Le froid ne t’avait pas empêché de sortir faire ton jogging matinal. En fait, rien ne t’empêchait vraiment de faire quoique ce soit dans la vie. Et ton jogging était LA chose la plus importante de ta journée -m’enfin ça et ta douche eh- ! La combinaison qui te sert de pantalon, bien que serrée, ainsi que ton gros chandail et ton pelletons sans manche te gardait bien au chaud. Aujourd’hui pour faire changement, tu avais opté pour un autre itinéraire, histoire de varier ta vision de cette ville qui avait tant de signification pour toi. Ta renaissance, comme si tu étais venu au monde une deuxième fois, il y a 3 ans. Rien ici ne signifiait douleur, tristesse ou peur. Rien ici ne faisait référence à ce que tu avais vécu, vaincu et tu en étais heureux. Tu en avais assez que de vivre avec ces démons en permanence sans en plus avoir des flashs en sortant dans la rue, non? C’était en partie pour ça que tu ne suivais pas le cadre. Marginal jusque dans la moelle, tu refusais de te plier au bon vouloir de la société. Ils allaient à gauche? Tant mieux pour eux, toi tu irais à gauche seulement si TU en avais envie et pas autrement. Sinon tu irais à droite et quand bien même les gens te jugeraient, tu n’en avais que faire. Tu étais toujours du côté d’Elijah, le tien et jamais ailleurs. Ce que ton cœur voulait, tu lui offrais du mieux que tu pouvais. C’était ça ta vie maintenant. Loin des cries et des misères, des chicanes et des dépendances. Quoique tu ne pouvais pas dire que tu n’étais dépendant de rien, le sexe est bel et bien une dépendance et tu maudissais le sang qui coulait dans tes veines pour ça. Tel un mal-aimé laisser à lui-même, impossible de le caresser. Un démon en chair et en os, c’est ainsi que tu t’es toujours considéré et ce même si tu es probablement, l’une des personnes les plus douces de ce monde de déjantés. Une crampe au mollet droit de force à stopper ta course et souffler un peu. Tu reviens lentement dans le moment présent et retire un écouteur. Un son capte ton attention et te force à étirer ton cou pour jeter un œil sur la ruelle à ta droite. Un faible crie fatiguer et étouffé. Tu avances quelques pas vers une boîte mouillée pour y découvrir un petit chiot de 8 ou peut-être 9 livres. Un petit dalmatien que tu juges à peine plus vieux que de quelques semaines. Sa respiration accélérée te fait complétement paniquer et tu prends dans tes bras ce petit être qui n’a pas demandé à être abandonné si lâchement. Tu cours vers la rue et regarde frénétiquement de chaque côté avant de simplement crier « AIDEZ-MOI QUELQU’UN!!!! CE PETIT CHIEN VA MOURIR. » Une boule s’est formée au fond de ta trachée. Être sensible que tu es, tu ne peux concevoir qu’un animal puisse mourir frigorifié parce que des humains, aussi affreux puissent-ils être, n'ont pas voulu de lui « S’IL VOUS PLAÎT, QUELQU’UN JE NE SAIS PAS QUOI FAIRE! » Tu ne savais pas pourquoi tu t’époumonais dans la rue, comme si un vétérinaire apparaitrait comme par magie, mais les yeux remplit de larmes, tu espérais sincèrement lui sauver la vie. Et tu te dis à ce moment-là que s’il survit, tu le garde parce qu’il est comme toi. Pauvre être abandonné à son sort. Et sans que tu le remarque, tu lui as même déjà donné un nom : Djuke. Dans ton cœur, tu avais déjà adopté ce chiot qui est arrivé dans la vie avec les mauvaise cartes dans son jeu.
Mon chien c'mon seul ami so je l'appelle DOG, what's up dog.Elijah&Rosalia;
A great hero teaches an entire city that dancing is the greatest thing there is.
