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Invité a posté ce message Ven 22 Mar 2019 - 0:51 #

remind me to forget
It never fades away, it's staying, your kiss like broken glass on my skin. Baby it hit so hard, I'm holding on to my chest. Maybe you left your mark, reminding me to forget

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J'ai eu une longue journée, comme d'habitude en fait. En ce moment au boulot je gère un cas qui concerne des enfants et ça me bouffe beaucoup plus d'énergie que j'aimerais bien le laisser croire. Je m'investis beaucoup trop dans cette enquête, comme toutes les autres d'ailleurs, mais celle-ci me touche particulièrement, d'autant plus que plus les journées passent et plus j'essaie de me changer les idées, de penser à autre chose qu'au contact de sa peau contre la mienne, mais aussi à cette dernière rencontre que nous avons eu au supermarché et qui a laissé ma jambe dans un mauvais état, je dois l'admettre. D'ailleurs, elle me fait toujours mal. N'ayant pas vraiment reçu de nouvelles de Connor depuis, je n'ai pas osé non plus le déranger en lui envoyant un message ou simplement en tentant d'aller le voir puisque je juge que cela ne sert complètement à rien et je ne veux pas non plus avoir l'air d'une véritable folle. De toute façon, je n'arrive pas à concevoir qu'il pourrait peut-être y avoir un petit plus entre nous, je n'ai pas envie d'y penser et c'est certainement pour l'une de ses raisons que je me donne encore plus de boulot, pour ne pas penser à toute cette histoire tout simplement. Après ma journée de boulot, je suis allée au resto avec une de mes collègues de travail et nous avons passé un bon moment à parler de tout et de rien, mais surtout pas de lui. Je n'aime pas étaler ma vie à tout le monde. Si bien, que je n'en ai même pas parlé à mes plus proches amis à qui je me confie normalement. Enfin, Iain le sait, mais il est mon meilleur ami après tout et en plus, il connait Connor. Bref. En arrivant à la maison, je me dis qu'il est temps pour moi de relaxer un peu et donc, je vais prendre un bain question de me changer les idées et ne plus penser à cette enquête puisque je ne suis plus au boulot et que je dois apprendre à me laisser aller un peu là-dedans et à ne pas confondre boulot et vie personnelle puisque cela pourrait bien nuire à mon moral. Une fois sortie, je décide de me prendre une bière avant d'aller m'installer dans mon salon. Bien confortablement assise sur mon canapé, je reçois un message texte de Connor qui me demande comment se porte ma jambe, je réponds donc à son message et un texto en suit d'autres, je le trouve plutôt froid avec moi et je ne comprends pas pourquoi il a décidé de m'envoyer un message s'il ne veut pas véritablement avoir de mes nouvelles. Je ne comprends pas vraiment son comportement ces derniers temps en fait, surtout depuis la dernière soirée qu'il a passé avec moi, dans mon appartement alors qu'il ne venait vraiment pas dans l'idée de finir dans mon lit. C'est peut-être prétentieux de ma part, mais je n'ai pas vraiment l'habitude de devoir courir après un homme. Je sais que son passé est toujours bien présent dans sa vie. Je sais qu'il pense encore à sa femme à tous les jours et je ne pensais pas qu'il arrêterait de le faire après notre petit écart de l'autre soir. Seulement, j'osais au moins croire qu'il serait un peu plus à l'aise avec moi et qu'il pourrait peut-être même y avoir une relation un peu plus différente que celle que nous avions avant cette dernière soirée. Suite aux derniers échanges que nous avons par messagerie texte, dans l'incompréhension de ce qui vient d'arriver et surtout par impulsivité puisque j'agis un peu toujours ainsi, je balance mon téléphone au bout de mes bras sans vraiment trop réfléchir aux conséquences possibles qu'il pourrait y avoir sur ce petit bidule s'il tombe au sol. Je ne comprends pas son comportement et ça me rend tout simplement furieuse. Peut-être que je suis un peu plus attaché que je n'aimerais l'être en fait. « Eh merde. » Réalisant ce que je viens de faire par colère, je me lève immédiatement, soulagée en voyant mon téléphone qui a atterri sur un coussin décoratif et qui est encore en parfait état. C'est au même moment que j'entends cogner à la porte et sans vraiment savoir qui peut se trouver l'autre côté de la porte, j'ouvre simplement et découvre Emil que je n'attendais pas du tout, mais qui, je l'avoue arrive au parfait moment. « Hey Becker. » Dis-je alors qu'un sourire vient se dessiner sur mon visage.

