Happiness is living with a crazy roommate (nicola)

Date d'emménagement : 27/02/2019

Noé y avait peut-être été un peu fort en se moquant de Nico, il avait critiqué son poids et c’était un point sensible apparemment. Enfin il se doutait qu’elle en jouait un peu parce qu’entre eux c’était toujours le cas. Ils faisaient tout pour embêter l’autre c’était leur manière de fonctionner tous les deux. Nico était revenue de sa chambre en culotte pour montrer à Noé à quel point ses jambes étaient parfaites et n’avaient pas besoin de sport. Noé lui fit un petit compliment pour la rassurer et très vite il alla la prendre dans ses bras pour qu’elle puisse bien sentir son odeur. Il était généreux avec elle il le savait mais apparemment elle n’était pas d’accord parce qu’elle lui demanda vite de desserrer son étreinte. Noé s’amusait de la voir essayer de se dégager en vain. Elle finit tout de même à y arriver à force de lui écraser le visage avec sa main. Il la lâcha donc mais ne put s’empêcher de rire quand il la vit essuyer son nez “T’es pas très sympa, je pues pas tant que ça non plus” dit-il alors en prenant un air vexé. Mais il ne le tint pas longtemps parce qu’il ne le pensait pas du tout. Il savait qu’il était humain et que comme tout le monde ça lui arrivait de transpirer et même de puer. Noé sortit son portable se rappelant qu’il devait envoyer un mail à son agent, il vit en même temps que celui-ci lui avait envoyer des documents qu’il devait sauvegarder et des photos à enregistrer. Il ferait tout ça quand il serait sur son ordinateur avec sa souris et son clavier ça serait beaucoup plus simple. Avant de verrouiller son portable, il jeta un oeil à l’heure avant de se tourner de nouveau vers Nico, le temps passait vite et s’il voulait faire quelque chose de sa journée autant le faire maintenant. “Bon je te propose quelque chose, je prends une douche, me prépare et si t’es pas prête je viens t’aider avant d’aller courir ?” il espérait qu’elle était toujours d’accord pour courir avec lui au moins mais il partait du principe que c’était le cas.

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Il te maintient, tête coincée à côté de son aisselle qui est loin de sentir la rose. Tu te débats comme tu peux, fais certainement pitié. Tentes de la pousser de toutes forces, et t’acharnes sur son visage pas si angélique que ça. Contrairement à ce que peuvent dire certains. C’est à se demander d’où ils peuvent sortir ça. Tu le connais très bien. Ça fait des années que vous vous connaissez, et un moment que vous vous supportez quotidiennement. Dégagée de sa pseudo étreinte, il vient à se moquer de toi. « Si on fait abstraction du sens de l’odorat, c’est clair que tu ne sens pas si mauvais que ça. Mais malheureusement pour toi, j’ai un nez surdéveloppé, et quand je dis que tu pues, tu pues vraiment. » Vous vous charriez constamment. Parfois, on peut croire que vous vous prenez réellement la tête. Mais vous vous aimez trop pour être méchant l’un envers l’autre. C’est toujours fait sous la plaisanterie, même si vous gardez votre sérieux. Et si tu venais à la blesser malgré toi, alors tu t’excuserais jusqu’à ce qu’elle te pardonne. Tu t’en voudrais d’avoir pu lui faire du mal. Noé c’est l’un de tes meilleurs-amis. Tandis qu’il regarde son téléphone, tu termines ta tasse de café et la déposes dans l’évier. « Je suis d’accord uniquement sur la première partie de ta phrase. Oui, tu vas aller te doucher, non je n’ai pas besoin d’aide parce que ça serait trop bizarre, et je t’ai dit que je n’irai pas courir. » Depuis quand on fait selon l’envie de monsieur ? Or de question que tu te mettes à cracher tes poumons. Toi t’es une femme de glisse. Ça sert à quoi de courir, sérieusement ? Tu ne cours pas après le temps, c’est l’inverse. Y a rien d’amusant dans ça. « Tu veux que je coure uniquement pour te moquer de moi à la fin. Je ne suis pas une victime Pelletier. » Tu fais une mine boudeuse, et vas dans ta chambre en fermant la porte derrière toi. T’as une idée en tête, et il n’est pas question que tu changes d’avis, que tu souffres le martyr parce que t’as dix points de côté qui t’empêchent de pouvoir respirer correctement.

