Say, boy, let's not talk too much, grab on my waist and put that body on me
« Iain. Ravi de te rencontrer, Cassie » C’est une rencontre surprise, le genre qui vous tombe dessus sans que vous vous y attendiez. Certains sont fâcheuse, d’autres sont plaisantes. Et quelque chose me dit que ce soir, elle sera plus qu’agréable. « Ah oui ? » finit-il en saisissant la perche pour que je lui envoie. Quelques secondes plus tard, nos lèvres se rejoignent dans un baiser. J’ai l’impression que le poids sur mes épaules ces derniers jours s’estompent instantanément. Je me sens désirée et vivante. Après s’être détachée à cause de l’ascenseur, je reste bouche bée devant cet appartement. J’ai toujours vécu dans une petite maison modeste, puis dans un appartement tout aussi modeste. Son salon devait faire la taille de mon appartement. Mains du jeune homme posée sur ses hanches, il embrasse la source de mon épaule alors que je penche la tête dans un long soupire. «Le verre te tente toujours ou on passe directement aux choses plus sérieuses ? » Je laisse ses mains parcourir mon corps, descendre jusqu’à l’ourlet de ma robe, et venir toucher ma peau déjà vibrante. « J’ai déjà trop bu » avouais-je instantanément alors que je me retourne pour venir regarder ses yeux qui brillent. Mes lèvres s’étirent dans un sourire, mes mains caressent son corps, et s’arrête sur les boutons de chemises qu’elles commencent à défaire un à un. « Les choses les plus sérieuses me semble plus attractives de toute manière. » Ses mains, elles, remontent pour caresser mon cul, et mon dos avant de m’aider à faire tomber sa chemise. Je me mets sur la pointe des pieds pour capturer ses lèvres une nouvelle fois. Elles sont sucrées par l’alcool. Douce comme celle de…Je chasse l’image de Wyatt m’embrassant aussi fort que je peux, en le poussant vers le canapé. De mes mains, je le fais asseoir avant de retrousser doucement ma robe jusqu’à la naissance de mes hanches et vient me mettre à califourchon sur lui. « Toi aussi… » Demandais-je avant de venir jouer avec ses lèvres sans pour autant les toucher. « Tu bandais autant quand je dansais ? » Je sens sa bosse dans son pantalon entre mes cuisses. C’est tout aussi excitant que de l’imaginer me regarder sans que je n’en ai conscience. Mon bassin commence doucement à s’agiter alors qu’il remonte ma robe bien plus haut. Mes bras se lèvent pour l’enlever définitivement. Il me détaille une seconde du regard : je porte un petit ensemble de lingerie noir en dentelle. Mes collants ne sont que des bas qui viennent soutenir mes cuisses. Il sourit, satisfait de ce qu’il semble voir. « C’est ce que t’imaginais ? » demandais-je en caressant son buste nu.
