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Invité a posté ce message Ven 30 Aoû 2019 - 18:37 #

Proposer une journée détente à la piscine, mais quelle idée brillante j’ai eu encore ? Certes les températures sont assommantes et j’ai choisi cette petite - enfin façon de parler - villa avec piscine pour en profiter mais là … je regrette de l’avoir proposé ou du moins je regrette l’idée de devoir profiter de la piscine plutôt que d’autre chose. D’une autre personne plus exactement. A peine trois jours que nous sommes à Rome et j’en suis venu à affirmer qu’il s’agit là de mes meilleures vacances. Exactement ce que je dis à chaque fois que je pars loin de New York avec elle. Nous pourrions partir dans le trou du cul du monde que cette femme serait capable de me faire dire que c’est le plus bel endroit du monde. Du moment qu’elle s’y trouve je ne suis pas bien difficile de toute manière. Sept mois … Ça fait maintenant sept mois qu’elle a accepté de devenir ma femme, que nous avons commencé à organiser notre futur mariage et je n’en reviens toujours pas. J’ai beaucoup trop de chance et j’en ai bien trop conscience. L’enfoiré de première qui se retrouve avec la plus belle et la plus intelligente des femmes - en toute objectivité bien sûr. Mais Oliana, elle me recadre. C’est la seule à y parvenir. Pour elle je serais prêt à n’importe quoi, y compris à la laisser tout gérer, à perdre mes couilles et être un gentil petit toutou. L’Amour ! Ça rend con et dépendant mais qu’est-ce que ça peut bien foutre tant que ça nous convient ? Sauf que là, à la détailler très lentement de la tête aux pieds ce n’est clairement pas de l’amour que je ressens. Pas uniquement du moins. Il y a une putain d’excitation qui devient de plus en plus visible dans mon short de bain et même si je suis loin d’être mal à l’aise à bander de la sorte, j’aurais aimé pouvoir me contrôler un peu plus. « On peut peut-être mettre la piscine de côté quelques minutes ? Y a vraiment peu de tissu sur ton corps et je bande un peu trop là. » Et pour prouver mes dires même si c’est visible, je m’approche et colle mon corps contre le sien de sorte qu’elle ne puisse pas nier la puissante bosse contre son ventre. J’hausse de manière excessive les sourcils puis embrasse brièvement ses lèvres. « Laisse-moi deviner ta réponse : l’eau va être assez froide pour me calmer, c’est ça ? » Une moue boudeuse dessiné sur mon visage, je tente de la faire céder en frôlant ses hanches nues du bout des doigts. J’ai peu de chance de parvenir à mes fins lorsqu’elle est décidée à faire quelque chose mais tout est bon à essayer. « S’il te plait, future Madame Duke … » Enfin Duke-Winston mais pour ce qui est du dernier elle le porte déjà. Sans parler du fait que je trouve nettement plus sexy qu’elle porte mon véritable nom de famille. Madame Oliana Duke, épouse de monsieur Cameron Duke … ça sonne tellement bien qu’il me tarde d’être à notre nuit de noces - pour ça et une autre raison évidente avec mon caractère.
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Invité a posté ce message Ven 30 Aoû 2019 - 21:08 #

Facile, la vie lorsqu’on est en vacances, non ? On avait commencé ces quelques jours de répits, à Rome, pour visiter et découvrir ses trésors. Je suis tombée amoureuse de ces vues imprenables, de ses ruines insaisissables, de ses italiens charmeurs, de leurs pizza….et pâtes, mamamiaaaa. Si nos clichés amoureux et mains dans la main, faisaient la une de la presse américaine, on avait décidé de continuer l’aventure dans une petite villa avec piscine, loin de la ville et du bruit. Si on avait visité un peu les alentours, aujourd’hui Cameron avait proposé une journée détente autour de la piscine. Et je dois avouer que j’avais assez hâte de perfectionner mon petit bronzage qui commençait à apparaître, mais qui hélas avait des sales traces de t-shirt. Alors, après avoir petit déjeuner et j’avais enfilé mon maillot de bain, pris mon chapeau, un livre et une serviette, prête à aller à l’eau avant de m’y allongé. Lorsque je sors, Cameron est déjà installé sur un transat et me regarde, malgré ses lunettes de soleil. Oh, je sais très bien ce qu’il est en train de contempler, et ça me fait sourire. « On peut peut-être mettre la piscine de côté quelques minutes ? Y a vraiment peu de tissu sur ton corps et je bande un peu trop là. » Un simple petit bikini, trois petits triangles, à vrai dire. Mais qui me va à ravir. Il se rapproche de moi, et me saisit au passage, pour se coller à moi. A la bosse que je sens contre moi…oh ! Je sais qu’il a bien envie de me retirer tout ça. Un baiser rapide sur les lèvres, il tente encore de me convaincre : « Laisse-moi deviner ta réponse : l’eau va être assez froide pour me calmer, c’est ça ? »  Je me mets à rire, face à sa mine boudeuse alors que mes mains, scintillant grâce à ma bague de fiançailles, glissent le long de ses bras musclés jusqu’à ses épaules. J’ai bien envie de profiter de la piscine, mais cet homme…j’aurai toujours envie de lui. « S’il te plait, future Madame Duke… » Oh, il sait très bien que ce petit surnom me fait