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Invité a posté ce message Jeu 5 Sep 2019 - 18:51 #

Toutes ses réactions, la façon dont son corps m’affirme apprécier ce que je lui fais, tout est suffisant pour me donner envie de lui en offrir plus. Pendant des années seul mon plaisir m’importait, le besoin d'oublier les tracas quotidien, les cauchemars qui parfois revenaient me hanter, toutes ces petites choses qui me mettaient de mauvaise humeur. Souvent égoïste, je savais donner du plaisir mais je ne donnais que le stricte minimum préférant de loin recevoir. Oliana c'est tout à fait différent. J’ai ce besoin de lui donner toujours plus, de lui offrir ce qu’aucun autre homme n’a pu lui donner et avoir la satisfaction de savoir que je suis capable de la faire partir loin, très loin. Comme un gamin qui a sans arrêt besoin de l’approbation de ses parents et de les rendre fiers. Pour elle, je me dépasserai toujours. Pas uniquement avec le sexe mais pour tout. Parce que c’est ce qu’elle éveille en moi, cette envie d’être meilleur, pour elle, pour moi et pour nous. J’en fais peut-être un peu trop mais jusqu’à présent elle ne m’a jamais fait le moindre reproche, certainement pas lorsqu’il s’agit de lui donner du plaisir. Beaucoup de plaisir. « T'es qu'un insatiable ! » Je souris de la voir incapable de garder les yeux ouverts. Déjà emportée par les prémices de son orgasme, elle gémit, s’agite sous mes doigts qui s’appliquent à lui donner ce dont elle a besoin avec la pression nécessaire sur son intimité. Je la dévore du regard, admire cette belle créature - ma future femme - qui ne sait pas contrôler ce qu’elle ressent et qui rougit doucement à mesure qu’elle approche du gouffre. « Tes lèvres…je veux tes lèvres » Elle n’a pas besoin de développer pour que je comprenne où elle veut en venir. Son corps léger soulevé, je la dépose sur le bord de la piscine, me cale entre ses jambes. Mes lèvres rencontrent la peau tendre de ses cuisses que j’embrasse et mordille par endroit. Je prends quelques secondes pour profiter de sa peau un peu chlorée avant de rejoindre l’endroit où elle m’attend avec impatience. D’abord un simple baiser puis je m’applique plus sérieusement. Mes mains ne sont utilisées que pour maintenir ses jambes ouvertes devant moi. Ma langue goûte et lèche lorsque je ne suce pas ou ne mordille pas. Mais ce que j’aime le plus hormis son goût si particulier c’est de l’entendre soupirer de plus en plus fort et de plus en plus vite. J’ose un regard vers elle sans m’arrêter et je jure bander encore plus fort de la voir m’observer lui offrir ce moment si intime. J’y mets un peu plus d’ardeur, grogne lorsqu’elle tire sur mes cheveux mais je ne ralentit en rien. Au contraire même. « Putain, bébé…Oui, juste là… » Encore des petites secondes puis elle crie son plaisir, jouit si fort que je suis certain que nos voisins - s’ils sont là - n’ont pu que l’entendre. Ma langue continue de jouer avec elle, provoque de petits spasmes jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. J’embrasse à nouveau ses cuisses, l’attire à moi dans l’eau et n’attends pas pour la pénétrer. Encore sensible, je la sens vibrer tandis que j’entre lentement en elle, mes lèvres à la recherche des siennes. L’eau permet à mes mouvements d’être plus amples bien qu’en peu lents. Mon visage enfouit dans son cou, j’en mordille la peau et agrippe fermement ses fesses pour faciliter mes va-et-vient. « Putain … » Je souffle à son oreille en accélérant un peu plus. Il n’est pas question que je jouisse avant elle. Je veux la sentir partir une seconde fois mais autour de ma queue cette fois. J’accélère encore, sens mes muscles se crisper sous l’effort et je chuchote à son oreille : « Jouis encore bébé. Jouis pour moi. » J’ai besoin de la sentir se resserrer autour de moi, besoin de voir que je peux la faire décoller une seconde fois aussi rapidement avant de me laisser aller en elle happé par la plus belle des émotions.
