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 we've got to work this out / lorna

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Invité a posté ce message Jeu 21 Mar 2019 - 16:25 #

we've got to
work this out
@Lorna Stevenson & Eliza Moran

Elle en a marre, Eliza. Elle ne s’’est pas spécialement levée du mauvais pied, mais cette journée la fatigue au plus haut point et il n’est même pas encore midi. Elle s’est retrouvée coincée dans le métro sans raison, le casting auquel elle s’est rendue s’est avéré être une véritable perte de temps, et son patron l’a appelé pour lui demander de faire des heures supplémentaires. Sur son jour de repos. Elle n’avait pas du tout prévu de travailler aujourd’hui, à vrai dire elle est censée passer la soirée avec Warner, et elle n’a pas encore osé l’appeler pour annuler. Elle sait qu’il ne dira rien, parce qu’il sait très bien que cet argent elle en a besoin. Vraiment, elle n’est pas en position de refuser des heures supplémentaires, et de futurs pourboires surtout. Sa seule solution, comme son patron le lui a suggéré, c’est de trouver quelqu’un pour la remplacer. Un travail non déclaré et ponctuel, donc. Seulement, la grande majorité de ses connaissances n’a pas forcément le temps pour ça, ou l’envie. Ou les capacités d’ailleurs. Elle s’imagine très mal demander à Warner de la remplacer, et ça n’aurait aucun intérêt étant donné que c’est à cause de lui qu’elle hésite à travailler. Elle ne se voit pas non plus demander à un inconnu car le risque qu’elle se grille totalement est trop grand si elle ne peut pas se porter garante pour la personne en toute conscience. C’est en faisant défiler son répertoire téléphonique qu’elle a trouvé la solution à son problème, même si rien ne garantit qu’elle acceptera. Elle a essayé de l’appeler, sans succès. Alors elle se rend chez elle. C’est dire à quel point elle est désespérée. C’est d’ailleurs sur le chemin qu’elle s’est retrouvée coincée dans le métro. Ca lui fait tout drôle de revenir dans par ici, dans ce quartier où elle a vécu dès son arrivée à New York mais où elle n’a plus remis les pieds depuis son déménagement et son départ en Australie. Arrivée au pied de l’immeuble où vit Lorna, Eliza sonne dans l’espoir qu’elle se trouve bien ici. Si ce n’est pas le cas, elle ne sait pas ce qu’elle va bien pouvoir faire, mais c’est un problème pour plus tard. Par chance, on lui répond, et elle pousse un soupir de soulagement avant de répliquer : « Lorna ? C’est Eliza, j’ai un petit service à te demander, tu aurais quelques minutes à m’accorder ? » Elle entre tout de suite dans le vif du sujet, pas la peine de tourner autour du pot.
(c) DΛNDELION
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Invité a posté ce message Sam 23 Mar 2019 - 23:02 #





We’ve got to work this out.


Jour de repos. Et Dieu sait que Lorna en avait besoin ! Non pas pour se reposer et accorder du repos à ses muscles courbaturés ou ses genoux irrités. Ca, non, la fatigue physique elle ne la ressent que très rarement. C'est bien l'une des seules raisons pour laquelle elle peut remercier ses parents et leurs insistance à travailler dans l'épicerie familiale. Non, en réalité, si Lorna a besoin de repos, c'est pour pouvoir écrire. Ecrire, écrire et puis écrire. Elle ne sait pas encore à propos de quoi, ni où. Chez elle, dans l'ombre d'une ville qui la fascine, ou dans un lieu bondé, où la solitude l'envahira de toute façon pour l'aider à écrire ? Elle a du mal à se décider, ce sera selon son humeur. Mais elle sait qu'elle a besoin aujourd'hui de coucher des mots sur le papier. Pour l'instant, elle vient tout juste de se réveiller, même si il est aux environs de midi. Elle émerge doucement en lisant quelques pages de son roman, dans son short de pyjama et un tee-shirt trop grand, clope au bec et café à proximité. Son roman ressemble à la vie de ses rêves ; une histoire utopiste où une femme, venant de nul part, réussis à atteindre de grand desseins. Ca fait fantasmer Lorna, évidemment, même si elle n'a pas grand chose à reprocher à sa vie actuelle. Elle a déjà fait une bonne partie du chemin qu'elle souhaitait. L'ambiance de cette journée la ravie déjà, même si sa mine fermée et pâle ne le traduit pas. Jusqu'à ce que son interphone sonne.

Tiré soudainement de son bouquin, la fausse blonde jette un regard désaprobateur au petit boîtier bruyant. Qui peut bien sonner chez elle ? Encore un fanatique qui veut lui raconter que l'apocalypse est proche. Ou peut-être est-ce, par miracle, sa propriétaire qui a finalement entrepris des démarches pour le problème d'humidité dans son appartement ? Finalement enjouée à l'idée que ce soit elle, Lorna bondit de son petit tabouret en bois inconfortable pour aller décrocher l'interphone, sa cigarette toujours aux lèvres. Mais là, surprise, ça n'est pas du tout la voix de sa propriétaire qui retentit. Cette voix est féminine, certes, mais beaucoup plus jeune et douce. « Lorna ? C’est Eliza, j’ai un petit service à te demander, tu aurais quelques minutes à m’accorder ? » Eliza ? Eliza qui ? Lorna se questionne en silence, afin de ne pas offusquer son interlocutrice. Soudainement, ça lui revient. Eliza est une vague connaissance, d'un temps passé. Il y a quelques mois, elle l'avait rencontré en arrivant à New York. Elles s'étaient toutes deux retrouvés à travailler ensemble dans une immense demeure d'une des nombreuses familles aisées de Manhattan. Elles avaient sympathisées et s'était croisées une ou deux fois, avaient bu un ou deux verres ensemble, mais ça n'avait jamais été plus loin, Lorna n'ayant aucune capacité à s'attacher, ni à garder contact.

Lorsqu'elle reconnait Eliza, elle ne sait pas vraiment comment réagir. Personne n'est jamais venu sonner, à part sa propriétaire. Et personne n'a jamais pénétrer son petit et lugubre studio, à part sa propriétaire. Mais visiblement, sa connaissance semble pressée, inquiète et la demande avait l'air urgente. Un service ? Lorna se demande déjà de quoi il s'agit. Elle espére pouvoir l'aider, mais elle espére aussi égoïstement que ça n'empiètera pas sur son besoin d'écrire aujourd'hui. Elle prend alors une inspiration avant de l'inciter à rejoindre son appartement. « Salut Eliza, oui, bien sûr. Monte. C'est au premier étage. » Suite à ses mots, elle appuie directement sur l'interrupteur d'ouverture, qui émet un son grésillant, preuve que son invité peut pousser la porte d'entrer. Lorna raccroche alors le combiné et se frotte rapidement les yeux, afin d'avoir une mine un peu moins endormie. Puis, elle déverouille sa porte, prête à ouvrir quand Eliza serait sur le seuil de sa porte.
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