Flèche haut
Flèche bas(Jilas) Mais qui t'as invité toi ? - Page 2

ANNIVERSAIRES DE MARS
01 : meghan macleod03 : céleste kingstom & lilas martin12 : elvis sokolowicz23 : abbigail nielsen & declan j. archer
LES DIFFÉRENTES ANIMATIONS
défis : à venir
thème avatar : à venir
maj des fiches de liens : à venir
listing des
fiches de liens / persos
fiches de liens dans le besoin
-rps libres
-
Le Deal du moment : -20%
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, ...
Voir le deal
399 €

 (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?

Lilas Martin
Lilas Martin
https://newyorkandchill.forumactif.com/t7944-lilas-dis-toi-simpl
just want a hot coco and silence, is it too much to ask ?
just want a hot coco and silence, is it too much to ask ?
Date d'emménagement : 11/02/2020
Messages : 100
Factures payées : 116
Avatar : Karen Gillan
Crédits : rainbowsmile
Autres comptes : Ruby McPhelps (Alina Kovalenko)
Pseudo / prénom : Tiffanie (Padawan)
Age : 26 ans
Date de naissance : 03 mars 1993
Nationalité / origines : 100% françaises
Pays d'origine : (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Flag-for-france_1f1eb-1f1f7
A NY depuis : ses 18 ans
Métier / études : Présidente de la filiale New-Yorkaise de Lemmington Enterprises
Logement : 242 S 1st Street au numéro 93
Orientation sexuelle : hétérosexuelle
Statut civil : amoureuse de son crétin de petit-ami: Supermâle ou John -crétin- Williams
Champ libre : (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Giphy.gif?cid=790b76113b4443c3509b351d09f53e87b635d10afb19f1b6&rid=giphy
Jilas ♡

How can you say you'll be mine?


(Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Empty






Lilas Martin a posté ce message Mar 17 Mar 2020 - 21:20 #

"Ah bah si c'est la tradition alors !" Je le laisse plaquer ses lèvres sur les miennes alors que ses grosses mains sont sur mes fesses. Homme tactile, à noter. Pour ma part, mes doigts pianotent le long de sa nuque alors que je viens embrasser l’os de sa mâchoire pour venir ronronner près de son oreille. « Oh et avant que tu ne demandes : 90B. Une taille de poitrine assez normalisée et entièrement naturelle. » Je viens mordiller le creux de son oreille avant de baisser mon oreille vers son pantalon avant de revenir jusqu’à ses yeux avec un petit regard narquois. « Told you. En erection permanente. Si cela devient trop douloureux, je me ferai un plaisir de te soulager. Mais tout dépendra de ton degré de docilité. » Je l’englobe tout entier en disant ça. « Si tu es sage, tu auras peut-être mes lèvres sinon tu te contenteras de mes doigts. » Je glisse un clin d’œil avant de me tourner pour faire claquer mes talons et entrer dans le restaurant. J’avais mes petites habitudes dans ce quartier, y travaillant et y vivant. Mais je laisse donc le soin à John de m’indiquer la marche de manœuvre. Lui qui se prend pour un preux chevalier en armure blanche. Alors que George vient à me saluer, je peux voir une lueur de jalousie passer dans le regard de Johnny be good. On va s’amuser un peu. Un sourire inonde mes lèvres alors que je ne le quitte pas des yeux. "Dit dont, t'es connue ici !" Je peux sentir sa jambe se contracter sous la caresse de mon pied. Jaloux ou possessif, voire même les deux. Ce ne sont pas des défauts qui me dérangent. Je suis moi-même possessif. Jalouse, pas vraiment. Je prends donc appui sur ma main avant de soupirer. « Oui, j’ai sucé George dans la ruelle attenante à ce foutu restaurant il y a six mois. » Laissons-lui le temps de s’étouffer un peu avec sa boisson. Je resserre mes griffes avant de venir planter mes ongles dans le dessus de sa main. « Il est marié, et a deux enfants. Je ne suis pas une trainée, j’ai dû coucher avec cinq mecs dans ma vie, lâchai-je plus venimeuse, ton numéro de mâle alpha, ça ne prend pas avec moi. » Sans doute toutes les jouvencelles en détresses étaient-elles à ses pieds quand il leur démontrait sa supérioté ? Mais dans cette relation, j’aurai clairement le dessus. « Qu’on soit bien clairs toi et moi. Ton mètre quatre-vingt et des brouettes m’appartient. Je ne suis pas jalouse. Je laisse ça aux gens qui n’ont pas confiance en eux. » je viens dégager mon visage. « Je sais que je suis un avion de chasse. J’ai une bonne situation, quasiment pas de cellulite et je suis une vraie bombe au pieu. Par contre, je ne partage pas mes jouets. Vois ça comme la petite fille qui n’a jamais eu de poupée à elle. Donc s’il te venait l’envie d’aller tremper ton pinceau dans un autre pot de peinture… » Mes ongles s’enfoncent de plus en plus dans sa chair alors que je viens humecter mes lèvres avec ma langue. « … Tu pleureras des larmes de sang alors que je serai en train de me prélasser dans la villa de Ryan Gosling. » Je viens sourire à George qui nous ramène la bouteille avant de me la présenter. Je hoche la tête avant de venir le goûter pour faire signe de servir. « Passez le bonjour à Nancy et aux enfants. » Il s’éloigne alors que je repose mon verre pour reprendre le fil de mes pensées. Mon histoire. "La vache ! T'as un sacré passé toi aussi. Je suis très impressionné par où tu es passé." Je soupire de lassitude. La réaction des mecs est toujours prévisible. « Je ne vois pas en quoi mon passif est impressionant. Je ne suis rien de plus qu’une orpheline qui cherche désespérément un peu de chaleur mais qui ne cesse de tomber sur la mauvaise grenouille. » Je viens consulter mon téléphone qui sort son dossier complet. "Des dossiers sur moi ?" Je viens parcourir du regard les informations que j’ai sous les yeux. « Ne te méprends mon cœur, je fais ça à tout le monde. Disons que quand tu jouais aux petites voitures ou quand tu t’astiquais le poireau sur les catalogues de lingerie de ta mère à l’âge de quatorze ans, j’étais enfermée dans une pièce avec un ordinateur pour seule compagnie. » Ce n’était qu’un fait. Je ne cherchai pas à avoir l’amitié ou la pitié de quiconque. « Vois-moi comme une Raiponce High Tech. Jusqu’au jour où elle m’a fait ça. » Je lui montre mon index où une zébrure est visible. « Je lui ai défoncé la gueule et elle a été en taule. Une histoire basique de maltrance infantile. » J’accède à la fiche de renseignements de son père avant de venir marmonner en français. Je pianote donc un peu sur mon téléphone. Un taudis. Certes, il ne doit pas rouler sur l’or mais il aurait pu largement tiré une compensation de l’emprise psychologique de son père sur sa génitrice. « on va devoir faire déménager ta mère. C’est un véritable taudis. Il y a une faille dans la loi qui dit qu’il n’y a pas prescriptions pour les maltraitances infantiles ou conjugales. Tu peux saisir le parquet et t’assurer que ton père lui donne jusqu’à sa dernière chemise. » Je viens prendre une gorgée de vin. « En attendant, je débloquerai des fonds de mon association envers ce type de sévices pour lui trouver un meilleur toit et ainsi te permettre de ne plus verser une somme largement surestimée à l’organisme qui la loge. » Les gens se font tous plumer, c’est insupportable. Le souci quand on est un génie, c’est qu’on peut voir toutes les failles du système. "Attends, Tomàs c'est le type de tout à l'heure ? Ce qui veut dire que la nana accroché à son bras c'est