vriller totalement. Tellement que ça provoque en moi des petits papillons dans mon ventre et un frisson le long de mon échine. Etre amoureuse de l’homme parfait, c’est une chose. Devenir sa femme, c’est complètement irréel, et à vrai dire je crois bien que même avec la robe blanche, je réaliserais toujours pas que je me marierai avec mon meilleur ami, mon amant, l’homme de ma vie. En guise de réponse, je souris malicieusement et soupire : « A vrai dire….on peut peut-être combiner les deux. » Mon regard planté dans le sien au moment où il comprend où je veux en venir. Ses yeux s’écarquille à cette idée, mais je ne lui laisse pas le temps de répondre que je le repousse doucement et que virant mon chapeau à la dernière minute, je saute dans la piscine en rigolant fortement. Lorsque ma tête retrouve l’extérieur, il vient tout juste de plonger et très rapidement je ressens ses mains m’agripper vers le fond. Je prends une profonde inspiration et le laisse embarquer vers les profondeurs où sa bouche rencontre la mienne rapidement. On s’échange notre oxygène pendant quelques secondes avant qu’on ne remonte, n’en ayant plus. Je m’agrippe à lui, mes jambes s’enroulant autour de sa taille, mes bras autour de son cou, et alors qu’ils nous ramènent là où nous avons pieds, je viens mordre son oreille. « Bon sang…qu’est-ce que je t’aime, Cameron. »Personne ne me rend aussi heureuse comme il le fait. Personne ne me comprend comme il le fait. Personne…ne m’a jamais aimé comme il m’aime. A ses côtés, ma vie est simplement plus facile.
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Invité a posté ce message Ven 30 Aoû 2019 - 21:34 #

Bon sang ! Il me suffit de la regarder, de détailler ses courbes parfaites, pour dérailler complètement. Qu’elle soit mienne, pas loin de porter mon nom, ça aide grandement aussi. Parfois j’ai du mal à réaliser ce qui m’arrive, cette chance que j’ai d’avoir cette femme-là dans ma vie. Nous n’étions pas destinés à être ensemble, pas selon son père, pas selon ma vie de merde qui m’a amené à porter le nom de ses parents. Pourtant c’était aussi une évidence. Toutes ces jalousies de mon côté ou du sien, ces nuits où sous prétexte d’un orage, je la serrais dans mes bras pour la réconforter mais que je l’étais tout autant, bercé par sa respiration et son odeur. Les signes étaient nombreux et complètement ignorés. Jusqu’à ce qu’elle revienne dans ma vie après un départ qui m’a retourné. La perdre une autre fois aurait été inconcevable, trop douloureux, si bien que je me suis lancé. Je pouvais bien tout perdre qu’est-ce que ça aurait fait ? Soit je me mangeais un mur, soit je devenais l’homme le plus heureux du monde. Pour mon propre bien ce fut le second choix et il n’y a pas une minute, pas une seconde, où je regrette ma décision et de l’avoir demandé en mariage. Elle est mienne, je le sais, mais je veux que ça devienne officielle. Je veux que ma meilleure amie, confidente et perfection devienne ma femme, qu’elle porte fièrement mon nom. Quitte à gommer celui de ses parents y compris pour moi, une manière de créer un nous, notre nous. Oliana sera aussi ma perte, particulièrement lorsqu’elle se balade aussi peu vêtue. Trop de chair visible. Heureusement qu’elle n’est vue par personne d’autre ou j’aurais été dans l’obligation de la cacher sous sa serviette et la mienne. Mais ce n’est que pour le plaisir de mes yeux et quel plaisir ! « A vrai dire… on peut peut-être combiner les deux. » Ça met un certain temps à monter jusqu’à mon cerveau et quand je comprends où elle veut en venir un sourire carnassier étire mes lèvres. Je vais la dévorer cette magnifique jeune femme, en faire mon quatre heures et lui faire complètement perdre la tête. Elle se dégage bien trop vite pour que je puisse répondre, saute dans la piscine en riant et je suis bêtement, plongeant dans l’espoir de l’attraper avant qu’elle ne le réalise. Son corps à nouveau plongé sous l’eau, nos lèvres collées, je préfère nettement le moment où nous remontons à la surface et que tout son corps s’accroche en mien. Ollie est un poids plume, dans la piscine c’est bien pire. « Bon sang…qu’est-ce que je t’aime, Cameron. » Si elle tenait à m’exciter plus encore, elle réussit très bien. Je plaque son dos contre le petit muret de la piscine. Coincée contre moi, l’eau nous arrivant au-dessus de la taille, je recule la tête pour contempler son visage. « Je t’ai déjà dit que je pourrais passer ma vie à t’entendre me le dire ? » Demandé-je en dégageant une main de sous sa cuisse pour repousser ses cheveux mouillés de sur son visage. « Je te jure, c’est vraiment très agréable, c’est bon pour l’ego et tu sais que le mien a besoin d’être flatté régulièrement. » Son poing vient frapper mon épaule ce qui a pour résultat de me faire rire plus que de me faire mal. « Je t’aime aussi même si je ne te mérite vraiment pas tu sais. » Je ne m’en plains pas cela dit. Même si je ne la mérite pas il n’est pas question que je laisse un autre homme l’avoir, je suis trop possessif pour ça et je conclue en capturant ses lèvres un peu plus fougueusement que plus tôt.
