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 (fb) you are bringing out a different kind of me. (naleya) / -18

Mathéis Flores
Mathéis Flores
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Date d'emménagement : 08/03/2018
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Avatar : stefan pollmann.
Crédits : marine la fabuleuse, aka tearsflight. (ava)
Autres comptes : flynn (x. serrano) & hunter (s. carvajal).
Pseudo / prénom : potatoe. (al)
Age : vingt-sept ans.
Date de naissance : douze mai.
Nationalité / origines : américaine et portoricaines pour les deux.
Pays d'origine : (fb) you are bringing out a different kind of me. (naleya) / -18 - Page 3 Flag-for-puerto-rico_1f1f5-1f1f7
A NY depuis : ses huit ans.
Métier / études : vendeur dans un magasin animalier, même si ça n'est qu'une couverture pour cacher son boulot d'escort.
Logement : un petit appart qu'il partage avec l'amour de sa vie : Neva.
Orientation sexuelle : hétéro, il n'a jamais été attirés par les pénis.
Statut civil : célibataire, encore bien trop marqué par la fuite de son ex.

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Mathéis Flores a posté ce message Mer 6 Fév 2019 - 1:12 #

Je ris à ses propos, n’ajoutant rien et elle se cale dans mes bras, sous mon manteau. Une position qu’on garde un moment, décidant ensuite d’aller au chaud. Elle remonte donc la fermeture de mon manteau alors que je la taquine et ce qu’elle ajoute me fait sourire. « Je suis pressé de voir ça. » Oh oui, tellement. Quelque chose me dit que nos vêtements vont voler à peine le pas de la porte dépassé. Si habituellement, on se montre discret, ce soir, je doute qu’on parvienne à le faire. Quelques minutes plus tard, on se retrouve installés à une table dans un bar et, rapidement, ma jalousie prend le dessus. Le regard des hommes sur elle me pousse à être possessif, à leur faire voir qu’elle est prise, même si ce mot me perturbe. Depuis quand je considère Naleya comme prise par moi -hormis sexuellement parlant- ? Ça me fait râler de le penser, autant que de lui avouer que ça me dérange qu’ils puissent la mater. Elle me fixe, ne disant rien, le sourire aux lèvres. Je dois dire que ça a un côté rassurant et elle ne fait qu’accroître cette sensation. Je souris à mon tour, encore plus en entendant son aveu, mais ne répond rien. Je préfère largement me focaliser sur nos lèvres qui se trouvent pour un baiser langoureux, c’est bien plus intéressant que de simples paroles. Ne dit-on pas que les actes valent plus que les mots ? Alors, je profite pleinement de notre baiser, m’en foutant royalement de qui peut nous voir et, lorsque nos lèvres se séparent, je ne peux qu’admettre que j’aime ça. Il faut croire qu’elle aussi aime ça puisqu’on passe un bon moment à s'embrasser. On parle aussi, un peu, entre deux baisers enflammés. Forcément, ça ne fait qu’augmenter mon impatience et je le fais savoir. Sa moue boudeuse me confirme qu’elle n’en pense pas moins. Elle soupire, zieutant les alentours, se mordillant la lèvre. Il faut qu’elle arrête de faire ça, c’est trop excitant et je m’apprête à lui dire, mais elle me coupe la parole. Je plisse les yeux, attendant une explication de sa part et ça vient, me surprenant quelque peu. Baiser rapide posé sur mes lèvres, elle se lève et se dirige vers l’endroit cité. Je patiente quelques secondes, puis finit par me lever pour aller la rejoindre. Son audace me laisse pantois, mais pas au point de ne pas saisir cette opportunité. À peine la porte franchie qu’elle m’attrape par la chemise et m’attire à elle pour m’embrasser. J’y réponds avec passion, passant ensuite ma langue sur mes lèvres. « Douterais-tu de mes capacités sexuelles ? » Que je lui demande avec un sourire terriblement provocateur. Je ne veux pas me vanter, mais je connais son corps par cœur et je sais que je vais rapidement lui donner un orgasme. Je pourrais le faire de diverses façons, mais là, il n'y en a qu'une dont je rêve depuis ce début de soirée. Pour arranger nos affaires, je la désire tellement que je bande déjà, le simple fait de nous imaginer en plein