Je ne peux m’empêcher, je ne peux pas l’expliquer, mais c’est ainsi, toute cette attirance qu’il y a entre nous, depuis notre rencontre, qui s’est accentué avec le temps, avec cette soirée et ces baisers. Je ne peux me retenir, je ne peux me contenir, j’ai besoin de la sentir contre moi, j’ai ce besoin d’approcher son corps du mien, de poser mes mains sur ses hanches, de venir les glisser dans le bas de son dos. Comme l’envie de lui faire comprendre ce qu’elle est capable de provoquer chez moi, parce qu’après tout, malgré les vêtements que je porte encore sur moi, qui couvre mon corps, les secondes suffisent pour me donner l’étrange impression de ne plus être à l’aise dans mon boxer. Les retrouvailles de nos langues, ne semblent pas vouloir cesser, pour des baisers qui ne cessent de se prolonger, montant un peu plus à chaque fois d’un cran, oubliant la douceur du baiser qu’Alexys est venue me donner. Ses mains contre moi, j’en apprécie chacun de ces mouvements, derrière ma nuque, dans mon cou, sur mon torse, puis sous le tee-shirt que je porte sur moi. Deux années que je dois apprendre à vivre avec un corps qui ne ressemble plus à celui que j’ai eu, qui est marqué par la pire période de ma vie, par tous les regrets qui sont nés avec le coma de ma femme. Ses doigts sur cette brûlure, ces deux années d'appréhension, cette soirée stoppé par ses mains s'aventurent de trop, aujourd’hui, mon corps ne réagit pas, comme si c’était normal. Ce qui a été un frein pour moi lors de cette soirée, n’en est plus un aujourd’hui, j’en oublie le monde extérieur, j’en oublie pour mon rendez-vous, la seule chose qui compte pour moi en ce moment, c’est seulement Alexys et ce qui est en train de se passer entre nous. J’ai conscience que je suis un homme marié, qu’elle n’est pas ma femme, qu’elle n’est pas Sera, mais je ne peux me retenir, je ne peux résister à ce qui est en train de se passer entre nous. Mes mains ne sont plus à son contact, je suis ses mouvements, en relevant mes bras pour lui permettre de retirer le tee-shirt que j’ai sur moi, lui qui n’est pas resté bien longtemps en plus. Contrairement à la dernière fois, je n’ai aucune envie d’arrêter ce moment, je ne suis pas en mesure de le faire, je suis même le premier à retrouver le contact entre nos lèvres, à venir passer mes mains dans son dos, coller son corps à nouveau contre le mien. Nos langues n’ont pas de mal à se retrouver, j’ai conscience que ce n’est pas bien ce que je suis en train de faire, que je devrais m’arrêter, mais il y a cette alchimie entre nous, ce quelque chose en plus qui fait, que j’ai l’impression que ce que l’on vit n’est pas une erreur, comme un soulagement, un bouffée d’oxygène. Mes doigts ne sont plus dans son dos, je suis venu les remonter jusqu’à ses bras, me laissant guider par les envies que je peux ressentir, qu’elle peut ressentir. Un mouvement me suffit pour rompre le contact entre nos lèvres, pour que mon assistante se retrouve dos à moi, pour apporter mes mains sur le haut de son vêtement, descendant la fermeture éclaire. Je ne peux pas m’empêcher de sourire, en la voyant le retirer avec une rapidité incroyable, à peine suis-je arrivé au bout de la fermeture. Je ne peux m’empêcher de rester bien longtemps loin d’elle, même si c’est un euphémisme vu le peu de distance qu’il y a entre nous. Je m’approche d’Alexys, je viens coller mon torse contre son dos, passant mes bras autour d’elle, déposer mes mains sur son ventre, en même temps que mes lèvres trouvent le contact de son cou, me laissant l’embrasser dans le creu de son cou. Je n’ai pas envie de m’arrêter, j’ai envie que ce moment continue encore, qu’il ne s’arrête sous aucun prétexte. Alors que mes mains ne s’arrêtent pas en si bon chemin, je me laisse aller à déboutonner le jean qu’elle porte sur elle, je me laisse aller aux moindres envie que mon corps me réclame, laissant mes doigts se glisser dès que j’en ai l’occasion, pour descendre au niveau de son intimité, bien qu’ayant pris soin de garder cette séparation entre nous, celle du sous-vêtement qu’elle porte.