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Invité a posté ce message Ven 30 Aoû 2019 - 22:33 #

Je l’aime. De tout mon être. De toute mon âme. J’étais longtemps aveugle face à l’amour que j’ai pour lui, parce que grandissant ensemble, les petits signes n’étaient qu’à la base que de petits signes. Indistincts. Incompréhensibles. Parfois ignorés. C’est comme si nos étoiles avaient progressivement pris place autour de nous, et n’attendaient qu’être alignés pour comprendre que nous deux, nous étions destinés. Ça s'est fait bien trop tard – au moment où j’avais pensé le perdre en l’entendant se fiancer avec la pire des poufiasses. J’avais fui parce que je n’avais pas trouvé le courage de lui dire ce que je ressentais depuis des années, ou parce que je refusais peut-être encore ce que tous ses signes signifiaient vraiment. C’est lui qui a aligné nos astres en me retrouvant après être rentré. Je me souviens encore de ce moment où il avait débarqué, timide et impatient à la fois. Il bafouillait un peu, tentant de trouver ses mots alors que ses mains portaient un magnifique bouquet d’Amaryllis, mes préférées. « Tu sais, si t’avais besoin de t’entraîner à tes vœux pour Alexya tu peux le faire devant le miroir » « Tu veux pas la fermer, Ollie ! » Oui, c’était charmant comme moment, aussi charmant que nos engueulades à répétition de l’époque. Et pourtant, j’arrivais toujours pas à saisir où il voulait à en venir. « C’est déjà assez difficile pour moi, alors n’en rajoutes pas » « Difficile de ? » Son regard m’a dissuadé d’en rajouter une couche, me forçant à lever les mains au ciel pour lui prouver que je ne dirais plus rien. Il soupira une seconde, passant une main dans ses cheveux – ce qui me fit déglutiner. Oh, j’ai toujours aimé lorsqu’il faisait ça, sexy jusqu’au bout. « Alexya et moi, c’est terminé » dit-il finalement, me laissant perplexe. J’allais ouvrir la bouche mais il grogne et vient me mettre sa main sur ma bouche pour m’en dissuader. « Tu m’énerves, Ollie. J’essaye de te dire que c’est toi. C’est toi que je veux, et même ça tu m’en empêches de le faire comme je le veux » J’ai simplement cessé de gigoter en l’entendant m’avouer ça. Cesser de respirer aussi, par la même occasion. Je me suis dis que je devais forcément rêver, parce que nous deux, ça ne pouvait jamais se faire. Mais, c’est comme s’il lisait dans mes pensées : « J’en ai marre de me mentir à moi-même, de te mentir. J’en ai marre qu’on me dise que nous deux, ce n’est pas possible parce qu’on a grandis ensemble. C’est ton visage que je rêve de voir chaque matin, avec toi que je veux tenter de construire un avenir, une maison, une famille. Te voir partir pour la Finlande…ça m’a fait réaliser à quel point, j’ai besoin de toi dans ma vie, Ollie. A quel point tu comptes… » Je ne lui ai pas laissé le temps de finir parce que tout mon amour pour lui m’a explosé en pleine figure. Les astres étaient alignés, réduisant à néant mes peurs, mes contradictions. Non, tout ce que j’avais envie de faire, c’était de l’embrasser et ne plus jamais le quitter.

