Sujet commun : summer party in williamsburg

BLONG BANG BOUM !

Eeeeeeeeh meeeeeeeeerdeeeeeeeeeeeeuh ! J’ai pas eu du premier coup ces satanés boites à conserve là de ce satané jeu de chamboule-tout de … Raah. Je soupire et secoue la tête. C’est vrai que tirer une balle, c’est totalement différent de tirer depuis un fusil. Je préfère largement le tir au stand ceci dit, ce serait plus rigolo et je serai même sûr de gagner mais bon, c’est pas un vrai défi ça sur le coup. Je m’amuse un petit peu en attendant justement mes colocs, je ne sais pas ce qu’ils foutent mais le fait qu’ils doivent trainer ne m’étonnerait pas. Surtout pas Oliver et Hayley... J’ai l’impression que je suis bon, mais alors là, très bon pour me ruiner avec toute la nourriture qu’ils vendent ici, mais j'ai que l'argent dans ma poche, j'ai apparemment pas apporté mon portefeuille... Au final, je crois que j'ai plutôt bien fait de le laisser chez moi... Enfin, c'est ce que j'espère penser, parce que si je l'ai perdu, je me sentirai un peu mal quand même. Heureusement que j’ai une bonne conscience qui me dit qu’il faut éviter d’abuser trop de sucres parce que sinon, ça ne va pas le faire, surtout que je ne perds plus aussi facilement les kg que je prends … très facilement. Enfin bref, je paye une autre partie, il est hors de question que je parte sans avoir gagné au jeu.

Peut-être que si je lance comme tout à l’heure, mais un peu plus fort…?
Je crois que c'es...
HUMPH !

Oh… Merde. J’ai lâché la balle un peu trop tôt. Elle n’est pas allée vers les boites. Au contraire, je l’ai lâchée en arrière. Je me pince immédiatement les lèvres quand je vois la personne réagir face à la balle qu’elle vient se prendre alors qu'elle venait me parler. Elle me parlait en fait ? Ah, c'est pour ça que j'ai raté le lancer en fait ! Mais bon quand même. Merde. Elle a dû se faire mal là. Je m’excuse auprès du commerçant et m’éloigne du stand pour m'approcher la personne et vérifier si elle va bien, parce que bon, j’ai lancé quand même fort la balle. «  Vous allez bien ? Faut croire que je ne suis pas très bon pour le chamboule-tout au final… » fis-je amusé, malgré tout.

Tu étais un peu désappointé et sacrément paumé en cette journée chaude. Tu en avais marre de tourné en rond, te cherchant quelque chose à foutre de tes dix doigts sans succès. C'est à regret que tu décides d'aller à Bedford, entourés de gens inconnus, solitaire que tu es. Tu enfiles une petite robe blanche et te dirige d'un pas confiant, alors qu'en dedans c'est tout autre chose qui se passe. Tu entends de la musique et automatiquement tu t'y dirige, non pas sans avoir prit un milkshake au chocolat sur le chemin. Tu te postes sur un banc où près de toi ce trouve une personne, tu la regarde et sourit de malaise. Tu n'es pas bonne pour ce genre de chose, mais tu ne peux plus aller t’asseoir autre part, ce serait mal vue. Tu échappes de la crème glacer de ton milkshake sur ta robe blanche et tu ne peux retenir ton jurons "Et merde! C'que j'suis gauche." grommelles-tu entre tes dents, avant de t'excuser de ta grossièreté auprès de l'inconnu : "Pardon d'mon langage."