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Invité a posté ce message Ven 6 Sep 2019 - 22:08 #

J’ai toujours aimé le regarder dormir. Même si Cameron m’a avoué assez vite qu’il le faisait depuis notre adolescence, j’ai vite pris l’habitude de pouvoir l’observer lorsqu’il est si vulnérable. Pourtant, tout ce que j’y vois c’est un homme fort et impénétrable aux yeux de tous, qui semble s’ouvrir à moi avec une telle simplicité que ça m’étonnera toujours. J’étudie ses traits magnifiques, la manière dont il a de pouvoir froncer les sourcils avant de les relâcher. Je passe parfois une main dans ses cheveux ou je finis par me blottir contre lui afin de sentir son souffle paisible dans mon cou. A chaque moment, ce petit moment que je prends pour moi, je réalise à quel point je suis chanceuse. Je prends conscience que le destin m’a mis dans ma vie ce rayon de soleil depuis le début simplement pour me rendre heureuse et me combler. A chaque moment, j’ai l’impression de tomber amoureuse un peu plus de cet homme endormi. Sur ce canapé extérieur, sa peau déjà séchée par le soleil, je me blottie un peu plus à lui pour reposer ma tête sur son torse. Son buste se soulève avec un rythme très lent…loin de celui qui l’animait il y a quelques minutes. Loin de ce qu’il provoquait à mon corps une première fois avec ses lèvres. A cette pensée, j’humidifie les miennes et souris de satisfaction. Le sexe avec Cameron a vite été un bonheur, une fois que toutes les barrières ont été abaissées. On est sur la même longueur d’onde, on aime les mêmes choses. Il sait exactement ce que je veux et comment le faire, il sait exactement à quel moment je vrille et à quel moment il doit passer à l’action. Comme tout à l’heure où il m’a ramené dans l’eau, encore tremblante de l’orgasme passé, avant de me pénétrer sans attendre. Cette dureté au fond de moi alors que mon corps se contractait me fait gémir encore plus. Je sais qu’il adore cette sensation que ça lui procure à lui, c’est pourquoi il m’a embarqué une nouvelle fois dans des mouvements plus profonds, plus rapides. Je n’ai pas eu le temps de me ressaisir, de retrouver mon souffles, mes esprits ni mon envie de prendre les reines. Non, je subissais son assaut qui m’emmenait une nouvelle fois au bord du gouffre assez rapidement. « Putain… » Tout m’a fait vibrer : les mouvements ralentis et pourtant si déterminés de Cameron, ses râles et son envie de nous faire partir au plus vite, ce silence autour de nous pesant qui nous laissait audible à tous les voisins à la ronde, à ses dents qui mordillait ma peau. Je m’agrippais à lui, mes bras autour de ses épaules, mes mains retombant dans son dos que les ongles griffaient un peu. « Cam ! » Je n’arrivais pas à me contenir, entre mes gémissements et mes vrais cris. De toute façon, je savais qu’à ce rythme-là, mon corps allait capituler. « Jouis encore bébé. Jouis pour moi. » Il tient son rythme pour me forcer à le faire, et pourtant tout ce que j’arrive à dire en encaissant ses coups c’est : « Pas avant toi » J’ai toujours aimé lorsqu’on était synchronisé sur l’orgasme. Il nous arrivait parfois de ne pas l’être, comme tout couple et toute personne normale, mais mes meilleurs fois avec lui ont toujours été lorsqu’on franchissait la ligne d’arrivée ensemble. Cette putain de ligne d’arrivée qui arrivait dangereusement et que nous avons bien atteinte ensemble. Nos cris à l’unisson m’emportaient bien plus loin qu’espérer. Son corps tremblant dans le mien, imbriqués, c’est une chose unique. Magnifique. Putain, qu’est-ce que j’aime ça ! « Je t’aime, Cameron » C’est la première chose que je lui ai dis une fois que nos cœurs se sont calmés avant de l’embrasser fougueusement. L’élan d’amour que j’éprouve à chaque fois qu’on fait l’amour c’est indescriptible, parce que c’est l’exact moment où nos corps, nos âmes, nos vies ne font qu’uns. Je laisse mon corps se reposer près du sien alors que je sens une main glisser dans mes cheveux. J’ai pas l’impression qu’on ne sommes restés si longtemps pourtant. Mais c’est peut-être parce que j’ai moi-même sombrer vers Morphée. Lorsque je relève la tête, il a les yeux droits sur moi et me regarde amoureusement. Dieu qu’à chaque fois j’ai l’impression de mourir face à ce type de regard. « C’était une bonne idée…cette journée détente » dis-je en souriant.
