Sujet commun : summer party in williamsburg

tu ne sais même pas trop ce que tu fais ici. la fête de l'été. c'est pas trop ton truc en général, tu aurais pu rester à l'appartement pour réviser un peu, parce que tu manques cruellement de temps en ce moment. tu te mords l'intérieur de la joue. il fait chaud. et beau. et ce n'est pas un temps à réviser. alors tu as préféré sortir un peu, glisser tes lunettes de soleil sur le nez pour aller te balader dans le nord de williamsburg. tu te mords l'intérieur de la joue, souriant un peu face aux stades, aux enfants quémandent glaces ou bonbons à leurs parents. tes doigts glissent dans tes cheveux, tu t'arrêtes au niveau d'un petit stand, d'un côté de la rue, observant un enfant essayer de viser des ballons avec une fléchette, tandis que tu as repéré le chamboule-tout de l'autre côté. tu te pinces les lèvres, fronçant les sourcils et retenant de justesse une injure quand tu te sens percuté par ... une balle. tu récupères cette dernière, te tournant pour te retrouver face à une jeune femme de ton âge environs. je.. c'est pas moi, c'est le ballon ! tu fronces un peu les sourcils, te mordant l'intérieur de la joue tandis que tu viens lui tendre le ballon en question. le ballon se dirige seul ? tu demandes avec un sourire au coin des lèvres, tandis que tu viens glisser ta main contre ton crâne, frottant un peu l'endroit ou la balle à tapé, qui te lance encore un peu encore. je m'appelle andreas. tu souffles finalement, parce que parler à quelqu'un donc tu ne connais même pas le prénom ... ce n'est pas très agréable à ton goût.

@Neptune Blackburn méchant soleil

elle pris le temps de s’assoir pour tailler l’ongle qu’elle venait de faire tomber. fait chier, plus jamais elle ira se faire faire une manucure à Chinatown pour que ça tombe trois secondes après. une fille étrange s’assoit à côté d’elle (@June Callahan ), généralement Willowdean lui aurait dit de dégager, mais elle n’avait ni la force, ni l’envie, et puis elle été jolie alors laissant là manger en silence. la demoiselle fini par attirer son attention quand elle fait tomber sa glace, WIllow ne peut pas s’empêcher de rire, presque automatique quand il s’agit des malheurs des autres. « t’es pas douée toi. » dis-tu dans un gloussement. « vient j’ai une solution miracle, même si ça m’arrive pas des masses ce genre de choses. ce serai dommage de gacher ta robe. » elle n’avait pas l’air d’une robe de marque, mais elle été tout de même jolie et lui allait à merveille, elle lui tend la main pour l’aider à se relever, l’obligeant à jeter le reste de sa glace à la poubelle. le bar été à disposition de tous et willow entrainer sa nouvelle amie vers celui-ci, avant de réfléchir a une solution il lui fallait un verre et elle avait une recette secrète. « prend ça, d’abord, on réfléchi mieux avec de la vodka. » du jus multifruit, de la vodka, un peu de sirop de grenadine et des glaçons, un cocktail parfait. l’asiatique fit un geste à la demoiselle pour qu’elle continue de marcher en direction des toilettes, sauf qu’en chemin, elle manque de tomber à cause d’un ballon de volley et renverse la totalité de son verre sur la robe de la jeune fille. « seigneur, j’ai faillit mourir. » elle se retourne vers la gosse pour voir ce qu’elle venait de faire. « oh mon dieu, je suis désolée. »

L'inconnue à ta droite rigole au même moment que tu échappes ta glace sur ta robe. Pour le coup tu es insulté, mais ensuite, sa voix sympathique te fais changer "Non pas douée du tout t'as raison." Que tu glousses doucement. Tu prends sa main intrigué de sa "solution miracle" et jette le reste de ta glace à la poubelle. "Bon débarra" penses-tu à l'intention de ton ennemie. Visiblement pas douée pour socialiser, tu la suis de manière peu sûre et elle te tend un cocktail de couleur que tu goûtes. "Délicieux, merci!" Tu n'as pas le temps de comprendre c'qui ce passe, que ta robe est trempée et deux fois plus tâchée. "Oh mon Dieu! Ça va?" dis-tu à l'intention de la jeune fille (@Willowdean Weaver ) avant que ses paroles ne viennent t'alarmer. "M'ouais...quel gachis" lances-tu, retenant un fou rire incontrôlable. Tu éclates littéralement de rire, cette scène était surréaliste. D'abord toi avec une "amie" et ensuite une robe blanche plus si blanche que ça, dans un beach party. "Oh, t'en fais pas voyons, elle était déjà tâchée. J'crois que ta solution miracle ne fonctionnera pas là, j'vais aller m'acheter un petit truc à me mettre. Tu viens?" lui demandes-tu. Elle a voulu t'aider sans te connaître, tu te dois bien d'apprendre à le faire, mh!

