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Invité a posté ce message Jeu 30 Aoû 2018 - 0:49 #


Quand on vit avec sa soeur jumelle, il faut s'attendre à se retrouver face à son meilleur ami en toutes circonstances, qu'il soit votre rival ou votre fantasme. Ce jour là, Julian se reveille comme une fleur malgré une courte nuit, avec un gout sucré dans la gorge, la bouche moite. Il attrappe son telephone pour regarder l'heure, à peine 11 heures. Pas de bruit derrière la porte, il se doute que sa soeur dort encore, elle aussi a été de soirée la veille. Il ignore si elle était rentrée avant ou après, il avait dormi comme un loir alcolisé. D'habitude, elle était un peu plus sage que lui mais en compagnie de son meilleur ami, tout était possible. Julian se leva pour aller prendre un verre d'eau et faire du café. Il ne prend pas la peine de s'habiller, et sort en boxer de sa chambre. Dans la clarté que laisse passé les rideaux, Julian distingue nettement qu'un invité dort sur le canapé. Le regard de Julian se pose sur l'expression sereine et douce du profile barbu, il detail ce bras qui laisse delicatement tomber sa main de pianiste hors du canapé. Il revele son dos finement sculpté. Calmement, il peut voir son ventre se gonfler au rythme d'une respiration profonde. Julian observe la rondeur de ses fesses, appuyé par l'angle de sa cuisse. Son regard voyage le long de ce corps athlétique et viril. A l'abri de tout regard extérieur, Julian se laisse happé par cette charmante image. Comme il le trouve beau ! Desirable à souhait. Il lui ferait oublié la raison pour lequel il s'est rendu dans la pièce principale. Il reste planté un instant à l'admirer, permet à son regard de se nourrir de cette vision. Elle le rend particulièrement vulnérable. Un reveil appréciable de bon matin, son bas-ventre s'en fait témoin. Il ne quitte sa contemplation que lorsqu'il entend Philip grogner comme une ourson qui ne veut pas se lever. Mais plus vite qu'il ne lui donne le temps de réagir, le pianiste cligne des yeux et se reveille. Et merde! Il realise seulement à cet instant qu'il s'est un peu laisser emporté dans le fantasme. Son corps s'est mit d'humeur joyeuse et son boxer forme une legere bosse. "Hey" dit Julian en refermant la porte de sa chambre comme s'il n'avait pas passer plusieurs instants à l'observer avec enchantemment. Il se precipite vers la cuisine, esperant qu'il n'a pas eut le temps d'apercevoir la legere excitation qu'il avait provoqué. Un sentiment de honte s'insinue dans sa tête d'avoir fantasmer sur Philip, comme si c'etait nouveau "T'as dormi ici?" de toute évidence." tu veux un café?" demande t'il en atteignant l'évier avant de se souvenir que le garçon l'évitait et l'ignorait depuis qu'ils s'étaient retrouvé coincé dans l'ascenseur. Un verre d'eau et se calmer. Il devait juste refroidir ses pensées.
