Ce n’est pas la première fois que ce petit jeu s’installe entre Alexys et moi, lors d’une journée où nous sommes tous les deux présents à l’agences. Je ne peux pas résister à l’envie de la regarder, apprécier les courbes de son corps qu’elle su mettre volontairement en valeur, dans cette robe, qui est loin de me laisser indifférent. Ce n’est pas le fruit du hasard, c’est la raison d’une précédente conversation, je rêve de reprendre la où nous notre première soirée s’est arrêtée. J’ai bien du mal à me concentrer, la faute à ce que l’on est en train de se dire, on est en train de se chercher mutuellement, on est en train de se chauffer à l’aide de message. C’est d’ailleurs le son de mon portable qui me sort de mon travail, si je peux le dire ainsi, mes yeux posés sur le dossier sur mon bureau, mais mes pensées bien ailleurs. Je ne manque pas de fixer de mes iris l’écran allumé, pour lire les mots choisis par mon assistante, que je peux clairement traduire aujourd’hui comme étant mon amante. Au fil des minutes, c’est de plus en plus chaud, de plus en plus difficile de me sentir à l’aise dans les vêtements que je porte, principalement le boxer présent sur moi. J’ai encore en mémoire le souvenir de cet après-midi dans mon bureau, où nos échanges nous ont conduit dans mon bureau, à une heure peu adéquat à une activité sexuelle. J’ai encore en mémoire le traitement qu’Alexys est venue m’offrir, je la revois encore accroupie devant moi, avec mon sexe en bouche, pour un plaisir décuplé. Je ne peux expliquer pourquoi, après treize années de relation avec Sera, c’est une pratique que l’on a déjà eu, mais avec Alexys, tout a été différent, tout a été bien plus fort. Je ne peux m’empêcher de passer ma main sur mon sexe, avec l’idée de calmer mes ardeurs, mais c’est en vain. Au contraire, ça vient en rajouter à une excitation certaines, confirmant ce que je sais déjà : Je la veux, maintenant. Je ne veux pas avoir à me contenir, je ne veux pas que l’on est le besoin de faire attention, par la présence d’agents immobiliers présents ou de potentiels clients. Je veux que l’on soit libre de nos envies, de nos désirs et de nos gémissements. Portable dans ma poche, mes fesses absentes de toute présence sur ma chaise, je sors de mon bureau, la veste de mon costume dans la main, ayant prit soin de masquer les effets de mon sexe ayant réagi au traitement. « Alexys, tu viens avec moi, un client met sa maison en vente dans notre agence, il faut faire une estimation. » Ce n’est pas la première fois que je l’amène avec moi, à terme, l’idée est bien qu’elle puisse s’occuper d’une telle étape, qu’elle soit investie dans l’agence, pas seulement au titre d’assistante. « On y va .. » Prononçais-je en ayant mon regard dans sa direction, je suis en train de la dévorer des yeux, je ne fais rien réellement, mais dans ma tête, c’est un traitement bien chaud que je suis en train de lui prodiguer.
On est en pleine journée, en pleine semaine, je sais que l’on ne peut pas aller chez moi, mais je sais très bien que l’appartement d’Alexys est libre de toute présence, entre l’école, mais également les absences de Nathan après les heures de cours, en âge de vouloir rester avec ses copains. Une aubaine qu’on ne peut pas louper. C’est en direction de chez elle, que je suis en train de conduire, ne manquant pas d'enclencher la boite automatique, pour être libre de l’une de mes mains. La pression ne redescend pas, au contraire, elle ne fait qu’augmenter et j’ai de plus en plus de mal de trouver une position confortable, à mon sexe se sentant de plus en plus à l’étroit, il veut entrer en action et pour dire la vérité, je souhaite que le chemin se termine dans la seconde. « J’ai pas pu résister ... » Prononçais-je en poser ma main sur la cuisse d’Alexys, mes doigts au contact direct de sa peau. « On aura pas besoin d’être discret cette fois-ci. » Des mots qui passaient mes lèvres, au même titre que ma main est en train de remonter le long de sa cuisse, glissant sur sa robe, pour approcher mes doigts de son intimité, pour une chaleur que je ressens de plus en plus. « Tu n’imagines même pas, à quel point tu m’as torturé ... » Sans doute qu’elle peut en avoir un bel aperçu, on est bien loin de l’agence, tous les deux dans ma voiture, je ne cherche pas à masquer le fruit d’une érection apparent, même avec le pantalon que je porte. « Vivement qu’on arrive chez toi je ne tiens plus ... » Je ne peux masquer ce sourire conquérant sur mon visage, un sourire qui traduit mon excitation qui ne cesse de grandir, à mesure de mes doigts s’approchant de son sexe, que je ne tarde pas à toucher, entrant en contact avec ses sous-vêtements, que je peux avoir sous les yeux, grâce à une robe remontée avec mes gestes. « Tu as sortie le grand jeu. » Et j’en suis conquis, une fois de plus, je sais très bien qu’elle a fait ça pour moi, je le sais. « C’est pour moi, cette lingerie sexy ? » Je connais la réponse, mais je ne peux m’empêcher de demander, me trahissant dans le son de ma voix, laissant mes yeux naviguer de la route à Alexys, puis d’Alexys à la route, alors que je laisse mes doigts jouer avec son sexe, malgré la présence d’un tissus, qui les séparent.
