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 (Rubélio) je ne suis pas une espèce d'écervelée que tu vas pouvoir sauter.

Ruby McPhelps
Ruby McPhelps
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Crédits : valtersen (avatar)
Autres comptes : Lilas Martin (Karen Gillan)
Pseudo / prénom : Padawan (Tiffanie)
Age : 27 ans
Date de naissance : 31 octobre 1992
Nationalité / origines : de nationalité et d'origine écossaise (sur le territoire américain avec un visa de travail)
Pays d'origine : (Rubélio) je ne suis pas une espèce d'écervelée que tu vas pouvoir sauter. Flag-for-united-kingdom_1f1ec-1f1e7
A NY depuis : cinq ans
Métier / études : institutrice en maternelle
Logement : un petit appartement (le 31) sur 31 S 4th Street qu'elle partage avec tous ses animaux et son fiancé de temps en temps.
Orientation sexuelle : hétérosexuelle
Statut civil : enceinte de jumeaux et fraichement larguée par Emilio
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Ruby McPhelps a posté ce message Ven 27 Déc 2019 - 23:35 #


Je ne suis pas une écervelée
Emilo & Ruby


« Tu sors beaucoup en ce moment je trouve ? » Je sors la tête de la salle de bain pour regarder Calvin qui bougonne. Il n’est pas heureux de me voir sortir avec Josie pour faire la fête. Enfin, faire la fête voulait dire : fumer des clopes pour moi et boire pour elle afin de se faire sauter par le plus grand toquard que cette Terre ait porté. Je soupire avant de décider de nouer mes cheveux en chignon un peu lâche pour parfaire ma tenue. Je détestai les robes courtes et nous étions en plein hiver. Je n’avais pas trop le mal du pays puisqu’il faisait aussi froid ici qu’en Ecosse mais à vrai dire, je rentrerai bien assez tôt pour l’anniversaire de mon grand frère. J’optais pour une paire de bottines avant de lisser ma robe longue qui me donnait des faux airs de Wynona Ryder dans Beetlejuice. « Et si tu rencontres un homme mieux que moi ? » No chances. Je suis du genre fidèle. Donc là-dessus, il n’avait aucun souci à se faire. Josie m’avait surtout appelée parce que je possédai une voiture. et que du coup, si elle finissait « archi bourrée » selon ses termes, elle pourrait vomir dans ma Mini Austin. Je soupire avant d’aller déposer un baiser sur la joue de mon petit-ami, merde, fiancé et de quitter les lieux alors que la ménagerie ne se réveillerait que bien assez tôt.
A vrai dire, cela me faisait chier autant que lui de sortir. Mais les choses étaient tendues. La date du mariage se rapprochait à grand pas et je ne me sentais pas prête. pas prête à m’enchainer à un mec pour l’éternité. Surtout un homme qui me trompe déjà et qui ne m’aime pas. je me demandai bien pourquoi nous restions ensembles. Nous faisions plus office d’un vague souvenir lointain plutôt que d’un couple uni sur le point de sauter le pas. Je visai ma bague de fiançailles à mon doigt que je ne pouvais m’empêcher de faire tourner entre mes doigts. Je fais ce geste lorsque je suis nerveuse. Bourrée de tocs et en pièces. Je me lave les mains au gel antibactérien après m’être garée devant le Up & Down. Une boite assez huppée de Manhattan où Josie avait ses entrées. Elle m’attendait devant l’entrée, toute jouette.
Nous étions deux opposés. Elle était petite et d’une blondeur à aveugler les gens alors que j’étais une grande perche rousse. Je lui souris avant de l’embrasser sur la joue pour la suivre dans la boite de nuit. Constat numéro un : cela sent la transpiration et par conséquent le sexe. On sait bien que les effluves de transpiration attirent les gens comme des mouches. Ce qui n’est pas mon cas. Constat deux : la musique est nulle à chier et beaucoup trop forte. Tel un épisode d’How I Met Your mother, je ressortirai de cet endroit à moitié sourde. Constat trois : tout le monde est bourré et commence à forniquer. La nuit est encore jeune pourtant mais soit. Je décide de suivre Josie qui nous conduit jusqu’à Walter. Je ne saurai définir leur relation tant elle est houleuse. Mais la langue de mon amie au fond de la gorge de mon ami sans -e me permet de comprendre qu’elle ne repartira pas avec moi ce soir. Limite ils sont en train de se grimper dessus. Je soupire avant qu’il ne constate ma présence. « Rubyyyyy -ok il est bourré- t’as pu venir ma biche. » je me retiens de le reprendre que je ne suis pas un animal de forêt. Et on ne me comparera pas à une biche car je n’ai aucunement l’intention de finir comme la maman de Bambi mais soit. « Tu connais Josie, elle me traine n’importe où. » Je commence à avoir chaud alors je passe une main dans ma nuque avant de décider à m’asseoir autour de la table où un autre mec est présent. Emiio. Forcément que je le connais puisqu’il s’est tapé la moitié de mes copines. Je me tourne vers lui avant de lui sourire avant de me servir un verre de soft. Je conduis ce soir. « Je pense que vous avez entendu le monsieur m’appeler Ruby et vous êtes ? » J’aime jouer à ce genre de jeu. Me faire passer pour une nigaude avant de voir comment il s’y prenait pour mettre les femmes dans son lit. après tout, il était connu pour ça. et voyons voir si la magie opérerait sur moi, Merlin. Je lui tends la main sans me défaire de mon sourire par pure courtoisie alors qu’une lueur d’amusement passa dans mon regard.
Cette soirée ne s’avérerait pas si ennuyeuse finalement.  