Je souris en repensant à ce souvenir alors que je lui dis l’aimer. On se l’ait avoué un peu plus tard, comme deux gamins qui n’osaient pas le dire en premier. Mais j’ai été la première, à céder, lors d’un moment qui n’avait rien de romantique, qui n’avait rien d’extraordinaire. Je crois que c’était en plein rayon de supermarché, vers les Pizzas, il me semble. On se chamaillait sur la saveur qu’on prenait le soir, lorsque c’est sorti tout seul. On s’était tous les deux figés comme deux idiots, comprenant ce que je venais de lui avouer. Et si au début, la panique commençait à se faire sans réponse de sa part, il a finit par me saisir par la taille et m’embrasser comme jamais on m’a embrassé dans le rayon à pizza. Si bien, qu’on en a oublié la pizza. Trop pressé de pouvoir rentrer. « Je te l’ai déjà dit que je pourrais passer ma vie à t’entendre me le dire ? » Sa main repousse mes cheveux tandis que j’acquiesce doucement, sourire aux lèvres. « Ça tombe bien, Monsieur Duke…parce que votre future femme compte bien vous le dire tous les jours, s’il le faut. » « Je te jure, c’est vraiment très agréable, c’est bon pour l’ego et tu sais que le mien a besoin d’être flatté régulièrement » Je lui tape l’épaule, une mine offensée mais rit avec lui. « Je t’aime aussi même si je ne te mérite vraiment pas tu sais » Il se rabaisse encore,  parce qu’il juge que je suis trop bien pour lui. Hélas, je juge qu’il est trop bien pour moi. Dans une impasse nous sommes, je vous le dis. Mais je n’ai pas le temps de répondre qu’il m’embrasse fougueusement. Je laisse sa langue explorer ma bouche, caressant la mienne. Je soupire d’aise, mes mains s’aventurant dans ses cheveux mouillés. « hmm… » J’émets lorsque sa bouche glisse le long de ma mâchoire jusqu’à mon cou : « t’avais tort…l’eau est bien trop chaude pour te calmer » Je le force à se coller un peu plus, mes jambes se calant bien pour que son érection soit pile devant mon ouverture. Je commence à faire des petits mouvements légers ce qui le fait grogner. « T’es toute ma vie, Cameron. Tu me comble chaque jour de bonheur, la seule chose qui me manque c’est de pouvoir porter ton nom » Je lui mets sa bague, portée à mon annulaire, entre nous et ajoute : « C’est la preuve que tu me mérites. »
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Invité a posté ce message Ven 30 Aoû 2019 - 23:07 #

Silencieux, je l’observe se perdre dans ses souvenirs. De quelle manière je le sais ? Probablement parce que je la connais par coeur - et que j’ai l’air très prétentieux en le pensant sincèrement. En réalité ce sont ses petits tics qui me le révèlent. Physiquement elle est là mais dans son regard je sais qu’elle est ailleurs. Très loin de l’Italie et de la piscine dans laquelle nous nous trouvons. Il y a aussi cette façon de plisser très légèrement le nez, preuve qu’elle est en train de réfléchir. Ca me fait sourire, loin de me vexer pour si peu. Elle peut rêver autant qu’elle le souhaite, se plonger dans ses souvenirs aussi souvent qu’elle le veut, tant qu’elle reste avec moi c’est tout ce qui compte. Je ne suis pas bien difficile puisque la seule chose que j’exige c’est de partager le reste de ma vie avec elle. Pour le reste, elle est en droit de faire ce que bon lui semble du moment que d’autres hommes ne sont pas impliqués. Elle n’appartient qu’à moi et elle a accepté de le dire devant tous nos proches lorsque les détails du mariage seront finalisés - à commencer par la date, le plus important. Je réalise encore assez mal que nous sommes partis pour nous marier. Mari et femme. Bague au doigt, corde au cou - aussi affreuse que soit l’image. Nous allons nous lancer dans cette nouvelle aventure tous les deux et je suis tout autant excité que terrorisé. Il n’y a pas de raison que quoi que ce soit se passe mal pourtant. « Ça tombe bien, Monsieur Duke…parce que votre future femme compte bien vous le dire tous les jours, s’il le faut. » Cette fois c’est moi qui suis parti ailleurs, plongé dans notre avenir. Un bel avenir qui sera heureux et si prometteur. Qui aurait cru que je penserais ainsi ? J’ai été fiancé, certes, mais c’était avant tout parce qu’Alexya ne me lâchait pas avec ça et que j’avais envie d’être tranquille mais notre histoire était aussi bancale que la tour de Pise. Notre mariage aurait été sous le signe de la tromperie. Avec Oliana, il n’en est pas question. Elle mérite d’être heureuse et tellement aimée, jamais je ne pourrais lui faire du mal. J’adore l’entendre parler d’elle comme de ma future femme. J’aime tellement ça qu’un nouveau sourire illumine mon visage hâlé par nos nombreuses heures de visite dans la capitale italienne. J’aime tout autant l’entendre exprimer son appréciation quand mes lèvres passent dans son cou et que ses mains tirent mes cheveux mouillés. « T’avais tort…l’eau est bien trop chaude pour te calmer » Souriant contre sa peau, il disparaît dès que je gémis peu discrètement alors qu’elle me colle à elle, mon sexe contre le sien. « Rien ne pourra jamais faire disparaître mon envie de te baiser mademoiselle Winston. » Encore moins ce bikini bien trop petit sur ses courbes généreuses. Des courbes qui remuent contre mon membre qui voudrait déjà être ailleurs. En elle par exemple. « T’es toute ma vie, Cameron. Tu me comble chaque jour de bonheur, la seule chose qui me manque c’est de pouvoir porter ton nom. C’est la preuve que tu me mérites. » Je regarde son doigt sous mes yeux, attrape sa main et dépose un baiser sur sa bague de fiançailles. Puis c’est dans ses yeux que je perds une fois encore. « Et ce jour-là, quand tu accepteras officiellement de porter mon nom, tu feras de moi l’homme le plus comblé. » Il n’y a qu’avec elle que je fais dans le niais comme ça mais ça ne me dérange pas. « Ou peut-être que je le serais quand t’auras retiré ce truc minable de sur toi que je puisse te prendre dans cette putain de piscine. » Je souris de toutes mes dents et retourne l’embrasser pour lui couper l’herbe sous le pied et l’empêcher de répliquer alors que j’ai tué le sérieux de cette conversation.
