Fire meet gasoline || DARAM

L'espace d'un instant, il réalise. il comprend ce qu'il se passe alors que l'alcool semble s'être dissipé. pourtant c'est toujours, bien présent dans ses veines. Il en a la tête qui tourne, mais cette main qui frôle sa peau le fait percuter. Il comprend soudainement où il est, avec qui. Il comprend soudainement ce qu'ils s'apprêtaient à faire, et il prend peur, saisissant le poignet du garçon pour le stopper dans ses mouvements. Il assure ne pas être comme ça, ne pas être comme lui. le tacle encore une fois par la fermeté de sa voix, pourtant il en tremblerait. Il ne comprend pas ce qui lui arrive, d'où vient cette envie, cette pulsion qui le détruit et dont il n'avait pas encore connaissance. Jamais avant ça il n'avait eu ne serait-ce que la pensée d'embrasser un autre homme. Il est perdu, Daryl,  complètement paumé. Tout semble irréel, alors que William tente de le rassurer, capture ses lèvres une nouvelles fois. Crane se laisse faire, fronçant les sourcils, se maudissant intérieurement d'autant aimé ça. D'autant aimé ces lèvres, cette douceur, sa peau contre la sienne.

Le brun lui demande simplement de se laisser aller, glissant ses lippes de nouveau dans son cou alors que Crane ferme les yeux. Il est tiraillé entre cette envie qui le parcours, et cette raison qui le pousse à s'en aller. Il a envie de fuir, de tout oublié, parce que demain matin il faudra affronter l'idée. Mais il ne bouge pas, bien trop ancré au sol par ce furieux besoin de le garder contre lui. Daryl se laisse bercer, lâchant le poignet du garçon avant de remonter sa main jusque sa nuque. Il profite de ces baisers, de l'eau chaude contre sa peau, de toutes ces sensations bien trop agréables pour être réelles, bien trop douces pour êtres assumées au petit matin. Il plonge sa main dans la chevelure de son amant, cale une nouvelle fois sa tête en arrière. Il le regrettera, il le sait. Mais il ne peut pas résister. Il ne veut pas, non plus. Personne n'est obligé de le savoir, pas vrai ? Il y'a tellement de monde dehors que personne ne remarquera leurs absences. La musique est si forte, et l'eau de la douche assourdissante, personne ne les entendra. Et la porte est fermée, personne n'entrera...

Alors il se laisse doucement aller, se laisse porter comme le propose le garçon et récupère les lèvres de ce dernier avec avidité. Son cœur bat à tout rompre, sa respiration est catastrophique et il sait que ça n'ira pas en s'améliorant. Pire encore, il s'en fiche éperdument. D'un geste brusque, il échange les rôles, plaquant le garçon contre la parois sans quitter ses lippes. Enlevant les derniers bouts de tissus qui les séparaient l'un de l'autre, pressant son corps contre le sien. Il ne peut pas nier ses envies, ce désir qui le consume.  Sans doute qu'il le fera, plus tard, s'ils étaient amenés à se revoir. Mais sur l'instant, il ne pouvait pas mentir, parce que son corps tout entier parlait pour lui. Sans réfléchir, il quitte ses lèvres, rompt ces baisers à contre cœur, retourne son amant pour se poster dans son dos. Hésitant, un instant, il se perd finalement dans ses bras, prenant possession de son amant en retenant un soupir, les mains calées contre ses hanches.

Il ne se montre pas hésitant une seule seconde, ses lèvres trouvant celles de son amant sans se poser plus de questions. Mais ça ne semble pas vraiment être le cas de son amant, cet amant qui vient l’interrompre dans ses gestes alors qu’il cherchait juste à lui donner du plaisir. Et ça se confirme quand il cherche à se justifier, à prouver qu’il n’est pas un homme qui aime les autres hommes. Sauf que le mannequin se moque de tout cela, se moque de savoir qui l’homme aime en temps normal puisque, de toute façon, il n’est pas question de sentiments pour l’instant. Alors il cherche à le rassurer, lui déclarant qu’il n’a pas à être comme lui du moment qu’il se laisse juste aller. Et il le fait en douceur, lui laissant la chance de pouvoir tout laisser tomber et que cela s’arrête là. Pourtant ses lèvres viennent glisser de nouveau dans cette nuque, sur cette peau qu’il s’amuse à marquer légèrement et à plusieurs endroits.

