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Ruby McPhelps
Ruby McPhelps
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Date d'emménagement : 27/12/2019
Messages : 87
Factures payées : 0
Avatar : Alina Kovalenko
Crédits : valtersen (avatar)
Autres comptes : Lilas Martin (Karen Gillan)
Pseudo / prénom : Padawan (Tiffanie)
Age : 27 ans
Date de naissance : 31 octobre 1992
Nationalité / origines : de nationalité et d'origine écossaise (sur le territoire américain avec un visa de travail)
Pays d'origine : (Rubélio) You make me feel  Flag-for-united-kingdom_1f1ec-1f1e7
A NY depuis : cinq ans
Métier / études : institutrice en maternelle
Logement : un petit appartement (le 31) sur 31 S 4th Street qu'elle partage avec tous ses animaux et son fiancé de temps en temps.
Orientation sexuelle : hétérosexuelle
Statut civil : enceinte de jumeaux et fraichement larguée par Emilio
Champ libre : (Rubélio) You make me feel  Tumblr_inline_o36h8oJYDn1s1fojl_250
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Ruby McPhelps a posté ce message Sam 18 Jan 2020 - 15:48 #


You're like gold dust
Emilo & Ruby


Eviter quelqu’un est plus difficile que je ne l’aurai cru. Depuis le jour de l’an, j’ai bien dû relire cette conversation cent fois. Alors Emilio est très doué (et adorable) mais en somme, il m’a presque eu. Note pour moi-même : ne jamais dépasser les trois verres au jour de l’an. Je ne tiens absolument pas l’alcool. J’ai décidé par la suite de ne plus répondre à ses messages. La technique du lâche ? Parfaitement ! J’ai un mariage à organiser. Mariage qui m’emmerde profondément mais je ne suis pas femme à revenir sur mes engagements. Sauf avec Emilio mais c’est autre chose. J’ai donc dû aller essayer ma robe de mariée, retourner voir la salle, l’hotel où notre office avait lieu et choisir le restant des décorations. Abattre un travail de titans en quelques semaines. Et normalement, ce soir j’aurai dû décider de buller chez moi avec un verre de chardonnay mais on a décidé de me sortir d’office. Enterrement de vie de jeune fille. J’espère qu’il y aura au moins un mec à poil. Parce que ce satané mec a réveillé mes hormones et il est hors de question que je ne lui cède.

Alors qu’une de mes amies à mon téléphone en main pour les instastories tandis qu’on était en train de me maquiller avant de me montrer la robe. Ok donc une robe bordeau, très courte. La couleur, j’aime bien mais la taille. J’ai des grandes jambes et je ne porte que des robes longues les gars. Mais bon, soit. Je passe donc des sous-vêtements sexy (j’ai un souci avec la lingerie) et cette chose qui se veut être une robe. « Ruby, viens pour ta story. » je grilmace avant d’enfiler mes bottines. Avec mes anglaises et mes longues jambes, je ressemble à une mauvaise actrice porno. Je récupère mon sac avant que nous ne partions manger. Puis de terminer dans la boite où je l’avais rencontré en chair et en os. Quelle drôle d’idée. j’étais tiraillée. Il y avait mon ange d’épaule qui me disait qu’il ne faudrait pas le recroiser alors que mon côté démon espérait parce que dans le fond : Emilio me plaisait vraiment. Ce n’est pas pour rien que je faisais des efforts monumentaux pour l’éviter. Josie se plaignait que je ne sortais plus avec elle mais je ne voulais pas recroiser le brun qui gravitait dans ce cercle. Cependant, je l’ai invité ce soir car elle est l’une de mes meilleures amies et elle me fixait avec un sourire étrange. Alors qu’on me posait la couronne sur la tête, je me sentais plus ridicule que jamais. « La princesse a une robe longue et pas celle d’une trainée. » Je dodeline de la tête alors qu’on demande des shots et que je m’en enfile plus de trois en tout cas. Ok, donc finir complètement bourrée à mon enterrement de jeune fille n’est pas une si bonne idée. mais c’était now or never. Je les enchaine donc en grimaçant avant qu’on aille sur la piste. Je me surprends même à apprécier la musique. C’est pour dire que je suis bien faite. Je commence à danser. La dernière fois que je suis venue, j’avais des barrières. Je suis venue en étant trop arrogante en jouant avec un homme et au final, je me suis prise le retour de bâton dans les dents.

Emilio avait dû rapidement passé à autre chose alors que pour ma part, je ne parvenais pas à le sortir de ma tête. Et pourtant ce soir, vêtue d’une manière qui n’était pas moi, je me sentais libérée d’une poids. Fermant les yeux, je laisse tout s’envoler pour me laisser porter au rythme de la musique. Mes longs cheveux ondulent naturellement autour de moi alors que cette robe ne bouge pas. contre toute attente. Perchée sur mes talons hauts, je perds la notion du temps. Et je me rends compte que je ne suis pas prête à me marier. Ni demain, ni jamais. Pas avec Calvin. Alors je ferai tout pour prolonger cette soirée le plus longuement possible. Bien que la chanson décide de s’arrêter, nous laissant hors d’haleine pour nous être trop déhanchées sur la piste. Je redeviendrai rationnelle demain. Je prends le plaisir à décider d’une pause clope avant de prendre mon paquet alors que mes copines commandent une autre tournée. Je crois apercevoir un visage familier mais l’alcool doit me jouer des tours au point que je ne le verrai partout. Je secoue la tête avant de me diriger vers la sortie en ne marchant pas droit. Je manque de rentrer dans un couple qui se bécote et perd l’équilibre. Et m’écroulant aux pieds de quelqu’un de manière brutale. « Oh c’est décidé, demain j’arrête de boire. » Je tends la main pour qu’on m’aide à me relever que ma vision peine à s’ajuster. « Un petit coup de main s’il vous plait ? Je vous paye en cigarette. »




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Invité a posté ce message Lun 20 Jan 2020 - 1:23 #


