Parfois on n'a pas envie de tourner la page mais carrément de changer de livre.Gabriel&Rosalia;
A great hero teaches an entire city that dancing is the greatest thing there is.
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I am not some starry-eyed waif here to succumb to your... your pelvic sorcery.
Une journée assez banale s'annonçait pour moi aujourd'hui. Mon patron m'avait laissé congé, il voulait que je profite de ma journée pour me reposer, car il voyait que j'étais énormément fatigué. À vrais je ne dormais pas bien du tout en ce moment. J'avais comme des difficultés a m'endormir. J'avais appris une mauvaise nouvelle y a quelque jour de ça et je n'arrivais pas à m'en remettre. Le chien de mes parents était décédé. Je sais vous devez vous dire que je suis bizarre, mais quand on a un animal on s'attache tellement vite que la vie auprès d'eux et trop courte. Enfin je voulais passer une journée avec Kayla. Je voulais qu'on en profite toutes les deux. Du coup j'ai pensé aller faire un footing au parc. Pour me changer les idées, mais aussi faire courir ma jolie Kayla. Elle adore courir, vous me direz comme tous les chiens. Elle aime beaucoup aussi jouer avec les autres chiens qui sont dans le parc. Elle est très sociable ma petite fifille… j'entendais Kayla derrière la porte pleurer, car elle m'avait entendu bouger dans le lit. Elle savait que j'étais réveillé donc elle avait qu'une hâte c'est que je sorte de la chambre pour lui dire bonjour. Je me suis empressé de sortir « Coucou ma belle, tu as bien fait dodo » tout en lui caressant le dos et le haut de la tête. tout en lui caressant le dos et le haut de la tête. « bon ma belle tu sais ce qu'on va faire aujourd'hui ? On va aller au parc faire un petit tour pour s'aérer » je continuais à la caresser… Je me suis alors dirigé vers ma cuisine pour me prendre un petit café histoire de me réveiller avant de sortir… Mon jogging était déjà près sur ma chaise dans la chambre. Un jogging rose pale, qui m'allait un peut grand, car j'avais encore perdu un peu de poids. Sans le vouloir a vrais dire je me sentais très bien comme avant, mais bon mon corps continuait à perdre. Ma mère me disait souvent que je devais arrêter que j'étais devenue une femme très belle, mais vous savez quand vous vivez avec une angoisse de redevenir un monstre aux yeux des autres vous ne pouvez pas vous empêcher de remonter tous les jours sur une balance pour voir si elle ne grimpe pas d'un coup. Vivre dans la peur sans cesse n'est pas une vie je vous l'accords, mais c'est comme ça que j'ai appris à vivre. Je n'arriverais jamais à oublier ce qui met arriver, les tristesse dû à mon poids et les coups durs pour pouvoir devenir celle que je suis aujourd'hui… Enfin revenons à l'essentiel je devais me préparer pour partir avec Kayla. Je souris à Kayla quand elle me voit enfiler mon jogging « oui ma belle on va voir les copains au parc » elle bougeait la queue comme une dingue tellement elle était heureuse… Quelques minutes plus tard me voilà partie en direction du parc en trottinant et des écouteurs dans les oreilles. Bien sûr Kayla était à côté de moi elle courais un peu plus vite pour pouvoir me suivre, elle était encore attachée … Le fais de courir, m'apportais du plaisir, car j'arrivais l'espace d'une ou deux heures à tout oublier et penser à rien d'autre qu'à la musique qui retentissait dans mes oreilles… Ça me faisait tellement de bien… Arriver sur place j'ai lâché Kayla pour qu'elle puisse courir à sa guise et moi aussi… Mon rythme n'était pas le même que le sien et je ne voulais pas qu'elle se force a devoir courir plus vite que moi, parce qu'elle n'arrivait pas à me suivre.
Parfois on n'a pas envie de tourner la page mais carrément de changer de livre
Rosalia & Gabriel
La nuit qui s'achevait s'était avérée être tout sauf reposante si l'on en considérait l'absence pure et simple de sommeil. Gabriel avait siégé inexorablement dans son bureau, partageant sa nuit entre prendre note des prochains points importants à aborder lors du prochain conseil de son entreprise, répondre à une pléthore de mails concernant ladite société, et achever quelques croquis et plans. Comme un mauvais refrain, le sommeil le fuyait inlassablement, à moins que ce ne soit la situation inverse. L'acte permettait néanmoins d'avancer scrupuleusement sur ses divers projets et c'était le genre d’opportunité qu'il ne déclinait jamais. Le terme d'atelier de travail était probablement plus adapté à la pièce que le mot bureau, les murs et les surfaces étant majoritairement recouvertes d'une décoration composée de dessins et documents se rapportant au domaine de la mode. Cela dit, considérant le temps qu'il passait ici plutôt que dans le bureau qui servait véritablement lors de ses entretiens, il avait été tacitement convenu de juger la pièce comme telle. Le chef d'entreprise ne prit conscience des heures écoulées qu'au moment de porter son thé à ses lèvres, la température anormalement froide l'ayant fait grimacer sans pour autant le faire ralentir dans sa consommation du breuvage. Après tout la théine contribuait à sa concentration et le goût était apprécié, il aurait été stupide de gâcher.
