Flèche haut
Flèche basAnton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie !

ANNIVERSAIRES DE MARS
01 : meghan macleod03 : céleste kingstom & lilas martin12 : elvis sokolowicz23 : abbigail nielsen & declan j. archer
LES DIFFÉRENTES ANIMATIONS
défis : à venir
thème avatar : à venir
maj des fiches de liens : à venir
listing des
fiches de liens / persos
fiches de liens dans le besoin
-rps libres
-
Le Deal du moment :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot ...
Voir le deal

 Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie !

Invité
Anonymous
Invité

Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie ! Empty






Invité a posté ce message Mar 7 Aoû 2018 - 12:03 #

Elle activa son portable signe qu'elle s'ennuyait, trouvant le temps long devant son café . Contrairement aux apparences, Emilia n'était pas une fan des réseaux sociaux alors si elle voulait prendre des nouvelles, elle venait directement, à l'ancienne ou appeler la personne. C'était peut-être un peu trop vieux jeu mais cela l'importait. Au moins, c'était avec elle qu'ils construisaient leur souvenir et pas le contraire. Une petite trace sympathique dans la vie de chacun... Elle souffla en levant les yeux au ciel, sa main rabaissa le clapet un peu trop fort et manqua de faire tomber son café. Le starbucks n'était qu'à une vingtaine de mètres du cinéma, elle n'attendait que le top départ. Anton était sûrement déjà en route mais elle aimait jouer des situations et il allait surement en vivre une qu'elle appréciait. Elle prit son téléphone, relisait activement les derniers messages échangés. Elle l'avait clairement saoulé pour qu'il l'accompagne voir au cinéma : « American Nightmare. » Il n'avait pas mis longtemps à céder et c'était ce qui la faisait sourire à cet instant. Depuis qu'elle était adolescente, qu'elle l'avait rencontré au cours d'un épisode assez mouvementé de sa vie, il ne l'avait pas lâché. Un peu intéressé, un peu protecteur, elle ne pouvait pas trop ciblé et cela ne la dérangeait pas au contraire. Dans toutes les situations, il tenait un rôle important et il semblait sur la même longueur d'onde qu'elle. Pourvu que ça dure... Elle fit défiler ensuite de nombreux selfies qu'ils avaient fait, son petit jardin secret, ce qu'elle avait de plus cher. Elle resserra l'emprise qu'elle avait sur l'objet et fit défiler plus vite les images. Trépignant d'impatience de le retrouver, cela faisait bien quelques semaines qu'ils ne s'étaient pas vus, elle lui envoya un message, toujours souriante, et rangea son téléphone. Lorsqu'elle sentit que son téléphone vibrer dans sa poche, elle ne prit pas la peine de le lire. Elle se leva et jeta son gobelet juste avant de sortir. Dans un bref coup d’œil, elle lu le message en pop up. C'était ce qu'elle attendait. Elle accéléra le pas, couru à moitié et avant qu'il ne se retourna, elle lui sauta dessus. Elle le lâcha et lui pointa un index accusateur sur la poitrine : « Qui est-elle et qu'est-ce qu'elle a, que je n'ai pas ? » Une attaque par surprise, une phrase éplorée d'une pauvre fille cocufiée, de faux gémissements larmoyants, tout cela entourée d'un public souhaitant voir un bon film. Son visage se décrispa d'un seul coup dans un sourire moqueur et le prit dans ses bras : « Tu m'as manqué, crétin ! » En se détachant de lui, elle lui donna une tape sur l'épaule.

@Anton Hawkins
Revenir en haut Aller en bas
Mathéis Flores
Mathéis Flores
https://newyorkandchill.forumactif.com/t7851-en-cada-melodia-te- https://newyorkandchill.forumactif.com/t264-vote-de-matheis-flynn-hunter https://newyorkandchill.forumactif.com/t265-carte-de-fidelite-de-matheis-flores
expresso on the go, it's already time to go
expresso on the go, it's already time to go
Date d'emménagement : 08/03/2018
Messages : 2825
Factures payées : 0
Avatar : stefan pollmann.
Crédits : marine la fabuleuse, aka tearsflight. (ava)
Autres comptes : flynn (x. serrano) & hunter (s. carvajal).
Pseudo / prénom : potatoe. (al)
Age : vingt-sept ans.
Date de naissance : douze mai.
Nationalité / origines : américaine et portoricaines pour les deux.
Pays d'origine : Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie ! Flag-for-puerto-rico_1f1f5-1f1f7
A NY depuis : ses huit ans.
Métier / études : vendeur dans un magasin animalier, même si ça n'est qu'une couverture pour cacher son boulot d'escort.
Logement : un petit appart qu'il partage avec l'amour de sa vie : Neva.
Orientation sexuelle : hétéro, il n'a jamais été attirés par les pénis.
Statut civil : célibataire, encore bien trop marqué par la fuite de son ex.

Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie ! Empty






Mathéis Flores a posté ce message Ven 10 Aoû 2018 - 23:28 #

Je soupire en regardant l’heure sur mon portable. Dans quelques minutes, je serais au cinéma, m’étant laissé convaincre par une charmante blondinette qu’un film me ferait du bien. Personnellement, je n’en étais pas sûr, mais j’ai quand même dit oui. Et ce n’est qu’une fois dans les transports en commun que je réalise à quel point j’aurai dû dire non. L’envie de la voir est présente, elle est toujours là et, de surcroît, forte, mais j’aurais préféré passer la soirée dans ma chambre. J’aurai dû lui dire de venir et on aurait regardé un film en étant tranquillement posé dans mon lit. La soirée aurait été bien plus intéressante, mais bon… Le problème avec Emilia, c’est qu’elle me connait bien trop, utilisant d’astuces en tout genre pour me faire flancher et ça marche. Depuis le nombre d’années qu’on se connaît, le nombre de fois où je lui ai refusé un truc doit se compter sur les doigts d’une main. Je ne sais pas si c’est mon côté gentil, protecteur ou juste son corps qui me fait perdre la tête, mais je lui réponds difficilement non. Forcément, elle en profite la demoiselle ! Débarquant tout juste devant le bâtiment où est installé le cinéma, je jette un coup d’œil sur mon portable, scrutant une réponse de mon amie qui ne vient pas. Non, puisqu’évidemment, elle trouve ça plus amusant de me surprendre en me sautant dessus. Même sans me retourner, je sais que c’est elle. Il n’y a qu’elle dans mon entourage pour oser me faire ça -et Jill, mais elle c’est une évidence- sans avoir peur des représailles. Je me tourne pour lui faire face lorsqu’elle me lâche et elle ne me laisse pas en placer une, me pointant du doigt et commençant sa tirade avec un ton accusateur. J’hausse un sourcil avant de prendre la tête d’un mec coupable et de déclarer : « Une paire de gros seins, tu sais, le genre à te faire perdre la tête. Désolé bébé, j’ai pas pu résister. » Et je le sens le regard de la dame au loin qui me traite sûrement de salopard dans sa tête. Ouais je le vois même dans ses yeux lorsque j’ose lui jeter un coup d’œil et qu’elle me foudroie du regard. Je me retiens de rire, je ne prendrais pas le risque de me faire baffer en plus. C’est qu’elles sont capables de tout, les femmes, même de claquer un inconnu qui semble être un goujat. De toute façon, je n’ai pas le temps de me fendre la poire que la jeune femme en face de moi me prend dans ses bras. Ce qu’elle me dit me fait sourire. Elle est mignonne, vraiment trop. Je me recule ensuite et fixe son visage d’un air inquisiteur. « T’es sûre que tu veux voir ce film ? T’auras pas trop peur ? » Que je lui demande, avec un brin de malice dans le regard. « Je te préviens, tu me colles pas si tu flippes. » Je la taquine, évidemment. Il me serait impossible de la repousser si elle venait s’accrocher à moi ou si elle me demandait de la rassurer. Je dois avouer que j’aime bien ça en plus, avoir l’impression d’être indispensable à sa vie, parce qu’elle, elle l’est à la mienne. Passant un bras autour de ses épaules, je l’emmène avec moi jusqu’au guichet et paye nos deux places, tel le gentleman que je suis. Puis, alors qu’on attend tranquillement notre tour pour prendre du pop-corn, je dépose un baiser sur le haut de son crâne, murmurant : « Et toi aussi, tu m’as manqué, crétine. »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie ! Empty