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Invité a posté ce message Mar 31 Déc 2019 - 0:16 #


You, Me, Bed, Now
Emilo & Ruby


Une autre soirée qui commence, une soirée de plus, où la bouteille sera ma meilleure amie. Je pense que je passe la moitié de ma fortune en alcool, quand je la paye moi-même et que je ne pique pas dans le bar de l’hôtel. C’est chez moi, je fais ce que je veux. C’est mieux que les médicaments que m’a prescrit ma psy, on se sent bien quand on est sous alcool. C’est un sentiment dont j’ai un peu de mal à me passer. Ca fait du bien, d’oublier. C’est le week-end, et j’ai besoin de sortir, et de me vider la tête. Je sais pas ce que je cherche à oublier, peut-être le fait que j’ai la chance au niveau zéro, et que c’est ça qui explique mon parcours chaotique. Je ne sais pas, je ne sais plus vraiment. Mais ça fait deux ans, et y’a toujours ce trou béant dans ma tête. J’avais des plans, un avenir tout tracé, mais non. Arrivé à presque la moitié de ma vie, faut qu’on m’enlève tout, l’amour, la vie, l’espoir. J’avais un espoir sans faille, étouffé dans l’œuf quand on me les as enlevés et que j’ai dû faire le chemin inverse, seul, dans ma voiture, sans me rendre compte un seul moment de ce qui m’arrivait. Je n’avais réalisé qu’en voyant ce foutu berceau vide, et que je m’étais réveillé seul dans ce grand lit entouré de draps en lin blanc, souillé par la solitude, le froid, la peur et la détresse. Mon premier reflex avait été de tout retourner, de tout détruire, de jeter la moindre chose qui me rappelait ce petit garçon, et ma tendre aux yeux d’argent. Le second avait été de noyer mes larmes dans la bouteille de whisky qu’il restait sous l’évier de la cuisine. Trop vite je les ai mis en terre. Trop vite, j’ai dû m’habituer à vivre seul face à mon désespoir. Trop vite j’ai appris à me consoler entre les jambes de la première gueuse, qui voudrait bien s’adonner à moi pour une nuit, ou juste quelques heures.


Toute ma vie a changé quand elle est partie, trop vite, trop tôt, je n’étais pas prêt pour ça. Et pourtant, j’ai trop vite refait ma vie. Dans ce lieu qui a vu la renaissance d’un Emilio si différent, volage, noyant son chagrin dans la bouteille. Le charme opère à chaque fois, je repart rarement seul de cet endroit, j’en repart aussi rarement sobre, mais c’est un détail sur lequel je n’aime pas m’attarder, un simple moyen d’oublier parfois, quelques jours dans la semaine parce que c’est plus simple comme ça. Ce soir encore, je vais m’enfermer entre les murs de cet endroit froid, sans âme souillé par la sueur, l’alcool et le sexe. Des amis seront là ce soir, et je ne sais pas ce que ça va donner, mais le but, c’est de ne pas repartir seul. J’ai peut-être peur de la solitude au fond. Je ne supporte pas ça, c’est peut-être ça la raison.


Je l’ai vue arriver de loin, elle est facilement démarquable des autres femmes. Elle est haute sur ses jambes, et elle ne vient jamais seule, en général je repart souvent avec l’une de ses copines. Mais elle, je ne l’ai jamais abordée, et je ne sais rien d’elle. Assis à la table je l’observe, du mieux que je peux entre les flashs incessants des stroboscopes dans la salle. De ce que j’en vois, elle est de ces femmes dont le charme est indéniable. Ce soir, je jette mon dévolu sur elle, et je ne repartirais pas sans l’avoir. Quand elle m’adresse la parole, je peux entendre le son grave et sensuel de sa voix. Elle ferait se tendre n’importe quel homme en une phrase, dios moi. Serrant sa main dans un sourire poli, j’en viens à me présenter à mon tour. « Emilio, enchanté d’enfin faire la connaissance de celle dont j’entends tant parler. » Une manière comme une autre d’introduire la conversation. Songeant à comment faire pour la faire craquer. « Et on ne m’a pas menti. » Lançais-je en l’observant. Plein de sous-entendus. L’alcool fait dire bien des choses. « Amie perdue, ou simplement lassée de la piste bondée ? » Ajoutais-je sans la quitter du regard, tout bonnement incapable de le faire, portant le bord du verre à mes lèvres.


Je ne compte pas repartir sans elle, c’est acté.