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Invité a posté ce message Dim 8 Sep 2019 - 16:07 #

« Cam ! » Un long grognement remonte en moi, glisse entre mes lèvres, en sentant ses ongles s’enfoncer dans ma chair et descendre vivement le long de mon dos. Elle va laisser des marques, le genre de celles dont je vais être fier malgré mon incapacité à les voir comme je le voudrais. Tout est toujours trop intense entre nous. Nos sentiments, notre amour et l’union de nos corps. Intense mais tellement parfait ! Pour rien au monde je ne veux perdre ça et savoir que d’ici quelques mois je pourrais en profiter jusqu’à ce que la mort nous sépare fait accélérer les battements de mon coeur. Il n’est pas question que je laisse filer cette perfection. Elle m’appartient autant que moi je suis à elle et même si ce n’est pas grand-chose, faire l’amour comme nous le faisons - même dans une piscine en Italie - c’est comme se prouver mutuellement que nous sommes faits pour être ensemble, pour gommer toutes hésitations d’un côté comme de l’autre. Et j’approche du moment propice. Je sens les picotements s’éveiller dans mon bas ventre, m’alerter du fait que je vais bientôt jouir alors qu’elle ne m’a pas encore rejoint. Je serais même partant pour la sentir partir avant moi, se resserrer autour de moi que ce soit ses jambes ou son sexe fait pour le mien. « Pas avant toi » Voilà que je grogne, serre plus fermement ses hanches qui vont finir par avoir des bleus - j’aimerais qu’elles en aient en réalité - alors qu’Oliana fait tout son possible pour ne pas partir tout de suite. Je dois admettre que comprendre qu’elle veut atteindre l’extase en même temps que moi me fait un effet fou et je pourrais l’aimer plus que ce n’est déjà le cas si je n’avais pas atteint le sommet de notre amour. Je finis néanmoins par céder, l’emportant au même instant dans un orgasme qui nous fait crier tous les deux. Tant pis pour les voisins, je suis persuadé qu’ils sont heureux d’apprendre que je peux faire jouir ma fiancée de cette façon et en tirer un plaisir indescriptible. « Je t’aime, Cameron » Glisse-t-elle quelques instants après nous être étalés sur les dalles chaudes autour de la piscine, à bout de souffle. Jamais ne je pourrais me lasser de me l’entendre dire. C’est merveilleux à chaque fois, aussi beau que la première fois qu’elle me l’a dit dans le rayon pizza d’un supermarché. « Je t’aime. » Ai-je à peine le temps avant que ses lèvres ne prennent les miennes d’assaut. Nos langues dansent et dansent encore, l’air peinant à atteindre mes poumons. Je m’en moque, je serais heureux de mourir après un tel moment en sa compagnie, embrassé par la femme la plus merveilleuse qu’il soit. Sa tête se pose ensuite contre mon torse et je ferme les yeux pour profiter du bien-être après sexe et du soleil qui chauffe déjà ma peau. Doucement, je vais caresser ses cheveux humides. Je n’ai besoin de rien d’autre, seulement des moments comme celui-ci avec seulement Oliana et rien qu’elle. Je pourrais éternellement me satisfaire de ça et abandonner le monde entier du moment qu’elle est là, près de moi. Cette femme parfaite que je finis par regarder - admirer serait plus correct - sans jamais m’en lasser ou avoir honte lorsqu’elle lève la tête vers moi et me surprend. « C’était une bonne idée… cette journée détente » Je ris, ce qui agite un peu sa tête posée sur mon torse. « Tu sais que si je m’écoutais je passerais mes journées à te faire l’amour mais on devrait quand même profiter de Rome tant qu’on est là. Manger une glace par exemple, pourquoi pas face au Colisée ? » Peut-être même dîner et profiter des beautés que la capitale italienne a à nous offrir. Nous pourrions aussi rester à la villa mais j’aime l’idée qu’on se crée des souvenirs tous les deux, des moments auxquels on pourra penser plus tard.
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Invité a posté ce message Ven 13 Sep 2019 - 21:59 #

« Je t’aime » J’aime l’entendre, mais j’aime surtout le ressentir. J’aime quand il me transmet son amour par des petits gestes d’attention, par cette connexion que nous avons lorsqu’on fait l’amour, par ces regards remplis de tendresse et de respect, par ses promesses d’avenir, de mariage, d’enfants, et de bonheur à deux. Plus le temps passe, plus j’ai l’impression qu’il m’aime encore plus. Est-ce vraiment possible ? Je veux dire aimer de tout son corps un jour, et l’aimer encore plus le lendemain ? Sans doute, que c’est possible, parce que c’est exactement ce qu’il me fait ressentir. Lorsque je pense l’aimer suffisamment, il me surprends et me fait l’aimer d’avantage. Dans ses bras, sa respiration rythmant la mienne, j’ai envie d’aller nulle part. Parce que mon chez-moi, c’est avec lui. Mon bonheur, c’est lui. Mon bien-être, ce sont ses bras. « Tu sais que si je m’écoutais je passerais mes journées à te faire l’amour mais on devrait quand même profiter de Rome tant qu’on est là. Manger une glace par exemple, pourquoi pas face au Colisée ? » Je relève la tête, pour venir affronter son regard : « Je croyais qu’on se reposait aujourd’hui, parce que monsieur avait trop marché hier ? » Je souris en venant embrasser son bout