Invité a posté ce message Ven 28 Sep 2018 - 12:08 #

Elle n’était plus vraiment la même qu’elle était autrefois. Elle s’était assagie par la force des choses et surtout parce qu’elle se sentait beaucoup mieux dans sa peau. Elle se surprenait chaque jour de n’avoir rien à se reprocher, plus aucun vol, très peu de mensonge et relativement toujours la même. Cela n’avait aucune conséquence sur son train de vie et pour cause, elle n’avait coupé les ponts avec personne. Bien au contraire, elle s’était même rapprochée de beaucoup d’entre eux sans réelles exception. Une chose était sûr, elle était riche d’un quotidien positif et cela la mettait toujours d’excellente humeur. A l’instar des peines de coeur qu’elle collectionnait depuis un petit moment, elle essayait toujours de voir la vie du bon côté pour mieux rebondir. C’était pourquoi elle avait pratiquement harcelé son ami, Anton pour aller voir un film. Non pas qu’elle l’attendait depuis longtemps - le film - mais parce qu’elle se sentait toujours bien en sa compagnie. Il était naturel, simple et il avait toujours ce petit côté protecteur qu’elle aimait beaucoup. Même si parfois il pouvait se montrer plutôt grognon pour la suivre durant ces nombreuses escapades, il répondait toujours présent dans la mesure du possible. Comédienne de renom, elle joua la jeune femme éplorée face à un petit ami infidèle et comme il était tout autant joueur qu’elle, elle lui répondit : “Tu vois, je le savais !” Elle se cacha le visage, mimant des sanglots dans les bras de son “homme” puis se redressa comme si de rien n’était. Elle ne fit même pas attention au regard désabusé des passants qui ne comprenaient rien à ce qui se passait : “Mais oui tu verras, c’est un peu comme ta chambre… En mieux ranger tu verras !” le taquina t-elle en l’embarquant avec elle : “Pourquoi crois-tu que j’ai demandé à un biscoto comme toi de m’accompagner…? Faut bien que je puisse m’accrocher à quelque chose quand même. Ah et je suis passée à la manucure…” Elle aimait beaucoup trop les films à sensations fortes alors pour lui faire peur, il fallait s’accrocher. Evidemment, si quelqu’un survenait de nul part en lui criant derrière les oreilles, elle risquait de hurler et de décamper sur le champs mais autrement, elle savait se tenir. Cela étant dit, Anton avait toujours eu ce besoin de se sentir utile dans la vie d’Emilia. Cette protection qui lui témoignait lui donnait toujours envie d’être un peu plus fragile que d’ordinaire. La blondinette ne s’en plaindrait jamais puisqu'elle en avait besoin. Dans le mouvement, il enroula un bras autour des épaules de la jeune femme et elle ressentit une chaleur rassurante l’envahir. C’était ce qu’elle voulait ressentir tout le temps mais jusqu’à présent, il n’y en avait qu’un qui pouvait le lui donner. Après avoir pris leur ticket, ils se dirigèrent vers les popcorns ainsi que les boissons. La réflexion d’Anton lui tira un sourire : “Tu sais que j’aimerai beaucoup que l’on se voit plus souvent mais avec mes cours et le boulot, c’est un peu tendu…” Comment dériver un sujet sensible sur son manque de temps. Elle préférait rejeter tout ça sur ses activités scolaires et professionnelles plutôt que ces mauvais garçons pour qui elle craquait tout le temps. "Et toi raconte ?" demanda t-elle plus sérieusement alors qu'ils allèrent s'asseoir dans le coin salon en en attendant le début de la séance. 

