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 (Jilas) Mais qui t'as invité toi ?

Lilas Martin
Lilas Martin
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Lilas Martin a posté ce message Jeu 5 Mar 2020 - 21:03 #

Ok donc il vient de me larguer. Enfin Jasper lui a envoyé le sms pour l’envoyer chier car d’où il oublie mon anniversaire ? Non mais. Déjà le gars, j’ai la bonté d’âme de l’inviter chez moi, ensuite il refuse de coucher avec moi (première erreur), il me parle comme un chien au travail quand je lui fais un câlin (mauvaise décision deux), a un haut de cœur quand je l’embrasse (et de trois !). Bref, trois erreurs, trois lettres : nul. Et tu ajoutes l’oubli d’anniversaire, ça fait un plus. Connard. Je me retrouve sur le canapé de Jasper avec Benny et son nouveau mec que j’ai appelé numéro trois pour chialer ma race. La couronne est de travers et on dirait juste que j’ai un nid de corbeaux dans mes cheveux. Le mascara a sans doute dû couler ce qui me donne un air de panda qui aurait éventré son pote des suites du rouge à lèvres rouge. Et je peine à respirer. Fort heureusement, je ne mets pas longtemps à chialer pour un mec. L’eau est une ressource précieuse et je choisis de me réfugier dans la vodka. Je prends soin d’appeler mon portier que j’ai dans la poche (dieu bénisse les mini-jupes) pour le dégager de mon appartement et je désactive son badge grâce à mon smartphone. T’as joué, t’as perdu. Batard. Puis, je me redresse. Certes, je suis légèrement éméchée mais je m’en fous. En tee-shirt long et perché sur mes talons de douze, je me retrouve au karaoké. Je dois être la seule à vouloir faire un truc aussi beauf le soir de mes vingt-sept ans. On m’a bien sûr pomponné car je dois être bonne en toute circonstance. (Même si je n’ai clairement pas besoin de maquillage). Puis avec mes potes, je me dirige vers l’entrée. Un mec me bouscule et je manque de m’écraser au sol. Non, je ne suis pas Pinocchio et je ne finirai pas dans une flaque. « Dis pas pardon, ducon ! » Je grogne avant d’aviser le mec qui semble parti je ne sais où. Jolies fesses ceci dit. Dieu bénisse les jeans. Je me ressaisis. Et j’en ai rien à foutre de porter un tee-shirt qui peut laisser entrevoir mon short de pyjama. Je suis la queen de la journée et je peux sortir habillée comme je veux. Je resterai bonne anyway. On rentre, l’alcool commence à couler et j’en profite pour m’asseoir sur le bar en croisant les jambes alors que mes potes chantent faux au karaoké. « Exc… » je me tourne vers le lourd qui semble déterminé à poser ses mains sur mes magnifiques jambes. « N’essaie même pas mon chou t’as aucune chance. » Mais c’est qu’il essaie le bougre. Je hausse un sourcil avant de lui faire signe de décamper. Puis, je vide mon verre de vodka avant de grimacer tandis qu’on m’appelle pour ma performance. Comme d’hab, je décide de faire ma dramaqueen et de chanter du Sia. Les paroles me parlent car je vide les verres pour me saouler la tronche. Après tout, personne ne peut tomber amoureux d’une sociopathe. Je termine ma prestation avant de le voir. Putain mais de tous les bars de cette putain de ville, il faut que je tombe sur le connard qui m’a trompé (#petitemerde) avec ma meilleure amie (#salope), et qui a décidé de l’épouser (#ledivorcecomingsoon) et qui m’a poussé dans les bras de Samuel (#viedemerde). Je prends donc la première bouteille qui vient me fichant comme d’une guigne du coronavirus avant de voir qu’il s’agit des fesses de toute à l’heure. Oh hello ! Non, ce mec est un con. Il dégage une aura de connard débile profond. « Oh Lilas, tu es là ? » Non connard, je suis un hologramme. « Joyeux anniversaire. » Ouais, c’est ça. Je souris. « On m’a dit que vous vous étiez séparés avec ton mec ? Darde mon ancienne meilleure amie en posant sa main baguée sur l’épaule de mon ex-compagnon. » Je dodeline de la tête. « Sacré diamant, serait-ce pour compenser la petitesse de ton sexe Tomàs ? » Ah il est où l’orgasme ? Avec mes doigts. « C’est une chose que tu n’auras jamais Lilas. Il faudrait arrêter de mentir pour ça, me répond la connasse en souriant. » Je vais la défoncer. Sérieux, je vais lui arracher ses extensions mal posées et lui servir en salade. Je m’apprête à lui asséner un coup de poing bien senti alors qu’une main puissante et beaucoup trop grosse -hello big penis- m’arrête dans mon élan. Me foudroyant sur place pour le coup alors que je porte la bouteille à ma bouche pour prendre une grande rasade. Du whisky. Mais quelle horreur

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John Williams
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John Williams a posté ce message Dim 8 Mar 2020 - 8:04 #


@Lilas Martin & John Williams

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Encore une journée de travail qui se termine. C'est après avoir rangé la salle de sport ainsi que tous les équipements que les usagers fortunés -pour la plupart- se sont servis que tu viens te rendre dans ton bureau afin de clore quelques papiers. Malgré l’énorme poil que tu as dans la main, tu as réussis à monter cette salle de sport tout seul. Un peu d'aide pour l'administration de la part d'une très gentille demoiselle que tu as décidé d'embaucher parce que, soyons honnête, mais l’administration et toi ça fait deux. Vous n'êtes pas très copains à vrai dire. Demain, tu as rendez-vous avec ta comptable. Cela ne t'enchante guère et pourtant, il faut bien passer par cette case. T'espère qu'elle va t'annoncer de bonnes nouvelles, meilleures que le mois précédent. Les débuts ont été difficiles. Aujourd'hui, avec la conjoncture actuelle, certains mois sont plus compliqués que d'autres. Avec les beaux jours qui reviennent, les gens ont de plus en plus envie de se reprendre en main afin de pouvoir enfiler leur maillot de bain préféré cet été. Une aubaine pour toi et tes affaires qui se montrent florissantes depuis quelques semaines. Ta salle de sport se trouvent attachées à l'un des hôtels les plus luxueux de New-York, c'était le meilleur compromis que tu as pu trouver pour ne payer un loyer exorbitant afin d'avoir des locaux convenables. Déjà que le matériel t'as coûté une fortune... Mais c'est un investissement qui sera très rapidement rentabilisés. La moitié des appareils de torture, comme tu aime les appeler, le sont déjà, bien rentabilisés. Encore quelques années, cinq d'après ta comptable, et c'est bon, tu pourras te dégager un salaire conséquent. Tu n'as pas  te plaindre, tu as déjà un assez bon salaire, bien que tu ne vives pas non plus dans le luxe ou au-dessus de tes moyens. Tu restes un homme modeste, le surplus, tu t'en sers pour offrir des présents à tes amis ou à ta mère. La salle de sport rangée, tu ferme la porte à clé et vient prendre la direction du parking. Ce soir, tu n'as rien de prévu. La plupart des new-yorkais vivant ici depuis plusieurs années connaissent le grand John Williams. T'es connu comme étant n dragueur, un séducteur. Bien que tu ne couche pas avec toutes les nanas que te côtoie. Celles qui ont le plaisir de passer entre tes draps sont soigneusement triés avant d'y pénétrer. Mains dans les poches, le regard baissé sur ton smartphone, tu viens consulter rapidement les quelques mails et notifications que tu as pu avoir durant cette dernière heure. Tu ne fais pas attention à ce qu'il peut se passer autour de toi lorsque, soudain, tu viens bousculer une demoiselle. Tu reconnais la présence d'une jeune femme à l'odeur douce et sucrée de son parfum. Un régal pour tes narines. « Dis pas pardon, ducon ! » Tu relève brièvement la tête afin de voir la dite personne ; une très jolie rouquine de très grande taille, ce qui ne l'empêche pas de porter des talons d'une bonne dizaine de centimètres. T'as toujours eu un faible pour les femmes de grandes tailles. Ton regard se perd durant une minute sur la jeune femme que tu contemple de haut en bas. "Putain ! Quels jambes !" Viens-tu grommeler sans qu'elle ne puisse l'entendre. Tu le regarde entrer dans une salle, c'est celle du karaoké. Intrigué, tu reste planté dans le milieu du passage durant une minute avant de te ressaisir et finir par pénétrer à l'intérieur à ton tour.tu n'avais rien de prévu pour ce soir, ça tombe bien. Tu repère sans attendre la jeune femme rousse que tu as bousculé précédemment. Tu prends place non loin d'elle, observant la scène, un cocktail à la main. Ça fait bien longtemps que tu n'es pas venu t'éclater dans une soirée comme celle-ci. La jeune femme vient à monter sur scène offrant une prestation assez dramaqueen d'une chanson de la célèbre Sia. Tu l'aime bien cette chanteuse, tout comme la chanson que la rouquine a choisie. Tu viens la suivre d regard, tu ne perds pas une miette de ce qu'elle est train de faire : discuter avec un couple. D'un pas lent, verre à la main, tu t'approche du trio afin de mieux entendre ce qu'ils peuvent se raconter. « Sacré diamant, serait-ce pour compenser la petitesse de ton sexe Tomàs ? » Tu ne peux t'empêcher de sourire à sa remarque. En plus d'être une garce sexy, la jeune femme a un sacrée tempérament. Ce qui la rend encore plus sexy à tes yeux. Toutefois, tu la sens sur les nerfs et viens poser ta main sur son épaule. "Ah ben te voilà chéri ! J'suis désolé d'être en retard encore une fois !" Tu t'abstient de venir l'embrasser, t'aimerais pas recevoir une gifle bien méritée. Tu jauge l'homme du regard puis la femme. Si tu n'es pas si bête, tu penserais que ce type est l'ex compagnon de la rouquine et qu'il a certainement dû la tromper avec la jeune femme accroché à son bras comme une moule à son rocher. Mais quel crétin ! Comment on peut en venir à tromper une femme aussi sexy et bonne – appelons un chat un chat- avec une femme aussi banale et coincée qu'un balai dans les fesses. Ton bras s'enroule autour des épaules de la rouquine, t'arbore un grand sourire. "Pardon ! On n'se connait pas !" Dis-tu à l'homme en lui tendant la main pour le saluer. "John Williams ! Je suis le nouveau compagnon de cette jeune femme !" Tu ne connais pas son prénom encore. Tu viens plonger ton regard dans le sien, lui offrant un clin d'oeil afin de lui faire comprendre de marcher dans ton jeu. Si elle souhaite se venger de ce type, t'es l'homme idéal pour cela. La vengeance, t'adore ça.
AVENGEDINCHAINS


