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Invité a posté ce message Mar 28 Jan 2020 - 9:36 #

vingt-et-une heures. vous n’êtes plus que deux dans les locaux. toi et ton patron. juste toi et lui. ça arrive très souvent. presque tous les jours. quand il est dans son bureau il y est à deux cents pour cent et il en exige autant de toi. leeo est un acharné du travail qui ne croit pas aux passe-droits, ni à une quelconque forme de privilège. ça t'avais plu. beaucoup plu même. tu boucles ton travail de la journée aux heures de bureau requises même parfois en avance. mais tu trouves toujours d'autres choses à faire. donc tu finis relativement tard. tu boucles ton travail assez tard toute la semaine. excepté le samedi, parce que ce jour-là il a régulièrement des rendez-vous d'affaires. alors tu fais comme lui. tous les autres employés ont quitté l’entreprise approximativement vingt bonnes minutes après la fermeture. ton frère est parti il y a une bonne heure. leeo a les yeux rivés entre son écran d'ordinateur puis son téléphone et toi, tu es en train de terminer l’organisation d'un déplacement à bali. déplacement qui se déroulera dans un peu plus d'un mois. oui à peine c'est long et court à la fois. tu ne comptes jamais tes heures. lui, c'est pareil. quand tu pars, il est encore dans son bureau. tu sais qu'il est dans son bureau deux heures au minimum avant l'ouverture. un bosseur. un vrai de vrai. tu travailles pour lui depuis tes seize ans. il t'a donné ta chance. alors que tu n'avais aucunes expérience dans ce milieu. tu as commencé à voyager avec lui quand tu as eu dix-huit ans. quand tu es devenue son assistance de direction pour être plus précise. tu n'avais voyagé auparavant. le seul vol long courrier que tu avais fait se résumait à un aller simple byron bay - new york. au début c'était uniquement lors de voyages d’affaires à quelques heures de new york. avec ton frère en général. depuis quelques mois, il t'emmène aussi lors des voyages long-courriers. il t'a déjà proposé avant de partir avec lui sur des long-courriers, mais tu avais toujours refusé. question d'argent. tu ne concevais pas de ne pas te pouvoir payer le billet d'avion en question. même si techniquement ça ne représentait pas vraiment une dépense. ça te gênait vraiment de ne pas être en mesure de payer uniquement le billet d'avion. si aujourd'hui, tu acceptais, tu persistais à vouloir payer quelque chose. le plus souvent, tu payais ta chambre et quelques repas à l'extérieur. tu avais ta fierté. fierté, mal placée certes, mais fierté quand même. c'était ça où tu ne partais pas du tout et leeo le savait pertinemment. il t’interpelle alors que tu es en train de rassembler tes affaires. « ana ? » tu tournes la tête vers lui. signe que tu l'écoutes. « est-ce que tu pourrais me faire une synthèse des comptes-rendus de la réunion de ce matin? » il te demande. « j’en ai besoin pour demain matin ça ira pour toi ? » il ajoute. tu comprends qu’il ne peut pas faire autrement. il n'était pas présent à cette réunion. il sait qu'il est tard et c’est bien la première fois qu’il te donne du travail à effectuer alors que tu es sur le point de partir. il est assez conciliant. tu es très bien tombée. tu ne profites évidemment pas de son indulgence. parce que tu n'es pas ce genre d'employée. de toute façon tu doutes qu'il se laisse faire. il a assez de caractère pour ne pas se laisser faire. il est assez jeune, il ne doit même pas avoir dix ans de plus que toi. mais il a déjà fait tellement plus que toi en créant son entreprise. tu hoches la tête de haut en bas. tu détournes le regard et tu continues de rassembler tes affaires. tu ranges toutes tes affaires dans ton sac avant de lui dire au revoir et de rentrer chez toi. une fois rentrée, tu mets tes lunettes. tu gardes les yeux fixés sur l’écran pendant deux bonnes heures une fois terminé, tu lui envoies le fichier en pdf sur sa boite mail. t'attends sa