@Anton Hawkins
Revenir en haut Aller en bas
Mathéis Flores
Mathéis Flores
https://newyorkandchill.forumactif.com/t7851-en-cada-melodia-te- https://newyorkandchill.forumactif.com/t264-vote-de-matheis-flynn-hunter https://newyorkandchill.forumactif.com/t265-carte-de-fidelite-de-matheis-flores
expresso on the go, it's already time to go
expresso on the go, it's already time to go
Date d'emménagement : 08/03/2018
Messages : 2825
Factures payées : 0
Avatar : stefan pollmann.
Crédits : marine la fabuleuse, aka tearsflight. (ava)
Autres comptes : flynn (x. serrano) & hunter (s. carvajal).
Pseudo / prénom : potatoe. (al)
Age : vingt-sept ans.
Date de naissance : douze mai.
Nationalité / origines : américaine et portoricaines pour les deux.
Pays d'origine : Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie ! Flag-for-puerto-rico_1f1f5-1f1f7
A NY depuis : ses huit ans.
Métier / études : vendeur dans un magasin animalier, même si ça n'est qu'une couverture pour cacher son boulot d'escort.
Logement : un petit appart qu'il partage avec l'amour de sa vie : Neva.
Orientation sexuelle : hétéro, il n'a jamais été attirés par les pénis.
Statut civil : célibataire, encore bien trop marqué par la fuite de son ex.

Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie ! Empty






Mathéis Flores a posté ce message Dim 14 Oct 2018 - 21:54 #

Notre petite scène improvisée et digne des plus grandes tragédies romantiques ne passe pas inaperçue. Elle a même un franc succès, à en juger par le nombre de personnes qui nous regarde. Se cachant le visage, Emilia fait mine de pleurer et je la prends dans mes bras, comme pour l’apaiser. Enfin, c’est ce qu’ils pensent tous ici. « Je m’excuse, je te promets de me faire pardonner ce soir dans la chambre. » Dis-je de ce ton coquin qu’elle ne connaît que trop bien. Du coin de l’œil, je vois ô combien certaines femmes semblent outrées que je veuille racheter ma tromperie de type sexuel par… Du sexe, justement. Alors que du côté des hommes, certains me font des signes approbateurs, me faisant légèrement glousser. Si seulement ils savaient… La demoiselle, qui juste que là était encore dans mes bras, se redresse pour se foutre de l’état de ma chambre et j’ouvre la bouche, affichant clairement un air outré. « Eh oh, ma chambre est super bien rangée d’abord ! » Je secoue la tête de gauche à droite, laissant une petite moue boudeuse prendre place sur mon visage. Les caleçons qui traînent et tout ça, ce n’est pas du tout mon genre, elle dit que des conneries cette fille. J’aimerais bien pouvoir lui bouder plus de deux secondes, mais je n’y parviens pas. De base, c’est déjà une chose très dure, mais là, vu ce qu’elle vient de me dire avec sa manucure, c’est carrément impossible. « Tu sais, j’aime bien les griffures que tu me laisses parfois dans le dos, mais seulement sur le plan sexuel. Si tu peux éviter de me marquer le bras pendant le film, ça m’arrangerait. » J’arque un sourcil, un sourire complètement taquin déformant mes lèvres. Disons que lorsque la douleur est jointe au plaisir, c’est largement plus appréciable que quand ça ne l’est pas. Hors, devant un film d’horreur, je ne vois pas quel genre de plaisir on peut trouver. Arrivant au guichet, je paye nos places, puis on se dirige vers les confiseries pour prendre les éléments indispensables : le pop-corn et les boissons. Tandis qu’on attend notre tour, je lui avoue qu’elle m’a manqué elle aussi. Il est vrai qu’il y a un moment qu’on n’a pas passé du temps ensemble et j’en ressens le manque. Elle me fait part de son manque de temps, chose que je peux totalement comprendre, mais encore une fois, je décide de me la jouer taquin en lui déclarant : « Avoue plutôt que tu fréquentes un mec et tu préfères plus me voir en fait, c’est ça ? » De la pure taquinerie. Bien que j’adore les moments qu’on passe ensemble, j’aimerais réellement qu’elle se trouve quelqu’un. Un mec -ou une fille- qui l’aimera comme elle le mérite, parce qu’elle a le droit à sa part de bonheur cette fille, elle est bien trop formidable pour ne pas y avoir accès. Nos achats faits, on va s’installer dans le coin salon pour attendre et elle me questionne. « Rien de spécial de mon côté. Les bébés pingouins, les colocataires, les soirées, les transports en commun… Toujours la même routine quoi. » Ma vie n’est pas très passionnante, il faut le dire. « Il faudrait que je vienne à ton boulot un jour, histoire de voir si tu sais vraiment faire de bons cockails. » Que j’ajoute ensuite avec un air espiègle. Je ne doute pas qu’ils soient bons, mais j’aime bien trop la faire chier pour l’avouer à voix haute, ni aussi facilement. Les portes de la salle s’ouvrent alors pour nous permettre d’y accéder et on se lèvre pour y entrer. Rapidement, on trouve nos places et on s’y installe. « Au fait, ça raconte quoi ? » Que je finis par demander à Emilia, parce que ouais, ce n’est pas trop mon genre de films alors je ne lis pas forcément le synopsis.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie ! Empty