acte ayant fait réagir ma virilité. Je veux être en elle, maintenant. C’est pourquoi après l'avoir collé à nouveau contre le lavabo, je la force à me lâcher puis la retourne pour qu'elle soit dos à moi. Sans prononcer le moindre mot, je remonte sa robe sur ses hanches, agrippant la dentelle de son sous-vêtement pour la faire descendre le long de ses jambes, l’incitant à les écarter de façon à bloquer sa lingerie à hauteur des chevilles. Me relevant, je rapproche ma bouche de son oreille, susurrant : « Garde les jambes écartées comme ça, ou ta petite culotte touchera le sol. » Un sol propre en apparence, tout comme les lieux, mais je ne m’amuserais pas à faire traîner mes fringues par terre quand même. Hâtivement, je déboutonne mon pantalon, le baisse un peu avec mon boxer, y sortant mon sexe au garde-à-vous. Chopant une capote dans mon portefeuille, je l'enfile sur mon membre et, une fois la protection mise, je place mon sexe à l’entrée du sien, y introduisant que le bout avant de saisir ses hanches. « Accroche-toi bien. » Ce sont les seules paroles que je prononce avant de m'enfoncer entièrement, d'un coup de reins, en elle. Je me retire complètement, me réintroduisant en globalité juste après, commençant ensuite à me mouvoir rapidement. On ne peut pas se permettre de prendre notre temps ici, et puis, je veux la baiser de façon sauvage, fortement. Je ne pense qu’à ça depuis que je l'ai vu dans la salle de bain, à nos sexes qui entrent en fusion, au bas de mon ventre qui claque contre ses fesses, à ses cris de plaisir. Je ne souhaite que ça, l'entendre gémir, alors j'accélère encore la cadence, prenant l'initiative de faufiler une main entre le lavabo et elle, caressant son clitoris de mon majeur. Ça fonctionne bien, les gémissements de la belle deviennent de plus en plus audibles, chose qui me plaît. Mes lèvres et ma langue se perdent dans son cou, le suçotant à plusieurs reprises, tandis que mes hanches lui imposent une cadence encore plus forte et rapide. J'en gémis moi-même, râlant de plaisir au creux de son oreille. « Je veux que ces types t'entendent hurler de plaisir, qu'ils comprennent que je suis le seul à te faire prendre ton pied. » C'est la jalousie qui parle, ce côté possessif que je ne me connaissais pas avant elle, ce besoin urgent de prouver qu’elle est mienne, alors même que ces types ne sont sûrement plus là. Je voulais quoi au début ? Que du sexe sans attache ? Je crois bien que je me suis fait avoir comme un débutant, parce que l’attache, elle est bien réelle désormais et que j’ai bien du mal à le nier maintenant.
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Invité a posté ce message Sam 9 Fév 2019 - 17:57 #

Elle tourne en rond, fait les cent pas pendant qu’elle l’attend dans les toilettes du bar. Elle n’y a même pas pensé sur le coup, mais c’est assez fou de faire ça ici, dans un lieu public, et au final elle ne sait même pas s’il le veut. Certes ils ont déjà fait ça en boite, mais ils étaient quand même beaucoup moins repérables. Alors quand il arrive elle lui laisse à peine le temps d’entrer avant de l’attirer à elle et de l’embrasser à pleine bouche, rassurée. Un baiser qui dure quelques secondes, jusqu’à ce qu’elle lui demande de lui montrer de quoi il est capable dans le peu de temps qu’ils ont à disposition. « Douterais-tu de mes capacités sexuelles ? » Son sourire se fait provocateur et elle prend le même, une lueur de défi dans les yeux. « Si ça peut te donner envie de me prouver des choses, oui. » Elle n’a pas besoin de douter de ses capacités, elle les connait par cœur et elle sait qu’elle prendra son pied en une seconde, mais ça l’amuse de le piquer un peu et elle sait que sa fierté prendra le dessus et qu’il voudra lui donner tort. Son sourire satisfait s’agrandit quand il la retourne pour qu’elle soit dos à lui et elle se mordille la lèvre quand elle sent son sexe déjà tendu contre ses fesses. Savoir qu’elle peut l’exciter aussi facilement lui plait énormément. Elle n’est pas mieux que lui cela dit et son sous vêtement peut surement en attester. Sous vêtement qu’il