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I am not some starry-eyed waif here to succumb to your... your pelvic sorcery.
Ce n'était pas une journée comme les autres aujourd'hui je fêtais un an à la clinique. Un an déjà que j'avais intégré cette belle équipe. Impatiente de voir mes collègues je me suis vite levé du lit pour faire mon petit sport du matin. Je trouve que c'est important de prendre soin de soit. Bien sûr à peine j'ai mis le pied dehors du lit ma chienne Kayla arrive en courant pour me dire bonjour. Je l'adore ma petite boule de poile. Elle à toujours étais là quand j'ai eu des coups durs. Oui ma petite puce à bientôt dix ans. Le temps passe tellement vite. Quand vous avez des animaux auprès de vous la vie change. Vous pensez toujours à eux avant de penser à vous. Puis quand ils sont malade c'est incroyable comment on peut s'inquiéter. Mon frère me dit souvent que je considère ma Kayla comme ma propre fille, mais qu'il faut que je sache qu'elle partira surement avant moi... Ça me déchire le cœur d'imaginer ma vie sans elle à mes coter... Enfin une fois les câlins finis je me suis dirigé vers mon salon pour commencer ma petite gym du matin. Mon tapis était posé parterre, mais pas moyen de pouvoir faire mes étirements ma chère Kayla avait décidé de m'embêter en ce couchant sur le tapis. Je me suis mise à rire bien sûr "Qu'est-ce qu'il y a tu veux faire du sport avec moi ?" Je me suis baissé vers elle avec un grand sourire et je me suis mise à la caresser. Je ne vais pas l'engueuler pour ça, elle veut seulement montrer qu'elle avait besoin de câlin. C'est aussi grâce à elle que j'ai réussi mon concours pour devenir auxiliaire vétérinaire. Elle m'a donné la force de m'accrocher à mes rêves. Parfois je repense à la première fois où je l'avais dans les bras. Elle était toute petite, maintenant s'est devenue un beau gros bébé. En même temps c'est un labrador donc c'est sûr que j'aurais dû m'inquiéter si elle restait petite. Enfin j'avais compris ce qu'elle voulait... Tous, les matins on allait faire une longue et belle promenade avant que je parte travailler. Je pense qu'aujourd'hui les envies de madame presse un peu. Alors, je me suis donc dirigé vers ma chambre pour m'enfiler mon jogging. J'ai un peu honte des fois de mettre celui-ci, mais je n'ai pas le choix les autres sont au lavage. Vous allez-vous demander pourquoi la honte ? Tout simplement parce qu'il est rose bonbon. On me remarque de loin avec ce jogging. Mais bon je m'en fiche après tout je ne vais pas me mettre ma robe de soirée pour sortir ma chienne. Les gens me trouveraient encore plus bizarre... Le temps était sec et froid dehors. J'ai donc pris une veste, j'ai préparé Kayla et je suis partie de chez moi... On va toujours vers le parc pour que je puisse détacher Kayla qu'elle court un peu. Je préfère qu'elle se défoule dehors qu'en croquant mes affaires, parce qu'elle n'est pas fatiguée et moi je la laisse seule à la maison. Quand on arrive vers le parc un bruit m'a interpellé. Bien sûr j'ai lâché Kayla elle courait elle n'entendait pas... J'ai donc suivi les bruits et aux loin je vois un jeune homme. Il avait l'air tellement paniquer, mais je ne comprenais pas ce qu'il disait. J'ai décidé de me rapprocher de lui et la j'ai vu ce petit dalmatien dans ses bras... J'ai compris que le chiot avait un problème. J'ai rappelé Kayla qui est venue tout de suite vers moi. Je me suis mise alors à courir vers le jeune homme qui demandait de l'aide. "Que ce passe-t-il ? Je peux vous aider !" J'ai attrapé le chiot et j'ai tendu la laisse de Kayla au jeune homme. J'ai retiré ma veste et j'ai enroulé le chiot dans ma veste. Je me suis permis de lui demander "C'est votre chiot ?" Je n'arrivais pas à lâcher mon regard de cette petite créature. Il était complètement frigorifié...