Invité a posté ce message Mar 23 Oct 2018 - 12:14 #

Emilia regarda son amie avec amusement, elle ne savait plus si elle devait rire ou continuer la comédie quand il lui répondit : “Je m’excuse, je te promets de me faire pardonner ce soir dans la chambre” Elle le pointa de l’index : “Oui, tu as plutôt intérêt !” mi figue, mi raisin. Elle aimait beaucoup jouer avec lui, il prenait toujours la perche au vol, elle s’y amusait beaucoup et n’hésitait pas à en remettre une couche. Et puis de toute façon, c’était que lui. Ils embarquèrent dans le cinéma pour où ils échangèrent de petites banalités qui n’appartenaient qu’à eux et rougissait lorsqu’il lui embrassa le sommet du crâne. Cet étrange relation était remplie de surprises, de moments sucrés et salés tout à la fois : “Tu sais, j’aime bien les griffures que tu me laisses parfois dans le dos mais, seulement sur le plan sexuel. Si tu peux éviter de me marquer le bras pendant le film, ça m’arrangerait.” Elle ria de bon coeur tout en restant aussi proche que le jeune homme le lui permettait : “Je me tiendrais tranquille, promis seulement si tu me promets de rester avec moi ce soir !” soumettait t-elle comme idée juste avant d’arriver au guichet. Il paya les places et tandis qu’ils attendaient pour passer à la caisse des confiseries, ils échangeaient les dernières nouvelles. Sincèrement, elle regrettait de ne pas le voir plus souvent, d’où son insistance pour le voir. Ce film, elle avait déjà vu les deux premiers donc elle savait à quoi s’attendre mais au moins, c’était une bonne excuse. “Avoue plutôt que tu fréquentes un mec et tu préfères plus me voir en fait, c’est ça ?” Un rire, plutôt amer, s’échappa de la gorge de la jeune fille, ce qui changea légèrement la tension bon enfant de l’instant : “Si seulement... il n’y a vraiment que toi qui me supporte d’après moi.” Même s’il l’avait dit sur un ton taquin. Néanmoins, la conversation se stoppa quelques minutes, le temps qu’ils commandaient et qu’elle réglait les popcorn et boissons à son tour. En s’installant pour attendre son leur tour, elle le questionna parce qu’elle ne pouvait tout simplement pas s’en empêcher : “Rien de spécial de mon côté. Les bébés pingouins, les colocataires, les soirées, les transports en commun… Toujours la même routine quoi.” Elle laissa l’information passer et répondit : “Les bébés pingouins… Un jour j’aimerai bien venir avec toi une journée pour voir comment ça se passe..” Elle souriait parce que ce n’était pas la première fois qu’elle avait cette idée là : “Oui, je sais. Je le dis mais je ne le fais pas… Il n’empêche que ça doit être super quand même !” Elle ne savait pas comment son entourage réagissait par rapport à son métier mais clairement, elle l’enviait par-dessus tout. En retour, Anton lui fit un autre projet : “Il faudrait que je vienne à ton boulot un jour, histoire de voir si tu sais vraiment faire de bons cocktails.” Les portes de la salle s’étaient ouvertes et ils