les foudres s'abattent sur new-york (jordan)

Sérieusement ? J'apprends dans la presse que Leo attend un enfant et il ne m'a même pas mise au courant ? Suis-je aussi peu insignifiante pour lui ? J'étais vraiment fâchée et après échange de SMS assez froid, il me dit qu'il allait passé chez moi, il avait fini son entraînement. J'étais très en colère. Les choses sont certes compliquées entre nous, nous ne sommes plus ensemble et techniquement, il ne doit plus me rendre de compte mais il ne faut pas oublier que notre histoire d'amour a duré presque toute notre vie à l'heure actuelle. Les sentiments ne disparaissent pas en un claquement de doigts ! J'étais remontée comme une pendule, j'avais annulé mon rendez-vous de l'après-midi, de toutes façons, je ne pouvais pas me concentrer avec cette nouvelles qui me trottait dans la tête. Pendant que j'étais entrain de m'énerver toute seule, de tourner folle, la sonnette retentit. Je me dirigeai en vitesse vers le parlophone pour lui ouvrir et j'ouvris la porte directement. Je ne supportais pas l'idée qu'il voyait d'autres femmes, qu'ils mettent enceinte d'autres femmes et j'étais sûre que c'était réciproque. Nous étions tous les deux jaloux, il fallait se l'avouer. Il entra enfin chez moi. Ferme la porte. Dis-je avant de me retourner vers lui. Sérieusement ? Et tu comptais me le dire quand Leo ? Je ne suis pas une merde, ou encore une fille lambda ! JE SUIS LE PUTAIN D'AMOUR DE TA VIE ! Dis-je en haussant le ton. Je le pensais vraiment, il ne retomberait jamais amoureux comme il l'a été de moi. Je suis sa plus belle histoire et je le resterais pour toujours.

Clairement, tu savais que tu allais passer un sale quart d’heure. Cette conversation n’allait pas être de tout repos. Mais valait mieux affronter Jordan maintenant plutôt que dans plusieurs jours. Jamais elle ne serait redescendue, et pire ça aurait été. T’es loin d’être fou, tu tiens à ta vie à centime près. Et comme tu t’en doutais, elle est d’une humeur massacrante. Ça, par exemple, ça ne t’avait absolument pas manqué. « Bonjour à toi aussi. Je vois que t’es en pleine forme. » Jamais tu n’as hésité à la remettre à sa place, malgré tout ce que tu pouvais lui céder. Ton sarcasme va probablement ajouter de l’huile sur le feu, mais tu n’es pas venu pour qu’elle te parle comme à un pauvre chien. Tu refermes la porte calmement. Et te fais surprendre par Jordan qui se retourne brusquement sur toi. Et là, tu en as pour ton grade. Le pire dans tout ça, c’est qu’elle a raison du début à la fin. Seulement, elle n’a pas les tenants et les aboutissants de cette histoire. Tu aurais pu la prendre dans tes bras, rien que pour cette dernière phrase. Elle éprouve encore quelque chose pour toi, sinon pourquoi dirait-elle ça. C’est fort, très fort. Assez pour te calmer. « Un jour … Jordan c’est compliqué, d’accord. J’avais pas envie de te rendre de compte, car plus rien ne m’y oblige. » Tu te frottes la barbe. Ça t’embête cette situation. « Ne me fais pas culpabiliser pour ça. T’es partie, je ne t’ai pas mise à la porte. » Jamais tu n’aurais pu la quitter. T’aurais pu être malheureux toute ta vie avec elle, incapable d’aller au-delà de tes sentiments envers elle. « On peut s’asseoir au lieu de rester planter comme des piquets ? Je suis nase. » Tu parles doucement, un esprit plus calme que tout à l’heure.