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Invité a posté ce message Ven 22 Mar 2019 - 17:59 #

Remind me to forget
@Camila Finazzi and Emil Becker

Une bière à la main, je passe cette soirée en présence de ma mère, je sais que mon père est absent pour la soirée, le connaissant, il ne risque même pas de rentrer, il est probable qu’il ne prenne même pas le temps de prévenir. Baiser la première cruche qui va vouloir de lui, lui prend trop de temps. C’est bien l’une des pensées qui me traverse l’esprit depuis que je suis dans cette maison, il est loin le temps où j’ai habité ici, ma chambre n’est plus, mais j’y garde de merveilleux souvenirs et ça ne m’empêche pas de venir passer du temps avec ma mère. Si seulement elle savait. Je me souviens bien de propos de mon oncle, je ne les ai pas oublié, mais je reste un Becker et un vrai, quand j’ai une idée, je ne l’ai pas au cul et il est hors de question que je l’oublie. J’ai même déjà commencer ma petite enquête, quand bien même elle ne me mène que sur de mauvaises pistes pour le moment. « Tu peux bien me le dire, je suis ta mère après tout ! » Je ne peux m’empêcher de lever les yeux au ciel aux propos de ma mère, à cette demande qui est la même depuis une bonne demi-heure maintenant. « Et j’suis ton fils, jusque là, on est d’accord. » Consciemment, je répond à côté, parce que je sais bien ce qu’elle attend. « Arrête Emil ! Réponds moi. Depuis Gabriella, tu ne me parles plus .. C’est celle que tu as amené à Noël avec toi, c’est ça ? C’est Camila ? » Dit-elle presque autant excité qu’un enfant au moment d’ouvrir les cadeaux que le père Noël est venu gracieusement lui apporter. Je ne peux m’empêcher de rire face à ce cheminement qu’elle est venue se faire, préférant mettre de côté la mention concernant mon ex fiancée, si seulement elle savait que l’on est dans la même colocation. « Je t’arrête tout de suite, on est juste .. amis. » Réellement ? Je n’ai pas meilleur terme. « Prends moi pour une conne ! J’te rappel que j’suis ta mère, tu me la feras pas à moi ! » La vérité, je peux lui la dire, mais il est toujours difficile d’annoncer à sa mère, qu’il n’y a pas qu’une femme dans ma vie. Attention, je ne suis pas polygame et encore moins l’auteur d’un harem, mais pourquoi se contenter d’une, quand on peut apprécier les plaisirs du sexe avec plusieurs ? Définitivement, je ne me vois pas dire ça à ma mère. Sauvé par le gong, comme je sens mon coeur s’emballer, laissant la colère se propager dans mes veines et mon regard s’assombrir en voyant mon père passer la porte. Douce surprise. « J’dois y aller. » Prononçais-je d’une voix ferme, pas le moindre doute. « Déjà ? » La surprise de ma mère s’entend, en même temps que je pose ma bière après être venu la boire d’une traite. « Yeap mamá, j’dois rejoindre des collègues du boulot pour une soirée. » Un baiser sur le front de ma mère, ma veste dans mes mains, je n’adresser pas la moindre parole à mon père, dans l’autre sens, c’est valable, pas un seul regard ne vient se croiser. Je passe à côté de lui, comme s’il ne s’y trouvait pas, pour rejoindre la porte, accompagné de ma mère, de celle qui m’a mise au monde et qui m’a élevé, sans l’aide de celui qu’elle a épousée.

La vérité est que je n’ai aucun programme pour le reste de cette soirée, il n’y a aucune soirée de prévu avec les autres officiers ou lieutenant du district où je travail. Une excuse pour prendre la porte et m’en aller bien loin de mon père. Le temps du trajet, d’avoir conduit ma voiture jusqu’à West Williamsburg et je me retrouve dans le porte de cette appartement. J’ai hésité de longues minutes avec mon téléphone en main, avec la grande envie d’envoyer un message à Daisy, cette belle infirmière. J’ai l’envie de la revoir, mais l’appeler aussi tard, pour le même soir, c’est la porte ouverte à de trop nombreuses questions et qui me connaît, sait que je ne suis pas apte à répondre aux questions. Un peu homme des cavernes, j’ai besoin de me retrouver avec quelqu’un qui me connaît, qui sait qui je suis et qui ne va pas me poser de question, avec qui je vais pouvoir me changer les idées. J’ai trouvé. Je suis même présentement devant chez elle, avec des idées très peu catholiques, je le reconnais, je ne viens pas pour discuter, je viens clairement et uniquement pour du plaisir, pour goûter à son corps, que je connais pourtant si bien. « Hey Finazzi. » Je connais Camila depuis tellement d’années, que je sais, en posant mon regard sur elle, que cette soirée n’est pas celle dont elle a rêvé. Bingo. Elle a besoin de se changer les idées, de penser à autre chose, tout comme moi, le duo parfait pour se laisser aller. C’est de cette façon que l’on est les meilleurs ensembles après tout, non ? Je dois m’accorder le temps de laisser des mots sortir de ma bouche et d’en faire des phrases, mais aux oubliettes les bonnes manières, je me contente d’approcher de mon amie, de poser mes mains sur son corps dans l’idée et l’envie de l’attirer à moi, de l’attirer contre moi au même moment où mes lèvres trouvent les siennes. Je ne suis pas ici pour un élan de douceur, c’est bien tout le contraire qui est derrière mes pensées et c’est bien pour celà qu’immédiatement, il y a cet intensité dans nos échanges, qu’à peine en contact, nos lèvres laissent l’espace suffisant pour que nos langues se rencontrent, pour qu’elles jouent l’une avec l’autre. Mes doigts ne quittent pas son corps, je m’approche même d’elle pour la faire reculer, pour venir la prendre au piège, qu’elle se retrouve coincée entre le mur de son appartement et moi.
©️ nightgaunt
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Invité a posté ce message Sam 23 Mar 2019 - 4:59 #