ne perd pas de temps à lui baisser après avoir relevé le bas de sa robe. « Garde les jambes écartées comme ça, ou ta petite culotte touchera le sol. » Elle ne prendra pas le risque de la laisser tomber, aucun doute là-dessus. Rien que l’idée lui semble répugnante et si elle n’avait pas à ce point envie de lui, jamais elle n’aurait eu ne serait-ce que l’idée de coucher dans les toilettes d’un bar. Un truc qu’elle n’aurait jamais fait avec quelqu’un d’autre que lui, il est le seul à lui donner des envies à ce point irrépressibles. Dans le reflet du miroir elle le regarde déboutonner précipitamment son pantalon, prendre un préservatif et l’enfiler. « Accroche-toi bien. » Il lui laisse à peine le temps de poser les mains sur le lavabo avant de s’enfoncer d’un rapide coup de reins, qui lui arrache un léger cri, à la fois de surprise et de plaisir. Puis il recommence, rapidement, aucun de ses gestes n’est lent et doux, ils n’ont pas de temps pour ça. Elle essaie tant bien que mal de retenir ses gémissements, parce qu’il reste du monde derrière la porte à pouvoir les entendre. Une chose qui s’avère compliquée, impossible même quand il ajoute à tout ça son doigt qui la caresse, et elle n’est même pas sûre d’être encore assez discrète, elle n’arrive plus à contrôler. L’entendre gémir lui aussi à son oreille n’arrange en rien son état, elle aime tellement écouter ce son que ça décuple à chaque fois son plaisir. « Je veux que ces types t'entendent hurler de plaisir, qu'ils comprennent que je suis le seul à te faire prendre ton pied. » Un léger rire s’échappe de sa bouche alors qu’elle croise son regard dans le miroir et elle se mord la lèvre, c’est fou ce qu’elle aime le fait qu’il veuille montrer qu’elle est à lui. D’une main elle attrape celle d’Anton qui est libre et la glisse dans son décolleté pour la poser sur son sein nu, frissonnant à ce contact. « Alors prend moi encore plus fort. » Elle veut jouir pendant qu’il y va aussi fort qu’il le peut et il n’a pas besoin de se faire prier pour accéder à sa demande. Cette fois, même si elle le voulait, elle ne réussirait pas à retenir ses cris. C’est beaucoup trop brutal, et beaucoup trop bon. Elle en oublie complètement où ils se trouvent quand elle sent monter l’orgasme, jusqu’à entendre le "10" crié par la foule, qui marque le début du décompte avant la nouvelle année. La surprise passe dans ses yeux quand elle les ouvre pour regarder le brun, mais un regard qui le supplie également de ne surtout pas s’arrêter. Tant pis pour Times Square, elle n’a absolument pas le moindre regret de louper ça. Elle ne sait pas si c’est cette excitation du décompte qui a dicté leurs corps mais, en parfaite adéquation, ils explosent tous les deux au moment où le fameux "bonne année" qui remplace le zéro retentit. Ses mains agrippent le lavabo avec force et ses genoux flanchent légèrement, elle ressent tellement de plaisir qu’elle a l’impression d’avoir les jambes toutes molles et qui peinent à la soutenir. Il lui faut quelques secondes pour que le rythme de son souffle commence à redescendre et qu’elle trouve le courage de se baisser pour remonter sa culotte et remettre sa robe en place, pendant qu’il se rhabille lui aussi. Puis elle se tourne, face à lui, et agrippe sa chemise pour l’amener contre elle. Un court instant elle se met à rire légèrement, heureuse de l’euphorie du moment, et ses lèvres se posent sur les siennes pour un baiser langoureux. Elle plonge les yeux dans les siens quand elle recule la tête, une main sur sa joue et son pouce qui caresse doucement sa peau. « Bonne année. » En tout cas pour elle, elle commence de la façon la plus parfaite qui soit. « J’imagine que c’est plus très utile qu’on sorte à quelques minutes d’écart. » Le rouge lui monte déjà aux joues en s’imaginant le moment où ils vont quitter cette pièce, alors quand ce sera le cas elle sera surement aussi vive qu’une tomate. Le moment de sortir, elle l’a complètement zappé de son esprit, effacé de ses pensées par l’excitation démesurée, mais quand elle revient à la réalité ce n’est plus la même histoire.
