It never fades away, it's staying, your kiss like broken glass on my skin. Baby it hit so hard, I'm holding on to my chest. Maybe you left your mark, reminding me to forget
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Suite aux textos de Connor que j'ai reçu ce soir, la présence d'Emil à l'appartement est plus que nécessaire. C'est comme s'il avait lu dans mes pensées, qu'il savait exactement que la seule chose dont j'avais besoin en ce moment c'était de coucher avec lui et de perdre totalement le contrôle de mon corps. C'est exactement ce qu'il est en train de faire. Il cherche à me frustrer, à me faire perdre le pied pour que je lui dise exactement ce que je veux, que je lui demande de me prendre et surtout qu'il le fasse bien. Je connais son petit jeu, il me le fait à chaque fois et à chaque fois, ça m'énerve autant que cela m'excite. Parce qu'il est doué Emil et il le sait très bien qu'il a la capacité de me procurer un plaisir immense en si peu de gestes. C'est exactement ce qu'il arrive à faire avec sa langue et sa bouche qui s'amuse à découvrir une nouvelle fois mon intimité qu'il connait déjà si bien et pourtant je ne m'en lasse jamais. Mon bassin bouge sans vraiment que j'en ai envie. Au contraire, j'aimerais qu'il reste bien en place pour le laisser continuer. J'ai envie de ce petit plaisir qu'il me donne, mais je le veux en moi et je sens qu'il en a tout autant envie que moi. Seulement, comme j'ai préféré le provoquer plutôt que de lui dire tout de suite ce que je voulais, il m'en fait baver jusqu'à ce que je déclare forfait et je déteste le faire même si mon corps n'est jamais du même avis que moi. Si ce n'était pas de lui qui me cri presque de lui demander ce qu'il veut, je lui résisterais encore pour le simple fait que je déteste lorsqu'il gagne et qu'il obtient exactement ce qu'il veut de moi. S'il est ici c'est non seulement pour se faire plaisir, mais aussi pour m'en procurer à moi. Sa main derrière mon corps, il me retient pour que je reste bien en place. Je sais qu'il sent que je vais céder bientôt. Il a ce petit sourire de satisfaction sur ses lèvres et ça m'énerve. Il a raison, puisque juste après avoir agrippé ses cheveux pour retenir quelques gémissements, je lui demande finalement ce qu'il souhaite depuis tout à l'heure. Je n'en peux plus, je le veux là, tout de suite, maintenant. Je n'ai pas une seconde à perdre puisque cette envie est bien présente dans tout mon corps. Il fini par céder lui aussi, par se relever doucement et prendre ce préservatif qu'il avait sur lui. Toujours prêt ce Emil, et je ne suis pas contre cela du tout puisqu'aux nombres de fois où nous avons abusés des endroits publics pour satisfaire nos besoins sexuels, la protection a toujours été nécessaire et elle était toujours présente au rendez-vous grâce à lui qui ne sort probablement jamais de chez lui sans préservatif. Une fois fait, je regarde son membre un instant, me mordant la lèvre avant de reporter mon attention sur lui, fronçant les sourcils. « Pas question que tu t'arrêtes maintenant Becker. » Que je dis presque sous forme de menace. Je sais qu'il fait encore tout pour me frustrer, me faire perdre la tête, mais ça ne fonctionnera plus maintenant. Je n'ai plus envie de jouer, j'ai une bien meilleure idée en tête et à voir à quel point il est excité, je suis persuadée qu'il pense la même chose que moi, même si visiblement, il refuse de me le dire. Ma remarque le fait rire, il est certainement très satisfait d'avoir une nouvelle fois réussi à m'énerver et il approche une nouvelle fois de moi en entrant sont sexe en moi avant de le ressortir aussi rapidement. Ma main sur sa nuque que je presse un peu plus fort, je le regarde dans les yeux, le confrontant du regard. « Emil arrête ton petit jeu putain! » Dis-je d'un ton un peu autoritaire pour qu'il me prenne au sérieux même si j'avoue que je joue un peu avec lui moi aussi. Il adore me voir aussi frustré et pour continuer jusqu'au bout, il fait exactement la même chose. « J'te déteste. » Je le répète une deuxième fois ce soir et pourtant je n'en pense pas un mot. Enfin, sauf lorsqu'il joue de moi comme cela. Et pour me faire taire, comme un effet de surprise, je le sens finalement d'un coup en moi et mon gémissement est plus fort que tous les autres. Ses mouvements sont bons, d'une vitesse parfaite. Je ne peux pas demander mieux. Surtout qu'il me démontre à quel point il avait envie de cela lui aussi et ça me fait sourire. Mes lèvres coincées entre mes dents, je me penche un peu vers l'arrière, m'approchant du bord de la table pour qu'il entre encore plus en moi. Emil me regarde et m'écoute gémir alors que je me retiens fermement à la table, mon corps s'agitant et réagissant à tout ce qu'il est en train de vivre présentement comme plaisir.