réponse. tu l’imprimes. tu glisses les papier dans ton sac. vous convenez par sms d'un rendez-vous à minuit passé quelques heures plus tard. tu tombes dans les bras de morphée. le lendemain, tu le rejoins devant le bâtiment de l’entreprise. vous entrez dans son bureau. moderne, mais aussi classique. avec son bureau en chêne massif. dimanche. il est sept heures. à une heure aussi matinale. vous n’êtes que tous les deux.. tu sors les feuilles et tu poses délicatement l'exemplaire sur le bureau. « voilà. » il prend les feuilles entre ses mains. il ne bouge pas d'un poil. il te regarde silencieusement. tu as l’impression d’avoir les jambes faites de coton. il jette un coup d’œil rapide aux feuilles avant de reporter son regard sur toi. « merci beaucoup, c’est parfait comme d’habitude. » tu n’aimes pas être complimentée de la sorte. tu fais juste ton travail. leeo n'a pas le compliment facile. tu vois que ses manches sont remontées jusqu’à ses coudes. tu remarques le fameux tatouage. ce tatouage. son tatouage. vraiment imposant le long de son avant-bras. le prénom de sa femme en calligraphie arabe. tu deviens livide. « il faut que j’y aille ... il faut que je repasse à l'appartement ... pour chercher mes affaires. » tu bafouilles. bravo ana. très convaincante. tu recules. tu prends la direction de la porte. tu poses ta main sur la poignée. malheureusement pour toi. il t’interpelle avant que tu n'ai le temps de l'abaisser. « ana ? » tu enlèves ta main de la poignée. tu mordilles ta lèvre inférieure nerveusement. tu ne te sens pas à ton aise. pas du tout à ton aise. vous n'êtes que tous les deux. tu sens que ce n'est pas une bonne idée. que ça peut vite dégénérer. « oui ? » il est un condensé de séduction à lui tout seul. tu essayes de retrouver tes esprits. il faut que tu retrouves tes esprits et rapidement si possible. « est-ce que tu fais quelque chose ce soir ? » c’est désolant de voir à quel point il arrive à te troubler en prononçant seulement une phrase. après tout ce n'est pas comme si il allait t'inviter à sortir. « euh... non... enfin... » tu n’es même pas parvenue à aligner deux mots à la suite. tu tousses comme si ça pouvait t’aider à retrouver tes esprits. « juste des courses, le frigo est presque vide et c’est à mon tour, mais à part ça c’est tout. » il n’avait pas besoin de connaitre dans le détail. un simple non aurait suffit. mais toi tu es comme ça. tu dois toujours te justifier. il se lève et se rapproche de toi. tu t’efforces de garder la tête froide. tu as du mal parce que tu es si proche de lui que tu tu as le nez empli d’un parfum enveloppant et épicé. odeur puissante. odeur déstabilisante. il pose sa main sur ton épaule. sa main a continué sa course sur ton bras. elle repose désormais sur ton poignet, là où ta peau nue entre directement au contact de la sienne. frôlement fugace, mais qui te laisse tout de même une trace incandescente. il retire sa main. la porte s’ouvre brutalement et s’heurte contre ton dos. tu sursautes. une femme brune entre dans le bureau. perchée sur des talons aiguilles de dix centimètres. tu sais qui elle est. tu connais son identité. elle passe devant toi. sans t’adresser le moindre regard et sans t’adresser un seul mot. tu es un vrai fantôme. ça ne change pas. malheureusement. tu en as l’habitude. tu travailles depuis trois ans pour son mari. mais elle a toujours agis comme ça. comme si tu n’existais pas. tu fronces le nez. tu lèves les yeux au ciel. la mine dégoutée. tu ne peux pas t’en empêcher. tu n’essayes même pas d’être discrète. de toute façon, ils ne font pas attention à toi. tu détestes cette femme. tu la détestes en toute objectivité. mais c’est sa femme. alors même si tu n’existes pas dans son petit monde bien à elle où seuls les gens riches ou ayant un métier décisionnaire existent. tu dois faire bonne figure. tu soupires. en général, tu essaies de ne pas être jalouse. tu sais très bien que c’est toxique. tu