La vue, il sait qu’il ne s’y habituera jamais. New York a trop de merveilles à montrer tous les soirs pour qu’il puisse s’y faire. Et c’est tellement différent de Los Angeles ou même de son pays natal pour qu’il se lasse un jour. Seulement, ce soir c’est une autre vue qui l’intéresse. Celle de Cassie très précisément. Goûter sa peau après avoir eu le droit à ses lèvres, c’est ce qu’il a en tête et s’il profite de ce qu’il a déjà à sa disposition, Iain a déjà envie de plus. De bien plus. Lui demander si elle tient toujours à boire un verre – même soft – ce n’est que par politesse, lui a envie de passer directement à l’autre occupation de la soirée. « J’ai déjà trop bu » Les mains de la jeune femme sur son torse, ses doigts glissent vers les boutons de sa chemise qu’ils défont. Et lui, il réagit déjà. « Parfait. » Prend-il le temps de répondre dans un souffle alors que ses propres doigts continuent de caresser sa peau sous sa robe. « Les choses les plus sérieuses me semble plus attractives de toute manière. » Elles continuent de monter, caressant chaque partie de son corps avant de se détacher d’elle pour laisser tomber sa chemise par terre. Malgré la disparition du vêtement, le pompier a de plus en plus chaud, son désir pour Cassie ne faisant que grandir encore et encore. Leurs lèvres se retrouvant, il recule jusqu’au canapé, sourit en la voyant remonter sa robe pour venir s’asseoir sur lui. Une vision qui suffit à lui donner envie d’en voir plus. « Toi aussi… Tu bandais autant quand je dansais ? » Une main glissée sous son menton, il la force à venir vers lui pour l’embrasser malgré son léger gémissement en sentant le bassin de la jeune femme bouger sur lui. « Ça se pourrait, mais bien moins que ça ne va être le cas bientôt. » Parce qu’il compte la débarrasser de sa robe et profiter pour la regarder en détail. Ainsi, il aura d’autant plus envie d’elle et son pantalon sera vraiment de trop. « C’est ce que t’imaginais ? » Lui demande-t-elle une fois son vêtement ôté et alors qu’il peut regarder sa peau blanche mise en valeur par ses sous-vêtements et ses bas. « Bien mieux. » Il admet les yeux levés vers son visage. Ses doigts viennent caresser un sein qu’il sort pour venir l’embrasser et jouer avec de sa langue. La sentir réagir, ça l’excite plus encore et de son autre main il va décrocher son soutien-gorge dont il la débarrasse afin de pouvoir s’occuper de son autre sein qui reçoit le même traitement. Une main toujours libre, elle descend sous sa culotte, jusqu’à son intimité qu’il caresse volontairement avec lenteur alors que ses lèvres et sa langue continuent de s’occuper de sa poitrine.
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Invité a posté ce message Mer 19 Déc 2018 - 21:25#
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Sentir le désir d’Iain était comme un baume au cœur dont j’avais extrêmement besoin. Je fonctionnais comme ça : après une rupture difficile, je fonçais droit dans les bras d’un homme. Combattre le mal avec le mal, non ? Cela dit, je ne connaissais pas cet homme. Juste quelques détails, pas plus. Il devait être plus vieux, beaucoup plus vieux, mais je m’en fichais royalement. « Ça se pourrait, mais bien moins que ça ne va être le cas bientôt. » me répondit-il lorsque je lui demandais s’il bandait comme dans le bar. Je l’imaginais avec tous les autres me reluquant avec intensité. Si les autres, ça me dégoutait, lui non. Son regard puissant sur moi, il confirma rapidement que la vision qu’il avait sous les yeux était bien mieux que celle qu’il avait imaginée. Je laisse ses mains, sortir l’un de mes seins de mon soutien-gorge, et déglutine en sentant sa bouche s’y déposer. Mon sous-vêtement ne tient quelques minutes de plus sur moi, avant qu’il ne le fasse tomber sans une once de remord. Il s’attaque à l’autre, qui me fit frissonner littéralement. Mes mains vinrent se perdre dans sa tignasse blonde le temps d’un instant, alors que sa main libre descend tout droit vers mon intimité. Mon cœur manque un battement lorsqu’elle glisse sous ma culotte et vient de déposer pile où je suis sensible. « Bordel… » Soufflais-je les yeux littéralement fermés, par ses caresses sur tous les fronts. On resta quelques secondes comme ça, lui s’acharnant avec sa langue et sa main, moi appréciant chacun de ses gestes. Ma respiration devient plus intense, plus saccadée. C’est beaucoup trop bon pour qu’il s’arrête maintenant, mais sa langue s’acharne, et je sais exactement où j’la veux. « Ta langue…je la veux… » Il mord l’un de mes tétons ce qui m’empêche de finir ma phrase. Rapidement, il nous bascule sur le côté. Sa bouche attrape la mienne dans un baiser incontrôlé. Il finit par s’écarter légèrement, je mords sa lèvre inférieure. Il redescend, sa main toujours sur mon clitoris. Lorsqu’il enlève définitivement ma culotte, je suis littéralement trempée. Il embrasse ma cuisse, mord à un endroit, avant de venir lécher ce que je souhaitais depuis le début. Ça me vaut un long gémissement, mon corps se cambrant pour lui donner un peu plus accès. Obstinée, elle ne manque aucun mouvement, alors que son doigt en guise d’accompagnement me pénètre sans prévenir. J’ai beau me sentir bien, envahie par ce désir et cette envie que j’aime tant, je n’arrive pas à enlever le visage de Wyatt. Comme des assauts, prêt à me rappeler pourquoi je suis ici. La douleur se mêle au plaisir. Ça fait mal. C’est bon. C’est étrange. Et alors que je suffoque face à l’agression d’Iain, je ne peux empêcher mon esprit de penser à un autre.