C’est après avoir entendu une dernière plainte de Camila, sur ce petit jeu de frustration que j’ai mis en place, que je suis venu entrer en elle en un coup, lui imposant ma présence assez rapidement, pour un gémissement un peu plus imposant que les autres. Mon égo s’en trouve plus que flatté, ayant limite l’envie que l’on ne soit pas seuls dans cet appartement, que l’un de ses deux colocataires soit en train d’entendre le traitement que je suis en train de faire subir à Camila, le plaisir qui est en train de s’échapper de ses lèvres, qui ne peut pas passer inaperçu. Que l’on soit seul ou que quelqu’un se trouve dans cet appartement, rien ne va pouvoir mettre fin à la présence de mon sexe en Camila, rien ne va pouvoir nous empêcher à nous mener sur le chemin de la débauche pour atteindre le plaisir, que l’on sait si bien avoir ensemble. Ce soir, on n’en est pas à notre premier coup d’essai, je connais le corps de Camila, mieux que celui de n’importe quelle femme dans cette ville, je sais comment m’y prendre pour la pousser à bout, comme pour lui procurer du plaisir, c’est bien ici la force de notre amitié, celle de pouvoir s’offrir ces nombreux extras qui font ô combien du bien. Mes yeux sont posés sur elle, je ne veux louper aucune de ses réactions, que je peux apercevoir sur son visage, comme je laisse mes iris également observer son corps réagir à mes vas et vients, dont le rythme ne change pas, puis de ses mains qui s’accrochent à la table comme si sa vie était en train d’en dépendre. « Tu mens ... » Des mots que je prononce dans un profond gémissement, parce que si je prend plaisir à la voir laisser le sien s’exprimer, le mien est de mise, je ne reste pas de marbre et mon membre aussi dur que possible en elle, ne fait que le montrer. « Tu me détestes pas ... » Je ne me repose pas sur mes lauriers, je ne lâche pas ce rythme que je suis en train d’imposer en allant et venant en elle, la laissant continuer de sentir mon sexe en elle, en train de prendre possession de son corps. Mes mains ne sont plus sur ses cuisses, pour l’une tout du moins, puisque je suis en train de m’amuser avec sa poitrine, je suis en train de jouer de ses seins avec mes doigts, me laissant guider par les réactions de son corps, en accélérant quelque peu les mouvements de mon bassin, apportant un peu plus d’intensité dans mes coups de reins, pour permettre à mon sexe d’aller aussi loin en elle, que notre position nous le permet. « Tu aimes c’que je te fais Finazzi ... » Je suis venu jusque chez elle avec un seul but en tête, qui m’a poussé à lui sauter dessus, sans lui adresser le moindre mot, avec l’envie de laisser mon corps être envahi pour le plaisir, mais également de la guider sur le chemin de l’orgasme. Pour autant, si je pense à ses petits plaisirs, je ne peux masquer cette personnalisée de moi qu’elle connaît si bien, celle de ce macho que je n’ai pas peur de montrer dans mes petis jeux de séductions, mais que je masque à aucun moment avec elle. C’est bien ce que je suis en train de faire dans mes propos, comme mes mouvements qui les accompagnent, me retrouvant en train de flatter ma fierté d’homme, qui voit l’une de ses plus proche amie entre ses mains. C’est bien ce que je suis en train de voir, je suis également en train de regarder mon sexe aller et venir en elle, encore guidé par mes coups de reins que je suis en train de lui donner, tout ce qui est en train de se passer n’a pour effet que de continuer à m’exciter, comme s’il était possible de continuer à faire monter mon excitation.