Quelle sensation horrible. Elle ne peut plus respirer et la première pensée qui lui traverse l’esprit, c’est qu’il sera écrit dans le rapport du médecin légiste qu’elle est morte à cause d’une frite. Ça et le fait que son fils est juste à côté. Il n’a rien remarqué, concentré à essayer d’attraper ses canards en plastique, mais si elle finit par s’écrouler, toute bleue, il finira bien par se retourner. Heureusement, son regard croise celui de Cassie, qui semble comprendre immédiatement ce qui se passe. Un premier coup dans son dos. Pas d’effet. Respire, comme si c’était facile. Elle voudrait bien pouvoir respirer. Finalement, c’est un utilisant une technique bien connue des secouristes que Cassie réussit à expulser la frite de la gorge de Freya. Elle se penche en avant, la main sur sa poitrine, et prend de grandes inspirations. Elle n’a jamais été aussi contente de pouvoir respirer. Et il lui faut quelques secondes avant de pouvoir parler et répondre à Cassie. Elle aussi a l’air de s’être vraiment inquiétée. « Ça va mieux oui, grâce à toi. » Qui sait ce qui serait arrivé si elle n’avait pas débarqué au moment où elle l’a fait ? Le cornet de frites a atterri par terre, et Zach risque de lui en vouloir. Elle tourne la tête vers lui, avant de regarder Cassie à nouveau. « Je ne savais même pas que c’était possible de s’étouffer à cause d’une frite. » Ridicule quand même, elle ne sait pas comment elle s’y est prise. « Merci beaucoup. Fais-moi penser à te faire une réduction pour ton prochain abonnement. Une super réduction. » Elle est quand même limitée, parce qu’elle n’est pas la patronne, mais elle n’a pas d’autre choix que de faire un geste. Cassie lui a quand même sauvé la vie.

@Cassie Rhodes

Hayley n'a pas travaillé aujourd'hui et qui dit jour de repos dit grasse matinée sauf qu'elle a complètement zappé cette fête de l'été. Elle a promis à ses colocataires qu'elle viendrait et en l’occurrence elle est censée partir avec Oliver de l'appartement mais elle est à la bourre. Elle l'entend râler derrière la porte et ça n'aide en rien, elle se contente de soupirer et de rouler des yeux sans qu'il la voit tout en continuant à se préparer. Les cheveux en vrac, elle s'empresse de les attacher en un chignon brouillon avant d'enfiler une petite robe, d'attraper son sac et de sortir de sa chambre en affichant un grand sourire désolé à Oli qui s'impatiente dans l'entrée. "C'est bon, on est parti !" Ils sortent tous les deux de l'appartement et rejoignent assez rapidement la rue, déjà bondée, des festivités.  "Merci, pas pour l'instant, j'vais d'abord faire du repérage avant de me décider sur ce dont j'ai envie" Histoire qu'elle ne se jette pas sur absolument tous les stands de bouffe présent à cette fête même si en soi elle ne prend jamais un gramme elle essaye tout de même de rester raisonnable. Ce genre de fête est l’appât parfait pour se goinfrer de cochonneries. Un sourire reste figé sur ses lèvres devant ce rassemblement de personnes qui s'amusent dans la joie et la bonne humeur. Elle entend à peine ce que lui dit Oli avec le bruit de la musique et les gens autour mais elle hoche la tête pour lui faire signe qu'elle a compris et commence à bouger sur le rythme à son tour. Elle laisse ses yeux se perdre un peu partout autour d'elle en pensant qu'Oli est toujours à ses côtés. "Comment est ce qu'on va retrouver Lena et.." Elle se retourne pour finir sa phrase et se stoppe quand elle se rend compte qu'il n'y a plus d'Oli. Envolé, surement englouti dans un mouvement de foule. Parfait. Maintenant elle se retrouve toute seule au milieu de cette foule et aucun visage qui l'entourent ne lui semble familier. Sa tête se tourne dans tous les sens, elle se lève sur la pointe des pieds mais rien à faire, elle ne repère pas ses colocs. Un moment d'inattention et la voilà qui percute quelqu'un de plein fouet. Une vague de froid déferle sur sa poitrine et elle ne tarde pas à comprendre qu'un verre d'eau vient de finir sa course sur elle. Elle ouvre la bouche surprise par le froid avant de relever les yeux vers cette personne. "Je suis désolé ! C'est moi, j'ai pas regardé où j'allais. Laissez moi vous repayez quelque chose à boire"  

