi, je dirais. Et si aujourd’hui, justement; on cassait un peu les codes ? C’est la question que je me pose à moi-même, tel un petit démon qui est en train de s’adresser au petit ange, le tout à l’intérieur de ma tête. Beaucoup trop joueur, jamais je ne pourrais prendre une décision raisonnable dans un tel moment. Mon regard est en direction de Scout, qui vient de me répondre, sa voix chantant, mais me tournant le dos, je ne peux empêcher mes yeux se prêter attention à la jeune femme, appréciant les courbes de son corps, tel l’homme faible que je suis. « J’me suis jamais posé la question, mais maintenant que tu l’dis .. Il est fort possible qu’elle soit très jolie en orange .. » Dis-je sur un ton dès plus sérieux, mais avec un esprit complètement joueur et cette idée folle d’entrer dans un jeu de séduction avec l’amie de Camila. J’ai bien dit, idée complètement folle, je n’ai pas menti, j’en ai conscience, mais ça m’amuse. Comme je prend plaisir à lui rappeler les ébats que j’ai partagé avec sa colocataire, en ayant pleinement conscience qu’elle n’a pu manquer une telle information. La discrétion ne va pas et n’ira jamais entre Camila et moi, lorsque nous laissons notre amitié de côté, pour apprécier les petits plaisirs que nos corps nous procure, les meilleurs au monde selon moi. La réaction de Scout est celle que j’ai espéré avoir, certes pas mots pour mots, parce que jamais j’aurais pu deviner une telle chose, mais cette façon de ne rien vouloir savoir, de vouloir mettre fin à un tel sujet. C’est la raison du sourire qui vient naître sur mon visage, pour un regard qui ne quitte pas l’amie de Camila. « Serais-tu jalouse Mikkelsen ? » Parce que c’est bien cette idée, que j’ai envie de lui faire croire, que je suis en train de réellement penser qu’elle est jalouse de ce lien qui m’unit de sa colocataire, de ses ébats sexuelles qu’on s’offre régulièrement, elle qui est bien placé pour le savoir.

Assiette de crêpe devant moi, je me laisser aller à une dernière gorgée de café, avant de venir remplir mon estomac d’un tel festin dès le matin, ce n’est certainement pas à la colocation où je réside, que je me lèverais avec un tel petit déj. Je suis même amusé du mal qu’elle s’est donnée, pour donner un aspect enfantin à cette crêpe, cette façon d’y avoir apporté suffisamment de détail, pour comprendre qu’il s’agit d’une tête. Couvert dans mes mains, après tant d’énergie dépensée la nuit précédente, mon ventre est en train de crier famine et je ne peux résister à une première bouchée, tout en confiance, parce que ce n’est pas la première que je mange ici, qui a été préparé par les soins de Scout. « Yeap, ça m’arrive. » Répondais-je sur de moi. Du moins, c’est ce que je me dis. « Ca ne marchera pas avec moi, tu peux croire autant que tu veux que je ne travail jamais, tu ne pourras jamais contredire ma présence au district ou sur le terrain. » Je terminais mes propos, en posant les couverts sur la table, mon regard trouvant celui de Scout, c’est plus fort que moi, je ne peux m’empêcher de continuer cette idée folle, d’entrer dans ce jeu de séduction, aborder un sourire sur mon visage. « Mon charme irrésistible ? » Ce sont bien les propos qu’elle vient d’employer, je ne me trompe pas, du moins, je ne pense pas. Perfect ! Parce que j’ai envie d’en jouer. « Tu sais, je n’ai pas besoin de mon uniforme pour jouer de mes charmes .. » L’histoire dit bien que j’ai été celui qui a trompé mon ex fiancée, ce rôle que j’assume, certes à tort, mais que j’assume, continuant de plonger tout le monde dans l’ignorance de la vérité. « Et j’suis persuadé que tu le sais, il m’suffit de voir la façon dont tu m’as regardé, avant que je mette ce tee-shirt, tu ne t’es pas privée et tu sais quoi ? .. Tu as bien raison. » C’est dans un murmure que je viens lui apporter une réponse à cette question que j’ai moi-même posée, gardant ce sourire présent sur mon visage, parce que même si je suis arrivé en ayant encore du mal à garder les yeux bien ouverts, difficile de passer à côté de la colocataire de Scout qui se laisser aller à glisser ses yeux sur mon torse.
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