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Lilas Martin a posté ce message Dim 8 Mar 2020 - 12:15 #

J’ai toujours eu un tempérament de feu. Il faut dire que selon la personne que je vois une fois par semaine et que je paye beaucoup trop cher :il s’agit d’une sorte de carapace. Il faut dire qu’à chaque fois que je laisse entrer une personne dans ma vie, il faut que cela soit un immense salopard ou une sombre garce. Il suffit simplement de regarder ma relation avec ma mère adoptive. Femme abusive, pression psychologique jusqu’au jour où j’ai fait une tête de plus et où je lui en ai retourné une en plein visage. après, je me suis forgée toute seule et je n’ai pas fini à la tête de cette firme en cueillant des fleurs. Bien au contraire, il faut savoir exploiter les faiblesses de son adversaire. L’homme a un ego démesuré. Dans les relations, la chose est différente, je ne connais pas les usages. J’aime bien la proximité physique mais je jauge d’abord la personnalité d’une personne avant de lui accorder l’entrée de la moria. L’énigme que je représente est loin d’être simple et peu arrivent à la décrypter. Indomptable, loufoque, un peu garce sur les bords. J’aurai pu sortir le soir de mon anniversaire en portant une jolie robe et de belles chaussures. J’ai effectivement le bon soulier mais je suis en tee-shirt et en short de pyjama avec une couronne sur la tête. mes cheveux tombent rapidement sur mes épaules alors que je jauge le couple qui me fait face. Tomàs et moi sommes restés ensembles pendant cinq ans avant que je ne décide de pirater son téléphone. On ne largue pas la poule aux œufs a-t-il dit alors que la demoiselle était ma meilleure amie. Je les méprise l’un comme l’autre même si leur idylle a débuté après notre rupture. Elle a moins été plus fidèle que lui. mais la proie peut se montrer vile quand elle se sent attaquée. Quand elle constate qu’elle en face d’elle un prédateur plus redoutable qu’elle. « Je crois savoir que tu ne t’ais pas plainte de mon pénis pendant cinq ans. » Je soupire avant de passer une main dans mes cheveux. « Il faut toujours flatter le plus faible dans le sens du poil, mon cœur. » La langue française si belle et si aphrodisiaque pour la gente masculine. La compagne sentant que son existence tout entière serait gommée décide de m’attaquer là où ça fait mal. Je m’apprête à la frapper quand une main se pose sur mon épaule, m’arrachant un grondement. Je tourne la tête vers monsieur ducon de toute à l’heure qui semble s’inviter dans la conversation. Dents blanches, cheveux parfaitement coiffés mais une tenue vestimentaire à revoir. Son air suffisant et sa manière de lever la tête démontrent un prédateur. Il était ici en quête d’une proie. Et tel un Hercule des temps modernes (celui du dessin-animé, pas de la mythologie), il vole au secours de la demoiselle en détresse. "Ah ben te voilà chéri ! J'suis désolé d'être en retard encore une fois !" Je vomis les surnoms dans ce genre mais autant entrer dans son jeu puisqu’il essaie de me sauver la mise. Je n’ai besoin d’aide de personne mais pourquoi pas ? Et vu la tête des deux autres imbéciles, c’est un profit à prendre. L’homme en question est assez grand -moins que moi- massif -et donc doté d’une petite cervelle- avec des mains puissantes. Le queutard quoi. « La prochaine fois veille à ce que cela ne soit pas le soir de mon anniversaire. » Je pointe le doigt vers la couronne qui sied mon front alors que du coin de l’œil, je peux voir mes deux pintades de potes se gausser bien fort de ma situation. "Pardon ! On n'se connait pas !" Je confirme que même nous deux nous ne connaissions pas mais je dois faire illusion. Bien que le fait qu’il ait touché ma suprême personne me donne envie de lui écraser les noix de Saint Jacques qui lui servent de testicules. Je rejette donc mes cheveux en arrière avant de grimacer en le voyant tendre la main. Je confirme : stupide. On ne se sert pas la main en temps d’épidémie et Tomàs me fixe en suivant le même raisonnement que moi sans répondre à la demande de contact. "John Williams ! Je suis le nouveau compagnon de cette jeune femme !" Même nom que le compositeur mais a en juger par ses chaussures élimées par la même famille. L’annonce sur instabiatch demandait pourtant un mec bien lotti. « Depuis quand tu aimes les mecs musclés, Lilas, me demande Tomàs. » Je hausse un sourcil avant de passer ma main autour de la taille de mon compagnon improvisé avant de lui planter mes ongles dans l’aine. « Eh bien que veux-tu je suis une femme d’ordre superficiel et je préfère largement un homme avec une musculature développée et capable de maintenir son pénis dans son pantalon qu’à un homme qui allait trousser tous les jupons avant de se perdre dans les draps de Camii. Ça va ma chérie, pas trop dur d’être un lot consolation ? » La femme fait un pas vers moi, se voulant menaçant malgré les trente centimètres -quarante avec les talons- alors que je me déplie pleinement. « T’es vraiment qu’une salope. » Je pousse légèrement Johnny be good sur le côté avant de faire un pas, fusillant mon adversaire du regard. « Le mot précis est garce. Veille en enrichir ton vocabulaire avant d’utiliser des insultes dont tu ne maitrises pas la signification. » Je souris alors que Tomàs vient passer un bras autour de l’épaule de sa compagne pour la calmer. Jeu, set et match. J’ai gagné ce set mais pas le match. Je me tourne donc vers le présupposé John avant de m’approcher. Les effusions romantiques mettent les gens mal à l’aise en public et la probabilité que le duo se tire est assez élevé si je pose ma bouche sur celle de mon chevalier servant. Je me penche pour que nos lèvres se rencontrent de manière langoureuse alors que j’entends un toussotement derrière nous et qu’on balance les salutations promptes à une fin de conversation. Je m’écarte donc de monsieur avant de poser ma main sur sa poitrine et essuyant ma bouche. « La prochaine fois que tu poses la main sur moi sans mon consentement Johnny be good, je mets un coup de poing si fort dans tes testicules qu’ils vont te sortir par la bouche et je les porterai en boucles d’oreilles. » J’avise la bouteille avant de lui coller dans la main. « Cadeau pour cette performance digne d’un super-héros. Et pour te remercier de ce sauvetage, je te conseille la blonde au bar qui en ait à son quatrième cocktail. Je suis d’un autre niveau pour toi mon grand. » Je tapote sur sa tête comme on le ferait un petit chien avant de sourire. Puis, je passe à ses côtés avant de rejoindre mes amis et de sortir une cigarette de mon décolleté alors que nous nous dirigeons vers la sortie. « Mais pourquoi t’as laissé partir ce canon ? » J’ai un petit rire avant de lever l’index. « Laisse-lui trois minutes le temps que son sang n’irrigue plus la partie inférieure de son corps et il ne devrait pas tarder à débarquer. » J’allume ma cigarette. « Même si je doute qu’un dragueur de second zone qui mange la moitié de ses syllabes ne soit de taille pour la magnificence que je suis. »

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John Williams a posté ce message Dim 8 Mar 2020 - 16:42 #


@Lilas Martin & John Williams

mais qui t'as invité toi ?