Il y a quelques façons dont il aime terminer une journée. S’envoyer en l’air en fait clairement partie. Instable de ce côté-là, Iain ne cherche pas à l’être. Il profite autant qu’il le peut, sachant que l’envie qu’il provoque chez les femmes peut disparaître avec le temps. Se poser est une option qu’il ne considère même pas. Pour avoir donné une fois et avoir vu où ça l’a mené, très peu pour lui. La seule bonne chose qui ressort de son mariage désastreux ce sont ses enfants. Enfants auxquels il préfère ne pas penser dans des moments pareils. Il n’y a rien de pire lorsqu’il est sur le point de coucher avec une femme qu’avoir le visage de ses enfants en tête. Non, Iain se concentre sur Cassie et uniquement sur elle. Ses lèvres et sa langue jouent sur ses seins, laissant quelques marques lorsqu’il suçote sa peau un peu trop fort. Sa main prend plaisir à en donner à la jeune femme, appréciant également de sentir à quel point elle peut le désirer. « Bordel… » L’Ecossais sourit contre sa peau, intensifie un peu les mouvements de sa main et continu de découvrir la poitrine de Cassie. « Ta langue… je la veux… » S’il lui coupe involontairement la parole, il a très bien compris ce qu’elle veut. Basculés sur le canapé, lui au-dessus d’elle, il l’embrasse rapidement, grogne lorsqu’elle mord sa lèvre puis part s’occuper de la séparer de son dernier sous-vêtement. Le pompier en profite pour retirer sa chemise et ouvrir un peu son pantalon afin de se sentir moins à l’étroit. Puis, il repart s’occuper de la jeune femme. Ses lèvres atteignent son intimité et elle réagit immédiatement. Sa langue experte s’occupe de titiller son clitoris. L’un de ses doigts la pénètre, lui procure autant de plaisir que possible. Attentif à ses soupires, il les utilise comme indicateur pour lui promulguer exactement ce qui la fait réagir. Et il continu avec plaisir. Il continu jusqu’à la sentir céder sous lui, jusqu’à l’entendre crier son plaisir, jusqu’à ce que son corps se détende. La peau de son ventre embrassée, il remonte vers son cou, sa mâchoire et enfin ses lèvres qu’il embrasse avec passion. D’une main, il fouille dans la poche de son pantalon, sort son portefeuille qu’il lance sur la table basse à côté. Habilement, toujours d’une main, il descend à la fois son caleçon et son pantalon sans cesser de l’embrasser. Son érection plus dure que jamais, il meurt d’envie de la sentir l’entourer. Sa langue joue avec celle de Cassie. Ses mains se posent sur ses hanches et il la redresse, l’assois sur lui. « Je t’imaginais me chevaucher lorsque tu dansais. » Avoue-t-il en l’embrassant dans le cou. Une main dans son dos, il se penche, Cassie contre lui, attrape son portefeuille et en sort le préservatif qu’il tend à la brune. « Et je rêve de tes mains sur mon membre là, tout de suite. »
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Invité a posté ce message Sam 22 Déc 2018 - 18:07#
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Je gigote sous sa langue insistante, ses bras puissants me bloquant mon bassin pour que je m’empêcher de vraiment bouger. Il est insistant, j’adore ça. C’est comme si sa bouche me dévorait tout entière, léchant me mordant parfois, portant une certaine pression avant de la relâcher. C’était si bon qu’il ne me tarda pas à me faire jouir. Je cris son nom, le souffle littéralement coupée, mes jambes se refermant sur son torse nu qu’il remonte vers moi. Il m’embrasse avec passion, me bloquant encore ma respiration. Lorsqu’il relâche mes lèvres, j’ai la tête qui tourne, la vision qui revient doucement. Putain. C’est tout