- i'll watch you leave here limping. (+18)

On est déjà allés trop loin pour nous arrêter maintenant. Même si ma conscience me revenait en pleine gueule, c’est trop tard. Je n’ai pas envie de la laisser frustrée et encore moins envie de devoir prendre une douche froide en rentrant chez moi. Il me faut seulement arrêter de trop penser ou même de penser tout court. Je le fais trop en ce moment, plus particulièrement ce soir étant donné que la raison de ma présence au bar est aussi la personne qui me fout mal depuis des mois sans même le savoir. Putain Cam, ça suffit ! Je m’ordonne à moi-même d’arrêter de jouer au con et de profiter plutôt de la belle créature que j’ai à mes côtés dans la voiture, de profiter de ses lèvres sucrées, de sa peau douce que j’explore avec curiosité sous son haut. Mais il suffit que sa main s’aventure sur la bosse de mon pantalon pour que mes neurones cessent de fonctionner. A la place je pousse un soupire lourd de sens en imaginant déjà ce que sa petite main pourrait me procurer comme plaisir s’il n’y avait pas autant de vêtements entre elle et mon membre. Mais ça viendra et si ce n’est pas sa main, l’autre option me convient tout autant. Peut-être même un peu plus. Désormais à califourchon sur moi, assez coincée entre mon corps et le volant, c’est pour moi la position idéale pour la dévorer. Sa poitrine offerte, je ne tarde pas à laisser ma langue s’y promener puis mes lèvres, caresses qui semblent satisfaire Hailey dont les premiers soupires emplissent l’habitable de la voiture. J’y mets un peu plus d’ardeur, profite du fait qu’elle se cambre comme elle le peut dans ce petit espace pour que ma main libre remonte sa jupe sur ses hanches puis se glisse sous le dernier sous-vêtement qui lui reste. Je gémis immédiatement contre sa peau en ayant sous les doigts la preuve de son excitation, de ce que je suis encore capable de provoquer chez une femme qui ignore tout de moi et dont j’ignore tout. Exactement comme ces nombreuses années durant lesquelles je passais de conquête en conquête, trompant parfois Alexya qui me prenait la tête et qui, je le sais, en faisait de même. Je n’en ai jamais été spécialement fier mais avec les courses, ça a souvent été ma seule solution pour oublier et aller mieux … ne serait que quelques heures ou quelques jours dans le meilleur des cas. Abandonnant sa poitrine un instant et le reste de son corps, je tâtonne pour trouver la manette qui me permet de reculer le siège au maximum, petit sourire au coin des lèvres. « Voilà qui va être bien mieux pour en profiter. » Je penche même un peu le siège en arrière ce qui nous donne moins l’impression d’être dans un tout petit espace. On aurait aussi pu passer à l’arrière de la voiture mais j’aime assez cette proximité forcée entre nous et ce besoin d’atteindre l’extase si rapidement que n’importe où et n’importe comment nous ira.

