didn't expect to see you here (connor) +18

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@Camila Finazzi and Connor Coleman

Il n’y a rien de plus excitant et satisfaisant que d’entendre les gémissements de Camila arriver jusqu’à mes oreilles, preuve que mes baisers ou encore mes caresses savent faire monter son corps en température, le réveiller pour oublier tout ce qui se passe autour et ne penser qu’à une chose, le chemin que l’on emprunte : celui d’une nuit de débauche et de sexe, c’est comme ça qu’on dit ? Que dis-je ! Bien sûr qu’il y a plus excitant, il me suffit de sentir son corps réagir, sous mes baisers, de la voir se cambrer, signe d’un plaisir certain, qu’elle redemande encore. N’importe quel homme peut se sentir satisfait face à ce genre de réaction et je ne déroge pas à la règle, bien au contraire. J’ai de plus en plus de mal à tenir, je n’agis que pour une chose, pouvoir rapidement prendre possession de son corps, jouer d’elle pour mélanger son plaisir au mien, au rythme de nos sexes qui vont se rencontrer. Tout est bien trop loin ce soir, toute ma vie s’est éloignée pour m’offrir ce moment de répit, mon cerveau déconnecté ne pense plus à rien, bien trop guidé par l’excitation du moment et de presque une année complète sans la moindre expérience sur un point sexuelle. Nous y voilà, à ce gémissement que je ne peux contenir, au moment où ses doigts viennent entourer mon sexe. C’est une délivrance, un soulagement, qui en appel à encore un peu plus de plaisir et d’excitation. J’ai un peu plus la confirmation de ce que je souhaite, me rendre plus rapidement à cette entrée de mon sexe dans le sien. Nos baisers ont été endiablée, d’une tension définissant l’état dans lequel on se retrouve, avec bien trop peu de conscience, mais avec beaucoup d’animosité. Sa voix à mon oreille, son souffle dans mon cou, mes yeux se ferment dans un automatisme appréciant le moment, sans compter mon sexe contre le sien, grâce à ses mains, grâce à son corps. Un flot de chaleur et d’humidité, pour un chemin que l’on va emprunter, aussi vite, qu’elle me donne l’accord de faire d’elle ce que je veux. Mes mains passent dans son dos, mes doigts son à l’oeuvre pour découvrir son corps du dernier vêtement qu’elle porte, laissant mes iris découvrir sa poitrine se révélant à moi. J’ai son autorisation, celle de faire ce que je veux, à quoi bon m’en priver ? Pas de temps à perdre, pas de temps pour me poser concrètement cette question et réfléchir un minimum. Mes lèvres viennent jouer de ses seins, ma langue vient la provoquer, jouer de son corps. Ma main est venue rejoindre la sienne sur mon sexe, pour une courte session de masturbation, en même temps que je viens placer celui-ci. Prêt pour l’aventure, je l’ai dit, manque de réflexion et c’est ainsi que le soldat au garde à vous, part à l’aventure, sans la moindre protection en entrant en Camila. Dieux que c’est bon. Ce ne sont pas des mots qui franchissent mes lèvres, je les garde pour moi, c’est un gémissement coupé de mes baisers toujours présent sur sa poitrine, qui traduisent le fond de ma pensée. Ma main passe sur son ventre, sur ses hanches pour en arriver sur sa cuisse, accompagné de la seconde, m’offrant le luxe d’écarter ses jambes un peu plus, de pouvoir aller un peu plus en elle, de lui donner un peu plus de plaisir, que les premiers mouvements de reins peuvent provoquer, un peu de douceur, au début, le temps de l’incursion, pour rapidement reprendre une plus grande ampleur.