se levèrent d’un même mouvement : “Je suis devenue maître de shaker, n’oublie pas. Bon après, si tu viens, tu risques de te sentir un peu seul entourée par des femmes qui aiment les femmes….!” lâcha t-elle, sur le même temps qu’il avait employé : “Au fait, ça raconte quoi ?” Ils montaient tous les deux les marches qui les séparaient d’un employé qui déchirait les tickets en deux pour leur permettre d’acceder à la salle : "Je pourrai vraiment t’emmener voir n’importe quoi !” objecta t-elle et elle remercia ce dernier qui leur indiqua le chemin jusqu’à leur salle : “En fait, c’est une trilogie.” Elle se tourna vers lui, tout en tirant sur la paille de sa boisson. Après ça, elle continua : “Rassure toi, tu n’as pas besoin d’avoir vu les deux premiers pour comprendre. Cela concerne tout le pays, après avoir réalisé que les prisons étaient surpeuplées et que le taux de criminalité en tout genre ne faisait qu’augmenter, le gouvernement à autoriser une sorte de journée spéciale où pendant douze heures, tu as le droit de tout faire : voler, buter, battre, réduire en cendre. En fait, tu as le droit de tout faire.” Elle plongea son petit nez dans les pop corn pour en prendre un petit alors qu’ils arrivaient enfin dans la salle : “C’est vrai que ça fait flipper mais au fond, ça défoule un petit peu. Qui n’a pas rêvé d’assassiner son patron ou un ex qui a profité de toi, par exemple.” Elle orienta le jeune homme jusqu’à une banquette double où ils installèrent leur boisson dans le rangement approprié et leur boîte à popcorn à leur pied pour se mettre à l’aise : “Et toi alors.” le ton qu’elle employait, signifiait qu’elle changeait radicalement de sujet : “Tu as quelqu’un dans ta vie ?” demanda t-elle, tout le regardant.
@Anton Hawkins
Revenir en haut Aller en bas
Mathéis Flores
Mathéis Flores
https://newyorkandchill.forumactif.com/t7851-en-cada-melodia-te- https://newyorkandchill.forumactif.com/t264-vote-de-matheis-flynn-hunter https://newyorkandchill.forumactif.com/t265-carte-de-fidelite-de-matheis-flores
expresso on the go, it's already time to go
expresso on the go, it's already time to go
Date d'emménagement : 08/03/2018
Messages : 2825
Factures payées : 0
Avatar : stefan pollmann.
Crédits : marine la fabuleuse, aka tearsflight. (ava)
Autres comptes : flynn (x. serrano) & hunter (s. carvajal).
Pseudo / prénom : potatoe. (al)
Age : vingt-sept ans.
Date de naissance : douze mai.
Nationalité / origines : américaine et portoricaines pour les deux.
Pays d'origine : Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie ! Flag-for-puerto-rico_1f1f5-1f1f7
A NY depuis : ses huit ans.
Métier / études : vendeur dans un magasin animalier, même si ça n'est qu'une couverture pour cacher son boulot d'escort.
Logement : un petit appart qu'il partage avec l'amour de sa vie : Neva.
Orientation sexuelle : hétéro, il n'a jamais été attirés par les pénis.
Statut civil : célibataire, encore bien trop marqué par la fuite de son ex.

Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie ! Empty






Mathéis Flores a posté ce message Dim 4 Nov 2018 - 22:43 #

« Tu peux compter sur moi. » Que je déclare avec le plus grand sérieux du monde, bien qu’un peu amusé au fond par la tournure de cette conversation. Je ne déçois jamais à ce niveau-là, c’est connu, elle devrait le savoir à force. Marchant vers le cinéma, notre discussion repart sur une touche de sexualité lorsque j’évoque les griffures qu’elle me procure lors de nos ébats, la faisant rire. Ce qu’elle me réplique me fait sourire, elle n’en manque pas une la demoiselle. « Rester avec toi ce soir ? Je pense que c’est faisable, mais seulement si t’es gentille. » Je la taquine, une fois encore, aimant bien trop ça pour m’arrêter, ne serait-ce qu'une seconde. Il est évident que je vais rester avec elle ce soir, je n’ai pas de meilleur plan et, même si j’en avais un, j’aurai été capable de l’annuler. Elle a quelque chose que les autres n’ont pas : l’affection immense et inexplicable que je lui porte. On prend nos places, puis tout en avançant dans la file pour les confiseries, je l’embête une fois de plus en insinuant qu’elle a quelqu’un dans sa vie, chose qui expliquerait pourquoi on se voit moins souvent. Sauf que sa réponse est bien moins enjouée qu’elle l’est depuis le début de cette soirée et je décide de détendre l’atmosphère en déclarant : « En même temps, t’es invivable comme meuf. » Nouvelle taquinerie visant à la faire rire un peu, mais craignant que ça ne soit pas le cas, j’ajoute assez rapidement : « Je plaisante, tu finiras par trouver quelqu’un, t’es trop bien pour finir ta vie seule. » Je le pense, elle ne finira pas sa vie seule cette fille. Sinon, c’est que la vie est mal foutue et les hommes sont tous bêtes -moi y compris-. On paye nos achats et on va s’installer dans un coin pour patienter jusqu’à l’ouverture de la salle, discutant toujours autant. On a du temps à rattraper, mine de rien, et on se parle des choses qui se produisent dans nos vies. Emilia projette de venir me voir pour rencontrer mes bébés pingouins et je souris avec fierté, comme un vrai papa poule. « Tu viens quand tu veux, ça me ferait plaisir de te les présenter tous. Tu verras, ils sont charmants, encore plus que leur papa humain. » Soit, moi. La preuve est que l’attention est toujours focalisée sur eux et non sur moi… Normal, en même temps. À mon tour, je déclare que je viendrais la voir à son boulot et ce qu’elle me rétorque me fait rire. Elle me connaît bien trop, moi et mon amour des femmes, mon péché mignon. « Oh tu sais, je repartirais avec la plus belle femme du bar après, donc c’est pas dérangeant. » Je lui lance un clin d’œil, parlant bien évidemment d’elle. Je désire réellement voir son lieu de travail, connaître un peu plus son univers comme tout bon ami, et peu importe si ça doit être une nuit sans conquête. Tant que je passe un moment avec elle, ça me convient, je signe de suite. La questionnant sur le film, sa première réplique me fait tirer la langue. En même temps, elle abuse à utiliser ses yeux de cockers battus pour me faire céder à chaque fois. Elle m’explique le principe du film pendant qu'on se rend à nos places et je l’écoute attentivement, sa dernière réflexion me faisant doucement sourire. « J’avoue que ça serait bien de pouvoir tuer certaines personnes sans être arrêté. » Comme mon ex, par exemple, elle ne mériterait que ça après la pire des trahisons qu’elle m’a faite. La question de mon amie qui suit ensuite me surprend légèrement. Si j’ai quelqu’un… Je pense qu’elle se doute que ça n’est pas le cas, parce que c’est moi et que je n’ai aucunement l’intention de m’accrocher à une femme à présent. Pas après celle d’Haïti, elle m’a trop marquée, tellement que je n’ai jamais pu ressentir plus qu’une forte amitié et attirance pour Emilia. Pourtant, elle a tout pour donner envie de lui offrir de l’amour et notre couple me plaisait à l’époque, mais peut-être pas assez pour une relation durable. « Y a plein de femmes dans mon lit. » Que je réponds alors, préférant mettre directement les points sur les i. Une femme dans ma vie ? Ça ne risque pas -plus- d’arriver de sitôt, j’ai été trop pris pour un con dans ma relation la plus longue pour me lancer à nouveau dans une histoire avec une femme. Je préfère les avoir seulement dans mon lit, ou être dans leur lit, mais rien de plus. Elles n’iront jamais plus loin, aucune. Du moins, je ferais toujours en sorte que ça n’aille jamais plus loin que la relation charnelle. Et en parlant de ça, mes pensées dévient sur un sujet qui me trotte dans la tête depuis un moment, alors je lui demande : « Dis, c'était ta première fois ? » Je tourne la tête vers elle, ne ressentant pas le besoin d'ajouter plus. Sa première fois quand on l'a fait ensemble pour la première fois il y a quelques années.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie ! Empty






