Les yeux à peine ouverts, elle se redresse, repoussant les draps et enfile le casque écouteur posé sur la table de chevet, syntonisant sans trop chercher le poste californien qu'elle a pris pour habitude de suivre au petit matin. Elle en retrouve la voix chaude et un brin enrouée de l'animateur tandis que ses pieds nus se fraye un chemin à tâtons jusqu'à la cuisine. Le froid de la céramique sous ses pieds la fait imiter un flamand rose tandis que le rythme musical cède bientôt la place au dj pour se faire un chemin jusqu'à ses tympans, animant tranquillement son corps qui se réveille pour accueillir une première dose de caféïne.
La tasse de café dans une main, le téléphone coincé dans l'élastique de son short de pyjama, son inconscient lui permet quelques pas de danse qu'elle ne calcule pas tandis qu'elle regagne sa chambre pour s'installer devant son miroir. L'éclairage brillant lui renvoie une image d'elle ébouriffé qui la fait grimacer minimement. Ce n'est qu'une question de minutes. Acceptant de se départir du casque pour quelque secondes, elle se retrouve rapidement coiffé d'un chignon temporaire, dégageant son visage pour commencer la tâche tout aussi habituelle de l'application de son fond de teint et autres produits, s'y retrouvant du bout des doigts, sans la moindre hésitation, entre toute les crèmes et poudre qui se trouve sur la surface devant elle tandis que les notes de musique se répercutent à nouveau doucement dans ses oreilles.
Une fois ses bases appliquées, elle prend le temps de repérer l'ensemble sur lequel sera jeté son dévolu pour cette réunion à laquelle elle doit assister. Il ne s'agit pas d'une réunion habituelle du lundi ou d'un rapport de production du vendredi, non, celle-ci s'est glissé sans gêne dans son planning du dimanche sans demander son avis ...qu'elle a tout de même donné.
Finalement vêtue d'un ensemble qui se veut décontracté mais tout de même étudié pendant un moment, sous tous les angles de son reflet, coiffé avec la même minutie relaxe, elle quitte l'appartement pour se diriger vers ce diriger vers le sombre coffee shop où on l'a convoqué de si bon matin.
* ☾ *
Portant un nouveau regard vers l'extérieur, elle laisse échapper un léger soupir. Pas mécontente que ses collègues l'aient finalement quitté, elle se dit que le tout aurait facilement pu être réglé par une simple conférence skype et qu'elle aurait pu vaquer à ses propres occupations. Pourtant, elle venait à son tour de convoquer Nolwen dans ce qu'elle avait d'abord pris pour une gargotte au détour d'une ruelle, alors qu'au final…
- Bon matin, chérie, salue-t-elle la brunette qui vient d'arriver, se levant pour lui coller une bise sur chaque joue.
S'installant à nouveau sur la chaise qu'elle vient de quitter.
- Fais-moi le plaisir de goûter leur café froid vietnamien, c'est probablement le meilleur que j'ai pu boire depuis des mois, si ce n'est des années, suggère l'anglaise avec un sourire.
Invité a posté ce message Mar 26 Fév 2019 - 15:57#
what is a morning without coffee ?
Foutu réveil. J’aurais pas dû travailler aussi tard sur cet article, mais faut dire qu’il est intéressant. Comment ne pas parler de ces articles qui permettent de moins pollué hein ? Pourtant face à ma page blanche, rien n’est venue et j’ai finis par me perdre devant un film sur Netflix.
Je soupire en regardant le plafond de ma chambre depuis déjà 5 minutes alors que d’un coup de pouce sur mon écran de portable, j’active l’ouverture des volets qui plonge ma chambre dans une lumière nouvelle. Il fait beau et j’ai pas spécialement envie d’aller au bureau. Je dois y passer pour y prendre des dossiers. Je finis par m’assoir sur mon lit en plongeant ma main dans mes cheveux et je frotte mes yeux. Je baille et finis encore une fois par m'étirer. Je sors de mon lit toute contente ce sera une belle journée j’en suis sûre.
