Invité a posté ce message Sam 28 Juil 2018 - 17:55#
Don't let them
take your freedom
« Allez, je file. » « Mais Cassie, il est que 3h du matin » La styliste sourit à son amie. « Il est déjà 3h du matin. » Elle accentue le 3h, avec des guillemets mimés. Il était effectivement déjà 3h du matin, et elle devait être à son boulot dès 8h pour réception de colis. Le temps qu’elle rentre, la nuit serait hélas très courte ce soir. Il était donc temps de rentrer retrouver Morphée. Une bise à chaque fille, et là voilà s’infiltrant dans la foule pour sortir de la bâtisse. Elle a l’habitude de ce club, parce qu’il est chic mais pas si cher. Et puis leur rooftop est assez convoité l’été, pour passer une bonne soirée. Habituée, donc, elle connait certains barmans et barmaids, certains vigiles qu’elle salut de temps en temps. Et comme à chaque fois, lorsqu’elle sort enfin la bâtisse, elle ne peut que croiser le regard de ce bel homme. Un certain Elias, selon d’autres employés. Elle n’a jamais vraiment osé lui parler, ne voulant pas le déranger mais si il y’a bien une chose qui la captive à chaque fois c’est lui et son regard bleuté. Regard rapidement échangé, elle lui sourit timidement : « Bonsoir » lui dit-elle avant de s’éclipser parmi les fumeurs. Elle traverse la rue, et tente de s’éloigner légèrement de la foule pour récupérer un taxi rapidement. Mais une main sur son épaule l’interpelle rapidement : « Et toi, mademoiselle… » Dit-il la voix embrumée par l’alcool. « Tu veux pas me raccompagner chez moi ? » Les soirs à New york, c’est parfois typique de ce genre de déchet qui boivent trop et qui emmerdent leur monde. Alors, instinctivement, Cassie se recule pour dégager son épaule. « Non » dit-elle d’une manière sèche et autoritaire pour lui faire comprendre. Elle est à la recherche d’un taxi, mais étrangement aucun ne passe à ce moment précis. « Allez, fait pas ta timide. J’suis persuadé que je peux te procurer du plaisir. » Elle a envie de vomir. Avec les quelques coup d’alcool qu’elle a dans le nez et la fatigue, elle se sent pas d’attaque pour le repousser lorsqu’il finit par la prendre par la taille, à la vue de dizaine de témoins.
Invité a posté ce message Dim 29 Juil 2018 - 15:27#
don't let them take your freedom☾@cassie rhodes and elias
Minuit, l'heure du crime. Et encore cette expression était plutôt louable, tourné de la bonne manière et face à la situation qui convenait le plus. Ici, clairement c'était le sens proche. Le crime qu'était les alcooliques trop abruties par les effluves des drogues diverses qui traînaient de mains en mains, mais aussi de l'abus certain de la consommation en alcool donnait lieu à de véritables crimes. Violence, abus physiques et sexuelles mais aussi morale, tout était prétexte pour faire n'importe quoi. Ces lieux en étaient la preuve vivante. Minuit et déjà un amas de jeunes gens tous enivrés par l'envie de danser mais aussi de se vider l'esprit était déjà cloué devant la porte de l'Output. L'une des boites les plus spacieuses mais aussi les plus quotés. C'est vrai que le bellâtre avait apprécié, pendant ses premières années de venir ici pour y faire la fête avec ses compagnons de facultés mais maintenant...Tout ceci lui semblait bien dérisoire. Il n'avait guère goût à faire l'abruti dans une foule brûlante et galvanisé par la frénésie musicale des lieux. Plus rien n'avait de sens dans ce genre d'endroit sauf une chose : le besoin de protéger les plus faibles, de ne plus avoir à vivre pour quiconque, ce qu'il avait vécu lui dans ce genre d'endroit. Il avait réussi à tirer un trait de tout ceci, longue avaient étés les journées dans sa cellule à se refaire la soirée dans sa tête, à trouver des failles, à tourner le pourquoi du comment. De toute manière, le pauvre gars aurait pas pu échappé à son destin. Il avait finit par l'accepté sans pour autant accepté sa condamnation. Si injuste, si mesquine. Si bien organisé par la richesse de ces connards aux poches pleines... Honte à eux.