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Invité a posté ce message Jeu 30 Aoû 2018 - 20:20 #



La musique, cette douce muse qui l’enivre et le retient prisonnier de son emprise. Elle rythme ses journées et est la seule à pouvoir l’entrainer jusqu’au bout de la nuit, usant toutes ses forces pour savourer cette sensation de plénitude terrestre, renforcé par les effets embaumeurs de l’alcool. Encore une nuit, il l’a passé sur les pistes du club où Mia l’a entrainé pour danser jusqu’au bout de la nuit. La nuit a été parfaite et la fatigue qui l’a cloué sur le matelas du canapé lit de sa meilleure amie est une des meilleures. L’âme apaisée, son insomnie s’est envolée, lui laissant le bonheur non dissimulé de profiter d’un sommeil réparateur. Les heures ont défilé sans crier garde, lui offrant ce moment de relâchement profond. Déconnecté de son esprit obnubilé par ses compositions, il a pu prendre un instant de répit. La présence éventuelle de Julian dans l’appartement ne l’importune même pas malgré l’amertume qu’il possède à son égard. Il lui en veut pour les propos qu’il a tenu à son égard, mais surtout pour le mépris hargneux dont il l’a accablé. Mia a essayé tant bien que mal d’en savoir plus, puisqu’elle a dénoté sa manière d’agir envers son jumeau. Elle n’a rien obtenu de lui, si ce n’est qu’un changement en bonne et due forme de sujet sans lui laisser la possibilité de poser plus de questions. Il n’a pas forcément envie d’en parler. Il n’en voit pas l’intérêt et Julian a été plutôt clair au sujet de son animosité à son égard. Il la respecte et ne veut plus en être victime puisqu’elle l’atteint plus qu’il ne désire l’avouer. Philip ne veut plus forcer les choses et a abandonné cette idée de produire quoi que ce soit en collaboration avec lui. Ils vivent chacun leur vie de leur côté et pas même la rivalité voulue par ses professeures ne lui font changer d’approche. Le soleil qui envahit la pièce vient peu à peu le faire émerger. Les draps recouvrant à peine sa chair presque nue, il s’échappe de ses songes. Ses paupières vives viennent s’ouvrir rapidement pour se poser sur une silhouette toute aussi dénudée, et qui se révèle être une source de plaisir non dissimulable. Il sent la lueur de son regard sombre sur ses courbes. Il y perçoit ce désir que le guitariste dissimule en venant rompre le contact visuel et agir avec nonchalance. Son regard le détaille sans rien dire, glisse sur ce boxer dont il aperçoit une légère excitation reposer contre le tissu en coton. Cela active immédiatement son désir. Sa virilité se tend légèrement sous l’effet que cette idée lui procure, renforcée par la vision de ce corps qui l’attire. Il a toujours trouvé Julian à son gout, alors l’observer en simple boxer, voir ses courbes révéler des muscles aux formes fines ne peuvent qu’attiser son désir. Il ne se gêne pas pour le regard avec cette lueur sombre dans le regard, résolument silencieux alors qu’il vient glisser le drap sur ses reins pour masquer son excitation. Il n’en a pas honte, mais reste tout de même discret à ce sujet. Le comportement amical de son rival le surprend. Il l’observe de ses prunelles sombres, mais curieuses. Il s’est levé du bon pied ? Philip vient se frictionner les cheveux, adopte un comportement nonchalant pour masquer l’envie qui le dévore. « Oui, s’il te plait. » Il économise ses mots alors qu’il vient s’étirer. « T’as l’air d’être de bonne humeur. » Il ajoute sans aucune espièglerie dans la voix. Il révèle un fait. Sans doute que Julian a tiré son coup hier soir et se sent plus détendu. Peut-être que sa sale humeur vient du fait que les femmes avec qui il baise ne sont pas assez satisfaisantes. Enfin sauf celle d’hier soir, il faut croire. « On est rentré à six heures. Je n’avais pas le courage de rentrer. » Il déclare en venant se lever pour le rejoindre dans la cuisine. « Passé une bonne nuit ? » Il ajoute en se rapprochant de lui alors qu’il attrape une tasse au-dessus de lui. Son regard ne le quitte pas, désirant s’abreuver de ce corps qui ne lui donne absolument pas envie d’être sage. Des idées malsaines envahissent son esprit, mais il n’en laisse rien apparaitre. Du moins en apparence.