Tu n'avais que dix ans lorsque tu as posé tes pieds sur le sol américain. Tes parents étaient convaincus que c'était exactement ce dont ils avaient besoin pour prendre un nouveau départ. C'était une belle connerie de le croire. En arrivant à New-York, la relation entre ton père et ta mère s'est encore plus dégradée. Tu n'as jamais eu une foule d'amis. Il faut dire que tu n'es pas le garçon le plus sociable de la Terre, au contraire tu te méfie énormément des gens. Pour toi, toutes personnes qui entrent dans ta vie finira par en sortir tôt ou tard te faisant plus ou moins du mal au passage. Tes amis sont tous triés avec le plus grand soin. T'en as vu défiler des gens dans ta vie. Le plus souvent, ils n'ont fait qu'un passage furtif et t'ont montrés à quel point l'être humain peut-être vil et mesquin. L'être humain est égoïste, il ne pense qu'à lui et se moque s'il fait du mal à autrui. Avec le temps, t'as appris à ne plus faire confiance à personne. Tes rares amis savent que s'ils sont dans ta vie, c'est qu'il y a une très bonne raison. Et mieux vaut qu'ils ne te trahissent jamais. John Williams, tempérament de feu. T'es connu comme le loup blanc à New-York. On remerciera ton paternel et ses frasques. Les Williams sont devenus des personnes à éviter dans cette ville. Heureusement, vous n'êtes que trois. Le mariage, tu n'y as jamais pensés. Pour toi, ce n'est qu'un bout de papier. Si on aime réellement une personne, on n'a pas besoin de l'épouser pour être heureux. Tes parents en sont la preuve. Ils ont voulus se marier alors que ta mère étaient enceinte de toi et depuis ce jour-là, ça a été la descente aux enfers pour eux. Beaucoup ne comprennent pas ta réticence à être en couple. Ce n'est pas que tu ne souhaite pas l'être, tu n'as juste pas trouvé la bonne personne pour cela. Trop difficile ? Tu ne pense pas. Tu demande juste à trouver une femme qui t'aime et que tu aime en retour. Tu demande juste à être heureux mais, apparemment, le bonheur est plus compliqué à trouver qu'il n'y parait. T'as bien sûr eu quelques relations sans lendemain, des femmes de passage dans ta vie. Jamais rien de sérieux. Pourtant, à deux ans de la quarantaine, toi aussi tu aimerais fonder une famille et trouver ton âme soeur. Surtout lorsque tu vois la plupart de tes anciens camarades du lycée en couple, mariés pour certains, et déjà parents pour les autres. On ne peut pas dire que ça soit grâce à ton père que tu es devenu l'homme que tu es aujourd'hui. Il ne t'as rien apporté de bon, simplement du malheur. Il n'a jamais cru en toi, il ne t'as jamais encouragé. Tu t'es toujours débrouillé seul. Durant tes études, tu as survécu grâce aux bourses et aux petits boulots que tu faisais en parallèle de tes études. T'étais bien souvent fatigué, avec des cernes bien creusés sous les yeux. Tu n'es pas peu fier de t'être battu pour en arriver là où tu en es aujourd'hui : propriétaire de ta salle de sport et coach sportif en même temps. Tu refuse d'être le cliché même du patron donnant sans cesse des ordres à tes employés, le cul assis sur sa chaise. Pour toi, être sur le terrain est important. C'est pour cela que tu n'hésite pas à mouiller le maillot. Ce soir, tu porte un jean. Il est rare de te voir vêtu de la sorte, uniquement pour les soirées entre amis qui se font de plus en plus rares ces derniers temps. Toi qui pensais passer une soirée tranquillement installé sur ton canapé, un plateau bien garni posé devant toi, te voici dans un karaoké. Le genre d'endroit dans lequel tu n'as jamais mis les pieds auparavant. Mais il y a cette fille, une grande perche rousse aux jambes magnifiques, qui vient de pénétrer à l'intérieur. Sur elle, la jeune femme porte un tee-shirt long et un short de pyjama. Son excentricité t'attire déjà énormément. Sur sa tête, elle porte une couronne. Serait-elle la reine de la soirée ? Ou bien un moyen d'encore plus attirer l'attention sur elle ? En tout cas, elle te plait et c'est assis dans un coin de la salle et un verre à la main, que tu ne cesses de poser ton regard sur la jeune femme. La jeune femme se trouve face à un couple, son visage démontre à quel point elle ne semble pas heureuse face à eux. Un ex ? Certainement. Néanmoins, tu ne sais pas ce qu'il s'est passé entre eux et tu ne le sauras probablement jamais, cela dit, ton cerveau est en train d'élaborer mille et un scénarios. La curiosité est un vilain défaut, tu le sais bien. Cela dit, tu ne te gêne pas pour te rapprocher du trio afin d'écouter ce qu'ils sont en train de se dire. « Il faut toujours flatter le plus faible dans le sens du poil, mon cœur. » La jeune femme a un sens de la répartie qui te plait énormément. T'aime les femmes de caractère. Tu aime autant dominer qu'être dominer, chacun son truc. Cela dit, son accent français est si agréable à entendre. Tu n'as pas eu l'occasion de te rendre en Europe encore et Paris est certainement l'une des destinations qui te fait le plus rêver en ce moment. Tu ne réfléchis pas lorsque tu t'approche de la rouquine qui semble à sauter au visage de l'autre nana. Une main sur son épaule, tu te présente à eux comme étant le conjoint de la rousse. Tu te sens tel un héros, venant au secours de la demoiselle en détresse. Bien qu'au fond de toi, tu sais très bien que la jeune femme n'a absolument pas besoin de toi -ou de quiconque- pour lui venir en aide. Tu n'es pas du tout complexé par le fait que la rousse soit plus grande que toi avec ces talons. Le couple en face de vous est bouche bée d'apprendre que tu es le petit-ami de la rousse, heureusement que cette dernière rentre dans ton jeu. « La prochaine fois veille à ce que cela ne soit pas le soir de mon anniversaire. » Ainsi donc c'est son anniversaire, ceci explique donc la présence de sa couronne sur sa jolie petite tête. "Je saurais me faire pardonner, je pense !" Petit sourire taquin sur les lèvres, tu es simplement toi. Séducteur, comme à ton habitude. Un peu plus loin derrière vous, tu entends deux jeunes femmes rire. Des amis à elle ? Peut-être, tu n'en sais rien et c'est un peu le cadet de tes soucis à l'heure actuelle. L'homme ne prend même pas la peine de te serrer la main. Imbécile. Tu soupire, gardant ton bras autour des épaules de la rousse. « Depuis quand tu aimes les mecs musclés, Lilas. » Lilas ? C'est donc le prénom de la demoiselle à qui tu viens de porter secours. Ce prénom lui va à ravir, du moins en apparence. Tu ne la connais pas encore pour te prononcer sur le reste de sa personnalité. La jeune femme enfonce ses ongles longs dans ton aine. Tu viens te mordre l'intérieur de la joue, essayant de ne pas perdre ton sourire face au couple. « Eh bien que veux-tu je suis une femme d’ordre superficiel et je préfère largement un homme avec une musculature développée et capable de maintenir son pénis dans son pantalon qu’à un homme qui allait trousser tous les jupons avant de se perdre dans les draps de Camii. Ça va ma chérie, pas trop dur d’être un lot consolation ? » Bordel, t'es très impressionné par la répartie de la demoiselle. Apparemment, cet homme est bel et bien l'ex compagnon de Lilas. L'as-t-il trompé avec cette Camii ? Tu ne connais pas encore tous les détails de leur histoire à tous les trois, tu les apprends petit à petit. « T’es vraiment qu’une salope. » Tu n'as pas le temps de rétorquer, Lilas te pousse sur le côté et là, elle se dresse face à l'autre nana. Bordel mais elle mesure combien ? Deux mètres au moins avec ses talons. Mieux vaut ne pas être à la place de la femme, Lilas pourrait la tuer en deux secondes si elle avait des revolvers à la place des yeux. « Le mot précis est garce. Veille à en enrichir ton vocabulaire avant d’utiliser des insultes dont tu ne maitrises pas la signification. » Tu ne peux qu'applaudir la réplique sanglante mais tout en restant classe de la rouquine. Tu joins le geste à tes pensées en frappant fortement dans tes mains. "Bien répondu Babe!" T'exclames-tu à Lilas. "Par contre, tu peux éviter de la traiter de salope ? C'est pas très beau dans la bouche d'une femme !" Tu viens poser ton regard sur l'autre nana qui semble tellement banale face à la rousse. Tu ne t'attendais pas à ce qu'elle vienne t'embrasser. Bien sûr que cela ne te dérange pas, tu serais bien con de ne pas profiter de ce moment. Le couple s'en va, ou du moins c'est ce que tu en déduis. T'es bien trop occupé pour te préoccuper de ces deux-là. « La prochaine fois que tu poses la main sur moi sans mon consentement Johnny be good, je mets un coup de poing si fort dans tes testicules qu’ils vont te sortir par la bouche et je les porterai en boucles d’oreilles. » Tu viens lever tes deux mains vers le ciel comme pour t'excuser. Dans ta main, la grande perche rousse vient t'offrir une bouteille. Un whisky d'un certain âge, elle a très bien cerné tes goûts. « Cadeau pour cette performance digne d’un super-héros. Et pour te remercier de ce sauvetage, je te conseille la blonde au bar qui en ait à son quatrième cocktail. Je suis d’un autre niveau pour toi mon grand. » Serait-ce un défi ? Lilas ne te connait pas et ça se voit, tu ne te défile jamais face à un défi. Jamais. Sacrilège. Elle va voir si elle est d'un niveau trop élevée pour toi. Tu n'as pas dit ton dernier mot. Tu n'as pas le temps de répondre, elle rejoint son petit groupe d'amis et se dirige vers la sortie. Deux options s'offrent actuellement à toi : soit tu lui coures après, lui montrant que t'es tout à fait digne d'elle, soit tu abandonne et te dirige vers la blonde assise au bar et qui semble fêter son célibat à sa manière. Ni une, ni deux, tu viens rejoindre la sortie à ton tour. Tu as pris soin de retirer ta veste, laissant ainsi entrevoir tes bras musclés. C'est ce qui fait craquer les femmes en général. Mais avec Lilas, rien n'est moins sûr. Posé contre le mur, la bouteille qu'elle vient de t'offrir à la main et cigarette à la bouche, tu viens poser ton regarder sur la rouquine. "Rassure-moi, la couronne est un élément clé de ta tenue quotidienne ?" Avouons le, la couronne lui va si bien. Elle se prends pour une reine et elle a raison. Habituellement ce genre de personne, tu les évite mais pas cette fois. Allez savoir pourquoi. C'est certainement son caractère bien trempé et ses immenses jambes de girafe qui t'attirent vers elle. En tout cas, tu n'as pas dit ton dernier mot. "T'en veux ?" Lui demande-tu en lui tendant la bouteille.
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Lilas Martin a posté ce message Mar 10 Mar 2020 - 20:43 #