Sweet little unforgettable thing
Emilo & Ruby


C’est de la torture. Ca fait des jours que je n’ai plus aucunes nouvelles de Ruby. Elle filtre mes messages, mes appels, et ça tourne à l’obsession, dans ma tête, j’essaie de trouver tous les moyens possibles pour avoir de ses nouvelles. Nous nous étions pourtant si bien entendus au nouvel an, que j’avais du mal à comprendre pourquoi elle m’évitait comme ça du jour au lendemain. Je remettais une peu toutes mes décisions en question, parce que j’avais sûrement dû foirer quelque part, pour la faire fuir de la sorte. Mais j’ai beau retourner la situation dans tous les sens, je ne trouve pas, et ça me rends fou. Fou de ne pas savoir, fou de ne pas avoir de ses nouvelles. Fou de ne la croiser nulle part, que ce soit en soirée ou dans les rues de New York. A croire qu’elle m’évite volontairement. Et je crois que c’est le pire dans cette histoire. Ce sentiment qu’elle le fait délibérément, et qu’encore une fois c’est de ma faute. Quand je disais, que j’étais bon qu’à faire fuir les gens. Pourtant parfois, quand j’y pense, j’ai ce petit sentiment que me dit, que je n’ai peut-être pas tort de m’y accrocher, qu’il peut peut-être y avoir une chance, après tout, nos conversations n’étaient pas anodines, même si je savais bien qu’elle n’était pas très très sobre, ce n’était quand même pas rien. Rien ni personne, n’arrivait à me la sortir de la tête. J’avais eu beau tenter de penser à autre chose, je n’avais qu’elle, et ces images de cet appel vidéo, passé pour la nouvelle année.


Ce soir je n’avais rien de prévu, et je tournais dans mon salon comme un lion en cage. Le bar est plein, j’aurais pu me jeter dessus, mais j’ai peu bu, depuis ces dernières semaines, convaincu que si je la croisais, je me devais d’être sobre, pour ne pas la faire fuir comme le premier soir. Elle m’avait bien fait comprendre qu’on aurait peut-être pu repartir ensemble si mon taux d’alcoolémie n’avait pas été aussi haut, et autant dire, que ce détail n’étais pas entré dans la tête d’un sourd. J’aurais pu me faire à l’idée, très sincèrement après le nouvel an, elle était fiancée et c’était sûrement le souci principal, outre mon alcoolisme. S’il fallait cependant parler de vérité, je serais prêt à mettre ma main à couper, qu’elle ne l’aime pas, et qu’il ne l’aime pas non plus. Mon téléphone était resté en sonnerie sur la table basse au cas où on devait me contacter en urgence, je le mets rarement en vibreur, de peur de louper quelque chose, ou un message de Ruby. Mais le message que je reçois ce soir, n’est autre que de la part de Josie.


Passe au club, on s’y rejoint tous ce soir, on a des trucs à célébrer.
 


Le tout ponctué d’un clin d’œil, ce qui clairement, ne laisse pas de place au doute. Enfin j’espère que je ne me fais pas d’illusion, ce serait bête de s’y rendre et de découvrir qu’elle n’est pas là. Je serais même plutôt déçu, pour être tout à fait honnête. Je troque ma chemise de la journée pour une qui sort à peine du pressing, un pantalon propre et neuf lui aussi, autant faire ça bien. Le blouson de cuir par-dessus, parce qu’il fait froid, et qu’un simple manteau ne m’aurait décemment pas suffi. Je sors enfin, tardivement mais avec gonflé de l’espoir de la croiser à nouveau, et peut-être de la confronter sur son silence.
Quand j’arrive, la soirée est bien entamée, le son fait rage, et pour une fois, je suis sobre, et en pleine conscience de mes mots, et de mes gestes. Je sonde la pièce des yeux. Une musique électronique m’enveloppe et des voix artificielles se mêlent au son de la foule qui crie les paroles, et les éclats de rires des gens ivres. Ca faisait longtemps que je n’avais pas assisté à ce spectacle en pleine possession de mes moyens. Au loin je repère la silhouette menue de Josie, qui ne me vois pas, trop occupée à danser avec cette immense fille aux cheveux roux et à la robe trop courte. J’ai un instant cru que ça pourrait être elle, mais sa danse est trop lâchée, et sa robe bien trop courte. Je peux voir d’ici, la naissance de ses fesses. Tout ça fait que ça ne peut pas être Ruby. Je salue quelques connaissances, d’autre personnes qui sont de fervents clients, ou admirateurs d’ailleurs. J’allais me diriger au bar, commander un Red Bull, pour pallier à une prise d’alcool, quand je suis coupé net dans ma marche. A mes pieds vient de tomber une jeune femme. Et cette voix, je pourrais la reconnaître entre mille tant l’accent et le ton sont reconnaissables. « Ce ne serait pas une mauvaise décision en effet » Répliquais-je du tac au tac. C’était bien Ruby, et en plus de ça, elle est plus ivre qu’ivre. Dios mio, nous ne serons donc jamais sobres en même temps. « Holà, amor. Tu ne t’es pas fait mal au moins ? » Lançais-je en la maintenant, pour ne pas qu’elle tombe encore. Elle est plus que cuite, qui l’a faite boire, alors que c’est d’affaire commune qu’elle ne tient pas l’alcool ? « Je crois que tu devrais prendre l’air, tu n’as pas l’air bien » Remarquais-je alors qu’elle me surplombais d’une bonne dizaine de centimètres, maudite géante. Voir son visage me rassure, au moins elle était vivante, et Calum, ou Calvin, peut importe son nom, ne l’avait pas enfermer d’une tour d’ivoire jusqu’au mariage.