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Invité a posté ce message Jeu 30 Aoû 2018 - 23:46 #

Il s'était fait surprendre par le reveil de Philip. Julian il s'arrangeait toujours pour cacher cette vulnerabilité que le garçon reveille aux creux de ses reins. Il s'en veux de s'être laisser emporter, de s'être laisser attirer par l'image agréable du pianiste. Normalement il garde ses fantasmes pour la solitude de sa chambre. Seulement le trouver là si innocent endormie, sa nudité dévoilée, avait touché une corde très affutée au reveil après avoir vraiment dormi. Intérieurement, il se detestait, reprimandait ce desir qui s'eveillait sans qu'il comprenne pourquoi ce type avait autant de pouvoir sur son corps. Comme il le detestait, ce type sexy et stupide. Sa priorité était qu'il ne le voit pas, qu'il ne s'apercoivent de rien, surtout pas qu'il pouvait lui faire de l'effet. Il l'entendait déjà venir avec ses remarques s'il notait cette bosse sous son boxer. -Julian s'était assuré que celui-ci soit bien conscient de son antipathie qu'il lui portait, il y était parvenu au point d'avoir enfin l'ignorance qu'il avait souhaiter. Peut être que ca avait même trop bien marché. Mais ce desir qu'il possedait, c'était une honte, l'idée que Philip le découvre lui glacait le sang et il se doutait qu'il ne lui ferait pas de cadeau. Il s'agite, s'affaire vers la cuisine pour s'oter du regard du garçon comme pour se defaire de cette petite tache. Il boit un verre d'eau, sa main se crispe sur celui-ci à la question de Philip. Il cache bien l’espièglerie dans sa voix, mais Julian le prend comme tel. Il lance la machine à café en serrant les dents sans répondre à sa remarque. Aurait il oublié pourquoi il voulait qu'il se taise et lui foute la paix? " si tu rentrais pas ici, t'aurais peut-être les moyens de rentrer chez toi!" soupire t'il en hochant la tête, sans doute plus pour lui que pour le jeune homme. Bon y'avais des chance pour que Mia l'ai fait revenir ici car il avait trop bu. Puis il s'en fichait. "Parce que ca t'interesse?" demande t'il abruptement en regagnant son attitude qu'il lui réserve d'ordinaire. Il regarde le café couler quand il sent le corps de Philip s'imposer à ses côté. Il ne le touche pas mais il sent sa chaleur, son parfum, voit sa main passer à ses coté pour prendre une tasse au dessus de sa tête. Julian se paralyse, un frôlement le fait frisonner au niveau de ses hanches. Il ne bouge pas même s'il a envie de fuir, ou peut être désire t'il juste respirer encore son parfum. "T'aurais pu demander!" grogne t'il alors que le beau brun baisse la main! Il voulait pas l'avoir aussi proche, il se sentait fébrile quand il était si proche et il avait besoin d'espace pour retrouver sa force et son bon sens. "Je m'en occupe c'est bon! " dit il pour se débarrasser de lui en prenant deux tasse au dessus de lui.Il était rester bien dos à lui, toujours face au plan de travail. Toujours sans se retourner vers lui, il se pencha pour prendre le sucre, de la pâte à pancakes en bouteille dans le placard du dessous. Son boxer ne laise guêre de mystère, il doit juste respirer et penser à autre chose. Il a besoin de s'occuper l'esprit avec autre chose et preparer un petit dejeuner parait suffisamment distrayant. Puis il aime bien ça.