Une fois debout et ayant bu le café du matin, celui qui réveille bien je file prendre une bonne douche et je part enfin de chez en direction du bureau. Une fois arrivé après un trajet plutôt cours, j’entre dedans. J’entends rien, c’est le cale, le néant c’est à peine si une mouche vole. Je souris et j’avance rapidement vers mon bureau, je prends mon dossier et des mouvements plus loin attire mon regard. Je souris et je voit une réunion en cours, je prends mes dernières affaire et je m’en vais, je n’ai de toute façon plus rien à faire ici.
* * *
Plus tard, je reçois un texto de ma douce amie, Cassandra. Cette femme avait tout pour elle, des yeux d’enfer, un corps à en faire pâlir plus d’un et d’une bien sûre, et un sourire qui couperait le souffle à qui le provoqueraient. Elle travaille dans le même journal que moi mais pas la même rubrique disons pour comparé que je fais des article qui m’inspire et elle c’est la mode qui la botte. On fur et à mesure on à finit par se croiser dans les couloirs puis échangeant à chaque fois un peu plus de mots on à finis par aller boire un verre, puis notre amitié est née. Je sais que ça paraît simpliste là mais en fait on à quand même mis du temps à se faire confiance pour certaines choses comme sur les bottins de l’entreprise par exemple, alors que maintenant c’est notre rituel. « Eh t’a pas entendu parlé de john du second ? Le gars du sport et lui ont… » Voilà un petit exemple de nos bavardages, et qu’on n’aime ça ou non c’est toujours amusant de partager ces petits trucs-là..
J’arrive dans le café qu’elle me dicte et j’avance vers elle, sa beauté est toujours plus forte à chaque fois et ça me fait sourire, elle me fais la bise et alors que je m’installe elle me propose de tester le dernier café à la mode. « Salut chérie, Carrément je teste ça alors, j’espère qu’il vaut le détour ! » Je pose mon sac prêt d’elle et j’en sors mon portable que je pose prêt de moi. « Alors quoi de neuf ? » Je sais qu’on démarre comme ça mais pouf bientôt on arrivera plus à s’arrêter de papoter.
Attirant d'un petit de la main et d'un large sourire la serveuse qui déambule entre les tables, elle n'hésite pas un instant à reprendre un café vietnamien qui a su apporter assez de joie à son palais dans les dernières heures pour endurer ses collègues de travail. Laissant la brunette face à elle commander à son tour, elle finit par ajouter, à la dernière minute, un simple bol de fruits frais. Elle savait déjà que quelques photos s'emmagasinerait sur la carte mémoire de son téléphone pour ses médias sociaux et son blog principalement. Sa rubrique conseils à la sauce "courrier du coeur" dans la revue ne se prêtant pas tout à fait à la chose.
- Si ce n’était que je viens de trouver le sujet de mon prochain article de blog, j’en aurais longtemps à me plaindre de m’être fait tirer du lit pour une réunion matinale un dimanche matin, indique la fausse rousse comme si elle avait pour habitude de traîner au lit jusqu'en après midi.
Elle ne le mentionne jamais, mais si elle arrive à avoir un teint frais et reposé à chaque matin en arrivant au boulot, c'est que ses journées commencent normalement avec un réveil au alentours de 5h15. Les journées de congés, le sommeil peut s'étirer jusqu'à 6h30, peut-être 7h00, mais encore, c'est un cas rare. Et ce n'est pas qu'elle est prise d'une obsession pour une sonnerie et les horaires réglées comme du papier musique, simplement qu'elle tient ce rythme depuis tellement d'années que son corps ne voit plus la possibilité de grasses matinées jusqu'à midi.
Mais le principe de Cassandra était tel : on ne touchait pas à ses dimanches à moins qu'elle ne daigne vous les accorder. Et rare était un tel accord qui ne coûtait un certain prix. Alors, vous imaginez pour le boulot? C'était sacrilège. Ça ne faisait pas. C'était même écrit dans la bible! ...et autre excuse qu'elle s'amusait à sortir avec plus de doigté, jouant de l'un ou l'autre pour faire pencher les cordes de sensibilités et finalement obtenir ce qu'elle voulait en échange. Cette fois, elle avait obtenue un long weekend de quatre jours et la possibilité de rentrer à midi seulement ce mercredi. Elle pourrait donc passer en première ligne pour l'ouverture de cette petite boutique qui avait attirée son regard.