« Ça va mieux oui, grâce à toi. » Elle ne peut s’empêcher de sourire, face à la panique qu’elle peut lire dans les yeux de Freya. Simplement pour la rassurer. « Quelqu’un serait forcément venu t’aider » Du moins, elle espère pour elle. « Je ne savais même pas que c’était possible de s’étouffer à cause d’une frite » Dans une situation comique, celle-ci était très bonne. Riant à plein nez, elle ne pu s’empêcher d’ajouter un « Moi non plus. » « Merci beaucoup. Fais-moi penser à te faire une réduction pour ton prochain abonnement. Une super réduction » « Oh tu plaisantes, j'espère. arrête, ce n’est rien. » Un haussement d’épaule plus tard, elle continue de lui sourire. Au fond, même si c’est sa prof de yoga, elle aurait pu aider n’importe qui. Et puis, c’était satisfaisant de sauver une vie. « Oh, bonjour ; Et bien, vous avez bien failli mourir, elle vous en doit une bonne. » La NewYorkaise se retourne, et rencontre le visage d’Elias. Presque instantanément, elle est surprise. Voire même en train de rougir. « Tiens, Elias. Me dites pas que vous habitez dans ce quartier ? » Au fond, ils étaient à la fête des voisins tous les deux. Comme quoi, elle avait bien fait de passer par ici. « A ce que je vois, tout le monde semble attiré par ce genre d’endroit. J’espère que c’est tout aussi amusant qu’on m’en a parlé. » « Visiblement oui, si on considère que s’étouffer avec une frite, c’est drôle. » Taquine-t-elle Freya, sourire aux lèvres. Il semble se reculer, comme pour changer de trajectoire alors qu’il se prend visiblement une autre femme. « MAMAAAAAN ! REGARDE ! » Le regard de Cassie est presque automatiquement dirigé non plus vers Elias et sa maladresse mais plutôt vers ce petit bout de chou qui tire le short de la blondinette. « Mais…c’est ton fils ?! »

Je hoche la tête, alors qu’il ne semble pas certain que ce soit le sien. C’est bien le vôtre, hein. Je sors sa carte d’identité, compare la photo au visage du garçon. Plusieurs fois, et puis finalement, je pose mes yeux une bonne fois pour toute sur lui. Terrance. A moins que vous niez votre véritable identité.. ou vous avez peut-être un double ? Toujours ce même air amusé sur mon visage. Je ris même, un peu, avant de lui redonner ce qui lui appartient. Il devrait être plus prudent à l’avenir, maladroit et tête en l’air qu’il semble pourtant être. Comment oublier la balle qui a rencontré mon nez ? Douloureux, c’est peut-être exagéré mais ça ne fait pas que du bien. Va pour une barbe à papa, alors ! Parce que je suis gourmande et que ça fera largement l’affaire. Histoire de parler autour de ce délice sucré, savoir qui il est. Je ne sais même pas si vous avez de l’argent liquide là-dedans. J’ai simplement vérifié l’identité. Mais dîtes-vous qu’il n’y a pas que des gens mauvais… même si c’est difficile à croire. L’éternel optimisme dont je fais preuve. C’est tout moi. Puis, avant même qu’il ajoute quoi que ce soit, je reprends la parole. Moi, c’est Jill. Et vous Terrance. Enchantée. Et on peut se tutoyer.

@Terrance Holloway

Face à ma surprise et au fait que je suis peut-être en déni total d’avoir fait tomber mon portefeuille dans cette rue, la jeune femme réagit en sortant ma carte d’identité. Suffit de tâter aussi dans mes poches pour remarquer sa disparition. Je regarde ma carte d’identité que je reconnais entre mille et malgré moi, je finis par sourire amusé à sa question. « À ce que je sache, je n’ai pas un frère jumeau qui est né à Dunedin en Nouvelle-Zélande. » Je laisse une petite pause avant de reprendre la parole. « Mais sinon oui, c’est bien à moi. » fis-je avant de pouvoir récupérer mon portefeuille. Je voulais quand même m’excuser du coup de balle qu’elle s’est prise, parce que franchement, ce n’est pas une façon de remercier les gens…! Et elle est plutôt partante pour une barbe à papa. « Allons y pour la barbe à papa ! » Et je suis dans la merde, nourriturement parlant. Je regarde mon portefeuille et remarque que ma carte bancaire y était. Ah oui, en plus elle était sans contact, j’aurai été sacrément emmerdé en fait… Faut croire qu’il y a de bonnes personnes encore, même si c’est franchement rare. « Tu peux m’appeler Terry. Enfin, c’est ce que tout le monde fait en fait quand ils ont carrément la flemme. » ricanai-je alors que je faisais le premier pas pour nous chercher à manger. « J’ai vu un stand plus loin qui propose la barbe à papa, les chichis et de bonnes gaufres surtout. » Une pause avant que je ne me retourne et range mon portefeuille dans la poche avant. « Donc maintenant Jill, tu sais comment je m’appelle, d’où je viens… » En même temps, ça s’entend avec mon accent. « Tu viens de New-York ? Ou tu es aussi une étrangère qui vient vivre dans cette ville ? » Nous arrivons bientôt devant le stand ceci dit.