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Ruby McPhelps a posté ce message Mar 31 Déc 2019 - 0:44 #


Je ne suis pas une écervelée
Emilo & Ruby


J’ai entendu parler d’Emilio. A vrai dire, je l’ai vu à l’œuvre plus d’une fois avec mes écervelées de copines. Mais en somme, je n’ai jamais été sa proie. Et ça m’allait très bien. Je le regardai faire de loin et je me demande ce qu’il pouvait dire à mes nunuches pour qu’elles aient envie de repartir avec lui. Certes, il était assez séduisant pour un homme de son âge. Avec ses cheveux poivre et sel et son petit nez en trompette. J’ai pu également discerner des sourires. Mais étaient-ils sincères ? Alors que je me posais à ses côtés, je pus détecter une forte odeur d’alcool. Erk. J’en ai presque la nausée. Ok donc comme Walter, il est cuit. Je soupire avant de passer une main dans mes cheveux attachés. Je ne les ais pas laissé à l’air libre car je n’avais aucunement envie que quelque chose ne se coince dedans. La dernière nuit en discothèque s’est soldée par des cheveux imbibés d’alcool et une moi-même furieuse, me jurant de ne plus jamais y retourner. Alors que je soupire, je viens lui serrer la main. Le contact de sa paume contre la mienne me fait quelque chose. Là où mes mains sont très froides, les siennes sont chaudes. Presque brûlantes. Trahissant sans doute ses origines hispaniques. Mais je ne parvenais pas à savoir d’où. Il n’était pas chose aisée de deviner d’où provient quelqu’un. Je penche légèrement la tête sur le côté, plongeant mon regard dans le sien.
Ne pas oublier, feindre l’ignorance. N’être qu’une bécasse de plus. Je prends donc un air faussement modeste avant de déglutir. « On parle de moi ? » Bien sûr qu’on parle de moi. j’ai un physique qui ne passe pas inaperçue. La girafe. Avec des échasses. Je constate cependant qu’il ne lâche pas ma main. Limite, il caresserait presque ma paume avec ses doigts. Ne pas lui vomir dessus, ne pas lui vomir dessus. « Menti sur quoi ? Je n’ai rien d’extraordinaire. » Cette partie est véridique. Je ne suis pas une PDGère de ma société. Au contraire, je ne suis qu’une humble institutrice de maternelle. Et cocue par-dessus le marché. Oh par pitié, la lourdeur du monsieur. Comment te dire que je ne danse jamais ? mais pour le détourner et juste par esprit de défi, je me permets de retirer ma main. Puis, je lui affiche un sourire éblouissant. D’une main, je transgresse ma règle numéro un, et détache mes cheveux. « A vrai dire, je viens tout juste d’arriver. Mais c’est si gentiment dit que je vais aller danser. » Je me penche légèrement pour ôter mes bottines. Je n’aime pas danser en talons. c’est d’un vulgaire. Je viens donc poser mes chaussures entre nous avant de dégainer mon mètre soixante-dix-sept. « Je t’inviterai bien à me rejoindre, Emilio, murmurai-je de ma voix la plus rauque, mais quelque chose me dit que tu seras mieux assis. » Oh je me débecte de dire des choses pareilles. Mais il faut encourager le monsieur. Sors-moi donc le grand jeu. Je me penche, posant ma main gracile sur son genou. « Je prendrai un Sex on the beach, susurrai-je avant de me pencher pour venir déposer mes lèvres sur sa joue. » Mes cheveux viennent effleurer son nez, disséminant mon parfum de candy cane dans l’air. Bien sûr, j’ai pris le soin d’appuyer sur la syllabe sex alors que Josie vient me rejoindre pour aller danser. « Tu laisses Emilio te draguer ? Mais il est lourd, ce mec et t’es fiancé. » Je ris avant de commencer à bouger. Fort heureusement, avec ma robe longue noire, on ne risquait pas de voir mes fesses. Une sorte de Mortitia Addams rousse dans cette peuplade de demoiselles qui cherchaient à tout prix un bon parti. « Je veux savoir comment il s’y prend. Et puis, j’ai bien le droit de m’amuser un peu. » Mais je n’ai pas l’intention de me déhancher comme une pintade. Je bouge un peu. N’ayant aucun talent pour la danse.
Une fois la chanson finie, je décide de retourner près du paon qui s’apprête à faire la roue. Seulement, je constate qu’un autre homme -inconnu au bataillon- a pris ma place. « Oh mais je vais m’asseoir où ? Dis-je en faisant la moue. » Oserais-je ? Josie est déjà à califourchon sur Walter, limite en train de baiser dans la boite de nuit. Je décide donc de me poser sur les genoux du chasseur. Sauf que je ne suis une proie empoisonnée. « ça ne te dérange pas ? Tu le dis si je suis trop lourde ? » Je passe ma main dans sa nuque avant de lui voler son verre pour tremper mes lèvres dedans. Puis, je grimace. « non, j’aime pas. Comment vous pouvez boire un truc pareil ? Déjà c’est infâme, ça saoule en trois minutes et en plus de ça, ça donne une haleine épouvantable. » Ok, là, j’ai refait ma prof. Jouer la nunuche, jouer la nunuche. « je suppose que ce n’est pas fait pour les femmes. Alors Emilio, je me posai une question, t’es de quelle origine ? » La mienne transparaissait dans ma voix. Ecosse représant. Je plonge mon regard dans le sien, sans quitter mon sourire.
Contre toute attente, il était plutôt confortable.