Encore une soirée à devoir recaler les alcoolisés violents, à devoir ordonner de fouiller les sacs, les poches. C'était presque lassant à la longue mais il prenait grand soin à faire son job convenablement. Une seconde chance...il n'avait pas le droit à l'erreur, Terrance lui avait fait confiance et lui faisait confiance. Il prenait donc son rôle à cœur, faisant au mieux pour offrir le sentiment de sécurité à ceux qui en avaient besoin et gardait toujours un œil vigilent aux demoiselles qui sortaient seules. Sa plus grande angoisse. Il s'en voudrait éternellement s'il arrivait quelque chose à une femme devant son nez, sans qu'il ai pu faire quoique ce soit. Quand la belle Cassie, qu'il ne connaissait bien évidemment pas pour le moment, même s'il avait déjà remarqué son magnifique faciès dans la foule plusieurs fois ces temps-ci, lui souhaité une bonne soirée.Il lui offre un bref sourire, en lui souhaitant de même, mais sans pour autant retirer son regard vairons de sa silhouette qui s'engouffrait seule dans la nuit. Et dieu sais qu'il à bien fait. Clope au bec, il observe du coin de l'oeil la scène, ne pouvant intervenir que s'il avait bien "agression" ou un soucis quelconque. Il ne voulait pas se mettre dans l'embarras ou causer des problèmes. Il en avait déjà suffisamment. Son index se glisse sur son oreillette, demandant donc intervention auprès d'un collègue pour être sur. Il accepta car évidemment, il semblait la connaître, cette fille. Au pire des cas, il serait quand même intervenue, Elias. Il aurait pas laissé une fille se faire violenter sur le trottoir, malgré que ses actions chevaleresque lui avait coûté trois ans de vie... « Hého, qu'est-ce qui s'passe là. » Intervint le blond, tout en posant sa main ferme sur l'épaule du type pour l'écarter de la belle brune. « Rien rien...Je faisais juste connaissance avec mademoiselle. » Renchérit bêtement l'alcoolisé, sentant que la situation risquait de tourner en son désavantage s'il faisait l'idiot. Surtout face à presque 85 kg de muscle, et un videur de boite. Réputation toute faite sur ces types aux gros bras. « C'est ça. Va donc prendre un taxi à l'angle de la rue et fait pas suer mademoiselle, tu risquerais de le regretté. Dégage maintenant. » Lance-t-il en le poussant droit vers la ruelle adjacente, montrant bien qui était le patron de la situation. Le gars tenta de rétorqué mais la ferma rapidement en voyant qu'un collègue commençait à s'approcher. Il était plus judicieux oui de partir. Au risque d'avoir la face en morceau pour emmerder une gonzesse parmi tant d'autres. « Tout va bien ? » Demande finalement Elias en posant son regard sur la belle, qui semblait un peu mal à l'aise. Il reste toutefois à ses côtés, attendant une réponse. Il ne comptait pas la quitter tant qu'il ne l'aurait pas vue grimper dans un taxi, sans encombre. « Essayé d'appeler un Uber ou quelque chose, les taxis doivent être bondés car pas mal sont déjà passés, bien chargé. Si vous voulez, je peux rester avec vous ou alors rentrer au moins dans le sas histoire de ne pas avoir d'ennui. Vous êtes pas venue seule, si ? »
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Invité a posté ce message Dim 29 Juil 2018 - 20:59#
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21e siècle et la position de la femme n’a toujours pas changé. Il suffit d’un connard bourré pour croire que l’homme est par définition encore supérieur à la femme. Hélas, si tout le monde pense qu’elles sont de nouveau enfin des égales aux hommes, c’est entièrement faux, parce qu’encore une fois, aucunement l’individu ne prend en compte l’avis de cette femme. Impuissante, qui tente de repousser les mains sauvages de cet inconnu sur son corps frêle. Cette vision, c’est la vision de beaucoup de femmes de nos jours et sans doute dégueulasse à dire mais, pour nombreuses d’elles, elles ne sont perçues que comme un valeureux morceau de viande. A baiser. Mais qu’en est-il d’elles ? Qu’en est-il de leur désir ? Encore bafoués, par ces déductions hâtives. « Mais lâche-moi, sale porc. » ose-t-elle dire en rejetant ses avances. Le pire dans tout ça, c’est la foule qui autour n’en a sans doute rien à faire. Pourquoi diable en auraient-ils à faire quelque chose ? Parce qu’une femme qui se fait emmerder par des salauds, c’est classique. Sans doute parce qu’ils refusent de se mêler aux problèmes. « Hého, qu’est ce qui s’passe là. » Une voix lourde et autoritaire s’affiche alors, repousse le type par l’épaule. C’est instinctive, elle se repousse d’un pas en arrière, choquée par ce qu’elle venait de subir. Reprenant son souffle, le cœur battant la chamade, elle ne capture que de nouveau ses yeux. Ils échangent des mots avec le type, mais le bourdonnement sourds dans ses oreilles l’assomment presque. Ce n’est que lorsqu’il s’avance vers elle, le regard doux qu’elle reprend possession de son corps. « Tout va bien ? » « Je...Oui, je crois. » Main dans les cheveux pour se remettre de ses émotions, elle déglutine sauvagement. « Essayez d’appeler un Uber ou quelque chose, les taxis doivent être bondés car pas mal sont déjà passés, bien chargé. » Elle l’aurait deviné d’elle-même s’il lui en avait laissé