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Invité a posté ce message Ven 7 Sep 2018 - 20:34 #



« Franchement, je n’avais plus la force de tenir debout. » Il admet avec cette nonchalance qui lui colle à la peau. Il se veut détacher, imperméable à l’agacement du guitariste qui l’attire comme il l’irrite. A cet instant, il ne veut pas se laisser envahir par la hargne du brun, mais préfère savourer la beauté de ses formes et la bosse formée par cette virilité, qui n’a rien à envier la sienne. Cette réalité l’intrigue, le perturbe, lui donnerait presque envie de tenter le diable pour entrevoir s’il est à l’origine de l’éveil de cette virilité logée dans le boxer de son rival. Il le rejoint dans la cuisine, réduit la distance entre eux sans pour autant envisager d’adopter une posture ambiguë. Il se contente de l’observer du coin de l’œil et si au début Julian semblait adopter un comportement plus neutre, les mauvaises habitudes reprennent et Philip se contente juste de hausser les épaules. Il affiche à son tour une indifférence à la réponse, se rappelant leur conversation passée et cette amertume qui l’habite depuis lors. A quoi s’attendait-il ? Ce mec ne peut pas le saquer et ne veut rien savoir de lui, contrairement à sa sœur jumelle. Il a mis du temps à en avoir la certitude. Pourtant, cela ne l’empêche pas pour autant de saliver sur ses formes de manière discrète. Il attrape une tasse près du musicien, sans le toucher, empiétant à peine dans sa zone de confort. Un geste naturel auquel il ne réfléchit pas vraiment, mais qui vient tendre Julian. Il le sent se paralyser, comme si toute proximité entre eux le tourmentait. Cela perturbe le pianiste qui l’observe sans doute, sans rien dire, le regard sombre et intrigué. Il le sent braqué sur sa tâche, incapable de déposer son regard autre que sur les tasses et la machine à café, comme s’il le fuyait. Est-ce qu’il le désire ? L’idée semble inconcevable, même pour son esprit encore un peu embrumé par les effets de l’alcool. « Pourquoi t’es si tendu ? » Il questionne spontanément dans un murmure au creux de son oreille. Son souffle s’échoue contre le coup du brun dont il demeure particulièrement proche. « Relax, je ne vais pas te sauter dessus. T’as oublié que t’étais pas mon style ? » Le mensonge s’extirpe de ses lèvres comme s’il énonçait la vérité. « Puis j’ai déjà pris mon pied durant cette nuit. » Il hausse les épaules en venant passer à ses côtés pour attraper la cafetière pour se servir un café. Il ne le regarde même pas, frôle juste son bras pour replacer la cafetière à son emplacement alors qu’il vient s’asseoir sur le tabouret situé autour du plan de travail de la cuisine américaine. Il se plonge dans le silence tout en continuant de le percer de son regard pénétrant, comme pour analyser chacune de ses réactions.
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Invité a posté ce message Mar 11 Sep 2018 - 16:33 #

Le corps de ce mec le retourne. Il se déteste d'être aussi sensible à l’érotisme de cet idiot arrogant et il le déteste d'agiter autant de fantasme dans ses tripes. Il a honte de ce pouvoir que ce type possède, de cette manière de le faire rêver si profondément. Il a développé une réelle colère, contre Philip, mais surtout contre lui-même, pour opprimer ces sensations incongrues et inacceptables à double tour dans son subconscient. Celui-ci se rappelait dans ses plaisirs solitaires, s'imposait sans qu'il ne le demande, ne le souhaite même. Il préfère tant le haïr, c'est bien plus simple que d'affronter ce trouble qu'il ressent face à ce prince à maman. Mais ce matin, il s'est fait avoir par cette faiblesse, ce désir qui l'habite pour les courbes viriles de l'autre imbécile qui se trouvait face à lui. Derrière lui en l’occurrence. Sa présence si proche le rend nerveux, il craint qu'il ne remarque cette inexplicable attirance qui gonfle son boxer. Le souffle dans son cou le fait frissonner, sa voix dans son oreille est suave, la voix du diable. Julian souffle profondément. Il le trouble, le perturbe si facilement ce matin.Et ce putain de jeu de mot lui fout les nerfs "Qu'est ce que ca peut te foutre." dit il d'un air entendu sans se retourner mais avec le désir qu'il s'éloigne. Son cœur s'est agité dans sa poitrine, mais il tente de ne pas laisser percer davantage ce trouble qui l'habite à cause de ce type. Il ne se laisse pas atteindre par les paroles de Philip qui lui assure qu'il n'est pas son style. "Je croyais que tout ce qui avait un trou était ton style!" Il répliqua d'une voix morne, presque amusée mais couvrant une certaine susceptibilité. Il tourna les petites crêpes avec irritation. Il n'avouerait pas qu'il pourrait le désirer, que l'idée de serrer son corps