Totalement paniqué, tu vois une jeune femme s’approcher suivit d’un chien. Tes yeux baignent dans le liquide lacrymal, tu es un être trop sensible. Tu lui tends le petit être sans défense et elle l’enroule au chaud. « Euh non, je l’ai trouvé abandonné dans une… Tu tentes te ravaler la boule qui bloque ta trachée boîte dans la ruelle juste là. » que tu dis, pointant du menton ladite ruelle. Tu essuis ton nez, râclant ta gorge « Aidez le, mademoiselle, il va mourir. Tes yeux sont fixés sur l’animal dont le souffle s’estompe graduellement. Les yeux clos, tu en viens même à craindre qu’il ne meure là, dans les bras réconfortant de cette femme. « Mais maintenant c’est le mien, alors s’il vous plaît…sauvée mon chiot » C’était clair qu’au moment où tu l’a pris dans tes bras, ce petit dalmatien t’appartenait. Quand bien même il était à d’autres, il n’a pas pu se rendre dans cette fichu boîte toute seule. « Vous connaissez un véto proche? Il faut faire quelque chose, il ne mérite pas ça. » Les larmes fusent sur tes joues rougit par le froid. Tu plaques tes mains sur tes yeux et inspire fortement avant de reporter ton attention sur Djuke, ton nouveau compagnon. Tu regardes partout complètement paniquer « J’habite trop loin d’ici pour le mettre au chaud, peut-être…peut-être qu’il y a un véto près? » Tu te répétais, tu galérais. Ton portable sonne, tu l’éteins illico et caresse la tête de Djuke « Allez mon bonhomme, tout va bien aller. » que tu dis, beaucoup plus pour toi que pour lui.
Mon chien c'mon seul ami so je l'appelle DOG, what's up dog.Elijah&Rosalia;
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Je sentais la panique du jeune homme. Et je dois dire que le chien était dans un état critique. Il a dû passer toute la nuit dans cette boite. Pauvre bête. Comment peut-on faire pour abandonner une aussi petite créature dehors par ce temps. Ça m'énerve de voir que les gens n'ont aucune limite dans leur cruauté. Enfin je vais essayer de rassurer au mieux le jeune homme. « Ok, il a dû passer la nuit entière dans cette boite ». Je savais que le chiot avait besoin de chaleur et que le seul moyen pour lui de tenir était que je le ramène chez moi. Il devait aussi être affamer. Je lève les yeux vers l'homme qui n'arrêtait pas de pleurer « écoutez ça va aller, vous pouvez me suivre on va aller le mettre au chaud dans mon appartement, le vétérinaire viendra voir le chiot directement chez moi» Je sais que j'ai été un peu direct, mais pas le choix il s'agit de la survit de ce chiot. Je me lève doucement avec le chiot dans les bras et bien sûr Kayla était curieuse alors je me suis penché un peu vers elle pour lui montrer le petit chiot. Elle était tout heureuse. Je me met alors à marcher dans la direction de mon immeuble. « Est-ce que vous voulez le tenir ? » je lui souris, le chiot avait ouvert les yeux. « vous avez raison de l'adopter il peut vous rendre heureux ! » Je souris à nouveau au jeune homme pour essayer de le calmer. « Je suis désolé je ne me suis même pas présenté, je m'appelle Rosalia, je suis auxiliaire vétérinaire. » je montre ma chienne « et elle s'est Kayla » On était arrivé à l'entrée de mon immeuble, j'ai attrapé les clés dans ma poche et j'ai ouvert. J'ai laissé entrer le jeune homme avant moi. Arriver dans l'appartement j'ai pris le chiot pour le déposer dans le panier de ma louloute, il y avait le radiateur pas loin donc il était au chaud. « vous lui avez trouvé un prénom à ce petit bout de choux ? »