Ces dernières semaines ont été plutôt fortes en rebondissements pour moi. Sans le vouloir, je me suis doucement laissé aller dans une relation avec mon patron qui semble être de plus en plus compliqué au fil du temps que je passe avec lui à l'agence, mais aussi hors du boulot. Depuis cette soirée où nous avons échangés plusieurs baisers passionnés, à aller jusqu'à cette soirée où nous avons couchés ensemble pour la première fois, où j'ai même pensé être enceinte le temps d'un instant et où nous avons tout de même continué cette relation loin d'être saine malgré les conseils que mes soeurs m'ont donné et que je n'ai pas écouté. Je suis incapable de me passer de lui, de résister à ce charme irrésistible qu'il a, mais surtout à tout ce pouvoir qu'il a sur moi, sur mes envies qui habitent mon corps. Il occupe toutes mes pensées et je l'ai bien réalisé alors qu'il était en weekend avec sa femme, qu'il a tout de même eu le courage de m'envoyer des messages pour me dire qu'il pensait à moi ce qui m'a moi-même déconcentré de mon petit roadtrip improvisé avec mes soeurs. Merde! Je suis complètement faible face à lui et lorsque je l'ai finalement revu lundi matin, j'ai cru que mon coeur allait arrêter de battre lorsqu'il m'a finalement pris dans ses bras pour me donner le baiser le plus passionné que je n'ai jamais reçu de ma vie. C'était comme des retrouvailles après des années, une preuve qu'il tient réellement à moi, mais que tout est beaucoup trop compliqué entre nous, entre sa femme et lui surtout. Je m'étais promis de ne pas m'embarquer dans tout ça, de ne pas devenir la maitresse de Matteo et c'est pourtant ce que je suis devenue. Et je ne me reconnais pas du tout là-dedans, mais pourtant son corps au complet m'appelle et je n'arrive pas à faire autrement. Son bureau juste à côté du mien, je le regarde sans cesse depuis tout à l'heure et je sais qu'il fait la même chose puisqu'il me la confirmé par message texte comme tous les autres messages qu'il m'envoie et qui provoque en moi tout un tas de choses. Je tente de me retenir depuis tout à l'heure, mais le simple fait de l'imaginer jouer avec moi comme il souhaite le faire m'excite et me donne envie de lui maintenant. Je sais pourtant que nous ne pouvons pas faire ça, c'est bien ce qu'il me confirme en tout cas et en un certain sens, ça me frustre parce que je ne peux plus me calmer maintenant qu'il a éveillé en moi tout ce désir qui brûle pour lui. Je le regarde toujours, me mordant la lèvre, lui envoyant ce dernier message sur mes sous-vêtements avant de le voir apparaître devant mon bureau. « Alexys, tu viens avec moi, un client met sa maison en vente dans notre agence, il faut faire une estimation. On y va. » Cet ordre de sa part me fait sourire même si je doute que je vais pouvoir me retenir bien longtemps en me retrouvant seule avec lui dans sa voiture. Est-ce son plan d'ailleurs? Où est-ce véritablement une visite? Sans perdre de temps, je me lève prenant bien soin de laisser ma veste sur ma chaise pour qu'il puisse encore admirer le décolleté de ma robe qu'il semble bien apprécier.