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Invité a posté ce message Sam 31 Aoû 2019 - 14:51 #

« Rien ne pourra jamais faire disparaître mon envie de te baiser mademoiselle Winston » Mon ventre se contracte devant cette affirmation brutale et claire. J’ai toujours aimé lorsqu’il me dit clairement ce dont il a envie, surtout lorsqu’il s’agit de sexe. Ça éveille en moi bien des choses, des envies, et ça me fait définitivement craquer. Si aujourd’hui on est plutôt direct, en sachant ce qu’on veut de l’autre, les premières fois n’ont pas été le cas. Je me souviens encore de la première, la toute première d’une longue série. Si on avait commencé notre relation après mon retour, même contre l’avis de nos parents, on avait décidé d’y aller doucement, parce qu’on avait pas envie de tout bousculer ou de griller des étapes. Premier rendez-vous, le second, puis une semaine, deux semaines…ce soir-là, il devait m’emmener voir un pianiste en concert, mais j’étais rentrée trop tard du boulot. J’étais littéralement à la bourre lorsqu’il sonna à la porte de mon minuscule appartement. Je venais tout juste de sortir de la douche, serviette autour de mon corps, cheveux encore mouillé. C’est dans cette tenue, trop pressée et insouciante que je lui ai ouvert en m’excusant de ne pas être habillée. C’est là qu’il est resté figé devant moi, tout beau en costard cravate, étudiant mes courbes que ma serviette ne dissimulait pas beaucoup. Il tenta de trouver sa voix, en vain. Le voir me détailler comme ça, le souffle profond comme si j’étais un diamant si précieux éveilla en moi la même envie et le même désir. Le temps sembla s’étirer entre le moment où j’eus fermé la porte et celui où il s’approcha de moi, me dévorant des yeux. Jamais je ne me suis sentie aussi désirable qu’à ce moment précis. Doucement, je desserrai la poigne autour de ma serviette qui finit par tomber le long de mon corps. Je peux encore me souvenir de ce lourd soupire et de ces yeux émerveillés devant ma totale nudité. Ce n’est que là où mes mains se sont aventurés sur son torse, repoussant sa veste, déboutonnant sa chemise. Regard captivé, enfin égaux, nos lèvres ont finit par se trouver pour ne pas se lâcher de la nuit. Depuis, il ne cesse de m’étonner parce qu’il continue de me regarder avec cette même intensité, ce même désir chaque jour. Qu’ais-je fais pour mériter d’être aussi aimée ? Je ne sais pas. J’essaye simplement de lui monter à quel point il me rend heureuse et me comble chaque jour. « Et ce jour-là, quand tu accepteras officiellement de porter mon nom, tu feras de moi l’homme le plus comblé » Je n’arrive pas à cacher mon sourire qui s’agrandit à l’évocation de ce fameux jour. Ce jour décisif où nous ne seront enfin égaux, où j’abandonne mon nom de famille – le sien sur papier – pour devenir sienne. Une Duke. Celle qu’il a toujours vue. Celle que j’ai toujours voulu être. « Ou peut-être que je le serais quand t’auras retiré ce truc minable de sur toi que je puisse te prendre dans cette putain de piscine » Il m’embrasse aussitôt, m’emmenant au bord d’un désir qu’il a su éveillé en quelques minutes. Sa langue vient chercher la mienne, tandis que mon corps se colle un peu plus au sien et que je sens sa main s’aventurer dans son dos pour défaire mon premier morceau de bikini. Je ne me sépare que de lui pour l’enlever définitivement afin que mes seins, qui pointent déjà d’excitation, se frotte à sa poitrine musclée. Mes lèvres retombant sur les siennes, ce sont mes mains qui glissent sous l’eau et viennent détacher mon dernier petit morceau de trop. Une fois enlevé, je me sépare pour le lui glisse devant les yeux et affirme : « Vous êtes satisfait monsieur Duke ? » Je le jette sur le carrelage chaud de la terrasse avant de me recoller totalement contre lui. Nous ne sommes plus au bord de la piscine, l’eau nous fait flotter, et ça facilite mes mouvements de bassins. La simple sensation de son érection qui pointe à travers son maillot sur mon entrejambe me fait déjà partir dans une contrée lointaine. « Il ne reste qu’une chose pour que tu puisses…me prendre dans cette putain de piscine » Ma main s’aventure entre nous, glisse le long de son torse que je sens se contracter, et s’invite sous son maillot afin de saisir son membre déjà trop dur, trop puissant. Je m’en mords la lèvre sous son regard scintillant et désirable.