Toute la journée, j'avais été énervée et c'était impossible de me calmer. Enfin si, Leo pouvait me calmer, en tout cas dans le passé, il me calmait et le faisait bien. Il avait sonner, je lui avais ouvert lui disant de fermer la porte, sans même un bonjour. Chose qu'il me rappela immédiatement. En me piquant comme à son habitude. Il savait que je ne supportais pas ce genre de chose. Comment tu peux me dire bonjour ? Non, mon jour n'est pas bon ! Je suis en colère, très en colère j'arrive pas à redescendre. Dis-je avec les larmes de colère qui me montait au visage. Je lui avais demandé ensuite quand il comptait me parler de cette histoire que je n'étais pas n'importe qui, que j'étais l'amour de sa vie. Il me répondit qu'il allait me le dire un jour, que c'était compliqué mais qu'il estimait ne pas devoir me rendre de compte. Il avait raison, j'étais d'accord avec lui. Il n'avait pas à me rendre de compte mais j'aurais préféré l'entendre de sa bouche. Il restait calme comme à son habitude. En quoi c'est compliqué de venir me voir et de me dire que tu vas être papa ? Putain Leo, je l'apprends dans la presse ! Comment tu réagirais si c'était moi qui me retrouvais enceinte ? Dis-je en essayant de ravaler ces larmes qui voulaient sortir. Il me demanda si nous pouvions nous asseoir, il était mort. Tu peux t'asseoir, il faut que je reste debout, je vais devenir folle je crois. Dis-je en faisant les cent pas. Il était calme et j'avais envie de tout casser. Mais le fait qu'il soit là m'apaisait un minimum. Laisse moi me calmer deux minutes. Je vais me chercher un verre de vin. Tu veux quelque chose ? Peut-être qu'en revenant mes larmes allaient disparaître.

Tu ne pouvais t’empêcher de rire. Elle te faisait rire lorsqu’elle s’énervait seule dans son coin, grommelant pour un oui ou pour un non. Puis, tu te retiens, t’allais véritablement la mettre hors d’elle si tu continuais dans ce sens. « Excuse-moi … Allez calme-toi, allez. » Tu l’embrasses sur le front, comme tu le faisais par le passé. Tu venais de le faire machinalement, sans penser que ce geste pouvait être déplacé. Mais rien ne l’était entre vous. Votre relation a toujours été comme tel. « Mais je ne sais pas si je suis le père. » Dis-tu avec une voix qui monte dans les aigues accompagnées de tes mains qui désignent le ciel. Les choses auraient été différentes si tu étais certain d’être père dans peu de mois. Seulement, c’est loin d’être aussi simple. Et dévoiler que tu es possiblement papa, mais que tu n’es pas le seul sur la liste, ça revient à dévoiler une part de la vie privée de Meghan. Fatigué, tu demandes à t’asseoir. Loin d’être remonté comme une horloge, tu prends place sur le canapé, et regardes Jordan faire les cent pas. « Et si c’était toi qui tombais enceinte bah … » Tu sais pertinemment qui tu perdrais pied, et ferais la peau à celui qui l’a mise en cloque. Ça devait être dans vos projets, après le mariage. Mais ce projet ne verra jamais le jour. « Je serai fou, je le sais. » Elle marque un gros point. « Mais ça ne me regarderait pas, je pesterais dans mon coin. » Toujours énervée, elle préfère aller se chercher un verre et se calmer dans son coin. « Rien, merci. » Tu la laisses partir se servir un verre. Ça t’ennuie de la voir dans cet état. Ce n’était pas ton but. Elle ne mérite pas ça. T’aurais dû être plus discret, et pourtant tu avais tout donné pour qu’on ne puisse pas te suivre … « Je suis désolé Jordan. » Cris-tu pour qu’elle puisse t’entendre.