It never fades away, it's staying, your kiss like broken glass on my skin. Baby it hit so hard, I'm holding on to my chest. Maybe you left your mark, reminding me to forget
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Les visites d'Emil à cette heure-ci finissent généralement toujours de cette façon. Normalement, il vient me rendre visite pour passer du temps avec moi en tant qu'amie, mais il ne peut pas s'empêcher de passer du temps avec moi sans me draguer, sans faire tout en son pouvoir pour me faire craquer et il y arrive généralement tout le temps puisque je l'avoue, je suis faible face à son charme et que tous les deux célibataires, il n'y a rien de mal à s'offrir quelques petits plaisirs entre amis. J'ai couché plus souvent avec Emil qu'avec n'importe quel autre homme à New-York et c'est certainement pour cette raison que je connais toutes ses faiblesses, ce qui le fait craquer à chaque fois même s'il y arrive bien plus souvent que moi. Ce soir je cherche à oublier, ce soir, j'avoue que je l'utilise un peu pour tenter d'effacer Connor de ma tête, de ne plus penser à son corps. Bien que l'effet est immédiat avec Emil en moi, je sais pourtant que je vais recommencer à penser à un tas de trucs lorsque le plaisir sera terminé. Pour le moment je préfère me concentrer sur ce moment, sur son membre et ses vas-et-viens en moi qui provoque un effet incroyable à tout mon corps. Mes mains toujours accrochées à la table, je ne veux pas la lâcher parce que c'est exactement ce qui m'aide à rester bien en place, à le laisser faire ce qu'il veut de moi puisque de toute façon, c'est déjà ce qu'il est en train et c'est aussi pour cette raison qu'il a cogné à ma porte un peu plus tôt en soirée. Je ne sais pas si nous sommes seuls à l'appart, mais si ce n'est pas le cas, je suis certaine que mes colocataires me détestent en ce moment puisque mes gémissements sont forts, beaucoup trop forts. J'ai finalement eu ce que je voulais et Emil ne semble pas s'en plaindre non plus. Pourtant, il s'amuse encore avec moi, tentant de me faire avouer que je mens et que je suis bien loin de le détester en ce moment. Ce qui n'est pas totalement faux. Je le déteste seulement lorsqu'il joue à ses petits jeux avec moi. Bien qu'ils m'excitent toujours, ils me frustrent aussi à un point que lorsque j'obtiens finalement ce que je veux, mon corps réagit toujours beaucoup trop rapidement et mes cris sont plus forts. Je suis certaine que ça ne déplaît pas Emil et que c'est pour cette raison qu'il prend toujours un malin plaisir à me faire subir tout ce qu'il veut. « C'est bon.. j'ai menti.. » Que j'avoue entre deux soupirs de plaisir contre ses lèvres avant de poser mes lèvres sur son cou, mordillant à nouveau sa peau pour lui faire comprendre une nouvelle fois qu'il me procure du plaisir. Ses mouvements se font de plus en plus intense alors que je sens la table bouger sous mes fesses. Si mes colocataires me détestent en ce moment, mes voisins sont probablement dans le même état d'esprit qu'eux, mais je m'en fiche un peu. Tout ce qui importe c'est mon plaisir et celui d'Emil que je sens de plus en plus en moi alors que son érection continue de monter à chacun de nos gestes. Ses mains se posent sur ma poitrine qu'il touche sans gêne. « T'arrêtes pas Becker. » Oui j'aime ce qu'il me fait et il le sait. Je n'ai pas besoin de lui dire. D'autant plus que ma respiration est saccadée et que j'ai déjà beaucoup trop de difficultés à parler en ce moment. Mes mains lâchant la table, je viens les glisser sur ses fesses un instant avant de les monter dans le bas de son dos, souriant contre ses lèvres avant de l'embrasser puis de passer mes jambes autour de son corps pour le sentir encore plus en moi qu'il ne l'était déjà.
Il n’y a rien de plus beau, pour la fierté d’un homme que d’entendre les gémissements de plaisir d’une femme, tirant vers des cris si agréable à l’oreille. Jouer de Camila, jouer des réactions de son corps et de sa frustration, ce n’est pas sans raison, premièrement, parce que j’aime la voir perdre pied, finir par me céder et me supplier de mettre fin à ce supplice. Deuxièmement pour l’entendre s’exprimer sans aucun filtre, au moment même où j’entre en elle, pour sentir son corps réagir face à l’intrusion de mon sexe dans le sien. Le lieutenant est du genre bornée, difficile de lui faire lâcher le morceau et de pouvoir avoir le dessus sur elle, avec les années, avec le nombre de fois que j’ai eu l’occasion de jouir des plaisirs de