Elle m'a quand même manqué, vile bougresse au cheveux de feu



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Ruby McPhelps a posté ce message Lun 20 Jan 2020 - 20:08 #


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Emilo & Ruby


Emilio Hendez, ou l’un des plus beaux partis de New York. Très riche, trop riche à mon goût. Un mec qui sent le sexe à trois kilomètres et qui malheureusement, ne me laisse pas indifférente. Il n’a jamais quitté mon esprit. Pas depuis le rapprochement téléphonique du jour de l’an. Je lui avais promis un baiser et un rencard. Mais à vrai dire, à tête reposée et une fois rentrée, j’ai jugé bon de couper les ponts. Plus aucune photo snapchat de jolis paysages d’Ecosse, plus aucun appel, plus aucun sms. Il a très vite battu en retraire, cause à effet qu’il a dû trouver un nouveau passe-temps. Et ça ne serait que mentir de dire que cela ne me faisait rien. au contraire, Emilio me plait un peu trop. Au point où j’ai dû mal à réfréner mes sentiments quant à ce mariage désastreux car il m’a fait prendre conscience d’une chose : je ne pouvais pas épouser Calvin. Je n’en avais aucune idée. Et pourtant : j’y étais forcée. Calvin m’offrait un avenir confortable, une sécurité alors qu’Emilio me briserait à coups sûrs le cœur en mille morceaux. Donc, je bois pour oublier. Oublier que cet enterrement de vie de jeune fille aurait dû m’emplir de joie à l’idée que de me faire passer la bague au doigt alors que je suis clairement en deuil. En deuil de ce que nous aurions pu construire si je n’avais pas été si lâche. Je danse à en faire flamber mes pieds pour me délivrer de ce poids qui pèse sur mes épaules.

Seulement, je finis au sol comme une gourde alors qu’un homme se tient au-dessus de moi. « Pitié me violez pas, j’ai très mauvais goût, dis-je plus pour moi-même que pour le monsieur. » Je n’ai pas le loisir d’entendre sa voix à cause du brouhaha qui règne et de ma tête. Je saisis cependant sa main -très chaude- et je me redresse avant de me masser l’arrière du crâne. « Han je vais avoir une bosse. Au revoir peu de matière cérébrale qu’il me restait. » Je secoue la tête avant de me tourner vers mon sauveur à qui je dois une cigarette. Bon déjà, je ne vois que le sommet de sa tête. Le monsieur est tout petit. Alors je baisse le regard pour rencontrer celui d’Emilio. Je le reconnaitrais partout puisque nous avons passé une nuit au téléphone. « Oh mais t’es tout petit. » Ok, bonjour à toi aussi Ruby. Je tapote sur sa tête. « Bonsoir petit pokémon trop sexy pour être approchable. » Je souris avant de tanguer un peu et qu’il me rattrape. « Donc c’est toi le cadeau de Josie. Je m’attendais à un homme à poil. Non pas que je ne sois pas contente de te voir mais en fait, je peux pas te voir. Parce que tu m’attires trop et que si on se retrouve dans la même pièce je vais te céder… » Je tape du pied au sol avant de me tourner vers Josie qui nous sourit depuis la table. Connasse. J’en ai passé des heures à lui parler d’Emilio. Ainsi qu’à Tyler. Saute-le. Tout le monde m’a dit de coucher avec lui. Je hausse les épaules avant de tourner les talons en jurant dans ma barbe.

Une fois à l’extérieur, je constate qu’il neige. Je ris comme une débile avant d’aller sous les flocons. « Elle est pas cool, Josie. On invite pas le mec par qui on est attiré slash potentiellement obsédée au point de devoir l’éviter. Parce que tu vois, Emimi si je te laisse voir la couleur de ma petite culotte, tu vas prendre la poudre d’escampette. Et j’ai pas envie qu’on me brise le cœur à nouveau. La dernière fois… » Ok c’est le moment de fermer ma gueule. Je sors une cigarette de mon corsage ainsi qu’un briquet avant d’allumer ma clope et de lui tendre son dû. Je plonge mon regard dans le sien avant de déglutir. Ma bague de fiançailles se fait trop brillante à mon doigt. « Oh pis merde, hein. » Je ne dis jamais de gros mots. J’assume mon statut d’instructrice. Je l’attire d’une poignée de main à moi avant de prendre ma respiration. Puis ma main glacée s’attarde sur sa joue. « T’as gardé ta barbe, notai-je sans détacher mon regard du sien. » La neige commençait à recouvrir mon bout de nez mais j’étais habituée dû à mon sang écossais. Je ne réfléchis plus alors que je me penche pour déposer mes lèvres sur les siennes. J’aurai aimé le dispenser d’un baiser chaste. Comme la dernière fois. Sauf que malgré moi, j’y mets plus de passion que je ne le voudrais, enroulant mes bras autour de sa nuque pour me coller définitivement à lui. Hors d’haleine, je m’éloigne. « Bonne année, dis-je en tentant de reprendre mon souffle, je suis désolée mon amour de ne pas t’avoir donnée de nouvelles. J’ai trop peur de ce que je ressens en ta présence. » L’une de mes mains reste à caresser sa nuque alors que l’autre descend le long de sa colonne vertébrale. Je colle mon front contre le sien. « Tu me pardonnes ou je dois sortir ma capacité spéciale ? »





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Invité a posté ce message Jeu 23 Jan 2020 - 18:44 #


Sweet little unforgettable thing
Emilo & Ruby


J’aurais pu, dû ? la reconnaitre d’emblée. Personne n’est aussi rousse que Ruby. Mais tout semble tellement différent, cette fille danse comme si rien ni personne n’existait, et je peux encore me souvenir de cette autre soirée, où elle avait dansé, sans pour autant exhiber son corps par mille et un pas de danse délurés et appâtant. Cependant j’aurais carrément l’impression de la voir partout, de voir son visage dans chaque girafe rousse qui passe sur mon chemin. Et des rousses aux jambes interminables, il n’y en a pas mille. Sentiment doux amer, tout de même. Ca me rappelait tant ce temps, quelques mois en arrière ou j’avais encore l’impression de voir le visage d’Adonia partout, tant elle me manquait. Sentiment doux amer, de devoir faire à nouveau le deuil de quelque chose qui n’avait même pas pris forme. L’impression fragile d’avoir un ange et un démon sur chaque épaule. L’un me disant de garder espoir, l’autre me rappelant que je ne mérite pas grand-chose, que tout ce que j’ai eu je l’ai perdu. Mais elle est là, ce soir, à mes pieds, aussi ivre que possible. « Aucun risque. » lançais-je, alors que la musiques et les cris des gens heureux couvrent ma voix. J’hésite entre la trouver adorable, et la trouver amusante, je l’ai reconnue de suite. Douce Ruby. Sans filtre, à dire tout ce qui lui passe par la tête. Trop vite elle me surplombe, et vient même me tapoter sur le crâne. Elle est faite comme jamais. « Un Pokémon ? Vraiment ? » Répondis-je amusé, un sourire esquissé sur mes lèvres. Elle manque encore une fois de tomber, mais je resserre ma prise autour d’elle, bon sang, elle va faire un malaise, ou me vomir dessus, ou faire un malaise en me vomissant dessus… Aucune des options n’est sincèrement satisfaisante. Je déchante vite, quand elle parle pour me dire qu’elle ne peux pas être avec moi sinon elle va me céder. Alors comme ça, il restait un peu d’espoir quand même. Elle est mon dernier espoir. « Je n’allais pas arriver nu en effet. C’est malheureux… J’avais pourtant l’impression que… » J’ai pas vraiment le temps de continuer, qu’elle m’échappe et en marmonnant