le temps, ce sale type. « Si vous voulez, je peux rester avec vous, ou alors rester au moins dans le sas histoire de ne pas avoir d’ennui. Vous n’êtes pas venue seule, si ? » D’ordinaire, Cassie n’est pas quelqu’un qui se laisse marcher sur les pieds. Ce type, elle l’aurait sans doute réussi à le repousser d’elle-même, mais avec l’alcool et la fatigue, elle n’en avait pas eu la force. Même avec ces tentatives. Son regard reste captivé par ce bel homme en pensant qu’elle se sent simplement vulnérable et nulle. Elle donnait l’image de filles qui ont besoin d’un prince charmant, et bien qu’il soit charmant, elle n’avait pas envie d’un Prince. « Non, mes amies sont à l’intérieur » finit-elle par réussir à dire. « J’avais simplement hâte de rentrer…mais je vais appeler un Uber, vous avez raison. » Elle regarde son sac, sa main fuyant dedans et son téléphone en main, elle soupire avant de relever la tête pour le dévisager une nouvelle fois. « Plus de batterie… » C’est sa vaine ce soir. Elle avait oublié de le recharger en partant du boulot, et voilà que maintenant ça ne l’aidait absolument pas. Et puis, elle allait enchainer en se plaignant de sa fin de soirée pourrie, avant de réaliser qu’elle manquait face à lui. « Je suis désolée…j’en oublié tout. Merci… Merci pour avoir…enfin traverser. » De plats remerciements pour le geste qu’il venait de faire. Mais peut-être était-ce simplement son ‘devoir’ ? Protéger la clientèle, même devant l’établissement. Alors au fond, il n’avait fait que son boulot, non ?
Invité a posté ce message Lun 30 Juil 2018 - 14:04#
don't let them take your freedom☾@cassie rhodes and elias
Le vingt-et-unième siècle. Le siècle ou les femmes ont dû apprendre à avoir peur dans les rues, à devoir constamment se méfier du monde, des hommes. Le siècle ou le féminisme ne cesse de grimper, le siècle ou l'égalité homme/femme est encore bien loin d'être mis en place, ou le harcèlement de rue est plus présent que jamais. Oui, il était content d'être un mec pour ne pas vivre cela aussi souvent qu'une femme, même si les hommes aussi n'étaient pas à l'abris d'une agression au coin d'une ruelles, se faire chiper le porte-feuille et le téléphone. Se faire casser la gueule pour trois fois rien. De toute manière, l'injustice était partout, dans beaucoup de situations qui semblaient anodines de primes abords. Et tellement peu de monde pour réagir et faire évoluer la situation...C'est pour cela que Elias, c'était promis de ne plus laisser faire quelque chose du type, devant ses yeux, sans agir. Mais en évitant tout conflits et toutes situations à risque pour ne pas finir encore une fois en taule. Même si son séjour était quelque peu héroïque...La prison était terriblement dure, vivre là-bas des années c'était pas évident.La réputation que ces dernières traînaient était des plus réalistes et pour rien au monde il aimerait y retourner. « Vous voulez que j'aille les chercher pour qu'ils restent avec vous ou vous préférez que moi ou un collègue on reste prêt de vous ? » Il préférait être sur, car il ne voulait pas paraître trop grossier en lui proposant sa compagnie, surtout que cela pourrait la mettre encore plus mal à l'aise qu'inversement. Il regarde la demoiselle un peu plus en détail quand elle se met à fouiller son sac, pour extraire nerveusement, son téléphone. Elle était très belle, il doit l'avouer. C'est vrai qu'il parvenait à comprendre les hommes qui l'accostaient mais ce n'était pas une raison pour autant. Il y avait d'autres manières de faire et il savait que beaucoup de mecs ne seraient pas célibataires s'ils faisaient les choses correctement.
Il ne pu s'empêcher de sourire légèrement face au comique de la situation, même si au fond, c'était pas très drôle. Il fouille alors dans sa poche pour en extraire son téléphone personnel, avant de lui tendre : « J'espère que vous êtes pas une arnaqueuse et que vous allez pas partir avec, mais navré j'ai pas les derniers Iphone donc ça vaut pas le coup de partir avec mon téléphone » Petite blague histoire de détendre l'atmosphère quoi ! Mais bon, il était pas convaincu par la véracité de son propos. Il se frotte légèrement l'arrière du crâne avant de secouer légèrement une main devant lui tout en ajoutant : « C'est normal. Je déteste ce genre de comportement, alors quand ça se passe en face de moi, je peux pas laisser ça passer. En plus, j'ai pas envie que vous n'ayez plus envie de venir à l'Output, alors autant que vous gardiez une bonne soirée en tête et pas une agression stupide en mémoire. » Lui faisait-il un compliment masqué ? En lui disant qu'il serait ravi de la revoir dans ces lieux ? Il y a de forte chance, oui. « Aller, venez. On vas attendre votre Uber ici, il va bien vous prendre devant le club. Restez pas ici toute seule, c'est mieux. » Il prend donc les devant en lui sommant de le suivre, c'était mieux. Puis c'était aussi histoire de pas être loin de son job, car malgré tout, il était encore e service et devait être devant le club, pas à la rue adjacente. « C'est la première fois que vous venez ? »Question stupide oui, il était quasi sur de l'avoir déjà vue, mais bon..C'était histoire d'avoir un sujet de conversation.