J’ai toujours eu un franc parler. J’ai tendance à dire tout ce que je pense et je n’ai aucun filtre. Ce n’est pas entièrement de ma faute si je suis hyper bonne et intelligente. Les gens ne sont pas capables de se surélever pour parvenir à mon niveau. Et ce n’est pas l’insecte misérable qui me faisait face qui allait contredire ma pensée. Qu’est-ce que Tomàs a pour lui ? De l’argent ? Non. La beauté ? non plus. Et du charisme ? Sans aucun doute. Mais pourtant, je fais une tête de plus qu’eux et je dois avoir un baril de bières en trop dans le sang. Donc me voilà doté d’une assurance nouvelle. Enfin j’ai toujours eu de l’assurance mais pas face à lui. Toujours prompte à s’écraser et à faire jolie. Je n’ai pas le temps de faire quoique ce soit qu’un inconnu -pas si inconnu que ça, hello beau fessier- vient s’interposer dans notre discussion. "Je saurais me faire pardonner, je pense !" Je me tourne vers lui alors qu’il a un sourire arrogant sur le visage. Oh mon dieu, me voilà avec un connard bodybuildé qui pense que son sourire peut faire descendre ma petite culotte. Déjà, je ne porte aucun sous-vêtement et j’ai toujours assimilé les muscles avec un manque d’intelligence. « Si par pardon tu voulais dire me montrer ton pénis, ça ne marchera pas mon chou. » Je caresse sa joue. Et l’oscar de la petite amie amoureuse revient à Lilas Martin. Merci, je remercie ma mère. Ou pas. Mon chien. Et mon ex pour cette performance digne d’une comédie romantique. « D’ailleurs je viens de comprendre pourquoi ça commençait par la même lettre. » Un toussotement me signale la présence des blattes. On ne s’en débarrasse pas si facilement et j’en viens à me redresser encore plus. Face à Camii, je fais une tête de plus. Je pourrais aisément la gifler mais comme pour m’éviter un geste qui me vaudrait une expulsion de mon karaoké fav, je pose ma main sur le poignet de Johnny boy. "Bien répondu Babe! Par contre, tu peux éviter de la traiter de salope ? C'est pas très beau dans la bouche d'une femme !" Camii rit alors fièrement. « Il t’a appelé comme le cochon. Ça te va bien Lilas. » Je hausse un sourcil. « Le cochon est un animal noble capable de faire disparaitre des cadavres. Je te conseille de ne pas me tenter ma chérie. » J’incline la tête sur le côté avant de me tourner pour embrasser l’inconnu. Pas trop mal. Pas digne d’un baiser de cinéma et avoir la jambe pin-up. Mais pas mal. Après des menaces senties, je me dirige vers l’extérieur pour fumer tranquillement. J’aurai pu aisément compter jusque dix alors que le monsieur vient nous rejoindre. Je tourne la tête vers lui alors qu’il s’adresse à moi. Mes potes en profitent pour s’éclipser alors que je me dirige vers lui. « Oh mon cœur, inutile de porter une couronne pour être une véritable reine. » Mon regard s’attarde sur ses muscles alors que je viens pianoter dessus. Fermes, bien. Au moins, il prend soin de lui. Puis, je viens tirer une latte sur ma cigarette avant de plonger mon regard dans le sien. Ma main glisse pour venir toucher son entrejambe. « Eh beh toutes mes félicitations. » Un engin digne d’un ouvrage de E. L. James. « Dommage que je n’aime pas les mecs développés dans ton genre. Ce sont souvent de gros connards. » Je viens expirer doucement la fumée avant de sourire. « Mais t’as du bol, j’ai la dalle et je n’ai jamais mangé avec un connard. Et puis tu es censé être mon mec for now John Williams. Du moins jusqu’au mariage de cet abruti que je compte bien gâcher. Donc bouge-toi le fessier et emmène-moi dans un bon restaurant pour te faire pardonner ton regard, chéri. » Je murmure les derniers mots dans la langue de Molière alors que mon visage s’est considérablement rapproché du sien. « Par contre, je refuse de coucher avec toi. Une masturbation peut-être mais je ne suis pas une de ses femmes qui couche par dépit avec la première bouclette venue. » Je tire sur ses cheveux délicatement comme preuve de mon argument avant de tourner les talons pour lui faire signe de m’emboîter le pas. « Arrête de baver sur mes jambes et mes fesses et suis-moi la statue de cire. J’ai la dalle. Et femme affamée est synonyme de femme acharnée. »
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John Williams a posté ce message Jeu 12 Mar 2020 - 18:45 #


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mais qui t'as invité toi ?