contre le sien lui rendait fiévreux et qu'inconsciemment il pourrait être déçu par cette affirmation. Mais était ce la vérité? Julian ne voulait pas connaitre la réponse. "Tant mieux pour toi, Lip. " Il s'en fichait pas vraiment, mais savait très bien le feindre. Puis il n'était pas à plaindre au niveau conquêtes. "Et plutôt que de rester avec ton coup, t'a eu besoin de venir brailler ici.conclut il en jetant un regard par dessus son épaule pour observer le pianiste se servir du café. Il ne voit pas l'excitation, seulement son expression.Julian ne pouvait pas vraiment le juger la dessus, il restait rarement chez ses conquêtes pour prendre le petit déjeuner. Non, il ne préparait pas de douceurs pour d'autre que sa sœur et quelques amis. Le silence s'installe, il pourrait presque l'oublier derriere lui mais c'est cette charmante vue matinale qui s'infiltre dans son esprit. Il sert deux assiettes de pancakes et se verse un café. Il se dirige vers le plus proche tabouret pour s'installer auprès de lui, en souhaitant qu'il n'est pas l'opportunité de noter l'effet qu'il a provoqué. Il n'y a pas vraiment de place sur cette table, il se retrouve proche de lui. Son regard fixe Philip sans sympathie, pourtant il lui offre un delicieux petit déjeuner. Julian a envie de retourner dans sa chambre pour boire son café, mais l'exposition à son regard serait bien trop importante donc il l'ignore en versant le sirop d'erable.
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Invité a posté ce message Dim 16 Sep 2018 - 13:21 #



Il perçoit que Julian est tendu par sa faute. Si le guitariste use d’une attitude détachée, le langage de son corps tient un tout autre message. Les muscles de son dos sont contractés, tout comme ceux de ses mains qui s’affairent à préparer le petit déjeuner. Philip n’est pas dupe, il sent bien que ce n’est pas anodin, qu’il est résolument troublé par un désir qu’il ne parvient pas à dissimuler. Philip en a conscience, il a senti son regard empreint de désir sur lui, tout comme la réaction naturelle qui en découle. Cela ne lui déplait pas, bien au contraire. Philip n’a pas honte d’éprouver du plaisir pour cet homme et si Julian n’avait pas été une attraction indescriptible dès le jour de leur rencontre, sans doute qu’il n’aurait pas hésiter à glisser ses lèvres contre son omoplate pour savourer la texture de sa chair en venant plaquer ses reins contre les siens pour qu’ils puissent satisfaire une ambition naturelle. Une idée qu’il ne s’autorise pas. Au contraire, il use de mots pour tenter d’obtenir des réponses, en vain. Julian est de nouveau sur la défensive, use de cette hargne acerbe à son égard. Alors Philip bat en retraite, nullement désireux de débuter cette journée par une altercation devenue coutumière. Il lui en veut toujours du mépris qu’il lui a craché au visage et n’est pas près de passer l’éponge. « Je ne couche pas avec n’importe qui. Surtout pas avec ceux qui méprisent. Ils ne méritent pas mon attention. » Il lâche, de manière un peu plus brute qui laissent clairement entrevoir cette rancune à son égard. « Tu as de la chance, tu corresponds totalement à ce profil. » Il ajoute alors qu’il vient se servir une tasse de café. Il conclut cet échange par une remarque détachée avant de prendre place à la table après avoir sorti une bouteille de jus de fruits du frigidaire. « Je n’allais pas laisser Mia traîner seule dans les rues à 4h du matin. » Il déclare sobrement. C’est une telle évidence. « Tu serais le premier à me buter s’il lui arrivait quelque chose alors qu’elle est avec moi. Tout comme je te buterai s’il arrivait quelque chose de grave à Olivia alors que vous êtes ensemble. » Il ajoute en venant se servir un verre de jus. « Mais rassure-toi, bientôt, elle aura deux anges gardiens. Peut-être que tu me verras moins souvent par ici ! » Il lâche alors que le guitariste dépose les pancakes sur la table. Cette excitation persiste, il s’en rend compte et cela le perturbe, bien qu’il ne l’affiche pas. Il s’installe non loin de lui, en face, lui jetant ce regard sombre et antipathique en plein visage. « Merci. » Il déclare en venant prendre un pancake qu’il dispose dans une assiette. Il l’agrémente de confiture de fraise avant de la fourrer dans sa bouche. Dans un mouvement pour se mettre plus à l’aise, son genou vient se cogner contre le sien, légèrement, durant quelques secondes avant de rompre de nouveau le contact. Il le sent de nouveau se tendre, dans un message silencieux de muscles qui se contractent. Il ne dit mot, mange silencieusement, sachant parfaitement que toute conversation avec ce mec finit en dispute. Il le déteste, il l’a compris, alors pourquoi il bande devant lui ? C’est quelque chose qui l’échappe.
