A delicious poison E&E

« An angel's smile is what you sell, You promise me heaven, then put me through hell.. »

Une chanson de Bon Jovi dans l’air, un verre de whisky à la main. L’homme au regard vide faisait tourner le liquide qui se trouvait à l’intérieur de son verre, plongé dans ses pensées. La journée venait d’être longue, très longue.. Ezio se trouvait sur une affaire assez délicate, il entendait encore le bruit des sirènes de police, d’ambulance et de pompiers siffler de ses oreilles, le pire était sûrement les hurlements des deux personnes qui se trouvaient devant la maison, deux parents hurlant devant le corps sans vie de leurs enfants, abattu de sang-froid, une histoire de gang comme il y en a beaucoup. À Chicago, il en avait vu des choses, mais malheureusement aucune personne n’est préparé à l’horreur qu’un être humain peu commettre, les affaires qui touchent les enfants sont toujours les plus difficiles, les plus délicates. Alors oui, ce soir, Ezio n’était pas vraiment dans son assiette, il avait besoin d’un verre, une veille habitude qu’il a prise depuis un moment, sans pour autant en être accro.. Le matin même de l’appelle pour la scène de crime avant de partir il vue qu’il avait reçu une lettre venant de sa petite sœur, étant parti depuis deux mois de Chicago il ne l’avait pas encore revue, deux mois c’est long sachant qu’il allait au parloir une a deux fois par semaine, il s’en voulait mais lui aussi avait besoin d’avancer de faire sa vie, d’oublier certaine chose, cela faisait de lui un égoïste ? Sûrement, mais ce n’est pas pour autant qu’il allait faire marche arrière. Il avait la lettre avec lui, il ne l’avait pas encore ouverte, il n’avait pas eut le temps avec cette journée de fou, enfin, il n'a pas pris le temps aussi, voulant remettre cela a plus tard. Le brun boit une gorgée du poison qu’il aimé temps, avant de poser de nouveau le verre devant lui, jouant maintenant avec la lettre qu'il faisait claquer sur le comptoir du bar. Le barman devait être agacé ou alors c’était de la curiosité comme beaucoup de barman qui jouer les psychologues et bien d’autre chose encore, il s’avance face à Ezio. 

- ‘’ Tu comptes l’ouvrir ou la regarder toute la soirée ? ‘’ Le brun aux yeux noisette redresse la tête vers le barman, laissant un petit sourire en coins se dessiner sur ses lèvres. « Tu me remets la même chose s’il te plaît.» Il fait comprendre, gentiment et poliment qu’il n’as pas vraiment envie dans parler, cela faisait un bon mois, que Ezio venait dans ce bar après le boulot pour décompresser ou parfois rencontré des femmes, étant à New-york depuis seulement deux mois, le jeune homme n’a pas encore fait plus de rencontre que cela, mise a part les collègue de boulot et encore. Dans un bar, il est rare de se sentir seul, c’est pour cela que pour le moment, il apprécier vraiment y aller. Quand le barman lui ressert son verre, il le prend le levant vers lui avant de boire une longue gorgée. 

Bordel ! C’est dingue d’être la avec une lettre a la main, une lettre d’une personne qui compte énormément pour nous et ne pas savoir, si la lire maintenant est une bonne idée ou non, en fait ce dont il a vraiment peur c’est de lire ce qu’elle lui a écrit, les insultes et le reste. Gina aurait raison de lui en vouloir après tout, il la quand même abandonner, enfin d’une certaine façon. Caleb lui n’était toujours pas rentré, quitter l’armée n’était pas envisageable, pour rien au monde il ne le ferrait, pour lui c’est ce qui lui avait sauver la vie, même si c’est aussi ce qui à pris la vie de notre petit frère.

Des pensée qui ne lui remonte pas le moral, encore et encore. Il avait juste envie de crier STOP ! Mais rien n’y fait il continue tout tourne en boucle comme si être loin de Chicago ne changer rien du tout. Il regarde la lettre une dernière fois, inspirant un bon coup puis finalement la range à l’intérieur de sa veste. Le brun boit son verre d’une traite, le barman lui voyant le verre vide ne cherche pas à comprendre et le resserre aussitôt, l’homme aux yeux noisette lui fait signe de la tête pour le remercier, buvant une petite gorgée de ce poison délicieux.

Installer tranquillement sur son tabouret au comptoir, sans prêter attention aux personnes qui se trouvait au tour, il se retrouve d’un coup sans rien demander le pantalon tout mouillé, un air surpris peu maintenant se lire sur son visage. Une jeune femme, brune vient tout juste de renverser son verre de rosé tout droit sur le pantalon d’Ezio, le plus drôle dans tout sa, parce que oui il faut bien en rire, c’est la jeune femme qui se jette sur son pantalon pour essayer d’éponger l’alcool qui se trouvait dessus, le brun lui leve les mains au debut de surprise, puis se met un rire légèrement posant sa main sur le dos de la jeune femme, qui n’arrêter pas de s’excuser sans arrêter d’éponger. Il pose alors sa main sur la sienne.

« Mademoiselle ? C’est rien, je.. Mademoiselle ? Ça va vous pouvez arrêter, non pas que ça me dérange, mais si vous continuer, j’ai peur que vous me provoquez une érection devant tout les gens du bar. »

Dit simplement le jeune homme tant dit que la brune se redresse, il lui sourit gentiment sans être gêné par ce qu’il venait de dire, il était comme ça, à dire ce qu’il penser puis taquin aussi oui surtout avec les femmes il adoré ça.