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Invité a posté ce message Sam 31 Aoû 2019 - 23:39 #

Lui mentir m’a toujours été insupportable mais me mentir à moi-même n’était pas un souci, encore moins si ça me permettait d’éviter d’admettre qu’il y avait quelque chose. Forcément lorsque j’y pense je me rends compte que j’étais idiot, que je ne faisais que repousser l’inévitable mais difficile de corriger mes défauts. Je fais de mon mieux désormais et si ce n’est pas parfait à chaque fois, c’est mieux que rien. Ca commence par le fait de ne surtout pas lui mentir même si rien ne m’oblige à être aussi cru dans ce que je dis. Disons seulement que j’aime voir l’effet que mes mots ont sur elle, tout ce que ça provoque … particulièrement dans son bas ventre. J’aime tout autant remettre sans arrêt notre futur mariage sur le tapis. Ca donne tellement plus de sens à ce qui n’est pas encore. Ca le rend plus réel. Je vais angoisser comme un malade, il me suffit de penser à mes voeux pour ça, mais l’impatience surpasse tout. Oliana, je la désire si violemment qu’elle devienne ma femme est presque une urgence. Elle le sait, je ne le lui ai jamais caché. Je ne cache pas non plus combien je la désire mais difficile pour elle de ne pas le remarquer en étant collée à moi. Il faut qu’elle retire ce bikini qui ne sert à rien. Je veux voir en-dessous, admirer la perfection de son corps qui éveille tellement de sentiments et d’émotions en moi. Je veux pouvoir la toucher et la voir réagir grâce à mes caresses. Avant ça, je la cherche un peu plus dans un baiser plein de passion et d’envie. Ma langue effleure la sienne, la caresse, joue avec lorsque je ne sépare pas nos lèvres pour respirer un peu. Habilement, je défaits le noeud de son haut, touche doucement son dos brûlant. Elle ne s’éloigne que pour le retirer et me laisser admirer sa poitrine aux pointes durcies par l’excitation qui viennent frotter contre mon torse. Sans la retenir, je l’admire qui se débrouille pour enlever ce qui reste de bikini et je bande plus dur que jamais. « Vous êtes satisfait monsieur Duke ? » Et il faut qu’elle en rajoute une couche en se frottant contre moi ce qui me fait râler de plaisir.  C’est suffisant comme réponse à sa question, non ? « Il ne reste qu’une chose pour que tu puisses… me prendre dans cette putain de piscine » Je me tends, la laisse descendre sa main le long de mon torse. Mes muscles se contractent un à un, plus particulièrement ma queue dès qu’elle la touche. « C’est sûr que je m’en voudrais de jouir dans ta main plutôt qu’en toi. » Soufflé-je contre ses lèvres. Je l'oblige à s’éloigner pour me permettre de relever mes jambes et de me débattre avec mon short de bain qui une fois retiré rejoint le maillot d’Oliana. « Où en étions-nous déjà ? » Mes mains saisissent ses hanches pour la coller à moi. J’embrasse le bout de son nez et retrouve ses lèvres en me débrouillant pour attraper ses jambes qu’elle enroule immédiatement autour de ma taille. « Comme il me tarde de t’entendre jouir. » Pourtant je ne la pénètre pas immédiatement. Je préfère jouer avec elle, frotte mon membre contre son intimité qui palpite d’excitation, j’en suis certain. Ma langue passe sur sa bouche, goûte ses lèvres que je lèche et dérive vers sa mâchoire puis vers la peau tendre sous son oreille que je mordille.
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Invité a posté ce message Dim 1 Sep 2019 - 22:00 #

Je veux bien le crier sur tous les toits : Cameron Duke est sexy. Il est d’une beauté ténébreuse, et bien foutu par la même occasion. Son corps musclé à souhait, des yeux clairs qui font fondre n’importe quelle nana, un sourire à croquer…et bonté divine, il est aussi bien foutu que bien monté. Oui, beaucoup de filles bavent devant mon futur mari – lors des compétitions sportives, lors de soirées mondaines, ou dans la rue, au supermarché, ou à la plage. Elles doivent toutes se dire que ce bel Apollon doit être irrésistible au lit. Ça devrait me faire jalouser comme une dingue – trait de caractère de mon adolescence bien trop présent – mais non. Parce que je sais aujourd’hui que je suis la seule à le voir pleinement nu, dans toute sa splendeur. Je suis la seule à pouvoir profité de toucher son corps nu comme j’en ai envie, quand je veux. Je suis la seule à éveiller une telle érection qu’il possède en ce moment même et que j’empoigne avec assurance. A chaque fois que je me dis ça, que je suis la seule nana qui ait le droit à cet ange sur terre, ça me fait frissonner entièrement. « C’est sûr que je m’en voudrais de jouir dans ta main plutôt qu’en toi » Je souris en riant légèrement, sans pour autant arrêter mon petit massage lent sur sa verge. « Je t’ai connu plus endurant » Oh, et il l’est. Trop souvent c’est moi qui craque en première, m’envoyant dans un orgasme monstre avant lui. Parfois j’en atteins deux lorsqu’il me rejoint enfin. Je sais que de toute manière, il finira par me faire perdre pied avant. Il s’éloigne cependant de moi une seconde alors qu’il se débat et que son short de bain finit quelques minutes après avec le mien. « Où en étions-nous déjà ? » Un coup rapide de ses mains me ramènent à son corps si parfait que mes mains arpentent de nouveau. Il cale si bien mes jambes que son sexe se cale délicieusement sur ma fente. J’expire de plaisir, un sourire de satisfaction aux lèvres. « Comme il me tarde de t’entendre jouir » Paraît-il qu’il adore m’entendre prendre mon pied, que je dégage un tel bonheur et des gémissements si plaisant qu’il me le répète très souvent. Mais ce n’est pas pour autant qu’il me pénètre non, il se frotte contre moi en m’embrassant fougueusement. Je laisse échapper un gémissement lorsqu’il dévie vers mon oreille et vient mordre mon oreille. « hummm…j’aime ça, bébé » C’est lent, sensuel et ça éveille mon corps de toutes les manières qu’il peut espérer. Mais rapidement, j’en veux plus. Je veux le sentir en moi, je veux le sentir me combler jusqu’au bout. Je veux ne faire qu’un, le parfait union. Je veux sentir cette connexion si parfaite qu’on possède. Lors d’un énième frottement, je me cale mieux, baissant une de mes mains pour mieux le guider en moi. L’eau m’aide à m’empiler plus lentement, jusqu’à sa garde, ce qui me fait grogner. « J’aime tellement te sentir, sans latex entre nous » On aurait pu arrêter les préservatifs depuis longtemps, grâce à la pilule. Mais avec mon cœur fragile, la fiabilité de ma seule contraception n’étant pas suffisant, nous devons nous protéger les jours d’ovulation importants. Une grossesse pourrait m’être fatale, tant que je n’obtiens pas un nouveau cœur. Aucun risque. Par chance, je suis dans la bonne période pour enlever ce petit bout de latex entre nous. Je commence à monter et descendre, tandis que l’apesanteur déformée m’aide à me mouvoir plus facilement et plus lentement. La sensation est si agréable que je jure : « Bordel de merde, Cameron… » Mes bras s’enroulent plus autour de son cou, nous liant plus. « Faudra définitivement une piscine privé dans notre voyage de noce » Hors de question qu’on loupe ça, une fois mariés.
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Invité a posté ce message Lun 2 Sep 2019 - 15:30 #

Voilà qui est rapidement arrivé à ce que je voulais réellement. Je suis toujours faible lorsqu’il est question de ma fiancée. Ce n’est pas seulement une question de la voir à moitié dénudée, j’ai envie d’elle régulièrement c’est tout. Elle anime toujours la bête en moi, celle toujours assoiffée de sexe et que seule cette charmante brune sait dompter et calmer. Aucune femme ne m’a fait autant réagir qu’elle, aucune n’a su me satisfaire comme Oliana. Je sais très bien que je serais incapable de jouir dans sa main en sachant que je peux avoir plus. J’ai de la retenu dans ce genre de moment, y compris lorsque mon corps n’en peut plus et que ma tête - et surtout ma queue - me hurle de me laisser aller. Mais ça sera son plaisir avant le mien quoi qu’il advienne et si ce plaisir peut être multiple avant que je cède c’est encore mieux. Oliana le sait. Elle me connaît et même si elle me taquine sur le sujet, elle sait très bien que je lui donnerai exactement ce dont elle a besoin sans même le savoir. « Je t’ai connu plus endurant » Je tente de rire. Ce qui s’échappe de ma bouche s’avère être un soupire d’aise. J’adore sentir sa petite main me caresser avec autant d’assurance, m’entourer avec fermeté et me faire grogner. « Si tu veux jouer à ce petit jeu, tu sais que tu vas perdre. » Je parviens à dire en posant sur elle un regard carnassier. Elle veut sans doute que je la fasse partir violemment, sombrer dans un tourbillon de plaisir duquel elle ne pourra sortir que si je le décide. Moi ça me convient très bien et il me tarde même de me mettre au travail. Enfin débarrassé de mon short, ses jambes autour de ma taille, je peux sentir la chaleur de son intimité malgré l’eau dans laquelle nous nous trouvons. J’irais même jusqu’à dire sentir les battements de son coeur lorsque je vais lécher la peau sous son oreille. « Hummm…j’aime ça, bébé » Et moi j’aime plus que tout l’entendre me le dire. J’aime qu’elle soit expressive, qu’elle me dise clairement les choses et qu’elle se laisse totalement aller. Oliana arrivée au bout de sa patience, c’est elle qui me guide en elle. Je ne cache pas le plaisir ressenti en m’enfonçant profondément en elle. Je vibre déjà, frétille bien enfoncé dans son sexe. « J’aime tellement te sentir, sans latex entre nous » J’approuve ses paroles en tirant sur le lob de son oreille et en revenant embrasser ses lèvres. Elle commence déjà à monter et descendre sur ma queue. Les battements de mon coeur s’accélèrent. Je fais quelques pas pour aller de nouveau la coincer contre le bord de la piscine et ainsi trouver de meilleurs appuis pour venir un peu plus brutalement en elle. « Bordel de merde, Cameron… Faudra définitivement une piscine privée dans notre voyage de noce » J’éclate de rire sans pour autant m’arrêter. Mon regard cherche le sien et ne le quitte plus une fois trouvé. « Une piscine, un jacuzzi … on prendra ce que tu veux bébé. Du moment que je peux te prendre où je veux et quand je veux, je vais pas faire mon difficile. » Puisque je sais qu’elle me refuse que très rarement une bonne partie de jambes en l’air, je ne me fais aucun souci. Mes lèvres de nouveau contre les siennes, je ralentis un peu la cadence, fais descendre une main le long de son corps pour aller caresser son clitoris. Mon front contre le sien, je sens déjà son souffle se saccader et j’en souris. « Pour le moment je veux surtout te voir jouir une première fois. » Elle ne pourra pas dire que je ne l’ai pas prévenu. Je vais lui faire preuve d’endurance et ensuite nous verrons qui ne sera plus capable d’aller jouer au touriste dans le centre de Rome.