aussi bon qu’avec Wyatt. Je chasse cette pensée aussitôt. Il se relève doucement, mes mains l’aidant à repousser son pantalon et son caleçon. Ce mec a vraiment tout pour lui, visiblement. Je veux dire, un corps parfait et…putain qu’il est bien monté. Il me ramène vers lui, ses mains puissantes me soulève et je sursaute lorsqu’il m’emporte avec lui, me faisant s’asseoir sur lui. « Je t’imaginais me chevaucher lorsque tu dansais. » Son regard puissant, il enfouie sa tête dans mon cou, et je me sens emportée en arrière alors qu’il saisit son portefeuille et un préservatif.« Et je rêve de tes mains sur mon membre là, tout de suite. » Je souris malicieusement en saisissant la protection. Mon regard planté dans le sien, je laisse mes dents arrachées l’emballage, avant de laisser mon regard guidé mes mains qui saisissent son membre dur et bien dressé. Je le caresse doucement dans quelques va-et-vient qu’il regarde en gémissant, et finit par mettre le préservatif doucement avec une légère pression. Une fois mis, je relève doucement mes fesses pour me rapprocher plus de lui, ma bouche l’embrassant à nouveau. Une de mes mains se calent entre nous, et me guide à m’empiler sur lui. Je me glisse doucement, nos deux corps se tendant en même temps, chacun gémissant. Je la sens au plus profond de moi. Elle est énorme. Mais cette sensation est agréable. J’ondule alors doucement, venant embrasser sa mâchoire et mordre son lob d’oreille. Ses mains, elles viennent caresser mon dos et mes fesses. « Tu m’imaginais onduler sur ta queue comme ça ?! » soufflais-je mes mouvements lents et profonds pour nous donner plus de temps d’atteindre le plaisir. Il acquiesce doucement, son étreinte se refermant plus sur lui. « J’ai eu envie de toi à la seconde où j’ai senti ton torse si musclé » Référence à quand il m’a rattrapé dans les escaliers. Un homme comme ça, c’est difficile de ne pas le désirer. Ses mains agrippent mes hanches, changent un peu la vitesse. Il veut que j’accélère. Très bien. Je me mets à bouger un peu plus, rejetant la tête en arrière. Sa bouche saisit un de mes tétons qu’il mord. Mes mains se calent sur son genou, lui offrant tout mon corps. Une de ses mains libre se glisse entre nous et vient caresser mon clitoris. « Oh oui….c’est… » Parfait. Je prends littéralement mon pied, regardant par-dessus mon épaule cette grande baie vitrée dont les immeubles éclairés trahissent la présence d’autrui. Il me ramène à lui, et à ses bras musclés qui se calent autour de moi, je sais qu’il n’arrive plus à être passif. Non, il me soulève, et vient me redéposer allongé. Il soulève une de mes jambes et la passe sur son épaule pour augmenter mon ouverture. Heureusement que je suis souple. Sa queue s’enfonce de nouveau en moi, plus profond, et je ne peux m’empêcher de crier : « Putain ! »
Parvenir à la faire céder comme il vient de le faire, c’est jubilatoire. Réussir à la rendre si sensible qu’elle lâche prise très rapidement, c’est très flatteur et l’entendre crier son prénom … ça lui donne envie de plus. De tellement plus. Dans son pantalon, il se sent plus que jamais à l’étroit. Son érection, elle aimerait se trouver ailleurs, bien au chaud entre les cuisses de la brune qu’il ramène contre lui avant de saisir un préservatif. A l’endroit où il en a toujours un pour être aussi prudent que possible. Et là, Iain n’a pas la moindre envie de se séparer d’elle pour aller chercher ceux dans sa chambre. Il la désire avec une telle intensité qu’il veut s’unir à elle maintenant, sur son canapé. Il veut la sentir sur lui, aller en elle, la voir et l’entendre