Tu as toujours eu énormément de caractère. D’après ta mère, tu tiens ce trait de caractère de ton paternel. C’est bien la seule chose que tu apprécie tenir de lui. Depuis que tu es en âge de t’intéresser aux femmes, ce sont celles avec un fort caractère qui t’ont toujours plu. Cette Lilas te plait déjà énormément. Elle a un franc parlé, une manière de dire les choses à ses interlocuteurs que ça plaise ou non. Tu ne connais pas l’histoire qu’il y a pu y avoir entre la jeune rousse et le couple en face de vous. T’aurais très bien pu ne rien en avoir à faire, rentrer chez toi et continuer à vivre ta petite vie paisiblement. Mais non, il a fallu que tu vienne vers eux. Que tu ouvre ta bouche et décide de commencer à jouer cette comédie de faux petit-ami. Lilas, tu ne la connais pas. Pourtant, la demoiselle semble réellement te plaire. T’en as connue quelques unes. Aucune n’arrive à la hauteur de la rouquine. Elle est unique, c’est certain. Tu ne regrette aucunement d’être venu vers eux, te faisant passer pour le nouveau prétendant de la jeune femme. Tu viens t’excuser auprès d’elle de ton retard. T’es pas si mauvais pour jouer la comédie finalement. Et comme tu le pensais, la rouquine ne perds pas de temps pour te répondre et te remettre à ta place. Avec elle, tu n’auras jamais le dernier mot. Jamais. Pour quiconque qui te connaît, il est rare de te voir t’écraser face à une jeune femme. Il est rare de rencontrer une demoiselle telle que Lilas. Avec du tempérament -elle ne se laisse marcher dessus par personne-, une aisance et une assurance à en faire pâlir plus d’un et puis bon, tu ne peux pas nier que la grande perche rousse est férocement sexy. « Si par pardon tu voulais dire me montrer ton pénis, ça ne marchera pas mon chou. » Elle est presque aussi bonne comédienne que toi. « D’ailleurs je viens de comprendre pourquoi ça commençait par la même lettre. » C’est vrai qu’elle n’a pas tout à fait tort. Tout s’explique soudainement. T’esquisse un petit sourire à la jeune femme. Vas-tu oser l’embrasser sur la joue ? T’es pas le genre de mec à te poser trente-six milliards de questions. Ta tête se penche vers la jeune femme, tes lèvres viennent se poser sur la joue de la jeune femme et tu lui lance un sourire. Tu sens bien que la rousse se retient de gifler la jeune femme, elle te tient le poignet. Tu ne lâche pas le couple du regard en espérant qu’ils s’en aillent et vite. Pas question de perdre plus de temps avec eux, si l’un d’eux a blessé Lilas inutilement -ou volontairement- il aura à faire à toi. D’autant plus s’il s’agit de ce type en face de toi, qui ne cesse de te lancer des regards remplis de noirceurs et de haine. Comme si t’en avais quelque chose à faire de lui et de ses pensées, il n’est rien pour toi. Tu n’as pas de temps à perdre avec cet homme. « Il t’a appelé comme le cochon. Ça te va bien Lilas. » Mais bordel, d’où elle sort cette gourde ? Si ces références cinématographiques s’arrêtent au film culte - ou pas- à Babe, t’as très peur pour elle. Tu n’as pas le temps de rétorquer, Lilas le fait pour toi. « Le cochon est un animal noble capable de faire disparaître des cadavres. Je te conseille de ne pas me tenter ma chérie. »Tu ne la connais pas, en revanche t’es dans la capacité d’affirmer que Lilas est capable du pire. “Calme toi ! Elle n’en vaut pas la peine !” Tu lance un regard dédaigneux envers la jeune femme et soupire. Elle n’a pas grand chose pour elle. Simple d’esprit, une culture pas très développée. En revanche, elle est jolie. Tu ne peux pas le nier même si Lilas la dépasse largement. Elle l’écrase avec ces talons d’au moins quinze centimètres Petit coup d’oeil en direction de ses fesses. Joli fessier ! Sans que tu t’y attende, Lilas vient t’embrasser. Tu serais bien bête de ne pas profiter de cet instant, alors tu ne la repousse pas et prolonge même le baiser. Elle embrasse bien, même très bien. Ce n’est pas un baiser digne des plus grands chefs d’oeuvre du cinéma mais c’était un excellent baiser. le couple prend enfin congé et s’en va plus loin. Lilas aussi elle s’en va, te donnant une bouteille d’un très bon whisky au passage en guise de remerciement. Tu n’as pas l’habitude que l’on te remercie, néanmoins cela fait plaisir. C’est après plusieurs minutes de réflexion que tu rejoins la rousse et ces amis mâles dehors. Elle est en train de fumer, tu viens l’imiter. T’as pris la peine de retirer ta veste, laissant apercevoir tes muscles imposants. Généralement, les femmes sont folles de tes muscles. T’es pas certain que ça sera le cas de la rouquine, le meilleur moyen de le savoir c’est encore d’essayer. Ses potes s’en vont, vous laissant en tête à tête. Enfin un peu de tranquillité, c’est pas trop tôt ! « Oh mon cœur, inutile de porter une couronne pour être une véritable reine. » Tu te contente de lui sourire, tirant quelques lattes sur ta clope et rejetant la fumée plus loin, au-dessus de vos têtes. Elle est vraiment grand Lilas, elle te dépasserait presque. Sa main s’attarde sur tes muscles. Vos regards se perdent l’un dans l’autre, la main de la jeune femme se pose sur ton entre-jambe. Ok, elle est directe au moins. Aussi étrange que cela puisse paraître, ça ne te dérange pas le moins du monde. « Eh beh toutes mes félicitations. » Elle dit cela parce qu’elle a dû sentir l’érection. Ta main se pose sur l’un ds seins de la rouquine, sans aucune gêne. Tu sens la gifle venir rencontrer ta joue, tant pis, tu prends le risque. « Dommage que je n’aime pas les mecs développés dans ton genre. Ce sont souvent de gros connards. » Les muscles ne sont pas son genre, le mec de tout à l’heure avant donc raison. Tu prends note bien que tu ne perdras pas ce que tu as mis des années à avoir. A l’adolescence, t’étais tout chétif. Tu n’avais aucun muscle. « Mais t’as du bol, j’ai la dalle et je n’ai jamais mangé avec un connard. Et puis tu es censé être mon mec for now John Williams. Du moins jusqu’au mariage de cet abruti que je compte bien gâcher. Donc bouge-toi le fessier et emmène-moi dans un bon restaurant pour te faire pardonner ton regard, chéri. » Donc, tu vas jouer le faux petit-ami de la jolie Lilas jusqu’au mariage du couple. Bien, très bien même. “Putain, il va falloir que je me trouve un smoking. J’pense en avoir dans ma penderie !” En réfléchissant, t’en as pas. Exit la possibilité d’en avoir déjà un. Tu n’en as jamais eu l’utilité jusqu’à présent. Vos visages sont proches à nouveau. va-t-elle t’embrasser à nouveau ? Tu ne dis pas non, ces baisers sont fortement agréable. « Par contre, je refuse de coucher avec toi. Une masturbation peut-être mais je ne suis pas une de ses femmes qui couche par dépit avec la première bouclette venue. » Ta main passe le long de sa colonne vertébrale, la rapprochant de toi. Ton corps se colle au sien. “T’es directe toi au moins. ça m’plait !” dis-tu, un léger rictus sur les lèvres. Lilas te tire les cheveux, heureusement que tu ne crains pas cette pratique légèrement barbare. « Arrête de baver sur mes jambes et mes fesses et suis-moi la statue de cire. J’ai la dalle. Et femme affamée est synonyme de femme acharnée. » Tu t’exécute et te met à suivre la demoiselle, tes yeux ne quittent pas ses jambes et ses fesses pour autant. "Oh pardon ! C'pas ma faute si tu as des jambes sublimes !" Puis tu presses le pas, te retrouvant à ses côtés. Ta main effleure la sienne. Vous arrivez au restaurant, on vous installe à table. Juste au milieu de la salle, comme si vous étiez le centre du monde. “Puis-je me permettre de proposer de commencer par un petit apéritif ? Vin ? Cocktails ? C’est moi qui régale !” Pas question de laisser une femme payer pour toi, il en est hors de question.
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Lilas Martin a posté ce message Lun 16 Mar 2020 - 9:02 #