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Invité a posté ce message Dim 5 Jan 2020 - 3:11 #


You, Me, Bed, Now
Emilo & Ruby


Je n’y suis pas allé molo sur la bouteille ce soir, mais comme si ça changeait de certains soirs à l’approche des fêtes de fin d’année, j’ai du mal à digérer ce changement de vie, de devoir passer le reste de ma pauvre existence seul. J’ai la bouteille, il parait que c’est un merveilleux lot de consolation. Je trouverais bien une compagnie dans un gala de noël, ou encore, à me faire inviter ça et là, je ne sais pas. Quoi qu’il en soit, la bouteille et une amie, et je la remercie, bien que j’aie probablement un peu abusé de sa gentillesse ce soir.  J’étais venu sur un coup de tête en sortant du bureau pensant que cette soirée pourrait me faire un peu de bien au moral, tout du moins de ce qu’il me restait. Et finalement je ne passerais pas forcement la soirée seul, puisque l’amie de conquêtes, ou d’ami, une grande rousse, dont j’avais entendu parler. L’intérêt d’avoir des yeux et des oreilles partout en soirée, on ne sait jamais quels détails on peut récolter. Classe, et à la fois foutrement belle dans cette longue robe qui la flattait à merveille. Là où je ne portais qu’une chemise et un jeans, basique. Quand nos mains se rencontrent dans un sourire, elle a les mains gelées comme la glace m’électrisant sincèrement, tant sa froideur contrastait avec la chaleur des miennes. C’est incroyable, la douce brûlure que ça pouvait faire ressentir. Elle était presque mystérieuse, s’en était clairement plaisant.


« Evidemment, comment ne le pourrait-on pas ? » Dis-je en lui lançant un regard entendu. Toute ses amies étaient souvent là, à parler d’elle et à parler d’elle en bien, de sa beauté, de sa bonté. L’intrigante Ruby… Je ne m’étais pas rendu compte que j’avais toujours sa main dans la mienne avant qu’elle ne l’enlève d’elle-même. Quel idiot fais-je, elle allait sûrement me prendre pour le mec le plus lourd de la planète, et c’est pas tellement le but. Tentant malgré tout de faire la conversation entre nous. Toute son attitude est déroutante, et à la fois je ne peux m’empêcher de la trouver affreusement séduisante. Par tous les dieux, c’est vraiment l’une des plus belles femmes qu’il m’ai été donné de côtoyer, et je ne sais pas si c’est l’alcool qui déculpe tout ça ou simplement le fait qu’elle soit divinement belle, qui m’attire à elle. Je peux voir une lueur de jeu dans le regard de la rousse et je ne sais pas vraiment la décrypter pour comprendre ce qu’elle souhaite, ou ce que moi je souhaiterais pour la fin de cette soirée, est réciproque. « D’autant que je ne suis pas le meilleur partenaire de danse qu’il soit. Je n’ai pas dansé depuis bien longtemps, mais je serais là quand tu reviendras. » Répondis-je en lui lançant un sourire, alors qu’elle déplie sa grande taille, pour aller rejoindre son amie Josie, il me semble. Lorsqu’elle se penche sur moi, je peux clairement sentir le feu faire vibrer mon échine toute entière. God saves me, je vais être incapable de rentrer chez moi avant d’avoir partagé un moment avec elle. Bordel, tant de sex appeal dans une femme devrait être interdit. Sa voix en rajoute une couche, et je peux clairement dire, que je suis sous le charme. « Tout ce que tu voudras, aprovecha ! » Répondis-je d’une voix plus rauque que d’habitude, animé par le désir qu’elle fait naître dans tout mon corps. La regardant rejoindre son amie, alors que j’interpelle un serveur pour lui demander un sex on the beach pour la jeune femme.


Spoiler Alert ; je suis complètement mordu.


Je l’ai observée du coin de l’œil, tout en discutant avec un ami qui avait rejoins la table, alors que j’étais seul à cette dernière, jouant avec mon verre. On ne va pas se mentir, même quand elle danse elle est affreusement hypnotisante. Quand elle revient, elle me surplombe de toute sa hauteur, et je ne peux m’empêcher de lui sourire, désolé qu’elle ne puisse récupérer sa place d’avant. Mais avant que je ne puisse réagir, la voilà assise sur mes genoux. Autant dire que ça allume tous les voyants dans ma tête. Son parfum sucré m’envahit, et je m’en délecte avec plaisir. « Du tout, tu es aussi légère qu’une plume, guapa » Usant de mon charme hispanique au maximum, ça a l’habitude de fonctionner. Répondis-je en refermant un bras autour de sa taille, alors que sa main sur ma nuque, à le don de réveiller tous mes sens. La voir voler mon verre pour y goûter, fait clairement monter son taux de sex appeal, c’est foutrement attirant. Tout chez elle m’appelle, et c’est particulièrement appréciable, sa grimace me tire même un sourire. On dit qu’il y a plusieurs ivresses, la mienne est clairement un alcool amoureux ce soir. Si on peut dire. « Moi je trouve ça très bon. Une femme, qui ne fait même qui goûter gagne facilement des points, souvent elles ne s’en approche même pas. Tu es l’exception qui confirme la règle, Ruby… » Lançais-je en venant plonger mon regard dans le sien, alors que je prends une gorgée de mon breuvage d’homme à l’entendre. « Eh bien comme tu as pu l’entendre, je suis portoricain par ma mère. Laisses-moi deviner la tienne. » Souris-je faisant mine de réfléchir. « La magnifique crinière rousse que tu abordes, et ta peau laiteuse, ainsi que cet accent absolument… séduisant. Je dirais que tu viens d’Ecosse » Répondis-je en venant passer le bout de mes doigts de le long de son bras. « Je serais ravi d’en savoir plus sur toi, Ruby... cuentame mas» M’appuyant contre le dossier du fauteuil, un bras lascif sur ses cuisses couvertes du tissus de sa longue robe.