ton ex meilleure amie ?" Je hoche la tête avant de fuir son regard pour la première fois depuis le début de la soirée. "C'est moi le canon ? Je suis ravi de te rendre ce service. Ça m'a l'air d'être un gros con ce type !" Je lève les yeux au ciel. « Ouais mais t’es lourd. Arrête d’appuyer sur tout ce que je fais. Si tu n’étais pas venue à ma rescousse ce soir, jamais je n’aurai posé mon regard sur toi. On va travailler là-dessus aussi, hein. » Mon pied remonte petit à petit sur sa jambe pour venir frôler sa cuisse alors que je continue de parler, parler. C’est un de mes plus grands défauts, je parle trop à tort et à travers. "J'ai un chien moi aussi. Un gros chien, plein de poils mais c'est un vrai nounours !" Je me penche pour regarder la photo afin de voir l’imposant canidé. « c’est vrai qu’il a l’air moelleux. On dirait une peluche. Et son petit nom, c’est quoi ? Mon chien s’appelle McFly et mon chat Lucifer. En référence au Disney et pas à l’autre tanche qui se balade à poil dans tous les épisodes. » Je pourrais lui montrer une photo mais il n’aura qu’à me suivre sur Instagram. Je zieute une dernière fois mon téléphone avant de le ranger dans la chose qui me sert de sac. "J'aurais aimé être sportif de haut niveau. Mauvaise blessure, mon rêve est réduit à néant. C'était la seule solution pour que je continue à évoluer dans le milieu du sport. Je m'en plaint pas, j'adore mon métier !" Mon pied vient trouver sa cible et commence à lui malaxer l’entrejambe dans le plus grand des calmes. « C’est bien d’aimer ce qu’on fait. J’adore écraser des gens tout en me faisant un maximum de fric. D’ailleurs le vieux Lemmington ne m’a pas engagé parce que je sais faire plier les gens avec ma volonté mais plutôt parce que je suis une experte dans tout ce qui est informatique. » Le dark web mais il risquait d’y avoir des oreilles indiscrètes. Je ne sais pas pourquoi cet homme me mettait autant en confiance. Limite en sécurité. Bien que son discours sur l’âme sœur me fasse chuter de trente étages d’un coup. « Super, on croirait mon ex. Encore un abruti qui me côtoie parce qu’il croit en l’élue. » Je vide mon verre d’un trait avant de venir me resservir. « Après tout, qui pourrait apprécier une sociopathe qui a si peu confiance en les gens qu’elle fait des recherches sur tout ? L’histoire de ma vie, un vrai cycle éternel comme dirait la chanson d’introduction du Roi Lion. » Lorsqu’il clâme haut et fort que nous sommes un faux couple, je gronde. Ok, l’humilation, on la reprendra demain. Je décide donc de me lever. Faux couple. On croirait entendre Samuel. « Je vais aux toilettes, je reviens. » Je m’éloigne donc en cessant donc de lui faire face. Putain, il faut vraiment que j’arrête de rouler des pelles au premier con venu. Je fais signe à George qui me laisse passer par la cuisine afin de me retrouver dans la ruelle attenante. « Et un joyeux anniversaire. Fausse relation de mon cul. Les mecs n’y comprennent vraiment rien, balbutiai-je avant d’être saisi par le froid. » Encore heureux, y’a un pizzeria juste en face. Ce qui impliquerait passer devant la vitrine mais je m’en fous. Je traverse la rue sans me soucier des voitures qui me klaxonnent, me faisant lever le majeur avant de pousser la porte. « Comme d’habitude Lilas ? Me demande le pizzaiolo que je connais bien. » Je hoche la tête. « Donne-moi ta plus grande bouteille de vin. Et fais tout livrer dans vingt minutes. Je rentre me saouler chez moi. » Je sors avant de voir que mon carrosse était avancé. Pratique de pouvoir commander un Uber tout en fuyant un gros lourd. J’accorde un dernier regard à la vitrine du grand restaurant avant de faire un doigt d’honneur. « Pauvre con, murmurai-je avant d’entrer dans l’habitacle avant de donner mon adresse au chauffeur. » Qui démarre sur les chapeaux de roues. Il ne me faut pas dix minutes pour être chez moi, complètement torchée. Le portier m’ouvre. « Y’a un grand brun qui va débarquer dans cinq minutes. Laissez-le monter, dis-je, c’est mon gigolo pour ce soir. » Puis, je me dirige jusqu’à mon penthouse au dernier étage avant de me défaire de mon tee-shirt et de mon short de pyjama. Demeurant entièrement nue. Lorsqu’on toque je vais ouvrir en tenue d’Eve. Je m’appuie contre le chambranle de porte sans avoir aucune honte de mon corps. « Je te l’ai dit que tu allais pleurer des larmes de sang. Je suis donc toujours une « fausse relation », chéri ? "
Revenir en haut Aller en bas
John Williams
John Williams
https://newyorkandchill.forumactif.com/t8058-john-renaissance
a cup of green tea is the answer to most problems
a cup of green tea is the answer to most problems
Date d'emménagement : 05/03/2020
Messages : 47
Factures payées : 117
Avatar : Henry Cavill.
Crédits : {ava : rose water.}
Autres comptes : //
Pseudo / prénom : ELY.
Age : trente-huit ans. dans deux ans, c'est la crise de la quarantaine.
Date de naissance : quinze novembre quatre-vingt-trois.
Nationalité / origines : américain/anglais.
A NY depuis : qu'il a dix ans.
Métier / études : propriétaire de sa salle de sport & coach sportif.
Orientation sexuelle : hétéro.
Statut civil : amoureux. le coeur battant pour une grande rousse prénommé Lilas Martin. ♡
Champ libre : (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 RVWoZm_aCe-H4LTpKW0YvvjTc4IOYW2l7VHhv_6uxkuXiLUiUPSO1XN1SH0tkI-ISY8tkBEDYN74U0bH5Q0vm-6yCk0wqm_k1sFH5MluQnymfTljEGaPmOVXRmCDgQex8-kVFCmM-qRfd2dK0g

(Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Empty






John Williams a posté ce message Mer 18 Mar 2020 - 21:53 #


@Lilas Martin & John Williams

mais qui t'as invité toi ?