son corps, j’ai eu l’occasion de découvrir que dans de telles situations, elle baisse les armes. Ses soupires se mélangent à la réponse qu’elle est en train de me donner, m’offrant le luxe de laisser un sourire se dessiner sur mon visage, un sourire de fierté, parce que oui, l’entendre me le dire, me rend fier. Ses lèvres dans mon cou, je sens ses dents mordiller ma peau, accumulant un peu plus, à tout ce qui est en train de se passer. J’ai eu l’occasion de découvrir une toute autre forme de coucherie, bien plus tendre, bien plus amoureuse, avec mon ex fiancée, mais soyons honnête, je ne suis pas amoureux de Camila, elle n’est pas amoureuse de moi, la seule chose que l’on veut : du sexe. Rien de plus, rien de moins, pourquoi prendre des gants ? Pourquoi se retenir ? Pourquoi ne pas me laisser aller à mes pulsions, alors qu’elle est réceptive ? Alors que son corps me donne tous les indices que le traitement que je lui offre, c’est celui qu’elle veut, qu’elle attend. Les grincements de la table, subissant les assauts de mes allers et retours en Camila, ne manquent pas de se faire entendre, sans me donner l’envie de me calmer, de ralentir la cadence … A quoi bon, je me contre fou de ses colocataires, encore plus de ses voisins. Que quelqu’un vienne lui dire quelque chose, puis au moins, tout le monde est au courant qu’elle est en train de prendre son pied. En ce moment, son corps m’appartient, j’en ai le contrôle et je ne me gêne pas pour jouer de ses seins avec mes mains. Je prend plaisir de lui donner, chacun des allers et venus en elle, ces gestes que son corps m’a tant réclamé et qui continue de le faire, en même temps que je joue d’elle, de sa poitrine, la provoquant. Un baiser, qui prend une forme tout autant animal que chacun de nos gestes, que chaque fois que nos corps se retrouve à faire qu’un, dès que je me retrouve en elle, autant qu’il m’est possible de le faire. Ses jambes autours de ma taille, m'encerclent à elle, s’offrant à moi et à le moindre de mes désirs, la seule chose qui compte : Ne pas m’arrêter. C’est bien ce qu’elle vient de me dire, sans me laisser le temps de lui répondre. En un sens, ce n’est pas plus mal, n’étant plus vraiment maître de ma respiration, qui subit notre activité physique. Je me laisse aller à quitter ses seins pour venir glisser ses mains sous ses fesses, l’attirant contre moi, avant de la soulever de la table, de la porter contre moi, ayant réduit la fréquence des vas et vient en elle, sans pour autant les cessé, sentant sa poitrine contre mon torse bouger, sur ce rythme que je lui impose. « Hors ... » Prononçais-je entre deux baisers, entre deux gémissements, parce que je prend plaisir à jouer de son corps, mais je ne manque pas d’en prendre et la raideur de mon sexe en elle, ne fait que le montrer, ne fait que le lui montrer. « De question ... » Je ne suis pas venu jusqu’ici pour repartir sans l’avoir entendu crier son plaisir, crier sa jouissance, sans que l’on est atteint le point culminant d’un tel moment, que je n’ai étrangement aucune envie de rejoindre tout de suite, ayant l’envie de faire durer notre moment. Son dos est contre une porte, laquelle, je ne sais pas. Mon sexe reste lié au sien, pour mes lèvres que je laisse aller à son cou, que je viens mordre de plaisir, en même temps que mes soupires s’échappent près de son oreille, que l’une de mes mains s’occupe d’ouvrir la porte, de nous permettre d’entrer dans une chambre, avec Camila dans mes bras, dans l’impossibilité de rompre notre contact. Les repères ne sont pas les mêmes que d’habitude, je comprend rapidement que ce n’est pas dans sa chambre que je viens de nous mener. Encore mieux. Hors de question de revenir en arrière, d’en sortir, ici-même je veux prendre du plaisir, ici-même, je vais en donner à Camila, sur le lit où je suis en train de l’allonger. Mes mains sont sur ses jambes, mes doigts viennent les écarter, pour me permettre de reprendre du rythme, d’aller en elle, d’aller un peu plus loin. « Putain .. T’es bonne .. Finazzi ! » Je ne suis pas dans le contrôle de ce que je suis en train de lui dire, mes pensées sortent de la même façon que je suis en train de les penser. C’est exactement ce que je suis en train de ressentir de part nos actes, de mon sexe allant et venant en elle, encore, sans jamais s’arrêter, reprenant même de plus belle, encore plus excité de me savoir dans une chambre qui n’est pas la sienne en train en train de prendre Camila, dans la plus grande absence de douceur.