Je la suis tout de même parce qu’elle ne marche pas droit et que j’ai peur pour sa sécurité, elle n’est pas fort habillée, et elle risquerait de se faire attaquer par quelqu’un qui ne voudrait pas de sa sécurité. Je la retrouve à rire sous les flocons, et j’ai du mal à ne pas la trouver adorable. Quand elle pose les yeux sur moi, elle vide son sac, et chaque mot est un coup dur. J’ai la réputation de ne pas être quelqu’un de très stable et saint depuis que ma vie a basculée certes, mais je ne suis pas non plus le pire des connards. J’ai eu une vie stable quand Adonia était parmi nous. C’était plus simple quand elle était là Adonia, elle rendait ma vie stable. Depuis j’ai enchaîné les conquêtes certes, je faisais en sorte de ne jamais rappeler certes, mais depuis le nouvel an, je n’ai croisé la route de personne. Incapable de voir autre chose que son visage quand je regarde une autre femme dans l’espoir d’avoir quelque chose de plus. Incapable de continuer, sans que son ombre vienne, et me détourne du chemin. « Ruby, c’est trop simple de me voir comme ça. Peut-être que j’ai pas envie de la prendre, la poudre d’escampette. C’est pas ce que je veux. Mais ça m’a l’air plus simple d’écouter ce que tu as entendu de tes amies, que de nous accorder du temps, visiblement…»  Presque trop déçu pour que ce soit vrai. Je ne suis pas quelqu’un de foncièrement mauvais, et au fond, je crois que j’y tiens à Ruby, peut-être trop. J’allais réfléchir à rentrer, quand je croise son regard. En quelque secondes, nos corps se frôlent, attiré à elle, comme à un aimant. Mes mains se referment autour de sa taille, souriant de sa remarque. « Atout charme il parait » c’est faux, c’est surtout un manque de courage de raser la repousse qui commence à se faire un poil longue.


Les premiers flocons se font sentir sur ma peau, alors que l’ambiance pourtant, nous réchauffe dans un baiser long, passionné, contrastant avec la douceur de ses lèvres contre les miennes. J’en ai rêvé, bien des nuits, depuis qu’elle avait disparue de la circulation, de mon monde, de pouvoir la revoir et l’embrasser. Chose faite, et dios moi que je l’ai apprécié. J’aurais pu rester là pendant des heures, à ce que nos lèvres se meuvent ensemble, en pleine harmonie, avec fougue, et douceur. Le souffle se fait court quand tout ça prend fin, mon cœur battant. Son touché se fait délicat, et ma peau réagit du tac au tac, me secouant de grands frissons. « Bonne année, amor » Répondis-je, laissant une main, venir apprécié le contact de la peau de son visage à la douceur incomparable. « Tu es toute pardonnée… Bien que cette capacité spéciale ait le don de m’intriguer » Répondis-je, amusé, les yeux brillants d’un sourire qui n’appartenait qu’à moi, douce Ruby avait des atouts dans sa manche, atouts que je voulais découvrir, au fur et à mesure, pour n’en savourer que les avantages. « Tu m’as manqué, pendant ce temps, cariño » Murmurais-je en la regardant des les yeux, venant lui voler un baiser furtif, puis un autre, laissant comme une empreinte fantôme sur ses lèvres. « Ne me refais jamais plus un tel coup. » De l’extérieur, ça aurait pu paraître déplacé, mais je crèverais, si une fois encore j’avais le cœur brisé.




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Ruby McPhelps
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Ruby McPhelps a posté ce message Jeu 23 Jan 2020 - 23:51 #


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Dépliant mon mètre soixante-dix-sept rehaussé de dix, je faisais face à Emilio. Sous les lueurs fantasmagoriques des trombinoscopes, il ne m’a jamais paru aussi séduisant. Alors que je tapote sur le dessus de son crâne, je lui sers un éblouissant sourire. sans réellement le vouloir, le demander. Je me mets à parler. trop vite, sans queue ni tête. Mais j’étais tiraillée. Entre mon cœur et ma tête. entre mon envie et mon devoir. Mon envie, eh bien, je voulais seulement l’avoir avec moi. Tandis que mon devoir me poussait à me marier. Et comme énième rappel : ma bague de fiançailles affreuse et tape à l’œil. Comme si dans le fond, je n’étais qu’un trophée de plus. Je me contente de le planter en marmonnant des mots en gaélique à ma seule connaissance, me doutant que je devais l’avoir sur les talons. A l’extérieur, l’univers est féérique, enchanteur. J’ai toujours aimé la neige. J’ai toujours aimé l’hiver. Mes extrémités glacées et mon teint de porcelaine pouvaient en témoigner. Mon regard se pose sur Emilio et encore une fois, je parle trop. Sa réponse est comme un appel du cœur. Je le sens sincère, sobre. Mais je ne peux pas me permettre d’aimer à nouveau. Cette éventualité m’effraie. « Emilio, c’est plus compliqué que cela ne puisse le laisser paraître. » Je m’approche de lui pour venir joindre nos mains un instant avant de déglutir. Je fixe le sol sans réellement pouvoir lui faire face. Une part de moi avait envie de se laisser tenter. De l’aimer. Je commençai à peine et je sentais que cela me dévorait les entrailles. Doucement, j’incline la tête sur le côté avant de venir me saisir de ses doigts que je fais remonter le long de mes poignets. Poignets où trônent des cicatrices affreuses. Signe de mon échec dans la tentative d’en finir avec la vie. « je te l’ai dit, c’est compliqué. » Mon regard capture à nouveau le sien. Nous n’étions tous les deux que cendres. Serions-nous capables d’allumer à nouveau le brasier ?

