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 Don't let me down | Rubélio

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Invité a posté ce message Mer 26 Fév 2020 - 17:52 #


Emilio & Ruby

Don't leave me alone. I wont survive.



« Considère cette robe comme un présent. Tu es bien trop belle dedans pour prétendre à la refuser. » Lançais-je, devant ses joues rougies. C’est certes un présent qui vaut un peu d’argent mais sincèrement, rien ne serait se révéler trop beau pour elle. L’argent, l’opulence, c’est un monde certes, mais ça ne change en rien qui je suis. J’ai vu mon père lancer ses affaires, se faire un nom, et reprendre tout ça, je me suis construit en même temps que la fortune de la famille. L’empire que j’ai entre les mains, je l’ai fait prospérer, j’ai su me faire un nom et une place, à travers l’héritage de mon père. L’argent n’achètera jamais son amour, et c’est bien trop précieux à mes yeux. L’argent n'est rien qu’un détail, un grain de sable. Tant qu’elle est là, le reste est futile. Moi qui m’étais promis de ne plus aimer après la mort d’Adonia, je pense n’avoir jamais aimer au point ou je l’aime elle. Mon écossaise au caractère de feu. « Tu es loin d’être banale, amor. Le luxe est une partie de nos vies, mais il ne fait pas ce que nous sommes. Cette robe est un présent, Cariño. Ca ne change rien à ton quotidien, tu pourras continuer de t’habiller où il te chante. Je ne veux pas te changer avec de l’argent. C’est toi que j’aime, comme tu es. » Dis-je en la regardant d’un regard tendre, jamais je serais capable de lui demander de changer, ce serait risquer de la perdre, et je m’y refuse.


Les dernières minutes où nous ne sommes que tous les deux sont précieuses, une fois que nous aurons franchis les portes de l’ascenseur, je vais devoir la partager avec les invités qui sont rassemblés dans le grand salon. J’aurais voulu la garder pour moi, mais je sens que c’est compliqué. C’est une journée pour laquelle ils ont payés, donc c’est évident qu’ils veulent en profiter, c’est bien normal, mais je veux profiter d’elle seule jusqu’au bout. Ses lèvres contre ma peau me font frissonner, j’ai l’impression d’avoir 20 à nouveau, et je me sens bien, pour la première fois depuis des mois, je suis apaisé. Comme si d’un baiser, elle avait calmé la tempête qui faisait rage dans mon esprit. Elle avait bousculé toute ma vie d’un regard, et je pense ne jamais pouvoir lui être assez reconnaissant, pour me rendre le sentiment de compter pour quelqu’un. Sentiment que j’avais oublié, en perdant chaque personne autour de moi. J’ai du mal à m’empêcher de penser qu’un jour elle aussi je pourrais la perdre, parce que rien n’est éternel, mais j’aime à croire qu’elle restera longtemps, même si elle aura toute l’occasion de s’en aller à la première connerie, au premier écart, et je pense que je ne lui en voudrais même pas, parce que ce n’est sûrement pas ce dont elle aurait voulu. Au fond, il me reste un espoir, et elle est le feu, qui ravive la flamme d’un cœur blessé.


Notre bulle éclate bien vite, quand nous entrons dans une pièce bondée de monde et de bruit. De rires, et de verres qui claquent. Un autre monde que celui dont j’ai l’habitude. Mais je m’adonne aux rites et coutumes familiales en me disant que tout de même, je n’étais pas encore prêt à revêtir le kilt. Chaque chose en son temps, et celle-ci ne dérogera pas à la règle, hors de question. Je tiens à me faire bien voir, mais pas à ce point. Mais bien vite, elle vient à me manquer, et je ne sais m’empêcher de la rejoindre, pour l’emmener avec moi sur la piste. Deux idiots saouls, mais qu’est ce que ça peut faire ? C’est un jour à célébrer, le reste est futile. Au centre de la piste je la fais tournoyer, incapable de danser vraiment, sur ce type de musique, qui est bien loin des mélodies pompeuses des soirées mondaines. [crolor=#339966] « C’est un jour en ton honneur, prends le comme une réunion de famille. L’occasion d’être entourée de ceux que tu aimes. »[/color] Nos lèvres se frôlent avec amour, et délicatesse, avant qu’elle ne se recule, les joues aussi roses qu’une héroïne de dessin animé. Je ne sais faire autrement que de la trouver magnifique. Tendre Ruby, si tu savais à quel point tu me fais tourner la tête . « Ils sont très gentil, c’est un plaisir d’avoir fait leur connaissance. Chaque peuple à ses traditions, celles de ta famille ne me font pas peur. » Répondis-je dans un sourire. J’avais quelque part ce sentiment d’appartenir à quelque chose, et c’est assez agréable comme sentiment, pour une fois. Trop vite l’ambiance change, le monde autour de nous s’agite, alors qu’elle couvre mes oreilles, je ne comprends pas grand-chose à ce qu’il se passe, avant de voir entrer son père avec son instrument et son kilt. Tradition familiale je suppose. « Nous pouvons aussi nous éclipser si tu le souhaite. » Dis-je un peu trop fort, mais le bruit, plus ses mains sur mes oreilles me rendait presque totalement sourd. Egoïstement, je la voulais pour moi seul en cette journée, las de l’avoir partagée avec une foule entière. La joie autour de nous était pourtant palpable, à croire que les écossais aiment à se réunir.