Tu ne viens pas te faire prier plus longtemps. Tes lèvres se posent sur celle de Lilas, tu l'embrasse tandis que tes mains atterrissent sur les fesses de la jeune femme. Du plus loin que tu t'en souvienne, tu as toujours été tactile envers les femmes que tu as pu fréquenter. Lilas a eu beau te demander de cesser de la toucher, c'est plus fort que toi. Tant pis, t'es prêt à la recevoir ton autre gifle. Pas de gifle, la jeune femme pianote sur tes muscles. Elle t'embrasse le bas de ta mâchoire. La proximité avec la rouquine te fait du bien. Ça fait bien longtemps qu'aucune femme ne t'as donné un tel sentiment de bien-être. Pourtant, en la présence tu te sens bien. Tu as l'impression de te sentir utile, c'est un très bon sentiment ça. « Oh et avant que tu ne demandes : 90B. Une taille de poitrine assez normalisée et entièrement naturelle. » Ton regard se pose instantanément sur la poitrine de la jeune femme. Petit sourire en coin des lèvres. "Je les trouve parfait !" Ni trop gros, ni trop petit. Comme elle le précise, ses seins sont dans la norme et, le plus important, ils sont naturels. Tu as horreur de toutes ces femmes refaites de partout et voulant augmenter leurs poitrines, leurs lèvres ou retirer cette cellulite de leurs corps. C'est sans doute parce que tu es un homme que tu réagis de la sorte, malgré tout tu trouve cela complètement idiot de toucher à son corps. C'est la nature qui te l'a donné. Tu n'es pas fan de ton nez, pourtant tu ne veux pas le refaire. Il s'agit de ton nez et tu l'assume pleinement. Elle te mordille le creux de l'oreille. Un léger frisson te parcoure de haut en bas. « Told you. En erection permanente. Si cela devient trop douloureux, je me ferai un plaisir de te soulager. Mais tout dépendra de ton degré de docilité. » Tu n'as jamais été insensible aux charmes d'une demoiselle. Surtout lorsque la demoiselle est aussi charmante que Lilas. "Je suis très docile tu sais, j'obéis au doigt et à l'oeil." Dis-tu en bombant fièrement le torse. « Si tu es sage, tu auras peut-être mes lèvres sinon tu te contenteras de mes doigts. » Déjà que tu bouillonnais d'impatience depuis tout à l'heure, maintenant c'est doublement pire. Tu ne tiens plus en place et tu es curieux de découvrir de quelle manière va se terminer cette soirée. Lilas te tourne le dos en prenant la direction du restaurant. Derrière elle, tu ne te gêne aucunement de poser ton regard sur ses fesses. Elle a tout de même de belles fesses et puis, c'est elle qui te l'a dit un peu plus tôt : t'as le droit de les mater. Une très légère pointe de jalousie s'empare de toi lorsque tu la vois discuter avec ce George. Que ça soit en amitié ou en amour, tu es possessif envers tes proches. Tu te méfies beaucoup des gens, ils sont capables de tout. Du meilleur mais surtout du pire. Assis en face d'elle, la jolie Lilas commence à jouer avec son pied le long de ta jambe. Elle commence par le mollet, ce n'est qu'une question de temps avec qu'elle n'atteigne ton entrejambe. « Oui, j’ai sucé George dans la ruelle attenante à ce foutu restaurant il y a six mois. » Tu manque de t'étouffer avec la gorgée de vin que tu viens de prendre et mets au moins deux minutes avant de reprendre une respiration normale. « Il est marié, et a deux enfants. Je ne suis pas une trainée, j’ai dû coucher avec cinq mecs dans ma vie, ton numéro de mâle alpha, ça ne prend pas avec moi. » Cinq mecs ? Ce n'est pas beaucoup. Tu ne la juge pas, elle mène sa vie comme elle veut. "Je ne t'ai jamais traitée de trainée, je ne me permettra pas. Si tu veux tout savoir, je n'ai couché qu'avec six ou sept femmes." Ce n'est guère plus qu'elle. Finalement, vous vous ressemblez plus que tu ne l'aurais pensé. Tu as de nombreuses femmes qui te courent après lorsque tu sors en boite de nuit ou dans les bars, rares sont celles qui t'intéressent et finissent dans ton lit. T'en embrasse quelques unes mais le plus souvent, ça s'arrête là. Les relations d'une nuit ne t'intéressent pas. T'as beau le crier haut et fort qu'être en couple ne t'intéresse pas, tu as tout de même envie de trouver ton âme soeur dans ce monde. Et si c'était Lilas ? « Qu’on soit bien clairs toi et moi. Ton mètre quatre-vingt et des brouettes m’appartient. Je ne suis pas jalouse. Je laisse ça aux gens qui n’ont pas confiance en eux. » Tu l'écoute attentivement, ne perdant pas une miette du monologue de la rousse. « Je sais que je suis un avion de chasse. J’ai une bonne situation, quasiment pas de cellulite et je suis une vraie bombe au pieu. Par contre, je ne partage pas mes jouets. Vois ça comme la petite fille qui n’a jamais eu de poupée à elle. Donc s’il te venait l’envie d’aller tremper ton pinceau dans un autre pot de peinture… » Lila enfonce fortement ses ongles dans ta main. Une grimace fait son apparition sur ton visage, tu viens te mordre la lèvre inférieure. « … Tu pleureras des larmes de sang alors que je serai en train de me prélasser dans la villa de Ryan Gosling. » Tu n'es pas le genre à prendre les menaces au sérieux, sauf cette fois. Tu ne la connais que depuis une heure, à peine. Cela dit t'es en mesure d'affirmer que Lilas ne plaisante pas. Mieux vaut te tenir à carreaux. Lorsqu'elle libère ta main, tu viens observer la trace des ongles qu'elle a laissée. "tu marque ton territoire toi au moins !" Ca ne te dérange pas. Être le jouet personnel de Lilas ne te dérange pas, c'est même un honneur qu'une femme de son rang puisse s'intéresser à ta personne. Toi, John Williams, l'homme qui est toujours passer inaperçu. « Je ne vois pas en quoi mon passif est impressionnant. Je ne suis rien de plus qu’une orpheline qui cherche désespérément un peu de chaleur mais qui ne cesse de tomber sur la mauvaise grenouille. » Tu te contente de hocher les épaules face à ses dires. "Bah quand même. Quand on te voit aux premiers abords, on ne se douterait pas de tout ce que tu as pu vivre !" Même toi, tu n'as as vécu autant de choses entre trente-huit ans d'existence. Bordel, dans deux ans la crise de la quarantaine approche ! La surprise est immense. Lilas a fait des recherches sur toi et elle est très bien renseignée. Elle n'a fait aucune faute. « Ne te méprends mon cœur, je fais ça à tout le monde. Disons que quand tu jouais aux petites voitures ou quand tu t’astiquais le poireau sur les catalogues de lingerie de ta mère à l’âge de quatorze ans, j’étais enfermée dans une pièce avec un ordinateur pour seule compagnie. » C'est triste d'avoir connaissance de comment elle occuper son temps libre à l'adolescence. De nouveau, la rouquine te montre son bras. Ou plutôt sa main, là où il y a une zébrure assez impressionnante encore. Doucement, tu prends sa main dans la tienne. Ton regard inspecte la cicatrice. "T'es la nana la plus courageuse que j'ai jamais rencontré !" Dis-tu, le regard perdu dans le vide. Lilas continue de parler. Mon dieu, c'est un vrai moulin à paroles cette fille. Sa voix te plait, elle te procure des frissons. Surtout lorsqu'elle prend l'accent français. Bordel t'en banderais presque ! « on va devoir faire déménager ta mère. C’est un véritable taudis. Il y a une faille dans la loi qui dit qu’il n’y a pas prescriptions pour les maltraitances infantiles ou conjugales. Tu peux saisir le parquet et t’assurer que ton père lui donne jusqu’à sa dernière chemise. En attendant, je débloquerai des fonds de mon association envers ce type de sévices pour lui trouver un meilleur toit et ainsi te permettre de ne plus verser une somme largement surestimée à l’organisme qui la loge. » C'est étrange. Vous ne vous connaissez pas plus que cela encore, et pourtant, elle est prête à aider ta mère. C'est une fille bien Lilas. Ne la laisse pas filer Williams ! On ne rencontre pas une fille comme ça à chaque dynastie ! "Attends, tu serais prête à m'aider à prendre soin de ma mère ? S'il y a un moyen de prendre le moindre cents à mon père et ainsi le punir de tout ce qu'il lui a fait subir, alors je te suis. Rien ne peut me faire plus plaisir que de le voir cracher son argent à cet enfoiré !" Il est clair que tu ne porte pas ton père dans ton coeur. Tu n'as plus aucun contact avec lui. Il n'y a que ta mère qui compte. Ta mère et son bien-être mental, mais aussi physique. Petit à petit, le pied de Lilas remonte. De plus en plus haut. "Le mien s'appelle Voyou. Mais il n'en a que le nom. C'est une crème ce chien, un vrai nounours !" Tu lui parle de ton rêve brisé de devenir un grand sportif super connu. Tu ne regrette aucunement d'avoir monté ta propre boite, c'est un pur bonheur d'être son patron et de maltraiter ses employés. Enfin surtout un, cet Espagnol qui se croit parfait à tout niveau : Ricardo. T'aurais mieux fait de te couper un bras lorsque tu l'as engagé. Soudain, l'ambiance est en train de changer. Tu prends conscience que t'as merdé. Mais quand ? À quel moment ? « Après tout, qui pourrait apprécier une sociopathe qui a si peu confiance en les gens qu’elle fait des recherches sur tout ? L’histoire de ma vie, un vrai cycle éternel comme dirait la chanson d’introduction du Roi Lion. » Lilas se lève, prétextant l'envie de se rendre aux toilettes. Tu n'es pas né de la dernière pluie. Tu ne connais que trop bien de genre de comportement fuyant. Tu vas te retrouver à déguster ton plat en tête à tête avec toi-même. Les minutes passent. Le temps défilent. Lilas ne revient pas. Ok, cette fois ça suffit. Tu te lève et viens trouver le fameux Georges. Tu l'oblige à te donner l'adresse de la rouquine. Tu prends un taxi qui t'emmène rapidement devant l'immeuble de la jeune femme. Un portier se trouve là. Il ne te dit rien, il te laisse même passer en t'indiquant que ce que tu cherches se trouve au tout dernier étage. Intrigué, tu l'écoute et grimpe jusqu'au dernier étage de l'immeuble. Même dans tes rêves les plus fous, jamais tu ne pourras te permettre le luxe de vivre dans un tel endroit. « Je te l’ai dit que tu allais pleurer des larmes de sang. Je suis donc toujours une « fausse relation », chéri ? " Devant toi, Lilas est là. Elle ne porte rien sur elle. La bouche grande ouverte, tu la pousse en arrière et ferme la porte avec l'aide de ton pied. "Ok. Pardonne moi d'être aussi con !" Clairement, il n'y a pas d'autres mots pour te définir à cet instant. Un bras autour de sa taille, tu viens la coller contre toi. Ainsi, elle est dans l'incapacité de se dégager de ton étreinte. Tu viens la soulever de terre. Tes mains soutiennent ses fesses. Tes lèvres viennent à nouveau rencontrer les siennes. Tu commence à te déplacer dans le penthouse bien que tu ne sache pas où se trouve le canapé. Une bosse vient se montrer à travers ton pantalon. Voir Lilas en tenue d'Eve est clairement dangereux pour toi mais c'est un réel plaisir surtout. Tes baisers descendent le long de son cou et viennent se perdre entre ses seins. Ta main caresse le creux de ses reins. "Je retire ce que j'ai dit !" Murmures-tu à son oreille. T'es en train de perdre pied. T'es en train de tomber complètement amoureux de la jeune et jolie Lilas.
AVENGEDINCHAINS