« Vous voulez que j’aille les chercher pour qu’ils restent avec vous ou vous préférez que moi ou un collègue on reste prêt de vous ? » Elle réalise qu’elle a simplement oublié de répondre à sa précédente question. En même temps, les émotions sont là, et elle a du mal à revenir sur ses deux pieds. « Je ne voudrai pas vous dérangez… » Murmure-t-elle finalement en abandonnant l’idée qu’elle allait pouvoir commander un taxi via son téléphone. « Mais si vous pouviez juste quelques instants… » Elle n’allait pas finir sa phrase, elle s’en sentait déjà minable de devoir demander à un inconnu d’être juste là parce qu’elle se sent rassurer. Et si le type était encore là ? Un peu plus loin, en l’attendant simplement qu’elle se mette en marche en quête d’un taxi à quelques blocs d’ici ? Non. Clairement, elle n’avait pas envie de rester seule. Il finir par sourire, et en plus de ses yeux attractifs, elle eut le souffle coupée devant ce sourire à tomber. Des hommes, elle en avait eu, et elle en voyait tous les jours. Dans la mode, les mannequins ultra canon tombaient presque du ciel – de quoi se rincer l’œil à longueur de la journée. Mais, lui…il n’avait rien d’un mannequin, ni d’un type qui a conscience de son charme. Il était simplement vrai, et c’est ce qui, sans doute, le rendait encore plus irrésistible. « J’espère que vous n’êtes pas une arnaqueuse et que vous n’allez pas partir avec, mais navré je n’ai pas les derniers IPhone donc ça vaut pas le coup de partir avec mon téléphone. » Elle se mit à rire, légèrement, en prenant son téléphone en main. « Vous inquiétez pas, j’irai pas très loin avec ces talons si je me mettais à courir » Talons qu’elle avait changé pile avant de rentrer au Output. Elle avait ses petites baskets dans son gros sac, mais ça, elle n’en dit rien. Elle finit par commander son Uber, et lui rendit son téléphone. « J’espère juste que vous n’êtes pas un sociopathe, parce que vous savez maintenant où j’habite. » Un sourire taquin se dessina sur ses lèvres, avant qu’il finisse par lui confier qu’il détestait ce genre de situation. « C’est normal. Je déteste ce genre de comportement, alors quand ça se passe en face de moi, je peux pas laisser ça passer. En plus, j’ai pas envie que vous n’ayez plus envie de venir au Output, alors autant que vous gardiez une bonne soirée en tête et pas une agression stupide en mémoire. » Elle ne peut s’empêcher de sourire à nouveau devant sa franchise. Au fond, il existait encore des types biens, il suffisait encore de les trouver. « Hélas, c’est un peu partout que ça nous arrive » Elle hausse les épaules. Ça aurait très bien pu être devant un autre club, ou en sortant de chez des amies. C’était une habitude constante à avoir, dehors, presque avec les yeux qui continue de guetter le premier qui venaient les aborder. « Allez, venez. On va attendre votre Uber ici, il va bien vous prendre devant le club. Restez pas ici toute seule, c’est mieux. » Il lui emboite le pas, et elle le suit presque instinctivement. Il se range près de la grande porte, elle un petit peu plus loin. Elle n’avait pas envie de lui apporter de soucis, ni de l’embêter dans son travail, alors elle se fit assez petite, en attendant son uber. « C’est la première fois que vous venez ? » « Non, je viens assez souvent, à vrai dire. Vous, vous êtes nouveau, enfin ça ne fait pas longtemps que vous êtes là. » Plutôt une affirmation qu’une question. Elle l’aurait déjà croisé avant si il avait été là. Elle finit par tendre la main, pour se présenter. « Moi, c’est Cassie. » Au moins, elle aurait sans doute un prénom à mettre sur ce joli sourire.