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A NY depuis : cinq ans
Métier / études : institutrice en maternelle
Logement : un petit appartement (le 31) sur 31 S 4th Street qu'elle partage avec tous ses animaux et son fiancé de temps en temps.
Orientation sexuelle : hétérosexuelle
Statut civil : enceinte de jumeaux et fraichement larguée par Emilio
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Ruby McPhelps a posté ce message Mer 26 Fév 2020 - 22:48 #


Emilio & Ruby

Don't leave me alone. I wont survive.


Etre amoureuse, je crois que je ne l’ai jamais été. D’aussi loin que je puisse me le remémorer, je n’ai jamais ressenti une telle attraction psychique et physique avec quelqu’un. Emilio n’a rien d’un bellâtre gominé contrairement à ce que toutes les filles disaient. Du moins, je me plais à le croire. Surtout quand il me regarde de la sorte. Je me perds dans son regard ambré alors qu’un sourire vient illuminer mes lèvres. Naturellement, étant à jeun, je passe la main dans mes cheveux pour baisser les yeux. Ma timidité a toujours été un très gros défaut. Et je me sentais démunie face à lui. je ne suis qu’une piètre institutrice de maternelle alors que lui est un véritable magnat des affaires. J’ai suivi de très près son ascension en dévorant les articles alors que j’étais chez moi. Lorsque je tentais de maintenir une certaine distance entre nous. Assise sur mon canapé avec les chiens et le chat près de moi pour voir son parcours tragique. Parents décédés, femme également. Il a dû se sentir si seul. Un peu comme moi à la mort de ma jumelle. En pensant à Sally mon cœur se serre car dans le fond, ce mariage aurait dû être le sien. Mes yeux se voilent d’une tristesse nouvelle avant de venir les baisser pour cacher mon trouble. C’est fébrile que je sors de cet ascenseur pour rejoindre la fièvre écossaise.

J’ai toujours grandi dans cette ambiance. Dans le fond, je n’ai jamais compris ce qui me retenait à New-York. Ma vie a toujours été à Inverness avec ma famille. Et puis, j’ai rencontré Emilio. Comme les pièces d’un puzzle, elles se sont emboitées pour que je comprenne que finalement, il s’agit du destin. Il a décidé de me mettre le portoricain sur mon chemin plein d’embûches. Je le laisse s’éloigner à regret pour rire alors que mon frère accompagné de mon père lui font passer les rituels d’usage. « Il se débrouille bien, me dit ma mère en venant poser sa tête sur mon épaule, ça a l’air d’être un homme bien. » Son jugement n’a jamais fait défaut. Je la gratifie d’un sourire alors qu’Emilio vient à nouer ses bras autour de ma taille pour venir poser la tête sur mon épaule. Sa chaleur m’enveloppe dans une belle bulle alors que je viens à sourire. Doucement, je virevolte pour lui faire face alors que nous nous retrouvons sur la piste de danse. Tels Robert et Giselle lors du bal, nous sommes seuls. En aparté. Je plonge mon regard dans le sien alors que nos lèvres se rencontrent à nouveau dans un baiser plus doux, plus romantique. Comme après chaque baiser, mon cœur s’emballe et je déglutis. Ma main se perd dans ses cheveux alors que le DJ vient interrompre la balade écossaise.

J’ai tout de suite compris car je connais ma famille. Toujours prompte à me coller la honte. Je soupire avant de venir coller mes mains sur les oreilles d’Emilio. J’ai l’habitude de la cornemuse mais pas lui. et ça peut surprendre. « Ouais, t’as raison. » Je coule à mon père un regard ennuyé alors qu’il se gosse ce salopard. Je secoue la tête avant de venir déposer un doux baiser sur sa joue et qu’il hoche la tête. Approbation du père, de la mère. Il ne manquait plus qu’à séduire Cal. Mais ce n’était pas gagné. Depuis la mort de ma moitié, mon ainé se montre trop protecteur avec moi. Je glisse ma main dans celle d’Emilio et nous quittons le vacarme fait par les clans. Je passe une main dans ma nuque avant de laisser échapper un petit rire. « Ils sont accueillants mais bruyants. Attends de voir mon pays natal et tu comprendras. » Sans réfléchir, nous montons dans l’ascenseur pour que nos corps retrouvent une certaine proximité. Nos mains se cherchent, nos lèvres se trouvent alors que toujours dans l’espace clos, ma robe me fait défaut. Une lueur nouvelle dans le regard, j’appuie sur le bouton d’arrêt pour venir pimenter cette étreinte déjà caliente à cause de nos taux d’alcool respectifs. Je me perds à l’aimer en soupirs, en caresses alors que nous ne faisons plus qu’un. Et ce qui n’être qu’une nuit, telle une chenille sortit du cocon, telle un papillon qui déploierait ses ailes, vient à se transformer en éternité.



the end



AVENGEDINCHAINS


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