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 before i knew what hit me, baby you were flowing through my veins. (naleya) / -18

Mathéis Flores
Mathéis Flores
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A NY depuis : ses huit ans.
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Logement : un petit appart qu'il partage avec l'amour de sa vie : Neva.
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Statut civil : célibataire, encore bien trop marqué par la fuite de son ex.

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Mathéis Flores a posté ce message Dim 21 Avr 2019 - 21:48 #

Le faire sans préservatif est une étape cruciale dans une relation, celle qui démontre la confiance entre les deux partenaires. Naleya et moi, sans être un couple, on est prêt à la franchir, cette étape. Je lui fais une confiance aveugle et à l’instant présent, je ne désire plus rien d’autre que m’abandonner enfin totalement à elle. Des mois que je ne vois que par elle, que je ne désire qu’elle, mais ce n’est rien comparé à ce moment. Je sais qu’aujourd’hui, là dans cette voiture, notre union aura encore plus d’impact. Il est clairement hors de question qu’un autre puisse s’approcher de ma belle, tout comme aucune autre pourra m’avoir. Je le lui ai dit, c’est elle et moi, et plus de retour en arrière. Je n’attends d’ailleurs pas plus pour rapidement faire voltiger son soutien-gorge, mes lèvres traçant un chemin sur sa peau parfaite et les mots sortant de ma bouche naturellement, sans que j’y réfléchisse. Ça la fait gémir et bordel, qu’est-ce que ça m’excite encore plus de l’entendre. Puis elle resserre sa main sur ma virilité et c’est à mon tour de gémir. Elle va avoir raison de moi à force, bon sang. En contrepartie, je m’attèle à aimer sa poitrine, jusqu’à ce qu’elle me fasse relever la tête. Je souris à ses paroles. Elle se sent belle -et Dieu, qu’elle l’est-, grâce à moi, et c’est une explosion de bonheur qui se propage dans mon cœur. « Et je te le dirais, encore et encore, Naleya. » Aussi longtemps qu’il faudra pour qu’elle en soit intimement convaincue. Ça sera sûrement long parce que c’est une vérité qu’elle réfute depuis toujours, mais ça se produira. Je n’arrêterais pas de le lui rappeler jusqu’à ce qu’elle y croie pleinement, et même après encore. Suite à un nouveau baiser échangé, la métisse attrape mon pantalon et mon boxer pour les descendre à mes pieds. Je l’aide à procéder, participant ensuite à l’enlèvement du reste de ses fringues, nous laissant nus. Ses mains, appuyées sur les sièges, l’aident à frotter nos sexes l’un contre l’autre, et je me mords la lèvre, sans quitter son regard. Je ne contiens pas les gémissements qui montent, les frictions entre nos bas-ventres faisant leur effet. Je pourrais jouir comme ça, mais ce n’est pas ce que je veux. « Guide-moi en toi, ma belle. Je veux te sentir, entièrement. » Je la supplie presque tant le désir me consume. Je ne tiens plus, je veux m’unir à elle pour la première fois sans entrave. Naleya reprend donc mon sexe en main, pendant qu’avec mes mains, je la soulève légèrement pour la positionner et, une fois nos intimités correctement alignées, je la fais descendre lentement sur moi. Ma respiration se bloque l’espace d’un instant. Si j’aime le sexe habituellement, je peux affirmer que le sexe sans capote, c’est encore mieux. Les sensations se décuplent et se répandent dans mon corps à une vitesse inouïe. Je ressens des choses dont je n’avais plus aucun souvenir. Je découvre même des émotions que je ne connaissais pas encore, c’est phénoménal. Elle est phénoménale. « Oh, Naleya... » C’est tout ce qui sort alors que je tente désespérément de retrouver mon souffle. Je l’autorise ensuite à entamer les premiers mouvements, qui se font lents et doux. Sensuels aussi, rien de trop rapides. On n’est pas pressé, malgré le lieu inopportun, on prendra notre temps. On va le savourer ce moment, l’apprécier pour qu’il devienne le plus beau qu’on puisse vivre. Le premier d’une toute nouvelle relation, celle qui ne se finira que lorsqu’elle -ou mon cœur- en aura assez de moi.
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Invité a posté ce message Dim 21 Avr 2019 - 23:50 #