Il tirait le dernier trait d'une esquisse et posait momentanément son attention sur le Doberman en boule à ses pieds quand ses idées se tournèrent vers les récents événements. Revenu encore récemment résider pleinement à New York, il y avait toujours une large quantité de choses à remettre en ordre. Ces dernières semaines avaient été presque chronométrées, mixant la Fashion Week auquel il avait été convié à Paris, et qui avait réclamée un temps considérable, à tous les autres devoirs routiniers. Après plus de deux mois à séjourner en ville, il commençait tout juste à entrevoir quelques maigres mais véritables journées où il n'aurait rien d'autre à faire que de tenter d'oublier le travail pendant vingt-quatre heures. L'idée de savoir qu'aujourd'hui serait une journée entrant parfaitement dans cette catégorie fut la dernière pensée à persister dans son esprit avant qu'il ne recentre son attention sur le travail à poursuivre.
Lorsqu'une nouvelle tasse de thé fut consommée au matin, Gabriel épinglait les deux esquisses qui avaient trouvées grâce à ses yeux cette nuit, disposant de celles jugées insatisfaisantes dans un coin. C'était l'une de ses habitudes, mettre de côté les croquis durant quelques jours pour y revenir ensuite et réajuster les lignes qui apparaissaient disgracieuses sous son nouvel œil critique. Dégustant le contenu de sa tasse tout en écrivant plusieurs réponses à des mails professionnels, il guetta l'heure distraitement. Cela avait peut être coûté une nuit de repos -si tant est que ce soit possible- mais il avait été efficace et le résultat lui permettait de quitter son bureau l'esprit tranquille. Une douche presque brûlante aux vertus revigorantes participa ensuite dans sa tentative -très probablement vaine- de vouloir vider ses pensées, et une tenue de sport composée sobrement d'un jogging et d'un tee-shirt surmonté d'une veste à capuche fut l'armure qu'il enfila avant de préparer sa chienne Jill à sortir.
Son sens de l'organisation le fit finalement quitter son domicile en un temps record, sa course à pied démarrant dans la foulée, au grand malheur du Doberman qui semblait toujours en phase de réveil. Il ne lui avait naturellement même pas fallut une minute pour cesser de râler et suivre allègrement les foulées de son maître jusqu'au parc. À peine détachée de la laisse qui restreignait relativement ses agissements à leur arrivée, Jill soutint assidûment le rythme de Gabriel, s'amusant dans de joyeux bonds à parfois courir de droite à gauche du roux de façon chaotique. Le jeune homme surveillait en conséquence les frivolités de l'animal pour prévenir tout incident fâcheux, ses prunelles vertes inclinées vers le sol lui permettant de voir un porte-monnaie abandonné. S'arrêtant de justesse pour ne pas piétiner l'objet, il avait cherché rapidement du regard la personne la plus proche susceptible d'avoir égaré la chose. Une évidence s'offrit plutôt simplement quand Gabriel observa une femme blonde qui courrait sur la même trajectoire et qui prenait peu à peu le large. Ramassant le porte-feuille, le propriétaire de marque accéléra la cadence pour rejoindre la demoiselle en question, l'apostrophant une fois qu'elle était à deux ou trois mètres de distance.
Invité a posté ce message Lun 11 Fév 2019 - 10:25#
Parfois on n'a pas envie de tourner la page mais carrément de changer de livre.Gabriel&Rosalia;
A great hero teaches an entire city that dancing is the greatest thing there is.
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I am not some starry-eyed waif here to succumb to your... your pelvic sorcery.
J'adorais courir. Ça me faisait du bien. Physiquement je sentais mes muscles travailler, mes cuisses ce durcissait au rythme où je courais. Puis quand on court le plus souvent le cerveau ce libère de tout. Tu penses plus qu'à une chose c'est avancé en mettant un pied devant l'autre pour aller le plus loin possible. Quand j'étais plus jeune je voulais aussi faire du sport, mais mes parents m'interdisaient de courir, car cela abîmait mes genoux à cause de mon poids. Du coup je n'ai pas eu l'occasion de goûter à ce bonheur qui est le sport quand j'étais plus jeune. Enfin bref il faillait que je pense au chemin que je voulais prendre pour vraiment faire un long tour. Ma Kayla elle courait a sont rythme, je souriais en la voyant, car elle allait chez tout le monde pour dire bonjour. Les gens la connaissaient on venait souvent ici. Ils savent qu'elle ne fait rien, au contraire elle adore les caresse. Puis elle adore les autres chiens aussi. Il faut dire que depuis qu'elle est petite je l'habitue à voir d'autre chien pour qu'elle puisse être docile. Je courais vite je voulais vraiment dépenser tout ce que j'avais mangé la veille. Parfois quand je suis chez moi je fais aussi des exercices, j'adore être en forme. Alors que j'étais en train de courir un jeune homme ces mit a crié vers ma direction. J'ai donc retiré un de mes écouteurs et je me suis arrêté pour voir ce qu'il voulait. Mais en me retournant j'ai eu le choc de ma vie. Comment c'était possible de retomber sur lui. La dernière fois que je l'ai vu j'étais toute jeune et a vrais dire je n'étais pas très belle pour pouvoir lui plaire… J'espérais qu'il me reconnaisse de lui-même. Je pense qu'il ne va pas me reconnaître. Il tenait un porte-feuille à la main. Je lui fais un sourire avant de lui répondre « ce n'est pas à moi » Kayla est arrivé en courant vers moi et Gabriel. Je me suis mise à la caresse. « Gabriel ? » Je me sentais perplexe a l'idée qu'il allait se souvenir de moi. J'étais amoureuse de lui à l'époque, mais c'est vrai qu'en le voyant-la devant moi je le trouvais toujours aussi craquant et mystérieux. C'est vrai que c'était l'ami de mon frère, mais je dois dire que j'étais tellement pot de colle que je pourrais presque dire que c'était aussi mon ami à moi. Je souriais bêtement au jeune homme.