- Qui a cru qu'une réunion de production un dimanche matin pouvait être une bonne idée? Questionne-t-elle sans réellement attendre de réponse, comme si elle énonçait des pensées à voix haute. Hum… probablement la même personne qui n'a rien d'autre à faire de son dimanche que de fixer les murs de son appartement depuis que son copain l'a laissé? Hypothèse-t-elle, avant de mettre le bout de ses doigts vernis devant sa bouche qui s'est modulée en un "Oh" surpris.
La surprise feinte d'avoir dit des paroles qui n'aurait peut-être pas dû être énoncées est activement démentie par l'amusement qui brille dans son regard. Non, même si elle essaie de le faire croire, il n'y a aucune innocence à ce propos dans les paroles de la fausse fousse.
J’étais arrivé dans ce café de coin de rue qui semblait vraiment sympa. J'étais entré et si j’avais pas déjà passé le pas de la porte déjà quelques fois pour rejoindre mon amie, j’aurais été encore une fois bluffé par la beauté de la décoration. Dans le style bohème épurée on trouve pas mieux, des murs blancs avec des touches de couleurs pâles de ci de là, fait que chaque recoin du café donne à faire des photos instagram sans problème. Je finit par m’avancer jusqu’à mon amie et je m’installe comme à chaque fois qu’on se rejoint. Je souris doucement en prenant la commande après qu’elle m’aie guidée sur quoi prendre. Il faut dire que question café mon amie elle s’y connait grave.
Je m’installe donc tranquillement regardant la serveuse repartir après qu’elle ai demandé des fruits frais et je souris grandement. « Parfait, des fruits frais, pile ce que je voulais, on partage ? » Je pose mon portable sur la table en l’écoutant me dire que si ce n’est qu’elle a trouvé son prochain sujet d’article y a pas vraiment de nouveau, après m’avoir dit qu’elle venait de sortir d’une réunion du bureau un dimanche matin. Encore une fois, je souris parce qu même quand elle râle comme ça j’arrive à la trouver adorable. Faut dire que Cassandra, c’est le genre qui est magnifique mais qui reste simple, elle fait tourner bien des têtes même au bureau mais presque elle ne s’en rendrait pas compte. Ça me fait beaucoup rire. « Je sais ma belle, j’était au bureau moi aussi, il me fallait un dossier que j’avais oublié et j’ai capté qu’il y avait une réunion, je savais pas que c’était ton groupe par contre. Quel sera ton prochain sujet du coup, on en parle ou tu garde le secret ? » Je lui fais un clin d’oeil.
Finalement vient le sujet du pourquoi une réunion un dimanche matin et je souris quand elle feint d’être surprise d’avoir lâché une bombe. Alors le patron serais célibataire ? J’ouvre grand les yeux comme subjugué par la révélation qu’elle vient de faire et je finis par rire. « Non, tu rigoles ! Il s’est fait larguée le patron ?! Raconte, comment tu sait ça ? T’a laissé traîner tes oreilles ? » Je pose mes mains à plats sur la table presque prête d’user de mon défaut professionnel et prendre des notes pour en faire un article. Je finis par pouffé de rire mettant ma main devant ma bouche quand enfin la serveuse nous apporte notre commande. Je souris à mon amie et je prends la tasse entre mes doigts. « Aller, let’s go pour goûter cette trouvaille… » Joignant le geste à la parole je finit par goûter au café en faisant les gros laissant trainer un gros doute sur mon avis…
Finalement après quelques secondes en regardant mon amie sans rien dire, je finis par reposé ma tasse sur son socle et je fais une grand sourire à Cassandra. « Wow, je comprends mieux pourquoi tu voulais que je goûte ce truc là, c'est tellement bon, si doux et en même temps si... Je ne saurais pas trouvé le mot je t'avoue. » Je souris et je m'adosse contre ma chaise en croisant les bras sur ma poitrine. « Alors, toi t'as des tonnes de choses à me dire et j'ai du temps à tuer alors accouche chérie, je t'écoute. » Je continue a sourire bêtement.