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Invité a posté ce message Dim 30 Sep 2018 - 21:33 #

Julian s’en veut d’avoir perdu le contrôle, de cette tension qui s’impose face ce mec qui agitait son cœur et ses tripes. Il déteste cette faiblesse qu’il éprouve à l’égard de son rival, cette insidieuse attirance qui ronge son corps et détruit sa raison. Il fallut qe ce soit lui, de toute les personnes sur terre, cet arrogant ennuyant gamin virtuose. Il a couvert sous une carapace de mépris et d’agressivité, ces fantasmes reniés. Plus elle s’effrite plus Julian tartine de haine pour s’aveugler dans celle-ci. Il ne veut pas montrer, et surtout pas voir ce qu’il y a en dessous. Son addiction, son affliction, Julian refuse de permettre à ce type d’acceder à ces profondeurs qu’il posait pourtant dans sa musique. Mais il n’avait d’autre terrains les communiquer et encore moins à Philip. Leur sœur respectives sont leurs amies, voir meilleure amie, ironie du sort ! Mais il ne peut qu’approuver les dire du pianiste à leur sujet. Il ne commente donc pas, il fait étrangement confiance à ce type quand il s’agit de la sécurité de sa jumelle. Philip lui apprend qu’il le verra peut être moins chez lui. Il ne sait pas trop ou il veut en venir mais ca le soulage.« Tant mieux ! T’arriveras peut être à faire jouir tes coups ! Et tout le monde sera bien plus content ! »

L’excitation persiste, contrebalance la hargne qui s’inscrit dans ses paroles. Pourtant il ne l’évite pas vraiment ce matin, il s’installe même à la même table plutôt que de le fuir. Chose qui ‘était sans doute jamais arrivée depuis que Mia l’avait forcée une fois à manger avec eux deux à la Julliard il y avait plusieurs années. Il est sur ses gardes, mais ne coupe pas le contact en rentrant dans sa chambre. Sa présence ne l’ennuie pas autant qu’il le prétend, mais il est bien trop fier pour le lui avouer. Il ne fait pas d’effort de conversation pour autant. Il se sert un pancake et boit son café avec dédain mais en silence. Le haut de son corps garde cette posture défensive, agressive, mais un effleurement paralyse ses membres inferieurs, anime son trouble. Julian vient le défier du regard, soutenant cet océan profond des yeux de Philip dans un comportement peu avenant. Il mangeait et buvait avec précipitation sans doute, comptant sur l’abreuvement pour éteindre le feu masculin. Mia ne tarda pas à les rejoindre dans le salon, amusée et surprise de les trouver ici tout deux. Il faut noter comme cela pouvait être rare que Julian supporte Philip.. Mais ceci eut le mérite de faire revenir Julian sur terre. « Pas pour longtemps .» assure t’il à Mia alors qu’il s’engage à finir son café et de manger pour enfin fuir la scène, fuir Phlip et cette gène qui s’était installée au sein de son boxer.

FIN
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