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J'ai besoin de me changer les idées, j'ai surtout besoin de me faire à l'idée que je ne peux pas ressentir quoique ce soit à l'égard de Connor puisqu'il ne peut tout simplement rien se passer entre nous deux. Nos échanges par textos me confirment d'ailleurs qu'il ne pourra tout simplement rien arrivé puisque sa femme fait toujours parti de sa vie et qu'il ne semble pas être prêt à y faire entrer une autre personne sans pour autant oublier Hannah puisque je sais très bien qu'il ne pourra jamais la laisser disparaître. N'étant pas du tout habituer à me faire dire non, cette situation me fâche et par impulsivité, mon téléphone se retrouve presque à l'autre bout de la pièce. Si jusqu'à présent j'avais réussi à calmer face à cette situation jusqu'à maintenant, je n'y arrivais plus en ce moment et je ne comprends pas non plus la nature de mes agissements. J'ai besoin de penser à autre chose et je suis complètement à court d'idées puisque j'ai l'impression d'avoir tout fait ce soir pour y arriver et pourtant, cet échange de messages textes ont probablement été de trop. Au moment où je me lève pour prendre mon téléphone qui, heureusement, est toujours en très bon état, on cogne à la porte et bien que je me demande qui cela peut-il bien être à cette heure, je comprends rapidement lorsque j'ouvre la porte et que je vois Emil devant moi. Je dois l'admettre, il arrive toujours au bon moment. Je ne sais pas si j'ai véritablement envie de parler de ce qui arrive dans ma vie sentimental présentement. Je ne sais même pas si j'ai envie d'avoir une vie sentimentale d'ailleurs. Tout ce que je sais, c'est que la présence d'Emil me fait un bien fou et pourtant, les seuls mots qu'il m'a dit sont brefs. Sans même avoir le temps de placer ne serait-ce qu'un mot de plus, les lèvres d'Emil se retrouvent sur les miennes et je ne peux m'empêcher de continuer dans cette lancée puisque je l'admets, c'est exactement ce dont j'avais besoin pour me changer les idées et pour oublier peu importe ce qui arrive en ce moment. Que ce soit Connor, mon enquête, mon frère. Ce moment, j'en ai besoin et je crois que mon ami l'a immédiatement compris en voyant mon visage lorsque je lui ai ouvert la porte. Instinctivement, nos langues viennent jouer l'une avec l'autre et ses mains sur mon corps me font un bien fou. Alors qu'il me pousse légèrement dans mon appartement et contre le mur, je ferme la porte à l'aide de mon pied ne voulant surtout pas ruiner ce moment, quitter ses lèvres et ses mains qui se promènent déjà sur mon corps. Avec Emil c'est toujours comme cela. Pas besoin de passer par quatre chemins avec lui. Il sait ce qu'il veut, ce que je veux. Mes mains savent toujours où se diriger, cette passion qui nous habitent est toujours bien présente. Comme si nos deux corps adoraient se retrouver l'un contre l'autre. Toujours plaqué contre ce mur qui m'appartient, je viens sans plus tarder déboutonner les boutons de sa chemise avec autant de fougue qu'il était venu attraper mon visage en arrivant chez moi il y a à peine une minute. Nos baisers s'intensifient, alors que je peux finalement apercevoir son torse maintenant que sa chemise est totalement ouverte à moi. Je l'embrasse toujours, venant légèrement lui mordre les lèvres. Comme si je n'avais pas envie ni même besoin de perdre mon temps. Je sais ce que je veux et lui aussi après tout. On se connait par coeur là-dessus. Mes mains touchent sa peau alors que je viens coller ma poitrine, toujours beaucoup trop habillé sur son torse.

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Invité a posté ce message Dim 7 Avr 2019 - 11:30 #