Invité a posté ce message Jeu 8 Nov 2018 - 19:03 #

Il était certain qu’Emilia pouvait compter sur Anton, il était surement le seul homme sur qui elle pouvait trouver un réconfort. Il ne la décevait jamais et pour cause, il avait accepté de venir passer le temps avec elle, au coeur de ce cinéma au lieu de vaquer à ses propres occupations. Et puis, elle aimait tout autant le taquiner sur tous les fronts, sans aucune exception : “Promis, je le serais.” Elle fit une croix sur sa poitrine comme pour jurer solennellement. Et puis bon, il fallait bien toucher des sujets qui fâchaient la plupart du temps. Emilia n’était pas très chanceuse en amour et il lui arrivait de se demander si elle se provoquait elle-même ce genre de chose en attirant que les mauvais garçons : “En même temps, t’es invivable comme meuf.” Surprise, elle lui tira la langue et le poussa sans grande conviction lorsqu’il revenait sur ses paroles. Elle savait qu’il ne voulait pas la blesser alors elle gardait un sourire franc sur son visage. C’était important, c’était sa marque : “Oh, je finirais pas seule, je serais entourée d’une demi douzaine de chats et je passerais mon temps à militer contre le réchauffement de la planète.” Elle plaisanta en brandissant une pancarte invisible, le visage soudainement sérieux pour bien illustrer ses dire. Après avoir payé nos achats, Emilia et Anton allèrent s’asseoir sur les banquettes aménagés pour aider à les faire patienter. Différents écrans diffusaient des démos de films tout aussi différents et puis, elle reporta son regard sur son ami, l’avisant sur son envie de venir le visiter et voir ses bébés pingouins. Encore un éclat de rire lorsqu’il lui avait répondu : “Tu viens quand tu veux, ça me ferait plaisir de te les présenter tous. Tu verras, ils sont charmants, encore plus que leur papa humain.” Il parlait de lui évidemment mais cette remarque lui avait réellement arraché un éclat de rire : “J’avoue que j’aimerai bien voir ça !” souffla la jeune fille en prenant une gorgée de sa boisson. Et puis la conversation convergea sur elle. Anton se montra particulièrement intéressé pour voir son lieu de travail. Elle n’était pas contre mais il risquait de s’ennuyait ou pire, repartir bredouille  : “Oh tu sais, je repartirais avec la plus belle femme du bar après, donc c’est pas dérangeant.” Emilia prit cette affirmation comme ce qu’elle avait besoin d’entendre depuis très longtemps : “Ce n’est pas faux. Ta patience sera  bien récompensée au final.” Elle pouvait sentir la sincérité dans ses paroles et c’était peut-être en partie parce qu’ils avaient été tous les deux très proches, qu’elle ressentait cette sécurité sans surprise. La question qu’il lui posa par la suite l’avait fait rire de nouveau. Dieu que ça fait du bien! pensa t-elle alors qu’elle commença à lui expliquer le film sans trop en dévoiler. C’était assez particulier comme concept mais autant dire que ça pouvait être sympa d’une certaine façon et il semblait presque autant d’accord avec elle : “J’avoue que ça serait bien de pouvoir tuer certaines personnes sans être arrêté.” “C’est bien ce qui me semblait en fait !” lâcha t-elle avec un petit clin d’oeil complice et n’hésita pas à changer de sujet. Elle pouvait imaginer que son ami ne vivait pas de relation stable, elle ne l’avait jamais vraiment connu en relation durable pourtant, elle trouvait tellement parfait, à son plus grand damn : “Y’a plein de femmes dans mon lit.” Elle acquiesça et ne chercha pas non plus à en savoir plus mais contre toute attente, Anton ré-enchérissait : “Dis, c’était ta première fois ?” Elle tourna la tête vers lui en fronçant les sourcils. Son regard vacilla entre un écran-démo et ses prunelles. Il n’y avait pas besoin de demander un complément d’information. Elle savait de quoi il parlait : “Ehum.” Le coin salon commençait à se remplir, ce qui me surprenait vu les critiques désastreuses sur la suite de cette franchise : “C’est étrange que tu me demandes ça, ça remonte !” Emilia prit un popcorn et resta sérieuse lorsqu’elle rétorqua : “Je ne vois pas en quoi ça peut t’aider mais.. oui !” lâcha t-elle sans aucune gêne. Leur relation remontait et sa première aussi. “Pourquoi ?
@Anton Hawkins
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie ! Empty






Contenu sponsorisé a posté ce message #

Revenir en haut Aller en bas
Anton - La terreur envahit nos coeurs, pff quelle connerie !
Revenir en haut 
 Sujets similaires
-
» Personne ne peut deviner sur quelle face la pièce va tomber, il faut la lancer pour le savoir (Sohan)
» fuck seasickness (anton)
» come a little closer and let me do those things to you (anton)
» (anton) are we losing control, or is it meant to be
» cause every time i see you, i don't wanna behave (anton) -18


Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
NEW YORK AND CHILL :: corbeille : rps-
Sauter vers: