Invité a posté ce message Mer 20 Fév 2019 - 11:17#
Vous devriez vous en aller...
Ce soir, encore une fois j’étais venue rejoindre mon ami à sa boîte. J’avais passé une sale journée ou encore une fois mes sources pour un article ont eu peur d’être découverts et ont refusés que j’use de leurs infos, j’ai ragé presque toute la journée avant de partir plus tôt et d’aller me changer d’air, c’est comme ça que j’ai finis par me retrouver dans la discothèque de mon ami. D’ailleurs il devrais pas trop tardé à me rejoindre pour que je me lamente sur mon sort et pour qu’il m’aide à me faire me sentir mieux. Je souffle un coup, assise près du bar et je lève la main vers le serveur, j’ai besoin qu’il me serve un shot histoire de bien commencer la soirée. Je me retourne et j’observe la foule. De nombreux style de personne ont le droit d’être ici, comme dirait Lukas : « tant qu’ils paient ils peuvent entrer. » JE souris à cette pensé et j’observe. On à tout d’abord le riche, le gars qui vient là pour claquer sa fortune contre les avis des gens de son entreprise. Il est du genre têtus et veux pas qu’on lui ordonne quoi que ce soit, je lui donne une mois avant qu’il ne fasse faillite si j’en crois ce que je voit ce soir de lui. Il y a la fillette, j’ose dire ça car c’est le genre de fille qui vient là avec pour objectif de perdre un truc ce soir, et si elle s’en rappelle pas le lendemain c’est pas plus mal. Du genre à être timide, elle attire quand même des gars et elle se sent désiré comme ça. Tu as aussi le gars qui est gay mais qui s’assume pas encore, il joue qu’avec des filles en jetant de beaux regards à tout les gars qui passe. Le genre qui osera pas de peur d’être mal jugés quoi. Je l’avais dis, on trouve vraiment toute sorte de personne ici, je souris d’ailleurs à sa et enfin quand mon second shot arrive, je le vide comme le premier.
Lukas entre dans la pièce et ont le sait parce que les minettes hurlent dès qu’elles le voient, ce qui ne fait pas le bonheur des gens qui sont là pour draguer. Elles elle visent le chef de cette boîte. Je l’observe de loin quand une silhouette au loin m'interpelle. Je l’observe et je reconnaîtrai ce regard parmi des millions. Je souffle un coup et alors qu’il s’avance dans la foule, je me place pile devant lui. « Tiens, Bonsoir monsieur Morales, on peux vous aidez peut-être ? » Je l’observe sans peur parce qu’il sait qu’il n’a pas vraiment le droit d’être là pour ce qu’il a en tête. Je suis bien curieuse de connaître les détails de sa venue ici, ce soir.
panic!attack
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Invité a posté ce message Jeu 21 Fév 2019 - 10:04#
Fine silhouette empli de charisme parmi cette foule indécente, pleine de leurs gestes d’indolence et de cette complexe quintessence. De ces fines danses aux esprits désincarnés dans ce lieu de courbes promettant les plaisirs exultés -quel endroit à l’existence consacrée. Tout cela l’écrase et se saisit de lui à la gorge, dans ce noir et ce soir, Seth n’est plus simplement agent, mais un loup à l’image des autres. Un petit effort pour un réconfort. Et le voilà qui sans jamais prêter grande attention au monde qui l’entoure, descends les marches du Playground - ô Styx qui n’a de cesse que de le mener en enfer. Car oui quand l’agent Rhodes-Morales pense à cet endroit, cet « Enfer » est l’image qui convient le mieux.
« Je vais essayer de ne pas faire de zèle »❝dit-il avant de raccrocher calmement.
Et alors il s’avance parmi la bourgade, là où il n’est plus qu’une ombre déstructurée, comme les autres entités qui se pâment fièrement pour mieux embusquer. A l’entrée se dévêt, et poursuit son chemin transporté par les effluves de l’alcool et d’autres senteurs oniriques. Clope au bec, Seth prend d’ailleurs le temps d’en savourer chaque inspiration tandis que son regard se porte au loin, comme en quête de réponse. Il prend le temps d’observer ces regards qui se font insistant sans pour autant daigné y répondre. Il est là simplement là, à cueillir le temps attendant que sa proie sorte enfin de son trou. Mais tout ça, c’est sans se douter de la présence du premier de ses obstacles : Nolwen Coopers, son chien de garde.