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Mathéis Flores a posté ce message Dim 10 Fév 2019 - 17:55 #

Elle me provoque, comme bien des fois, et je réagis de suite en prenant les rênes. Je la retourne dos à moi et descends prestement sa lingerie pour avoir accès à son intimité. Quelques indications données pour le bien de son sous-vêtement et le sien aussi, puis la protection enfilée, et me voilà déjà bien au chaud en elle en un coup de reins profond. Je n’y vais pas doucement dès le début, souhaitant bien trop l’entendre hurler de plaisir et jouir de ce moment avec elle. Dans le but d’intensifier encore plus les choses, ma main se glisse entre elle et le lavabo, venant ensuite agacer son intimité. Elle est tellement mouillée que l’envie de coulisser encore plus en elle devient pressant, et j’en gémis au creux de son oreille. Je finis toutefois par lâcher mon désir premier, celui que tout le bâtiment puisse l’entendre et savoir qui est celui qui s’occupe de son plaisir de cette façon. Ça a pour résultat de la faire rire, nos regards se croisant dans le miroir, pendant qu’elle saisit ma main pour la glisser dans son décolleté. J’agrippe son sein nu, le malaxant de mes doigts comme elle aime. Son corps, je le connais par cœur, tout comme j’ai connaissance de ce qu’elle aime que je lui fasse ou non. Et ça, jouer avec ses seins de mes mains, tirer sur ses tétons qui pointent, ça a un putain d’effet sur son taux d’excitation. Sur le mien aussi, ça ne fait que décupler mon envie d’elle. À croire qu’elle aussi, chose que je comprends à l’entente de sa demande. « Putain, oui, t’es parfaite. » J’aurai eu dû mal à me retenir un peu plus longtemps et, d’ailleurs, je n’attends pas plus d’une seconde pour exhausser son souhait et la prend plus fortement, y allant plus profondément et plus rapidement. Ça en même presque violent, brutal, et elle comme moi, on ne désire que ça à ce moment précis. Ses gémissements, qu’elle parvenait à retenir encore jusque-là, sont bien plus audibles, se transformant en cris de plaisir. Je gémis moi aussi, plus bruyamment, ne pouvant dissimuler à quel point je prends mon pied à chaque à-coup en elle. La chaleur augmente intensément dans la pièce, on n’y entend plus que nos râles de plaisirs et le bruit de son cul qui cogne contre mes hanches de façon violente, ma main s’activant entre ses cuisses pour combiner le plus de sensation possible. On est plongés entièrement dans notre bulle, quelqu’un pourrait entrer qu’on ne s’en soucie même plus. Et soudain, le premier chiffre du décompte parvient de l’extérieur et résonne dans la pièce. Les yeux de Naleya retrouvent les miens dans le miroir, la belle surprise que ça arrive aussi vite, et j’ai peur que ce retour à la réalité rompt le charme. Il n’en est rien, son regard est toujours aussi fiévreux, suppliant. Elle est toujours aussi demandeuse de la jouissance tant attendue et je ressens un sentiment de plénitude s’emparer de moi. Alors avec le décompte en fond, j’accentue les derniers mouvements de reins pour nous amener vers le point de non-retour, vers le nirvana, ne quittant pas son regard du mien. Et au même moment où les tout premiers "bonne année" fusent un peu partout, où les feux d’artifice débutent à peine, on explose ensemble dans un orgasme mémorable. Mes jambes en tremblent tant c’était démentiel, mais je tiens debout, soutenant la belle qui manque de s’affaler sur le sol elle aussi. Pendant les secondes qui suivent, je pose ma tête au creux de son cou pour retrouver mon souffle, déposant ensuite un léger baiser sur sa peau avant de me retirer d’elle, d’enlever la capote et de me rhabiller. Je vais jeter le bout de latex pendant qu’elle remet sa culotte et sa robe en place, puis revient face à elle, la demoiselle s’étant retourné. Elle agrippe ma chemise pour me ramener plus contre elle et je lui souris, posant mes mains sur sa taille, avant de répondre à son baiser. Peu après, on rompt le baiser et nos regards se retrouvent, me faisant sourire à nouveau. « Bonne année, Naleya. » Je dépose chastement mes lèvres sur les siennes, riant légèrement en la voyant rougir. « Non, je pense pas que ça soit utile, ceux qui sont toujours dans le bar ont dû nous entendre. » Comment ils auraient pu ne pas entendre, en même temps ? « Et je m’en fous. C’est le meilleur passage à la nouvelle année que j’ai connu en vingt-sept ans d’existence, je le referais encore si on me laissait le choix. » Positionnant mes mains sur ses joues, je l’embrasse cette fois du bout des lèvres. Ouais, je m’en fous si on a été aussi bruyant, c’était même mon but premier pour que de l’autre côté ils comprennent qu’elle est à moi. Sa main dans la mienne, on finit donc par sortir des toilettes, nous dirigeant vers nos manteaux pour les récupérer, sous les regards amusés des personnes se trouvant dans le bar. Je règle nos consommations, puis toujours main dans la main, on quitte le bar pour rentrer à la maison et finir le reste de la nuit au lit, à ne faire plus qu’un à nouveau. Avec plus de douceur, de tendresse et de patience, pour cette fois-là.

the end.
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