Bien trop pressée de continuer, je ne perds pas de temps pour le chauffer puisque je sais très bien que de toute façon, il en a autant envie que moi. Si ce n'était pas le cas, il m'aurait arrêté depuis bien longtemps et il aurait lui-même arrêter de me toucher. Oubliant toute cette histoire de clés dans la poche de ma jupe, la poitrine déjà à l'air je ne me concentre que sur ses lèvres, sa langue et même parfois ses dents qui touchent mes seins et me procure un plaisir bien plus qu'agréable. Je n'avais pas fait ça depuis tellement longtemps, coucher avec une personne que je connais à peine - même pas du tout - de profiter du corps de l'autre et de tout simplement baiser sans se soucier des conséquences. Déjà beaucoup trop excitée, mes soupirs sortent déjà sans aucune gêne de ma bouche pour lui faire comprendre que j'en demande plus et il le comprend alors que sa main vient rapidement se glisser sous ma jupe puis sous mon string. Quelques gémissements de sa part cette fois, je me me mord la lèvre au moment où ses doigts s'agitent sur mon intimité qui réagit déjà au contact de ses mains et sa bouche sur mon corps. Ma main toujours sur le haut de son pantalon, j'arrive à le détacher, mais je sais que dans cette position très étroite, je ne vais pas arriver à le descendre pour obtenir ce qui m'intéresse le plus. Presque comme s'il arrive à lire dans mes pensées, il arrête tout contact de sa peau sur la mienne et arrive à descendre le siège et le reculer me permettant de bouger bien plus comme je le veux. « Voilà qui va être bien mieux pour en profiter. » Toujours à califourchon sur lui, je sens son membre devenir de plus en plus dur alors qu'il continue à me toucher comme il le faisait juste avant de décider de reculer le siège. « Oh et je compte bien en profiter. » Mes yeux ne quittant pas les siens, un petit sourire taquin apparaît sur mes lèvres et me relevant un peu, j'arrive tant bien que mal à baisser son pantalon, pouvant finalement admirer un peu mieux la forme de ce que je désire voir depuis tout à l'heure. Je ne regrette vraiment pas d'avoir en quelque sorte embarquer dans son petit jeu de flirt, j'ai bien envie d'en profiter au maximum ce soir. Ses doigts toujours sous mon string, j'en profite pour approcher mes lèvres de son cou où j'arrive à déposer quelques baisers avant de revenir à ses lèvres que j'embrasse un peu plus brusquement. Mes mains se baladent au même moment sur son corps, lui retire son tee-shirt pour laisser mes yeux profiter de ce corps bien musclé qui s'offre à moi avant de s'arrêter sur l'élastique de son boxer que je tire doucement sans pourtant le descendre ou faire quoique ce soit. Pressée de continuer oui, mais j'aime bien jouer un peu aussi et le rendre encore plus tendu qu'il ne l'est déjà, tout comme moi d'ailleurs.

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Son uniforme laissait déjà deviner certaines de ses courbes, toutefois les avoir désormais sous les yeux c’est autre chose. Quelque chose de divin qui explique l’impatience qui me gagne. Je voudrais la toucher partout en même temps, découvrir chacune de ses réactions, chacun de ses soupirs selon mes caresses, tout en voulant en terminer au plus vite avec tout ça. La patience n’a jamais été une de mes qualités, certainement pas quand il s’agit de sexe. Là j’ai réellement besoin de me changer les idées et j’ai terriblement envie de le faire avec Hailey. J’explore sa poitrine tel un conquérant et j’en fais de même avec son intimité qui ne demande qu’à être découverte. Ma respiration s’accélère autant que celle de la jeune femme et la température monte d’un cran supérieur dans la voiture. Si j’y prêtais attention je pourrais voir de la buée se former sur les vitres teintées – qui nous assurent une discrétion totale. Seulement je ne vois qu’elle, son corps parfait au-dessus de moi et les gémissements qu’elle laisse enfin lui échapper et qui viennent gonfler mon ego. Tout ça n’est pas assez. Je veux plus de contact, plus d’actions entre nous. Mon siège réglé afin de nous donner plus de liberté de mouvements, je pense surtout à sa main sur mon membre qui ne demande qu’à être libéré et chouchouté. « Oh et je compte bien en profiter. » Mon sourire est une réponse parfaite au sien. Ses lèvres dans mon cou, ses mains sur mon torse, je ferme les yeux pour profiter quelques secondes et les rouvre lorsqu’elle décide enfin de me retirer mon haut. Presqu’au même niveau, j’arrête de respirer dès que ses doigts passent que trop légèrement sous l’élastique de mon boxer. Je me redresse, l’embrasse à en perdre le souffle, mes doigts dans ses cheveux qui commencent à s’emmêler à force d’être saisi de la sorte. Soulevant mon bassin, je sors comme je le peux mon portefeuille de la poche arrière de mon jean et lui tends. « Y a un préservatif dedans. Je veux voir tes jolies mains sur mon sexe avant que tu me montes. » C’est là que je pourrais presque regretter d’être sur le point de la baiser dans la voiture. Ailleurs j’aurais déjà pris les devants, je serais déjà en elle en train de prendre mon pied en veillant à ce qu’elle prenne tout le plaisir qu’elle mérite par la même occasion.

Mon corps réagit sous ses mains qui explorent mon corps comme il le peut. Bien contente de ne plus avoir mon haut sur le corps, je ne peux pas cacher ce désir qui m'habite en ce moment et qui me fait déjà soupirer d’aise alors qu’il touche chaque parcelle de ma peau. Sous ses mains, je vois déjà des frissons apparaître sur ma peau et en ce moment, je suis à la fois pressée de continuer et d’atteindre exactement le plaisir que je recherche depuis qu’il s’est approché de moi, même depuis ses avances dans le bar. J’aime bien flirter, j’ai toujours adoré même et je sais que je devrais me méfier, que je ne devrais pas faire confiance aussi facilement à ce genre d’hommes, mais mon corps me cri de continuer et de toute manière, c’est absolument impossible pour moi d’arrêter maintenant que je suis sur lui et qu’il me touche de cette manière. Déjà incapable de me retenir, je glisse mes mains derrière sa nuque et m’amuse à embrasser son cou. Ses yeux fermés, je vois bien que tout ce que je lui fais semble lui faire plaisir et forcément, ça me fait sourire. Pour une soirée qui semblait bien mal commencé pour lui, j’ai l’impression qu’il n’est pas déçu qu’elle se termine de la sorte et honnêtement, je suis bien loin de l’être moi aussi. Gémissant dans son oreille alors que ses mains touchent encore ma poitrine, je glisse les miennes près de son sexe, malheureusement encore couvert par son boxer. J’arrive cependant à bien sentir cette bosse bien présente entre son corps et le mien, mais c’est surtout son geste qui me fait sourire. « Y a un préservatif dedans. Je veux voir tes jolies mains sur mon sexe avant que tu me montes. » De simples paroles qui arrivent pourtant à bien m’allumer, imaginant déjà son sexe en moi. Ma lèvre inférieure mordue, je prends le portefeuille de ses mains et trouve le préservatif. « Toujours prêt à ce que je vois. » Et honnêtement, c’est bien loin d’être un reproche. Vaut mieux qu’il se protège s’il lui arrive souvent de faire ce genre de choses. Posant son portefeuille sur le siège arrière, je souris malicieusement avant d’arriver à baisser également ce morceau de tissu en trop. Approchant mes mains sur son membre, je m’amuse un peu pour lui faire perdre la tête, mais aussi pour lui procurer un peu de plaisir, laissant le préservatif de côté pour le moment. Ma jupe toujours sur moi, je glisse ce qui me sera utile tout à l’heure dans la poche arrière et souris continuant à faire monter et descendre mes mains sur son sexe.

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Je commence à ne plus en pouvoir. Entre la chaleur de mon corps qui est montée en flèche et mon excitation de plus en plus douloureuse, il va falloir y remédier. La seule façon c’est de voir ce corps sublime sur le mien et d’être en elle jusqu’à l’extase. Et malgré ça nous continuons de nous chercher, de titiller nos sens et notre désir comme pour tenter de découvrir nos limites. On m’a conseillé d’aller me faire foutre et c’est donc ce que je vais faire avec une femme entièrement pour et qui est sûre d’elle. Ça lui donne encore plus de charme et me donne d’autant plus envie de profiter d’elle. Peut-être qu’après ce rodéo dans ma voiture nous pourrons pousser un peu plus, remettre ça dans un endroit plus calme et plus confortable ? Je doute d’être contre cette idée, à voir ce qu’il en sera d’Hailey. « Toujours prêt à ce que je vois. » Mon regard l’observe qui fouille dans mon portefeuille qu’elle lance ensuite à l’arrière de la voiture, le petit carré entre ses doigts. Plutôt que de satisfaire mon désir immédiatement, elle le range à l’arrière de sa jupe sous ma curiosité croissante. Je pourrais lui poser la question, tenter de savoir ce qu’elle a derrière la tête, il suffit d’attendre qu’elle pose sa main sur mon membre pour comprendre. Je me tends sous ses caresses et ne la quitte pas des yeux. Mes mains agrippent ses hanches, mes soupires grimpent autant en nombre qu’en intensité puis je saisis sa nuque et l’oblige à venir m’embrasser. Je le fais jusqu’à ne plus pouvoir respirer, sa main continuant de s’agiter sur mon sexe plus dur que jamais. « Hailey … » Je chuchote contre ses lèvres. Je capte son attention, saisie sa lèvre inférieure entre mes dents et la tire. « Je ne voudrais pas jouir dans ta main, j’ai du mal à me retenir. » Autrement dit, il va falloir qu’elle sorte ce qu’elle a rangé à l’arrière de sa jupe et l’utiliser maintenant avant qu’il ne soit trop tard. Sa main est merveilleuse, tout comme elle, mais je veux aller en elle, lui donner du plaisir jusqu’à ce qu’elle en oublie où nous nous trouvons et admirer son joli visage une fois l’orgasme atteint.

Mon souffle coupée par l'excitation bien trop présente dans mon corps, je sens ses muscles se tendre à chacun de mes gestes ce qui ne peut pas faire autrement que de me faire sourire. J'ai envie de bien plus, mais l'endroit où je me trouve en ce moment en sa compagnie, m'empêche de faire exactement ce que je veux. Pourtant, nous sommes tellement pressés d'atteindre l'extase, de libérer cette tension sexuelle qui est bien trop présente en ce moment que nous sommes tous les deux à moitié nu et prêt à aller bien plus loin. Continuant pourtant de m'amuser un peu avec lui, je ne peux pas m'empêcher de continuer de le faire même si je sais que tout ce qu'il veut c'est que je sors ce préservatif de son emballage pour lui installer sur son membre, chose que je ne fais pourtant pas immédiatement question de continuer mon petit jeu même si en faisant cela, je me punis moi-même puisque j'ai du mal à me retenir d'en vouloir tellement plus. Ses grognements m'encouragent à continuer avant qu'il ne m'arrête un peu dans ce petit plaisir que je lui procure pour poser ses lèvres sur les miennes et m'embrasser à en perdre le souffle. Chose qui est bien loin de me déplaire, qui m'excite même encore plus lorsque ses dents s'emparent de mes lèvres et que je gémis dans son oreille. « Hailey … Je ne voudrais pas jouir dans ta main, j’ai du mal à me retenir. » Seulement quelques petites caresses et il en ai déjà à ce point? Je souris, satisfaite de réussir à le faire réagir de la sorte et m'empresse donc de reprendre le préservatif dans la poche arrière de ma jupe, retire l'emballage et prenant soin de le caresser par la même occasion je l'installe doucement. Me relevant à peine, j'arrive à retirer mon string et relève simplement un peu ma jupe, incapable de l'enlever pour le moment. J'imagine que je devrais m'en débarrasser plus tard si nous avons l'occasion de recommencer tout cela dans un autre endroit un peu plus grand et confortable. Reprenant possession de ses lèvres, je ne perds pas de temps à venir me repositionner convenablement sur lui, poussant un long gémissement en sentant son membre finalement en moi. Mes mains autour de son cou pour m'agripper mieux, je commence quelques mouvements lents, cambrant légèrement ma tête vers l'arrière.