Date d'emménagement : 27/02/2019

Noé et Nico étaient en train de se battre et de s’embêter pour rien comme bien souvent, ils étaient comme chien et chat tous les deux et c’était rare qu’une journée passe sans que l’un ou l’autre dise ou fasse quelque chose pour embêter le second. C’était comme ça qu’il fonctionnait et c’est exactement ce que faisait Noé quand il fit un calin à Nico maintenant sa tête près de son aisselles alors qu’elle venait de dire qu’il puait. C’était sa manière de se venger de la jeune femme, elle ne manqua pas de lui rendre en continuant de lui dire qu’il puait. “Tu me brises le coeur, j’avais mis ce parfum de sueur exprès pour te plaire” dit-il alors en prenant son air le plus triste possible alors qu’au fond il n’avait qu’une envie c’était de se mettre à rire. Noé regarda rapidement les mails qu’il avait vu sur son portable et proposa ensuite un deal à Nico qui ne semblait pas trop lui plaire. Enfin, Noé ne pu s’empêcher d’éclater de rire quand elle lui dit que ça serait trop bizarre qu’il l’aide “Je te parlais pas de t’aider à te laver je suis pas un pervers, je voulais t’aider à ranger et nettoyer ton atelier et ton matériel de peinture” réussi-t-il à dire malgré son rire. Une fois son rire calmé il pu réagir au reste de ce que lui avait dit Nico comme quoi elle n’allait pas courir avec lui et qu’il voulait se moquer d’elle. “Je te promets que je me moquerais pas de toi tu as ma parole d’honneur” dit-il en prenant un air solennel, il leva sa main droite et mit sa main gauche sur son coeur. Elle ne pourrait que le croire maintenant c’était évident “Je veux pas courir tout seul, si tu viens je serai éternellement reconnaissant” il en faisant un poil trop mais on ne pourrait pas lui reprocher de ne pas avoir essayé de la convaincre.

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« Exprès pour me plaire. » T’exploses de rire. Il ne manque pas de culot. Le jour où il s’apprêtera exprès pour te plaire, ce jour-là, les poules auront des dents. A vous deux, vous explosez cette idée qu’on la plupart des personnes sur l’amitié homme-femme. On se dit que vous devez forcément être des frères et sœurs pour vous comporter comme ça. Vous vous chamaillez de cette manière. C’est un peu ça. T’as l’impression de connaître Pelletier depuis qu’il porte des couches culottes. Tu sais probablement trop de choses sur lui. Tu connais mieux ses habitudes que les tiennes. C’est flippant, surtout pour lui. « Je sais que t’es un pervers, je te vois mater la grand-mère d’en face quand elle va à la douche. Aaah ça te cloue le bec, que je connaisse tes petits hobbies du matin. » Dans Friends, il y a le voisin, le gros tout nu, et vous vous avez la grand-mère visible depuis sa salle de bain. Visiblement, les rideaux sont une option chez certain. « Non, non, t’inquiètes, je gère. » Hors de question qu’il vienne voir ce que tu trafiques. T’as des images des futurs tableaux frauduleux que tu dois peindre. T’as confiance en Noé, mais pas au point de lui dévoiler tes activités illicites. Ça reste ton petit secret. Celui qui tu tentes de cacher comme tu peux. Mais il va falloir que tu songes à te louer un local. Ça devient de plus en plus risqué. Les demandes sont de plus en plus nombreuses. « Ferme-là, t’es pas crédible. Je te connais trop bien. » Il en fait des tonnes. Comment tu es sensée le croire ? C’est juste impossible pour toi. « Éternellement reconnaissant ? Toujours plus. » Tu t’en vas en bougonnant et en claquant la porte de ta chambre derrière toi. Tu penses très fort qu’il te fait chier, et pourtant tu ranges tes affaires soigneusement et vas à la douche histoire d’enlever toute cette peinture, qu’on ne pense pas que tu sors d’une soirée paint color. T’enfiles une brassière, le premier t-shirt que tu trouves, et mets un legging. « T’as intérêt d’être prêt sinon je ne viens pas. J’ai vraiment l’impression d’être le dindon de la farce. » Allez, une petite menace alors que tu ouvres la porte pour retourner au salon et cherches tes baskets de course. Parce que oui, tu en as, mais tu ignores où elles peuvent bien être. Tu cherches partout, remuant les affaires postées dans l’entrée, cherches sous le canapé, et ne trouves qu’une vieille chaussette sale. Tu te redresses précipitamment et te tapes le pied dans un des pieds de la table. « Aaaah putain de bordel de merde ! » T’attrapes ton pied, te laissant tomber sur le canapé, le pied douloureux entre tes mains.