Remind me to forget
@Camila Finazzi and Emil Becker

Il y a des gestes que l’on explique pas, ce soir, le mien c’est de venir jusque chez Camila et de ne même pas prendre le temps de lui parler. Je suis venu ici uniquement pour déconnecter de cette soirée, je n’ai qu’une envie, c’est de me laisser aller, de coucher avec elle, parce qu’il n’y a rien de mieux au monde que le sexe pour se détendre, n’importe qui peut vous le dire. Un comportement sans doute machiste ou sexiste, comme bon vous semble, je sais que c’est le genre de chose qui plait au lieutenant, après toutes ces années et ma séparation avec mon ex-fiancée on a pas eu de mal à rattraper tant de temps perdu. Je ne m’offre pas la peine d’un jeu de séduction, quelques secondes et Camila se retrouve coincée entre le mur de son appartement et moi, je suis en train de coller mon corps contre le sien, mes mains sont à la recherche de sa peau. Dans un premier temps en caressant le vêtement qu’elle porte sur elle, puis dans un second en partant au contact de sa peau, laissant mes doigts remonter son haut, passer dessous. Elle est loin d’être bête, elle connaît le sens de mes intentions, je ne suis pas ici pour parler, ni même pour une partie de scrabble, je viens pour un programme bien précis et elle ne le refuse pas. Notre baiser ne cesse de continuer de vivre, nos langues faisant monter la tension à chaque fois qu’elles se trouvent pour jouer ensembles. Nos corps laisse monter la température, parce que l’effet est immédiat, elle ne me laisse pas insensible, elle a toujours su réveiller la bête qui est en moi. Ses mains s’activent sur mon corps, alors que désormais je nous pense seul dans cet appartement, la porte est fermée et ses deux colocataires ne semblent pas se manifester, ce soir c’est Camila et moi, autant dire que ça en vient à me donner quelques idées. Ma chemise ne fait pas long feu, elle ne peut lutter contre le lieutenant et ça me fait sourire, un sourire d’excitation au moment même où je sens la fraîcheur contre mon torse qui lui est monté en température. Son coup de grâce, il me vient du contact de sa poitrine contre mon corps, elle est en train de me provoquer et ces agissement marchent à la perfection. C’est le moment choisi pour saisir son haut de mes doigts et de rompre notre baiser, de laisser nos langues orphelines l’une de l’autre, pour libérer son corps d’un premier vêtement. « Tu es seule ? » Demandais-je le souffle court, mes mains à l’aventure pour venir retirer le premier de ses sous-vêtements pour libérer sa poitrine sur laquelle je laisse mon regard s’y poser, je laisse même mes doigts venir les caresser. Gosh, que c’est bon.  « J’m’en fou ! » Je n’attend aucune réponse de Camila, j’ai eu un moment de conscience à penser aux deux autres personnes vivant ici, désormais ce n’est plus le cas, la seule chose à laquelle je pense, c’est Camila contre moi, son corps qui m’envoute complètement et le mien qui n’est guidé que par mes envie et par mon sexe, ne le cachons pas. Mes mains viennent passer sous les fesses du lieutenant, pour venir la relever, pour lui faire rompre le contact avec le sol, pour passer ses jambes autour de mes hanches, ne masquant aucunement les effets que la situation peut avoir sur moi. Je ne suis pas venu pour prendre de gant, notre manque de parole pour en arriver ici ne fait que le montrer, c’est pour cette raison que je romps le contact de son dos avec le mur, pour avancer dans cet appartement, ce n’est pas chez moi, mais ce n’est pas la première fois que je viens ici, je connais les lieux. Je suis à la recherche du premier meuble ou du premier objet que je peux avoir sous la main. Celui-ci va être la table qui se trouve sur mon chemin, si je me plais à rester encerclé par ses jambes, je viens la poser sur le bois de la table, avant de laisser mes lèvres partir à l’aventures, prenant plaisir à jouer avec elle, cherchant à la provoquer par mes nombreux baisers dans son cou, qui sont à l’origine d’un suçon dont je n’ai pas encore conscience. Mes mains ne sont pas en restes, elles sont actrices de ce qui est en train de se passer, en passer sur les cuisses du lieutenant, prenant soin de passer à l’intérieur, de jouer avec elle, pour remonter. Mes doigts n’ont pas de mal à se laisser tenter et à s’attaquer à son jean, venir retirer le bouton de celui-ci.
©️ nightgaunt
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Invité a posté ce message Dim 7 Avr 2019 - 23:13 #

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La visite d'Emil ne pouvant pas mieux tomber, je me suis rapidement laissé aller dans cette idée bien précise qui le menait dans mon appartement ce soir. Si normalement, il avait l'habitude de me séduire avant de m'avoir avec lui au lit, ce soir, la seule idée qui l'habitait était clairement de venir coucher avec moi et de laisser nos deux corps beaucoup trop familier l'un à l'autre parler pour nous-mêmes. Ne prononçant aucun mot, je ne peux m'empêcher de me laisser entraîner dans ces nombreux baisers qui viennent rapidement monter la température de nos deux corps alors que nos langues se mêlent comme elles ont l'habitude de le faire. N'aimant pas trop perdre mon temps avec Emil, sa chemise se retrouve déjà au sol, me laissant le plaisir de voir son torse complètement nu avec lequel je viens m'amuser un peu. Mes mains qui se baladent sur lui alors que mon dos est toujours bien enfoncé contre le mur de mon appartement, je pose ma poitrine sur son torse afin de le provoquer comme j'ai toujours aimé le faire. Je l'entends me demander si je suis seule, mais je n'ai même pas le temps de répondre, qu'il est déjà passé à autre chose. De toute façon, même s'il y avait un de mes colocs ici, c'est bien le dernier de mes soucis. Sans plus tarder, mon haut se retrouve au sol et de ses mains, il vient libérer ma poitrine de mon soutien-gorge sans plus tarder, caressant mes seins comme il sait si bien le faire. Ne voulant pas lui démontrer tout de suite l'effet qu'il me fait, je reviens prendre possession de ses lèvres avec plus de fougue qu'avant, d'une manière un peu plus brusque, venant mordre sa lèvre inférieure alors que ma respiration se fait déjà plus rapide. Le fait de ne pas lui avoir parler du tout me donne étrangement encore plus envie de lui. Je n'ai pas envie de parler de ce qui ne va pas présentement dans ma vie, je n'ai pas envie de lui dire qu'un homme arrive à me résister et que ça m'énerve au point d'en avoir balancé mon téléphone cellulaire contre le mur un peu plus tôt. Je préfère de loin avoir son corps contre le mien et réaliser que lui, il ne peut pas me résister bien longtemps, tellement qu'il se présente chez moi uniquement pour une partie de jambes en l'air. Mes pensées s'effacent rapidement alors qu'il pose sa main sous mes fesses. J'emprisonne son corps de mes jambes et passe mes bras autour de son cou avant de me retrouver finalement sur ma table de cuisine, là où il vient m'y déposer et jouer avec moi en passant ses lèvres dans mon cou, me laissant même un suçon, qui, je sais sera bien difficile à cacher demain au boulot. Mes jambes ne se retrouvant plus autour de lui, je l'attire tout de même doucement sur moi, prenant bien soin de descendre son jean avant qu'il ne se retrouve près de moi. Mes mains maintenant sur ses fesses, je souris contre son visage alors qu'il promène ses mains sur mes cuisses avant de venir jouer un peu avec moi, ce qui me fait pousser un soupire de plaisir dans son oreille, le sentant déboutonner mon jean. Je viens à nouveau passer mes jambes autour de lui pour sentir son membre contre moi alors que je peux déjà sentir que je lui fais l'effet désiré. « T'attends quoi Becker? » Dis-je le souffle presque coupé alors qu'il ne fait que déposer encore de nombreux baisers sur mon cou venant immédiatement les descendre sur ma poitrine, alors que je viens poser mes mains sur son caleçon qui est de trop dans cette équation, tout comme mon jean et la deuxième partie de mes sous-vêtements.