du nez. On avait déjà bien visité Rome ces derniers jours, même si l’idée de manger une glace devant le Colisée est une merveilleuse idée. « Tu sais ce dont j’ai surtout envie là, maintenant ? » Je me relève doucement, place une de mes jambes de l’autre côté de lui et vient m’allonger sur lui. Je sens ses mains glisser le long de mes cuisses jusqu’à mes fesses. « J’ai envie de te dire que je tombe un peu plus amoureuse de toi chaque jour… » Mes bras se placent de chaque côté de son visage, mes mains venant caresser son front et ses cheveux encore mouillés. « J’ai hâte de devenir ta femme et de porter ton nom, Cameron. Je veux vivre à tes côtés jusqu’à la fin de ma vie, je veux porter tes enfants et faire de toi le meilleur père du monde. Je veux vieillir avec toi, et continuer à te faire l’amour, même à 90 ans. Je t’aime tellement que je sais que même après ma mort, je continuerai à t’aimer. » C’est ce qu’il évoque en moi. Ce surplus d’émotions est malsain pour mon cœur. J’ai appris à libérer ce que je ressentais, ce que je pensais, parce que si je garde tout, je finis par paniquer et rendre mon cœur plus malade. J’ai appris à lui dire ce que je pensais, à vivre complètement à nu avec lui. Alors, lui avouer ce qu’il m’a fait ressentir un peu plus tôt est pour moi, une manière de rester complètement vivante. J’aurai aimé l’embrasser mais je préfère voir ce que ses paroles osent faire sur lui, ce qu’elles provoquent. Dans son regard. Dans les frissons que sa peau me transverse. Dans son entrejambe. Dans ses lèvres qui s’étirent. Je l’aime tellement que parfois ça fait mal. Mais je sais qu’ensemble, on peut tout surmonter. Je peux tout surmonter. Même ma maladie, qui finira, je le sais, nous emmerder dans les prochaines années.

Je resserre l’emprise autour de Cameron alors que le scooter s’élance dans les petites rues de Rome. Après avoir profité encore un peu de nous deux, on avait finit par descendre en ville, et mine de rien fatigués, c’est vers un scooter qu’on s’était lancé. Le laissant conduire, ma tête reposant sur son épaule, je profite de la vue magnifique de cette ville. Sans doute l’une de mes préférées – après la montagne et la neige. Le Colisée apparaît devant nous, colossale et impénétrable et me fait vibrer une seconde avant que Cameron ne s’arrête pour garer le scooter. Je descends, ma petite robe légère s’envolant au moindre coup de vent avant d’embrasser Cameron qui vient de se libérer de son casque à son tour. « Une glace, alors ? »
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Invité a posté ce message Sam 14 Sep 2019 - 18:26 #

« Je croyais qu’on se reposait aujourd’hui, parce que monsieur avait trop marché hier ? » Un nouveau rire fait vibrer ma cage thoracique, la tête d’Oliana encore en appuie dessus. Je suis monsieur contradictoire par moment mais il serait tout de même triste de ne pas profiter de la ville et de tout ce qu’elle a à offrir même si j’aime par-dessus tout être uniquement avec elle, comme seuls au monde. Ce sont les meilleurs d’ailleurs. Ceux où il n’y a qu’elle et moi sans rien pour venir nous perturber. Ceux où nous pouvons créer nos propres souvenirs que nous chérirons plus tard, vieux et chiants que nous serons je le sais. « J’ai peut-être changé d’avis. » Si je le pouvais je hausserais les épaules pour appuyer mon commentaire ce qui s’avère quelque peu compliqué dans notre position. « Tu sais ce dont j’ai surtout envie là, maintenant ? », « Non, quoi ? » Je lui demande en posant automatiquement mes mains sur ses hanches alors qu’elle passe ses jambes de chaque côté de mon corps. Moi en tout cas je sais de quoi je peux rapidement avoir envie si elle reste comme ça sur moi un long moment et je suis persuadé qu’au petit sourire en coin qui naît elle le comprend. « J’ai envie de te dire que je tombe un peu plus amoureuse de toi chaque jour… (...) Je t’aime tellement que je sais que même après ma mort, je continuerai à t’aimer. » J’ai le coeur qui se gonfle, du genre littéralement. ll se gonfle de bonheur et d’amour pour cette femme qui me surprendra chaque jour un peu plus. Je ne comprends toujours pas qu’elle ait été capable d’aimer un abruti comme moi - ou même de me maîtriser - mais je serais bien idiot de m’en plaindre. Cela dit, l’entendre développer à quel point elle m’aime et à quel point elle est impatiente de faire sa vie avec moi, ça me surprendra toujours. Autant que ça me rend heureux. Je suis sur un petit nuage, sourire jusqu’aux oreilles en caressant ses flancs. Oliana reste penchée au-dessus de moi sans pour autant m’embrasser. Moi je reste silencieux. A cet instant précis il n’y a pas besoin de mots savants ou simples pour exprimer ce que nous ressentons l’un et l’autre. Nos regards suffisent ainsi que notre respiration qui semble se synchroniser. Je l’admire cette beauté et rentre d’un bon coup dans ma tête qu’elle va être ma femme, qu’elle portera mon nom et avec un peu de chance, nos enfants. Comme quoi je n’ai pas besoin de bien de choses dans la vie, seulement d’elle. Cependant, aussi appréciable que soit le moment, il nous faut nous séparer, prendre notre courage à deux mains et aller dans le centre ville.