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Elle est divinement belle et habile, suffisamment pour que je ne tienne plus très longtemps. Entre le petit jeu dans le bar puis dans la voiture, la température est montée assez vite. Sans parler du fait que je suis extrêmement frustré depuis un moment et que ma dernière conversation messages m’a laissé avec le besoin d’évacuer toute cette négativité accumulée. C’est tombé sur Hailey ce qui est loin de lui déplaire ou de me déplaire. Je doute qu’elle soit le genre de fille à coucher avec le premier venu même si c’est exactement ce qu’elle est en train de faire. Je l’ai cherché et j’ai l’habitude de savoir quel regard et quel sourire lancer pour parvenir à mes fins. Je sais parfaitement l’attraction que je dégage et bien que ce n’était pas prévu, je ne suis pas mécontent de ce qui se passe. Particulièrement lorsque sa main me caresse aussi bien, me fait durcir encore plus. Je n’ai jamais eu à me plaindre de ce côté-là. J’en ai dans le pantalon et jusqu’à preuve du contraire ça n’a jamais déplu à qui que ce soit, impressionné oui mais c’est bien tout. Mais aussi impressionnante que soit mon érection, c’est en elle que je veux terminer, ressentir pendant un petit moment le bien-être indescriptible que provoque l’union de deux corps et leurs frottements. J’en viens presque à la supplier de me faire entrer en elle mais peut-elle réellement m’en vouloir alors qu’elle s’applique à m’exciter et que son corps sublime est encore au-dessus de moi ? Je l’admire bouger pour attraper le préservatif dans sa jupe et je cesse de respirer lorsque sa main revient le poser délicatement sur ma queue. Lentement pour me faire grogner un peu plus. Mais ce qui est nettement plus beau et plus agréable, c’est de voir la brune se soulever pour s’empaler sur moi. Un long râle m’échappe. Les yeux fermés, je la sens qui descend tout doucement jusqu’à la garde. Bordel de merde ! Elle remonte tout aussi lentement et redescend. C’est suffisant pour me faire gémir alors que j’ouvre les yeux et la regarde m’utiliser pour prendre son pied, la tête penchée en arrière. J’accompagne ses mouvements pour plus de sensations et me penche pour saisir l’un de ses seins que je mordille et lèche avec intérêt. J’aime bien trop les bruits qu’elle fait, ces petits couinements qu’elle pousse dès que je suis tout au fond d’elle et que je mordille son téton. Ça mélangé aux sons de nos corps qui se rencontrent, c’est particulièrement excitant, assez pour que je me laisse un peu glisser, abandonne sa poitrine et saisisse ses hanches pour aller plus vite et plus brutalement en elle.

Plutôt impatiente de nature, je suis aussi joueuse et parfois, cet aspect de moi domine sur d'autres. Comme en ce moment, où j'ai préféré m'amuser un peu alors que je suis impatiente de le sentir en moi, surtout depuis que j'ai sous mes yeux la preuve qu'il est tout autant excité que je le suis. Me mordant la lèvre inférieure, je ne peux pas m'empêcher d'être fière de lui faire cet effet là face à son érection plutôt impressionnante je l'admets. Jouant encore un peu avec lui en prenant bien mon temps pour lui mettre le préservatif, je plante mon regard dans le sien en descendant très lentement sur lui, gémissant de plus en plus fort près de son oreille. Mes lèvres sur les siennes, je l'embrasse avec fougue, coinçant ses lèvres entre mes dents. Mes mains se promènent sur son torse puis se dirigent derrière sa nuque, m'accrochant à lui avec mes bras qui passe dans son dos. Ses yeux se ferment et j'en profite pour monter et descendre sur lui en maintenant un rythme plutôt régulier. Ses grognements me donnent envie d'en avoir plus, mais c'est surtout en le voyant fermer les yeux et profiter de ce moment que j'ai envie de continuer et de le réagir autant que lui. Pas question que je m'arrête maintenant de toute façon, surtout pas si près du but, encore moins dès que ses lèvres viennent toucher mes seins. Sa langue me fait beaucoup trop d'effet et je laisse plusieurs sons sortir de mes lèvres continuant de bouger sur son membre, de m'enfoncer un peu plus sur celui-ci. Je me cambre encore un peu, ma tête inclinée vers l'arrière, je gémis du mieux que je peux même si mon souffle est coupé. Mon corps se crispe à chaque coup de langues, mais surtout au moment où il se met à mordiller mes tétons. C'est à mon tour de fermer les yeux, de profiter de ce plaisir qu'il me donne, de cette intensité, de tous ces sons qui résonnent. Mes gémissements, ses grognements, nos deux corps qui s'unissent l'un à l'autre. L'intensité augmente au moment où il saisit mes hanches et me fait bouger plus rapidement, ce qui me fait réagir encore plus fort. Je me fais plaisir tout autant que j'essaie de lui en procurer, bougeant sur lui de façon à lui faire du bien à lui aussi. Mes lèvres se glissent dans son cou et embrassent tout ce qui se trouve sur leur passage. Ma respiration se fait de plus en plus rapide, des frissons parcourent mon corps au complet alors que je m'agrippe plus fort en lui, poussant un long gémissement me laissant complètement aller. Me resserrant sur lui, je bouge encore sur lui afin de l'emporter avec moi, continuant de pousser quelques sons contre ses lèvres.

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J’ai complètement perdu la tête. Propulsé des années en arrière à une époque où je ne pensais qu’à me faire du bien et à oublier à travers le sexe. C’est exactement ce que je fais ce soir à la différence que cette fois je m’intéresse aussi au plaisir de la personne qui est avec moi. Connard mais pas tout à fait. Nous ne sommes engagés à rien, c’est à peine si nous nous connaissance, ce qui n’empêche pas mon envie de ne pas être complètement égoïste dans cette voiture. Je lui donne autant qu’elle et apprécie chaque soupire, chaque gémissement qu’elle laisse résonner dans l’habitacle du véhicule. C’est vraiment divin, que ce soit les bruits qu’elle fait ou cette façon qu’elle a de bouger au-dessus de moi. Oubliée la mauvaise humeur, l’envie de boire jusqu’à ne plus savoir où je me trouve - une vieille habitude ça aussi - il n’y a plus que Hailey et moi, nos corps qui ne cessent de bouger au même rythme, se trouvant liés de la façon la plus naturelle qui soit. Et que c’est bon ! Je ne cache pas plus qu’elle le plaisir que je tire de tout ça. Les sensations merveilleuses que ça provoque dans tout mon corps et qui m’empêchent de penser convenablement. Par moment je grogne, laisse échapper quelques paroles mais jamais rien de profond hormis peut-être son prénom que je susurre contre la peau de sa poitrine que je titille pour la rendre folle. Ca fonctionne. Ses muscles se contractent un peu plus à chaque fois, elle s’agite plus vite, plus fort et pas seulement parce que mes mains accompagnent ses mouvements. Elle n’est plus très loin, je peux le deviner à sa respiration de plus en plus courte, aux petits cris qu’elle pousse mais surtout à sa manière de me serrer contre elle. Mon rythme accélère un peu plus et comme elle je suis haletant, les muscles chauffant trop sérieusement sous l’effort continu jusqu’à ce qu’elle cède, se resserre autour de moi et crie son plaisir. Quelques coups de rein en plus et je la rejoins dans un long râle, mordillant son épaule par la même occasion. Il me faut un peu de temps pour me remettre de mes émotions, cesser d’entendre mon sang cogner dans mes oreilles. J’ai trop chaud, je suis trop vêtu mais à la façon qu’elle a de me regarder avant de m’embrasser - presque pour me remercier - je sais que ces mêmes vêtements vont finir sur le sol d’une chambre. La sienne ou la mienne, ça reste à déterminer mais je sais que cette nuit en sa compagnie ne fait que commencer.