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Invité a posté ce message Lun 8 Avr 2019 - 17:03 #

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@Camila Finazzi and Emil Becker

Il n’y a rien de plus encourageant de jouer de sa partenaire et d’entendre les effets que je peux lui procurer grâce à ses soupires qui arrivent à mes oreilles. De quoi faire naître un sourire de fierté, sûr de moi et qui m’encourage à continuer dans mes projets pour le reste de la soirée. Je suis venu jusque chez Camila uniquement pour jouer de son corps, ne retirer de ce moment ensemble que du plaisir et uniquement du plaisir, rien de plus. Je laisse mes mains jouer de son corps, de ses désirs et de sa frustration, de ma main sur ses jambes, par dessus son jean que je me suis simplement contenté de déboutonner, sans prendre la peine de venir lui enlever. J'apprécie ses mains sur mes fesses, m’attirant contre elle, me gardant au piège grâce à ses jambes m’entourant. Mes lèvres ont quitté son cou pour jouer de ma langue sur sa poitrine, que je prend plaisir à découvrir, même si ce n’est pas la première fois que je peux m’accorder ce petit plaisir, j’en apprécie le goût de son corps qui ne cesse de réagir à chacun de mes gestes et qui a pour effet de provoquer le mien, de monter l’excitation que je suis en train de ressentir. J’en bien entendu la question qu’elle est venue me poser, mais si ce soir je n’ai pas envie de parler, j’ai une grande envie de jouer, d’elle principalement. C’est le moment que je décide de rompre le contact de mes lèvres avec sa poitrine, c’est le moment où je décide de frôler nos lèvres l’une avec l’autre, avant de m’approcher de son oreille. « Que tu n’en puisses plus Finazzi .. » Répondis-je dans un murmure encouragé par mon souffle coupé, parce que si j’ai l’envie de jouer avec elle, je ne suis pas mieux et je sais Camial suffisamment bien placé pour ne pas pouvoir passer à côté. Des paroles à des actes, je laisse ma main glisser le long du ventre de ma partenaire du soir, pour laisser mes doigts glisser sous son jean, mais également sous son sous-vêtement. J’ai décidé de continuer de jouer avec elle, mais à un stade un peu plus haut désormais, pour ma lèvre que je viens coincer entre mes dents, mon corps qui reste proche, très proche de celui de Camila. « Quelque chose me dit que ça ne devrait plus tarder .. » Suis-je sadique dans ce genre de situation ? Complètement oui ! Je ne vais pas nier un tel fait, je suis en train de jouer avec ma partenaire, mais je ne suis pas mieux avec moi-même, parce que chacune des ses réactions, chacun de ses soupires, chacuns de ses gestes, ont pour effet de me sentir de plus en plus à l’étroit dans le caleçon que je porte encore sur moi. Je suis venu jusqu’ici ce soir pour me changer les idées et en ayant ma main entre les jambes de Camila, jouant de son sexe sous mes doigts, parce que l’idée n’est pas seulement d’être venu m’y glisser, mais bien de continuer de jouer d’elle, de la provoquer au maximum, la pousser autant qu’il m’est possible de le faire.
©️ nightgaunt
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Invité a posté ce message Mar 9 Avr 2019 - 2:26 #