n’écoutes même pas ce qu’elle dit. Il la regarde silencieusement. elle lui demande sa carte bancaire et elle l’embrasse. tu le fixes sans dire un mot. tu ne dis rien, mais tu n'en penses pas moins. tu quittes la salle. tu es vexée. tu es furieuse. tu es surtout blessée. tu ne l’admettras jamais à voix haute. toi tu as quelqu’un dans ta vie depuis longtemps. lui la fréquente depuis longtemps également. vraiment très longtemps d’après ton frère. tu le retrouves un peu plus tard. tu prends soin de ne pas le regarder, de faire comme s’il n’était pas là. enfin tu essayes au maximum. ce n'est absolument pas facile. parce que tu travailles pour lui. parce que son bureau est presque collé au sien. il rentre d'un rendez-vous d'affaire. il s’arrête devant toi. « je suis désolé. tu sais pour ce matin. pour ma femme. une prochaine fois ? » tu lèves les yeux de l’écran pour le regarder avant lui avant de lui répondre. tu espères avoir mal compris ce qu'il a dit. tu hésites même à lui demander de répéter. tu secoues la tête de droite à gauche. « non... non ça n’arrivera pas. » il sourit légèrement et puis s’éloigne. tu le vois rentrer dans son bureau. tu pries. tu sais très bien tout comme lui que tu auras du mal à tenir la promesse que tu lui as faite. que tu céderas un jour ou l’autre. tu es fichue. une grosse dispute avec sam. une longue relation de sept ans qui touchait à sa fin. communication rompue. il t’avait dit pourtant qu’il ne s’imaginait pas venir vivre à new york, ni dans quelques mois. ni l’année prochaine. ni dans deux ans. tu as compris que jamais il ne viendra habiter à new york, mais tu pensais bêtement qu’il allait changer d’avis. et cela même si c'est toujours toi qui te déplaçait. il ne voulait pas venir, mais il voulait que toi tu reviennes. il voulait que toi tu reviennes vivre en australie. égoïstement il le souhaitait. égoïstement parce que tu ne pouvais pas laisser tes parents. tu as besoin d’eux. comme eux ont besoin de toi. ton frère jumeau est parti faire ses études en angleterre et ton autre frère est parti terminer ses études en france. tu es l’une des seule qui est restée auprès d'eux. la seule fille qui plus est. tu ne veux pas les laisser, mais ça, il ne comprend pas et surtout tu ne pouvais pas te permettre de quitter ce boulot parce que c’est risquer de mettre en porte-à-faux l’entreprise. alors tu lui a posé un ultimatum et lui aussi. tu t’es mise en colère. oui. tu t’es mise en colère parce qu'il t'imposait presque de les laisser seuls et ce n’était pas possible pour toi.t'es sortie de tes pensées par la voix de leeo qui te demande de venir. « j'arrive. » tu te lèves et tu le rejoins dans son bureau.
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Invité a posté ce message Lun 3 Fév 2020 - 9:48 #

You're Right
i would have come for you. and if i couldn't walk, i'd crawl to you, and no matter how broken we were, we'd fight our way out together-knives drawn, pistols blazing. because that's what we do. we never stop fighting. @six of crows
Hier soir 22 heures, j'étais encore dans mon bureau en train de travail, oui je sais je travaille tard, très tard, mais c'est comme ça que j'avance dans mes projets. Mon assistante Ana était là aussi, je savais, car elle n'était pas venue me dire au revoir. Elle le fait généralement quand elle s'en va avant moi. La journée a été longue, des réunions, pleins de réunion, c'est bien d'être chef d'une entreprise, mais les réunions c'est barbant. J'avais reçu un mail, je devais avoir un compte rendu de la réunion de ce matin à laquelle je n'avais pas pu assister, c'est alors que je vois qu'Ana s'en va. "Ana ?" J'attends qu'elle me regarde avant de lui demander. "Est-ce que tu pourrais me faire une synthèse des comptes-rendus de la réunion de ce matin? J’en ai besoin pour demain matin ça ira pour toi ? " Elle est adorable Ana, je sais qu'elle me fera ce petit travail en plus sans dire quoi que ce soit.