prendre du plaisir comme elle vient de le faire mais plus intensément. Le préservatif entre les doigts de Cassie, il passe sa langue sur ses lèvres pour les humidifier tandis qu’il la regarde caresser son membre. Un gémissement glisse entre ses lèvres et déjà, il s’imagine le plaisir intense qu’il ressentira une fois enfoncé en elle. Ce qui s’échappe de sa bouche une fois leur corps unis, c’est un grognement primal. Elle l’enserre tellement bien que ses mains agrippent ses hanches pour lui éviter de jouir immédiatement. « Tu m’imaginais onduler sur ta queue comme ça ?! », « C’est bien meilleur. » Admet-il en la serrant contre lui, appréciant les mouvements lents et profonds qu’elle exécute le long de son entrejambe. « J’ai eu envie de toi à la seconde où j’ai senti ton torse si musclé » Une chance qu’ils n’aient pas trop patienté pour venir chez lui dans ce cas. Quoi qu’attiser leur envie aurait pu rendre tout ça bien meilleur encore. Ses doigts enserrent un peu plus ses hanches. Tête en arrière, ses paupières se ferment quelques secondes. Iain a besoin qu’elle accélère, de sentir les frottements entre leur sexe s’intensifier. Revenant à elle, il s’occupe de sa poitrine bien trop délicieuse, glisse sa main entre eux pour venir titiller son point sensible et provoquer plus de plaisir chez Cassie. « Oh oui….c’est… » Tellement bon. Oui, il est d’accord et veut lui en donner plus encore. L’allongeant sur le canapé, une jambe sur son épaule, il revient en elle brutalement et grogne de plaisir. « Putain ! » Ses coups de reins plus rapides et plus secs ne la ménagent pas. L’Écossais gémit de plus en plus fort. Dans la pièce résonne les claquements de ses hanches contre les fesses de la brune. Visage niché dans son cou, il ne s’arrête pas, sent le plaisir monter en flèche. « Je vais jouir, Cassie. » Il l’avertit, allant caresser à nouveau son clitoris pour qu’elle le rejoigne avant qu’il ne cède.
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« C’est bien meilleur » Ca suffit à enflammer le reste de mon corps alors que mon bassin se défoule contre lui. C’est libérateur de se sentir autant désirée après un rejet comme j’avais pu expérimenter. Ce n’était pas lui…mais lâcher prise et éviter de faire quelque chose de censé était plus appréciable que de ruminer dans mon appartement seul. Non, c’était bien mieux d’expulser toute cette rage, cette détresse et ce manque empilé sur la queue d’Iain. Nettement meilleur lorsqu’il inverse les rôles et se retrouve au-dessus, me pilonnant de toute ses forces. Ces coups à lui sont plus brutaux plus sauvage, et j’adore ça. J’adore tellement que mon orgasmes se fait vite atteindre. « Je vais jouir, Cassie » Sa voix est rauque. Elle est au bord du précipice, et sa main elle, revient à l’assaut chatouillant l’un de mes points sensibles. Ça me suffit à perdre pied pile où je le sens se durcir définitivement en moi. Mon corps se resserre contre lui de toutes ses forces, mes ongles s’enfoncent dans sa chair, et mes lèvres viennent expulser le peu d’air que j’avais dans un cri profond. Le voir perdre pied en même temps que moi est encore plus satisfaisant qu’un bel orgasme. Tête plongé dans mon cou, il mord une partie de mon épaule, en guise de satisfaction. Le temps s’écoule quelques secondes comme ça, sans qu’on ose bouger l’un comme l’autre - seul ma jambe était redescendu pour me soulager. Sans doute parce qu’encore en moi, je perçois ce moment de calme et de bien-être. Mes lèvres se déposent sur son épaule, avant qu’il ne vienne les prendre à l’assaut de nouveau. « Je viens de réaliser