J'oublie tout. J'oublie qu'il a une femme, que je suis son assistante, qu'il est mon patron, que je ne peux pas faire cela. Je ne peux pas être la maitresse de quelqu'un, pour mon propre bien, mais aussi pour celui de mon fils. Il mérite que je sois heureuse, que je ne m'embarque pas dans une histoire trop compliquée, et à vrai dire, je mérite la même chose, surtout après la relation très douloureuse que j'ai eu avec Wes. Pourtant en ce moment, toutes ces inquiétudes ne sont pas présentes dans ma tête. J'ai l'impression d'être dans ma petite bulle, seule avec Matt et je ne souhaite en aucun cas que quelqu'un n'ose venir la briser. Je veux profiter de ce moment, je veux profiter de ses lèvres que je ne pensais jamais pouvoir retrouver après notre dernière soirée et je voulais tellement y avoir accès à nouveau, je voulais tellement pouvoir y goûter une nouvelle fois et être tout autant attiré par le reste de son corps. Je ne peux pas demander mieux que ça. Nos baisers se font de plus en plus intenses. Il y a tellement de passion et surtout, aucune retenu entre nous et je sais que cette fois, rien ne pourra nous arrêter. C'est peut-être moi qui ai osé poser mes lèvres sur les siennes cette fois, mais je sais qu'il en avait tout autant envie que moi. Parce que même si je sais qu'il a une femme, il n'a jamais arrêté d'agir avec moi comme il le faisait avant et quelque part, ça m'a fait du bien de savoir que rien n'avait changé entre nous. Pourtant, je ne suis pas pour autant plus satisfaite puisque je sais qu'il est encore moins accessible que je le pensais avant. Sans perdre trop de temps, alors que mes mains se baladent déjà sous son tee-shirt, sur les cicatrices qu'il possède à cet endroit, je finis par les voir en retirant son haut. J'ai à peine le temps de les regarder que Matteo revient poser ses lèvres sur les miennes et je ne peux faire autrement que de prolonger en passant mes bras autour de son cou, collant mon bassin et ma poitrine bien contre lui. Je peux déjà sentir qu'il commence à être autant excité que moi même s'il porte encore son jean et ça me fait sourire contre ses lèvres. Je l'embrasse à en perdre haleine avant qu'il ne stoppe ce baiser pour me tourner dos à lui et descendre ma fermeture éclair. Pressée d'obtenir plus de lui, je retire rapidement mon haut et le lance au sol, sans me préoccuper de l'endroit où il se trouve exactement. Je suis guidée par cette excitation, par le contact de Matt contre ma peau. Son torse se colle contre mon dos qui est pratiquement nu. Portant encore mon soutien-gorge et mon jean et ma culotte, je frissonne en sentant ses mains se promener doucement sur moi, sur mon ventre puis arrêter sur le haut de mon jean avant de le déboutonner d'un geste rapide, glissant ses doigts vers mon intimité qu'il touche au-dessus de ma culotte. Un spasme envahi mon corps et je ferme les yeux, cherchant à profiter de ce qu'il s'apprête à me faire. Mon dos et mes fesses collées contre lui, je le sens jouer un peu de ma patience alors qu'il reste toujours sur le dessus de ma culotte. Cela fait tellement longtemps que je n'ai pas eu le droit à ce genre de traitement que j'ai l'impression que je vais rapidement craquer. Pourtant, je veux profiter des caresses de Matteo autant que possible. Ses mains provoquent déjà des sensations auxquelles je ne m'attendais pas du tout et pourtant il vient tout juste de commencer. Je sens que je vais passer un très bon moment, c'est déjà le cas même.