Mon manque de motivation quant à une grande marche l’emportant, c’est en scooter que nous nous arpentons les rues et ruelles de Rome. Loin d’être le type de véhicule que j’ai l’habitude de piloter, je suis néanmoins tout à fait à l’aise, particulièrement en sentant les bras de ma fiancée se resserrer autour de ma taille. Le vent chaud fouette mon visage et même si je ne peux pas vraiment profiter de ce qui défile sous mes yeux je suis heureux, tout simplement. Scooter garé non loin de notre destination et attaché, j’ai à peine le temps de retirer mon casque que les lèvres d’Oliana viennent saisir les miennes. Bras passé autour de sa taille, je la colle un peu plus contre moi. « Une glace, alors ? » Sans la lâcher, j’ouvre le coffre sous le siège et y range nos casques comme je le peux. « Une glace ou peu importe ce que tu veux en fait. » Nous pouvons tout aussi bien manger, boire du champagne hors de prix si elle le souhaite, je suis prêt à tout pour lui faire plaisir. Main dans la main, je l’entraîne avec moi en direction de l’établissement dont les terrasses donnent directement sur le Colisée. Mon bras passé autour de ses épaules et sa main retrouve la mienne, doigts noués. « Tu sais, je me disais qu’on pourrait le faire ici le mariage. Pas forcément à Rome mais en Italie. Avec tous les immenses vignobles qu’il y a ça pourrait être une idée. Ou alors dans le nord en hiver … » Deux choix totalement opposés mais j’aime cet endroit sans doute autant qu’elle aime la neige et la montagne mais je sais qu’au final c’est vers son choix que je me dirigerai. Toujours.
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Invité a posté ce message Dim 15 Sep 2019 - 20:30 #

Lui dire ce que je ressens est devenu si simple, aujourd’hui. Alors qu’avant, c’était tout le contraire. Des années à se disputer pour des jalousies partagées, pour des conquêtes détestables, juste parce qu’en réalité nos sentiments étaient déjà là. On n’avait simplement pas réalisé ce qui nous liait vraiment. C’est comme si nos astres non alignés étaient un nuage de météorites, désordonnées et destructives, mais qu’une fois que tout a été éclairé, ils se sont transformés en étoiles, scintillantes et nous portant chance. Mon dieu, c’est simple de lui exprimer ce que mon cœur garde trop en lui, tout cet amour, ces frissons, ces envies et promesses. Ça m’apaise plus que ça ne devrait me rendre anxieuse, et je vois qu’à son regard capturé, presque surpris, il absorbe mes paroles dans son propre cœur pour le combler encore plus. C’est un sourire franc et heureux que je finis d’afficher lorsqu’il ne répond rien. Il n’en a pas besoin. Son regard parle de lui-même. Et c’est ce que j’aime maintenant dans notre couple, l’immensité de notre amour, exprimés ou non, transmis par cette connexion extraordinaire que nous avons.

J’ai du mal à rester loin de lui : quand bien même je viens de me lever du scooter, je m’empresse de l’embrasser, ce qui lui donne envie de me saisir la taille et de m’approcher de lui. Mes mains, même encombré du casque passe dans ses cheveux désordonnés. « Une glace ou peu importe ou peu importe ce que tu veux en fait. » Je le regarde ranger nos casques dans le petit coffre du scooter, alors que je réfléchis. « Ou une gaufre. Ou…une glace-gaufre » J’ai toujours eu un souci avec la bouffe, c’est comme un péché mignon. Une manière de lutter contre mes angoisses liées à ma maladie depuis toute petite. Non, je n’ai aucun souci de boulimie ou aucun rapport négatif vis-à-vis de la nourriture, c’est juste que j’ai toujours été une grosse gourmande. Tout le monde le sait.  Il me prend la main en secouant la tête, alors qu’il m’empresse le pas vers des petites terrasses qui ont l’air fort sympathique. « Tu sais je me disais qu’on pourrait le faire ici le mariage. Pas forcément à Rome mais en Italie. Avec tous les immenses vignobles qu’il y a ça pourrait être une idée. Ou alors dans le nord en hiver. » Je ralentis une seconde mon pas, pour mieux l’étudier. « C’est ce que t’aimerais ? » Je demande parce qu’il a tendance à vouloir m’offrir le monde tout en s’oubliant lui. Je veux que notre mariage nous correspond nous, et pas seulement à mes envies. Sa demande a été faite à la montagne, le 24 décembre, sous un belvédère