Elle vient quérir son attention de sorte à l’extirper de cette réalité (qui n’est au final qu’un mirage de ses pensées) et épongé sa soudaine curiosité. Alors Seth reporte alors son regard sur sa convive du soir, dans ces débauches qu’on ne peut voir comme un trésor saupoudré d’or dans l’oubli planifié de ces graciles cabrioles rapprochées. Aux premières paroles, elle n’avait lâché qu’un pâle questionnement, peu compréhensive des raisons qui le pousse à être présent dans un tel endroit. Mais une fois à l’intérieur, la véridicité des propos émis plante ses griffes au fond de son cœur.
Ce n’est que d’un hochement de tête, que Seth salue ce qui se pose à ses côtés sans doute, venait-il de le remarquer (mais il n’était pas dérangé par sa présence), seulement, il n’arrive à poser le regard sur ces attitudes abstraites et de ces mots persiflait d’une traite. De ses doigts qu’il pose sous son menton, il observe son interlocuteur d’un geste scrutateur, et avorton.
« Je viens m’amuser comme tout le monde ici. Je constate d’ailleurs qu’aujourd’hui vous aussi, semblez ouvert aux divertissements, Miss Coopers. Mais sans doute est-ce du à l’absence de Monsieur ? »❝ dit-il moqueur
"And the man sat down upon the rock, and leaned his head upon his hand, and looked out upon the desolation.(@poe // beerus)
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Invité a posté ce message Jeu 21 Fév 2019 - 21:15#
Vous devriez vous en aller...
Face à lui, je l’observe. Je regarde cet homme qui dans un autre registre aurait pu me plaire. Il est grand, d’une beauté sans pareille égal, des yeux sombres et en même temps lumineux qui veulent dires tant de choses. Pourtant, quand on voit un peu le personnage, quand on commence à ne serait-ce qu’un peu à le connaître on comprends qu’il y a un plomb qui a sauter quelque part. Je ne connais pas son passé, ni même ce qu’il a pu lui arrive mais on sent qu’il s’est passé quelque chose de gros dans sa vie.
D’ailleurs, y a quelques mois, je me suis retrouvé dans son bureau, pour une des nombreuses affaires sur lesquelles il travaille et une fois qu’il avait quitté son bureau pour je ne sais quelle raison, j’en ai profité pour fouiller un peu ce dossier qu’il gardait tout prêt de lui, pour finir par trouver une photo de mon meilleur ami. J’ai beuguer, j’avoue, mais c’est surtout de nombreuses questions qui me sont monté dans ma tête. J’ai repris ma place et j’ai finis par m’en aller sans vraiment savoir quoi faire de ces informations.
Je me place donc pile devant lui et lui demande ce qu’il vient faire dans la boîte de nuit de mon dis meilleur ami. Plongeant mon regard dans le sien avec une attitude que je veux arrogante pour qu’il ne comprenne que sa présence n’est pas désiré ici. Semblant ne pas me prendre au sérieux il m’attaque me disant qu’il vient pour s’amuser, et aussi me disant qu’il voyait que j'étais venue pour m’amuser. Je regarde mon verre et je souris en coin : « Au moins, je suis une personne qui sait s’amuser pas comme certains. » Je Regarde la foule et je repose mon regard sur lui comme attiré par les questions et les réponses que j’aimerais connaître sur sa venu ici : « Monsieur comme vous l'appelez, va pas tarder à venir ici justement… » Je penche la tête comme contente d’avoir tenté de lui clouer le bec.
panic!attack
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Invité a posté ce message Mar 26 Fév 2019 - 10:32#
Les minutes semblent s’entasser les unes aux autres, pour autant la jeune femme semble déterminé à lui faire face. Seth ne saurait d’ailleurs dire pourquoi elle agit de la sorte. Mais qu’importe ca lui est quelque peu égal. Il faut dire que plus il l’observe, plus il se rend compte que sans ces idioties auquel elle se prête, elle aurait pu être de celle qui lui font tourner la tête. Toutefois, il n’en en est rien. Elle n’est qu’un pantin désarticulé que Lukas Foster manipulera toujours, de gré et de droit.
Alors, seulement, Seth prête cet air hébété à ces traits, ce même faciès qu’il avait devant Cami. Celui là-même qui n’a qu’une ignorance ponctuelle de ces jeux d’adultes sensuels, auxquelles se livre ladite Nolwen Coopers.
« Hmm... »❝ dit-il aprobateur
Seth, lui n’était que peu sensible aux cajoleries fleurissant sur les lèvres, car il ne prêtait attention qu’aux actions peu mièvres. Le don de mots était un art qu’il appréciait à bien des égards, qu’il confiait implicitement sous son sourire qui se paradait d’un air fêtard. Cette foule cacophonique avait le don de glisser entre les deux, faisant oublier le but qui persistait entre eux. Alors d’un mouvement habile, il avait pris place là où fut conviée, de ses conversations versatiles et de ses mirettes aux pensées fertiles.