Impossible de ma calmer pourtant, il me le demandait. Je savais que le seul qui pouvait m'apaiser, c'était lui. Mais là, malgré tout, le bisou sur le front alors qu'habituellement, je lui aurais dit de ne pas le faire, son calme olympien... Je n'arrivais pas à me calmer. J'étais horrifié de l'état dans lequel j'étais. Puis, il me dit qu'il ne savait même s'il était le père. Et là, mon sang ne fit qu'un tour ! Comment ça, tu ne sais pas si tu es le père. Ça prouve que j'avais raison à son sujet. Putain, Leo dans quoi tu t'es embarqué... Cette histoire me touchait particulièrement, déjà parce que je ne supportais pas cette fille qui me semblait être une sacré catin mais ensuite parce qu'être parent c'était notre rêve à nous deux. Je lui avais demandé comment il réagirait si c'était moi qui était tombée enceinte, il me répondit qu'il savait qu'il deviendrait fou. Ça lui permettait peut-être de comprendre ma colère. Mais il rajoutait qu'il ruminerait dans son coin parce que ça ne le regarderait pas. Il avait tord, ces problèmes ne nous regardait pas l'un l'autre mais c'était plus fort que moi. Notre histoire avait beau être terminée pour de bon, je l'aimais et je l'aimerais toujours ! Il me demandait si on pouvait s'asseoir, il était crevé. Je lui avais dit de s'asseoir que j'avais besoin d'aller prendre un verre et je lui proposa à boire. Je filai vers ma cuisine me servir un verre de blanc. Je le bus d'une traite histoire de ravaler mes larmes et m'en servis un autre. Au loin, j'entendis Leo me crier qu'il était désolée et là, je ne savais plus me contenir. Mes larmes coulaient sur mes joues, j'arrivais plus à m'arrêter. Après cinq minutes de pleurs à chaudes larmes, je me me repris en main, je passai de l'eau sur mon visage. Je pris mon verre, espérant que mes yeux ne soient pas rouges, et je retournai vers le salon. J'allais m'asseoir en face de Leo, en baissant la tête pour ne pas qu'il voit mes yeux bouffis et rouge. T'as beau être désolé, ça change rien. Ce qui est fait est fait. Tu vas peut-être être papa et c'est pas avec moi. Ça marque clairement la fin de notre relation. Le livre se ferme et ça me bousille le cœur. Ça dure depuis longtemps vous deux ? J'étais redevenue assez calme malgré ma voix qui tremblait et certains qui laissaient apparaître mes sanglots.

Malgré tes efforts, impossible pour Jordan de redescendre. Elle bouillonnait de l’intérieur et la nouvelle la fit d’autant plus monter dans les tours. Elle voyait rouge sang désormais. Mais tu ne pouvais pas lui mentir à ce sujet. Tu n’apprécies guère le fait qu’elle juge Meghan sans la connaître. Elle la considère comme une profiteuse … L’inverse de ce qu’elle est. Jordan ne connait rien de votre histoire. « Jordan, tu ne la connais même pas. Tu dis ça seulement parce que j’ai un passif et possiblement un avenir avec elle. Elle a agi comme moi j’ai agi après ton départ. Dans ce cas, je ne vaux pas mieux qu’elle. » Ça t’énerve qu’elle vienne insulter Meghan. De plus en plus tu t’attaches à cette dernière, éprouvant un mélange de sentiments. Mais jamais tu n’en parleras à Jordan. Les histoires n’en deviendraient que bien plus compliquées. Alors tu restes zen. Au fond, elle dit ça uniquement par jalousie. Comme le fait qu’elle n’apprécie pas tes deux meilleures-amies. T’essaye donc de prendre la défense de ta dernière ex, lui trouvant la même excuse que toi : passer à autre chose. Coucher avec des passants est une solution que toi-même tu as connu.