CODAGE PAR AMATIS
Invité
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Invité a posté ce message Dim 2 Juin 2019 - 20:02#
Au diable la bonne conscience, plus tard je vais réaliser ce que j’ai fait, mais tout de suite, je suis beaucoup trop attiré par Alexys, par son corps et cette tension qu’il y a entre nous et qui n’a rien de négative. Elle a prit une tournure sexuelle dès cette soirée que l’on a passé ensemble, après ces quelques baisers échangés, avant que je ne me reprenne. Tout ce temps, je n’ai eu qu’une envie, goûter à nouveau à ses lèvres, en apprécier la chaleur et prolonger ce moment, avoir la chance de rencontrer une nouvelle fois sa langue, avoir mes mains sur son corps, mais cette fois-ci, ne pas m’arrêter. Au point de me retrouver le torse collé contre son dos presque nu, je ne cherche pas à masquer ce fort début d'érection, collé contre ses fesses, je sais qu’elle ne peut passer à côté de l’effet qu’elle est en train de me faire, des sensations qu’elle est en train de me prodiguer. Je ne suis pas en reste, si ma main reste au dessus de sa culotte, mes doigts sont posés sur son sexe, sur son intimité avec laquelle je suis en train de jouer, laissant mon index partir à la rencontre de son clitoris, bien qu’ayant toujours cette barrière. Les réactions de son corps sont le signe d’un traitement qui lui plaît, qu’elle apprécie, les spasme qu’elle ressent, elle ne peut les masquer, nos corps collés, je ne peux que les sentir. De nombreux baisers dans le creu de son cou, je me laisse remonter mes lèvres pour atteindre son oreille, venant mordiller le lobe de son oreille, laissant mon souffle chaud tout contre, au même moment qu’un soupire de soulagement, exactement au même moment où je suis venu glisser ma main sous sa culotte, où mes doigts sont au contact de son sexe, sans rien pour séparer cette rencontre. « Ca fait tellement longtemps que j’attend ce moment .. » Annonçais-je, moi qui ne fais que le nier depuis plusieurs mois, depuis que Valentina ne cesse de me prendre la tête avec Alexys, avec une potentielle relation. Elle n’a pas si tort, mais hors de question de penser à elle, hors de question de penser à quoi que ce soit, j’en oublie ma femme. Quelle honte. Mais je me sens bien, je me sens vivre, je me sens respirer à nouveau, alors que mes doigts sont en train de jouer avec son clitoris, je suis en train de le provoquer, je suis en train de l’exciter, c’est volontaire et je ne m’en cache pas. « Dio .. » Murmurais-je au moment où je continue de laisser mes doigts jouer de son corps, jouer de son intimité, qui réagit à mon traitement, qui s’exprime à sa façon pour que je comprenne que ça lui plait. « C’est si bon ... » Je mentirais de prétendre le contraire, quand bien même la position dans laquelle on se trouve, surtout la présence de vêtement encore trop présent sur nous, ne m’aide pas à continuer mon traitement, à m’aventurer encore un peu plus. C’est pour cette raison que je viens retirer ma main de sa culotte, que je laisse mon torse s’éloigner de son dos, que je prends soin de venir dégrafer son premier sous-vêtement. A peine se retrouve-t-elle nue, pour la partie haute de son corps, je laisse mes mains venir la tourner à nouveau, qu’on se retrouve une fois encore, face à face. Mon regard croise le sien, au même moment où je viens coincer ma lèvre entre mes dents, mes iris sont brulants, remplis de désir à son égard, exactement comme mon sexe qui doucement prend de l’ampleur, pour un habitat qui lui devient de plus en plus étroit. Mes doigts sur ses bras, je les laisse remonter jusqu’à ses épaules, avant de redescendre jusqu’à sa poitrine, sous mon regard qui n’en loupe pas une miette. Je suis en train de découvrir le corps de mon assistante, je suis en train de caresser, de regarder, d’embrasser ce corps que je désire depuis bien trop longtemps. Aujourd’hui, je ne suis plus en mesure de résister, de lutter, je suis en train de céder, j’en oublie le monde extérieur, j’en oublie mon rendez-vous, tout ce qui compte, c’est elle, c’est Alexys.