don't let them take your freedom☾@cassie rhodes and elias
Il était déjà tard, il savait que les pires moments de la soirée était dans ces eaux-ci. Il était plutôt content d'avoir pu aider quelqu'un ce soir, mais savais que cela ne serait pas toujours le cas. Il avait déjà sorti des personnes dans de sales embrouilles souvent des affaires de drague, de drogue aussi ou sous influence d'alcool. Le basique en somme. Ou quelques paroles racistes aussi, cela arrivait. A dire vrai, il ne comprenait pas les gens qui partaient dans de tel délires, qui montaient dans les tours alors qu'ici, c'était un endroit de fête et pas de décadence...Mais ça, cela avait changé au fil des décennies. Ah que les parents et grands-parents vendaient à merveille leur époque ou les bals prenaient la place aux boites, ou aller d'un pont A à B se faisait sans embûche, ou faire du stop était sans grand danger...Fini. Les gens ne cessaient de devenir plus mauvais, plus aigris au fil des années et cela devenait vraiment triste. « Y'a pas de soucis, cela me gêne pas. » Avoue le blond en lui offrant un petit sourire en coin, tout en allant direction de l'entrée de la boite, en compagnie de sa cliente. Il aurait quand même préféré que cela soit à la fin de son service, cela aurait été plus simple pour s'occuper uniquement d'elle sans avoir à faire encore la garde devant. Mais bon, à cette heure-ci, il n'avait pas à faire les fouilles pour entrer, car c'était fini pour les entrées. Il était plutôt content que cela termine, il était un peu fatigué de sa soirée. Une seule chose le bottait : son lit. Et encore, il avait un petit moment avant de rentrer, étant pas vraiment du coin. Il ne put cependant s'empêcher de rire, face à ses paroles : « Pas faux, je n'y aurais même pas pensé, merci de m'avoir donné une idée. » Lance Elias en souriant finement à la demoiselle, assez amusé. En effet, elle aurait pas pu aller bien vite avec ce qu'elle avait aux pieds. Il avait même une certaine compassion pour ses pauvres pieds... « Au moins si la prochaine fois, si vous êtes dans l'incapacité de vous souvenir où vous habitez, je pourrais vous faire ramener sans encombre, faut voir l'utilité. » Ajoute-t-il en riant alors, avant donc de remettre son oreillette en place tout en faisant rentrer Cassie dans le hall. Il s'approche d'un collègue pour lui expliquer la situation, avant donc de s'avancer vers la brune et lancer : « Je vais rester avec vous, mon collègue va appeler quelqu'un d'autre le temps que vous soyez dans le taxi en sécurité. Cela vous vas ? » Il pouvait pas mieux lui proposer, il aurait pu lui proposer de la raccompagner s'il ne bossait pas mais.. c'était pas le cas aujourd'hui. « En effet, je suis là depuis trois semaines environ, vous avez bonne mémoire visuel ou alors je vous ai tapé dans l'oeil peut-être ? » Il n'a pas pu s'en empêcher, faut l'avouer. Elle était tellement facile à faire qu'il avait été obligé. Il se retiens de ne pas pouffer et reprend son sérieux, pour saisir la douce main de la brune, avant de légèrement la secouer : « Moi, c'est Elias. C'est un jolie prénom, Cassie. Vous êtes de New York ou c'est pour des vacances ces passages réguliers ici ?» Autant avoir quelques petites informations aussi, tant qu'à faire !
« Pas faux, je n’y aurais même pas pensé, merci de m’avoir donné une idée. » Son sourire s’agrandit sur le visage de l’Assistante, sans s’empêcher de rouler des yeux. Elle était douée pour mettre les choses dans le plat, mais surtout taquiner, n’importe qui. Visiblement, lui profitait de la situation. Mais au fond, même si elle se tapait sur les doigts, elle se dit qu’une petite visite de sa part à l’appartement serait la bienvenue. Quoi que, non. Y’a Wyatt. « Au moins, si la prochaine fois, vous êtes dans l’incapacité de vous souvenir où vous habitez, je pourrais vous faire ramener sans encombre, faut voir l’utilité. » « J’espère avoir au moins de la décence pour éviter de finir aussi bourrée. » dit-elle en riant avec lui. Dans le hall, elle se place dans un coin, alors qu’il s’éloigne un peu, parle à un collègue, et revient vers elle. « Je vais rester avec vous, mon collègue va appeler quelqu’un d’autre le temps que vous soyez dans le taxi en sécurité. Cela vous va ? » « Non, je veux pas vous embêter… » Dit-elle alors que ses joues s’empourprent. Elle n’avait pas envie que cela lui vaille des problèmes dans son boulot. « Je suis déjà bien en sécurité dans le hall » Elle n’avait pas besoin d’un accompagnateur ; cela dit, elle avait dit ça simplement par politesse. Mais l’idée de passer un peu