Il lui laisse cette occasion de l’envoyer se faire, de l’éloigner de lui. Mais l’homme ne le fait pas, libérant son emprise sur son poignet pour venir loger sa main dans la nuque de l’étudiant. L’étudiant qui reste toujours tendre alors que sa main nouvellement libre vient se poser dans le bas de son dos. Il refoule cette envie de ne pas attendre, préférant prendre son temps par peur de brusquer Crane. Sauf que c’est lui qui reprend le contrôle, venant récupérer les lèvres de William qui gémit de surprise en se laissant aller contre lui. Surprise qui s’accentue dès que son dos rencontre la paroi de la douche et qu’ils perdent leurs derniers vêtements. Mais il ne dit rien, ne peut rien dire vu que leurs lèvres ne cessent de se retrouver.

Cela en est même frustrant lorsqu’elles se séparent et qu’il se retrouve dos à son amant, plaqué contre cette paroi sur laquelle il s’appuie alors qu’il sent son corps contre le sien. C’est hésitant mais libérateur quand il se perd totalement dans ses bras, ne retenant pas ses soupirs ou gémissements qui sont, de toute façon, cachés par le bruit de la douche et la musique. Alors il se laisse aller, vient récupérer l’une de ses mains pour la serrer alors que son corps ondule au même rythme que le sien. Lui, qui déteste perdre le contrôle habituellement, le laisse sans hésiter à cet homme. Il en oubliait même de réfléchir, se laissant porter par ce plaisir qu’il ressent.

Hésitant, Crane s'était finalement doucement laisser aller sous les conseils de son amant. Il se laissait bercer par son étreinte, par ses baisers, par toutes ces sensations qui le parcouraient et qu'il découvrait dans ses bras. C'était déstabilisant, et euphorisant. Une part de lui voulait fuir la pièce, l'autre refusait de bouger d'un pouce, bien trop à l'aise contre sa peau. Le moindre baiser l'électrisait, la moindre caresse le faisait frisonner. Daryl en tremblait, fermant les yeux pour profiter de cet échange. Et puis sa nature reprend le dessus, parce qu'il ne supporte pas ne pas avoir le contrôle des choses. Il ne supporte pas être simple spectateur, alors presque brutalement, il prend échange leurs positions, prenant possession de son amant. Il retenait ses soupirs, le moindre de ses râles, par peur d'être surprit. Mais personne ne pouvait les entendre, il s'en rendait bien compte en entendant le brun. la musique était bien trop forte pour être entendue, la bruit du ruissellement de l'eau cachait le moindre bruit provenant de la petite pièce. Rien ni personne ne pouvait faire attention à eux, comme s'ils étaient seuls au monde.

La main de William trouvait celle de Daryl, la serrant dans la sienne, tandis ce qu'il faisait de même, se laissant consumer par cette vague d'émotions, de sensations. Il ne laissait pas la place à la douceur.  Si tout le reste était flou, il était certain d'une chose; Il n'y avait rien de sentimental dans cet échange. Quelques heures auparavant, ils s'envoyaient des pics, alors que Crane agissait comme un parfait connard envers le mannequin. Et le voilà dans ses bras, se laissant aller à mesure que les minutes passaient, à mesure que le plaisir grimpait, laissant ses soupirs faire écho contre les murs de la salle de bain, serrant sa main de plus en plus fort jusqu'à atteindre les sommets. Ralentissant doucement le rythme, il essayait de retrouver une respiration correcte, un rythme cardiaque normal. C'était fulgurant, incomparable avec tout ce qu'il avait pu connaître auparavant. Et c'est bien ce qui l'effrayait d'autant plus; A quel point il avait aimé ça, ce moment, ses bras, sa peau, ses lèvres...