HJ: A qui voudra salir le t-shirt d'hayley  

Il fallait vivre, reprendre une vie normale, tel était les paroles des gens qu'il cotoyait, et qui savait pour son passif en taule. Oui, il devait prendre un peu l'air, se remettre dans la foule sans avoir peur de se prendre un pain par des gros bras qui veulent faire la leçon de force. Il avait entendu parlé, par les clients qui venaient à l'Output, qu'une fête en pleine air avait lieu pas très loin de son lieu de travail. Une aubaine pour lui, vue qu'il pouvait enfin souffler en ce jour de congé. Y aller, seul. Un fardeau mais il préférait des fois être seul, cela lui faisait du bien. Il côtoyait beaucoup de monde de par son job de videur, alors bon. Autant se faire quelques connaissance sur place, qui sait ?
Le voilà, déambulant dans la ruelle balisée pour l'occasion. Les stands de nourritures étaient terriblement nombreux, faisant presque crier famine son estomac pourtant pas des plus vides mais il était gourmand, le bellâtre. La bouffe, un pêché mignon. C'est presque digne d'un somnanbule qu'il se dirige vers la délicieuse et alléchante odeur de friture qui se dégageait d'un stand de chichis, qui concrètement, était pas très bon pour la ligne mais il s'en foutait. Clairement. Il va pour commander un met quand il entend dans son dos, quelqu'un qui semblait clairement s'étouffer. Il remarque vite un visage qu'il avait déjà vu, il y a peu mais pas que : @Cassie Rhodes & @Freya Goldstein.
« Oh, bonjour. Et bien, vous avez bien faillir mourir, elle vous en doit une bonne » Lance-t-il à l'intention des deux jeunes femmes, offrant un sourire sincère aux deux jeunes femme, mais ne particulier à la belle Cassie, qu'il avait eu la chance de rencontré il y a peu, à son travail.
« A ce que je vois, tout le monde semble attiré par ce genre d'endroit. J'espère que c'est tout aussi amusant qu'on m'en a parlé.» Ajoute-t-il avant de prendre donc son repas, tout en reculant histoire de faire de la place. Mais manque de bol, le voilà bousculé par une personne, se retrouvant avec son repas et sa boisson au sol et sur son haut. Il sursaute, surpris, avant de poser son regard vairon sur @Hayley Fawkes
« C'est ma faute, j'aurais pas du reculer aussi vite. Non mais non, vous inquiétez pas. Je vous ai pas brûlé avec mon repas j'espère ? » Il tend alors les serviettes qu'il avait en main, avant de se pencher pour ramasser sa nourriture, qui allait sans aucun doute, finir à la poubelle.

Il a filé. Son portefeuille est tombé et voilà que la foule a mangé le propriétaire. Disparu. Je me permets d’ouvrir l’objet pour vérifier l’identité, et me faire une idée de sa tête. Mais c’est surtout des vêtements qui m’aideront. Et quand je m’avance un peu plus, bataille avec ceux qui me coupent la route, je le vois de dos. Il joue au chamboule-tout, ce qui me décroche un sourire. Un adulte enfant. Je l’interpelle, parce que je ne vais de toute façon pas attendre qu’il termine sa partie — surtout si il prévoie une longue lignée. Il ne se retourne pas tout de suite, mais c’est plutôt la balle qui vient à ma rencontre. Pas le temps de réagir que cette dernière m’atterrit directement en pleine poire. Ce n’est qu’après que je me masse le nez, même si la douleur n’est pas invivable. Le propriétaire du portefeuille s’en est rendu compte et s’approche. C’est votre façon de me remercier de vous rapporter ce qui vous appartient ? J’affiche une mine amusée, parce que clairement, je ne vais pas en faire un drame. Vous allez devoir me payer une chirurgie pour mon nez.  Tout sourire, je lui tends l’objet, son portefeuille qu’il aurait bien pu définitivement perdre aujourd’hui

@terrance holloway.