Jeu 5 Sep 2019 - 17:01

Noé aimait faire chier Nico, c’était même sa passion dans la vie. Tous les deux ils ne s’ennuyaient jamais, leur relation n’avait jamais été ambiguë c’est une des raisons pour lesquelles c’était si ridicule qu’il ait prétendu essayer de lui plaire. Donc quand Nico explosa de rire, Noé la rejoignit de bon coeur. Finalement une fois calmés tous les deux Noé lui proposa d’aller se lever et de l’aider ensuite, il lui proposait de l’aider à nettoyer son atelier bien sur mais elle avait compris de travers parce qu’elle le traita de pervers.. Il essaya de se défendre et d’expliquer ce qu’il avait voulu dire ce qui avait été difficile parce qu’il riait en même temps. Mais apparemment ça ne servait à rien parce que Nico inventa une histoire sur la voisine d’en face “Je te rappelle que je l’ai vue une fois et c’est parce que tu m’as fait remarquer qu’on pouvait la voir dans sa salle de bain” c’était une vision dont il se serait bien passé d’ailleurs même si quand ils en reparlaient ça les faisait toujours rire, Noé avait un peu l’impression de vivre dans un épisode de Friends. Nico refusa ensuite son offre de l’aider à nettoyer et franchement ça ne lui déplaisait pas plus que ça parce qu’il n’était pas un fan du nettoyage et du rangement il avait surtout proposé ça parce qu’il voulait qu’elle vienne courir avec lui après. Mais si elle ne voulait pas de son aide il continuait d’essayer de la convaincre, lui jurant qu’il ne se moquerait pas d’elle et lui promettant de lui être éternellement reconnaissant. Il en faisait un peu beaucoup et Nico le voyait, elle finit par quitter la pièce en claquant la porte. Ca ne lui ressemblait pas de faire vraiment la gueule mais de faire semblant si, il fit donc attention aux bruits venant de sa chambre. C’est là qu’il pu entendre le bruit de la douche, si elle se lavait c’est peut-être qu’elle avait changé d’avis donc il se dépêcha d’aller lui aussi sous la douche, jetant ses vêtements n’importe où dans sa chambre. Il prend une douche express, lorsqu'il en sort il met un boxer et récupère un jogging qu’il est en train de passer quand il entend la voix de Nico et sa porte qui s’ouvre alors qu’elle va dans le salon. Il finit de mettre son jogging et prend le premier haut qu’il trouve avant d’arriver dans le salon hors d’haleine comme s’il avait déjà commencé la course “Je suis là, je suis prêt” il n’avait pas de chaussettes et son haut était dans ses mains donc il n’était pas sur qu’elle allait d’accord avec cette observation mais avant de lui laisser le temps de montrer son désaccord il enfila son haut. Il vit qu’elle cherchait ses affaires et n’avait pas l’air de les trouver donc il se faufila dans sa chambre pour prendre des chaussettes. Il allait prendre ses chaussures, se disant qu’il pourrait même peut-être être prêt avant elle. C’est ce moment là que choisit Nico pour se mettre à hurler, Noé n’avait pas vu ce qui s’était passé trop occupé qu’il était mais apparemment elle s’était fait mal au pied parce qu’elle le tenait entre ses mains et s’était assise. “J’ai compris le jogging ça sera pour un autre jour” plaisanta-t-il en essayant de faire sourire Nico, il ne savait pas trop comment l’aider avec son mal de pied mais il décida d’essayer et alla donc chercher un pain de glace dans le congélateur. Il le mit dans un torchon et l’apporta à Nico “Tiens ça te fera peut-être du bien” il s’assit ensuite à ses côtés sur le canapé parce que maintenant c’était sur sa colocataire ne voudrait plus se bouger pour courir avec lui même si elle n’avait sans doute pas grand chose au pied. “Tu sais t’étais pas obligée de faire exprès de te faire mal pour ne pas courir avec moi” dit-il une fois assis à ses côtés, c’était plus fort que lui il ne pouvait s’empêcher de plaisanter.

**Invité** Invité

Bien trop préoccupée à retrouver tes chaussures, pas le temps de remarquer de Noé n’est toujours pas prêt. Tu veux absolument mettre la main dessus, mais c’est un poil trop le bazar. Il est plus que temps de ranger l’appartement. Et vous le ferez, quand la foi pointera le bout de son nez. Malheureusement, ça ne sera pas pour aujourd’hui. La douleur est vive. Tu maudis ce pied de table qui a croisé ton propre pied. La douleur est intense, comme tu allais perdre ton membre. Tu te laisses tomber sur le canapé, pied en main. Impossible de le lâcher. Tu retiens ces larmes qui ne demandant qu’à couler pour exprimer ce mal qui résonne en toi. Tu n’entends pas la remarque de Noé. Tu ne l’écoutes pas, concentrée sur ces orteils qui se sont violemment explosés contre la table. T’as envie de la renverser, mais elle est bien trop lourde pour toi, et tu tiens à cette table. Alors tu te contentes de maintenir ton pied en tailleur. Noé revient vers toi, un pain de glace dans la main pour te secourir. Ni une, ni deux, tu t’en empares et le pose sur tes orteils. Pas certain que ça fasse grand-chose, mais c’est toujours mieux que rien, comme on dit. Tu restes silencieuse, incapable de prononcer le moindre mot. Quoi que, la force te revient, tandis que ton colocataire te lance une petite blague. Pas si amusante à tes yeux. « Ta bouche ! » Pour ça, tu trouves toujours le courage, le mental. Pas de soucis. « Ça fait un mal de chien. Punaise ! » Ce n’est l’ordre que de quelques minutes. Tu le sais pertinemment. Ça serait con de se casser un orteil de cette manière. Quoi que ce soit tout simplement con de se casser un orteil. Tu le sais fort bien, toi qui as déjà vécu cette circonstance. Et tu galères pendant des semaines. Marche en béquilles. Il n’y a rien de plus pénible. « T’as cas proposer des activités plus fun aussi. » dis-tu en soufflant. Il sait que tu n’aimes pas courir. Que tout simplement le sport ce n’est pas ta tasse de thé. Y en a qui te plaît, et ça s’arrête là. Le reste c’est une simple torture à tes yeux. Courir. Mais quel est le but ? Courir après quoi ? Le temps ? Non ça n’a aucun intérêt à tes yeux. C’est juste avoir l’air d’un con. Surtout toi vu dans l’état dans lequel ça te met.