enneigée dont les quelques bougies et les pétales de roses étalées venaient ajoutés du romantisme à la scène. J’ai toujours aimé l’Italie, pour sa beauté, et ses pizzas – surtout ses pizzas. Mais j’aime encore plus la neige et la montagne. Combinés les deux seraient trop beau pour être vrai. « C’est aussi ton mariage, et je veux pas être la seule à décider » Je m’arrête une seconde pour le regarder dans les yeux. « Je veux juste t’épouser et profiter de mes proches. Mais si tu me demandes comment je visualise ce grand jour : je vois des montagnes, de la neige, moi…dans une robe blanche, aussi blanche que la neige, un bouquet de fleurs vertes…et un nouveau belvédère » Parce que visiblement, je veux garder cette symbolique, si parfaite. « Et j’aurai beau avoir froid au cul, j’aurai surtout le souffle coupé en te voyant dans ton beau costume au teinte vert. »
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Invité a posté ce message Lun 16 Sep 2019 - 12:14 #

Question météo et saisons, je n’ai jamais été difficile. A vrai dire et en toute sincérité je m’en fou complètement. Les fortes chaleurs de me dérangent pas plus que le grand froid. Si je me plains c’est généralement par principe et parce que j’aime faire chier. Autrement, que ce soit été, automne, hiver ou printemps je m’en moque. Cela dit, j’aime beaucoup l’Italie et ses paysages à couper le souffle. La chaleur ne fait que me rappeler mes quelques années à Pretoria, avant que tout n’explose et que je perde ma famille au complet avec quelques mois d’écart. C’est sec mais chaleureux et puis comment ne pas aimer toute la beauté de ce pays latin qui mélange passé et présent ? « Ou une gaufre. Ou…une glace-gaufre » Amusé et la tête secouée de gauche à droite, j’ignore pourquoi je suis encore surpris qu’elle s’emballe autant dès qu’il est question de nourriture. C’est presque une passion pour Oliana et moi je trouve charmant qu’elle puisse manger son poids en nourriture. Je préfère largement ça à une femme toute maigre même si Alexya n’avait pas tellement de formes hormis ses seins refaits qui au final m’attiraient moins qu’une petite poitrine naturelle. Quand j’y pense, je ne comprends vraiment pas ce qui m’a poussé à le demander en mariage. Certes le sexe avec elle ce n’était jamais ennuyeux, ça reste bien loin de tout ce que je peux ressentir avec ma fiancée. Quand on est con, on l’est jusqu’au bout je suppose. « Tu vas avoir assez de place pour manger ce soir au moins ? » Question idiote que je pose seulement pour la taquiner. Il reste bien des heures avant de nous laisser séduire par un vrai repas, d’ici là nous aurons éliminé tout le sucre qu’elle compte nous faire avaler. Du moins si nous atteignons le restaurant. Arrêtés au milieu du trottoir, je la décale pour que nous ne gênions pas le passage alors qu’elle me demande : « C’est ce que t’aimerais ? » Je hausse les épaules pour toute réponse parce que je la connais par coeur. Je sais que cette question ne fait qu’ouvrir les vannes et que les paroles vont bientôt se déverser ce qui, évidemment, ne manque pas. « C’est aussi ton mariage, et je veux pas être la seule à décider. (...)  je vois des montagnes, de la neige, moi…dans une robe blanche (...) Et j’aurai beau avoir froid au cul, j’aurai surtout le souffle coupé en te voyant dans ton beau costume aux teintes vertes. » Mon sourire s’élargit à mesure qu’elle me dévoile sa vision de notre mariage. Je reste un instant bloqué sur l’image d’elle en robe de mariée puis reviens à l’instant présent. J’encadre son visage de mes mains et penche le mien. Nos lèvres s’effleurent mais c’est sur son front que je dépose un baiser. « Je sais que c’est aussi mon mariage mais, tu vois, la seule chose qui m’importe réellement c’est de te voir descendre l’allée dans ta robe et t’entendre me dire oui. Dans la neige ou en plein soleil, je ne ferais pas mon difficile. Ce que je veux c’est que toi tu ais le jour dont tu rêves. » Je suis prêt à céder à ce qu’elle voudra, claquer des millions si ça la chante tant que je sais qu’elle est heureuse. « Par contre foncé le vert, ressembler à un leprechaun ça m’emballe pas des masses. » De toute manière je sais déjà quel type de costume trois pièces je vais m’acheter, la couleur dépendra des choix de madame.