- Ha non, c'était l'idée de Marion! Corrige-t-elle en faisant référence à la femme d'une cinquantaine d'années - cherchant à en paraître trente de moins - qui dirige les chroniques mineures telles que la sienne : courrier du coeur, conseil hebdo, spot à voir, recommandations, etc. Et je n'ai rien laissé traîner du tout, fait-elle d'un faux ton offensé, comme si elle s'en trouvait soudainement offensée. N'était-ce pas simplement normale de se tenir au courant des rumeurs, ragots et autres? C'était pour son boulot après tout. ...Du moins, c'est ce qu'elle affirmait souvent avec une franche mauvaise foi. Ce n'est pas de ma faute si la pauvre pomme s'est carrément jeté sur moi en pleurant son histoire à chaudes larmes! Elle a écrit à ma rubrique, en mode anonyme, pour demander conseil!
La rose anglaise avait fixé l'écran d'ordinateur pendant un long moment lorsqu'elle avait reçu la demande d'aide sur la boite courriel professionnelle. Elle avait lu et relu les lignes, s'esclaffant par moments de reconnaître aussi facilement les expressions et manies typographiques de sa patronne qui semblait lui livrer si facilement les détails de sa vie. À tel point que, pendant un moment, elle avait cru à un gros test mal dissimulé de ses capacités à répondre. Cependant, elle avait bien dû se rendre compte que sa responsable de département la pressait de plus en plus pour qu'elle réponde à ce courriel en particulier, proposant de changer ses heures de publications habituelles sur le site web du magazine se servant de la classique excuse du "faire différent" à laquelle, elle avait répondu très professionnellement qu'elle ne jouerait pas avec les algorithme du site simplement pour s'amuser. Elle avait sourit, amusée, de voir sa supérieur hiérarchique retournée dans son bureau en rongeant ses ongles manucurés et coloré d'un affreux vernis. Si ça n'avait été que de ça, Cassandra se serait contenté de se dire qu'elle avait passé le test sans problème. Mais un second mail n'avait pas tardé à venir s'ajouter à la boîte de réception et avec les commentaires de sa patronne ce matin, ici-même dans ce café où elle avait traîner l'équipe, elle comprenait qu'à dire vrai ...la meuf était vraiment stupide au point de croire que toute la chose passait inaperçu. Du grand n'importe quoi!
L'arrivée de leur commande la détournant de ses pensées, elle prend quelques minutes pour réorganiser les fruits dans le bol, placer les tasses vitrées correctement afin de tirer quelques clichés sous différents angles avec les lentilles ajoutées à son téléphone pour être certaines d'avoir exactement la bonne pour l'article sur son blog et les commentaires sur ses différents médias sociaux. Elle avait d'ailleurs profité qu'elle attendait son amie pour en faire d'autres un peu partout dans le café, en ressortant différents éléments et détails qui viendrait colorer et appuyer son texte. Une fois l'espace sur la carte mémoire de son appareil un peu plus saturée, elle désigna d'un geste gracieux et naturel le bol à la brunette, comme une invitation muette à se servir si elle en avait envie.
- J'ai toujours raison ma chérie, fait-elle avec fierté en réponse à l'exclamation de Nolwen au sujet du café, la suffisance du commentaire étant légèrement atténuée par le regard moqueur. Léger comme un nuage après la pluie, compare-t-elle, jouant des mots et des images comme elle avait l'habitude, bien qu'elle ne se permettait pas nécessairement ce genre de comparaison sur les diverses plateformes sur lesquelles elle s'exprimait régulièrement, conservant plutôt une certaine image qu'elle s'était développée avec le temps, ne se bridant que très légèrement, préférant une plume franche, ce qui semblait d'ailleurs faire son petit succès.
Au demande de la brune, elle lui déballa l'histoire de la déconfiture amoureuse de sa patronne, lecture d'extrait de email à l'appui - elles travaillaient pour le même magazine, elle ne brisait pas le secret professionnel en lui en parlant. S'esclaffant une fois de plus, elle demanda son avis à son amie.