Mer 18 Sep 2019 - 22:55

Noé avait réussi à convaincre Nico de l’accompagner ce qui était assez exceptionnel, il se dépêcha donc de se préparer et quand elle sortit de sa chambre il fit de même, il n’était pas tout à fait prêt mais sa présence et le fait qu’il lui réponde semblèrent suffire à la jeune femme qui était trop occupée à chercher ses baskets. Il fut bientôt prêt à partir mais c’est malheureusement le moment que la jeune femme choisit pour se cogner le pied, elle aurait voulu faire exprès elle ne l’aurait pas mieux fait. Il se moque gentiment d’elle mais elle ne réagit pas, c’est sans doute signe qu’elle doit avoir vraiment mal, il ne sait pas trop comment l’aider donc Noé va chercher un pain de glace et lui apporte, pas sur que ça l’aide vraiment mais ça ne pouvait pas lui faire de mal. Il s’assit ensuite à ses côtés et sortit une petite blague pour détendre Nico mais apparemment elle ne trouvait pas ça drôle et elle lui fit bien comprendre. “Sois plus gentille je t’ai apporté de la glace pour t’aider je te rappelle” il avait fait quelque chose pour l’aider il tenait à le rappeler parce qu’elle avait l’air de l’avoir oublié très rapidement, si elle avait perdu son humour c’était la fin des haricots. Bien sur elle dit rapidement que c’était de sa faute, ce n’était qu’une question de temps avant que ce moment arrive et Noé l’avait su dès qu’elle s’était cognée. Mais l’entendre se plaindre ça montrait qu’elle allait mieux “Mais c’est fun de courir” lui il aimait ça, c’était pas de sa faute si sa colocataire avait pas de gout, mais bon il ne lui dit pas ça, il voulait surtout savoir ce qu’était une activité fun pour elle, histoire de pouvoir se moquer d’elle par la suite “Et bah écoute tu vas choisir ce qu’on va faire si tu veux, j’ai hâte de savoir ce que c’est une activité fun pour toi” dit-il avec un petit rire, si avec ça elle n’avait pas compris qu’il attendait juste de se moquer d’elle c’est qu’elle était vraiment naïve.

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Tout de suite, parce qu’il t’a apporté de la glace, il se croit être grand seigneur. Il ne t’en faut pas plus pour lui rappeler qu’il n’est que ton colocataire, incapable de pouvoir marcher sur l’eau, ou de séparer les océans en deux. Certes, il a été bien gentil de t’apporter de la glace. « Encore heureux ! » Il n’y a pas plus délicate que toi dans ton genre. Le pied toujours entre les mains, tu tentes de soulager cette douleur qui semble s’éterniser et ne pas vouloir s’éteindre. Pourquoi, ce sont toujours les actions les plus cons qui sont les plus douloureuses ? Tu ne comprends pas cette logique. Lorsque Noé dit que courir est fun, tu le regardes en coin. Tu le juges. Visiblement, vous n’avez pas la même vision des choses. « Faire de l’escalade, jouer à la console, sortir … ça s’est fun ! Tout l'exact opposé de courir, tu vois. Je cours uniquement quand un ours est à mes trousses. Et si mes calculs sont bons ça arrive tous les … jamais en fait. » Pourquoi te torturer de la sorte ? Sentir tes organes se perforer, et rendre l’âme, pour quel but au final ? Courir après les temps ? Tu le fais déjà bien assez à longueur de journée. Tu mérites bien un peu de répit de temps en temps. T’enlèves la glace de ton pied et tente de marcher sans trop t’appuyer là où ça fait mal. Noé désire savoir ce qui est fun à tes yeux. Il rit. Il se moque de toi avant même que tu n’es pu ouvrir la bouche. Il ne perd pas une seconde. Tu remets la glace au frigo, et manges un gâteau qui traîne sur le comptoir. Tout en mâchant, tu réfléchis à quelque chose qui peut vous plaire à tous les deux. Sous tes dents, le biscuit se consume, et un goût peu agréable se répand. Tu grimaces, tant c’est infâme. Tu l’avales d’un trait, et regardes le paquet de biscuits. Ça t’apprendra à manger des trucs qui traînent. « Te mettre un raclé monumentale à la console ça s’est fun. C’est même l’une des choses les plus amusantes qui m’est donné de voir. » Sourire rayonnant, rempli de malice, tu te moques à ton tour de lui. Mais tu n’oublies pas ce goût immonde qui te reste en bouche, et prends une tasse de café pour faire passer. « Tant que tu fais la gueule s’est marrant. »