plus de temps avec lui, lui plaisait déjà assez. « En effet, je suis là depuis trois semaines environ, vous avez bonne mémoire visuelle ou alors je vous ai tapé dans l’œil peut-être ? » Il est cash. Elle aime ça. Mais pourtant, elle rougie encore un peu plus, en haussant les épaules. « Je fais juste attention à ce qui m’entoure. » Et à ce joli sourire, mais ça, elle se garde bien de le garder pour elle. Alors, elle se présente parce que s’ils viennent à rester quelques minutes à discuter, autant savoir son prénom. « Moi, c’est Elias. C’est un joli prénom, Cassie. » « Enchanté, Elias. Et à vrai dire…c’est Cassandra, mais je préfère Cassie. » Dit-elle machinalement. Peu de personne le savent vraiment maintenant. Elle se présente toujours sous les traits de Cassie, et non de Cassandra. Elle ne sait pas pourquoi, là, face à lui, elle se sent obligé de lui révéler cette information inutile. « Vous êtes de New York ou c’est pour des vacances ces passages réguliers ici ? » « Une pure New yorkaise » Elle relève la tête par fierté, et par rétorquer : « Vous par contre, ce n’est pas le cas, vu votre accent. » Elle ne saurait dire d’où il vient, mais elle a vite finit par apprendre la différence entre les natifs et les étrangers. Si elle fixait alors Elias depuis le début, elle finit par regarder autour d’elle, légèrement, se sentant presque obligé de détourner le regard. D’ordinaire, elle ne se sent pas mal à l’aise face à un homme Cassie. Autrefois peut-être, parce que Wyatt lui avait enlevé pendant des années l’apprentissage du lycée indispensable. Mais aujourd’hui, elle était bien plus coriace et sûre d’elle. Mais étrangement face à lui, c’était différent. Différent, dans un bon sens. « Je peux vous poser une question ? » Regard capté de nouveau, lèvre doucement pincée, Cassie finit par lui demander timidement : « Pourquoi videur ? » Non pas qu’elle n’avait aucun respect envers ces hommes, mais elle avait toujours supposé qu’ils faisaient ce métier par défaut, parce qu’ils n’avaient jamais pu trouver mieux, ou faire mieux. Mais peut-être qu’elle se trompait lourdement.
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Il était cash oui, il avait toujours été ainsi. Mais il faut avouer, que la brune le perturbait un peu, situation apparemment d'une grande réciprocité. Comme quoi...Des soirées qui se finissaient de la sorte, c'était plutôt agréable. Il avait l'habitude pourtant des nénettes un peu éméchées qui tentaient de le draguer ou obtenir son numéro, mais c'était assez différent dans cette situation. La belle Cassie ne semblait pas chercher quoique ce soit, si ce n'est que rentrer en toute sûreté a son chez elle. « Mais non, vous me dérangez pas. Mais ce qui me dérange, c'est un peu ce vouvoiement. On doit avoir le même âge et si on se revoit, j'aimerais bien qu'on évite de se vouvoyer, qu'en penses-tu ? » Oui, il vouvoyait les clients en général mais voilà, il se disait bien qu'elle, il la reverrait.Il avait ce pressentiment qui lui collait à la peau. Peut-être qu'il avait tort mais dans le fond, il espérait que non. Il ne put s'empêcher de rire quand elle lança qu'elle ferrait tout pour ne pas finir dans cet état. Des fois...C'était plus vite arrivé qu'on ne le pensait. Il en avait déjà fait les frais même s'il était pourtant habitué à la boisson. Oui, suffisait d'un mélange de trop pour être dans un sale état et il en avait carrément conscience : les gens en soirées ne faisaient pas trop attention. Ou suffisait aussi d'une personne mal-intentionné pour mettre quelque chose de guère bien dans le fond d'un verre et fini. « C'est une bonne façon de faire, en effet. Et bien enchanté Cassie. Je garde en tête le surnom alors. » Ajoute l'Irlandais en souriant finement, reprenant un peu son sérieux, histoire de pas non plus trop en montrer. Il glisse une main dans sa chevelure, tout en regardant le flot de population rentrer plus ou moins rapidement chez eux. Il jette également un œil à son téléphone pour voir ou en était également le Uber de la demoiselle, espérant quand même qu'il ne tarde pas trop pour elle, même s'il espérait au fond de lui-même, qu'il prenne encore un peu son temps, histoire de converser avec Cassie. « Décidément, mon accent me trahis toujours, malgré cinq ans passé ici. En effet, je suis Irlandais. J'étais venu ici pour les études, à la base.. » Il se stoppe finalement à la fin de ses mots, préférant ne pas en dire davantage. Oui, il n'allait pas balancer a une meuf qui lui plaisait un peu, qu'il avait fini en taule après quelques années d'études à cause d'une soirée