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Emil est un séducteur hors pair. Pas une seule fois il n'a pas réussi à m'avoir dans son lit ou dans le mien. De nombreuses années que je le connais et donc, de nombreuses fois il a tenté par tous les moyens de me séduire pour pouvoir ensuite profiter de mon corps. Je n'ai jamais résisté, probablement trop faible à son charme ou à chacun des souvenirs que j'ai de ses mains se baladant sur mon corps, de tous ses petits gestes qui arrivent à m'exciter, mais aussi parce qu'il est joueur comme moi et que bien je déteste cela autant que j'aime lorsqu'il le fait avec moi. Parce qu'ensuite j'ai une bonne raison de pouvoir le faire avec lui et c'est une de mes parties préférées. Emil déteste ne pas avoir le dessus sur moi. Il préfère être celui qui me fait craquer et quand je tente de le faire, il fini toujours pas faire bien mieux que moi, parce que je suis faible et que j'aime être sous son emprise et surtout, le laisser faire ce qu'il veut de moi. Et ça, bien ça l'excite parce qu'il est toujours fier d'entendre mes soupires de satisfaction, mes gestes qui le remercient presque de m'apporter tout ce plaisir, ce que je ne m'empêche pas de faire présentement parce qu'il réussi déjà bien son coup. Alors que je sais très bien ce que ma question viendra provoquer en lui, je souris venant poser quelques baisers sur son cou avant de venir mordiller légèrement sa lèvre, ne pouvant pas retirer mes mains de son torse avec lequel j'adore jouer à l'aide de mes mains. Venant ensuite toucher ses fesses, l'emprisonnant avec mes jambes pour être absolument certaine de le sentir contre moi alors que son excitation est bien présente sous son caleçon. Sa langue vient à nouveau jouer sur ma poitrine alors que des frissons viennent me parcourir le corps au complet. Je ne peux pas lui cacher que j'aime ce qu'il fait, mon corps réagit seul à ses gestes et il l'apprécie, il est même beaucoup trop fier de son coup. Tellement qu'il répond finalement à ma question, me disant qu'il attend que je n'en puisse plus, ce qui, je sais très bien, arrivera bientôt s'il continue à faire tout ce qu'il fait de mieux. Du grand Emil tout ça. « Putain Becker! » Dis-je en poussant un gémissement dans son oreille, posant mes mains autour de lui alors qu'il me regarde, avec son petit sourire idiot et qu'il glisse ses mains sous mon sous-vêtement pour jouer avec moi comme il sait si bien le faire et aussi parce qu'il sait exactement ce qui arrive à me faire craquer. Ma respiration est saccadée, mon souffle se fait déjà plus rapide. Il se mord les lèvres en me regardant, ce qui me laisse comprendre qu'il est tout autant excité que moi. Je descends son caleçon parce que, ce bout de tissu me dérange et que je veux le sentir plus contre moi. Je l'approche à l'aide de mes jambes et je souris, tout autant fière de moi alors que je comprends que mes réactions à ses gestes lui font tout autant plaisir. Il joue toujours avec ses doigts alors que je gémis une nouvelle fois. « J'te déteste.. » Dis-je, amusé par la situation puisqu'il sait très bien que c'est totalement faux et qu'au contraire, j'apprécie tout ce qu'il arrive à me faire. J'ai l'impression de céder, de lui donner raison et qu'il comprenne que je n'en peux plus comme il le souhaitais, mais je connais Emil, il ne s'arrêtera pas là.

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Invité a posté ce message Mar 9 Avr 2019 - 11:55 #

Remind me to forget
@Camila Finazzi and Emil Becker

Mes doigts sont en train de goûter à l’excitation que ressent Camila en ce moment, il met difficile de pouvoir passer à côté, bien au contraire, je m’autorise même le droit de continuer ce petit manège, de laisser ma main caresser son entre-jambe, contre laquelle je suis bien collé, grâce au jeans et au sous-vêtement qu’elle porte encore sur elle. Mes doigts s’activent et entre un peu plus en action, en réalité, je n’en laisse qu’un seul partir à la découverte de cet endroit que je connais si bien. Le lieutenant est en train de devenir fébrile face à toutes ces attentions que je lui offre, je sais qu’elle n’est pas loin de me céder et d’en arriver au point que je désire. Je souhaite l’entendre me demander de la prendre, ici, sur cette table, sans hont et sans gêne. Ces gémissements parlent pour elle, elle est à deux doigts de m’offrir sa résignation, comme je laisse un second doigt, justement rejoindre le premier. Voilà qui suffit pour l’entendre reprendre la parole, laisser un sourire conquérant se montrer sur mon visage, parce que je le suis, je suis venu chez elle pour prendre du plaisir, mais également tout oublier en lui en donnant. « Mauvaise réponse .. » Prononçais-je sûr de moi, parce que je sais très bien que ce n’est pas ce qu’elle est en train de penser à l’instant présent. Non Finazzi, tu ne vas pas me la faire à moi. Je te veux et je sais que je vais t’avoir, mais avant, tu vas devoir passer par mes conditions. Je sais que je n’ai pas besoin de le lui dire, le fond de ma pensée, elle l’a déjà comprise. Je joue de son corps entre excitation et frustration, c’est bien la seconde partie que je mets en oeuvre en retirant ma main de l’emprise de son jeans, en quittant son sexe, le laissant seul après un tel traitement.  « On va essayer encore .. » Mes doigts sont en train de lui retirer son jean, je suis en train de découvrir entièrement son corps, m’occupant du tout dernier vêtement par la suite. Elle est nue devant moi, mes mains sont sur elles, posées sur ses hanches, je viens l’approcher du bord de la table, m’offrant le plaisir de lui laisser croire à une réponse de ma part sur ses attentes, que j’allais mettre fin à ce doux calvaire. Mais non. Je suis bien trop déterminé pour ne pas aller au bout de mes idées, bien trop lucide et bien trop guidé par mon sexe pour m’arrêter en si bon chemin. Je ne suis plus à son niveau, je suis à parfaite hauteur, pour un genou posé au sol. Je déposer des baisers à l’intérieur de sa cuisse, remontant centimètre après centimètre jusqu’à son entre-jambe et cette chaleur qui s’en dégage. L’effet est immédiat, cette odeur enivre mon nez et je ne tarde pas à venir déposer mes lèvres sur son sexe. Je vais la pousser dans ses derniers retranchements, je veux qu’elle lâche prise, cède face à ma détermination et l’entendre me dire qu’elle veut que je la prenne. Pour ça, je suis prêt à goûter à tous les petits plaisirs, comme celui de mes lèvres embrassant son sexe ou encore de ma langue s’aventurant à l’intérieur. Tu n’es pas au bout de ta peine, enfin, de ton plaisir, Finazzi.
©️ nightgaunt
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Invité a posté ce message Mer 10 Avr 2019 - 1:42 #