Elle se sent brûlante, l’impression d’être dans un sauna tellement l’excitation est présente. Excitation qui est encore plus montée en flèche dès que la bouche d’Anton s’est posée sur sa poitrine. Leurs gémissements ne font que décupler l’envie, tout comme ce qu’il lui dit. Dans ses yeux elle se sent vraiment belle et c’est une sensation qui la rend heureuse. Trop pour continuer à attendre plus longtemps, alors elle entreprend de lui ôter les derniers vêtements qu’il porte, les siens suivant également juste après. Maintenant nue au-dessus de lui elle commence par simplement frotter leurs sexes l’un contre l’autre, rien de plus. Leurs regards ancrés ensemble elle savoure le son de ses gémissements qui augmente en souriant. Elle ne veut pas précipiter les choses, elle tient à ce qu’ils prennent le temps de profiter de chaque seconde de cette nouvelle étape, mais sa résistance est mise à rude épreuve et elle se demande d’ailleurs comment elle fait pour avoir encore autant de patience et n’avoir toujours pas cédé à perdre le contrôle. Mais quand il dit enfin ce qu’elle attendait tant, elle ne se retient plus, attrapant son membre pour l’amener à l’entrée de son sexe. Les préliminaires ne sont pas d’actualité aujourd’hui, ils ne sont pas au bon endroit pour ça, n’en ressentent pas non plus l’envie ou le besoin, elle est déjà tellement excitée qu’elle est totalement prête à l’accueillir en elle. C’est lui qui choisit le rythme pour la faire redescendre, lentement, et elle adore voir les sensations que ça lui provoque. Elle grogne légèrement de plaisir en fermant les yeux une fois qu’il est complètement en elle, son impatience à la limite de ce qu’elle peut supporter, mais elle attend quand même qu’il se réhabitue un peu et lui donne le signal qu’elle peut y aller avant d’entamer de lents mouvements de bassin. Même cette cadence peu soutenue soutire des gémissements à Naleya, mais elle profite cependant pour l’embrasser langoureusement tant qu’elle peut encore le faire sans être trop essoufflée. Ce qui ne dure pas longtemps. Ça devient vite trop frustrant de garder un tel rythme et ses gestes s’accélèrent au même rythme que sa respiration. Elle colle sa poitrine à son torse, resserre les bras autour de son cou pendant qu’elle y enfouit la tête et le mordille légèrement. Elle a beau vouloir prendre son temps, elle sait qu’elle ne pourra pas tenir de longues minutes et que son orgasme arrivera bien plus tôt que d’habitude.
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Mathéis Flores a posté ce message Lun 22 Avr 2019 - 1:11 #

Les frottements entre nos deux sexes sont excitants, mais s’apparentent aussi très vite à une douce torture. En supporter encore plus dans la durée me semble impossible sans que l’idée de jouir là, comme ça, me vienne en tête. Et ça serait bête de se lâcher à ce moment, de perdre tout vigueur avant même d’avoir pu m’unir à elle, alors n’en pouvant plus, je lui demande de me guider en elle. Elle le fait, dans la seconde qui suit, me démontrant à quel point l’envie est aussi puissante de son côté, et positionne mon sexe à l’entrée du sien. Doucement, et tout en lenteur, je l’emplis de mon membre et stoppe toutes actions le temps de m’habituer à cette sensation nouvelle dans nos ébats. Je crois bien que, là aussi, je pourrais jouir sur-le-champ si la cadence est trop rapide dès le début. Ce n’est clairement pas envisagé, profité de l’instant me tente bien plus, et ce n’est que lorsque je pense pouvoir endurer le rythme des mouvements que je la laisse bouger. La lenteur et la douceur sont clairement les maîtres-mots de ce début d’acte charnel et, même comme ça, je gémis de plaisir, ce dernier montant de plus en plus. Naleya est dans le même état, nos lèvres se retrouvant pour un baiser langoureux seulement l’espace de quelques secondes, avant que nos rythmes cardiaques s’emballent. La belle se colle à moi, mordillant mon cou à la moindre occasion et me faisant grogner au passage, pendant qu'une main glisse dans ses cheveux et que l’autre caresse son dos. Ses mouvements de bassin se font plus rapides, plus forts, et je sens que ça monte. Sauf que je ne veux pas atteindre l’orgasme maintenant, aussi bon soit-il, et d’une main, j’agrippe ses hanches pour la calmer, arrêtant même les va-et-vient. Je la connais, elle va sûrement râler, alors je prends les devants et tire le plus délicatement possible sur sa chevelure pour éloigner son visage de mon cou et capter son regard. « Laisse-moi profiter de toi, de ça, encore un peu... » De ça, de ce qu’il se passe entre nous, de ces sentiments qui me submergent et que j’ai dû mal à assumer. Je sais que ce n’est vraiment pas le lieu pour prendre autant de temps, mais j’ai le désir de ne pas aller trop vite, de savourer cette fusion totale de nos corps encore et encore. Au moins pour quelques minutes supplémentaires, parce que je ne me fais pas d’illusion, même à vitesse de limace, on va jouir dans peu de temps. Je le sens à ses parois qui se contractent déjà un peu trop autour de mon érection et, généralement, je ne viens pas très longtemps après son orgasme. Souhait lâché, je n’attends pas plus pour retrouver ses lèvres pour partager un baiser langoureux, l’aidant aussi à redémarrer son déhanchement sur moi, mon sexe recommençant à aller et venir dans le sien et nos souffles redevenant rapidement saccadés. Bordel... Il est hors de question qu’on réutilise les capotes, c’est bien trop exquis sans. Bien plus "vrai", aussi.
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Invité a posté ce message Lun 22 Avr 2019 - 17:14 #