@Lilas Martin (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 2097744760
Revenir en haut Aller en bas
Lilas Martin
Lilas Martin
https://newyorkandchill.forumactif.com/t7944-lilas-dis-toi-simpl
just want a hot coco and silence, is it too much to ask ?
just want a hot coco and silence, is it too much to ask ?
Date d'emménagement : 11/02/2020
Messages : 100
Factures payées : 116
Avatar : Karen Gillan
Crédits : rainbowsmile
Autres comptes : Ruby McPhelps (Alina Kovalenko)
Pseudo / prénom : Tiffanie (Padawan)
Age : 26 ans
Date de naissance : 03 mars 1993
Nationalité / origines : 100% françaises
Pays d'origine : (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Flag-for-france_1f1eb-1f1f7
A NY depuis : ses 18 ans
Métier / études : Présidente de la filiale New-Yorkaise de Lemmington Enterprises
Logement : 242 S 1st Street au numéro 93
Orientation sexuelle : hétérosexuelle
Statut civil : amoureuse de son crétin de petit-ami: Supermâle ou John -crétin- Williams
Champ libre : (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Giphy.gif?cid=790b76113b4443c3509b351d09f53e87b635d10afb19f1b6&rid=giphy
Jilas ♡

How can you say you'll be mine?


(Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Empty






Lilas Martin a posté ce message Mer 18 Mar 2020 - 23:16 #

"Attends, tu serais prête à m'aider à prendre soin de ma mère ? S'il y a un moyen de prendre le moindre cent à mon père et ainsi le punir de tout ce qu'il lui a fait subir, alors je te suis. Rien ne peut me faire plus plaisir que de le voir cracher son argent à cet enfoiré !" Je ne vois pas en quoi la chose est si surprenante. « Tu es mon compagnon et c’est ta mère, donc oui. » Je me contente de lever le regard pour lui sourire. Naturellement. Je viens caresser à nouveau sa main comme pour le rassurer. « Je te mettrai en relation avec Harold. Il est très bon et on veillera à ce que ton père lui verse une pension très conséquente. » Je dis ceci avec un certain détachement comme si la chose était ordinaire. Je peux voir à sa tête que je surprends. Mais je ne suis pas une femme ordinaire. Je me laisse souvent dicter par son instinct. « Nous lui ferons justice, je te promets. » J’avais lâché les derniers mots dans ma langue natale. Trop d’alcool ingurgité et je redevenais cette petite Française qui a trop vécu dans ce pays qui ne m’a apporté que misère. "Le mien s'appelle Voyou. Mais il n'en a que le nom. C'est une crème ce chien, un vrai nounours !" Mon regard s’attendrit un peu et je m’apprête à dire quelque chose quand la situation m’échappe. Je peux comprendre ses mots mais ma main s’ôte de la sienne alors qu’un vent glacial vient s’instaurer entre nous. Il faut que je me barre. Et rapidement. Voilà pourquoi je ne m’attache jamais aux hommes. que je ne le fais plus. je prends donc congé de John avant de passer par les cuisines. Vêtue de mon short trop court, de mon tee-shirt et de mes talons, je peux avoir l’air d’un personnage de dessin-animé. Dans la ruelle attenante, je fixe la couronne en toc posée sur ma tête. Puis, je la jette dans un coin avant de prendre appui contre le mur. Je devais reprendre mes esprits. La glace se propage au-dessus de mon cœur et je serre les dents avant de me redresser. J’ai conscience que John va me courir après. Je vais le faire ramper cent fois s’il faut. Je quitte donc la ruelle avant d’aller commander un pizza et de piquer une bouteille de vin. Offerte en cadeau. Alors que je suis devant l’imposant immeuble, je débouche le vin pour le porter à ma bouche. C’est un peu mon plus grand souci. Boire pour oublier. Combien d’anniversaires ai-je passé complètement ivre car j’étais complètement seule ? Je pénètre dans le hall en donnant des instructions au portier avant de monter jusqu’au dernier étage. Mon appartement fait tout l’étage. Je paye une petite fortune mais j’aime le luxe. A peine ai-je ouverte la porte que mon carlin fonce sur moi pour m’accueilir. Je lui verse ses croquettes avant de me défaire de mes vêtements. « Alexa, mets la playlist Girl Power. » Puis, j’attache mes cheveux avant d’aller allumer la piscine qui siège sur mon balcon. L’air froid fait voleter doucement mes cheveux avant qu’on ne vienne à frapper. "Ok. Pardonne moi d'être aussi con !" La bouche grande ouverte, je peux le voir me dévorer du regard alors que je porte la bouteille à mes lèvres. « Certainement pas. » Cependant, il me pousse pour venir pénétrer dans le patio. Ses mains s’attardent sur mon visage alors que sa bouche se pose sur la mienne. La dévore plutôt. Je pose la bouteille sur le guéridon alors qu’il me soulève de terre et que ma langue joue avec la sienne. Mes cheveux viennent caresser son visage alors que mes longues jambes entourent sa taille musclée. Mes ongles s’enfoncent dans ses épaules alors que je sens qu’il cherche le canapé. Soudain, il me balance sur le sofa et fond sur moi pour venir parsemer mon corps de baisers. J’ai soudainement très chaud. Mais non. "Je retire ce que j'ai dit !" Ma main droite s’attarde sur son entrejambe alors que je le fais basculer d’un coup de jambe pour le coller par terre. « Effectivement. » Je viens me redresser pour dégager mon visage et me munir d’un stylo. A l’aide de ce dernier et avec une certaine adresse, je viens nouer mes cheveux, dégageant ma nuque. « Je te l’ai dit que t’étais pas de taille, John. » J’ôte mon escarpin pour venir poser mon pied sur sa poitrine, l’empêchant de se relever. Toujours dans le plus simple appareil et sans aucune gêne. « Bienvenue en Enfer, chéri. Vu que tu as été un abruti, tu n’auras ni mes mains, ni mes lèvres. A vrai dire, je pense que c’est plutôt à toi de te servir de tes plus beaux attributs. » Je dégage mon pied avant de me tourner vers le balcon allumé. Je balance volontairement des hanches avec ma démarche d’allumeuse. « N’oublie pas que c’est mon anniversaire. Déshabille-toi tout seul, je vais piquer une tête dans la piscine. Car oui, j’ai une piscine privatisée. » Je glisse un clin d’œil avant de pénétrer dans l’eau tiède et me coller contre le rebord.
Revenir en haut Aller en bas
John Williams
John Williams
https://newyorkandchill.forumactif.com/t8058-john-renaissance
a cup of green tea is the answer to most problems
a cup of green tea is the answer to most problems
Date d'emménagement : 05/03/2020
Messages : 47
Factures payées : 117
Avatar : Henry Cavill.
Crédits : {ava : rose water.}
Autres comptes : //
Pseudo / prénom : ELY.
Age : trente-huit ans. dans deux ans, c'est la crise de la quarantaine.
Date de naissance : quinze novembre quatre-vingt-trois.
Nationalité / origines : américain/anglais.
A NY depuis : qu'il a dix ans.
Métier / études : propriétaire de sa salle de sport & coach sportif.
Orientation sexuelle : hétéro.
Statut civil : amoureux. le coeur battant pour une grande rousse prénommé Lilas Martin. ♡
Champ libre : (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 RVWoZm_aCe-H4LTpKW0YvvjTc4IOYW2l7VHhv_6uxkuXiLUiUPSO1XN1SH0tkI-ISY8tkBEDYN74U0bH5Q0vm-6yCk0wqm_k1sFH5MluQnymfTljEGaPmOVXRmCDgQex8-kVFCmM-qRfd2dK0g

(Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Empty






John Williams a posté ce message Jeu 19 Mar 2020 - 17:35 #


@Lilas Martin & John Williams

mais qui t'as invité toi ?


« Tu es mon compagnon et c’est ta mère, donc oui. » Tu ne t'attendais clairement pas à cette réponse. Le fait que Lilas veuille venir en aide à ta mère en venant la loger dans un logement plus récent avec toutes les commodités nécessaire à un être humain prouve bien que la rouquine a un grand coeur. T'aurais certainement pu insister plus lourdement face à ta mère pour lui avancer l'argent nécessaire dont elle a besoin pour payer un meilleur logement. Elle a toujours refusée. Ce n'est pas à toi de payer les pots cassés. C'est de la faute de ton paternel si elle en est là, savoir que Lilas est en mesure de payer le meilleur avocat de la ville pour faire cracher son fric à sa mère ne peut que te rendre heureux. "Si je ne me retenais pas, je viendrais te faire l'amour sur le champ." Pourquoi te retenir ? Elle en a certainement autant envie que toi. Il faut bien avouer que Lilas est quand même une très belle femme. Elle possède un mètre de jambe, des fesses parfaites. Même sa poitrine l'est, bien qu'elle ne cesse de dire qu'elle est trop petite. Ce n'est pas ton avis, sa poitrine est très bien. En tout cas, elle te convient parfaitement. Ni trop petit, ni trop gros. La main de Lilas caresse la tienne. Tu n'as jamais été très tactile envers qui que ce soit. Les câlins, les caresses ne sont clairement pas ta tasse de thé. Toutefois, tu ne te recule pas. Tu laisse la rouquine te toucher, un privilège que peu de gens ont l'autorisation de faire. « Je te mettrai en relation avec Harold. Il est très bon et on veillera à ce que ton père lui verse une pension très conséquente. » Tu te contente de hocher la tête positivement. Ça te touche réellement qu'elle veuille aider ta mère et se sortir de cet enfer dans lequel elle est tombée à cause de la connerie et de la méchanceté de ton père. Tu lui fais un léger sourire afin de lui montrer à quel point son idée te touche. Fais pas le con Williams ! Ne la laisse pas filer celle-là ! « Nous lui ferons justice, je te promets. » Oh que oui ! Tu fais confiance à Lilas, même si tu ne la connais que depuis deux heures tout au plus. "Je te fais confiance !" Réponds-tu tout simplement. Lorsque la jeune femme prend son accent français, ça a pour effet de te donner une érection. Des frissons te parcourent l'échine de haut en bas. La situation vous échappe soudainement. Lilas se lève, prétextant devoir aller aux toilettes. Seulement tu n'es pas dupe. Tu n'es pas né de la dernière pluie, t'en as fréquenté des femmes et tu ne connais que trop bien cette situation. Le temps passe, les minutes s'écoulent et Lilas ne revient pas. Il ne faut pas avoir fait de hautes études pour comprendre que la demoiselle ne reviendra pas. Elle a pris la fuite. C'est bien mal te connaitre si elle pense se débarrasser de toi comme ça. D'un bond, tu viens te lever de ta chaise et viens retrouver le serveur qui semble bien la connaitre la rouquine. Tu lui donne l'ordre de te filer son adresse. Mieux vaut qu'il le fasse, avec ou sans son aide tu la retrouvera. Rien n'arrête John Williams. Tu ne comprends pas. Pourquoi a-t-elle soudainement pris la fuite ? A-t-elle eu peur de s'attacher à ta personne ? As-tu fais quelque chose qu'il ne fallait pas ? Dit quelque chose que tu n'aurais pas dû lui dire ? Tu ne comprends pas. Tu compte bien découvre le pot aux roses, on ne te fuit pas de la sorte sans raison. Ou bien alors, il s'agit d'un jeu pour elle. Une fois que George t'as donné l'adresse de la rouquine, tu viens te commander un taxi. Deux minutes plus tard, le véhicule t'emmène à l'adresse que tu as soigneusement indiqué au chauffeur. Debout, face à l'immense immeuble, tu mets deux minutes avant de te décider à rentrer. Le portier ne te demande rien, il te laisse passer en arborant un grand sourire et en te spécifiant que celle que tu cherche se trouve au tout dernier étage. Tout en haut de l'immeuble. L'ascenseur est long à monter. Néanmoins, tu prends ton mal en patience tout en tapant nerveusement du pied sur le sol. Te voici la porte de chez elle. Tu frappe et n'attends que deux minutes, à peine, avant que celle-ci ne vienne s'ouvrir. Lilas se trouve face à toi, entièrement nue. "Si tu m'accueille comme ça à chaque fois que je débarque chez toi, je vais venir plus souvent !" Petit sourire rempli de malice sur le visage, tu viens la pousser légèrement avant de pénétrer chez elle. Tu ferme sa porte à l'aide du pied, ton corps se colle à celui de la rousse. Tes lèvres entrent en contact avec les siennes. Tu l'embrasse passionnément, tandis que tes mains viennent prendre énormément de plaisir à parcourir son corps. Bordel, elle est tellement parfaite ! Tu la soulève facilement. Ses longues jambes entourent ta taille. Ta bouche ne se détache plus de la sienne, tes mains ne désirent plus arrêter de la caresser. Clairement, Lilas est devenue ta drogue. Tu sais que tu as besoin d'elle pour vivre. Il y a des rencontres comme cela où tu sais tout de suite que tu ne pourras plus te passer de la personne. C'est exactement ce qui est en train de se passer entre Lilas et toi. T'as besoin de la jeune femme dans ta vie pour allez bien et être heureux. Tu ne veux pas le lui dire, pas maintenant. C'est beaucoup trop tôt. Tu viens poser la jeune femme sur le canapé, tu te mets au-dessus de la demoiselle. Tes lèvres reprennent très rapidement possession de celles de Lilas. Tu lâches un léger grognement rauque en sentant les ongles se planter dans ta chair. Une sauvage ? T'adore. Tu souris et te retrouve sur le sol après qu'elle vous ai fait basculer sur le sol. « Je te l’ai dit que t’étais pas de taille, John. » Non, tu n'es clairement pas de taille face à elle. Tu n'as pas dit ton dernier mot cela et tu sais que Lilas non plus. Son pied sur ton torse, tu ne bouge pas et l'écoute. Elle est toujours nue face à toi et ne semble pas être gêné. Tant mieux, cette vision ne te déplait pas le moins du monde. « Bienvenue en Enfer, chéri. Vu que tu as été un abruti, tu n’auras ni mes mains, ni mes lèvres. A vrai dire, je pense que c’est plutôt à toi de te servir de tes plus beaux attributs. » Ok, tu viens de comprendre qui commande dans votre récente relation et ce n'est clairement pas toi. Aussi étrange que cela puisse paraitre, ça ne te dérange pas d'être le jouet personnel de Lilas. « N’oublie pas que c’est mon anniversaire. Déshabille-toi tout seul, je vais piquer une tête dans la piscine. Car oui, j’ai une piscine privatisée. » C'est dans une démarche extrêmement sensuelle que la jeune femme se dirige vers le balcon.