Le brun faisait rarement attention au personnes qui l’entourait, il avait bien trop de chose en tête en ce moment, sa sœur qui se trouvait en prison à Chicago, son frère en Irak avec qui il avait du mal à communiquer en ce moment, puis le boulot qui lui prenait pas mal de temps, quasiment tout son temps, mais dans un sens cela ne le déranger pas mais si souvent il s’en plaint, au moins il était occupée et il avait beaucoup moins de temps pour pensée.

Mais là, ses pensées venaient d'être interrompu par une jolie brune qui venait de renverser son rosé, sur le pantalon du brun qui lui trouvait la situation plutôt amusante, le barman également. Après lui avoir demander plusieurs fois de se redresser, que cela n’était pas grave la jeune femme finie enfin par arrêter d’éponger le pantalon du jeune homme et s’installer de nouveau sur son tabouret, n’ayant pas l’air surprise ni gêner par ce qu'Ezio venait de lui dire. Il s’attendait à ce que la brune le reprenne, qu’elle ce fâche ou même l’insulte cela était arrivée plusieurs fois, donc il penser savoir à quoi s’attendre, mais au lieu de ça, elle lui répond du tac au tac. Il continue donc sur la lancer, répondant en même temps a la question de la femme dont il ne connaissait toujours pas le nom. Il continue donc sur la lancer, répondant en même temps a la question de la femme dont il ne connaissait toujours pas le nom.

« Un verre ? Je dirais plutôt deux et ensuite nous iront chez vous ou chez moi, je pourrais vous montrer ce que c’est faire ce que vous venez de tripoter sans aucune autorisation. »

Il lui fait un clin d’œil, puis tourne la tête vers le barman qui lui secoue la sienne tout en écoutant la conversation et servant les verres. Ezio repose son regard noisette sur la brune en se disant qu’il allait tout de même ce présenté.

« Je m’appelle Ezio, Ezio DiNozzo. »

Il y a parfois des rencontres qui chamboule la vie de certaines personnes, la brune allait peut-être chambouler la sienne ou alors elle n’est peut-être que de passage pour cette soirée inattendu, seul l’avenir pourra le dire. Pour le moment, le brun ne pense pas à grand-chose, pour une fois, il y avait bien longtemps que cela ne lui était pas arrivée en dehors du boulot. Il faut dire que tout ce qui venait d’arriver était arrivée si vite qu’il n’eut le temps de penser a autre chose depuis et puis la conversation avec la jeune femme l’amuser vraiment beaucoup. Après la dernière phrase, le barman disparaît pour servir d’autre clients, les laissant tout les deux a leur conversation. La phrase de la jeune femme face à lui, le fait rire, il secoue alors la tête en la baissant, c’était vraiment drôle comme situation, il la redresse enfin posant de nouveau son regard sur elle.

« Intéressant, vous avez du répondant. »

Il arrête enfin de la taquiner, pour le moment évidemment, prenant une gorgée de son nectar le brun tend la main à la jeune brune tout en se présentant, la moindre des choses après avoir eut une conversation assez étrange avec une inconnue. Enfin, ce n’était pas la première fois pour lui, mais habituellement, il savait très bien qu’il repartirait avec la jeune femme, tout était déjà prévu dans sa tête. Tant dit que la, c’était plutôt amusant, simplement pour déconner un peu, décompresser, puis ça le fessais rire autant qu’elle, donc cela allait a tout le monde.

« Enchanté Evanah. Dites moi, a part vouloir tripoter les hommes dans les bar, que faites vous seule ici ? »

De la curiosité non, enfin peut-être un peu, mais bon maintenant, il fallait bien engager la conversation, il n’allait pas s’arrêter la alors qu’ils étaient si bien lancer.

Après avoir serré la main de la jeune femme en se présentant, le brun la relâche doucement en lui posant une question toujours un léger sourire aux lèvres. En effet, la soirée avait mal commencé il était là, assis tout seul au comptoir d'un bar, à se demander s'il devait ouvrir une lettre dont il avait peur du contenu, il pensait à cette journée qui avait été dure en émotions, oui les images qu'il voyait chaque jour avec son boulot, il ne pouvait jamais les oublier.

C'était assez sympa du coup, d'être là, à discuter avec une jeune inconnue qui ne l'était maintenant plus, puisqu'il connaissait enfin son nom et prénom. Il sourit un peu plus à ce qu'elle dit, avant de lui-même reprendre la parole.

« Vous travaillez dans quoi ? » Lui demande le brun, tout en approchant son verre de ses lèvres pour boire une petite gorgée. « Je décompresse de ma journée. Je n'ai pas de petite amie. Et vous, un petit ami ? Un mari ? Dites-moi. »

La brune avait glissé cela style de rien, sachant que le brun répondrait, une question sans en être une, c'est intelligent, intérieurement cela le fait rire, mais le flatte. Le téléphone du brun se met à sonner, il regarde, c'était l'un de ses collègues.

« Excusez-moi. »

Il s'excuse auprès de la jeune femme avant de répondre au téléphone. Et merde ! Il devait se rendre sur le terrain, un autre meurtre venait d'être commis deux rues plus loin, pratiquement au même endroit de là où ils avaient retrouvé l'enfant ce matin. Il allait devoir couper courts à la discussion même s'il aurait aimé continuer, le devoir l'appelle et ce n'est pas le genre d'affaire que l'on fait attendre. Il raccroche puis dépose son regard de nouveau sur la brune, un petit sourit pour s'excuser d'avance.