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Il y a quelque chose chez Emil qui me fait perdre complètement la tête. Ce n'est pas de l'amour, non. C'est comme si j'étais constamment attiré vers son corps lorsqu'il est près de moi et qu'il me permet aussi de tout oublier mes ennuis et mes problèmes. Comme c'est exactement ce que j'ai besoin de faire présentement, avoir son corps nu contre le mien ne fait que me plaire un peu plus. Je sais qu'entre lui et moi il n'y aurait jamais pu avoir plus. C'est peut-être pour cette raison que je suis un peu plus détachée. Ce n'est pas faute d'y avoir pensé pourtant, mais je sais que même si je ne lui en ai pas directement parlé, il n'était pas prêt pour une relation sérieuse et je ne sais pas s'il le sera un jour. Au fond de moi, je ne sais pas non plus si je vais pouvoir l'être à nouveau non plus. Je sais que j'aurais au moins voulu essayer, mais comme je ne lui ai jamais rien dit, cela ne compte pas vraiment. Maintenant, je ne ressens plus rien pour lui. Du moins, plus niveau possible sentiment. Tout ce que je veux et que j'aime c'est ses mains qui se baladent partout sur moi, ses baisers qu'il me donne sur le corps et surtout ses vas et viens qui sont de plus en plus bons. J'ai de plus en plus chaud, j'ai l'impression que mon corps au complet est en sueur et c'est certainement ce qui le pousse à accélérer ses gestes. Mes gémissements sont encore plus forts qu'avant. Je n'ai plus aucune gêne, je n'en ai jamais eu avec Emil d'ailleurs. Je suis bien consciente qu'il n'y a aucun de mes colocs dans l'appartement en ce moment, mais s'ils arrivent bientôt, ils vont avoir un beau spectacle sous les yeux. Mes dents qui mordillent sa peau, j'arrête à quelques reprises alors que mon corps se crispe à tous ces vas et viens en moi qui sont tellement intenses que je m'agrippe encore plus fort à la table qui ne cesse de bouger. Je plains presque mes voisins, mais en même temps, je m'en fiche aussi. Le nombre de fois qu'ils m'ont entendu gémir, je ne peux même plus le compter sur mes doigts. Il faut dire que ces derniers temps j'en ai aussi eu une grande dose et je suis bien loin de m'en plaindre. Qui n'aime pas le sexe de toute façon? Avouant à Emil que je lui ai menti un peu plus tôt, je peux voir ce sourire satisfait se dessiner sur mon visage, ce qui me fait rouler les yeux en l'air puisque je suis une personne très bornée dans la vie et qu'il réussit toujours à me faire céder en jouant avec moi, avec mon corps. Encore une fois il a réussi et il en ai fier, je le sais, je n'ai même pas besoin de lui faire la remarque. Mon souffle est beaucoup trop saccadé de toute façon. J'ai peine à respirer et l'embrasser à en perdre haleine n'aide pas non plus ma cause. Mes jambes autour de sa taille, il me soulève posant ses mains sur mes fesses pour m'emmener je ne sais où. Frustré un peu que ses vas et viens se font de plus en plus rare, j'enfonce mes doigts dans son dos pour me retenir à lui, mais aussi pour lui faire comprendre de continuer, de ne pas arrêter. Ses gémissements dans mon oreille alors qu'il tente du mieux qu'il peut de parler me font un bien fou. J'adore l'entendre me faire comprendre qu'il prend son pied. Me concentrant uniquement sur Emil, je le laisse m'emmener sur ce lit qui n'est clairement pas le mien et même si je réalise ne pas être dans ma chambre, je suis bien trop occupée à vouloir qu'il accélère une nouvelle fois ses mouvements que je l'attire simplement contre mon corps alors qu'il va un peu plus profond en moi. Je cris à son oreille. Un gémissement strident suivi de quelques soupirs de satisfaction, mais ce qui me fait le plus sourire c'est de l'entendre me dire qu'il prend son pied et que je suis bonne. Je coince mes lèvres entre mes dents alors que ses baisers dans mon cou continuent. Je ne dis rien. Il sait très bien ce que cette phrase provoque en moi. Mes cuisses se resserrent autour de son membre alors que mes mains se promènent un peu plus sur son torse puis dans son dos. Je ne me sens même pas coupable d'être dans la chambre d'un de mes colocataires. Tant pis, j'ai beaucoup trop envie d'Emil pour arrêter. Pas si près du but.