Ma bouche glisse sur la sienne, l’effleure, la goûte. Pour finalement céder. Mon corps se rapproche du sien alors que les mains du portoricain se posent sur mes hanches. Dans ce baiser, j’y mets non seulement de la passion mais également mon désespoir. Mon espoir qui semblait renaître à son contact et qui m’effrayait plus que je ne le voudrais. J’aurai dû rester de glace, j’aurai dû rester en retrait et loin de lui. Hors d’haleine, nous nous regardons alors que la main du brun glisse sur ma joue. Mécaniquement, je penche la tête sur le côté avant de fermer les yeux à son contact avec un sourire idiot sur les lèvres. Le sourire d’une femme qui était en train de tomber, de tomber de très haut. « Tu la verras dans peu de temps. » On pourrait remercier Josie qui avait besoin de s’exhiber. Je colle mon front contre le sien alors qu’il vient effleurer mes lèvres une fois encore, puis une autre. Je sens comme un brasier au fond de moi qui s’anime, qui me dévore de l’intérieur. De nouveau, je l’embrasse. De manière plus animale, plus sauvage. Je m’apprête à le coller contre le mur alors que la porte s’ouvre à volée. Je detourne le regard, sans m’éloigner de lui. « Bon les ados en chaleur, je sais que ça fait deux ans, mais Ruby on a un planning et c’est à notre tour de faire le show. » Comment on mime tu me casses les pieds ? « Merci de rappeler que Mini Gandalf est à sa place depuis tout ce temps. » Je lève les yeux au ciel avant de glisser ma main dans celle plus imposante d’Emilio. « on dirait que tu vas avoir ta réponse sur ma capacité spéciale. » Je me tourne vers lui avant de tapoter son nez de mon index. « Mais tu risques de tomber amoureux. C’est indépendant de ma volonté. »

Pourquoi est-ce que je dis ça moi ? Suis-je à ce point bourrée ?

Je lâche petit à petit sa main alors que nous arrivons devant les socles avec les barres. Un coin privé qui a dû coûter une fortune à Josie. Je fais donc craquer ma nuque alors que la musique lente retentit dans l’habitacle qui nous était reservé. Doucement, je lève ma jambe pour venir l’enrouler autour de la barre de pôle dance et m’envoler petit à petit tandis que mes doigts effleurent la joue d’Emilio. Josie m’imite dans des mouvements plus parfaits que les miens. Après tout, nous prenons nos cours ensembles. J’ai eu des difficultés à apprécier le pôle dance au départ car c’était un souhait de Calvin. Et cette sensation de voler, de puissance m’a plu. Les figures s’enchainent. Certaines techniques, d’autres plus aériennes alors que nous tournons autour sans réellement nous soucier du regard des autres. Je me saisis de la main de Josie qui se décolle de son support pour venir se trouver sur le mien. Mes cheveux tombant en cascade, voltigeant autour de moi comme un brasier enflammé. La chanson joue avec nos nerfs, avec le rythme. Tantôt lente, puis sur un rythme endiablé de dancefloor. Alors que je me laisse choir le long de la barre mes lèvres trouvent celles d’Emilio pour venir me superposer en douceur alors que mon corps se détache progressivement pour toucher la terre ferme. Je finis par m’écarter de lui après que mon pied gauche se soit posé. Je me penche à son oreille pour venir passer une main dans ses cheveux. « Je sais aussi le faire en retirant mes vêtements. Mais je pense qu’il faudrait une certaine intimité pour que je te montre cette variante. » Je souris avant d’aller m’asseoir et de tapoter la place à mes côtés. « Je savais que vous deux ça marcherait, nous clame Josie en me tendant un verre. » Je croise mes jambes avant de soupirer. Ma main se pose sur la cuisse d’Emilio alors que ma tête vient se nicher dans son cou. « Je pourrais tomber amoureuse de toi tu sais, chuchotai-je pour nous deux, mais j’ai peur que tu me réduises en cendres. Surtout quand tu auras goûté à la douceur de mes cuisses et au fait que je suis une calamité au lit. » Oh franchise quand tu nous tiens.






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Invité a posté ce message Sam 25 Jan 2020 - 0:44 #


Sweet little unforgettable thing
Emilo & Ruby


Je ne devrais pas la trouver la jolie dans cet état, je ne devrais pas laisser mes instincts me contrôler, et m’en faire oublier qu’elle est ivre. Mais je ne l’ai jamais vu autant sourire, être aussi libre, de ses mots et de ses gestes. Comme si l’alcool faisait se lever le moindre voile qu’elle posait sur elle tous les jours, pour la bienséance ou que sais-je vraiment. Il n’empêche que la légèreté sur son visage, ce sourire presque trop rayonnant à travers les stroboscopes, la rendent bien plus belle qu’elle ne peut l’être naturellement. Elle parle sans s’arrêter, comme si elle savait que personne ne saurait l’arrêter, comme si elle savait, qu’elle était libre d’être qui elle voulait être et comment elle voulait l’être. Je devrais m’en tenir éloigné, surtout quand elle est dans cet état, parce que c’est sûrement mieux pour elle, et peut-être même mieux pour moi, mais c’est plus fort que moi, j’ai bien du mal à m’en tenir loin, c’est une torture que d’être loin d’elle. Je l’ai si mal vécu, de n’avoir aucune de ses nouvelles. Ca joue avec mon cœur, avec mes émotions, ça me rends presque trop vulnérable, ma tête est un bordel sans nom. « Rien n’est compliqué, il faut seulement le vouloir » Répondis-je en haussant les épaules, comme si c’était comme bonjour. Probablement pas, mais il faut bien quelqu’un qui le pense, sinon, on ne s’en sortira pas. Il n’y a sûrement aucunes issues, de toute manière, je sais bien qu’elle est fiancée, et que je ne peux pas me permettre de ruiner un mariage, juste parce qu’elle me tourmente, un peu trop. Mais tout est toujours trop compliqué, le deuil à gérer – Spoiler alert : je gère mal le deuil. ses fiançailles avec un homme qui ne l’aime pas. Je ne prétends pas que je serais meilleur que lui, non, je ne le serais pas, j’ai beaucoup trop de défauts pour l’être, je comporte trop de risques pour que sa vie, soit meilleure avec moi. Après tout, un homme qui a des problèmes d’alcool, trop seul pour gérer un empire, condamné à cette solitude, ce n’est pas forcément quelqu’un de bien, et qu’on aimerait fréquenter. En passant mes mains sur la peau zébrée de ses poignets, je ne sais m’empêcher de lui lancer un regard qui en dis long, plein de curiosité, et de tristesse. J’ai peur de comprendre. Chacun se manière de gérer les choses après tout… Deux âmes brisées, c’est sûrement ça, que nous sommes, peut-être serons-nous salvateurs, ou déclencheurs d’un feu qui nous tuera tous les deux.