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@Camila Finazzi and Connor Coleman

Je ne  suis pas en mesure de réaliser ce qui est en train de ce passer, je suis simplement en train de vivre le moment, sans réfléchir, comme s’il n’y avait pas de lendemain, me laissant guider par mon corps et cette envie qui m’a complètement envahit. Je me laisse guider par les gémissement de Camila, qui parviennent jusqu’à mon oreille, de quoi augmenter mes ardeurs et cette passion brûlante qui habite mon corps et qui guide chacun de mes mouvements. Je ne réfléchis pas, je ne suis pas en mesure de le faire, après avoir apprécié cette courte session de masturbation du lieutenant, accompagné de ma main, je n’ai pas pu résister, je n’ai pas pu lutter et me laisser aller en me retrouvant en elle. Je suis pris par ce moment, je lui laisser le temps de se faire à la présence de mon sexe à l’intérieur d’elle, bien trop rapidement encouragé par ses gémissements, pour monter la cadence, ne pas être capable de lutter face à cette animosité entre nous, pour que nos deux corps ne soient guidés que par l’envie de s’envoyer en l’air et de prendre du plaisir. Ses lèvres sont contre mon cou, je n’ai pas la moindre idée de la marque qu’elle est en train d’y laisser, je n’ai pas le temps d’y penser, que ses ongles trouvent le contact de mon dos, les sentant immédiatement, s’alliant à merveille à la situation et par cette tension qui nous habite. Je ne baisse pas en intensité, la température de mon corps arrive encore à monter, grâce aux coups de reins que je suis en train de donner, à chaque aller et retour que je peux faire en Camila, allant presque jusqu’à sortir mon sexe d’elle, avant de m’y enfoncer au maximum. Mes lèvres n’ont pas quitté sa poitrine jusqu’à présent, guidé par les pulsions de ce moment, avant de rejoindre les siennes, de prendre possession de sa bouche, pour des baisers bien trop souvent interrompus par nos gémissements mutuelles, de nos souffles chauds qui viennent se mélanger. Mes mains ne sont pas en restent, toujours présentes sur son corps, je me laisser aller à jouer de mes doigts avec son petit bouton d’amour, sans pour autant m’arrêter dans mes mouvements de hanches, qui ne cessent de me faire aller et venir en elle, comme enivré de ce petit bonheur et de ce grand désir qui se propage dans mon corps, pour une envie de prendre du plaisir. Je suis en train de jouer d’elle sans même le vouloir, alors que je peux sentir sa poitrine contre mon torse, que j’en oublie le reste de ma vie, la raison de ma venue jusque chez elle ce soir, ni même que je suis en train de mettre fin à presque une année d'abstinence sexuelle, bien que contre ma volonté. Toutes ces pensées sont bien loins de moi, alors que le rythme soutenu ne me laisse ressentir qu’en continuant sur une telle lancée, je ne vais pas pouvoir tenir aussi longtemps que j’en ai envie, que je le souhaite, la faute justement à cette année sans la moindre activités physiques. « T’es excitante .. » Je n’ai pas le moindre filtre ce soir, mes propos sortent sans même que je n’ai le temps de réfléchir, alors que mes paroles sont accompagnés de mon souffle coupé et saccadé, le résultat à nos ébats que je suis en train de ralentir, jusqu’à venir me retirer du lieutenant pour la première fois depuis que j’ai cédé à la tentation en laissant mon sexe entrer dans le sien. « Mets toi sur moi .. » Prononçais-je avec la plus grande difficulté, en même temps que je viens rompre le contact de nos deux corps, me redressant, afin de laisser le champs libre à Camila, afin de venir intervertir les positions, trouvant le contact du canapé immédiatement avec mon dos, pour mon regard qui ne quitte pas son corps. Ce petit moment parfait pour faire redescendre cette pression montante, mais incapable de mettre fin à tout ce désir qui m’habite et qui se traduit par mon sexe droit comme un i. « Viens .. » C’est le fruit de mon excitation qui est en train de parler, de cette envie de me retrouver à nouveau en elle, d’avoir son corps contre le mien, de la laisser mener la danse, choisir le rythme imposé dans cet ébat si intense entre nous.

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@Camila Finazzi and Connor Coleman

Tous les ingrédients sont en places pour que cette soirée ne soit sous le signe du plaisir et uniquement du plaisir, rien de plus, peu importe comme elle a commencé. Je ne me souviens plus de rien, comme si en ce moment, la raison qui m’a poussé à venir jusque chez elle, c’est pour nous permettre de nous retrouver dans cette situation, de me laisser m’offrir le droit de me retrouver en elle, de sentir son corps se contracter au plaisir que procure les allers et venus de mon sexe, en faisant cruellement absence de douceur. C’est un trop plein d’émotion, qui est venu me pousser, sous forme d’ordre à casser un peu le rythme de nos ébats, rompre ce moment, le temps de laisser la pression redescendre avec un plaisir bien trop présent, pour être de bon augure si j’avais continué sur la même lancée. Les propos de Camila ont eu raison d’un sourire sur mon visage, en même temps que je me retrouve allongé sur le canapé, que je laisse l’une de mes main trouve le contact avec sa jambe, que je caresse de mes doigts, avec l’envie de lui lancer un nouvel appel à venir me rejoindre, mais le contact de sa main sur mon sexe, tout comme de ses lèvres sur les miennes, sont venus me prendre de court, appréciant chacun des gestes qu’elle est en train de faire, du plaisir qu’elle me procure. Après un nouvel échange entre nos langues, je me laisse aller à coincer sa lèvre entre mes dents, avant d’aller au bout de ma demande cette fois-ci. Comme une délivrance, elle est venue une nouvelle fois créer un contact entre nos deux sexes, pour sentir le mien disparaître en elle, en même temps que j’en apprécie ce moment en fermant les yeux, coinçant cette fois-ci ma lèvre entre mes dents, n’empêchant pas un gémissement de s’en échapper. Mes esprits seraient présents, je me surprendrais d’être en train de prendre du plaisir, d’aimer ce qui est en train de se passer et d’avoir envie d’elle aussi longtemps qu’il nous est possible. Seulement, mon esprit est en off, mes pensées ne sont plus présentes et je n’ai plus le moindre filtre, mes gémissement se font entendre sans que je ne les contrôles, mes mains sont sur ses cuisses et mes doigts appuient dessus, toutes ses réactions dû aux allers et retours que Camila est en train de faire, du rythme qu’elle est en train de donner, de ce plaisir que je ne peux décrire de me retrouver en elle, incroyablement différent de ce que je connais. A chaque fois qu’elle vient redescendre et m’enfoncer au fond d’elle, je me laisser aller à remonter mon bassin, à accélérer ce mouvement. Je suis sous l’emprise de Camila, prendre le choix d’inverser les positions a fait que je suis venu lui donner les reines de notre coucherie du soir. « Ne t’arrêtes pas ... » Une demande, qui peut-être associé une nouvelle fois, à une forme d’ordre, qui dans le fond peut réellement en être un, parce que je n’ai aucune envie qu’elle s’arrête. Je viens rompre le contact de mon dos avec le canapé, je viens me redresser pour retrouver le contact de sa poitrine contre moi, pour venir capturer ses lèvres avec les miennes, pour un nouveau baiser. Pas de tendresse, une fois encore, ce n’est pas le mot du soir, je me laisser guider par le désir ambiant entre nous, le plaisir que nos corps en dégagent ensembles, pour un baiser d’une passion torride, en même temps que je me laisse aller à des mouvements de mon bassin un peu plus accéléré, comme pour prendre le dessus, malgré nos positions et inciter Camila à me suivre. Cette petite pause accordée est venue me faire du bien, aucune crainte à venir d’une fin beaucoup trop rapide, je veux à nouveau aller et venir en elle avec un rythme un peu plus soutenu, je veux entendre ses gémissement, je veux entendre mon prénom, je veux lui donner du plaisir, je veux qu’elle crie, tout simplement.