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Ruby McPhelps a posté ce message Dim 5 Jan 2020 - 3:45 #


Je ne suis pas une écervelée
Emilo & Ruby


Je ne suis pas branchée boite de nuit. je suis plus netflix and chill. Je préfère la compagnie de mes animaux -et non celle de Calvin- plutôt que celle d’inconnus. On ne va pas se mentir mais cette boîte de nuit sent bon la débauche. Il me semble même avoir vu un couple baiser contre le mur sans aucune pudeur. De nos jours, les femmes ne se respectent plus. elles se contentent de faire des têtes bizarres sur des selfies pour les poster sur instagram. J’ai certes ce réseau social mais il me sert plus à entretenir la notoriété de Monsieur Moustache qu’autre chose. Bien entendu, je me suis faite trainer ici par Josie qui souhaite voir Walter. Son mec et également plan cul. Les femmes, nous parlons entre nous. La taille, la circonférence, le rythme et je connaissais plus de Walter avant de le voir en chair et en os que si j’avais analysé moi-même son pénis circoncis. Debout sur mes talons de douze, je surplombe tout le monde avant de voir qu’un mec me mate. Je suis assez sobre pour le reconnaître. Le lourd de la soirée. Emilio Hendez. Il s’est tapé la moitié de mes copines si ce n’est la totalité et me regarde comme si j’étais au menu.

Même pas en rêves, mon pote.

Je soupire avant de venir m’asseoir près de lui et que nos mains se rencontrent. Ok, je frissonne parce que sa poignée de main est brûlante. Nothing else. Ce mec a le regard d’un affamé, voilé à un certain taux d’alcool. Donc la bouteille était son amie, voire même sa femme. Voilà qui en disant long sur un mec. Si on analyse la situation, le mec porte une chemise qui semble tout droit sorti de la gueule d’une vache ainsi qu’un jeans à l’hygiène douteuse. Un sourire à faire tomber ses dames et un regard de prédateur qui ne semble rien présager. Donc il s’agit d’un 6. Ou d’un 7. Mais pas plus. J’ai bien conscience de mon physique. Je ne suis pas stupide au point de feindre que je ne suis pas jolie mais pas arrogante pour dire que j’ai le cerveau qui suit. Sally était la flèche de nous deux. Reminder : j’enseigne en maternelle. Je ne suis pas détentrice d’un doctorat en astrophysique. C’est bien, il a les bonnes techniques il brosse la fille dans le sens du poil. Ainsi, cette dernière se sent le centre de l’univers et se met à sourire comme une bécasse. Voire même rougir. Je me contente d’aborrer un petit sourire énigmatique avant de récupérer ma main. Sans doute salie par tant de contacts avec d’autres femelles. TOCS ALERT. Je me maitrise pour ne pas mettre du gel antibactérien avant de plonger dans son regard. Mon dieu, les mecs bourrés se croient tellement intéressants. Bien évidemment que tu ne sais pas danser. Les mecs dans ton genre se contentent de mater la chair fraîche comme sur l’étalage d’une boucherie avant de faire son choix. Je souris poliment avant de venir détacher mes cheveux. Depuis quelques années, les rousses sont devenues à la mode. Après tout, il s’agit d’une catégorie très visitée sur les sites porno. On remerciera mon adorable fiancé pour m’avoir fait connaître ce genre de statistiques. Je secoue donc ma lourde masse capillaire avant de reporter un regard sur lui. Oh my god, le mec est en adoration. C’est presque trop facile. Je me déplie pour venir ôter mes chaussures et toucher un peu plus la terre ferme. Pour avoir vu Emilio debout, il est assez court sur pattes. Un nain de jardin dôté d’un dard à l’affût du moindre vagin baisable dans les parages. Je hausse un sourcil à l’écoute de mon surnom en espagnol. Ok, note pour moi-même : apprendre cette langue quand j’aurai deux minutes. Je me retiens de lever les yeux au ciel avant de rejoindre Josie sur la piste de danse.

