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Invité a posté ce message Sam 29 Sep 2018 - 20:09 #





« It's too cold outside for angels to fly. »
Cause honey your soul could never grow old,
its evergreen



☾☾ En voilà une journée bien étrange. Ma mère m’avait ouvertement retenue chez elle toute la journée. Nous avions parlé de Galway, ma ville de naissance d’où je revenais. Il était important de visiter – et d’entretenir – la tombe de mon père. Elle était dans le cimeterre de la ville, un peu à l’écart car celui-ci s’entendait pas avec ses oncles et tantes disaient ma mère. Cela expliquait peut-être le fait que je portais son nom à elle. Son sang Irlandais bouillonnait à chaque fois que j’allais la voir. Et je n’aimais guère ça. A défaut de faire correctement à manger, j’avais été invité pour le thé. Arrivé avec ma guitare, gypsy, pour jouer un petit air - la vieille dame en raffole -, elle avait alors décidé d’elle même de servir un thé dans des tasses qui ressemblaient vaguement à de la porcelaine. Je m’étais soumis à ce petit rituel, buvant un « Earl Grey » comme elle me l’avait appris, il y a une bonne décennie. Assis sur son fauteuil, j’avais consommé le délicat nectar avec un certain goût. J’aimais le thé. Mes racines Anglaises, probablement. Ma mère le consommait, elle, d’une manière bien personnelle. Lorsqu’elle se servit le thé, elle y rajouta du lait concentré qui imposa sa texture aux herbes aromatiques avant d’y verser, comme si c’était rien, un véritable nuage de whisky. Et autant vous dire que c’était une journée forte en précipitation vu la tête du nuage. Un bon remontant post-repas, qu’elle disait. Je souriais, n’oubliant jamais les règles d’or : ne jamais contrarier sa mère, surtout si elle est Irlandaise.

La journée passa très rapidement à mesure que je jouais de la guitare pour la vieille dame et pour le gentil teckel qui avait pris ma place dans cette famille lors de mon départ pour l’indépendance. Alors, la guitare se gratta presque toute seule tant j’admirais ma mère. C’était un plaisir de passer une journée concert avec elle. Et j’en oubliais presque que je devais en effet me produire sur scène le soir même. J’étais à peine stressé. C’était un autre concert, et l’argent que j’engrangerais me permettrait de partir en voyage, encore. J’avais un rêve succinct d’Afrique, ou peut-être irais-je à Wellington, sur la terre qui l’a vue naître. Je réfléchissais à cette drôle d’idée jusuq’au loge modeste du pub Irlandais que je fréquentais rarement pour son ambiance musicale. Mais ce ce soir, j’avais une scène et un public rien que pour moi. C’est pas les premières parties des Stones, mais ce soir on s’en contentera.

Assis, j’attends qu’on vienne sagement me chercher. Je connais mes textes. Ma guitare est là, et les gens commencent à boire. Peu de communication autour de l’événement et pourtant il y a du monde. Depuis que cette stupide vidéo youtube est sortie, j’ai gagné en popularité. Mais je ne cherche pas la gloire éternelle. Alors, je refuse qu’on me présente sous le sobriquet du rouquin. J’y pense, et vaguement je pense à Briana. Qu’est-ce qu’elle fait en ce moment ? Je lui envoie un texto sur un coup de tête, un message ridicule pour prendre des nouvelles. Elle me manque. Peut-être qu’un jour, je devrais me mettre dans la tête qu’elle et moi, c’était juste pas possible. Dans la vie, on a pas toujours ce qu’on veut.

Je me lance sur scène. Veste serré et teeshirt rouge moulant pour accompagner ma guitare. La foule applaudit et allume leurs portables. Je ne vois rien sur scène pendant ma chanson. Je leur chante une certaine ode à une princesse disparue, écrite pour ma Nouvelle-Zélandaise préférée. Si seulement elle était là pour entendre..  