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Invité a posté ce message Mar 17 Sep 2019 - 20:41 #

« Tu vas avoir assez de place pour manger ce soir au moins ? » J’hausse les épaules par l’affirmative. Je suis moi-même surprise de pouvoir engloutir tout ce que je mange, sans forcément prendre un gramme. Oh je tente de faire du sport, surtout pour maintenir mon cœur, même si je reste interdite de grosses séances. Au final, heureusement que mon organisme ne prends rien, sinon je ressemblerais à un bibendum…et Cameron me trouverait laide. « J’ai toujours de la place » Je réponds alors que je connais déjà sa réaction : ses yeux vont aller vers le haut, comme exaspéré d’épouser une nana aussi gourmande. C’est souvent la même chose, parce que lui doit faire un peu plus attention, ou faire plus de sport pour commencer. Mais il adore ça, alors…ça va. Heureusement, dans un sens, parce que comme ça, je peux profiter encore plus de ses merveilleux abdos. Mais la conversation tourne assez rapidement sur le mariage, son organisation qu’on devrait vraiment commencer, et qu’on repousse parce qu’on a un emploi du temps de malade. Maxyne a forcément voulu nous aider, et est sur le coup, mais rien que décider de la date et du lieu est déjà bien compliqué. « Je sais que c’est aussi mon mariage mais, tu vois, la seule chose qui m’importe réellement c’est de te voir descendre l’allée dans ta robe et t’entendre me dire oui » Ce n’est pas ses lèvres proches des miennes qui me font frissonner, ni le baiser qu’il porte à mon front, ce sont bien ses paroles qui vont droit à mon cœur. Moi aussi, j’ai hâte de pouvoir le rejoindre au bout de cette allée et de pouvoir l’entendre me dire oui. « Dans la neige ou en plein soleil, je ne ferais pas mon difficile. Ce que je veux c’est que toi tu ais le jour dont tu rêves » Mes mains glissent le long de ses flancs, s’accrochent à son t-shirt qu’il porte alors que je tente d’atteindre ses lèvres. « Mais tout ce que je veux c’est toi. » S’il s’en fou de la neige, du plein soleil…moi, je pourrais partir pour Las Vegas à l’instant et me marier en secret. Mais je sais que nos proches seraient déçus de ne pas pouvoir partager notre bonheur, je sais que tout le monde tient à nous voir marier dans les règles, notamment les journaux. Et si je peux…en un sens, montrer encore à la terre entière que cet homme magnifique n’est définitivement plus sur le marché, je le ferai. « Par contre foncé le vert, ressembler à un leprechaun ça m’emballe pas des masses » Je me mets à rire alors que mes mains glissent le long de ses hanches, passent dans son dos et viennent se poser sur ses fesses, sans aucune gêne : « Même en Leprechaun, tu serais sexy » J’humecte mes lèvres par envie, avant de soupirer et d’ajouter : « L’Italie serait une bonne idée, mais nos proches ne pourront pas tous être présents » Entre ceux qui bossent, ceux qui n’auront pas les moyens, ceux qui ont des enfants… « Pourquoi pas au canada, en hiver ? On fera notre voyage de noce en Europe, au pire »
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Invité a posté ce message Mer 18 Sep 2019 - 18:04 #

Evidemment qu’elle se contente de hausser les épaules en m’offrant un sourire. Dès qu’il est question de nourriture on n’arrête plus cette femme. J’adore la taquiner à ce sujet même si ça se termine régulièrement par un coup de sa part contre mon épaule. Mais ça, elle va devoir s’y habituer. Elle le fait déjà. Je suis taquin, plus particulièrement avec elle et je ne compte pas m’arrêter de sitôt. Et puis, Oliana sait que j’adore son petit côté ogresse. Je sais que pour lui faire plaisir ou lui remonter le moral rentrer avec un pizza suffi ou même un bon gros Big Mac qu’elle s’empressera d’avaler en poussant ce petit soupire qui suffira à réveiller ma queue. Qu’elle en profite puisque, contraire à moi, elle ne prend pas de poids en avalant tout et n’importe quoi. Ça reste nettement moins intéressant que le sujet qui suit et qui est sur toutes les lèvres depuis que nous l’avons annoncé. Notre mariage se fait désirer grâce à ma popularité et à l’enthousiasme des journalistes pour écrire sur un sujet dont les trois quarts des habitants de la planète se moquent éperdument. La presse aime tellement ça que le fait que nous trainions à laisser supposer une potentielle rupture entre nous. A croire que des futurs mariés n’ont pas le droit de prendre leur temps pour prévoir le mariage de leur rêve. D’accord nous ne nous sommes pas fixés sur la date mais ce n’est pas de la peur, simplement un manque de temps. « Mais tout ce que je veux c’est toi. » Oliana me l’a déjà dit : si ça ne tenait qu’à elle nous prendrions le premier vol pour Las Vegas. J’admets y avoir moi-même pensé. Toute la cérémonie c’est surtout pour nos proches et pour elle, moi une petite chapel avec simplement la femme de ma vie