Je ne sais pas trop ce qu’il vient faire ici. Je ne le connais ni d’Eve, ni d’Adam. A part l’avoir insulté, je dirai que cet échange est au point mort. Trop focalisée sur Tomàs et sa compagne, je ne peux que le regarder du coin de l’œil. C’est un bel homme. Avec un sourire charmeur. Massif. Pas du tout mon genre. Des yeux bleus, le brun classique. L’américain classique. Perchée sur mes talons de quinze, je dois faire une bonne tête de plus que lui mais je suis plus grande que la moitié des usagers. Je me contente donc de comprendre à travers son regard que je devais entrer dans son jeu. Bien entendu, il faut que Camii ouvre sa bouche sinon la situation ne serait pas sur le point de s’envenimer. Ma main gracile posée sur le poignet massif de John -visiblement, il s’agit là de son nom- je le sens qui me retient d’aller lui coller une baffe en plein visage. Je virevolte alors vers lui pour me pencher et déposer mes lèvres sur les siennes. Après tout, il est d’usage pour un jeune couple de vouloir échanger sa salive à chaque heure de la journée. Voire même chaque seconde. Je peine à me rappeler quand était la dernière fois que je suis entrée en fusion avec quelqu’un. Sans doute Tomàs. Le jeune homme choisit de répondre, censé donc. Je pose ma main sur sa joue pour donner le change d’une relation amoureuse naissante alors que les deux gêneurs toussent pour s’en aller. Je me recule non sans une ou deux menaces à l’adresse de mon interlocuteur, lui tendre la bouteille fauchée plus tôt et sortir. L’air froid vient mordre mon visage alors que je sors une cigarette, que j’allume avant de prendre part à la conversation concernant notre nouvel intervenant. Qui ne tarde pas à débarquer. Un rire s’échappe de mes lèvres. Les hommes sont trop prévisibles. Je laisse les garçons rentrer non sans un regard éloquent avant de lever les yeux au ciel. Je me glisse donc jusqu’à lui avant de venir pianoter sur ses muscles. Il sent bon déjà, signe d’une bonne hygiène. Dans ses temps de Coronavirus, l’hygiène est importante avant de venir vérifier si tout est proportionnel. Eh bien, on remerciera sa mère d’avoir façonné un tel Apollon. Cependant, je ne m’attendais pas à ce qu’il pose sa main sur mon sein. Premier réflexe, je le gifle avant de venir secouer ma main douloureuse. Son visage est fait de pierre ou quoi ? « Désolée, mauvais réflexe. Mais on ne touche pas les seins d’une femme qu’on connait à peine, John Williams. La prochaine fois, c’est dans les testicules que je frappe.» Je l’informe de la marche à suivre pour les prochaines semaines. Sachant que le mariage arrivera à la fin du mois d’avril. Et je pense qu’il y a pire à supporter. Certes, il a l’air assez limité vu sa manière de parler mais en somme, je peux lire dans son regard que ce n’est pas un méchant garçon. Contrairement à moi. “Putain, il va falloir que je me trouve un smoking. J’pense en avoir dans ma penderie !” Oh dieu qu’il parle mal. « Par pitié, parle un peu mieux. On dit « je pense » et non « j’pense ». Déjà que vous autres américains avez un accent à couper au couteau mais alors si tu parles comme si tu avais un donut’s dans la bouche, ce couple forcé va être très long. » En conclusion : t’es beau mais t’es vraiment con. Je soupire avant de voir sa main sur ma taille. Voilà qui est mieux que sur ma poitrine. Ma main se pose sur son épaule avant de voir que si je retire mes talons, nous devons être à la même taille. “T’es directe toi au moins. ça m’plait !” Je hausse un sourcil avant de soupirer. « ça fait partie de ma personnalité. Et je ne vois pas pourquoi se perdre en mièvrerie pour finir par faire sauter la femme comme une pomme de terre dans une poêle avant d’en bouffer la moitié, la recracher et ne jamais la rappeler. C’est d’un ridicule. Autant dire les choses franchement et passer plus rapidement à autre chose. » J’incline légèrement la tête sur le côté avant de me décider à tourner les talons. "Oh pardon ! C'pas ma faute si tu as des jambes sublimes !" Je soupire avant de venir détacher ma lourde masse capillaire couleur des flammes. « Je sais. Tout est naturel et sans aucun besoin de soulever des altères. » Je le laisse venir effleurer ma main. Elle est chaude, un peu rugueuse. Je la saisis franchement. Le contact est assez agréable. et presque naturel. « Je parie ce que tu veux que d’ici quinze jours, tu seras amoureux de moi. On a cette faculté nous autres sociopathes de déclencher des réactions chimiques corporelles provoquant la sécrétion de l’hormone liée à l’amour. » Nous pénétrons dans un restaurant que je connais que trop bien. Après tout, nous sommes sur mon territoire. Le pays des riches. Je relève la tête avant que l’on ne vienne s’asseoir. “Puis-je me permettre de proposer de commencer par un petit apéritif ? Vin ? Cocktails ? C’est moi qui régale !” Je hausse un nouveau un sourcil avant de poser les mains à plat sur la table -non sans les avoir nettoyé au préalable- « Eh bien, choisis donc pour moi Johnny be good. Je ne suis pas végétarienne. » Mon pied se défait de ma chaussure alors que je viens doucement caresser sa jambe. « Je suis même une très grande amatrice de viande, dis-je avec un sourire aux lèvres, mais parle-moi un peu de toi. Travail, passe-temps, nous sommes censés être un couple donc je veux un résumé détaillé sur ton passif et ton présent ainsi que des projets futurs. » Je viens prendre un petit pain disposé sur la table en attendant que le serveur ne daigne venir prendre notre commande. « Evite-moi d’aller sur internet, c’est rapide je te l’accorde mais beaucoup moins fun que la méthode à l’ancienne, mon cœur. » Je viens poser ma main sur la sienne pour la caresser du bout des doigts alors que mon pied continue de caresser son tibia sans réellement me soucier que l’on nous voit ou non.
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John Williams a posté ce message Lun 16 Mar 2020 - 19:51 #


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mais qui t'as invité toi ?