La vague de plaisir qui la submerge quand il entre en elle est intense. Outre l’acte en lui-même, c’est aussi en partie ce qu’il représente qui lui procure autant de sensations et qui fait palpiter son cœur plus fort qu’à la normale. Si au début elle en profite autant que possible, ne bougeant que très lentement, elle finit vite par ne plus résister à augmenter un peu plus la cadence, sa bouche quittant la sienne pour aller mordiller son cou. Leurs gémissements emplissent l’habitacle, plus fort à chaque seconde, jusqu’à ce que, sans qu’elle ne s’y attende ni qu’elle ne comprenne pourquoi, il attrape une de ses hanches pour la faire arrêter de bouger. Geste qui la fait aussi instantanément grogner de mécontentement, mais il tire sur ses cheveux avant qu’elle n’ait le temps de dire quoi que ce soit, son regard trouvant le sien une fois sa tête reculée. Et elle grogne à nouveau quand il ouvre la bouche. Il lui demande presque l’impossible là. « C’est de la torture Anton. » Douce et très agréable, certes, mais de la torture quand même tant la frustration apparait. Elle essaie cependant de s’y tenir, reprenant des mouvements lents, comme au début. Leurs langues qui se retrouvent encore l’aide à garder ce rythme, mais seulement pour quelques minutes. « Anton... » Elle n’en peut plus, son ton est suppliant et lui demande de la laisser accélérer les choses. Et au final elle ne lui laisse pas vraiment le choix, elle n’arrive plus à contrôler son corps, c’est plus fort qu’elle. Alors tant pis, ses mouvements redeviennent plus rapides, jamais trop, mais la lenteur n’est plus d’actualité. Il ne faut que quelques minutes de plus pour que son plaisir atteigne son sommet et que tous ses muscles se contractent pendant qu’elle mord son épaule un peu plus fort en gémissant contre sa peau. Elle n’en a pas besoin, l’endroit où ils sont lui permettrait de faire autant de bruit qu’elle le veut, mais ça a fini par devenir un réflexe dont elle a parfois du mal à se séparer. Et puis ça lui plait de voir les marques sur son corps, peut-être qu’elle a un petit côté sadique au fond. La tête enfouie dans son cou, elle reprend lentement son souffle. Elle ne réfléchit plus à rien, elle se sent bien, détendue, apaisée. Sa respiration plus régulière elle se redresse, plongeant les yeux dans les siens un instant avant de venir déposer de petits baisers sur ses lèvres, encore et encore, son sourire s’agrandissant au fur et à mesure. « Je vais plus jamais pouvoir me passer de ça. »
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Mathéis Flores a posté ce message Lun 22 Avr 2019 - 18:46 #