ça me suffit temps que je lie ma vie à elle jusqu’à la mort de façon officielle et spirituelle. « Je sais mais même si c’est notre mariage, je doute que nos proches soient très heureux … surtout mon témoin et ta demoiselle d’honneur. » Pour ce qui est des parents c’est autre chose. Amanda pourrait être malheureuse de ne pas assister à ce grand jour alors que Jacob … eh bien étant celui qui apprécie le moins notre relation, ce qu’il en pense ne me touche pas. « Mais tu sais que je pourrais tout aussi bien t’épouser devant un faux Elvis donc je tiens à ce que tu décides de l’endroit qui te feras le plus plaisir. Je serais heureux du moment que tu l’es. » Elle me sait assez têtu pour ne pas changer d’avis, pas même en sentant ses mains descendre vers mes fesses et me faire sourire. J’aime lorsqu’elle se fait plaisir ainsi, y compris en public. Qu’elle mette ses mains où elle veut, je suis à elle de toute manière. « Même en Leprechaun, tu serais sexy » Oh au regard qu’elle me lance, plein de désir, je sais qu’elle aurait aimé que nous soyons encore à la villa pour profiter de son fiancé aussi sexy. Elle pourra le faire autant qu’elle le souhaitera en rentrant, je ne me ferais pas prier. « L’Italie serait une bonne idée, mais nos proches ne pourront pas tous être présents. Pourquoi pas au canada, en hiver ? On fera notre voyage de noce en Europe, au pire » Mon sourire s’élargit. C’est bien ce que je pensais : son choix était déjà fait même si c’était inconsciemment. « Bébé, j’ai une petite fortune que je peux dépenser comme je le souhaite, ça ne m’aurait pas arrêté. » J’ai bien assez de fric pour payer les billets aller-retour de tout le monde sans que ça me préoccupe. « Le Canada en hiver ça sera. Puisqu’on a l’air plus rapide que d’habitude on ferait tout aussi bien de fixer une date et de prévenir Maxyne … après avoir mangé ta gaufre-glace. » Mes lèvres sur les siennes, je reprends une de ses mains et l’entraîne enfin de la petite restaurant sans la laisser s’y opposer.
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Invité a posté ce message Mer 18 Sep 2019 - 22:11 #

« Je sais mais même si c’est notre mariage, je doute que nos proches soient très heureux…surtout mon témoin et ta demoiselle d’honneur » Je sais tout ça, mais ça m’empêche pas de faire la mou. Clairement, ce mariage est attendu par tous, et au fond c’est un peu stressant. Ça nous met mine de rien une pression supplémentaire, comme l’annonçant comme l’un des plus gros mariages de cette année. Une célébrité comme Cameron, c’est normal qu’on s’intéresse à son mariage ; mais lorsqu’on ajoute la donnée qu’il se marie avec celle qui est officiellement sa sœur par papier, la presse aime ce genre de complication. C’est tordu, selon eux, et il nous ait déjà arrivés d’avoir de remarques déplacées concernant notre couple et notre amour. Mais on évite de les écouter, parce que ce serait ouvrir la porte à toutes les critiques. On s’aime, c’est le principal. « Mais tu sais que je pourrais tout aussi bien t’épouser devant un faux Elvis dont je tiens à ce que tu décides de l’endroit qui te feras le plus plaisir. Je serais heureux du moment que tu l’es » Visiblement, je suis la décisionnaire sur le lieu, alors lorsque je pense à nos amis, notre famille, c’est surtout au canada que l’idée me vient. Parce que plus accessible et tout aussi grandiose. Même si je sais que l’Italie aurait pu être une option, mais je refuse que Cameron dépende sa fortune pour tout le monde. De toute manière, je connais déjà des gens comme Maxyne qui refuserait de tout se faire payer. « Bébé, j’ai une petite fortune que je peux dépenser comme je le souhaite, ça ne m’aurait pas arrêté » « Va donc dire ça à Maxyne. » J’ai arrêté de l’appeler ma sœur ou sa sœur en la présence de Cameron, parce que ça floute trop notre relation. Tout comme Amélia d’ailleurs. « Le Canada en hiver ça sera. Puisqu’on a l’air plutôt rapide que d’habitude on ferait tout aussi bien de fixer une date et de prévoir Maxyne…après avoir mangé ta gaufre-glace. » Rapide baiser sur mes lèvres, il m’entraîne main dans la main dans un petit restaurant qui nous installe sur la terrasse face au Colisée. Une fois commandé, cette fameuse gaufre-glace pour deux et des boissons, je pose ma tête sur son épaule en regardant l’immense bâtisse. Je sens sa main m’envelopper et glisser sur mon flan : « Tu sais que si j’ai décidé du lieu, tu vas devoir décider de la date » J’annonce comme ça, avec un sourire aux lèvres. Oh, il a l’habitude qu’on se partage les tâches, ceci n’est pas une exception. « J’attends donc tes propositions » Forcément, ça va être l’hiver, parce que j’ai bien fait comprendre que je voulais garder la neige et cette saison pour nous porter bonheur. Mais quand ? Quelle date ? Je n’ai aucune préférence.
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