Parfois, on rencontre des gens que l'on ne s'attendait pas à rencontrer. C'est exactement ce qu'il vient de se passer en cette fin de journée. Tu as eu la chance – ou pas, tu ne sais pas trop encore – de faire la connaissance de la pétillante Lilas. Cette dernière possède un très fort caractère et ça te plait. La jeune femme à la chevelure rousse ne se laisse pas démonter face à toi, tu ne lui dois rien. Tu ne la connais pas, tu ne sais rien d'elle et pourtant, sa détresse face à ce couple te prend aux tripes. Sauver les demoiselles en détresse n'est pas dans tes habitudes, sauf ce soir. Et pourquoi ? Tu ne sais pas, ton côté bon samaritain qui ressort peut-être. Lilas est une très belle femme, tu ne peux pas le cacher. John Williams, tout le monde te connait dans le quartier. Surtout les femmes. Au fond de toi, tu te dis que peut-être que Lilas serait assez folle pour tomber amoureuse de toi. Elle est folle, c'est un fait acté. Cela dit assez folle pour devenir la petite amie de John Williams tu ne penses pas. T'es conscient ne pas être à son goût, d'après les dires de l'homme qui s'est trouvé en face de vous, Lilas ne porte pas les hommes musclés dans son coeur. Tu ne cherche pas à plaire à qui que ce soit, ni à être le mec le plus musclé de New-York. Les femmes sont le plus souvent attirées par toi à cause de tes muscles, cela dit tu ne trouve aucune plaisir à les charmer. Il n'y a pas de défi à relever et toi, ça t'énerve. Avec Lilas, ce qui te plait, c'est le défi. Elle ne semble pas facile à conquérir et peut-être qu'il ne se passera jamais rien entre vous. Qui sait ? Personne, même pas Lilas et toi, les principaux concernés. Tu ne t'attendais pas à recevoir un baiser de la part de la rousse, pourtant tu la laisses faire. Tu ne la repousse pas et viens même faire durer le baiser un peu plus longtemps. Mais c'est qu'elle embrasse bien en plus de ça ! Si tu n'étais pas si réfractaire à l'idée, tu viendrais l'épouser sur le champ. Le mariage n'a aucune valeur à tes yeux, ce n'est qu'un bout de papier après tout. Ça ne veut rien dire pour toi. Le couple prend congé de vous et Lilas, elle choisit de se reculer comme si tu avais la varicelle ou bien la peste. Comme si elle avait, tout simplement, honte de se trouver à tes côtés. La jeune femme te rend la bouteille qu'elle t'as volée un peu plus tôt puis, elle s'en va en direction de l'extérieur en compagnie de deux types. À en juger par leur apparence, ils ont l'air bien gay. Tu n'as rien contre les homosexuels, bien au contraire. Sans réfléchir, tu rejoins la jeune femme. Tu as retiré ta veste, laissant ainsi Lilas voir tes muscles. Ça ne semble pas la ravir, voire même la freiner à te toucher. Néanmoins, elle pianote sur tes muscles. Tu souris et viens prendre le risque de poser ta main sur son sein. GROSSE ERREUR JOHN WILLIAMS !! Tu reçois une gifle en plein visage. Ouais bon d'accord, cette fois tu ne l'a pas volé. « Désolée, mauvais réflexe. Mais on ne touche pas les seins d’une femme qu’on connait à peine, John Williams. La prochaine fois, c’est dans les testicules que je frappe.» Sa manière de parler te fait sourire. Tu as certes commis une énorme faute en lui touchant le sein, cela dit tu ne regrette aucunement ton geste. "Pardon ! Je ne sais pas ce qui m'a pris. Un vieux réflexe je pense !" T'as l'habitude de cotoyer des femmes qui se laissent faire assez facilement, Lilas n'est pas comme les autres. Au plus profond de toi, ton coeur s'emballe lorsque ton regard se pose sur cette chevelure rousse. Elle te plait, c'est un fait acté. Cela dit tu doute qu'elle accepte d'être ta petite amie, qui le voudrait ? « Par pitié, parle un peu mieux. On dit « je pense » et non « j’pense ». Déjà que vous autres américains avez un accent à couper au couteau mais alors si tu parles comme si tu avais un donut’s dans la bouche, ce couple forcé va être très long. » Vient-elle s'exclamer. Elle n'a pas tout à fait tort, tu parle assez mal. Un langage que tu as pris lors de ton adolescence et qui ne t'as jamais quitté. "Excuse moi !" Pourtant, t'as fait des études et t'étais même plutôt bon. Tu parle trop vite, voici l'explication. Simple certes mais c'est la vérité. "ça va durer combien de temps notre "couple forcé" ?" Honnêtement, il y a pire que d'être en couple forcé avec Lilas. N'importe quel homme serait honoré d'être le petit-ami de la jeune femme et toi, t'es d'autant plus flatté qu'elle t'ai choisi pour jouer le rôle de son boyfriend. Tu la complimente sur le fait qu'elle soit franche, directe. Il est rare de rencontrer des personnes aussi directe qu'elle, on vit dans un monde d'hypocrites. « ça fait partie de ma personnalité. Et je ne vois pas pourquoi se perdre en mièvrerie pour finir par faire sauter la femme comme une pomme de terre dans une poêle avant d’en bouffer la moitié, la recracher et ne jamais la rappeler. C’est d’un ridicule. Autant dire les choses franchement et passer plus rapidement à autre chose. » Sa comparaison est très tirée par les cheveux, cela dit c'est la vérité. Tu as très souvent oublié -volontairement- de rappeler ta conquête du jour. Mieux vaut ne pas le lui mentionner, elle risquerait de t'émasculer. « Je sais. Tout est naturel et sans aucun besoin de soulever des altères. » Ton regard se pose sur elle, de haut en bas. Petit sourire de séducteur au coin des lèvres. Ta main effleure la sienne, elle ne la retire pas. Se laisserait-elle séduire ? Pas sûre, mieux vaut rester prudent. "Je déteste les femmes qui ont recours à la chirurgie esthétique. Même si cela est très bien fait chez certaines !" Tu ne critique pas, tu donne simplement ton point de vue. « Je parie ce que tu veux que d’ici quinze jours, tu seras amoureux de moi. On a cette faculté nous autres sociopathes de déclencher des réactions chimiques corporelles provoquant la sécrétion de l’hormone liée à l’amour. » Oh un pari ! Ton radar se met en route, Lilas a tout ton attention soudainement. "Un pari ? Sérieusement ?" Demande-tu. Tu lui tends la main pour sceller le pari. "Ok. Deal. Et je parie que tu vas tomber sous mon charme, on ne résiste pas au charme d'un anglais de base !" Scoop : tu n'es pas américain d'origine, t'es anglais. T'es né à Londres, un jour tu retourneras dans cette ville. Tu ne l'as que très peu connu. "Eh ouais, je ne suis pas américain mais anglais. Surprise !" Lilas et toi, vous pénétrez dans un restaurant. Tu n'es jamais venu ici, l'ambiance y est agréable. On vous installe au milieu de la salle. « Eh bien, choisis donc pour moi Johnny be good. Je ne suis pas végétarienne. » Oh mon dieu ! Une femme qui aime la viande, dieu merci ! "Oh je t'aime toi ! Tu n'es pas une de ces nanas végétariennes, voire vegan. Merci !" Tu ne les critique pas, cela dit ça t'agace ce genre de personnes essayant de convertir les autres à leur nouveau régime. « Mais parle-moi un peu de toi. Travail, passe-temps, nous sommes censés être un couple donc je veux un résumé détaillé sur ton passif et ton présent ainsi que des projets futurs. » Oulà, elle ne va pas être déçu du voyage. Tu te racle la gorge en venant une bouteille de champagne. "John Williams, né à Londres. J'ai posé les pieds sur le sol américain, j'avais dix ans. Je suis fils unique. Mon père est un petit trafiquant de merde, il a battu ma mère, il l'a trompé. Ta voix est un peu tremblante lorsque tu lui raconte ceci. Ma mère a été en centre pour femmes battues, elle vit dans un petit studio en ce moment et je lui rends visite deux à trois fois par semaine. Ça dépens du temps que j'ai, je suis proprio de la salle de sport à côté de l'hôtel. J'ai beaucoup galéré dans la vie mais je me suis toujours battu pour obtenir ce que je souhaitais. J'ai pas de réels projets pour le moment. Je vis au jour le jour !" Tu lui as fait un très gros résumé mais au moins, elle sait tout. "Tu sais tout de moi.. et toi, j'ai le droit à un résumé sur cette tornade rousse en face de moi ?" Ce n'est nullement péjoratif lorsque tu lui dis cela. La preuve : tu es en train de lui sourire. Tu sens son pied qui s'amuse sur ta jambe, ses doigts caressent le dessus de ta main. Un frisson parcoure ta colonne vertébrale de haut en bas. Stay focus John ! Cette femme n'est à toi que pour un temps, c'est tout. "Sur internet ? Mademoiselle Lilas est si connue que cela ?" dis-tu, arborant un sourire en coin des lèvres. "Je ne suis pas très high-tech tu sais, je préfère connaitre mon interlocuteur par la méthode à l'ancienne !" Le serveur arrive enfin pour prendre votre commande. Tu viens choisir un plat simple mais qui fonctionne à coup sûr. Tu opte pour un bon vieux steak avec des pommes de terre rissolées. Tu n'es pas un fan des légumes, t'en mange mais c'est très rare. Avec le plat, tu choisis une bouteille de vin. Un rouge, un bordeaux. "Alors, qui est Lilas ?"
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Lilas Martin a posté ce message Lun 16 Mar 2020 - 21:20 #