Dim 10 Nov 2019 - 22:23

Nico était vraiment ingrate comme colocataire et amie, il lui apportait de la glace parce qu’elle s’était cogné le pied et elle agissait comme s’il ne faisait rien d’important et qu’il était horrible s’il l’avait pas fait. “T’as raison faudrait pas être trop gentille avec moi je risquerai de plus te reconnaître” dit-il en riant, c’était habituel pour eux mais il aimait bien l’embêter en lui reprochant sa méchanceté. Nico continua à se moquer de lui alors qu’il disait que c’était fun de courir, lui ça lui plaisait et en plus c’était un bon moyen pour lui de garder la forme, vraiment tout benef. Mais comme il était ouvert il lui demanda ce qu’elle trouvait fun, près à se moquer d’elle à la moindre occasion. Mais il devait avouer que tout ce qu’elle lui dit était vraiment fun donc il n’y avait pas de quoi se moquer d’elle, c’était plutôt décevant “Bon j’avoue que c’est fun aussi, mais je te promets que si tu essayais vraiment de te mettre à courir tu pourrais te rendre compte que c’est bien” il n’en démordait pas et voulait à tout prix la convaincre, même s’il savait qu’il y avait peu de chances qu’il obtienne gain de cause au bout du compte, surtout quand elle disait courir que quand elle était poursuivie par un ours “Si tu veux je peux me déguiser en ours pour te forcer à courir” dit-il alors assez fier de sa connerie. Nico devait avoir un peu moins mal parce qu’elle se leva et remit la glace au congèle, mangeant quelque chose dans la cuisine au passage tout en continuant à lui parler. Noé lui était toujours installé sur le canapé et comme apparemment ils n’allaient pas courir maintenant il avait décidé de rester tranquille sur le canapé pour le reste de sa journée. Apparemment la dernière chose fun qu’il aimait était de lui mettre des raclés à la console et de le voir faire la gueule, comme si c’était quelque chose qui arrivait souvent. Cette remarque ne manqua donc pas de lui faire lever les yeux aux ciels. “Alors déjà, tu me mets très rarement la raclée, j’ai juste pitié de toi parfois et je te laisse gagner” ce n’était peut-être pas tout à fait vrai mais il préférait se laisser croire ça, on peut dire qu’il n’aimait pas trop perdre et quand c’était Nico qui le battait c’était pire que tout parce qu’elle arrêtait pas de se vanter. “Et en plus je ne fais jamais la gueule” pour ça il était assez sûr de lui, il faisait rarement la gueule surtout avec Nico. Mais par contre il faisait souvent semblant de bouder pour l’embêter.

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« Tu vois, nulle ne sert de changer sa personnalité. » dis-tu toujours la douleur envahissante dans ton pied. Tu ne prends pas au sérieux ses propos. Si tu devais prendre à la lettre la moindre de ses paroles, vous ne vous adresseriez plus la parole depuis longtemps. Ce n’est pas comme ci ce n’était pas une habitude entre vous. Plus personne ne t’adresserait la parole, et adieu la bande d’amis. Ta susceptibilité a ses limites de l’ordre de quelques secondes. Noé tente alors désespérément de te faire changer d’avis. Par tous les moyens, il tente de trouver le moyen de te faire craquer, de te faire cracher tous poumons. Peut-être qu’il désire ta mort. Tu ne vois pas d’autres raisons. Depuis quand il se soucie de ta forme et de ta santé ? C’est nouveau ça ! « Ouais, mais non. Je ne suis pas du genre à aimer me torturer. Et franchement, t’y prends quel plaisir ? C’est ennuyeux ! » Il va devoir te tirer de toutes ses forces s’il veut que l’accompagne courir. Et tu risques de ne pas te laisser faire. T’as de la force quand tu t’y mets. Faut te voir sur la glace. Et alors tu te mets à rire, oubliant totalement le choc. « Qu’est-ce que tu peux être con parfois. » Tu serais littéralement pliée en deux s’il venait à se déguiser en ours. Tout ça pour te faire courir. C’est qu’il en a réellement envie. Tu remets la glace au congèle. « Menteur ! » Ça t’embêterait bien qu’il fasse semblant de perdre. Tout ça pour finalement te faire plaisir. Mais dans un sens, il prouve son amitié envers toi. Sauf s’il a réellement pitié de toi. Là, tu t’en passes royalement. « Ecoute, je te propose une partie, et si tu gagnes on va courir. Deal. »

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