« Et qu’est-ce qui vous fait croire, que ce n’est pas vous que je cherche ? »❝ lui demande t-il moqueur
Sur le coup, Seth n’en paru que plus sérieux, sous ce paysage ourlé de velléité -qu’il abhorre poutant sans le montrer, mais avec Nolwen, il sait qu’il doit se aller aux excès pour gagner sa confiance. Il ne veut que goûter, de ce qu’elle fait pour satisfaire son impétuosité.
"And the man sat down upon the rock, and leaned his head upon his hand, and looked out upon the desolation.(@poe // beerus)
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Invité a posté ce message Mar 26 Fév 2019 - 16:24#
Vous devriez vous en aller...
Depuis que Lukas avait ouvert sa boîte fallait dire que j’y étais presque tous les soirs. J’y prenais du bon temps et pour terrain de chasse rien de mieux il faut savoir le voir. Je passait de bonne soirée, je faisais partie des intimes de Lukas ce qui me donnait droit à des avantages aussi mais sutour j’avais toujours un oeil sur ce petit bougre qu’était mon meilleur amis. Il s’amusait trop souvent de ça d'ailleurs mais je n’en avait que faire, je gardait un oeil sur lui et lui il faisait ce qu’il avait envie, après tout je ne pouvais rien contre cette envie qu’il avait de faire la fête. C’est pour ça, que dès que je voyais ce flics, j’était jamais loin, je ferais tout ce qui été en mon pouvoir pour comprendre pourquoi dans l’un de ces dossier “confidentiel” y avais une photo de lui. Je voulais savoir ce qu’il lui reprochait et pourquoi lui.
Alors quand dans la foule de la boîte qui commençait à se faire dense, je l’avais vu, je n’avais pu refréner mes pas qui m'avait guidé droit vers lui. J’avais la ferme intention qu’il quitte le club et qu’il n’y revienne pas mais faut croire que c’est le genre de personne tenace et qui lâcherais clairement pas l’affaire. Je finissais mon verre alors que je venais juste que l’accuser d’être là à des fins illogique et une fois mon verre poser sur l’un des plateaux des serveurs, je croisait les bras sur ma poitrine. Je sais pas pour qu’elle genre de fifille il me prenais mais je ne voulais pas qu’il s'approche de Lukas alors je lâcherais pas l’affaire moi non-plus. Je plongeai mon regard dans le sien comme pour le lui faire comprendre mais il me surprends avec une question qui me décontenance un peu. Pour moi ? Comment ça ? Je penchais la tête sur le côté et je finissais par soupiré. « Si c’est pour moi que vous êtes venue, me voilà, je suis devant vous alors je propose qu’on aille dehors parlé afin qu’après vous puissiez vous en allez comme vous êtes venue ? » Dans le genre têtue je vous présent Nolwen, je me laissait pas faire parce que j’avais appris à pas me laisser marcher sur les pieds et encore moins par des flics qui se pensait au dessus des lois comme l’homme en face de moi.
Dans tous les cas que ce soit pour moi ou non qu’il soit là il est possible qu’il reparte les mains vides parce que Lukas est clean, je le sait et j’espère bien qu’il ferais pas ce genre de connerie, celles que cet inspecteur pensent qu’il fait. Ça se voit à son comportement et aussi à sa manière de jauger les gens qu’il croise devant lui…
Dime bebecita cómo mato esta tentación. De volver a tu puerto y hacerte el amor. Porque amiguita tú me tienes Como Alejandro Sanz. Cuando nadie me ve. Pongo el mundo al revés... Y esta melancolía. Me tiene en musa de noche y de día...
La situation ne s’envenime pas encore et c’est pour le mieux. Seth peut néanmoins que la louve ne s’est pourtant pas débarrassé de sa sauvagerie, qui était perçue par ses fines syllabes qu’elle prononce semblable à des lames tranchantes. Mais ce n’est pas vraiment ce que l’agent ressent dans ses palabres. Il y voit de la crainte et un amour inconstant. Pour lui ? Sans doute pas. Et il faut dire qu’il n’est pas assez imbu de sa personne pour le penser. Pour Lukas ? La question pèse longtemps dans la balance, assez longtemps pour qu’il souhaite en avoir le coeur net. Parce que cette femme qu’il voit se pavaner et se dandiner sur ses hauts-talons, lui semble n’être qu’une femme comme les autres au final. Une femme qui aime à s’en oublier. Un râle se fait entendre de se part, alors qu’elle s’empresse donc de le pousser à la porte de la boite mais lui se saisit de sa main.