« Emilio te mate. » Sans blague. Je pourrais me déhancher comme une salope. D’ailleurs, j’en ai juste une à mes côtés mais je me contente de me dandiner en rythme. J’ai plus de vingt ans de violon à mon actif donc je sais discerner parfaitement un rythme musical rien qu’à l’écoute. et même si cette dernière n’est que bullshit, je me contente de dodeliner de la tête alors que Josie saute dans tous les sens. Mettant son oppulente poitrine en valeur. La mienne reste cachée sous un gilet. Je n’ai pas encore assez chaud pour pouvoir exhiber mon 95E sous les yeux affamés d’Emilio.

Que je ne tarde pas à retrouver en compagnie d’un autre homme bien entendu.

Je pourrais aisément dégager le mec d’un coup de pied mais je me contente de poser ma jambe sur le rebord du canapé avant de voir que Josie me lance un regard entendu. Non, ce n’est pas encore le moment d’headshot, Emilio. Faisons-le espérer un peu. Après tout, l’espoir fait vivre non ? Je glisse sur ses genoux avant de venir croiser mes armes de destruction massive sous les yeux de son correspondant qui ne peut m’empêcher de me mater. Bien sûr, ma proie vient poser sa main sur ma taille. Comme pour m’éviter de glisser alors que je viens passer mes doigts autour de sa nuque et de pianoter dessus comme pour lui filer la chair de poule. « c’est gentil, dis-je en lui sortant mon sourire le plus éblouissant. » Et le plus débile. For god sakes, c’est dur de jouer la pintade. Prête à être farcie et enfournée pour les fêtes. Je me contente de me tourner vers lui et les effluves d’alcool me parviennent aux narines. Oh l’exception qui confirme la règle. Pathétique. Je lui redonne son verre. « J’aurai pu venir le goûter sur tes lèvres, murmurai-je en passant mon index sur ses dernières, mais cela me semble un peu précipité. » je viens lécher ce dernier dans un geste purement provocateur avant de venir prendre mon cocktail. Je ne bois que très rarement mais je voulais supporter sa lourdeur hispanique : j’allais devoir m’alcooliser un peu. Je porte la paille à mes lèvres avant de me tourner légèrement vers lui. Ok touche-moi encore une fois le bras et je t’arrache la main. « Oh je ne suis pas si intéressante que ça. Je suis mannequin en lingerie bien que je n’en porte pas souvent, et that’s it ; Je n’ai rien à raconter. Ah et je suis très proche de Josie mais je pense que tu l’as aisément deviné. » Je ris avant de me tourner vers mon amie qui semble occupée. Ew. C’est répugnant. « Il fait une chaleur ici. » Normal, je suis collée à un radiateur vivant. Je me contente donc d’ôter mon gilet, démontrant que j’ai les jambes fines mais la poitrine assez développée. « Je crois que je vais aller prendre un peu l’air. Fumer une clope ou autre. » Je ris comme une bécasse avant de me lever pour venir glisser ma main dans celle de mon poisson que je relève et que je viens coller à moi. Je constate que je le surplombe d’une tête. « Tu veux venir te frotter au froid avec moi ? Susurrai-je en venant effleurer ses lèvres. Ou alors ton sang portoricain te rendrait-il trop frileux ? » Je lui glisse un clin d’œil avant de m’éloigner -toujours pieds nus- en adoptant la démarche que Sally m’a aidée à adopter a few years ago. Balancer des hanches, marcher sur la pointe des pieds. De grâce être une lionne dans cette jungle de gazelles prêtes à être dévorées.



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Invité a posté ce message Sam 18 Jan 2020 - 12:33 #


You, Me, Bed, Now
Emilo & Ruby


C’étais dans les soirées que j’avais trouvé mon réconfort, à voir les gens, à boire, puis par la suite, ne pas finir la nuit seul. Ca avait ses avantages, et ses inconvénients. Avantage : L’alcool y coule à foison, et ça m’évite clairement de vider le bar de l’hôtel, ensuite, il y a des femmes, plein de femmes qui sont là, prête à tout plaquer pour une nuit, alors que je suis clairement incapable de les rappeler le lendemain. Non pas que je suis impoli ou quoi, j’ai juste pas la force de remettre ça encore une fois, parce que c’est effrayant, de se dire que si on noue des liens on prends le risque de perdre la personne que l’on aime ou à qui l’on s’attache. J’ai perdu pour prendre le risque de perdre encore. Une bouteille ça se rachète, mais les sentiments, non. Il faut croire qu’on ne se remet jamais vraiment de la perte de quelqu’un. C’est ce que dirait un psy, si j’avais un psy, et pas une bouteille pour consoler mon chagrin. Mais c’était le mieux à faire, pour tout le monde. Je protège les autres, et moi-même, combo gagnant. Sincèrement, je crois que je préfère mourir d’alcoolisme que d’un cœur brisé encore. Mais ce soir, j’oublie mon malheur, je crois que j’ai déjà oublié je crois. Je ne pense plus vraiment à grand-chose pour être honnête. J’ai la chance d’avoir une occupation, un peu plus distrayante, que de ressasser le mal de ma vie.