un de mes fantasmes » dis-je en souriant caressant son visage et ses belles boucles blondes. « Coucher avec un beau pompier » Le fantasme de beaucoup de filles, je dois avouer. Mais pour le coup, il était aussi beau que bon. Une rencontre inattendue pour une soirée peu ordinaire. Mon ventre gargouille assez fort pour qu’on puisse tous les deux entendre et en rire. « Ça m’a ouvert l’appétit… » L’alcool surement. Ou peut-être un peu le sexe. Je caresse son dos transpirant avant de tomber sur ses fesses. « …cela dit, je ne serai pas contre de recommencer juste après. »
C’est typiquement ce genre de soirée qu’Iain aime. En dehors de celles avec ses enfants, bien évidemment. Ces soirs où il ne rentre pas seul mais bel et bien en bonne compagnie. Ces soirs où il ne laisse que le plaisir parler pour lui et rien d’autre. Ces soirs où il oublie tout, le temps de quelques heures. Parfois même jusqu’au prénom de la jeune femme avec qui il a passé la nuit. Cassie, l’Écossais doute sincèrement de l’oublier. Elle ou son prénom. Elle lui a tapé dans l’œil à l’instant où il l’a vu danser sur le comptoir au bar. Elle l’a séduite dès qu’elle est tombée – littéralement – dans ses bras et plus encore lors des quelques minutes les séparant de son penthouse. Forcément, la jeune femme le séduit d’autant plus maintenant qu’il peut profiter de son corps à sa guise. Et il ne se fait pas prier le blond. Ses lèvres, sa peau, il goûte à tout, s’en délecte autant que possible. Jusqu’à perdre totalement le contrôle de son corps. Son désir prend le dessus et il perd pied. Il se perd également en elle, ses coups de reins de plus en plus brutaux. Ses grognements plus audibles que jamais, Iain est à deux doigts de se perdre totalement, de craquer dans ce morceau de latex qui les protège tous les deux. La sentir céder quelques secondes avant lui suffit à le faire craquer. Il se tend, mord l’épaule de Cassie sans se contrôler et atteint l’orgasme. Son gémissement étouffé, il serre fermement la hanche de la brune tandis qu’elle enfonce ses ongles dans la peau de son dos. De longues secondes de plus, c’est ce qu’il faut au pompier pour reprendre ses esprits et relâcher la jeune femme quand bien même reste-t-il au-dessus et en elle. Les lèvres de Cassie sur son épaule, il les embrasse dans un doux baiser, plus satisfait que jamais. « Je viens de réaliser un de mes fantasmes. Coucher avec un beau pompier » Un rire lui échappe, son pouce allant caresser les lèvres de l’Américaine sous lui. « Je suis toujours ravi d’être utile. » Affirme-t-il. Si en plus de ça il peut prendre son pied, comment refuser ? Autant dire qu’il vient de le prendre et que l’idée de recommencer quelques fois dans la nuit ne le dérangerait absolument pas. Hormis que, pour le moment, l’estomac de la jeune femme émet un tel bruit qu’il ne peut pas ignorer sa faim. « Ça m’a ouvert l’appétit… cela dit, je ne serai pas contre de recommencer juste après. » Iain rit de plus bel et apprécie de sentir ses mains sur ses fesses. Un rapide baiser posé sur ses lèvres, il se redresse, attirant la jeune femme par la même occasion. « On va commencer par faire plaisir à cet estomac. » Délicatement, il se retire puis se sépare du préservatif qu’il noue avant de quitter le canapé pour aller le jeter dans la cuisine qui donne sur le grand salon. « Ensuite, on éliminera tout le reste de la nuit. » Sourire en coin, il n’est pas difficile pour Iain d’imaginer ce qu’il pourra lui faire une fois leur estomac rempli. Mais pour l’instant le principal reste de la nourrir, le reste … il en profitera plus tard.