Et pour la première fois, l’agent l’observe. Ses yeux perçant les siens. Et étrangement, ce moment semble s’éterniser, perdurer. Seth lui jete un regard - et à travers celui-ci décèle ces sentiments inavoués, comme si elle avait trop souffert. Comme elle attendait simplement qu’on l’a serre dans ses bras. Et si elle le repousse ? C'est justement parce qu'on lui a trop souvent réduit le cœur en miettes. Parce qu’on a trop souvent aboli les valeurs désuètes auxquelles elle croyait dur comme fer, l'amour, la fidélité, toutes ces allégories que son subconscient créait pour la rassurer. Un peu comme lui, sans doute ne s’était-elle pas rendu compte qu’elle s'emmurait elle-même dans son palais doré, cette prison de verre. D’ailleurs, à ses yeux, il est possible de le savoir. Parce que ses derniers ont trop souvent pleuré pour des garçons qui n'en valaient pas la peine, fiers de leur autosuffisance et de leur lâcheté. A ses joues, on devine qu’elles ont trop souvent été trempées de son désespoir, souillées de son chagrin, chaque larme qui s'écoulait le long de son visage lui rappelant sûrement qu'elle était actrice de son propre drame. Chaque goutte de tristesse qui s'écrase sur son oreiller, chaque pli n'est d’ailleurs qu'un appel au secours. Et Seth se questionne, se demandant si on lui a assez souvent rappelé qu'elle était quelqu'un de bien. Si sous toutes ses apparences qu'elle montre, qu’elle est fragile. Trop peu sûrement. Mais on ne lui a jamais dit qu'elle pouvait être importante aux yeux de quelqu'un.
« Sans cette emprise qu’il a sur vous, vous auriez pu être une femme délicieuse vous savez ? D’ailleurs le sait-il que vous l’aimez à ce point ? »❝ lui demande t-il moqueur
love.disaster
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Invité a posté ce message Ven 22 Mar 2019 - 21:08#
Vous devriez vous en aller...
Je l’observe perdant presque mon regard sur lui. Ce flic, il ne sait rien de moi si ce n’est que j’ai un casier judiciaire pour des bêtises d’adolescente. Je l’observe encore me perdant dans mes pensées, entendant la musique baissant d’un ton quand je repense à ce que j’ai trouvé dans son bureau la fois où il avait fait appel à moi. Je soupire un coup et je croise mes bras sur ma poitrine pendant que de son côté il m’observe aussi. Il glisse son regard tout sur moi et j’en ai presque des frissons voyant le besoin de cacher mon corps de son analyse. Pourtant il semble bien avoir trouvé un truc, je sais pas spécialement quoi mais il lèverais presque un sourcil pour confirmer ce que je pense. Je lève à mon tour un sourcil l’air de lui dire: “ Aller guys, accouche ce que tu pense qu’on en finisse et que tu te barre.” Je ferais tout ce que je peux ce soir pour qu’il ne s’approche pas de Lukas, qui lui d’ailleurs doit être occupé avec ces groupies.
Quand enfin il ouvre la bouche, il me laisse sur le cul. Il me dis que je pourrais être une femme délicieuse. “ really ? ” Je souris en coin mais je me reprends assez rapidement me disant qu’il ne veut pas du bien à mon ami. Puis il arrive a me faire redescendre de mon nuage, celui qui me faisait me sentir supérieure à lui. Il a compris plein de choses et simplement en me regardant, je n’ai rien dit puis je pensais pas que c’était si facile à lire sur mon visage. Je finis par soupirer exagérément comme pour ne pas lui donner raison. « Dites monsieur l’agent, comment pouvez-vous être si peu galant en sachant que vous ne me connaissez absolument pas. Vous dites des choses comme ça simplement pour prêcher le vrais dans mes paroles, mais si vous aviez simplement un minimum de respect vous ne poseriez pas ce genre de question, Il s’agit de ma vie privée que je ressente ou non des choses pour Lukas ne vous concerne en rien que je sache alors pourquoi me dire ça... ? » Je finis par prendre un verre sur le plateau d’un des serveurs et je le tends à l’agent en face de moi.
Je souris et j’en prends un second pour moi, en plongeant mon regard dans le sien. « par contre, je prends note que vous dites que je suis une femme délicieuse, alors laissez moi vous proposer de boire un verre en ma compagnie avant que vous preniez vos affaires pour quitter la boîte. qu’en-pensez-vous ? » Je pouffe d’un rire cristallin comme lorsque je drague un homme devant Lukas pour le faire chier. J’observe sa réaction pour savoir si j’ai touché une corde sensible ou bien si je doit laisser tombé et si je doit faire venir les videur pour le sortir de force…