AVENGEDINCHAINS


@Lilas Martin (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 2097744760
Revenir en haut Aller en bas
Lilas Martin
Lilas Martin
https://newyorkandchill.forumactif.com/t7944-lilas-dis-toi-simpl
just want a hot coco and silence, is it too much to ask ?
just want a hot coco and silence, is it too much to ask ?
Date d'emménagement : 11/02/2020
Messages : 100
Factures payées : 116
Avatar : Karen Gillan
Crédits : rainbowsmile
Autres comptes : Ruby McPhelps (Alina Kovalenko)
Pseudo / prénom : Tiffanie (Padawan)
Age : 26 ans
Date de naissance : 03 mars 1993
Nationalité / origines : 100% françaises
Pays d'origine : (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Flag-for-france_1f1eb-1f1f7
A NY depuis : ses 18 ans
Métier / études : Présidente de la filiale New-Yorkaise de Lemmington Enterprises
Logement : 242 S 1st Street au numéro 93
Orientation sexuelle : hétérosexuelle
Statut civil : amoureuse de son crétin de petit-ami: Supermâle ou John -crétin- Williams
Champ libre : (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Giphy.gif?cid=790b76113b4443c3509b351d09f53e87b635d10afb19f1b6&rid=giphy
Jilas ♡

How can you say you'll be mine?


(Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Empty






Lilas Martin a posté ce message Jeu 19 Mar 2020 - 18:18 #

Revenir en haut Aller en bas
John Williams
John Williams
https://newyorkandchill.forumactif.com/t8058-john-renaissance
a cup of green tea is the answer to most problems
a cup of green tea is the answer to most problems
Date d'emménagement : 05/03/2020
Messages : 47
Factures payées : 117
Avatar : Henry Cavill.
Crédits : {ava : rose water.}
Autres comptes : //
Pseudo / prénom : ELY.
Age : trente-huit ans. dans deux ans, c'est la crise de la quarantaine.
Date de naissance : quinze novembre quatre-vingt-trois.
Nationalité / origines : américain/anglais.
A NY depuis : qu'il a dix ans.
Métier / études : propriétaire de sa salle de sport & coach sportif.
Orientation sexuelle : hétéro.
Statut civil : amoureux. le coeur battant pour une grande rousse prénommé Lilas Martin. ♡
Champ libre : (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 RVWoZm_aCe-H4LTpKW0YvvjTc4IOYW2l7VHhv_6uxkuXiLUiUPSO1XN1SH0tkI-ISY8tkBEDYN74U0bH5Q0vm-6yCk0wqm_k1sFH5MluQnymfTljEGaPmOVXRmCDgQex8-kVFCmM-qRfd2dK0g

(Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Empty






John Williams a posté ce message Dim 22 Mar 2020 - 15:29 #


@Lilas Martin & John Williams

mais qui t'as invité toi ?