- Est-ce que je lui conseille tout et n'importe quoi pour voir jusqu'où elle ira ou je fais ma charmante fille professionnelle et j'oublie que je connais la personne dont il s'agit? Questionne-t-elle, un doigt sous les lèvres, dans cette pose clichée de réflexion. C'est difficile comme choix, je t'avouerai, admet-elle.
Ce n'est pas la première fois qu'elle reconnaît quelqu'un ou pense reconnaître quelqu'un parmi les lignes intimes qui se dévoile les histoires des uns et des autres et qu'elle reçoit à longueur de journée, mais elle s'était foutu de reconnaître sa voisine ou le coursier de la boite et leur avait répondu comme à n'importe qui. Le fait de savoir qu'elle avait peut-être contrôle sur quelqu'un de plus haut gradé, par contre...
BY CΔLΙGULΔ ☾
Invité
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Invité a posté ce message Dim 17 Mar 2019 - 21:04#
what is a morning without coffee ?
J'observais mon amie, celle qui me racontait tout un tas de trucs quand on se voyais et je trouvais en cet instant que j’avais de la chance de l’avoir dans ma vie. Elle était d’une douceur monstre, d’une gentillesse remarquable et en même temps elle savait ce qu’elle voulait. Comme les fruits là en cet instant. On attendait notre commande pendant qu’elle me racontait que notre collègue était venue pleurer sur son épaules. J’ouvrais grand les yeux. « Mais non ?! Elle n’a pas fait ça ! Elle a écrit à ta rubrique ?» Je finis par rire comme si j’apprenais que le roi allait se marier où je sais pas trop mais je finis par me reprendre l’écoutant me raconter l’histoire. Je me demande comment est-ce que j’aurais réagis dans un cas comme le sien sans vraiment y trouver de réponse je pense que j’aurais surtout essayer de l’aider mais bon il faut dire que ça dépend de la personne et là il s’agit d’une supérieure hiérarchique quand même…
Me reprenant quand la commande arrive à nous je souris donnant mon premier avis sur le café qu’elle m'avait recommandé, un vrai délice mais je n’en attendait pas moins sachant qu’elle l’avait déjà goûté et qu’elle connaissait mes goûts maintenant. Elle prends des photo de nos fruits et même de nos café et je souris trouvant ça mignon, j’était pas spécialement branché téléphone et applications. J’en avait mais c’était des basique, facebook, twitter et autre conneries. Je souriais en la regardant faire avant de finalement venir piquer un fraise dans le bol. Je croque dedans en regardant mon amie et je souris doucement. « Tu sais quoi ? Dimanche ou non, je suis contente qu’on se soit retrouvé, j’avais l’impression que ça faisait une éternité , vraiment ! » Je souriait encore et encore en venant finalement prendre une nouvelle gorgé du café.
Elle finit par me demandé mon avis concernant l’histoire avec la patronne et je hausse les épaules. « Je t’avoue que je sais pas trop ce que je ferais si j'étais à ta place, un chance que j’ai des sujets qui diverges régulièrement parce que les histoires d’amour me compliques toujours ma vie alors i je devais aider les autres… Soit, je pense que tu devrais l’aider dans le fond tout en lui en faire de toutes les couleurs, juste pour se venger de quand elle te met la pression pour tel ou tel article. Après faut pas oublier qu’on voudrais pas qu’on nous fasse ce que tu t’apprête à lui faire, mh… » Je croit que j’aimerais vraiment pas être à la place de mon amie pour le coup, est-ce qu’elle va finir par l’aider, j’en sais strictement rien cependant j’aimerais bien voir ce que ça donnera. « tu sais quoi, quand tu aura répondu à son article et selon ce que tu choisis de faire, envoie moi l'article par mail que j’aille lire ça, tu m’as donné envie d’en savoir plus de cette histoire, note aussi que ça doit être marrant qu’on s’en souvienne longtemps ! » Puis je pouffe de rire comme la petite idiote que je sais être parfois.