Mail il y a ce baiser, ardent, presque brûlant de passion. Mélange d’espoir, de désir, de passion, de désespoir, de déception. Un cocktail molotov d’émotion, qui fait exploser mon cœur et mes barrières. Qui me fait doucement tomber sous son charme, comme si je ne l’étais pas déjà assez… Tout comme Icare trop près du soleil, je me brûle doucement les ailes, la chute sera terrible. J’ai peur du retour à la réalité, du jour où elle portera le nom d’un autre, que tout espoir sera étouffé dans l’œuf. J’ai peur de me rendre compte que je n’étais que l’histoire d’un soir d’ivresse. C’était donc ça, qu’elles pouvaient ressentir, quand je fuyais, à l’aube, alors que Morphée les gardait prisonnières pour quelques heures encore ? Nos échanges sont sanguins, menés par la simple pulsion d’un désir que je ne saurais exprimer avec des mots. Animals, presque fais de simples systèmes de reflexes. Je suis incapable de m’en éloigner, incapable de mettre fin à tout ça. Je ne peux pas, et au fond, je crois bien que je ne le veux pas. Pourtant, je suis sobre. Je devrais avoir le contrôle de moi-même, de mon esprit, mais je ne suis plus qu’un corps animé par le brasier qu’elle a rallumé d’un baiser, d’un regard, d’un touché. Je savoure le goût de ses lèvres, la sensation de sa peau sous mes doigts… Une porte claque faisant exploser mon monde, réduisant le brasier à une petite flamme vacillante. Les mots de Josie me font rire, j’ai passé la quarantaine, loin d’être un ado, si l’on peut dire. « Serait-ce vraiment un problème si c’était le cas ? » Lançais-je à Ruby dans un sourire, avant de la suivre dans la salle, nos mains nouées.

Ce a quoi je vais assister, est tout simplement une invitation à l’amour. Qui pourrait regarder une telle scène sans même tomber amoureux ? Un homme même saint d’esprit, aurait toutes les intentions du monde, en la regardant. Son corps est gracieux, autour de cette barre de métal, le moindre de ses mouvements est si fluide, que j’ai l’impression d’en voir le moindre détail. Totalement hypnotisé par cette chevelure de feu qui ondule au gré de ses mouvements, je suis incapable de regarder ailleurs, fasciné par ce qu’elle représente à cet instant présent. Je réponds automatiquement à ce baiser qu’elle m’accorde en se laissant glisser jusqu’à moi. Bordel, si elle n’était pas réelle, il aurait fallut l’inventer, parce qu’aurais troublante, et enivrante, on ne fait pas. « Je me souviendrais de nous offrir un peu d’intimité dans ce cas. » Répondis-je d’un regard entendu, avant de m’installer à ses côtés, sous le regard joyeux de notre amie commune. Rien n’est pourtant fait entre Ruby et moi, tout peut encore changer. Puis tel un chaton, elle vient nicher sa tête au creux de mon cou, me murmurant des paroles qui font battre mon cœur. « Tu auras sûrement oublier tout ça demain, mais c’est moi qui suis en train de tomber amoureux de toi, Ruby… » Avouais-je à demi-mot, un bras autour d’elle, mon pouce venant longer sa colonne vertébrale. C’est la soirée trop honnête, je serais pardonné. « Je ne le ferais pas, parce qu’aucune femme n’est une calamité au lit, seul l’homme est responsable d’une soirée qui se passe mal… L’homme qui t’a dis cela est un menteur, et une tanche, visiblement. Je pourrais te montrer, à quoi ça ressemble une vraie nuit, où tu seras mise en valeur, aimée, et respectée… » Lançais-je en la regardant, menant mon verre de Red Bull à mes lèvres, plus que sérieux. Elle n’avait qu’à demander, et je l’emmenais n’importe où, pour lui montrer qu’elle à sûrement tort. « Tu es libre de ce choix… » En soit ça voulait dire : Laisses-moi t’aimer pour une nuit, je sais que je vais le regretter, parce que tu ne seras jamais à moi, mais bordel qu’est ce que j’en ai besoin.





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Orientation sexuelle : hétérosexuelle
Statut civil : enceinte de jumeaux et fraichement larguée par Emilio
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Ruby McPhelps a posté ce message Sam 25 Jan 2020 - 1:18 #


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Alors que je tournai autour de la barre, je me sentais libre. Je n’avais plus le poids de ce mariage qui m’empêchai de vivre. J’étais dans un autre monde. Dans mon monde à moi. J’étais presque seule. constamment depuis la disparition de Sally. Au départ, je croyais en ma bonne étoile, qu’elle soit toujours avec moi, comme hantée à jamais. Et au final, je me suis retrouvée seule. Calvin m’a tendu la main, offert un réconfort salvateur. Mais dans le fond, je ne l’aimais pas. et je ne l’aimerai sans doute jamais. Je ne m’en sentais pas capable. Avant de tomber sur Emilio, je me croyais comme éteinte. Comme des cendres. Il a animé quelque chose en moi. je connaissais certains détails de sa vie mais lui ne savait rien de moi. alcoolisée, je me sentais le soin de me confier mais je n’étais pas seule. Josie était là. Mon ange d’épaule. Alors que je glissais jusqu’au brun, que nos lèvres se rencontrèrent à nouveau, je souriais. Un vrai sourire. Je me laissais glisser jusque dans ses bras alors que la bague se faisait plus pesante que jamais. « Quand tu veux, murmurai-je à son oreille avant de raffermir mon étreinte. » A l’extérieur, nous n’étions que des amants alors que de l’intérieur, nous n’étions rien. Promise à un autre, forcée de me marier. Je ne savais pas trop comment me dépêtrer de cette situation. Alors que je vins m’asseoir, nichant ma tête dans son cou, mon amie nous dévisageait. Je lui fis les gros yeux alors qu’elle se leva pour s’en aller. Nous laissant une certaine intimité. Dans cet endroit clos. « Tu ne devrais pas Emilio, je suis complètement frappée. » J’étais bourrée de tocs en tout genre et j’ai un passif psychiatrique beaucoup trop lourd à porter.