Elle grogne pour montrer son mécontentement lorsque je stoppe tous mouvements. Je savais d’avance que ça ne lui plairait pas et je la devance en explicitant cette interruption. Un nouveau grognement sort de sa bouche, suivi par des paroles que je ne peux que comprendre. Pour moi aussi, c’est une torture d’y aller aussi lentement, mais ce moment est bien trop magique pour être expédié aussi vite. Elle le comprend puisque notre union retrouve sa lenteur du début, pendant que nos langues se lient. Mais après quelques minutes, c’est une supplique qui ébranle sa voix quand elle prononce mon prénom. Elle n’en peut plus et, malgré cette envie de faire durer l’instant, son plaisir a toujours été primordial. Cette fois-ci, je ne l’arrête pas lorsqu’elle reprend de la vitesse dans ses ondulations. Je l’aide même en glissant une main entre nous, frictionnant son clitoris avec mes doigts. Quand elle me mord l’épaule, geste habituel lorsqu’elle va jouir, je sais qu’elle va atteindre le sommet et à peine quelques secondes plus tard, son sexe se contracte autour du mien. « Naleya... » Je gémis, ne pouvant qu’articuler son prénom, et j’entoure sa taille de mon bras pour la plaquer contre moi, mon bassin remontant pour aller m’enfouir profondément en elle. Je n’ai pas besoin de bien longtemps pour que des spasmes violents me submergent, la jouissance m'emportant et me laissant complètement lessivé et haletant. Il nous faut un moment pour retrouver un souffle plus ou moins correct, et je souris quand elle dépose des baisers sur mes lèvres. Encore plus quand elle parle. « Du sexe sans protection ou de moi ? » Moi, c’est des deux. Soudainement, une pensée me traverse l’esprit et je ris. « Dire que j'ai acheté deux boîtes de préservatifs il y a deux jours... » On en avait encore à la maison, mais vu la vitesse avec laquelle on les épuise, deux boîtes supplémentaires en stock n’ont jamais été de trop. Maintenant, c’est le cas. L’utilité d’un préservatif n’est plus d’actualité, je ne compte pas en utiliser à nouveau avec Naleya. « A qui on pourrait les donner ? » Je lui demande, petit sourire au coin des lèvres. Ça serait quand même con de les laisser pourrir dans mon tiroir alors qu’elles pourraient servir à d’autres. De plus, ce n’est pas comme si mon stock de capotes n’a jamais été utile aux autres colocataires lorsqu’ils étaient en rupture et avaient besoin d’être dépannés. « Au fait, j’ai laissé tomber la peluche quand je t'ai couru après, désolé. » J’affiche un petit air navré, me sentant coupable d’avoir lâché cette peluche qu’elle semblait réellement apprécier. Caressant tendrement sa joue de mon pouce, je rapproche mon visage pour ajouter dans un murmure « Je t’en prendrais une nouvelle, bien plus belle. » avant de l’embrasser avec douceur. Bon, celle-là, je vais peut-être me contenter de l’acheter et non d’aller la gagner en rejouant à la pêche aux petits canards. Une fois aura été suffisante.
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Invité a posté ce message Lun 22 Avr 2019 - 22:31 #

Ralentir la cadence lui demande un effort considérable, mais c’est ce qu’il veut et s’il en a besoin elle est prête à le faire cet effort. Au fond elle aussi en a envie, elle aussi a envie que ça ne s’arrête pas maintenant, c’est juste compliqué de contenir toute cette passion qu’elle ressent à cet instant. Et elle ne réussit d’ailleurs pas à le faire très longtemps, quelques minutes de lenteur en plus puis sans même qu’elle ne s’en rende vraiment compte elle ré accélère doucement, son corps dicte ses mouvements plus que son cerveau. Ce dernier arrête d’ailleurs de fonctionner quand il passe la main entre leurs corps pour caresser son sexe et elle se serre un peu plus contre lui pour les ressentir avec plus de force. Elle n’hésite plus à se laisser aller, il le lui a permis en utilisant ses doigts, sachant très bien que ça finirait de la faire flancher, ce qui est le cas rapidement. Ses dents enfoncées dans l’épaule d’Anton elle atteint l’orgasme et ses muscles qui se contractent puissamment autour de son membre le font gémir un peu plus et jouir en elle après un profond dernier coup de reins. Ça n’a jamais été aussi intense. Pas physiquement, ils ont connu beaucoup d’ébats bien plus violents et épuisants, mais pour son cœur et ses sentiments ça l’a été. Et comme elle le lui dit après avoir récupéré une respiration calme et régulière, elle n’est pas certaine de réussir à s’en passer. Un sourire étire ses lèvres à sa question. « Du sexe sans protection avec toi. » Tout particulièrement de lui tout court, mais ça ça fait déjà un moment que c’est le cas. La remarque qu’il fait ensuite la fait rire et elle prend réellement conscience qu’ils n’en auront plus besoin. « Laisse-les sur la table du salon, elles disparaîtront surement assez vite. Ou donne-les à Miles, je suis sûre qu’il saura quoi en faire. » Le meilleur ami d’Anton, de ce qu’elle connait de lui, ne devrait pas avoir de mal à les utiliser. Ni leurs colocataires, du moins certains. Son petit sourire disparaît alors quand il évoque la peluche, peluche qu’elle avait zappée de son esprit d’ailleurs, et elle ne répond qu’après qu’il l’ait embrassée. « C’est pas important. » Certes elle l’avait bien aimé cette petite peluche, mais elle n’accorde pas une grande importance aux biens matériels et il n’a pas besoin de dépenser de l’argent pour ça. A son tour elle dépose à nouveau un tendre baiser sur ses lèvres. « Une bonne douche bien chaude serait la bienvenue, tu trouves pas ? »
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Mathéis Flores a posté ce message Lun 22 Avr 2019 - 23:52 #