remind me to forget
It never fades away, it's staying, your kiss like broken glass on my skin. Baby it hit so hard, I'm holding on to my chest. Maybe you left your mark, reminding me to forget

▼▲▼
Il me cherche, il m'énerve et il sait exactement que ce qu'il fait c'est simplement sadique, mais je sais que dans ce genre de situation, Emil est une personne terrible lorsqu'il cherche à obtenir exactement ce qu'il veut et ce qu'il est capable d'avoir. C'est bien le cas en ce moment. Il me connaît par coeur et aux nombre de fois que nous avons couchés ensemble, je sais aussi bien que lui que je vais finir par céder avant qu'il ne le fasse. Sur ce point, je suis rarement capable de gagner et il sait en profiter et me le démontrer. J'ai voulu le provoquer en premier, il se venge en me faisant autant de bien qu'en me créant une frustration intérieure et apparemment bien visible physiquement aussi. Alors qu'un de ses doigts est bien en place pour jouer parfaitement bien avec mon sexe, mon corps faibli sous son emprise. J'essaie du mieux que je peu de me contrôler, de lui montrer que je suis apte à lui résister, mais c'est beaucoup trop difficile. Il sait exactement comment faire pour me donner ce dont j'ai envie. Je ne peux pas m'empêcher de pousser quelques nouveaux gémissements alors qu'il continue son petit manège, ce jeu qu'il prend un plaisir monstre à exercer. Un deuxième doigt qui s'insère en moi, suffisant pour que je lui dise à l'oreille que je le déteste alors qu'en fait c'est tout le contraire. Je veux qu'il continue, qu'il entre en moi comme il le veut et pas seulement avec ses doigts, mais je suis une personne très têtue et je ne veux pas le laisser gagner tout de suite. Il va bien finir par céder à la tentation lui aussi. Mes jambes toujours autour de lui alors qu'il est complètement nu, je l'attire brusquement vers moi pour prendre son sexe en main. Fière de mon coup, je souris en m'amusant pour essayer le plus que je peu de le frustrer tout autant que je le suis. Venant embrasser son cou puis le haut de son torse, ma main monte lentement de haut en bas sur son membre qui semble bien apprécié puisqu'il gonfle doucement. Tu veux jouer Becker, moi aussi je peux. Et alors que je pense que j'ai réussi, il me place sous le bout de la table juste après avoir pris le soin de finalement retirer mon jean et mon sous-vêtement que je ne pouvais plus du tout supporter. Je lâche donc son sexe, il pose ses mains sur mes hanches et positionne un genou au sol. Non putain, il veut vraiment aller jusqu'au bout de son idée lui. Des baisers sur mes cuisses, je le sens remonter vers mon entre-jambe et s'aventurer à l'intérieur avec ses lèvres puis sa langue. « Oui juste là.. » Dis-je alors que je sens qu'il est exactement à la bonne place. Je lâche prise, il a le définitivement le dessus sur moi, aussi bien profiter des plaisirs qu'il me donne. Il continue, chaque mouvement de sa langue me fait du bien. Tellement que j'agrippe mes mains à la table, serrant mes doigts bien fort puisque mon corps réagit et fait bouger mon bassin, mais je veux qu'il reste bien en place pour qu'il continue. Je gémis encore plus fort, ne pouvant plus me retenir. « Emil putain! » Que je cris alors que je me cambre, me retenant toujours à cette foutue table. S'il continue à être aussi terrible, je vais finir par l'a briser. Une main posée sur sa nuque, je la remonte un peu pour m'agripper à ses cheveux que je tire un peu alors qu'il bouge sa langue de plus en plus. « C'est bon Becker, j'en peux plus! prends-moi... fuck.. » Mon souffle coupée, j'ai de la difficulté à lui dire, mais mes mots sortent tout de même. Il a gagné, c'est bon.