Je décide de me redresser alors que nous en venons à parler de sexe. Je lui ai déjà soufflé l’idée alors que nous étions au téléphone pour le nouvel an. « J’aimerai… » Mais le fond, qu’est-ce que je voulais ? Je ne pouvais pas jouer avec le cœur d’autrui. Machinalement, je fais tourner ma bague de fiançailles autour de mon doigt avant de prendre une profonde inspiration. Et un shot qui me fait grimacer. « Nous sommes trois dans ma famille. Nous étions trois plutôt. Callum est mon ainé. Marié, heureux en ménage. » J’ai un rire doux amer en me rappelant de son mariage et du scandale qu’a fait ma sœur jumelle à la cérémonie. « Sally était mon ainée de quelques minutes. Pétillante, un modèle identique sauf qu’elle s’habillait de manière plus… courte. » Je devrais me taire vu mon accoutrement. Lorsque je me suis regardée dans le miroir un peu plus tôt, j’ai cru la voir. Et non moi. « Elle voulait devenir actrice. Elle a rencontré Calvin comme ça d’ailleurs. » Je me verse un nouveau verre d’alcool. « Je ne veux pas me marier. Il ne me connait pas. Cette bague… trop chère pour moi. trop tape-à-l’œil. Mais je suis forcée. » Et je voulais qu’on me sauve au plus profond de moi. je me déplie pour venir défaire la fermeture de ma robe. « Quand elle est morte, on m’a internée. » Je montre les cicatrices à mes poignets. Perdre un jumeau est comme un cri du cœur. On a l’impression d’être coupé en deux. De ne pas savoir surpasser cette perte. « je suis devenue tarée. J’avais cette impression qu’elle me hantait. Calvin m’a sauvée. » D’une certaine manière. L’épouser était une chose réconfortante. J’avale un nouveau shot de tequila en renversant la tête. Puis, je défais le tissu qui glisse le long de mon corps, dévoilant mes formes.

L’alcool me faisait beaucoup trop parlé alors que je tanguai un peu trop. « Je suis complètement tarée. Je suis bourrée de tocs. Mon appartement est l’équivalent d’un zoo. Et je ne peux plus me risquer à aimer. » Une larme solitaire roule sur ma joue alors que je la chasse d’un revers de main. J’ose me tourner vers lui avant de venir prendre place sur ses genoux à califourchon. Ma main s’attarde sur sa joue tout doucement. Je ne voulais pas qu’il me prenne en pitié mais j’avais besoin qu’il connaisse mes motivations. Je viens fixer la bague avant de la retirer. « Quelqu’un qui avait pris le temps de me connaître saurait que j’aurai aimé l’anneau unique et non un diamant. Tout comme j’en ai rien à foutre de ton fric. Ou de celui de n’importe qui. » Je viens coller mon front contre le sien en fermant les yeux alors que ma bouche effleure la sienne. J’ai trop bu. Beaucoup trop. « Je suis… je me refuse à lui depuis deux ans pas parce que… je suis une calamité. Mais parce que je ne veux pas d’enfants avec lui. » Je viens caresser sa bouche de mon index avant de couper tout élan de spontanéité avec un baiser beaucoup plus tendre, plus romantique que les précédents. « Je suis au courant pour ta femme. Et je n’ai rien à t’offrir Emilio. Je suis complètement brisée et je ne suis personne. Juste une petite institutrice en maternelle qui rêve d’un grand geste romantique. » Je ne savais pas encore quoi mais je trouverai. Je viens m’écarter pour plonger mon regard dans le sien. A moitié nue sur lui. Je ne détourne pas le regard avant de passer une main dans ses cheveux. « Tu veux toujours… » Je grimace en dodelinant de la tête. « … me faire l’amour tout en sachant que je ne suis rien ? » Mon regard dérive un peu plus bas, signe de fuite et de honte de soi. D’un certain manque de confiance même si j’avais noué mes longues jambes autour de sa taille. « Bon pas ici bien entendu. Je ne sais même pas pourquoi j’ai ôté ma robe. Sans doute parce que je me suis mise à nue au sens propre comme au figuré, dis-je avant d’éclater de rire. »
Complètement tarée je vous dis.







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Invité a posté ce message Dim 26 Jan 2020 - 16:46 #


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Emilo & Ruby


Seuls face à nos sentiments débridés, qui sait comment va se terminer cette soirée ? J’ai des doutes quand a sa fin, j’avouerais. Ses mots me font tiquer. Elle a une estime d’elle-même si basse que ca aurait tendance à me rendre triste, j’aimerais qu’elle ait une autre vision d’elle-même moins fermée, plus ouverte sur la réalité, Ruby est une femme magnifique, et quelqu’un qui oserait prétendre le contraire est une personne qui manque sincèrement de sérénité d’esprit. Puis doucement la conversation dérive sur un sujet plus intime, déjà abordé précédemment lors de l’appel téléphonique du nouvel an. Bordel, j’aurais pu m’abandonner dans ses bras maintenant, en lui laissant le choix de nous laisser une chance de s’aimer pour une nuit, juste une nuit, sachant pertinemment que demain rien ne sera plus pareil. L’atmosphère autour de nous change, se charge d’émotion alors qu’elle se confie à moi, s’ouvre sur son passé. C’était inattendu, mais l’alcool ouvrait les vannes, je savais de quoi je parlais, j’avais eu tant de soirée alcoolisée, qui ont tournées à la confession party. Je l’écoutais d’une oreille attentive, près à intervenir s’il fallait la réconforter, ou lui montrer mon soutien. Son histoire me touche, j’ai perdu toute ma famille, je sais combien le deuil est difficile à gérer. Elle enchaîne les verres, me brisant le cœur un peu plus, alors qu’elle s’ouvrait sur le fait de ne pas vouloir de cette union avec l’autre grand daddet. « Amor… Si tu savais combien je suis désolé de tout ça… » Lançais-je alors qu’elle continuait sur sa lancée. J’avais l’amer impression de ne rien pouvoir faire, d’être totalement impuissant face à sa détresse, à son manque de confiance en elle, face à sa tristesse. J’aurais aimé, l’ôter à ses obligations, la prendre et l’emmener loin d’ici. La sauver de son destin trop tracé. Faire de s vie quelque chose de mieux, ôter ses vilaines cicatrices de ses poignets, qui me fendent le cœur en mille morceaux.