En partant de chez mes parents ce soir, j’ai eu le besoin de sortir, de me changer les idées, loin de moi l’envie de me laisser sombrer dans l’alcool le temps d’une soirée. Seulement, comment résister à l’envie de laisser ma frustration s’envoler par les efforts physiques de deux corps s’exprimant de la plus belle des façons qu’il soit. Entre une cuite, suivit d’une gueule de bois et l’envie de sonder le sexe d’une femme avec le mien, pour lui donner du plaisir, c’est la seconde que j’ai choisi. Je ne suis pas venu avec l’envie de discuter, pour être honnête, même si Camila ne va jamais le savoir, elle n’est pas mon premier choix. J’ai pensé à elle, c’est un fait, puisque je me retrouve en elle, que je suis en train de me laisser aller à des va-et-vient en elle, à un rythme bien plus soutenu que celui que j’ai eu, le temps de la portée de la table, à ce lit. En premier lieu, c’est à Daisy que j’ai pensé, cette infirmière, avec qui je me suis lancé dans une aventure, c’est elle que j’ai eu l’envie de rejoindre, mais l’heure tardive, la crainte de la déranger, qu’elle est déjà des projets en cours, c’est vers ma meilleure amie que je me suis tourné. C’est un concept étrange, qui peut choquer certaines personnes, je le conçois, mais pour moi, je n’ai aucun problème avec nos petits arrangements, à quoi bon se priver des petits plaisirs de la vie ? Camila est tout autant célibataire que je le suis, on ne fait de mal à personne, bien au contraire, on ne fait que se procurer du bien mutuellement, même si ce soir, ma venu chez elle n’a rien de celle d’un ami, elle n’a même rien de glorieuse. Je veux l’entendre gémir, je veux l’entendre crier, je veux sentir son corps réagir au traitement que je suis en train de lui offrir, je veux la sentir se laisser aller à un futur orgasme à venir. En soit, je veux flatter mon égo, mais pas seulement, bien qu’une part de moi est différente de nos habitudes, je me moque de tout, de tout le monde, je ne cherche pas ces habitudes que l’on peut avoir, que je peux avoir. Je suis mes envies, je suis mon corps qui me guide, qui me pousse à maintenir une cadence que je ne prend que très rarement, sans doute quasiment jamais. Je ne veux pas lui laisser de répit, je ne veux pas qu’elle est le temps de reprendre sa respiration, après un gémissement, je veux qu’un second me parvienne aux oreilles. Je sais que mes propos ne la laisse pas de marbre, je sais qu’une fois dans une situation purement sexuelle, Camila n’a rien à voir avec la femme que je connais, une veritable tigresse. Encore moins de raison de me priver ! Si ma pensée parvient aux oreilles de Victoria, je sais à l’avance que je me ferais tuer sur place, pour des propos qui vont à l’encontre de la féministe. Je ne peux mentir, ce soir, malgré tout le plaisir que je peux prendre, nos deux corps ne sont que des objets sexuelles, pour l’un, comme pour l’autre … Je crois. Mes mains sur le lit, j’en viens à me relever, à rompre le contact de nos corps, pourtant parfaitement reliés par mon sexe s’emboitant à merveille dans le sien. Une main vient trouver le contact de ses cuisses, la seconde est venue jusqu’à son ventre, avant de s’approcher de son intimité, de laisser mon pouce entrer dans la partie, jouer d’elle une fois de plus. Je ne cesse mes allers et venus, je ne me décide pas à me calmer, à me ralentir, laissant mon corps guidé uniquement par ses envies, qui ne cessent de grandir avec chaque gémissement ou cris du lieutenant. Je laisse mes doigts s’approcher de son sexe, venir jouer de ses faiblesses et de son corps, en venant la caresser, en venant la chercher. « Ca te plait ! » Prononçais-je avec une grande fierté dans ma voix. « Tu es trempée ... » Ce qui est bien loin de me déplaire, quand bien même, je le sais dès le moment où j’ai pu avoir un premier contact avec son sexe. « T’aimes ça … Que j’te prenne … Sans te ménager ... » Je lui connais, ce petit côté animal, que je repousse un peu ce soir, mais qui semble lui convenir, qui semble lui donner du plaisir et que je manque pas de mentionner, malgré mon souffle ayant du mal à suivre, principalement, dû à mon sexe continuant d’entrer en elle, de chercher au plus profond du sien, n’agissant qu’avec l’envie de voir son corps traversé par l’orgasme que mes gestes peuvent lui procurer.
It never fades away, it's staying, your kiss like broken glass on my skin. Baby it hit so hard, I'm holding on to my chest. Maybe you left your mark, reminding me to forget