Tu as dû rester bien cinq bonnes minutes seul assis sur le canapé du salon. Jordan s’était réfugiée dans la cuisine, buvant certainement afin de faire diminuer sa colère. Il valait mieux que ça se passe ainsi, car de nouveau avec toi, elle semble plus apaisée, moins sur les nerfs. « Parce que tu crois que c’était prémédité ? » Avoir un enfant, là, maintenant ? Ah non, certainement pas. Tu pensais avoir déjà fort avoir fort à faire avec Martin. Et entre la blonde et toi, tu ne voyais pas quelque chose qui perdure. Tu ne voulais pas te prendre la tête, ne pas autant t’impliquer qu’avec Jordan. Tu voulais que ce soit facile. Bingo, t’a tout foiré. Levant les yeux vers Jordan, tu constates qu’elle tente de dissimuler son visage. Sa voix est différente, et tu comprends. Tu la connais trop bien pour savoir qu’elle a pleuré. « Viens-là. » Tu la prends par la main, et viens la serrer contre toi sur le canapé, l’entourant de ton bras. « Tu peux mettre ça au passé. Six mois, je crois. » Tu poses ta tête sur la sienne, maintenant ton étreinte autour d’elle. « Elle me reprochait de ne pas assez m’investir, alors elle m’a quitté. C’était peu de temps avant le décès de mes parents. » Et depuis, tu t’en mords les doigts. « Tu vois, les magazines enjolivent toujours les choses. Non on n’est pas ensemble, et non on n’a pas tenu à fonder une famille. C’était un accident, on n’avait pas prévu les choses. »

Je bouillonnais de l'intérieur, tellement que j'en étais presque à insulter cette Meghan... Cette situation m'arrachait le cœur, me bousillait l'esprit et m'anéantissais. Et là, il me sorti de ne pas la juger, que je ne la connaissais pas et que je ne disais ça que parce qu'il avait un passé avec elle et possiblement un avenir. Il rajouta qu'ils avaient agit de la même façon et que donc il ne valait pas mieux qu'elle. Les mots possiblement un avenir me trottait dans la tête. Ils étaient là et il résonnait ! Possiblement un avenir ? Parce que tu vas avoir un avenir avec elle ? Non, je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas la même chose pour toi Leo. Dis-je en faisant des allers-retours. Ce n'était pas la même chose pour Leo parce que justement il était lui et qu'avec lui, je pouvais passer au-dessus de tout. Nous parlions de cette grossesse et il me demanda si je pensais que c'était prémédité, je ris nerveusement. Heureusement que ce n'était pas prémédité. Tu sais il existe des choses pour éviter ça. Genre les préservatifs, la pilule... Elle connait ça ou c'est comment ? . Après tout ça, il me demanda pour s'asseoir, je lui dis de le faire et je filais dans la cuisine. Je bu un verre cul-sec, je m'en servis un autre et je pleurais, comme une gamine. Avant d'y retourner, je séchai mes larme et j'étais retournée au salon. Essayant de cacher mon visage avec mes yeux bouffis et rouges. Une fois qu'il remarqua que j'avais pleuré, après tout, il me connaissait trop bien pour lui cacher ça. Il me dit de venir près de lui. Il me prit par la main et me serra contre lui dans le canapé. Je me blottis alors contre lui et ça m'apaisait énormément. Il me dit que je pouvais mettre cette histoire au passé, que c'était il y a six mois. Mais les mots possiblement un avenir me revenaient en tête. Tu as dit tout à l'heure possiblement un avenir, donc je ne peux pas le mettre au passé. Même si j'aurais préféré et que j'avoue ça me rassurait d'entendre ça. Il posa sa tête sur la mienne. Il m'expliqua qu'elle lui reprochait de ne pas pas s'investir et que ça avait eu lieu avant le décès de ses parents. Je t'ai vraiment blessé à ce point ? Pour que tu ne puisses pas t'investir avec une nouvelle conquête ? Dis-je un peu plus apaisée, ce câlin m'apaisait, je me sentais tellement bien et là, je n'étais plus l'ex-fiancée jalouse, j'étais une amie. Bien que je n'aime pas vraiment ça. Tu sais, je suis désolée pour tout ça. Mon départ... Et je ne peux pas m'empêcher de l'être, j'ai tout gâcher. Je savais que j'avais bien fait pour moi, parce que j'étais trop mal dans cette relation mais d'un autre côté, je ne peux pas m'empêcher de me demander si nous serions toujours ensemble si je n'avais pas agit égoïstement. Je me blottissais encore plus contre lui serrant son bras fort contre moi. Il me dit que les magazines enjolivent les choses et exagèrent tout. Je sais Leo... J'ai vécu dedans. Ma réaction était totalement disproportionné mais comprends moi, je t'aimerais probablement toujours... Et... Voir ça, ça m'a bousillé le cœur, ça m'a anéanti. Même si c'est fini nous deux, même si il 'y a pas de possibilité de se remettre ensemble, je sais que je t'aimerais toujours inconditionnellement et ça pour toujours. Tu seras toujours l'amour de ma vie. Et ce, même si on passe à autre chose. Dis-je beaucoup plus apaisée et raisonnée. Ce n'était pas mon genre de faire mon mea-culpa, de reconnaître mes tords mais ce câlin me faisait me sentir comme avant, quand je pouvais lui parler à coeur ouvert. Je lui fit quelques petits bisous sur le bras. Ce moment, je voulais qu'il dure éternellement.