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En inversant les positions, j’ai laissé à Camila le droit d’imposer le rythme souhaité, prenant en main le déroulement de notre ébat qui n’a rien de sensuel, qui se rapproche plus d’une coucherie torride, intense, presque animal. Le contact de sa poitrine contre mon torse, que j’ai moi même décidé, mes mains sur ses cuisses, mes doigts qui viennent serrer sa peau, mon bassin, comme mon corps qui est en train d’inverser la tendance, malgré nos positions pour reprendre le dessus sur le lieutenant. N’étant pas en train de suivre le rythme imposé par elle, mais la laissant subir mes assauts et de devoir les suivres à son tour. Être en elle est tout un paradoxe, je me sens tellement bien, que je n’ai aucune envie que ce moment s’arrête, de prendre tout notre temps et de retarder au maximum toute jouissance, qui va mettre fin à notre ébat. Mais d’un autre côté, c’est tant intense, je me sens tellement bien de me retrouver en elle, de laisser mon sexe s’enfoncer un peu plus à chaque fois. Je ne veux pas ralentir la cadence, je veux lui donner autant de plaisir qu’elle est en train de m’en donner, je veux l’entendre continuer de gémir, ne pas lui accorder la moindre pause dans ce qui se passe entre nous. Nos lèvres arrivent à se retrouver grâce à Camila, pour un baiser qui est à l’image de l’association de nos corps ensembles, de mon sexe ne cessant pas de partir à la découverte du sien, d’y prendre place et de l’envahir comme s’il est chez lui en elle. Chacun de ses soupirs me poussent à continuer de reprendre la main, à chaque fois que son souffle termine contre moi, pour laisser mon prénom franchir ses lèvres, je monte cette cadence dans les mouvements de mon bassin, pour aller et venir encore plus rapidement en elle. Le choix est difficile, mais mon corps est en train de prendre la décision pour moi, pour nous, parce que mes mains sur elle, ne semblent pas avoir envie de lui laisser reprendre la main, je mène le rythme et je ne lâche pas celui que je suis en train de nous imposer. Je sais que je ne suis pas loin de craquer, que d’ici quelques allers et venus en elle, je ne vais pas pouvoir retenir l’orgasme qui est en train de m’envahir, j’ai autant envie de retarder ce moment, que j’ai envie d’y arriver. Comme une délivrance, je ne suis pas apte à me souvenir de ces mois d'abstinences que j’ai derrière moi. « Camila ... » Pour la première fois dans mes soupires, c’est son prénom qui franchit mes lèvres, qui sont toujours au contact des siennes, pour un baiser pourtant rompu. « J’vais pas tenir longtemps ... » Mes lèvres ne sont plus au contact des siennes, elles sont venues dans le creu de son cou, pour me laisser embrasser sa peau, m’autorisant à quelques reprises, de coincer celle-ci entre mes dents, lors de montée de plaisir, qui sont en même temps à l’origine d’un rythme que je ne relâches pas, de mes mains qui sont venues relâcher ses jambes, pour en déposer une sur sa hanche, pour que la seconde soit dans le bas de son dos, très très proche de ses fesses, que je sens sous mes doigts, pour continuer de la faire monter et descendre sur mon sexe qui ne demande que ça, qui ne souhaite qu’une chose, que notre échange continue, qu’il s’intensifie, avant de perdre le combat face aux corps et aux assauts de Camila, en atteignant l’orgasme, qui est sur le bon chemin.

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@Camila Finazzi and Connor Coleman