Une fois bien installée dans la voiture avec lui, je souris en voyant son érection bien présente sous son pantalon. Je savais bien que j'arriverais à le faire craquer, mais pas aussi fort que ça et j'avoue, ça a le don de me faire réagir moi aussi. Presque autant qu'il y a deux jours lorsque je lui ai offert ce traitement qu'il m'a confirmé avoir adoré. Je le regarde en souriant alors qu'il pose sa main sur ma cuisse et que je ressens ce frisson qui parcourt ma colonne vertébrale. « J’ai pas pu résister. On aura pas besoin d’être discret cette fois-ci.. » Ses doigts remontent doucement ma robe alors qu'il s'approche dangereusement de mon intimité. Je comprends tout de suite qu'il n'y a pas vraiment de visite et qu'il ne pouvait seulement pas rester plus longtemps dans ce bureau sans me toucher. « Je crois que tu as eu la meilleure idée de sortir du bureau.. » Parce que moi non plus je ne pouvais pas résister à l'idée d'être près de lui et de sentir l'excitation bien présente dans l'air. Ses mains viennent finalement toucher mon sexe sans prévenir et je vois bien qu'il garde les yeux sur la route en même temps de me regarder ce qui ne semble pas être la plus merveilleuse des idées. Je souris tout de même, me mordillant la lèvre alors que je le sens par-dessus ma culotte qu'il regarde avec envie. « Tu n’imagines même pas, à quel point tu m’as torturé. Vivement qu’on arrive chez toi je ne tiens plus... » Plus il parle, plus mon corps s'agite à ses paroles, mais surtout à l'effet qu'il me fait alors qu'il touche mon entrejambe. Je pousse un petit gémissement avant de me mordre la lèvre un peu plus fort. « Tu as sortie le grand jeu. C’est pour moi, cette lingerie sexy ? » Évidemment que c'est pour lui, j'ai tout fait pour le provoquer aujourd'hui et la seule que je souhaitais c'est qu'il puisse admirer ma lingerie spécialement choisi pour lui. « Oui c'est pour toi.. je vais certainement t'envoyer quelques photos plus tard d'ailleurs.. » Un autre petit jeu que je m'amusais à faire avec lui et clairement, ça semblait fonctionner aussi. Je souris avant d'approcher ma main et la poser sur son érection, bien satisfaite de mon coup. « Je crois pas pouvoir tenir jusqu'à chez moi Matt.. »
CODAGE PAR AMATIS
Invité
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Invité a posté ce message Dim 2 Juin 2019 - 19:59#
C’est une situation complètement improbable dans laquelle je me retrouve, jamais je n’aurais imaginé me retrouver dans ma voiture, en compagnie de mon assistante, avec ma main caressant son intimité, malgré la présence de la lingerie qu’elle porte. J’ai l’impression de me retrouver dans un vieux cliché tout pourris, du patron qui se tape sa secrétaire, tant d’originalité. Avec Alexys, c’est quelque peu différent, j’ai conscience que ce n’est pas seulement sexuel, elle n’est pas seulement en train de devenir ma maîtresse, il y a bien plus et j’en ai conscience. Elle m’attire comme un aimant, au point de passer un week-end avec ma femme loin de New-York et d’être capable de penser à elle, au point de lui envoyer quelques messages. Je suis un mari pitoyable. Je ne trouve pas mieux à dire de moi, mais pour le moment, je ne suis pas en mesure d’y réfléchir, alors que je suis d’un regard la route, j’alterne avec la vue de ce qu’est en train de réaliser ma main. Le corps d’Alexys réagit à ce début de traitement que je suis en train de lui offrir, mais pas seulement son corps, elle également, par ce gémissement qu’elle vient de laisser aller, qui parvient à mes oreilles, pour mon plus grand plaisir. Quelle belle idée d’avoir quitté l’agence. « Il faut être fou pour refuser. » Ca ne serait pas la première fois, j’ai déjà eu l’occasion de recevoir les photos d’Alexys, des photos dans une grande partie des cas, que l’on peut traduire comme osé, mais que je suis bien loin de regretter. Quand je dis qu’elle me fait perdre la tête, c’est vrai, je ne le dis pas, mais je le pense si fort. Mes doigts sont en train de jouer avec elle, alors que je sens sa main se poser sur mon sexe, et quel contact ! C’est un effet de soulagement, autant qu’un moment de torture, mais je ne veux être nul part que dans cette voiture, je ne souhaite pas qu’elle retire sa main de son emplacement, ça me pousse d’ailleurs à retirer mes doigts de son corps, pour venir les déposer sur les siens. « Encore un peu de patience, on est bientôt arrivé ... » Mensonge, cette route ne m’a jamais semblé aussi longue qu’aujourd’hui, encore moins avec les mouvements de la main d’Alexys sur mon sexe, encore couverte de la mienne, comme pour l’accompagner, en la laissant mener la danse. Je ne peux résister, je laisse ma lèvre se coincer entre mes dents, je sens mon coeur s’emballer de façon peu habituelle, il cogne contre mon torse, avec l’envie d’en sortir, si l’occasion se présente, mais également celle que ce moment ne s’arrête pas. Alexys a raison, elle ne va pas pouvoir tenir jusqu’à chez elle, mais je ne suis pas mieux, je ne vais pas pouvoir continuer de conduire avec sa main sur moi, sa main jouant avec mon sexe, malgré qu’il soit encore couvert de mon boxer, comme de mon pantalon. Je souffre, autant que je suis en train de prendre du plaisir, je me sens bien, autant que je me sens hyper à l’étroit. « Merda ... » Murmurais-je presque, en prenant une route différente de celle qui est censé me mener à l’appartement d’Alexys, choisissant une autre option en cédant aux désirs de mon corps. Quelques tours de roues, pour trouver un endroit à l’abris des regards, pour couper le contact et retirer ma ceinture en une fraction de seconde. Aussi peu de temps, pour ne pas attendre, pour venir me pencher en direction de mon assistante, posant ma main sur sa joue, en moment où nos lèvres entre en contact, au moment où ce baiser prend vit, pour rapidement laisser nos langues, l’occasion de se retrouver.