C'st une bonne chose que mes colocs ne soient pas là pour voir que je suis plutôt doué pour le tir à la carabine, mais très nul pour le chamboule-tout. Ils se foutraient de ma gueule pour un bon moment… En même temps, la balle, ce n’est pas une grenade, y a une énorme différence là-dessus…! Et heureusement que ce n’est qu’une balle, et malheureusement, je l’ai lâchée avant de lancer et ça a atterri sur le nez d’une personne. Je me suis vite excusé alors qu’elle se massait le nez (oups) et contrairement à ce que tout le monde aurait pu être après s’être pris une balle, elle me répond assez amusée par une question qui me surprend. Je fronce les sourcils et la détaille encore plus, allant au delà de son nez, je vois qu’elle tient mon portefeuille. « Oh merde. Je l’avais vraiment perdu ?! » réalisai-je avec effroi. Mais décidément, le téléphone, puis ça… Je me demande si je ne suis pas trop fatigué par moment et qui fait que j’oublie pas mal de choses… Mais c’est tombé de ma poche ? Il me semblait bien que j’avais mon portefeuille avec moi au début… Et cette personne au lieu de le garder pour elle, elle l’a apporté et s’est pris une balle en plein nez. Je récupère mon bien et regarde si tout y est avant de ricaner un peu à sa blague.  « J’ai déjà assez pour vous offrir de quoi à manger et un verre pour m’excuser de la balle que vous vous êtes pris en plus de vous remercier de m’avoir apporté ce portefeuille. Peu de personnes l’auraient fait. » fis-je avec un sourire amusé au final.

putain, putain, putain. t'as pas envie, et puis si, mais non. un silence macabre s'est installé dans ton appart, et toi t'es là, tu bouges pas, depuis trois heures déjà. t'es dans tes pensées, tu rêves, tu refais le monde, et à côté de ça, t'es assise sur un vieux canapé, et tu bouges pas. non, tu ne bouges pas, même pas d'un poil. t'as pas soif, t'as pas faim, t'as envie de rien. à croire que t'es devenue statue. les vagues de la vie, et surtout celles de la mort, ont tout emporté sur leur chemin, et tu te demandes comment ce serait, si ça n'avait pas été le cas. s'ils étaient encore là, tous. putain, putain, putain. y'a des petites voix dans ta tête qui se battent pour savoir si tu sors à cette maudite fête de l'été ou non. et puis merde, t'y vas, de toute façon, qu'est-ce que t'as à perdre ? rien, clairement rien. alors tu sors, et puis, tu marches. parce que t'as pas de voiture, parce que t'aimes pas ça. c'est un peu loin, mais tu t'en fous, alors c'est pas si grave. t'en profites pour observer les passants. certains sont pressés, d'autres non. la plupart ont des écouteurs dans les oreilles, aucun d'entre eux ne cherche à être un minimum humain. à relever la tête. à sourire. à dire bonjour, ne serait-ce que du regard. t'arrives enfin. t'es énervée, et le pire, c'est que tu sais même pas vraiment pourquoi. c'est peut-être parce que le monde déraille, parce que le monde va mal. t'en sais trop rien. alors tu décides de te calmer, de retourner en enfance, ou presque. un chamboule-tout fera l'affaire pour décompresser. t'attrapes la balle, et bordel, t'es énervée. et tu sais toujours pas pourquoi, d'ailleurs. alors tu balances ce ballon de toutes tes forces. raté, c'est à côté idiote. le ballon rebondit sur le mur d'en face, et puis, boom, v'là que ton ballon agresse un mec derrière toi. t'es vraiment un désastre à toi toute seule, neptune. tu te retournes, tu fixes le mec trois secondes, le temps de le détailler vite fait. et puis au lieu de t'excuser ou de lui demander s'il va bien, je.. c'est pas moi, c'est le ballon ! bah tu dis de la merde. fallait s'y attendre, en même temps.

@andreas fawkes voilà voilà, c'est un peu naze mais WESH T'AS QU'A DIRE AU SOLEIL DE TAPER MOINS FORT