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Je me fiche complètement de la raison qui a emmené Emil ici, ni même s'il vient me voir en dernier recours parce qu'il n'a pas réussi à avoir sa première proie. Tout ce que je sais, c'est qu'il est arrivé exactement au bon moment alors que je venais tout juste de balancer mon téléphone dans la pièce, beaucoup trop furieuse de ne pas obtenir exactement ce que je veux de la part de Connor et d'être obligé de lui dire de laisser tomber et de m'oublier. Ce qu'évidemment, je ne veux pas, mais ça, je ne peux pas non plus lui dire. Je sais que sa vie sentimentale est plutôt compliqué et honnêtement, à ce stade-ci je ne sais même pas ce que je veux avec lui, mais ces derniers messages textes n'étaient pas vraiment ce que je désirais lire. C'est pour cette raison qu'en voyant Emil en ouvrant ma porte, je l'ai laissé rester silencieux et plaquer ses lèvres sur les miennes parce que c'est exactement ce que j'avais envie aussi. Un besoin de sexe incroyable. Une envie qui grandit en moi depuis ma dernière nuit avec Connor sur le canapé de mon appartement. Une nuit que je ne suis pas prête d'oublier parce que c'était clairement le meilleur sexe que j'ai eu et il faut préciser que je suis bien loin d'être sage à ce niveau. Évidemment, je ne vais jamais dire cela à mes partenaires sexuels, encore moins à Emil. Je sais très bien que son égo en prendrait un coup et aussi parce que je ne me suis jamais plains non plus des nombreuses fois qu'Emil m'a fait atteindre l'orgasme. Il est doué aussi, seulement, avec Connor c'était différent et c'était tellement bon. J'essaie de chasser ses idées de ma tête pour me concentrer uniquement sur Emil, sur son membre qui s'insère en moi de plus en plus vite, sur la chaleur de mon corps et sur le lit sur lequel je suis présentement avec Emil. S'il appartient à Asher ou Amaliya, je l'ignore. Tout ce que je sais, c'est que j'ai beaucoup trop de plaisir présentement pour m'en soucier et qu'au pire, je laverais les draps avant le retour de mes colocataires. C'est presque plus excitant de savoir que nous ne sommes pas dans ma chambre. Je ne connais pas mes repères ici et Emil non plus, mais ce qui compte le plus ce sont mes nombreux gémissements que je lui cris à l'oreille. Il ne me laisse aucune pause ce qui ne facilite pas ma respiration qui est de plus en plus irrégulière. Et alors qu'il s'arrête un moment et pose ses mains sur mes cuisses, je sais exactement ce qu'il compte faire et je souris doucement contre ses lèvres avant de les embrasser avec fougue. Aucune tendresse, seulement mon côté animal qui fait surface, surtout lorsqu'il insère une nouvelle fois ses doigts en moi et que je ne peux faire autrement que d'arrêter ce baiser pour gémir contre ses lèvres, venant les coincer entre mes dents, un peu plus sauvagement. Je me cambre un peu plus pour lui laisser plus d'espace pour me satisfaire complètement alors que ses paroles me font encore plus d'effet qu'il était possible de le faire. Je sais qu'il est fier de me faire autant d'effet, mais pourtant, ce n'est pas la première fois qu'il réussit à me faire atteindre l'orgasme. « J'crois que j'ai même pas besoin de répondre à ça.. » Parce que c'est évident que j'aime ça. Mon corps au complet peut le lui témoigner. Je me mords la lèvre et le regarde droit dans les yeux avant de sentir d'autres vagues de plaisir m'envahir. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps, même que je risque d'atteindre l'orgasme sous peu s'il continue ses vas-et-viens en moi. « Fais-moi jouir Becker. » Que je dis dans son oreille en souriant. Je sais très bien ce que cette phrase va provoquer en lui et je ne demande que ça.
Avec nos petits arrangements dans notre amitié, j’ai beau connaitre Camila, avec elle, c’est un peu comme si à chaque fois j’en découvrir un peu plus. Loin de moi l’idée d’ignorer son côté un peu animal au lit, une veritable tigresse, ce qui est bien loin de me déplaire, mais à chaque fois elle me surprend à en demander un peu plus, à être excité, à prendre du plaisir à chaque pas franchis. Camila est le genre de fille avec qui il est possible de pouvoir essayer n’importe quelle expérience sexuelle, elle fait preuve d’un grand appétit sur le sujet et il lui suffit d’un rien pour que son corps réagisse, comme il suffit d’un rien pour qu’elle soit en manque, pour que son corps lui réclame ces moments. C’est un grand mystère, mais qui est bien loin de me déplaire, parce que j’en profite, parce que je prend du plaisir avec son corps, au même titre que je lui en donne. Ce soir, si je suis chez elle, c’est uniquement pour prendre mon pied, pour oublier le reste et m’envoyer en l’air, je suis littéralement venu jusque chez elle pour baiser, mais c’est une optique qui ne semble pas la déranger. Je ne prend pas de gant, je suis pas un tendre, je laisse mon sexe aller et venir en elle, à une cadence que je ne suis pas sûr d’avoir déjà eu l’occasion d’avoir avec le lieutenant. Je sens que je ne suis pas loin de déposer les armes, mais je me refuse d’être venue jusqu’ici, d’utiliser Camila, en quelque sorte, pour me détendre, pour me soulager, sans que je ne puisse lui donner le moindre orgasme, je veux la voir jouir, je veux l’entendre crier son plaisir, je veux ce soir qu’elle me montre cette tigresse qu’elle sait être. Il me suffit de sa demande, de ses mots pour comprendre qu’elle n’est pas loin du