Tu viens d'arriver chez elle. Un bras autour de sa taille, tu viens tirer Lilas avec une légère force contre toi. Tu la tiens dans tes bras, sa petite poitrine venant s'écraser sur ton torse. La jeune femme se trouve entièrement nue contre toi. Ça n'est pas pour te déplaire, bien au contraire. Quel homme serait assez idiot pour refuser de passer un moment avec Lilas ?!  Pas toi en tout cas. Votre relation ne connaitra jamais l'ennui. « Fais-moi encore une fois comprendre que je suis qu’une nana de transition et la porte ne s’ouvrira plus jamais. » Note à toi-même Williams : ne jamais mettre la rouquine en colère. Jamais. Mieux vaut éviter. Une nana de transition ? Non, elle ne l'est pas. "Tu n'es pas qu'une nana de transition pour une nuit ou une journée. Tu vaux bien plus que cela !" Tu te souviens de ce qu'elle a dit un peu plus tôt, avant de te planter au restaurant. Son ex compagnon est un idiot. Comment peut-on refuser de coucher avec un canon pareil ? Tu ne veux pas te lancer de fleurs mais, t'es pas trop mal foutu comme garçon. T'as toujours fait énormément de sport, il n'y a que lors de ton accident que tu as perdu énormément de muscle et de poids aussi. T'as fait une belle dépression. Heureusement que tu t'en es sortis, ça a été difficile mais t'as réussis et tu n'es pas peu fier de toi. Tu colle Lilas contre les murs, ces immenses jambes de un mètre chacune s'enroulent autour de ta taille. Ses doigts se perdent dans tes cheveux manquant cruellement de discipline. Tu déteste aller chez le coiffeur, tu as horreur que l'on te touche les cheveux de manière général. Sauf ce soir, tu laisses la rouquine malmené tes cheveux. Ta langue se mêle à celle de Lilas. Vous deux corps s'échouent sur le canapé jusqu'à ce qu'elle vienne vous faire basculer et que tu attérisse sur le sol de son domicile. Elle te domine, mettant son pied sur ton torse. « Mon chou, je vais te manger tout cru. » Oh bordel ! Son accent français a pour effet de te faire bander comme un fou. Tu ne cherche même pas à lui cacher l'effet qu'elle te fait, tu n'as pas honte de bander devant elle. Ça serait même plutôt flatteur. "Mange moi Bébé. Je t'appartiens, non ?!" Tu dis en reprenant les mots qu'elle a prononcé un peu plus tôt. Tu plante ton regard dans le sien. Putain Williams, t'es en train de tomber amoureux de Lilas. Tu le sens, ton coeur bat la chamade à mesure que la soirée avance. Sans perdre une seule seconde, tu viens te déshabiller et la rejoins sur le balcon. La vue est à couper le souffle. Que ça soit la vue de la ville ou bien la vue de la jeune femme nue dans la piscine. « Tourne-toi bébé pour que je vois si le derrière est aussi agréable que le devant. » Tu obéis et tourne sur toi-même afin de lui montrer la marchandise. Tu n'es pas peu fier de ton corps. Ça demande beaucoup de travail et de sacrifices pour obtenir un corps pareil. "Verdict ? La marchandise te plait ?" D'ordinaire ce sont les mecs qui comparent les femmes à des morceaux de viandes, tu as un sens de l'auto-dérision suffisamment élevé pour plaisanter sur ta personne. Elle sourit. Lorsqu'elle sourit, Lilas est encore plus belle. T'en ferais bien ton quatre heures. « On dirait que tu apprécies ma voix. » Tu t'approche d'elle, tu penche la tête vers son oreille. "Je pense que tu l'as bien vu à quel point me fait de l'effet Bébé !" Tu lui mordille le lobe de son oreille, au risque de te prendre une nouvelle gifle. « Bien sûr. Je sais m’envoyer au septième ciel sans avoir besoin d’un homme qui viendrait fouiller mon vagin comme on jouerait à une partie de jeu-vidéo. » T'es tout de même rassuré de savoir qu'elle n'est pas resté vierge durant tout ce temps. Il aurait fallu que tu remédies à la situation. Tu pénètre dans l'eau et la tire contre toi, toujours avec cette brutalité qui te caractérise. Brutal mais pas trop, il suffit de trouver le juste milieu. Tu sens ses mains qui remontent le long de ton dos. Tu ne cesses de frissonner à chacun de vos contacts. Tu n'écoute pas cette petite voix au fond de toi qui te répète que t'es en train de tomber amoureux de Lilas. Tu ne veux pas le croire et pourtant, c'est vrai. T'es amoureux d'elle. C'est encore trop tôt pour le dire, vous vous connaissez depuis deux heures, tout au plus. Les préliminaires, tu ne sais pas faire. Tu n'as jamais fait ce genre de choses auparavant. Lilas te tape le poignet, tu t'arrête. Ton regard se perd à nouveau dans le sien, tu écoute ses réprimandes. « Ce n’est pas en me caressant de la sorte que tu vas me faire décoller, bébé. » La jeune femme se dégage de toi puis, elle te tire vers elle. Tu attérit entre ses cuisses, tes bras musclés encerclent sa taille. Tu écoute attentivement ses explications tel un élève écoutant sa professeur. "Apprends-moi à un être l'amant parfait Bébé !" Dis-tu en venant parsemant son cou de baisers. Elle se saisit de ta main qu'elle pose sur son intimité. « Il faut que tu caresses doucement. Ne te contente pas d’agiter ton doigt à l’intérieur de moi comme s’il s’agissait d’un interrupteur. Il faut que ta paume entière recouvre mon clitoris. » Tu obéis et caresse doucement son clitoris à l'aide de la paume de ta main. « Ensuite, quand tu sens que c’est sensibilisé. Là, tu peux y faire entrer tes doigts. Et seulement là. Pas avant. Sinon, tu risques de blesser ta partenaire avec tes ongles. Ou alors de faire retomber les sensations. La femme est comme un soufflé. Il faut y aller doucement mais fermement pour réussir à faire la jour. » Tu obéis encore, tu bouge lentement ta main sur son clitoris. Ton regard se plante sur la jeune femme, tu ne la quitte pas des yeux. Tu observe la moindre de ses réactions. Pendant ce temps, Lilas attrape ton sexe en érection avec sa main et commence à le caresser doucement. De légers gémissements rauques s'échappent d'entre tes lèvres. « Laisse-toi pousser une barbe, ça m’excite quand ça picote un peu. » Ah bah voilà, c'est malin ! Tu t'es rasé ce matin-même après avoir laissé ta barbe naissante vivre sur le bas de ton visage. "Et dire que je me suis rasé ce matin, si j'avais su .." Pas non plus au point de ressembler à Barbe-Bleue mais juste une petite barbe bien entretenue. Sauf que tu sais comment ça va se passer : tu vas t'y tenir le prmeier mois et après, tu vas tout abandonner. À moins que Lilas ne reste dans ta vie pour un long moment, avec une femme dans ta vie t'es certain de t'y tenir. Tu continues de la caresser. Lilas vient t'embrasser. Un baiser plus sulfureux que les précédents, tu la serre contre toi. Ta langue s'empare à nouveau de la sienne. « Et hésite pas à me dominer de temps à autre. Je veux bien assouvir tes fantasmes. Tant qu’il n’y a que nous deux. L’endroit, la position, la manière, ça m’est égal, je ne suis pas bien difficile niveau sexe. Et j’ai tendance à adorer la provocation, la possessivité voire même un peu de brutalité. » Jamais tu n'as rencontré une demoiselle aussi peu farouche qu'elle. Clairement, Lilas n'a pas sa langue dans sa poche et les tabous, elle ne sait pas ce que c'est. "Je prends note également de cette information." Tu lui feras part de tes fantasmes mais pas maintenant, plus tard. Tu observe ses seins, ils commencent à durcir. C'est le signal.
AVENGEDINCHAINS


@Lilas Martin (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 2097744760
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

(Jilas) Mais qui t'as invité toi ?  - Page 2 Empty






Contenu sponsorisé a posté ce message #

Revenir en haut Aller en bas
(Jilas) Mais qui t'as invité toi ?
Aller à la page : Précédent  1, 2
Revenir en haut 
 Sujets similaires
-
» « on dirait Noël, mais avec plus de... moi.»
» Mais les relations aussi.. [Ciela]
» Mais tu voudrais qu'elle soit ta reine ce soir. (+18)
» Boire d'accord, mais avec modération c'est mieux - Lucie.
» Le véritable amour connait des virgules, mais jamais de point.


Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
NEW YORK AND CHILL :: Williamsburg District :: north williamsburg :: union pool-
Sauter vers: