some talk after all this time - ft. Eleanor

Eleanor sortait d'un meeting pour la compagnie, pas une seconde trop tard. Si elle devait écouter un autre homme à la voix monotone lui parler de comment gérer ses médias sociaux pendant 10 minutes, sa tête allait exploser. Apparemment, il n'avait pas aimé qu'Eleanor engage dix beauty guru pour faire des vidéos sur le thème du casino, la semaine précédent halloween. D'après l'homme qui – Eleanor était certaine – n'avait même pas de compte instagram; ‘La clientèle masculine risque d'être repoussée par des vidéos de look en tout genre.' Elle avait passé la plus grande partie de la rencontre à lui dire exactement ce qu'elle pensait de sa ‘clientèle masculine' et à la fin, comme c'était son nom à elle sur les papiers, elle avait gagné.

Une fois dans son bureau, elle se donna quelques minutes pour relaxer avant de s'attaquer à sa pile de paperasse. Elle attrapa son téléphone personnel et commença à lire ses messages. Une conversation en particulier attira son attention. Elle n'avait pas vue Jessie dernièrement, faute de temps dans leurs horaires respectifs, mais même par intermédiaire de leur téléphone, elle n'avait pas pu s'empêcher de reconnaître que quelque chose clochait chez la rousse. Elle fut donc ce que tout le monde aurait fait dans son cas, et c'était mis à questionner la colocataire de son amie. Cassandre avait fini par admettre que si Jessie semblait à l'envers c'était sans doute parce qu'elle avait revue Elias. Bon, vrai, Eleanor ne connaissait pas grand-chose d'Elias. Encore plus vrai, elle n'était pas du tout en place pour juger qui que ce soit. Mais Elias sortait tout de même de prison et honnêtement, elle ne pensait pas être à tort d'être inquiète. Avec un soupir agacé, elle ramassa ses affaires et ferma son bureau derrière elle. Ses papiers attendront, c'était l'heure d'une intervention maintenant.

Quand elle sonna chez Jessie, elle s'attendait presque à la trouver en flagrant délit, à la place, elle venait clairement de la déranger dans sa journée paresse. « Je ne te dérange pas? Mignons tes chaussettes. » Elle fronça les sourcils quand elle remarqua que Jessie surveillait ses arrières avant de refermer la porte derrière elle. La rousse s'enligna vers la cuisine, prête à faire la conversation, mais Eleanor n'était pas prête à se faire avoir. Elle croisa les bras sur sa poitrine et lança un regard qui se voulait plein d'inquiétude à son amie. « Moi rien. Mais quelques choses me dit que toi par contre… » Elle se mit à taper des doigts sur son bras, son regard un peu défiant. « J'ai parlé à Cassandre, je voulais savoir pourquoi tu n'avais pas l'air dans ton assiette ses derniers jours. » Elle allait tout de même lui donner une chance de venir de l'avant par elle-même.

Grandir comme elle la fait, Eleanor connaissait bien le milieu carcéral. Elle savait le genre de gens qui y rentrait et les gens qui en sortaient. Elle avait vu plusieurs personnes, qui n'aurait pas spécialement fait de mal à une mouche, se faire complètement changé par un séjour derrière les bars. Elle avait aussi connu plusieurs baby-mama, ou ‘prison widow' durant sa vie à Los Angeles. Si elle pouvait empêcher que Jessie ait même conscience de ce monde elle le ferait. Elle devenait férocement protectrice des gens qui l'entouraient, a faute de l'avoir toujours été, elle ne tenait pas à voir son amie en danger. Pas qu'elle puisse en parler si ouvertement, après toute la rousse ne savait rien du genre de fille qu'Eleanor avait été, du genre de choses qu'elle avait pu voir. Elle n'avait pas hésité une seconde avant de quitter le boulot pour se rendre directement à l'appartement de la jeune femme. Elle préférait faire ce genre de choses face à face. Apparemment, elle la dérangeait durant sa journée de congé et paresse. Tant pis. Mais elle se sentait un peu trop habillé pour le coup, habillé pour le boulot, talon haut compris. « Merci, mais je sais oui. » Elle ne pouvait pas se permettre d'avoir une apparence moins que parfaite au boulot après tout, ses parents lui en feraient entendre de toutes les couleurs.

Elle suivie Jessie dans la cuisine et lui laissa une chance de s'expliquer avant de lui sauter dessus avec ses accusations. Heureusement, elle n'eut pas à attendre trop longtemps. Une fois qu'elle avait mentionnée avoir parlée à Cassandre, la déclaration se fuit suivre très rapidement. « Elle m'a dit oui, mais ne faut pas lui en vouloir, je lui aie un peu tordue le bras sur le sujet. » Pas littéralement, encore heureux, mais elle avait tout de même insisté. Puis le fait que Cassandre ait cédé prouvait sans doute qu'elle n'était pas la seule à s'inquiéter. « Tu ne sais pas quoi en pensé? Jessie, il sort de prison! Il n'y a rien à penser. » Elle se voulait douce, et essayait vraiment de comprendre la rousse, mais juste avec ça, la réponse semblait évidente. « Mais même sans ce facteur-là, t'as pas déjà un copain? Pas que je sois sa fan #1 mais bon… » En général, elle n'aimait jamais les partenaires de ses amis, elle ne faisait pas confiance à grand monde en fait. Elle décroisa ses bras et se rapprocha de son amie doucement. « Comment vous vous êtes revue en fait? Il est venu te voir ici? Vous vous êtes croisé? » Elle prit note de se renseigner sur les ordres restrictifs au cas. « Est-ce que c'est à cause de lui, le coup de la parano juste avant? » Elle fit signe vers la porte. Honnêtement ça l'agaçait, elle n'avait jamais vu Jessie surveiller ses arrières de cette façon. Ça lui faisait penser à elle dans son appartement avec ses trois verrous et ses caméras. Elle n'avait jamais connu une vie où elle n'avait pas besoin de garder ses arrières et elle ne souhaitait pas ça à personne. « N'importe quelle situation qui te fais agir comme ça, je suis contre. » Elle ne changerait pas d'idée sur ce coup. Il n'était pas question qu'elle laisse une de ses amies les plus proches être en danger. Eleanor glissa une main dans ses poches de manteau et toucha son poignard du bout des doigts. C'était un réflexe de toujours en trainer un avec elle, elle avait beau s'être promis de ne jamais s'en servir de nouveau, elle ne pouvait pas se défaire de cette habitude.

Une des choses qu'Eleanor avait gardé d'Ellaine, était l'esprit de ‘ride or die' quant aux gens qu'elle fréquentait. Quand on venait du milieu comme le siens, c'était une question de survie. La mentalité de clan faisait que personne n'était laissé à eux-mêmes. Qu'on devait protéger les gens à qui on tenait. Férocement. Évidemment qu'elle allait supporter Jessie peu importe les choix qu'elle faisait. Mais en attendant elle ne pouvait pas rester là à rien dire. Premièrement, ce n'était pas son genre de ne pas exprimer son opinion et deuxièmes si jamais quelque chose se passait, elle s'en voudrait à vie. Et elle avait déjà son tas de regrets, elle n'en avait pas besoin d'un de plus. C'est vrai qu'elle ne connaissait pas toute l'histoire, et encore moins Elias, mais elle avait franchement aucune envie de le connaitre et pas du tout besoin. Elle pouvait très bien imaginée qu'elle genre de personne il était, et ce genre d'énergie n'avait plus de place dans sa vie. Elle ne jugeait pas tout le monde qui avait passé un temps en prison, après tout elle l'avait échappé de peu un million de fois, mais quelqu'un qui se faisait arrêter pour un crime violent, c'était toujours plus dangereux que ça en avait l'air. « Tout le monde à des trucs à cacher. » Elle avait répondu à la remarque de Jessie sans même y penser, sur l'automatique. Mais en même temps, c'était naïf de penser le contraire. Pas tout le monde cachait un drame, un crime, un trauma, mais tout le monde avait ses secrets.

Quand elle questionna les intentions de la rousse, parce qu'après tout, elle était techniquement en couple, elle fut (agréablement) surprise de la réponse. « Oh. Tant mieux. Enfin, tant que tu le fais pour toi, et pas pour quelqu'un d'autre. » Elle n'était pas super fan de Liam, elle n'y voyait aucun intérêt et ne lui faisait pas du tout confiance, mais Jessie était avec lui depuis un moment et même si elle savait que son amie n'était pas éperdument amoureuse, elle ne voulait tout de même pas qu'elle regrette quoi que ce soit. Elle laissa Jessie expliquée la situation et essaya – au plus grand de ses habilités – de l'écouter sans arrière-pensée. Elle ne put tout de même pas s'empêcher de lever les yeux au ciel quant à la manière qu'ils s'étaient raconté. Videur dans une boite, elle savait que trouvé un job après la prison était pratiquement impossible, mais pour quelqu'un avec une réputation comme ça, c'était possiblement l'emploie qui inspirait le moins la confiance. Le reste de l'histoire n'était pas plus rassurant. Elle posa les coudes sur la table et se massa les temples pendant quelques secondes. « Ok, je veux te croire. Mais c'est Elias qui t'a dit ça? Il a des preuves ou on est censé le prendre au mot? » Parce que bon, elle était à peu près certaine que si elles visitaient n'importe quelle prison, pratiquement tous les prisonniers auraient une histoire semblable à leur raconter, quelque chose qui prouvait que leur incarcération n'était pas méritée. « Tu as vraiment peur de Liam? » Son dos se raidie juste à y penser. Peut-importe si l'histoire était vraie ou pas, si Jessie avait un doute sur les intentions de son futur-ex, Eleanor préférais prendre les précautions qu'il fallait pour la protéger. Son téléphone déjà sortit, elle se mit à chercher un serrurier qui pourrait venir changer les serrures et en pausé sur la fenêtre. « Tu sais que toi et Cassandre pouvez venir chez moi ein? Si jamais tu as peur de quoi que ce soit? » Son appartement était une véritable forteresse après tout, ses parents s'en étaient assurés.

Les parents d'Ellaine c'étaient bien assurée que leur fille grandisse dans la violence. Non seulement à l'extérieur de la maison, ou elle devait (littéralement) se battre à tous les jours et apprendre à manier un couteau en même temps qu'apprendre à marcher. Mais aussi dans leur foyer, leur quotidien remplie de drogue et d'abuse plus désastreuse les uns que les autres ont assurés qu'Ellaine gagne quelques cicatrices de plus. Son corps en était tellement rempli, elle ne pouvait plus dire aujourd'hui laquelle venais d'où. Elle savait ce que c'était vivre dans la peur, d'avoir peur du bruit, du noir, de jamais savoir ce qu'elle allait trouver en rentrant de l'école. Elle savait ce que c'était de devoir se défendre, de courir pour sa vie. Pire, elle savait le feeling de percer la peau de quelqu'un avec un poignard, de se cogner aux os et de devoir changer sa pression. Ellaine avait pas eu le choix. Eleanor elle, si. Elle n'avait peut-être pas toujours été un ange, elle ne se rappelait pas tout ce qui s'était passé lors de ses trois premières années à New-York, mais elle avait réussi à se faire une place, une maison, à se trouver une famille et des amis avec qui elle se sentait en sécurité. Elle voulait rester en sécurité, elle voulait que ses proches restent en sécurité. Tant pis si ça faisait d'elle une hypocrite, tant pis si à la fin de la journée, son ancienne vie aurait très bien pus l'amenée en prison. C'était les problèmes d'Ellaine, Eleanor pouvait se permettre de lever le nez un peu et de poser des questions.

Que ce soit sur Liam ou Elias, elle était définitive, elle n'avait pas confiance en aucun des deux. Heureusement Jessie semblait sur la bonne voie, a en laissant au moins un dans la poussière. « Tu sais, la prochaine fois que t'as envie d'un ‘passe-temps' un vibrateur et des batteries c'est beaucoup moins de problèmes. » Straight people, toujours en train de se compliquer la vie pour rien. Elle ne comprenait pas les gens qui trainaient des relations toxiques pendant des mois pour du sex ou d'autres raisons. Elle ne passerait jamais le temps avec un homme ou une femme avec une date d'expiration. Quoi qu'apparemment c'était le moindre des problèmes, à écouter Jessie Liam était au milieu d'une conspiration pour enfermer Elias derrière les barreaux. Elle n'allait pas le cacher, elle trouvait ça beaucoup pratique pour l'homme du coup. Elle était certaine que beaucoup de gens en prison avait une histoire semblable, surtout quand il n'avait aucune preuve à mettre sur la table. « Non, Jessie, non… » Elle releva la tête doucement et posa ses doigts sur le bras de son amie pour être certaine qu'elle avait son attention. « Tu ne peux pas te mettre en danger pour ‘trouver des preuves' qui – si ça trouve – n'existe même pas. » Dieux savait dans quel genre de pétrin elle pouvait se mettre. « Trois ans c'est long… Même – et je ne dis pas que je le crois ein – mais même s'il était innocent. Trois ans en prison, change une personne. On a aucune idée avec qui il est devenu amis en dedans, ou bien qui, il a pu se mettre à dos. Tu ne peux pas juste décider de le suivre dans une chasse au trésor comme ça. » Ellaine avait vu de ses propres yeux ses parents et ses proches à l'œuvre, contrôlé ce qui se passait en prison autant qu'il contrôlait en dehors, personne ne restait innocent longtemps en dedans. Encore plus si elle disait sur Liam était vrai, jusqu'à où est-ce qu'il pouvait aller honnêtement. Les journaux étaient pleins de drames du genre et après tout 55% des femmes retrouvée morte en Amérique avait été tué par un copain. C'était beaucoup trop haut pour risquer quoi que ce soit selon elle. Elle offrit de loger les filles en attendant, après tout, sa maison était une forteresse complète avec caméra, serrures et même une chambre de panique et un chien. Elles seraient beaucoup plus en sécurité. Mais bon, peut-être qu'elle avait un point avec Liam. Elle lui montra donc son téléphone, avec ce qu'elle venait de trouver. « Dans ce cas, veux tu me faire plaisir, changé tes serrures, mettre des verrous aux fenêtres et un système d'alarme? Je paye la facture, je m'en fou, mais au moins vous pouvez dormir en sécurité. » Ne pas se sentir en sécurité chez soit était un des pires sentiment au monde, une serrure ne l'enlèveras pas totalement mais au moins... Eleanor hésita un moment puis plongea la main dans sa poche pour sortir sa switch-blade, un couteau de sa collection qui ‘fittait' avec ses vêtements de la journée. Les vieilles habitudes ne meurent jamais. Elle tendit la lame à Jessie. « J'espère que tu n'auras pas à t'en servir, mais… Au cas? » Vallait mieux être préparée après tout. « Je peux apprendre à t'en servir si tu veux. » Ses poignards étaient comme la continuité de sa main pour elle, elle avait honte de ce qu'elle avait pu en faire, mais elle était tout de même en vie grâce à eux.

Eleanor ne le cachait pas, elle était beaucoup mieux seule. Elle avait appris très jeune (certain dirait même ‘trop jeune') que s'attacher à quelqu'un finissait toujours par lui couter beaucoup trop cher. Elle avait été entraînée dans beaucoup trop de relation toxique pour se laisser entrainer à nouveau. Elle-même n'avait pas toujours donné son meilleur, elle avait abandonné, trahies et menti à son lot de personne. What goes around come around. Maintenant elle se tenait qu'à une poignée de relation à qui elle pouvait faire confiance et n'essayait pas d'agrandir ce lot. Même avec Jessie, elle l'avait rencontré par hasard, durant ses années à l'université. Elle avait mis des mois, voire années avant de lui faire totalement confiance, et même là, elle ne connaissait qu'Eleanor, rien du tout d'Ellaine. Aussi férocement loyale et protectrice qu'elle était avec les gens dans sa vie, elle se gardait toujours un mur, une façade remplie de little white lies, pour son bien autant que pour les leurs. « Peut-être, mais au moins, c'est sans maux de têtes. » Ce n'était pas qu'elle avait quelque chose contre être en couple, elle avait eu quelques relations elle-même, mais elle ne voyait tout simplement pas le point d'une relation quand on n'y voyait pas d'avenir. Ou pire, une relation qui pouvait mettre qui que ce soit en danger et promettait plus de maux et d'effort que de bien. « Et quelle réponse que tu t'attends à avoir? D'un côté ou d'un autre, tu te retrouves au milieu de quelque chose qui te met en danger physique et mental. Soit Elias ment, pour Dieux sait qu'elle raison et il t'entraine dans un tas de problèmes. Soit il a raison et tu es dans la mise de quelqu'un qui – apparemment – peu contrôlé le milieu carcéral voir pire, aussi bien te mettre une cible dans le dos. » Elle dut se mordre les lèvres pour s'empêcher de continuer. Elle avait ce genre de cible sur elle en tout temps. Elle vivait avec depuis qu'elle avait 15 ans, c'était un enfer total qu'elle ne souhaitait pas à ses pires ennemies. Mais elle ne pouvait pas admettre ce genre de choses. À la place, elle écouta Jessie faire un très bon point sur la réinsertion sociale, et Eleanor se serait sentie coupable dans une autre situation que celle-ci, si la vie d'une de ses amies n'était pas en danger. « Je suis pour donner une chance à ceux qui en ont besoin. Il a besoin d'un job? Une maison? De l'aide financière. D'accord, je suis pour. Je suis contre quand quelqu'un avec un crime violent sur les épaules, veut entrainer quelqu'un à qui je tiens dans ses problèmes. »

Elle savait bien que c'était peine perdue, elle connaissait trop bien Jessie pour savoir qu'une fois qu'elle avait une idée en tête… Elle supposait maintenant que son rôle devait être de la supporter et s'assurer que rien de trop grave ne lui arrive. C'était le plus important non? Le premier pas était de la faire se sentir en sécurité dans sa propre maison. Parce que sa maison était complètement protégée, elle n'eut aucun mal à trouver les fournisseurs nécessaires pour faire de même avec l'appartement de Jessie et Cassandre. Elle passa son téléphone à la rousse pour lui montrer ce qu'elle avait en tête. Rien de tout compliquer, des serrures, une alarme, c'était la base. « Tu ne m'as rien demandé. C'était mon idée et un cadeau. Le prix n’a pas d'importance et puis ce n'est pas juste pour toi, vous êtes deux à vivre ici, aussi bien s'assurer que vous aillez la paix au moins dans votre salon. » Elle savait c'était quoi grandir sans argent, elle avait manqué une grande partie de sa vie, maintenant qu'elle en avait à revendre, elle ne levait même pas le sourcil quand il était temps de donner aux gens à qui elle tenait. En vérité, laissé aller d'un de ses couteaux lui faisait beaucoup plus mal que dépensée une somme. Mais elle avait plusieurs autres lames à elle, elle n'en manquerait pas. « Je ne te souhaite pas que tu ais à l'utiliser. Mais vaut mieux être préparé non? » Le nombre de fois qu'elle devait sa vie à un poignard dans ses mains, elle ne comptait plus.