Il se détachait de l'étreinte de son amant, calant à son tour un instant le dos contre la parois, fermant les yeux pour reprendre son souffle avant d'éteindre la douche et d'en sortir. Il jetait à peine un œil au garçon, perturbé de ce qu'il venait de vivre à ses côtés, de tout ce qu'il en avait ressentit. Daryl récupérait ses affaires, se rhabillant rapidement avant d'enfin daigner poser ses iris sur le mannequin. Il n'osait pas parler, et ne trouvait de toute manière pas les mots adéquates. Crane hésitait un instant, se mordant l'intérieure de la joue avant d'approcher doucement de son amant pour capturer ses lèvres une dernière fois. C'était presque trop tendre comparé à ses précédents actes, calant sa main une nouvelle fois contre sa nuque avant détacher ses lippes des siennes. Il perdait un instant son regard dans le sien avant de s'éloigner, rouvrant la porte de la salle de bain pour rejoindre le salon sans un regard de plus. Du regard, Crane cherchait la petite brune, celle qui partageait sa vie, celle pour qui il portait cette alliance. Toujours accrochée à son inconnu, Crane les séparaient sans un mot, capturant les lèvres d'Elena sous le regard médusé de l'inconnu. Mais elle adorait ça, le fait même de se sentir désirée, de le savoir jaloux, possessif. Du moins c'est ce qu'elle avait l'impression de ressentir à travers ce baiser alors qu'elle rembarrait son Jules et se fourrait dans les bras de son mari. De son côté, Daryl attrapait une bière, sans quitter les bras de sa femme, posant son regard vers le couloir, espérant peut être malgré lui croiser le regard de William.

Un instant resté calme pendant quelques minutes, minutes nécessaires pour rassurer l’amant du mannequin en lui faisant comprendre qu’il se moquait de tout le reste. Ce n’était rien de toute façon, rien de plus qu’un simple moment de plaisir entre adultes. Même si le début de la soirée n’aurait jamais pu faire penser que cela se finirait comme ça. Alors il décide de juste en profiter, de tester les limites de cet homme qu’il connait à peine jusqu’à ce qu’il se retrouve à son tour contre cette paroi. Un instant bref, un instant rien qu’à eux et coupé du monde. Et William se laissait aller, profitant juste de ce plaisir qui lui était offert alors qu’il cherchait à être au plus près de cet homme. Il l’avait déjà vu, il avait déjà imaginé ce que cela pourrait être d’être à ses côtés, d’être dans ses bras. Mais, pour lui, il faisait parti de ces hommes sur qui on peut fantasmer sans jamais pouvoir avoir la chance de les approcher d’assez près pour ne serait-ce qu’imaginer partager plus qu’un simple bonjour ou un échange de regard involontaire.

Il n’y avait aucune douceur dans cet échange, juste de l’envie et une sorte de passion qui avait eu sa place grâce à la colère ressentie tout le long de la soirée. Une soirée mouvementée d’ailleurs, entre disputes et alcool coulant à flot. Une bonne soirée en gros, comme on les aime. Une soirée où on pouvait s’échapper le temps de quelques heures sans penser aux conséquences avant de se réveiller le lendemain dans le lit d’une personne inconnue au bataillon.  Mais là il n’est ni dans un lit ni avec une personne, totalement, inconnue. C’est juste un moment rapide dans une salle de bain. Un moment où il finit par atteindre le plus haut seuil de plaisir avant de se retenir contre le mur lorsque l’autre se retire de l’étreinte. Il tente de reprendre son souffle, il se retourne pour observer Daryl qui s’éloigne déjà. Qui se rhabille alors que lui prend place sous l’eau chaude. Passant une main dans ses cheveux, il ne le quitte pas du regard alors qu’il se rapproche de lui et vient l’embrasser. Et le mannequin se laisse prendre au piège dans ce baiser, s’attend presque à ce l’homme l’attende. Mais ce serait trop beau n’est-ce pas ? Alors il le regarde s’éloigner, s’en aller de cette salle de bain, pendant qu’il reste sous l’eau quelques secondes. Il le savait, au fond, que ce ne serait pas comme avec tous les autres mais ça lui faisait quand même un peu mal de se faire abandonner comme ça. il finit par sortir de la douche, prenant le temps de sécher ses cheveux avant de s’habiller et de quitter la pièce à son tour.

La première pensée qu’il lui vient en tête lorsqu’il se retrouve dans le couloir est le fait que la musique lui semblait beaucoup moins forte lorsqu’il était dans la salle de bain. Et la seconde est le fait qu’il a soif, très soif, et qu’il ne dirait pas non à une bière. Alors il se faufile dans la foule, son regard cherchant l’endroit où se trouve les boissons mais ce n’est pas elles qu’il rencontre en premier. Mais son amant qui a déjà retrouvé les bras de cette femme, de sa femme. Un sourire en coin, amusé, prend place sur ses lèvres alors qu’il s’approche d’eux pour venir chercher une boisson. « Ça va Elena ? Tu passes une bonne soirée ? » Et il ose un regard vers son mari, ne cachant pas son air amusé, alors qu'il attrapes enfin le précieux sésame.

Le moment avait été court, mais intense. Quelque chose que n'avait jamais connu Crane, et qui le perturbait au plus haut point. Il ne trouvait plus les mots, peinait à réfléchir, Il n'osait pas regardé son amant, tentant de comprendre ce qu'il venait de se passer. Une pointe de culpabilité, de panique dans le cœur. Non, il n'est pas comme ça, il n'est pas comme lui, et pourtant il se surprend à avoir aimé ça. A se retrouvé frustré loin de son corps, de ses bras. Alors une dernière fois, il s'approche, déposant un baiser sur les lèvres du garçon. Comme un au revoir, finalement. Comme pour clore correctement ce moment avant de s'éclipser.

Il fend la foule, le regard vissé sur la petite brune au fond de la pièce. il ne prête aucune attention au reste du monde, bien trop occupé à vouloir se changer l'esprit. Effacer ce qu'il s'est passé, peut être se rassurer au fond. Retrouvant sa femme, la débarrassant de l'indésirable pour lui offrir un baiser passionné. Elena est surprise, mais elle le pense jaloux, possessif. Elle ne voit que cette réponse à cet élan d'amour, de passion soudaine, et envoie balader son amant pour retrouver les bras de son mari. Il a toujours été sa priorité, tout comme elle sera toujours la sienne après tout. Elle ne se pose pas plus de questions que ça, parce que ce n'est pas la première fois que ça arrive, parce qu'elle le connait par coeur, parce qu'elle aime se retrouver dans ses bras. Se sentir aussi désirée, être traitée comme une reine, SA reine. Le sourire aux lèvres alors qu'Elena passe ses bras autour de son cou, il la serre contre lui avant que son regard ne soit happé. Cette silhouette, cette voix qui s'approche d'eux. Son coeur loupe un battement tandis ce que le mannequin s'adresse à la jeune femme.

Daryl détourne le regard, lève même les yeux au ciel en plongeant ses lippes dans sa bière alors que la brune répond souriante. "Plus que bonne !" Elle pose son regard sur Crane qui lui rend son sourire avant qu'elle ne reprenne. "Comment veux tu que je ne passe pas une bonne soirée avec cet homme là ?" Riant légèrement, elle dépose un baiser sur les lèvres de Daryl qui se sent soudainement bien loin d'être à sa place. "Et toi Will ? J'ai l'impression que t'as disparu, on te trouvait plus ! Où est-ce que t'étais ?" Crane évitait le regard du brun, plongeant son attention et ses lèvres dans le liquide ambré plutôt que sur la conversation. Cherchant déjà une manière de s'éclipser. "Je vais fumer." Mais la brune saisissait déjà sa main pour l'empêcher de partir. "Putain Lennie j'ai pas envie de rester avec tes potes complètement beurrés et sans intérêt." Son regard se portait sur William, presque malgré lui. Comme un pic envoyé pour se protéger, pour détourner l'attention de la gêne qu'il ressentait alors qu'Elena fronçait les sourcils. "Fais un effort bébé." Il libérait sa main de son emprise avant de soupirer. "Non merci." Contournant la jeune femme et bousculant l'épaule du mannequin pour se frayer un chemin jusqu'à la fenêtre. Une clope. il avait besoin d'un clope. Et d'air, surtout.

Intense et fugace. C’étaient sûrement les premiers mot que William utiliserait si on lui demandait de décrire ce moment passé avec cet amant. Il n’y avait eu que des pulsions et des envies qu’ils avaient vite réalisées, s’enfermant dans cette bain où le mannequin pensait juste avoir la chance de se disputer en paix. Sauf que rien ne se passait jamais comme on pouvait le prévoir, le mannequin s’étant retrouvé plaquer contre un mur avec des lèvres venant s’échouer sur les siennes. Et ils s’étaient séparés sur ce baiser, ce goût de trop peau qui restait sur les lèvres du brun alors qu’il avait observé l’autre s’en aller. Il était frustré de devoir déjà se séparer de cet homme, de le voir rejoindre sa femme alors qu’il se retrouvait seul. Mais il ne se laissait jamais abattre William, reprenant toujours cet air sûr de lui alors qu’il s’approchait déjà du couple.

Leurs regards se croisent au plus grand amusement du plus jeune qui affiche un sourire innocent avant de s’adresser à sa camarade. Il joue à l’innocent, à celui qui ne sait rien et ne voit rien. Mais il a cette envie d’agacer son amant, de le faire sortir de ses gongs. Mais son sourire amusé se fane un peu face à la réponse de la jeune femme, son regard se baisse même quelques secondes. Mais il relève directement son regard lorsqu’elle l’interroge à son tour, haussant doucement les épaules avant de prendre une gorgée de sa bière. « J’ai croisé une ancienne connaissance et on s’est réfugiés dans la salle de bain pour discuter en paix. Mais je ne vais pas tarder à y aller, mon copain m’attend.» Ce n’était pas totalement faux, il était vraiment dans la salle de bain après tout. Sauf que ce n’était ni avec une ancienne connaissance et c’était loin d’être une discussion tranquille. Mais il se voyait mal annoncer à la jeune femme que sa salle de bain avait servi à autre chose que le fait de prendre une douche ou un bain. Son regard se pose sur Daryl quand il annonce qu’il s’en va, descendant jusqu’à cette main qui l’empêche de partir pendant quelques secondes. « Tu serais peut-être plus comme moi si tu perdais ton caractère de merde, non ? » Sourcils froncés, il le fusille du regard avant de porter de nouveau sa bière à ses lèvres alors qu’il s’éloigne déjà.

Et il ne dit rien pendant quelques secondes avant de poser son regard sur la jeune femme. « Pardon, je me suis légèrement embrouillé avec ton mari au début de la soirée donc c’est un peu tendu. » Ce n’était pas non plus un mensonge, il y avait vraiment eu une dispute. Mais elle lui semblait beaucoup plus lointaine qu’elle ne l’était alors qu’il finissait son verre et le déposait près d’Elena. « J’y vais, mon mec est là. » Un mensonge de plus alors qu’il lui fait la bise et traverse la foule. Son regard se pose sur cette veste, l’ayant vu sur le propriétaire de l’appart, alors qu’un sourire amusé prend de nouveau place sur ses lèvres. Et il l’attrape avant de filer de l’appartement, l’enfilant rapidement en se disant que ça aura au moins le don de faire chier l’homme.