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Invité a posté ce message Mar 3 Sep 2019 - 21:15 #

« Si tu veux jouer à ce petit jeu, tu sais que tu vas perdre » Je le sais. C’est inévitable, même. Mais je prends le risque de jouer avec le feu, parce qu’un Cameron taquin et joueur vaut de l’or. C’est dans ce genre de moment où nous sommes vraiment sur la même longueur d’onde. Nous l’avons toujours été. Même si au début, on ne comprenait pas vraiment sur quelle onde nous étions vraiment. Les débuts ont été difficiles : annoncer à nos proches qu’on sortait ensemble, en toute conscience, a été difficile. Principalement pour les parents. Mais pour la plupart des personnes, c’était presque une évidence, parce que tout le monde savait ce qu’on représentait l’un pour l’autre avant même qu’on en ait conscience. Aujourd’hui, tout le monde nous a adopté. Tout le monde croit en notre couple, en notre amour, si bien qu’on fait souvent la une de la presse people. Un début difficile pour moi, fille inconnue qui est devenue connue en si peu de temps, mais ça m’était égale parce que j’étais avec Cameron. Aujourd’hui, on préfère en jouer, et profiter de notre célébrité pour profiter de la vie. Cette villa privée, avec piscine, est le parfait exemple de l’étendu de ce qu’on peut maintenant s’offrir. Grâce à Cameron, principalement – même si mon salaire au Quin n’est pas si mal….mais loin des nombreux zéro de ceux de mon futur mari. « Une piscine, un jacuzzi…on prendra ce que tu veux bébé » Je suis focus sur son regard intense et ses mouvements brutaux qu’il entreprend pour m’accompagner. J’ai toujours aimé ne faire qu’un avec lui, parce qu’on se complète même physiquement. Il a exactement ce dont j’ai besoin pour être comblée, pour me donner des orgasmes si délicieux. « Du moment que je peux te prendre où je veux et quand je veux, je vais pas faire mon difficile » Je ricane doucement avant qu’il ne m’embrasse à nouveau. Comment ne pas fondre devant ce type ? Impossible de me lasser de cet homme si parfait, de la connexion que nous avons et tout ce qu’il m’apporte. C’est mon tout. L’homme de ma vie. Mon meilleur ami. Mon meilleur amant. Mon confident. Mon unique amour. Je sens qu’il ralenti la cadence : une envie de prolonger le plaisir ? Je ne dirai pas non, au contraire. Nous avons toute la journée pour ça, non ? « T'es qu'un insatiable ! » Je sens sa main descendre et je frisonne un peu plus en la sentant venir masser mon clitoris. Front contre front, je n’arrive pas à garder les yeux ouvert devant ce petit plaisir qu’il m’offre. « Pour le moment, je veux surtout te voir jouir une première fois » Je tente de sourire mais un gémissement s’échappe de mes lèvres. Je n’ai jamais vraiment été silencieuse dans nos ébats, parce que…merde, essayons donc de vous contenir lorsqu’il s’y met, vous en serrez incapable. Il sait y faire, me donne exactement ce dont j’ai besoin, sans avoir à le formuler. Pourtant, là…ma demande est audible, presque dites dans un supplice : « Tes lèvres…je veux tes lèvres » Je murmure, et rejette la tête en arrière face à ce plaisir montant. Sans plus attendre il se sépare de moi, saisit mes fesses de ses mains et me pousse hors de l’eau, pour m’asseoir sur le rebord de la piscine. Il s’avance entre mes jambes afin de mieux les écarter, déposes des baisers sur mes cuisses avant de retrouver mon entrejambe bien trop excité. L’humidité de sa langue n’a rien à voir avec l’eau de la piscine. Chaude, sa langue douce commence à jouer avec moi, alors que mon regard le fixe. J’aime le voir s’occuper de mon plaisir comme il le fait – et au petit coup d’œil qu’il me renvoie, je sais qu’il aime me voir regarder. Je reste un peu dans cette position levée un peu, avant de finir par basculer un peu en arrière, sentant le plaisir monter. Une de mes mains vient tirer sur ses cheveux alors qu’il grogne. « Putain, bébé…Oui, juste là… » Il s’acharne, suce, mordille, et finit par me faire perdre pied, mes jambes se renfermant doucement sur lui, alors qu’il continue pour faire prolonger le plaisir. Je cris sans me soucier, tremblante comme jamais, le souffle coupé par cet orgasme puissant.
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