J’ai eu l’occasion d’avoir pratiquement fréquenté la plupart de ses copines auparavant. De bons souvenirs si je dois être honnête, c’est probablement la chance d’évoluer dans un cercle qui reste relativement le même cercle de gens. Certains pourraient trouver que le fait de me retrouver à avoir fréquenter tout un cercle d’ami est profondément dégueulasse. Peut-être, mais je n’en ai sincèrement pas grand-chose à cirer, tant que je suis content, et que la personne avec qui j’aurais potentiellement passé la nuit, l’est aussi, je ne vois pas trop le problème. Laissons vivre les gens comme ils le veulent. La plupart sont d’ailleurs plus souvent attiré par le nom Hendez, ou encore par le nombre de zéros sur mon compte en banque que le reste. Etre un mondain, ça a des avantages comme des inconvénients. J’ai tendance à voir ça comme un avantage du moment ou je ne suis pas obligé de partager le numéro de mon compte. Mais s’il y en avait bien une qui avait attiré mon attention, c’est bien Ruby. Celle dont tout le monde parle, mais que je n’avais que rarement vu. Piqué d’intérêt, je n’avais clairement pas loupé le coche pour lui parler, et tenter de lui faire un numéro de charme, malgré l’alcool qui coulait dans mes veines, et qui me rendait clairement plus ivre qu’ivre. J’aurais dû le savoir, quand par moment ma vision se trouble un peu, et que les murs penchent. Mais on fait comme si ce n’était pas le cas. Pro en acting depuis que j’ai commencé à prendre le Whisky pour mon psy.

Elle avait agité ses grands cheveux roux sous mon nez, baladé son odeur sucrée près de moi, il m’en avait fallut de peu pour ne plus avoir d’yeux que pour elle, quand elle s’éloigne. un homme ivre est un homme amoureux qu’ils disaient. On en est pas encore à ce point, mais il en faudrait pas plus si vous voulez mon avis, un peu biaisé certes. Prions pour que je me souvienne de tout ça demain, une fois que les vapeurs d’éthanol, qui me hante se seront évaporées. Le temps le parait long avant qu’elle ne revienne poser sa silhouette élancée sur moi. Très bien. « En effet, mais qui aurait refusé une telle proposition de ta part ? » Cet homme serait fou. Je le suis aussi sûrement, on va pas se mentir. Probablement un peu lourd sur les bords, mais je ne suis pas vraiment très lucide, et j’ai un peu de mal à m’en rendez sincèrement compte. Je la veux, c’est tout ce qu’il y a à retenir. Mon cerveau plante quand elle me parle de son métier, rien que la furtive image de Ruby en sous-vêtement fait s’hérisser tout mon échine. SEND HELP BIENTOT JE NE REPONDS PMUS DE RIEN. « Je suis sûre que tu es très intéressante..  Tu fais ça depuis longtemps ?» Répondis-je en essayant d’effacer l’image, histoire de ne pas paraître plus malaisant que le fait que je l’ai imaginé en sous-vêtement. Alors que son amie non loin, est aisément et sans grande gêne en train de faire son affaire. Bah ma foi, grand bien leur fasse. Soyez heureux. Mais l’amour ça tue. Pensées défaitistes, alerte. On se reprends Milio, la dame à chaud, il parait. Et elle a bien trop d’avantages pour être réelle. Dios moi, que linda. J’en perds même mon latin. Elle se relève et m’entraîne. Heureusement que je tiens encore sur mes jambes, parce que bon sang, that was fast. Je referme cependant une main sur sa taille, alors que nous sommes bien trop proche pour que je me retienne. Elle anime le feu, et je suis clairement un ardent brasier dorénavant. Elle pourrait rendre tout homme sensé fou, alors imaginez l’état. Sa question était clairement un défi, et je commençais sincèrement à avoir besoin d’air, sinon je vais exploser. Une déesse que je disais, quand elle s’éloigne, pour rejoindre l’extérieur, plus gracieuse que n’importe quelle divinité. Je la rejoins à l’extérieur, le vent est frais en cette fin d’année, le soleil de Miami me manque parfois, quand la neige tombe en abondance sur les rues bétonnées de Miami. « Puis -t’en proposer une ? » Lançais-je en sortant un bâtonnet du paquet que j’avais sorti de ma poche, avec son meilleur ami le briquet. L’alcool et la clope, dans dix ans y’a plus d’Emilio, paris lancés. « Ne vas-tu pas prendre froid ainsi vêtue à l’extérieur ? Lançais-je après avoir tiré une première fois sur le bâton de papier et de tabac. Elle n’était pas longuement vêtue, et encore pied nus même. Ce serait dommage qu’elle attrape une pneumonie. C’est absolument pas une excuse pour lui filer ma veste, je vous vois venir. Je nie toute accusation




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Métier / études : institutrice en maternelle
Logement : un petit appartement (le 31) sur 31 S 4th Street qu'elle partage avec tous ses animaux et son fiancé de temps en temps.
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Statut civil : enceinte de jumeaux et fraichement larguée par Emilio
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Ruby McPhelps a posté ce message Sam 18 Jan 2020 - 13:49 #