Le lendemain matin, il était 7 h, j'étais déjà dans mon bureau à travailler, je ne dors pas beaucoup la nuit c'est vrai, et puis je passe le plus de temps possible au travail qu'a la maison, pour pas croiser ma femme. Ana m'apporte son travail, je souris, elle est efficace, j'aime vraiment ça. Je jette un œil rapide au document qu'elle vient de me donner, je relève la tête vers Ana. "Merci beaucoup, c’est parfait comme d’habitude." Ana n'avait pas l'air bien tout d'un coup, tu la vois partir vers la porte. "Ana? Est-ce que tu fais quelque chose ce soir ?" J'ai sa réponse, elle va faire des courses, passionnant comme soirée. Je décide de me lever de ma chaise et de m'approcher d'elle. Une fois en face d'elle, je pose ma main sur son épaule, ma main parcourt son bras, puis sur son poignet, je retire ma main, puis je vois la porte s'ouvrir, ma femme. Il est tôt, que fait t-elle ici ? Elle t'embrasse, puis te demande ta carte bleue. Je soupire, je ne comprends pas, elle préfère dépenser mon argent, je lui donne et elle s'en va. Ana était parti sous mes yeux, je ne pouvais pas la retenir. La matinée se passe, je rentre d'un rendez-vous avec un client, cela c'est bien passé, je passe devant le bureau d'Ana. Je lui dois des excuses, le comportement de ma femme n'est pas possible. "Je suis désolé. Tu sais pour ce matin, pour ma femme. Une prochaine fois ?" Je souris et je m'éloigne, je vais dans mon bureau, je peaufine d'autre rendez-vous, d'autre réunion. Mon associé vient dans mon bureau, me donner de nouvelle idée, ses idées sont top, il faudra en parler lors d'une réunion de travail. Tous les employées sont parties il y a bien longtemps, tous sauf Ana. Elle était ailleurs ses derniers temps, il fallait que tu lui parle. "Ana ?" Je la vois arriver dans mon bureau, elle ferme la porte. J'étais assis sur mon fauteuil en face de mon bureau, je lui indique de s'installer en face du mien et puis moi je me dirige de l'autre côté du bureau, je me pose sur mon bureau, elle était en face de moi. "Ana... J'ai l'impression que quelques choses ne va pas en ce moment. Tu m'as l'air ailleurs je dirais. Tu sais que tu peux me parler si quelques choses ne vas pas"
@made by ice and fire.
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Invité a posté ce message Lun 17 Fév 2020 - 17:02 #

« ana... J'ai l'impression que quelque chose ne va pas en ce moment. tu m'as l'air ailleurs je dirais. tu sais que tu peux me parler si quelques choses ne va pas. » tu viens de rompre avec sam et t’as failli embrasser leeo. leeo qui est le meilleur ami d'un de tes frère ainé flynn. si ce qu’il a failli se passer ce matin s’apprend, tu risques de passer pour une fille ayant la cuisse légère ou pire encore en sachant qu’il est ton supérieur, mais surtout qu'il -dirige cette l'entreprise avec ton frère. si ça s'apprend, tu risques de briser son mariage. tu ne sais pas laquelle de ces conséquences est la pire. tu serais bien incapable de vivre avec ça sur la conscience. « des problèmes personnels. rien de grave. » ton travail est fait. sauf que t’oublies que tu n’arrives rien à lui cacher et qu’il connait très bien ton frère et qu’il doit sentir que flynn est en pleine forme. à contrecœur, tu décides de développer davantage. « un petit désaccord entre sam et moi. » tu essayes de minimiser, c’est loin d’être un petit désaccord. Il refuse de venir pourtant, il te l’avait promis. leeo a beau être le meilleur ami de ton frère ça reste ton patron avant tout. ça reste ton patron et tu n’aimes pas mélanger vie privée et vie professionnelle. « mais ça va s’arranger... » tu commences. il faut juste que tu digères le fait d’avoir mis fin à une longue relation avec l’homme avec lequel tu t’imaginais vivre pour le restant de ta vie. tu esquisses un petit sourire. « je vais me reprendre et lundi ça ira mieux promis. » tu conclus. tu avais déjà assez de soucis, tu n’avais pas envie de perdre ton travail en plus. tu le représentais lui. tu étais la première interlocutrice alors forcément s'il te percevais comme distraite ça n'allait pas lui plaire longtemps;
[
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