comme celle-ci. Pas sur qu'elle serait resté auprès de lui s'il lui balançait ça comme ça. Il pose à nouveau ses yeux vairons sur le visage ravissant de la brune, collant son dos contre le mur, tout en observant son comportement. Il compris vite ses petits gestes qui ne trompaient pas. Elle était intimidé en sa présence, cela se sentait. Il était plutôt fier de cela, ravi de voir qu'on le trouvait encore séduisant. Il se tendit cependant un peu face à sa question, mais essaie de garder la tête froide, venant croiser ses bras avant de répondre : « On va dire que j'ai l'âme d'un chevalier servant, que j'aime plutôt protéger les filles en détresses dans ce genre de lieu pas franchement des plus courtois. » Clair et sans doute suffisant, c'est ce qu'il pensait. Cassie devait pensé que la réponse était parfaite même si dans le fond, c'était plus profond que cela. Il essaie de ne pas montrer sa nervosité face à la situation, car parler de tout ceci...le mettait un peu mal. Mais elle ne devait pas savoir, pas comme ça. De toute façon, il se disait qu'ici, tout ce savait. Que si les clients voulaient savoir son nom, son passé, ils pourraient. Toute la boite savait son passif du moins, l'élément qui leur importait le plus sur sa vie. « Assez parler de moi, et toi donc, tu bosses dans quoi ? Laisse moi deviner. Mode ou quelque chose dans la communication, non ? » Il tente le bougre, tant qu'à faire ! Il faut dire qu'elle avait la facilité pour parler et qu'elle avait un style très sympa. Preuve qu'il observait pas mal, lui aussi. Il finit cependant par être coupé par un appel, il se doutait bien que c'était le Uber. Il tend alors son téléphone à la brune : « Je pense que c'est le Uber, je te laisse répondre. Il doit être arrivé. » Il était un peu déçu, quand même. Il avait pas parler avec une fille comme ça depuis...bah depuis sa mise en détention. Il aimerait clairement continuer mais bon...il devait bosser et n'osait pas réellement lui donner son numéro. Il passerait pour un videur en carton, s'il faisait une telle chose. Mais l'espoir de la recroiser ici, pourrait être envisageable.
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Invité a posté ce message Jeu 16 Aoû 2018 - 21:09#
Don't let them
take your freedom
« Mais non, vous me dérangez pas. Mais ce qui me dérange, c’est un peu ce vouvoiement. On doit avoir le même âge et si on se revoit, j’aimerai qu’on évite de se vouvoyer, qu’en penses-tu ? » Elle a l’habitude de vouvoyer, à longueur de journée. Quand on bosse avec des gens de la haute société, forcement c’est à prendre des mauvaises manies. Mais pour le coup, elle est plutôt d’accord avec ce qu’il dit. Cela dit, elle ne peut s’empêcher de souligner le fait qu’il souhaite la revoir, ou du moins qu’il émet l’occasion. C’est une bonne chose, et cela l’a fait rougir. « Tu as raison » dit-elle avec un large sourire. Bizarrement, si il y’a quelques secondes elle avait eu peur de la tournure de sa soirée, maintenant elle trouvait que ça avait débouché sur une bonne note. Elle ne pouvait que finir bien avec ce sourire. « Décidément, mon accent me trahis toujours, malgré cinq ans passé ici. En effet, je suis Irlandais. J’étais venu ici pour les études, à la base. » Elle ne peut qu’acquiescer. Des étrangers, y’en a partout à New York, et c’est ce qui fait que cette ville est si appréciée. « Irlandais, je savais bien que ce s’était dans ce coin-là. Apparemment, c’est un beau pays. Mais vous êtes pas le seul à dévier de ses objectifs. C’est le charme de New York. » Un sourire supplémentaire, elle acquiesce de la tête en regardant légèrement l’heure sur son poignée. Non pas qu’elle souhaite partir maintenant, mais elle doit être à 8h au boulot demain matin, le réveil risque d’être bien compliqué. « On va dire que j’ai l’âge d’un chevalier servant que j’aime plutôt protéger les filles en détresses dans ce genre de lieu pas franchement des plus courtois. » « Et ça marche plutôt bien. » Elle n’en a pas honte, heureusement qu’il était là d’ailleurs ce soir. Mais elle suppose qu’il y’a d’autres métiers plus passionnants pour protéger qu’un simple videur de boite. « Assez parler de moi, et toi donc, tu bosses dans quoi ? Laisse-moi deviner. Mode ou quelque chose dans la communication, non ? » « Ça se voit autant que ça ? » Elle baisse les yeux pour se regarder légèrement des pieds à la tête. Pourtant, elle a l’air d’être habillée normalement, pour une fois. « Je suis l’assistante d’une grande styliste. Enfin, plutôt son petit larbin préféré. Mais, ça me va. » C’était pas un job facile tous les jours, mais