Quand elle reprend de la vitesse dans ses mouvements, je ne peux faire autrement que l’encourager et l’accompagner dans ces derniers, sentant le plaisir augmentait de plus en plus. La jouissance n’est plus très loin, autant la sienne que la mienne, et après qu’elle l’eut atteinte, je sens que mon tour ne devrait plus tarder à arriver. Un dernier va-et-vient me propulse vers un orgasme libérateur et je jouis en elle, littéralement, pour la toute première fois. C’est divin, j’ai l’impression de n’avoir jamais été aussi bien, aussi épanoui après l’acte sexuel, aussi heureux aussi. Tout ça, je ne le dois qu’à Naleya, qu’à cette femme qui fait battre mon cœur comme aucune autre n’a su le faire. Et quand je fixe ses yeux, quand je me plonge dans son regard, j’y lis que pour elle aussi, ça a été intense. Bien plus que toutes les autres fois. Il n’y a plus besoin de mots pour qu’on se comprenne, la connexion qui s’est établis entre nous est réellement forte, aucun doute là-dessus. Les paroles qu’elle prononce vont dans ce sens en tout cas et son sourire me fait sourire, tandis que mes lèvres vont une fois de plus rejoindre les siennes. « Moi aussi, je m’en passerais jamais plus. » Que je murmure tout contre sa bouche, ne dissimulant pas le sourire qui s’accroche à la mienne depuis tout à l’heure. C’est un petit gloussement qui me prend ensuite. « Tes deux solutions sont très bonnes, je te l’accorde. » Ça pourrait en satisfaire du monde, au moins. Mentalement, je me dis que je déposerais une boite sur la table du salon et que l’autre ira à Miles. Un bon compromis. Me rappelant avoir perdu sa peluche, je lui annonce que j’en prendrais une autre avant de l’embrasser. Ce n’est pas important selon elle. Pour moi, si. Ce n’est qu’une peluche, certes, mais c’est la première chose que je lui ai donnée et ça a une signification à mes yeux. Je vais quand même lui en offrir une nouvelle, bien que je ne rétorque rien de plus. Déposant un énième baiser sur mes lèvres, la belle me parler de douche bien chaude et je souris. « Seulement si on la prend ensemble. » Je sais que je n’ai pas besoin de l’évoquer pour que ça soit déjà prévu comme ça dans sa tête, ça en est même évident. « Je crois que j’ai une boite de mouchoir dans la boîte à gants. » Ce n’est pas l’idéal pour nous essuyer, mais c’est mieux que rien. Je dépose un furtif baiser sur sa bouche, avant de la laisser -à contrecoeur- quitter mes genoux pour s’installer sur la banquette, commençant à remettre le haut de ses vêtements pendant que je me penche entre les deux sièges pour récupérer la boite. Je la lui tends pour qu’elle puisse prendre des mouchoirs pour s’essuyer et j’en fais ensuite de même, puis on finit de s’habiller. À l’extérieur, la pluie à cesser et on ne le remarque que là, lorsqu’on sort de la voiture pour s’installer sur les sièges avant. Ceintures bouclées, je démarre la voiture et on prend la route du retour vers la maison, avec une envie non feinte de recommencer dans la douche ce qu’il s’est passé sur la banquette arrière aujourd’hui.

the end.
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