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Invité a posté ce message Dim 21 Avr 2019 - 18:38 #

Remind me to forget
@Camila Finazzi and Emil Becker

J’ai fait le chemin jusque chez Camila pour qu’on se retrouve dans une partie de jambe en l’air, en frappant à sa porte, le but que j’ai eu et que j’ai toujours en tête, c’est de sentir le plaisir s’échapper de son corps, par la présence de mon sexe en elle. C’est le but ultime et j’ai bien prévu d’y arriver, je n’ai pas changé d’avis en cours de route, mais j’ai l’envie de jouer d’elle, de la provoquer, lui montrer que dans une telle situation, malgré toute la bonne volonté qu’elle puisse avoir, je continue d’avoir le dessus sur elle. Ma langue joue de son sexe, que mes lèvres embrassent, je m’applique à mon meilleur niveau pour provoquer cette chaleur, pour faire grandir sa frustration au même titre que son plaisir. Ses gémissements ne sont plus les mêmes, ils sont un cran en dessus de ceux que j’ai pu entendre, lorsque mes doigts sont entrés en elle. Une fois encore, son corps réagit, son bassin est en train de suivre le rythme que je lui impose, simplement avec ma langue. Elle est en train de me céder, elle est en train d’arrêter de lutter face à mon traitement, son corps prend le dessus sur son avis d’avoir raison ou de dominer. L’une de mes main est derrière elle, la maintenant sur le rebord de la table, maintenant ma proie pour ne pas perdre de vue mes idées et pouvoir les mener à bien. La seconde, elle est sur moi, mes doigts sont en train de s’occuper de mon propre sexe, appréciant tout ce qui s’y passe, lui permettant de terminer de prendre de sa superbe grâce aux quelques allers et retours que je suis en train de faire. Tu es a point Camila ! C’est bien le fond de ma pensée, en sentant ses doigts sur ma nuque, en les sentant attraper mes cheveux, elle n’en peut plus, elle est prête à céder, mais une chose est sur, je ne lâcherais pas le morceau, pas avant qu’elle ne soit venue me le demander. Je n’ai pas longtemps à attendre, c’est avec un souffle incroyablement difficile à reprendre, qu’elle a prit la parole, qu’elle est allée au bout de ce que je lui ai dit attendre. « Bonne réponse ... » Je ne suis pas mieux, ma respiration à dû mal à suivre le rythme, parce que si c’est à elle que je viens de procurer un traitement aussi minutieux, mon corps n’a rien manqué de tout ce qui vient de se passer, il ne faiblit pas. Mes lèvres ne sont plus au contact de son sexe, mon regard est en train de suivre le mouvement de mes mains, qui en viennent à sortir une capote de mon jean. Il faut toujours être prévoyant, je ne sors jamais sans en avoir sur moi. L’objet recouvrant mon sexe, que je caresse par dessus de ma main, avec quelques allers et retours, je me laisse aller à prendre place en face de Camila, entre ses jambes, avec la ferme intention de commencer cette incursion en elle, sur la table de la cuisine. « Tu veux que je m’arrête ? » Asbolument hors de question, je ne fais qu’évoquer l’idée, mais même pas elle ne me passe réellement par la tête, tout simplement du temps supplémentaire pour continuer ce petit jeu. Je suis en train de suivre du regard mes mouvements, mon sexe enfin contre celui de Camila, prenant soin de ne pas encore emprunter le chemin qui s’offre à moi. Je suis en train de faire glisser mon sexe sur le sien, commençant à peine à venir en elle, que déjà je viens en sortir. « Non … Tu veux que j’continue ? … Que j’te prenne ? ... » Je suis en train de jouer de Camila, mais je suis en train de me torturer, il m’est difficile de résister, de continuer sur cette lancée, je suis en train de flancher, continuant mon petit jeu en répétant la manoeuvre une nouvelle fois. A peine suis-je sortis de ma partenaire, que je viens enfin s'insérer en elle, un peu comme un effet de surprise, après le traitement que je viens de lui réserver. « Hmm ... » Voici le premier son qui sort de ma bouche, alors que je suis venu me mordre la lèvre. « Putain .. Que c’est bon ... » Je l’ai dit, j’ai joué d’elle autant qu’il m’a été possible de le faire, mais je me suis torturé en même temps, de sentir mon sexe en elle, d’en découvrir un peu plus profondément l’effet que tout ce manège lui a procuré, ne me donne qu’une envie. Je ne suis pas aussi confortablement en elle, pour m’arrêter en si bon chemin et rester immobile, à peine en elle, à peine ai-je laissé mes pensées s’échapper à hautes voix, que je commence à bouger en elle, que je me retrouve dans des premiers vas et vients qu’elle ne peut que sentir. Mes mains sont sur ses jambes, mes doigts sont sur ses cuisses, que je prend soin de garder écarter, mais avec lesquelles je joue, l’attirant vers moi, lorsque je me retrouve à aller au plus profond d’elle, sous mon regard attentif à cette intrusion, avant qu’il ne remonte pour croiser le sien, avec l’envie d’observer toute la beauté qu’elle peut dégager dans un tel moment.
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