C’est assez incroyable ce qui est en train de se passer ce soir, un peu comme si tout est à la fois hyper clair, d’une nettetée parfaite, mais que de l’autre, c’est le flou absolu. J’ai conscience que ce n’est pas Hannah, je sais très bien que c’est avec Camila que je me retrouve, ce n’est pas pour rien que c’est son prénom qui a franchit mes lèvres, mais je ne peux m’empêcher d’avoir l’ombre de ma femme. Je n’ai pas le temps d’y penser, tout de suite, je ne veux pas y penser, mais elle reste ici, dans un coin de ma tête, plusieurs mois qu’elle n’est plus de ce monde, jusqu’à ce soir, elle restait la dernière personne avec qui j’avais couché. A compter de maintenant, ce sont des propos que je ne peux plus avoir, je ne le réalise pas encore pleinement, mais c’est une certitude qui va continuer de grandir dans les jours à venirs. Pour le moment, je ne suis pas capable de penser à ma femme, je ne suis pas capable de me dire, que la dernière personne, que j’ai pu prendre, en glissant mon sexe dans le sien, ce n’est pas ma femme, mais le lieutenant, celle qui s’est présentée comme étant la soeur de Philip. Lui aussi, il est si loin ce soir, pourtant, il a bien été l’une des raisons qui m’a poussé jusqu’à cet appartement ce soir. De longs mois sont passés depuis la dernière fois, c’est la raison qui est venue me pousser, sans doute beaucoup trop vite, à un corps fébrile sur le point d’exploser de plaisir. Je n’ai jamais été sujet à des gestes de douceurs dans de tel moment, mes dents mordant le cou de Camila, ne vient que le confirmer, comme mes mains, qui s’accrochent à ses cuisses, laissant mes doigts prendre le contrôle de son corps, de la situation pour mener la danse, malgré une position si peu avantageuse en temps normal. Je suis encouragé par les ongles du lieutenant que je sens contre mon corps, que je sens s’enfoncer dans ma peau, aussi surprenant que ça soit, on s’accorde à merveille dans ce genre de situation, bien plus facilement que pour discuter calmement. Elle a ce côté animal, que je suis en train de faire preuve d’avoir, ce n’est pas de la douceur qu’elle recherche, ce n’est pas non plus de la tendresse. La seule chose que l’on veut, c’est prendre du plaisir, c’est se laisser aller et atteindre l’orgasme. Moi non plus …, l’écho de ses paroles résonne dans ma tête, en même titre que chacun de ses soupires, de son souffle chaud contre ma peau ou encore de ses gémissements devenus des cris de plaisir. Je n’ai pas le temps de plaindre ses voisins, je n’ai pas l’envie de plaindre ses voisins, je suis bien trop occupé pour y penser, je suis bien trop en train de prendre du plaisir pour que l’idée ne vient m'effleurer deux secondes. On est en train de lâcher, je ne cherche même pas à résister, ni même à gagner du temps, tout ce que je veux, c’est accentuer mes vas et viens en elle, ce que je suis en train de faire. Mon corps dirige la moindre de mes envies, j’ai envie de résister autant que je veux atteindre ce point culminant, toute une série de contradiction, qui ne vient pas retarder l’échéance, ni même mes coups de reins. C’est le corps de Camila qui va finir par avoir raison de moi, de part ses cris, qui parviennent à mes oreilles, ne laissant pas le moindre doute à la signification, mais également et surtout par son sexe, qui se retrouve à encercler le mien. Je suis en train de ressentir tout le désir que son corps est en train d’évacuer et qu’elle ressent, le tout en me trouvant en elle, c’est justement dans un dernier aller, pour aller au plus profond d’elle, que je me laisser aller, laissant parler mon corps de la jouissance que je suis en train de ressentir, de l’orgasme que je suis en train d’avoir, alors que je reste en Camila, au plus profond de son sexe. Je ne suis pas en mesure de réaliser, je ne veux pas réaliser et je préfère ne pas réaliser, je suis trop bien, pour me souvenir que nous avons manqué toute protection, grâce à un préservatif. « Fuck … » Je ne peux contrôler mes mots, qui s’échappent aux travers de mes gémissements. « My god ! » Des propos que je ne peux clairement dire les un à la suite des autre, la respiration beaucoup trop saccadée, de par chacun des efforts que l’on vient de faire, de part le plaisir que l’on vient de prendre. Après avoir déposé un dernier baiser dans son cou, je me laisse tomber en arrière, je me retrouve à nouveau allongé, sans pour autant retirer mes mains des cuisses de Camila. Notre position n’a pas changé, si mon sexe a perdu de la vigueur après un tel effort, il reste toujours présent en elle. « Je pense ... » Annonçais-je, avec un léger sourire présent sur mon visage, mon regard étant en direction du lieutenant. « Je pense que tes voisins, connaissent mon nom ... » Faisant référence à ses gémissements et ses cris qui n’ont fait preuve d’aucune discrétion, d’aucun filtre. Alors, que je viens me redresser, m’asseoir à nouveau, afin de venir poser mes lèvres sur les siennes, de venir l’embrasser en laissant mes mains quitter ses cuisses pour trouver place dans la bas de son dos, pour laisser mes doigts sur ses fesses. « C’est loin de me déplaire ... » Dire le contraire serait mentir, tout ce qui vient de se passer, tout vient de me plaire. Rien n’était prévu, pourtant, elle n’a pas eu de mal à me séduire, à m’exciter et à continuer de le faire, jusqu’à ce que l’on couche ensemble.