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Invité a posté ce message Dim 30 Sep 2018 - 17:56 #

CORMAC + BRIANA

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Je prends le temps. Cela faisait longtemps que je n’avais pas retrouvé la fraicheur des rues de New-York. L’animation. Une ville qui ne dort jamais. Oh on pourrait en dire autant dans certains quartiers de L.A mais l’ambiance n’est pas la même. Finalement, je crois que NYC me manquait terriblement. Je ne suis pourtant pas née ici. Je suis loin des origines classiques d’une fille de Brooklyn ou Manhattan. Mes origines sont ancestrales mais elles ne sont pas américaines. La Nouvelle-Zélande me manque aussi différemment. Elle représente mon enfance, des souvenirs chaleureux, de la famille, des amis… des paysages. Lorsque je suis arrivée à New-York, je ne voyais que le changement, brutal, la déception de quitter une vie qui me plaisait, me convenait. New-York on finit toujours par l’aimer, par s’y attacher. Il faut trouver une personne pour nous la faire découvrir, nous la faire aimer et c’est facile. Trop facile d’être amoureuse de cette ville. Je me suis rapidement adaptée, plus vite que je ne l’aurais cru, je voulais détester NYC mais impossible. Elle m’a séduite, m’a envoûté au point que maintenant, je ne me vois vivre nulle-part ailleurs. Ma vie c’est dans les rues de Brooklyn, avec un faible pour Slope Park. Ma vie c’est sur les planches de Broadway.

Mes répétitions ne commencent pas avant le mois de novembre, j’ai quelques mois devant moi pour pouvoir rien faire. Je vous jure que flâner dans les rues de la grosse pomme m’avait manqué. Je profite. Je suis enroulée dans un gros gilet en laine et je flâne. On dirait une touriste, on dirait que je n’ai jamais vu les gratte-ciels de Manhattan. Mes yeux s’illuminent. Je retombe sur un café que j’aime bien, je m’arrête prendre une boisson chaude, juste pour le plaisir, pour l’ambiance. Je me sens chez moi dans New-York, peu importe où. Je sais parfaitement où je vais ce soir. J’ai une légère boule au ventre. Je tente de ne pas penser à ce qui va se passer, je sais que les choses seront différentes, je suis partie presque cinq, ce n’est pas rien. Tout a changé, même si là, dans la rue, je ne m’en rends pas compte, pas encore. Je savoure mon café brûlant. J’en aurais presque pris un deuxième, mais je quitte le café sur le point de fermer. La nuit arrive doucement, petit à petit. Je marche, je prends mon temps. Le quartier est irlandais, enfin en tout cas on sent largement l’influence du trèfle vert par ici. J’aime bien, les pubs commencent à se remplir, il y a de l’ambiance. Je ne peux m’empêcher d’avoir un sourire aux lèvres.

Puis j’arrive devant le lieu désiré. J’inspire. Il y a son nom sur la devanture. Je souris. Il est toujours là, il n’a pas bougé, pas vraiment. Il ne sait pas que je suis de retour. Je ne sais pas comment il va être, comment ça va se passer. Je vais sans doute le retrouver aux bras d’une autre jeune femme. Cinq ans c’est long. Il a dû m’oublier un peu. On est resté en contact, on s’est recroisé quand je passais par la case NYC mais il a pu retrouver quelqu’un, je n’en sais rien. J’appréhende un peu et s’il n’était pas ravi ? Et s’il était indifférent ? Je me donne du courage, j’aurais bien besoin d’un verre de whisky là tout de suite. Je me souviens que c’était Cormac qui m’a fait découvrir cette boisson, pour fêter notre diplôme. En tout cas un petit verre me donnerait du courage. Je pousse tout de même la porte, je suis un mouvement de foule, j’entends des filles dire que le concert commence. J’entends les premières notes. Je le reconnais immédiatement, son style lui. J’entre dans la salle. Elle est pleine à craquer, déjà les téléphones sont levés pour le filmer. Je souris, je me pince les lèvres pour ne pas qu’on s’en rende trop compte. Je joue un peu des coudes. Sa voix retentie alors. Je frissonne. Mon Cormac… Les paroles défilent et je m’arrête. C’est de moi qu’il parle ? Je sens les émotions monter. Je sens les larmes mouiller mes yeux, je les retiens. Je m’avance encore je veux le voir, il faut que je le voie jouer. Je ris légèrement toute seule, parce qu’il pense toujours à moi.  J’arrive alors enfin devant la scène, je croise alors les bras sur ma poitrine, je crois que de là où je suis, il peut me voir. Je ris légèrement, une larme coulant sur mon visage. Je ne vois que lui, il est dans la lumière et à voir autour de nous, tout le monde aime sa musique. Il est génial.




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Invité a posté ce message Lun 1 Oct 2018 - 8:11 #





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☾☾ Je ressentais un dernier coup de stress. Mon pied tapotait avec vigueur contre le sol de la loge contre mon gré. Mes doigts caressaient lentement la surface rugueuse de ma guitare. Mon cerveau exultait à nouveau quelques chansons, ancrant les airs dans mon cerveau. Aussi loin que je souvienne, chanter n'avait jamais été un problème. La scène, oui. Je ne désirais pas être reconnu comme une rockstar. Je n'avais aucun goût pour la célébrité ou la notoriété. Et je n'étais certainement pas prêt à tout pour être disque d'or. Non. Ce genre de récompense avait autant de valeur que la cassette d'histoire Française que Miss Matthews passait durant la première année, persuadée d'avoir trouvé un moyen infaillible d'intéresser ses élèves par un peu de modernité. Sans succès. Je chantais parce que j'aimais ça. Ma mère disait que j'avais ça dans le sang, comme cette couleur rougeoyante de chevelure. Mon père avait vaguement chanté, mais c'est mon grand père qui m'avait éveillé à la musique. Les chansons de ce soir étaient en son honneur. En son honneur, et en celui d'une vieille amie, d'une vieille amante ou d'un vieil amour. Je ne savais jamais comment penser à elle. Je pensais toujours beaucoup à elle. Le contact était difficile, je la voyais très peu mais mon cœur ne trembla jamais d un quelconque doute. Peut être était-ce ça l'amour. Ne jamais douter. Savoir ce que l'on veut, et se battre pour bâtir quelque chose malgré les difficultés. Les lâches ne sont peut être pas digne de l'amour, du vrai, du véritable. Et si j'avais quelque chose pour moi, c'est ce courage sentimental. De mes pensées, on m'y extirpa pour commencer la représentation.

Les projecteurs illuminerent la scène. Je ne pouvais regarder la scène, le public. Je fermai les yeux, condamnant ma vue à l'obscurité. Seul le bruit des étranges visiteurs parvenait à mes oreilles. Et rapidement, mon oreillette me renvoyait vaguement un retour son. Un régisseur me guidait doucement pour me dire le temps qu'il me restait. Quelques secondes. Je m'emparais de ma guitare en glissant quelques mots doux aux micros pour remercier les gens d'être venu. Je grattais une note ou deux pour accompagner mes remerciements. Ma lumière brilla plus intensément. Les yeux fermés, je pouvais la sentir. Puis, l'espace de quelques secondes, j'ouvrais enfin ces globes oculaires récalcitrant. J'observais la foule, silencieusement. Ils n'étaient qu'un amas de visage sans signification. Mais je souriais. Un sourire sincère. Mon regard avait changé. On me le disait souvent. Je pouvais briller. Je n'étais plus un jeune garçon timide. Je grattais la première corde, je réalisais mon premier accord. Le show pouvait commencer.

Pour une raison qui m'echappait, j'étais en feu. J'illuminais la pièce en brillant de ma guitare somptueuse. Puis, mes yeux se fixerent au milieu d'une chanson sur des yeux, sur un regard. Je souriais bêtement. Elle était la. Je rêvais probablement. Elle était à LA. Elle m'aurait prévenu. Elle aurait prévenu ma mère, et ma mère est l a pire personne pour garder un secret. Je grattais une corde. Sobrement. Cet accord était pas terrible. Je me reconcentrais, ne pouvant cacher la douceur de mon cœur. Je devais changer le programme. La fin de la chanson me donnant une belle opportunité, je m'emparais doucement du micro pour un message pour le public.

« La prochaine chanson sera pour une personne très spéciale dans mon cœur. » Mystérieux, je m'elance pour d'autres mots sobres. « Pour toi qui a tant dansé sur mes chansons.  » J'embrasse mes deux doigts en les levant au ciel en signe de ralliement.  « Pour toi, B.  » J'entame une version très personnelle de The Night we met, de Lord Huron. Une chanson qui veut tout dire. Une chanson pour elle. Mon regard se fixe dans ses yeux. Dans un autre monde, je chante pour elle, oubliant la foule. Les portables illuminent l'obscurité avec leurs signaux lumineux, mais je la fixe. Et je clos cette délicate chanson par une petite phrase improvisé l'enjoignant à me rejoindre dans ma loge pour que fatalement, je puisse la serrer dans mes bras. Et vu mon état actuel, il est fort probable que je l'embrasse en lui sautant dessus lorsque je la verrais dans la loge, un baiser de retour, un baiser d'un ancien amant ravi de voir son ancien amour. Un amant ne sachant pas où en est avec elle. Un amant passionné, en somme.


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Invité a posté ce message Mer 3 Oct 2018 - 12:26 #

CORMAC + BRIANA

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La prochaine chanson est pour une personne spéciale. Son regard posé sur moi, est-ce qu’il m’a vu, réellement ? Je souris malgré moi, je rougis même. Il fait déjà chaud dans le pub mais là, je boue. Je retire ma veste, je la repose dans mes bras et je l’écoute. Les paroles sont inconnues et pourtant, elles sonnent si familières. Mon coeur se serrent, se gonflent, je suis perdue. Je tente de maîtriser mes émotions mais c’est difficile. J’ai l’impression d’avoir gâché cinq ans de notre vie en étant partie à l’autre bout du pays. Je finis par m’éclipser dans la foule au milieu de la chanson. Je me sens mal, mal d’être partie, je me demande si j’ai fait le bon choix, si je le retrouverais. On était d’accord, on ne se bloque pas. On vit notre carrière, notre vie et si le destin nous rassemble on avise. C’est ce qui se passe et pourtant avec la chanson, j’ai l’impression de lui avoir brisé le coeur en étant partie. La culpabilité naît. J’inspire et je me dirige vers le bar. Je crois que j’ai besoin d’un bon remontant. Je patiente un peu, pas trop non plus mais il y a du monde. Ce lieu que je connaissais par coeur me semble étranger. Ce ne sont plus les mêmes barmans. Je commande une bière, simple, classique. Je la bois sans doute trop vite. Je sens que l’alcool va me monter à la tête, je n’ai plus l’habitude d’enchaîner comme ça. Peu importe, les trois quart de ma pinte partent en quelques gorgées. Je reprends un peu mon souffle. La musique s’arrête, il fait une pause. J’angoisse, est-ce qu’il va venir, comment est-ce que cela va se passer ? J’inspire lentement. Je prends place sur un tabouret haut. Je ne sais pas comment je dois me comporter. Je pose mes affaires à côté de moi sur le bar, je dois ressembler à une fille perdue, qui n’est plus d’ici. C’est l’impression que j’ai. C’est familier et étranger. Bizarre. J’essuie la petite larme qui a coulé sur mon visage. Machinalement je lisse mes cheveux, c’est nerveux. Je me retourne pour voir Cormac… Il arrive dans la foule, populaire comme à son habitude quand il chante. Je ne peux m’empêcher de sourire en le voyant. Il n’a pas changé, quand je le vois je sais que je suis chez moi, à la place que je dois être. Il doit se demander ce que je fais là, pourquoi je ne suis pas dans les salle de danse de L.A avec une nouvelle célébrité. J’ai tout quitté, tout arrêté. Un besoin de retrouver mes marques, de retour aux sources. Il est ce dont j’avais besoin. J’aime L.A mais j’aime encore plus Cormac et sans lui, cette ville n’a pas d’intérêt. Je me mordille la lèvre en le voyant venir vers moi. Je ne sais pas trop quoi dire. Cela peut sembler fou… Je suis nerveuse comme au premier jour, au premier rendez-vous. « - Hey ! Surprise... »




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Invité a posté ce message Ven 5 Oct 2018 - 23:16 #





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☾☾ Une chanson. Un imprévu. Je sais gérer les imprévus. Les lumières s'éteignent, plongeant la salle dans une obscurité grisante. La musique s'enclenche. Un petit ton électronique se perçoit alors que les portables agitent leurs diodes lumineuses. Puis, les projecteurs s'enclenchent un par un dans un brillant spectacle d'art et de lumière. Tenant le micro bien serré entre mes doigts angéliques, j'exultai mes premiers mots dans l'obscurité béante. Je chantais only you , cette chanson que j'avais écrite au lycée pour cette néo-Newyorkaise si particulière. Des les premiers mots, et à mesure que les lumières de la salle se rallumaient, je plongeai mon regard dans le sien, uniquement dans le sien. C'était comme un baiser séduisant en musique. Et en chantant, les souvenirs refaisaient surface. Sa blessure, d'abord qui nous avait rapproché et le nombre de fois où, ne pouvant danser, elle m'avait demandé de chanter pour elle. Nous nous isolions alors dans ma chambre (ou dans la sienne) pour que je puisse me laisser aller à une inspiration harmonieuse. Guitare à la main, nous chantions poétiquement en essayant d’être aussi mélodieux que possible. Un souvenir agréable qui m’enchantait à chaque fois que je chantais cette chanson.

Puis fatalement, la chanson prenait fin. J’aurais tant aimé que jamais elle ne se termine. Je levai les yeux pour entendre des applaudissements, mais je n’avais pas le temps. Je souriais. Je souriais toujours. Je tâchais de remercier les gens qui m’acclamaient sous un tonnerre d’applaudissement, mais la vérité c’est que je n’aimais pas ça. La célébrité était une horreur. Par chance, je n’avais pas vraiment ce fardeau à porter contrairement à la belle Briana qui avait acquis un certain succès à L.A. Je me dirigeais vers elle aussi vite que possible. Ma vitesse de déplacement était amoindris par la foule qui me félicitait, et je tâchais de paraître sociable et gentil pour pouvoir me reproduire à nouveau sur scène. Finalement, j’arrivais vers elle. « - Hey ! Surprise... » Elle avait raison. J’étais complètement pris par surprise lorsque je m’approchai d’elle. Et ralentissant, je me sentais porter par un vent incroyablement puissant. Mes deux mains se figèrent sur ses joues, et soudainement je m’élançais pour les embrasser. Mon cerveau me cria dessus. Je pouvais l’entendre, mais j’étais encore porté par la beauté et la nostalgie de la chanson. Nos lèvres s’entrechoquèrent comme autrefois, se caressant mutuellement avec qui, presque pris de honte, je m’écartai. « Désolé, je ne sais pas ce qu’il m’a pris. L’émotion de te voir sans doute. » Je laissai échapper un rire inconsciemment, pour me donner bonne conscience. Puis j’attrapai ses deux mains, les tenant fermement dans les miens, jouant avec ses doigts. « Depuis quand tu es rentré ? Pourquoi tu n’as pas appelé ? Je serais venu te chercher à l’aéroport ! » Je tenais fermement ses mains, refusant de les lâcher ayant peur de briser la magie de sa présence si jamais je perdais à nouveau le contact si délicat de sa peau. « Viens là ! » Je tirais ses mains vers moi en m’approchant pour la prendre dans mes bras. Je voulais une belle étreinte, la première depuis qu’elle était rentré. Je voulais seulement la serrer dans mes bras, sentir son parfum délicat. Je voulais la sentir contre moi. Et donc sans perdre de temps, je lui fis un câlin doux et délicat, volant un bisou dans le cou au passage.


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Invité a posté ce message Mar 9 Oct 2018 - 12:42 #

CORMAC + BRIANA

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« - Hey… Surprise ! » Je ne trouve rien de mieux à lui dire. Quelle débile. Je suis plus qu’heureuse de le voir et je n’arrive pas exprimer ce que je veux lui dire. Je suis sous le coup des émotions, de la chanson. Il m’a écrit une ode et c’est assez flateur quand on sait que j’ai préféré ma carrière à notre relation. On était pourtant d’accord, tous les deux, on ne se projette pas, on ne se fixe pas, on savait que ce moment arriverez, on est deux artistes et forcément à un moment, la vie nous séparerait. Il a fallu cinq ans pour qu’elle nous rassemble. Pour que moi, je comprenne que même si DWTS c’est génial, ce n’est pas ce qui me rend heureuse. Enchaîner deux saisons par an, c’est un rythme complexe et soutenu, épuisant. Je crois que j’ai besoin avant tout de prendre du temps pour moi et cela tombe bien les répétitions du ballet ne commencent qu’en novembre, ce qui me laisse un bon mois pour reprendre des forces et profiter de Cormac, enfaîte surtout pour profiter de lui.

Sa réaction me surprend autant qu’elle me fait plaisir. Mon coeur va exploser, je suis comme une enfant. Je voudrais l’embrasser encore mais il s’écarte déjà de moi. Je savoure. Mes doigts passent sur mes lèvres comme pour garder au maximum le goût de ce baiser. Je me mordille la lèvre, inconsciemment. Je souris, il pose mille questions à la fois. « - Le but c’était de te faire une surprise. » Je me laisse aller dans ses bras, je profite du moment, son odeur m’a manqué, je me sens chez moi dans ses bras, ça a toujours été comme ça. Je sens qu’il embrasse mon cou, réveille les papillons nichés dans mon ventre. Une adolescente amoureuse. Comment j’ai fait pour être loin de lui autant de temps ? Je m’écarte un peu, je sens des regards sur nous, ça me gène d’autant plus que je voudrais éviter les photos sur internet, c’est la mode. Cette popularité que j’ai gagné est un fléau. Je prends la main de Cormac, je prends ma bière aussi, parce que je tiens à le terminer et je l’entraîne vers l’arrière de la scène, les coulisses, même petits, nous apporteront un peu de tranquillité et d’intimité. « - Désolée, je fais attention à ce que ma vie ne soit pas étalée sur les tabloïds. » Je l’attire contre moi, je me hisse un peu sur la pointe des pieds. « - Toi viens par là » Un sourire malicieux, je fais attention de ne pas renverse ma bière et je l’attire contre moi pour l’embrasser. Je savoure. « - J’ai été bête de partir autant de temps... » Un nouveau baiser. Je pose à l’aveugle ma bière sur une caisse de matériel, mes mains se posent sur la nuque de Cormac. « - Alors comme ça, je t’ai manqué ? Très belle chanson au passage, la fille dont tu parles a beaucoup de chance » Je souris, taquine, mordant encore ma lèvre inférieure. « - Tu m’as manqué tu sais... »




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Invité a posté ce message Jeu 11 Oct 2018 - 23:30 #





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☾☾ Si le baiser de retrouvaille est maladroit, c’est que la surprise agrémente ce geste. Loin d’être timide, je craque pour mon amour. Mon cœur bat la chamade. Explicitant le sens du mot « amour », je me sens pousser des ailes lorsque mes lèvres caressent doucement les siennes. C’est presque involontaire. Cette manière de se jeter sur elle, c’est ma manière de communiquer. Comme un couple. Comme si c’était si facile. Un baiser nostalgique, nostalgique des cinq longues années et un baiser pour les jeter à la poubelle. Avant même de songer à dire bonjour, je pense à l’embrasser. Cinq ans d’absence, et rien n’a changé. Mes sentiments sont fixes. De solides montagnes que nuls filles ont pu faire bouger.

Puis, elle m’attire en coulisse. Je ne m’y attends pas. La pénombre est importante. Je ne sais que faire. Je souris bêtement alors qu’elle ne me laisse aucun répit. Elle tire mon teeshirt à elle pour m’embrasser. Je cède. Je cède volontiers. J’entrouvre mes lèvres pour recevoir ses baisers, et j’essaye de comprendre, entre deux millésimes, de comprendre ses mots. Je souris timidement. Il n’y a rien d’autre à faire. « - J’ai été bête de ne pas partir avec toi. » J’y pense. J’y avais pensé à l’époque avant de réfuter Nous n’étions pas prêt. Je souris. Je l’embrasse doucement. Avec volupté. Le concert m’a tiraillé. Je suis pourtant en train de l’embrasser. Je caresse doucement sa joue avec le dos de mon pouce. Je suis surpris. Elle est là. Et en plus, ce n’est pas mon anniversaire. Je souris encore. Je la regarde dans les yeux. « - Je t’ai vu à la télé, tu sais. » Je me fais une raison alors que mon bras se pose sur sa hanche, un moyen de la sentir près de moi. Mes doigts crépitent, et la caresse adroitement. Amoureusement, je les laisse agir. Ils ne peuvent résister. Je penche légèrement la tête pour chercher à l’embrasser. Le doigt sur la joue, je viens délicatement poser mes lèvres sur les siennes, et j’en profite pour divaguer vers son cou. Nous aimions ça dans le temps. Je me demande si elle a changé, si elle est différente. Elle a l’air si différente, et pourtant elle ressemble à ma Briana. C’est la même. Certaines choses ne changent jamais. Mes sentiments ne changeront pas. Alors, doucement, je lui demande dans un murmure à ses oreilles : «  - Dis moi tout. Je veux tout savoir. LA, la danse, les compet, la célébrité..» Avant qu’elle ait le temps de parler, pourtant, je l’embrasse passionnement. Je l’empêche littéralement de dire un mot. Je sens mon désir pour elle monter, et pourtant je m’accroche à ses lèvres comme un marin tient à son ancre. Elle est mon ancre. Mon accroche à la réalité. Ma muse. Et un artiste se doit de traiter sa muse avec toute la probité qu’il faut. Alors, je l’embrasse. Ses lèvres, son cou. Tout y passe. J’ose même – l’obscurité latente aidant bien – à embrasser son décolleté. Puis, je remonte vers ses lèvres en caressant sa joue, comme pour veiller qu’elle ne s’éclipse pas. J'ai envie de chanter un hymne à l'amour rien que pour elle. Je suis amoureux. Je lui montre avec mille baisers.

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Invité a posté ce message Lun 15 Oct 2018 - 17:41 #

CORMAC + BRIANA

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Les coulisses pour plus d’intimité. J’ai envie de profiter, continuer ce qu’il vient de lancer. Il a réveillé des choses avec ce baiser et j’ai l’impression que ses 5 dernières années n’existent plus, que je suis juste là à ses concerts à l’attendre pour profiter de lui, pour qu’on fasse l’amour dans sa petite loge parce qu’on est incapable de se contrôler. Voilà tout ce que cela réveille en moi. Une fois à l’abris des regards, je tire son t-shirt, je me hisse sur la pointe des pieds et je l’embrasse. Hm, je me délecte de ses baisers. Quelque chose sort de ma bouche, l’entrain sans doute, je lui avoue mes regrets, j’aurais dû rester avec lui, vivre notre amour. J’ai eu peur, je ne voulais pas être emprisonnée, sans doute que je manquais de maturité aussi. Je ne pense pas à sa réponse, je ne sais pas si elle compte mais l’entendre me répondre qu’il aurait dû me suivre me rassurer, on semble sur la même longueur d’onde. Je continue de l’embrasser, de profiter. Il m’a vu à la télé. Je souris doucement. « - Moi sur Youtube, on commence à parler de toi… » Un baiser, mille baisers. Je commence à réveiller d’autres choses. J’inspire, je vais me calmer ou on va finir par se sauter dessus comme des bêtes. Je souris à ses questions, il veut tout savoir, je ne sais même pas par où commencer. Je trouve une chaise derrière nous. Je le pousse dessus et je m’installe à califourchon sur lui, je l’embrasse, passant mes bras autour de sa nuque. « -hm… tu m’as manqué… » Ok, je sais qu’il ne veut pas du tout entendre cela. Je souris légèrement. Je me mordille la lèvre, je tente de me calmer un peu. « - Sérieusement, je ne sais pas par où commencer… la célébrité n’est pas ce qu’il y a de mieux… » Un baiser. « - L.A est une superbe ville, elle ne vaut pas New-York bien entendu… » Baiser. « - Et toi… Je suis sûre que tu as rempli un tas de bar avec tes concerts… je regrette tant d’en avoir autant manqué. » Je souris. Je me redresse, je me contiens de ne pas lui voler un baiser, son regard, son sourire… ses cheveux cuivrés… Tout m’avait tellement manqué finalement, comment j’ai fait sans lui ? « - C’est un peu brusque tout cela, je suis désolée, je tenais tellement à te faire la surprise de mon retour… Je ne repars pas… Je reste à New-York pour de bon… tu n’auras plus le privilège de me voir à la télé… » Je souris, taquine. « - Je ne supportais plus l’effervescence de l’émission… la popularité est extrême… je te jure que j’ai des gens presque obsédés par moi… flippant… » Je l’embrasse doucement. « - C’est fou, tes baisers sont toujours aussi délicieux, je pourrais me droguer à ça… » Je me mordille la lèvre en le regardant, pure et simple vérité !



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Invité a posté ce message Mer 17 Oct 2018 - 21:41 #





« It's too cold outside for angels to fly. »
Cause honey your soul could never grow old,
its evergreen



☾☾ J’avais cessé de chanter. Je n’aimais guère les fins de concert, mais celle-là était particulière. Le choix des chansons y jouait. J’avais la chance, suffisamment rare pour être souligné, qu’on ne choisisse pas mon répertoire pour moi. Puis, et surtout, j’avais une invité de marque. Elle. Briana. Celle qui faisait battre en coeur malgré la distance. Elle l’ignorait, mais j’avais du mal à aimer d’autres filles qu’elle. Qui pouvait tenir la comparaison, en même temps. Je souriais en la voyant, et je lui avais dédicacé tant de chanson. Plus jeune, je chantais pour elle. Dans sa chambre ou dans la mienne, sur le lit. Assis, je chantais et elle m’écoutait. Ce temps me manque. Alors, lorsqu’elle m’attira dans les coulisses, je sentis le secret de sa chambre revenir en courant. C’était excitant. Finalement, ce fut un enchevêtrement de baiser. Avec le temps, si je pouvais lui résister, je l’aurais su. Rien n’avait changé. J’étais encore à elle. Et sans comprendre, me voilà assis sur une chaise, Briana sur moi et des baisers par centaine sur les lèvres.