Elle avait raison, il avait probablement passé la nuit dehors, peut-être même plus qu’une et un frisson te parcoures l’échine. Tu la suis et elle te tend le chiot que tu prends dans tes bras pendant la route. « J’crois que j’peux le rendre heureux aussi… » que tu dis doucement. « Enchanté Rosalie. Merci d’être venu m’aider. Moi c’est Elijah. » Tes yeux sont fixés sur le petit chiot dans tes bras. Te reporte ton attention sur le labrador et la caresse « Enchanté Kayla, moi c’est Elijah. » Tu t’étais calmé, le petit chiot semblait encore respirer, il semblait uniquement endormis et ça te rassurais beaucoup. Tu entres avant Rosalie, tu penses que vous êtes chez elle « Djuke. J’ai décidé ça tout à l’heure… » Elle avait déjà reprit le petit chien et l’avait déposer dans un panier pour chien. Il avait ouvert les yeux et ça t’avais rassuré énormément « Pardon de vous avoir dérangé dans un sens. Mais merci de m’aider. De l’aider. »
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Je ne savais pas pourquoi, mais c'est vrai que le jeune homme pourrais rendre heureux ce chiot. J'avais comme le sentiment qu'il n'avait rien de méchant au contraire. Enfin je ne le connaissais pas alors je ne voulais pas m'avancer. J'en ai vu pas mal des personnes comme lui quand j'étais au refuge. Ils avaient tous l'air d'aimer les animaux, mais parfois on retrouvait l'animal abandonner dans les parcs. Donc une part de moi ce méfiais quand même. Je devais mener ma petite enquête avant de pouvoir me dire qu'il allait vraiment être heureux. Je souris à sa remarque « je l'espère, j'ai été bénévole dans un refuge et j'en ai vu des choses pas très belle » Rien que de penser à toute cette cruauté j'avais envie de fondre en larmes. Comme toujours quand je dis mon prénom les gens ont tendance à mettre un e à la fin, mais mon prénom c'est avec un a. Je tourne ma tête vers lui en lui disant « ce n'est pas Rosalie, mais Rosalia » je sais que c'est la même chose. « c'est normal, pas la peine de me remercie voyons » Je regarde le petit chiot qui avait l'air bien entourer par ma veste. Le jeune homme se présente alors à ma louloute, qui elle bougeait la queue heureuse de voir qu'elle pourra peut-être se faire un nouvel ami. Il m'annonce le prénom de ce petit bout de choux il avait décidé de l'appeler Djuke. Je trouvais ça vraiment original et j'aimais bien. « Ah super le prénom, j'aime beaucoup et ça lui va super bien » on était tous les deux en train d'admirer le chiot quand soudain Kayla s'est mis près du chiot et a commencé à lui faire la toilette, comme si ce chiot était sont enfant. Mais il n'arrêtait pas de dire des bêtises dis-donc « Mais arrêter vous ne m'avez en aucun cas déranger, je trouve que de porter secours aux gens, aux animaux c'est normal et puis, je n'aime pas voir la cruauté que les gens sont capables de faire à ces pauvres bêtes sans défense » Je me dirige alors vers ma cuisine « est-ce que je peux vous proposer un café ? »
« Pardon, Rosalia. Je suis tellement sous le choc que j’ai mal compris votre prénom. » que tu dis en guise d’excuse vers la jeune femme. Tu souris devant sa chienne qui lape le petit Djuke comme si c’était son bébé. Il s’en sortira, du moins tu l’espères. « C’est vrai que la cruauté dont les gens semblent capable de faire est incroyablement affreuse. » Elle se lève et t’offre du café. Elle est tombée dans le mille, toi et le café c’est une grande histoire d’amour « Volontiers pour le café, mais on peut se tutoyer? » Vous aviez fais connaissance rapidement, vous aviez similairement le même âge, pas besoin de sortir les trompettes. Tu n’es pas le roi d’Angleterre et tu es sûr qu’elle n’est pas la reine