au moins elle faisait ce qu’elle aimait. Elle avait eu des lubies de fringues tant d’années qu’elle avait fini par les créer elle-même. Son père lui disait souvent qu’elle devait avoir une araignée au plafond pour passer autant de temps derrière sa machine à coudre, mais elle s’en fichait. C’est ce qui lui plaisait le plus. Revenant à la réalité, elle le regarde chercher son téléphone, et le lui tends : « Je pense que c’est le Uber, je te laisse répondre. Il doit être arrivé. » Elle s’exécute, et effectivement, le chauffeur lui indique qu’il est en face du 92, là où il a pu stationner en toute tranquillité. Après l’avoir remercié et dit qu’elle sortait rapidement, elle fit mine de rendre son téléphone avant de se raviser. Déverrouiller, elle compose son numéro, s’appelle et raccroche avant de le lui rendre. « On est quitte comme ça. Numéro échangé…. » Elle remet rapidement son sac sur l’épaule avant de plonger son regard dans celui d’Elias : « Merci infiniment Elias, t’as sauvé ma soirée je crois. » Elle regarde légèrement à l’extérieur pour tenter d’apercevoir le taxi, mais elle constate que l’orage a enfin éclaté et qu’il pleut à torrent. C’est bête, elle n’a pas de parapluie. « J’ai encore l’épreuve de la pluie avant d’arriver chez moi saine et sauve » plaisante-t-elle avant de se reculer légèrement. « Oh. » Elle s’approche, dépose un léger baiser sur sa joue et lui sourit. « Encore merci. » Ce fût les dernières paroles qu’elle osa lui dire avant que ses joues rougies ne la trahissent. Elle se retourne, et finit par courir hors du hall pour rejoindre le taxi. La pluie la trempe instantanément. Mais elle s’en fou. Elle est plutôt contente de cette heureuse rencontre. Maintenant, elle peut aller rejoindre son lit. Et qui sait, peut-être qu’elle pourra rêver d’un joli sourire.
Invité a posté ce message Dim 26 Aoû 2018 - 19:32#
don't let them take your freedom☾@cassie rhodes and elias
Le blond reste assez amusé face à sa remarque, en effet on lui disait souvent pour son accent, il était pas étonné qu'on le lui dise, même si à Dublin, les gens n'avaient pas un accent aussi poussé que dans les terres irlandaises. Il savait parler le gaélique, comme tout bon Irlandais mais n'était pas pourtant dépourvu d'un accent aussi affreux soit-il. « Oh ça oui que c'est un beau pays, il me manque pas mal mais bon, on est tout aussi bien ici si on est amateur de la vie citadine, c'est certain . » Ajoute-t-il en observant le doux visage de la brune, avant donc d'écouter sa réponse concernant son job. Il n'était guère étonné, cela se remarquait parfaitement. Elle était bien habillé, sans pour autant être une poupée mannequin sur-maquillé ou habillé avec des marques hors de prix. Elle avait son style et il appréciait les personnes qui savaient se démarquer, sortir du lot. « Cela doit être un job très passionnant, j'avoue que par contre, je ne saurais pas comment faire pour supporter une patronne ou un patron qui me demande constamment de faire si, d'aller prendre un café, faire ses courses ou quoi » Ricane l'Irlandais en se moquant un peu du cliché indéniable de l'assistante New Yorkaise, digne du célèbre Diable s'habille en Prada. Oui, il l'avait un peu en visualisation maintenant, mais ne pouvait qu'en rire. Tant qu'elle était satisfaite de son job, c'était l'essentiel non ? « Y'a pas de quoi, c'est normal. » Il reste un peu surpris en la voyant faire, étant étonné de gagner, par simple gentillesse, le numéro d'une véritable canon. Oui, il était plutôt satisfait dans sa soirée bien épuisante. Il se retint de sourire, car il ne voulait pas montrer trop son contentement face à la chose mais lui offre quand même un sourire fin en reprenant son téléphone des mains de l'assistante : « Et bien, je vois que j'ai gagné la confiance en parlant de chevalier servant. Non je déconne, c'est gentil. Et c'est normal vas. J'allais pas te laisser te faire emmerder par un alcoolisé sans cervelle. Je suis pas encore dépourvu de cervelle et de malséance. Passe une bonne soirée , Cassie.» Le blond frémit toutefois, face au baiser de la brune sur sa joue. Alors là, ouais. Il était carrément sur le cul et était presque certain de rougir comme un con. Il la regarde alors filer, souriant un peu bêtement, tout en croisant ses bras contre sa poitrine. Alors, ça pour une soirée réussie...Elle l'était. Forcément, que ses collègues le charrier une fois la belle montée dans son taxi. Il était tout galvanisé pour la soirée. Avec une simple rencontre. Un véritable souffle salvateur pour lui faire oublier les pires moments passés.