Je l’écoute pourtant. C’est difficile de se concentrer avec ses baisers. Puis, elle compare mes baisers à une drogue. Je ne peux commenter. « Qui t’en empêche ? Pas moi. » Je souris. Je caresse doucement sa joue. Je l’amène à moi. Un baiser. Nos lèvres sont scellées. Elles ne se détachent plus. Les langues flirtent ensemble dans la sobriété de cette loge. J’aurais bien poursuivi Briana, mais je repousse doucement ses lèvres. « Calme, Tigresse. » Je suis au moins aussi excité qu’elle. « Tu m’as pour un sacré long moment, on dirait. » Je souris, recoiffant ses cheveux doucement. Je ne la laisse pas se lever, néanmoins. « Tu sais.. Je suis complètement obsédé par toi moi aussi. Je comprends ces pauvres gens. » Je rigole à ma propre plaisanterie après m’être assuré qu’elle en rigole aussi. Il n’y a rien de plus triste qu’un homme qui rigole seul. « Tu restes vraiment ? Et ton rêve ? » L’avantage, c’est que je vis mon rêve. Avec elle sur moi, à discuter de tout. Je pense alors à une chose. « Tu as un appart ? Tu vis à l’hôtel ? Ce soir, tu dors chez moi ! Je t’acceuille ! » Je souris. De toute façon, il risque d’être difficile de la laisser partir !

CODAGE PAR AMATIS

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Invité a posté ce message Jeu 18 Oct 2018 - 12:03 #

CORMAC + BRIANA

« It's too cold outside for angels to fly. »


Je ris à sa réponse. Il ne m’empêche pas d’être accroc à ses lèvres ? Très bien. Je lui vole un baiser, mes bras s’accrochant à son cou. Je me mordille la lèvre, heureuse de le retrouver, plus qu’heureuse même. Peut-être que je m’emballe un peu, c’est bizarre, moi tant sur la réserve, je me lâche ce soir, parce que je suis bien, juste nous deux, je crois que je pourrais me satisfaire de cela. Il me calme doucement, je m’emballe c’est vrai. Je me retiens. J’aimerais être dans ses bras pour rattraper tout le temps perdu. On ne pourra pas effacer les cinq ans, on ne peut pas les combler, il va falloir faire avec. Maintenant que je suis là, je n’ai pas le moindre regrets d’être partie, pas un seul. « - J’espère pouvoir te garder un moment » Je mordille la lèvre encore, la retenue d’un baiser. Il me pose des questions, je lui répond. La célébrité qui m’a plus effrayé qu’enchanté. Les gens obsédés par moi, c’est étrange de ce dire que des gens font des comptes facebook, instagram et que sais-je encore sur mon activité, que tentent de savoir où je suis, avec qui… comment ma vie a pu devenir si passionnante ? Je ne me suis rendue compte de rien, oui c’est vraiment flippant. En tout cas la réponse de Cormac a le don de me faire rire. « - Oh ? Complètement obsédé ? Mais ce n’est pas très beau tout ça monsieur, je devrais peut-être appeler la police… sait-on jamais » Je reste pourtant sur ses genoux, collée à lui. Il me demande si je reste pour de vrai… Je souris rêveuse, presque en le regardant. « - Peut-être qu’il est à New-York mon rêve ? » Je marque une petite pause. « - L.A est super, vraiment, mais la célébrité, le rythme était ingérable, la pression énorme… ce n’est pas comme ça que je conçois la danse » Je souris tendrement. « - On m’a proposé un ballet à New-York, première danseuse, c’était une offre que je ne pouvais pas refuser, surtout que tu es là... » Je ris par la suite, il précipite les choses. Je n’ai pas encore d’appartement, je vais bien en trouver un sympa, New-York grouille de super coins. Mais j’avoue que l’idée de passer la soirée avec lui me réjouit, je n’ai pas envie de le quitter, pas maintenant, pas tout de suite. Je me mordille la lèvre. « - Oh, tu invites une fille que tu connais à peine le premier soir ? Tu es comme ça toi ? » Je le taquine. Je ne résiste pas à l’idée de l’embrasser, bah ça faisait trop longtemps. « - Je suis à l’hôtel, mon agent doit m’aider à trouver un appartement, je ne suis pas pressée, surtout si un bel irlandais m’accueille. Il faut que je passe prendre des affaires à l’hôtel… » Je lui vole un baiser, je me détache, tout mon corps crie, il voulait rester contre lui. « - Et toi ? Tu en es où ? Rassure-moi, aucune femme ne t’attend quelque part ? Je ne veux pas interrompre quoique se soit… je suis partie longtemps… tu pourrais être passé à autre chose... » Et pourquoi je doute ? D’un coup ? Je m’emballe et je doute. Tout à fait moi. J’attrape ma bière restée dans un coin et je la bois cul sec en grimaçant, ça pique. « - On peut aussi à mon hôtel ? Comme tu préfères ? Enfin… comme tu veux... » Pourquoi j’ai commencé à penser à la possibilité qu’il puisse avoir une copine ? C’est vrai que c’est possible, en cinq ans… il a bien dû avoir des relations.



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