Je ne peux pas croire que c'est véritablement en train de nous arriver. Que je suis sur le point de franchir cette barrière dangereuse que je ne pensais pas franchir avec mon patron. Surtout pas après cette soirée où il m'a repoussé après nos échanges de baisers, encore moins depuis qu'il m'a annoncé être marié et qu'il m'a expliqué pourquoi il n'en avait jamais parlé à personne. Il m'a confié des choses qu'il n'avait jamais dites à personne et quelque part, je me suis sentie tellement spéciale, même si bien des larmes ont coulés le long de mes joues lorsque j'ai compris qu'il ne serait jamais mien. En ce moment, c'est pourtant tout ce que je croyais être impossible qui arrive. Cette attirance qui nous habitent depuis déjà quelques mois, ses lèvres plaquées contre les miennes qui m'attirent comme un aimant. J'ai besoin d'être contre lui autant que lui et cette fois, je ne compte laisser rien ni personne nous séparer. Mon coeur bat à une vitesse folle, tellement que j'ai l'impression qu'il va exploser alors que je me laisse totalement contrôler par mes envies. Ses lèvres sur mon cou, ses dents qui viennent mordiller mon lobe d'oreille, son érection que je sens déjà bien présente alors qu'il est collé contre moi. Je ne peux m'empêcher d'apprécier ce qu'il me fait, je ne veux pas qu'il s'arrête, je veux sentir son corps nu contre le mien et je veux surtout ne plus penser à sa femme ni au fait que je ne pourrais jamais l'avoir pour moi. Tout ce que je veux c'est de profiter du moment et d'apprécier ses caresses, sa main qui vient jouer avec mon clitoris alors qu'il décide finalement de la glisser sous ma culotte et de me murmurer des choses à l'oreille. « Ca fait tellement longtemps que j'attends ce moment .. » Et si seulement il savait que mon attirance envers lui est présente depuis le moment où j'ai posé les pieds dans cette agence et où j'ai vu ce sourire apparaître sur ses lèvres alors qu'il se présentait. Il était si beau à ce moment-là et il l'est encore plus maintenant. « J'en ai envie depuis tellement longtemps Matt.. » Je l'appelle Matt depuis tellement longtemps, entre nous ça a tout de suite cliqué et je n'ai jamais été formelle avec lui comme une assistante normale devrait l'être avec son patron. C'est peut-être pour cette raison que notre relation a toujours été plutôt spéciale. Comme un coup de foudre pour ma part en tout cas. « Dio.. C'est si bon ... » Comme un choc électrique qui passe dans mon corps au complet alors qu'il continue son petit jeu et que sans gêne, je continue de lui montrer à quel point il me fait du bien en respirant plus fort, en poussant quelques soupires de plaisir pour lui faire comprendre de continuer. J'ai envie de l'embrasser, j'ai envie de le regarder dans les yeux et de lui faire comprendre en un regard à quel point j'ai envie de lui. Sans perdre vraiment de temps, Matt finit par se décoller de moi, de venir dégrafer mon soutien-gorge pour finalement me retourner vers lui. Mes yeux plongent instantanément dans les siens alors qu'il me regarde avec envie. Ses yeux brillent tellement son désir est fort. Il mordille sa lèvre et me dévore du regard, posant ses yeux sur ma poitrine, mais aussi sur mes lèvres. Ses mains s'arrêtent sur ma poitrine, maintenant nue qu'il caresse avec ses doigts alors que mes yeux viennent se poser sur les cicatrices qui se trouvent sur son torse et que je ne peux m'empêcher de regarder. J'approche mes mains pour venir caresser doucement son torse. Sa peau est brûlante, autant que la mienne puisque nous avons déjà terriblement chaud. Je glisse mes doigts sur ses cicatrices un moment avant de remonter mes yeux vers lui, frôlant ses lèvres à l'aide des miennes, collant mon front contre le sien en descendant mes mains vers sa ceinture que je déboucle et retire, la laissant tomber au sol. « J'ai envie de vous monsieur Castelli.. » Je souris, me mordant la lèvre en le regardant dans les yeux. Étrangement, je trouve ça plutôt sexy de l'appeler comme ça. Comme une forme d'autorité qu'il a sur moi.
nightgaunt