Je suis impatiente, je le suis depuis le début de la semaine d'ailleurs comme je le suis avec lui depuis que nous avons cédé à cette tension sexuelle entre nous deux pour la première fois et qui nous a menés à ce moment présent, alors que je suis dans sa voiture et que je ne peux pas m'empêcher d'avoir encore plus envie de lui que lorsque nous étions au bureau. Le simple fait qu'il m'ait emmené avec lui dans sa voiture simplement pour aller chez moi et profiter de mon corps m'excite à un point que j'étais bien loin de m'imaginer. Tout ce que je veux c'est de sentir ses mains me caresser et de recommencer tous ses plaisirs que j'ose avoir avec lui même si je sais très bien qu'il a une femme. Malgré les conseils de mes soeurs qui me disent de ne pas m'embarquer dans cette histoire, de me tenir loin, de m'éloigner pour que Matt réalise à quel point il a besoin de moi. Je suis incapable de le faire, incapable de lui résister et de toute façon, c'est bien difficile de l'ignorer alors qu'il est mon patron et qu'il est physiquement sous mes yeux à tous les jours de la semaine. Je suis devenue sans le vouloir la maitresse de Matteo. Ce putain de cliché de l'assistante qui couche avec son patron marié et ça me dégoûte, je ne me reconnais même pas là-dedans, mais je ne peux pas m'empêcher de toujours penser à lui, de le chauffer par messages textes, d'avoir envie de l'embrasser à tout moment de la journée et de m'ennuyer de lui les deux seuls jours de la semaine où il est impossible pour moi de le voir. C'est surtout parce que ça me fait mal de penser qu'il est avec elle, qu'il couche encore avec elle alors que toute la semaine il prend son pied avec moi. Ça me brise le coeur parce que je le sais, je le sens, je suis complètement amoureuse de Matteo Castelli et j'ai l'impression que si sa femme n'était pas là, je serais probablement à sa place. Tout ce qu'il me dit, tous ces gestes, cette affection qu'il me donne, je sais qu'il n'est pas indifférent, que ce n'est pas uniquement sexuel, mais qu'il ne peut pas se permettre d'en faire plus. Et c'est bien installé dans cette voiture avec lui que je me permets de toucher son érection bien étroite dans son jean alors qu'il s'amuse encore avec mon intimité ce qui est bien loin de me laisser indifférente. Quelques gémissements sortent de ma bouche alors que j'ai de la difficulté à bouger avec la ceinture qui coince mes mouvements. « Il faut être fou pour refuser. » Je sais qu'il a apprécié toutes les autres photos que je lui ai envoyé et que c'est un jeu bien dangereux de faire cela, mais je ne peux plus m'empêcher de le faire parce que ses réactions me font du bien et qu'il en redemande toujours plus. C'est sans doute pour cette raison que j'ai achetée de la lingerie sexy, pour lui plaire encore plus, qu'il me désire encore plus que maintenant. « Encore un peu de patience, on est bientôt arrivé ... » Impossible pour moi d'attendre encore bien longtemps et je sais aussi en sentant son membre sous ma main et la sienne qu'il ne pourra pas tenir bien plus longtemps à mes caresses. « Clairement je ne suis pas la seule qui ne pourra pas tenir bien longtemps.. » Dis-je en continuant de jouer avec lui parce que ça m'amuse et que je sais très bien qu'il va devoir s'arrêter si je continue. Déjà qu'il est peu concentré sur la route, il a besoin de continuer autant que j'en ai besoin. Et cette fois-ci, je vais pouvoir faire autant de bruit que je veux et il pourra être bien moins discret que lorsque que je lui ai donné un traitement incroyable cette semaine dans son bureau. « Merda ... » En l'entendant et surtout en voyant qu'il change de direction, je souris en comprenant que j'ai gagné. Satisfaite, il s'arrête finalement et ne perd pas de temps pour retirer sa ceinture et venir m'embrasser avec passion, tendresse et envie. Ma langue vient danser avec la sienne avant de sourire contre ses lèvres et de lui dire à l'oreille « C'que c'est excitant quand tu parles en italien.. » Dis-je en faisant référence à ce qu'il a murmuré il y a quelques minutes à peine avant de changer de direction.
nightgaunt