plaisir ultime que tout le monde recherche dans un tel moment. C’est le moment que je me décide de rompre le contact entre nos lèvres, je suis venu me redresser sur le lit, accroupi sur des draps qui appartiennent à je ne sais qui, mes mains à nouveau sur ses cuisses, que je viens écarter, passant ses jambes autour de ma taille, je l’approche au plus près de moi. Elle sait me parler, elle sait comment me faire réagir et une fois encore, ça ne manque pas, je ne cesse mes allers et venus en elle, je ne baisse pas encore les armes, je me laisser aller en elle, avec une telle facilité, son corps réagit, son sexe est en train de s’exprimer, de crier son plaisir montant, jusqu’à ce que je le sente entouré le mien, dans de nombreuses contractions. Je suis en train de me mordre la lèvre, luttant avec mon propre orgasme, je ne souhaite qu’une chose, lui donner du plaisir, la laisser apprécier son plaisir. C’est dans un duel difficile que je me retrouve, avec mes vas-et-viens que je ne cesse pas, que je continue, le temps de cet orgasme qui la terrasse, en même temps que je lutte, avec le mien, pour ne pas l’atteindre à chaque fois que son sexe entoure le mien et le resserre. « Putain Finazzi ... » C’est un râle que je ne peux retenir, qui ne sors à aucun moment sous forme de murmure, il vient du fond du coeur, alors que je me sais être dans mes derniers coups de reins, que ce sont les dernières fois pour ce soir, que j’entre et sors de Camila. Un orgasme s’estompant pour elle, je viens me retirer de mon amie, ne changeant de position, retirant simplement le préservatif entourant mon sexe, prêt à en découdre à son tour. Ma main dessus, mes doigts l’entourant, il ne me suffit que de deux aller et venu dessus, pour qu’à mon tour je ne sois pris par cet orgasme, sortant de mes habitudes, ne me vidant pas en remplissant cette capote que je porte toujours, mais en laissant mon éjaculation terminer son chemin sur son bas ventre, sur son ventre, le tout accompagné de longs gémissements que je ne suis pas capable de contrôler, pas après ce moment que l’on vient, après avoir prit Camila, comme jamais je ne me l’étais autorisé avant.
Suite aux textos de Connor que j'ai reçu ce soir, la présence d'Emil à l'appartement est plus que nécessaire. C'est comme s'il avait lu dans mes pensées, qu'il savait exactement que la seule chose dont j'avais besoin en ce moment c'était de coucher avec lui et de perdre totalement le contrôle de mon corps. C'est exactement ce qu'il est en train de faire. Il cherche à me frustrer, à me faire perdre le pied pour que je lui dise exactement ce que je veux, que je lui demande de me prendre et surtout qu'il le fasse bien. Je connais son petit jeu, il me le fait à chaque fois et à chaque fois, ça m'énerve autant que cela m'excite. Parce qu'il est doué Emil et il le sait très bien qu'il a la capacité de me procurer un plaisir immense en si peu de gestes. C'est exactement ce qu'il arrive à faire avec sa langue et sa bouche qui s'amuse à découvrir une nouvelle fois mon intimité qu'il connait déjà si bien et pourtant je ne m'en lasse jamais. Mon bassin bouge sans vraiment que j'en ai envie. Au contraire, j'aimerais qu'il reste bien en place pour le laisser continuer. J'ai envie de ce petit plaisir qu'il me donne, mais je le veux en moi et je sens qu'il en a tout autant envie que moi. Seulement, comme j'ai préféré le provoquer plutôt que de lui dire tout de suite ce que je voulais, il m'en fait baver jusqu'à ce que je déclare forfait et je déteste le faire même si mon corps n'est jamais du même avis que moi. Si ce n'était pas de lui qui me cri presque de lui demander ce qu'il veut, je lui résisterais encore pour le simple fait que je déteste lorsqu'il gagne et qu'il obtient exactement ce qu'il veut de moi. S'il est ici c'est non seulement pour se faire plaisir, mais aussi pour m'en procurer à moi. Sa main derrière mon corps, il me retient pour que je reste bien en place. Je sais qu'il sent que je vais céder bientôt. Il a ce petit sourire de satisfaction sur ses lèvres et ça m'énerve. Il a raison, puisque juste après avoir agrippé ses cheveux pour retenir quelques gémissements, je lui demande finalement ce qu'il souhaite depuis tout à l'heure. Je n'en peux plus, je le veux là, tout de suite, maintenant. Je n'ai pas une seconde à perdre puisque cette envie est bien présente dans tout mon corps. Il fini par céder lui aussi, par se relever doucement et prendre ce préservatif qu'il avait sur lui. Toujours prêt ce Emil, et je ne suis pas contre cela du tout puisqu'aux nombres de fois où nous avons abusés des endroits publics pour satisfaire nos besoins sexuels, la protection a toujours été nécessaire et elle était toujours présente au rendez-vous grâce à lui qui ne sort probablement jamais de chez lui sans préservatif. Une fois fait, je regarde son membre un instant, me mordant la lèvre avant de reporter mon attention sur lui, fronçant les sourcils. 
nightgaunt