Je ne suis pas une écervelée
Emilo & Ruby


Perdre un proche est quelque chose qui peut vous détruire de l’intérieur. Pour ma part, Sally était morte depuis cinq ans et je sentais toujours son ombre planer sur moi. je me détestai de vivre alors qu’elle était sous terre. Ce fut difficile au début d’accepter son absence mais à la longue… on ne s’y fait toujours pas. J’ai tenté de me sortir la tête de l’eau et dans le fond, ce mariage n’est qu’une échappatoire. Je sais bien que je ne devrais pas épouser Calvin car je ne ressens rien pour lui. Au début, j’ai cru que ce qui nous liait état romantique mais je me suis fourvoyée. Quand j’ai dû avorter parce que je ne me voyais pas mère de ses enfants, j’ai compris que notre relation n’était qu’un arrangement malsain. Ce soir, je suis venue dans le but de lui échapper. De fuir les effluves d’autres femmes qu’il portait sur lui, de voir ailleurs. Et je suis tombée sur Emilio Hendez. Avant même d’avoir vu l’homme en question, je connaissais tout de lui. De son statut de mec trop riche à celui d’alcoolique notoire à cause d’une perte. Je ne suis pas totalement débile contrairement à ce que je peux laisser penser.

Alors que je me pose sur ses genoux, que je vole son verre, je peux voir les panneaux clignotants s’allumer dans sa tête. En effet, le gars est trop saoul pour être lucide. Je ne suis pas plus mannequin lingerie qu’il est prix nobel de la paix. Je me contente donc de le laisser courir alors que Josie me coule un regard entendu entre deux baisers langoureux d’avec Walter. Je lui soupire avant de me décider à ne pas faire ça en public. Humilier un homme à femme, je suis d’accord mais pas devant tout le monde. Mais il fallait que ce mec ramasse la monnaie de sa pièce. Sous prétexte qu’il avait un compte bancaire garni il pensait que toutes les femmes lui étaient dûes ? Et bon nombre de mes copines ont versées des larmes par sa faute.
La morsure du froid me fait recouvrer l’esprit mais je suis sobre. Je regarde un instant les flocons tomber autour de nous avec un sourire sur les lèvres. « Pardon ? Je n’écoutais pas. » J’ai cette tendance à m’évader dans mon monde. Un monde où Sally serait toujours en vie. Je soupire en voyant son paquet de cigarettes. Il était hors de question que je le laisse m’offrir quoique ce soit. Même ce cocktail ridicule qui trônait sur la table. Je ne bois pas de sexe on the beach. Je ne bois que du scotch de chez moi ou encore un ou deux cosmos quand je voulais me la jouer femme. « non merci, j’ai ce qu’il faut. » Je fouille dans la chose qui me sert de sac avant de sortir une sans s que je colle dans mon bec. « Je suis écossaise, Emilio, je ne ressens pas le froid. » C’est plutôt lui qui avait l’air frigorifié. Je suis tentée de le réchauffer mais comme me l’avait fait comprendre mon amie : je ne devais pas le faire courir trop longtemps. « On m’avait raconté bien des choses sur toi mais le terme stupide n’a jamais été évoqué. » Doucement, easy Ruby. Je suis tel un cheval sauvage qui emporte tout sur sa course. « Je ne suis pas une espèce de bécasse que tu vas mettre dans ton lit car ton compte bancaire est bien garni, Emilio. » Je me colle contre le mur avant de relever la jambe. Puis, je porte ma clope à mes lèvres pour venir tirer une taffe. « Pas plus que je ne suis mannequin lingerie. Ma sœur l’a été mais je ne suis qu’une petite institutrice en maternelle. » Je pose mon index sur ses lèvres. « Non on ne va pas faire semblant d’apprendre à se connaître dans le seul but de voir ma petite culotte. Les mecs dans ton genre, riches, sexuellement attirants, je les évite. » Je jette le mégot avant de m’approcher de lui puis venir caresser sa joue du bout de mes doigts glacés. « C’est dommage car outre le fait que tu sois composé uniquement d’alcool, t’aurais pu être charmant si t’avais pas brisé le cœur de la moitié de mes amies. » Je penche cependant pour déposer un baiser subtil sur ses lèvres. « Bonne soirée, Emilio. » Puis, je tourne les talons -façon de parler puisque je suis pieds nus- pour retourner à l’intérieur. Bien évidemment mes amis sont toujours en train de se grimper dessus. Je prends donc mon verre de la table pour aller au bar. Bordel, faut-il être blonde et potiche pour qu’on daigne nous accorder une quelconque attention ? Ou alors faut sentir le fric. Je regarde la carte pour voir le prix du cocktail. « Oh punaise mais c’est cher ce truc ! » Bon tant pis, j’allais manger des pommes de terre jusqu’à la fin du mois. Je m’apprête à payer quand je sens une main sur mes fesses. Je gronde avant de me retourner pour coller mes mains entre les jambes du mec qui était hilare. « C’est quoi le mot de passe Gandalf le moche ? » Je serre un peu plus les testicules du mec alors que je déplie mon mètre soixante-dix-sept. Le surplombant de cinq bons centimètres, le sang écossais coulant dans mes veines plus que jamais. Et énervée qu’on m’ait pris pour un objet la seconde fois de la journée.




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