Mise à nue, ou presque, devant moi, elle se révèle, et je la laisse faire, sans jamais l’interrompre, parce qu’elle en a besoin, porter un tel poids sur les épaules c’est trop lourd, personne ne peux faire ça indéfiniment, c’est bien trop compliqué de faire face à la douleur que ça peut engendrer. Presque comme un appel au secours, que j’entends, mais auquel j’ai si peur, de ne pas savoir répondre de la bonne manière. « Ne pleures pas, amor, je t’en prie… » Soufflais-je en venant essuyer d’un revers de pouce cette larme solitaire qui ruissèle sur sa joue. Je comprends bien trop sa peine, sa réserve, sa peur d’aimer à nouveau. Si je m’autorisais d’aimer à nouveau, moi-même. Je m’exposais au risque d’en souffrir. Parce qu’aimer, c’est s’autoriser à tout perdre, un jour. Tout est éphémère. L’amour l’est, la vie l’est. Rien ne reste. Mais elle, elle, j’aurais voulu la rendre éternelle, pour pouvoir rattraper et effacer toute cette peine, et lui insuffler un peu de joie, prendre le peu qu’il me restait pour le lui donner. Je referme mes mains autour de sa taille, alors qu’elle continue doucement à s’ouvrir. Je lui rendait le moindre ses baiser avec une douceur qui nous était presque inconnue, comme s’ils étaient désespérés, en quête de réponses aux nombreuses questions. Comme de délicieux besoins auxquels nous prenions longuement le temps de répondre. Quand elle parle d’Adonia, c’est mon regard qui se teinte d’une émotion bien trop noire, me rappelant combien sa perte fut douloureuse, et combien j’ai du mal à m’en remettre. Dardé dans son regard, pendu à ses lèvres, esclave de ses mains, j’ai l’impression de n’être qu’à elle. L’ambiance feutrée autour de nous. Je sais que l’alcool la rends trop sincère, qu’elle regrettera surement tout ça demain, que je ne devrais même pas accéder à sa requête, mais quelque part, je crois sincèrement, que j’en ai besoin. « Tu es loin d’être rien. Je le veux encore plus, maintenant. » Soufflais-je en caressant sa peau par-dessus la dentelle qui l’habille un temps soit peu. « Je ne suis rien non plus. Qu’un homme brisé, mis à Terre. Je n’ai rien qu’un compte en banque plein, mais ça ne fais le bonheur de personne. L’argent ne fait pas tout. Je suis aussi triste qu’un mort, je me console dans l’alcool, pour oublier. Est-ce que tu crois que c’est mieux ? Que je pourrais t’apporter quelque chose de mieux ? Je ne sais pas, et pourtant j’en ai envie. » Lancais-je en la regardant dans les yeux, après avoir passé un doigt sous son menton pour la forcer à me regarder. « J’ai terriblement envie de te faire l’amour, Ruby… Parce que nous ne sommes rien, et que c’est comme ça, qu’on fera quelque chose de nos riens. J’ai envie de toi, affreusement. Parce que tu es toi, et que tu es ce a quoi je n’ai de cesse de rêver. » Trop sincère, putain qu’on me fasse taire, l’alcool m’aurait rendu ridicule, mais la sobriété me dénoue la gorge, ou juste le moment, qui fait que. Je me penche en la maintenant d’un bras, pour ramasser son vêtement, et le lui tendre. « Renfiles-la et allons ailleurs… » Lancçais-je, sachant pertinemment qu’aucun de nous deux, n’aurait la force de dire non à ce qui allait suivre. Je l’aide à refermer sa robe, et je l’embarque par la main après avoir rassembler nos affaires. On s’approche de Josie, qui pour une fois, a sa langue dans sa bouche et pas dans celle de Walter. « Je vais la ramener chez elle, on se voit plus tard. Merci pour la soirée. » J’expédie la chose, et on sort dehors une main autour de sa taille, pour m’assurer qu’elle ne tombe pas, malgré la quantité d’alcool ingérée.

Nous avions pris un taxi jusqu’à chez elle, profitant du trajet pour s’échanger quelques baisers, la température montant crescendo entre nous. Le reste de la nuit fût doucement délectable, un mélange de douceur, d’amour, de passion, de tendresse, alors que nous laissions nos corps s’unir dans une symbiose presque parfaite. Nous n’étions rien, mais deux riens, qui ensemble faisaient un tout. Plus en harmonie avec elle, qu’avec n’importe quelle femme que j’avais pu avoir dans ma vie depuis bien longtemps. Après des échanges de tendresse, je l’ai regardée sombrer dans le sommeil, parcourant chaque courbe de sa peau nue de mes doigts, comme pour imprégner la sensation de sa peau sous la mienne, en sombrant à mon tour. Je savais que demain tout s’écroulerait. La chute me sera fatale, mais ce soir, j’ai oublié ce que ça faisait, que d’être malheureux. Ce soir mon cœur a battu d’une manière différente. Ce soir, je suis tombé amoureux d’elle. Je me suis brûlé les ailes. Ce soir, j’ai décidé de laisser le passé au passé. Ce soir, je me suis décider à aimer, en sachant que j’allais la perdre. Instigateur de mon propre malheur. Morphée s’en viens, et m’emporte dans un rêve, ou elle est mienne…


The end



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