Les tensions étaient bizarrement apaiser. Ce n'était pas du tout mon genre d'être calme comme ça surtout après ce que je venais d'apprendre et surtout parce que ça le concernait lui. Il m'expliquait que si le bébé était le sien, il devrait voir cette fille régulièrement. Je comprends... Dis-je avant de marquer une pause. Tu es vraiment quelqu'un de bien. Je savais qu'il n'accepterait pas de laisser l'enfant sans père. Mais je le comprendrais seulement si c'est bien le tien. Chasser le naturel et il revient au galop n'est-ce pas ? Je voulais me montrer compréhensive mais il ne fallait pas pousser trop loin non plus ! Je crois que cette situation m'énervait du plus profond de mon être parce que je m'étais toujours vue fonder une famille avec lui. Avoir une maison, un mariage et des enfants avec lui. Et je crois surtout que cette nouvelle m'avait fait prendre conscience que ça n'arriverait probablement jamais. Je lui avais dit que je ne savais pas que je lui avais fait temps de mal et il me répondait que j'avais toujours été dans un coin de sa tête. Tu sais, tout ces moments passés loin de toi, ça m'a fait mal. Vraiment mal, j'avais l'impression qu'une partie de moi n'existait plus ! Après tout ce temps passé ensemble, je pense que c'est logique. Mais ça m'a fait beaucoup de bien aussi ! Parce que même si c'était lâche de partir, rester ici me faisait trop de mal. Et j'étais entrain de mourir intérieurement. En effet, en France, je m'étais reconstruite, je pensais avoir changer du tout au tout mais je n'avais pas changer temps que ça surtout en ce qui concernait Leo. C'était mauvais de ressasser tous ces souvenirs mais c'était la première fois qu'on parlait calmement sans monter dans les tours... J'étais toujours installer dans le canapé, contre lui. Avec lui qui me caressait le bras, m'embrassait le front et ça me faisait du bien. Il me dit qu'il était toujours ravi d'être le roi dans mon coeur, je souris. Et tu n'es pas prêt de perdre ta place ! Il m'expliquait que j'aurais toujours une place importante dans son coeur malgré mon sale caractère. Moi ? Un sale caractère ? Je crois que tu te trompe de personne dis-je en me relevant et en lui mettant un petit coup dans l'épaule avant de me reblotir dans ses bras. Tu sais, ça me fait du bien cette situation. Depuis mon retour, c'est la première fois qu'on parle aussi calmement ! dis-je avant de marquer une pause. J'aimerais que ce moment dure pour toujours. Que tu t'en ailles pas et qu'on reste comme ça... Dis-je d'une voix un peu étouffée, je n'aimais pas parler de mes sentiments à voix haute. Puis j'ajoutais Je veux qu'on se promette qu'une seule chose... Cette chose allait être déterminante pour le reste de notre relation.