d’Australie. Surtout qu’il n’y a pas de reine en Australie, eh! Tu caresses Kayla et Djuke, attendant la venue du vétérinaire. « T’as dit être assistante vétérinaire? Je suis chanceux d’être tombé sur toi dans ce cas! » Toujours entrain de caresser les deux chiens, Kayla vint lécher ta main. Tu n’avais jamais eu d’animaux plus jeune et en vieillissant, tu ne trouvais pas le temps pour t’occuper d’un animal. Cependant, fallait avouer que maintenant tu allais en trouver. Tu étais complétement sous le charme du petit dalmatien et pour toi c’était signe du destin. Autrement, pourquoi tu aurais retiré tes écouteurs exactement au moment où tu t’es arrêté, une crampe au mollet? Pour toi, c’était clair que Djuke allait t’apporter quelque chose et vice-versa. « J’espère ne pas t’avoir mise en retard pour ton boulot? »
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Je regardais les deux chiens, apparemment le chiot allait un peu mieux, mais j'avais quand même demandé à mon collègue vétérinaire de passer. Je voulais être sûr que tout allais bien pour lui et qu'il survivrait. Souvent il attrape des maladies quand ils sont dehors tout seuls. Je l'ai regardé de plus près il m'avait l'air en bonne santé, a par bien sûr le fait qu'il avait passé sûrement la nuit dehors. En voyant le petit chien ça m'a rappelé ce chien errant qu'on avait trouvé près d'une déchetterie quand la neige tombait. C'était horrible de voir que le chien n'arrivait même plus à marcher tellement il était épuisé à cause du froid… Des souvenirs pas très joie je vous l'accords. Enfin il faut que j'arrête de penser… Je ris quand soudain le jeune homme c'est excusé « non mais ça ne fait rien, ne vous en faites pas je comprends parfaitement puis, je dis ça mais c'est la même chose » Je lui lâche un petit clin d'œil je ne veux pas qu'il se sente mal à l'aise d'avoir mis un e à mon prénom. « Elle à l'instinct maternelle ma petite Kayla et je pense que ça va lui faire que du bien à ce petit bout de choux » Je souris en caressant le petit Djuke. Je soupire quand le jeune homme me donne raison sur la cruauté des hommes, mais les mots pour lui répondre ne sont pas venus à part pour la question du tutoiement… « Oui, bien sûr qu'on peut se tutoyer, à vrai dire je voulais te le demander je trouve bizarre qu'on se vouvoie, alors qu'on a quasiment le même âge » J'étais dans ma cuisine en train de préparer le café. Quand le café fini de couler j'ai servi une tasse et je l'ai tendu au jeune homme. « Oui, je n'ai pas toutes les capacités qu'un vétérinaire peut avoir, mais je sais déjà que ton petit homme va s'en sortir » Je lâche un large sourire au jeune. De pouvoir dire ce genre de choses à un homme qui vient de sauver la vie d'un chien ça me rend heureuse. J'avais oublié de proposer du sucre, du coup j'ai cherché la boite et je l'ai mis sur la table basse. Je pense qu'il allait se servir si jamais il en voulais. Là, il me pose la question pour mon boulot. C'est vrai que j'étais censé aller bosser, mais mon patron m'a donné congé aujourd'hui à cause du petit chiot. Du coup je suis resté chez moi. « ah non mon patron m'a laissé congé aujourd'hui ne t'en fais pas » je lui lance un petit sourire en regardant les deux chiens « j'ai toujours d'avoir un animal de compagnie pour moi et Kayla met tomber dessus quand je ne l'attendais pas. » Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. Honnêtement moi et les conversations ce n'est pas mon fort. « je suis désolé ce n'est pas trop mon fort de lancer des discutions, puis il faut dire que je n'ai pas l'habitude»