Alors que je lui fais face, je le trouve vraiment très séduisant. Il a un petit sourire en coin qui se veut carnassier et il me regarde comme si je n’étais qu’un morceau de viande. Lorsque sa main se pose sur mon sein, j’ai pour réflexe de lui coller une gifle. Déjà parce que je n’ai pas une énorme poitrine et ensuite parce qu’on ne touche pas les seins d’une femme qu’on connait à peine. Certes, je lui ai touché le pénis mais c’est autre chose, il était déjà en érection. Ou à moitié érection. "Pardon ! Je ne sais pas ce qui m'a pris. Un vieux réflexe je pense !" J’ai un rire moqueur avant de passer une mèche de cheveux derrière mon oreille. « Donc tu as pour habitude draguer les filles en leur touchant les seins. » J’arque un sourcil avant de faire un pas en arrière. « Alors mon cœur, on déteste ça. Surtout quand on a très peu de poitrine comme moi. A la limite, toucher les fesses c’est flatteur. Tout comme se faire siffler dans la rue. On fait les fausses modestes mais dans le fond, ça nous plait. Tu peux donc regarder mon cul autant que tu veux. Par contre… » Je fais un pas de plus vers lui alors que son souffle se mélange presque au mien. « Si tu poses encore une fois la main sur moi comme si j’étais un morceau de viande… » J’attrape fermement son membre, le service trois pièces, pour le presser doucement sans venir lui faire mal. ça serait dommage. « … Je te les broie. » Je me penche pour déposer un smack, un court baiser sur ses lèvres, chaste et lui tourner le dos. "ça va durer combien de temps notre "couple forcé" ?" Je tourne la tête vers lui avant de battre des cils comme une biche. « ça dépendra de ta capacité à me donner un orgasme ou pas. Pour le moment, c’est un contrat à durée déterminée mais tu sais te servir de l’anaconda qui te sert de pénis, ça pourrait partir sur une durée non définie. » je viens amener ma cigarette à mes lèvres, tirant une dernière latte avant de jeter le mégot dans le caniveau. « Je vais t’apprendre un truc sur la psyché féminine : la plupart des femmes tombent amoureuses au premier coup de bite. C’est un phénomène métaphysique qui libère une endorphine proche de l’amour. On s’attache à votre queue et non à votre sourire colgate extra blancheur. » Je lui glisse un petit clin d’œil avant d’avancer. Je le laisse prendre ma main comme un adolescent pré pubère. Il doit hurler au jackpot dans sa tête. "Un pari ? Sérieusement ?" Oh mon dieu, un débile qui aime la compétition. Il me tape dans la main sans que j’ai besoin de le rétorquer. "Ok. Deal. Et je parie que tu vas tomber sous mon charme, on ne résiste pas au charme d'un anglais de base !" Je me stoppe devant le restaurant pour lui faire face de toute ma hauteur. Eh ouais, je ne suis pas américain mais anglais. Surprise !" J’ai un rire avant de me pencher pour venir effleurer ses lèvres sans venir sceller le baiser. « La tradition veut que lorsqu’on pactise avec le diable, on scelle le contrat d’un baiser. Je m’en fous que tu sois anglais, américain ou même turc. Mon cœur » Je viens plonger dans son regard avant de passer une main dans ses cheveux courts pour dégager son visage. « Je suis française. Je sais jouer avec ma voix pour la rendre ô combien érotique. Je parie que depuis que j’ai touché ton membre la dernière fois, tu es en constante érection. » J’ai un sourire plus carnassier alors que je me penche pour venir embrasser l’os de sa mâchoire et murmurer à son oreille. « 1m80, jambes de 1m. T’auras même pas le temps de remonter jusqu’à mon vagin que je t’aurai déjà fait jouir. » Puis, je rejette mes lourds cheveux en arrière avant de pénétrer dans le restaurant que je connais bien. J’ai le loisir de lui laisser choisir sa table avant de me poser en face. "Oh je t'aime toi ! Tu n'es pas une de ces nanas végétariennes, voire vegan. Merci !" Ma chaussure se défait de mon pied alors que je viens lui caresser le mollet. « Tu vois, t’es déjà en train de tomber amoureux. » Ma main vient s’attarder sur la sienne. Je caresse doucement chacun de ses doigts du bout des miens comme pour la sensibiliser alors qu’il entreprend le récit de sa vie. Je n’en demandai pas tant. "Tu sais tout de moi.. et toi, j'ai le droit à un résumé sur cette tornade rousse en face de moi ?" Enfin c’est à mon tour de parler. Va-t-il m’écouter jusqu’au bout ? J’en doute alors que mon pied s’attaque à sa cuisse. "Sur internet ? Mademoiselle Lilas est si connue que cela ?" Je viens m’esclaffer avant de retourner mon téléphone que j’ai posé sur la table. "Je ne suis pas très high-tech tu sais, je préfère connaitre mon interlocuteur par la méthode à l'ancienne !" Je viens consulter la recherche vocale ayant trouvé des résultats sur le fameux John Williams. « Alors, qui est Lilas ?" Je fronce le nez en admirant la bouteille qu’on vient de nous amener. « S’il vous plaît » Je hèle le serveur avant de le reconnaitre. Forcément quand tu viens manger tous les midi avec tes investisseurs, tu connais le personnel. « George, bonsoir. » Le serveur me sourit. « Miss Martin, quel plaisir de vous avoir. » Il s’empare de la bouteille avant de faire la même grimace. « Je vous mets comme d’habitude. » Je lui fais un clin d’œil alors qu’il s’éloigne. « Alors qui suis-je ? Oh je vais t’épargner le couplet de mes parents m’ont abandonnée à la naissance alors que ma mère adoptive s’est retrouvée abusive à me scarifier la peau pour m’enfermer dans un placard avec un ordinateur à chaque fois que je ne lui plaisais pas. » Je viens doucement étendre mon bras pour mettre en lumière mes cicatrices, très présentes sur mes bras. « Alors j’ai passé mon bac à l’âge de 12 ans. Je suis devenue pupille de la nation la même année. Mise dans une école pour surdouées parce que je suis une vraie sociopathe. Tout ça parce que j’ai mis le feu à une poubelle quand j’avais sept ans. » Je viens décortiquer mon morceau de pain avant de déglutir. « Je me suis ennuyée grave donc j’ai hacké l’état major à l’âge de seize ans pour me faire repérer par les Lemmington qui m’ont plus ou moins proposé un boulot dans leur entreprise. J’ai débarqué ici à dix-huit ans et l’année dernière, j’ai pris la tête de la succursale New-Yorkaise. Et pendant que tu me parlais mon logiciel de reconnaissance faciale a réussi à trouver tous tes dossiers sur internet. » J’ai le regard fuyant avant de rire un peu tandis qu’on vient nous servir le rouge. Je remercie George dans ma langue natale. « Je suis restée avec Tomàs pendant cinq ans avant qu’il ne refuse de m’épouser pour finalement épouser ma meilleure amie. Du coup, j’ai plus ou moins infiltré son téléphone pour me rendre compte que je n’étais que la poule aux œufs d’or et j’ai pris comme résolution de gâcher son mariage en venant avec un canon. » Ma main s’ôte de la sienne alors que je viens tapoter sur la nappe. « J’avais mon assistant qui a refusé de me sauter et qui m’a largué aujourd’hui-même. J’ai un chien, un carlin, et un chat. » Je viens m’enfoncer dans ma chaise avant de dégainer mon téléphone pour faire défiler le dark web. « T’es pas con, bonnes notes à l’école, aucune MST. Donc à part ton historique familial qui est à déplorer avec un père abusif et une mère ayant des soucis psychologiques, je pense que ça pourrait le faire. Pourquoi le sport ? T’as pourtant fait de grandes études, diplôme avec presque mention, pourquoi t’as choisi de monter ton club ? Pas envie de se faire contrôler et également pourquoi t’es seul, peur de l’engagement ou ton pénis est juste trop gros et fait peur aux femmes ? » Je lui sers mon sourire le plus charmeur avant de prendre une gorgée de vin. « Au faux couple le plus improbable du monde. »
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John Williams a posté ce message Mar 17 Mar 2020 - 15:32 #


@Lilas Martin & John Williams

mais qui t'as invité toi ?


Ta main posée sur le sein de Lilas, la jeune femme ne tarde pas à venir te coller une gifle. Tu ne l'a clairement pas volé. Lilas ne ressemble vraiment pas au genre de femmes que tu fréquente d'habitude. Sa poitrine n'est guère proéminente. Contrairement à ce que certaines mauvaises langues peuvent dire, ça ne te gêne pas. Tu n'as rien à redire sur sa poitrine. Elle ne l'a pas choisit, c'est Dame Nature qui en a décidé ainsi. Ta main vient se poser sur ta joue. Bordel, elle n'y est pas allé de main morte ! Tu vas avoir une très jolie marque demain, si ce n'est pas déjà le cas. « Donc tu as pour habitude draguer les filles en leur touchant les seins. » Non, clairement pas. Ce n'est pas une habitude. Tu viens hocher négativement la tête, glissant une main dans tes cheveux en bataille. Ton apparence est pour toi la dernière des choses qui a son importance. Ça ne te dérange pas le moins du monde de sortir vêtu d'un jogging pour aller faire tes courses par exemple. Tu n'en as que faire du regard et des réflexions d'autrui. "Non. Je ne suis pas comme ça !" T'es certes un gros dragueur, néanmoins ton tableau de chasse -tu déteste ce terme- n'est pas aussi conséquent que l'on peut le penser. Lilas fait un pas en arrière. C'est comme si soudainement, tu la dégoutais. « Alors mon cœur, on déteste ça. Surtout quand on a très peu de poitrine comme moi. A la limite, toucher les fesses c’est flatteur. Tout comme se faire siffler dans la rue. On fait les fausses modestes mais dans le fond, ça nous plait. Tu peux donc regarder mon cul autant que tu veux. Par contre… » D'accord. Alors, tu n'as pas le droit de lui toucher les fesses mais, en revanche, tu as l'autorisation de regarder ses fesses. Très bien, ça te convient comme cela. La jeune femme s'approche à nouveau de toi, à seulement quelques centimètres de toi. Tu arrive même à sentir la délicieuse odeur de son parfum. Un régal pour tes narines. « Si tu poses encore une fois la main sur moi comme si j’étais un morceau de viande… » Des menaces ? Tu ne dis rien, les bras croisés sur le torse tu viens plonger ton regard dans celui de la jeune femme. Stay focus Williams ! Lilas pose sa main sur ton membre et le serre doucement. Tu fais bien moins le malin soudainement. « … Je te les broie. » Ok, elle ne plaisante pas. Enfin si, peut-être. Quoi qu'il en soit, tu refuse de prendre le risque qu'elle ruine tes bijoux de famille. Tu déglutis puis viens te racler la gorge. Ton regard ne se détache pas de celui de Lilas. "Très bien, j'en prends note !" Tu viens lui demander combien de temps cette histoire de faux couple, bien que tu ne sois pas réfractaire à cette idée. Tu serais bien stupide de refuser son offre. « ça dépendra de ta capacité à me donner un orgasme ou pas. Pour le moment, c’est un contrat à durée déterminée mais tu sais te servir de l’anaconda qui te sert de pénis, ça pourrait partir sur une durée non définie. » La manière de réagir de Lilas ne peut que te faire sourire. T'aimerais tant poser ta main sur elle, mieux vaut éviter. Tu tiens à tes parties intimes, ton égo en prendra un grand coup. Elle jette sa cigarette dans le caniveau, tu ne cesses de regarder la jeune femme. Bordel qu'est-ce qu'elle est belle ! Et ses jambes ... Stay focus John ! Tu tente de reprendre tes esprits et de te consacrer sur le visage de poupée de la rouquine. « Je vais t’apprendre un truc sur la psyché féminine : la plupart des femmes tombent amoureuses au premier coup de bite. C’est un phénomène métaphysique qui libère une endorphine proche de l’amour. On s’attache à votre queue et non à votre sourire colgate extra blancheur. » Toi qui a toujours eu du mal à comprendre les femmes, tu les comprends un peu mieux grâce à Lilas. La jeune femme te laisse prendre sa main, t'es conscient que rien est gagné avec elle. Relax, vous en vous connaissez que depuis une heure tout au plus. « La tradition veut que lorsqu’on pactise avec le diable, on scelle le contrat d’un baiser. Je m’en fous que tu sois anglais, américain ou même turc. Mon cœur… » C'est un défi ? Ce genre de défi ne te dérange pas le moins du monde, surtout que la demoiselle embrasse tellement bien. Son accent français est rempli de sensualité, tu as bien du mal à rester de marbre. Tes lèvres s'approchent de celles de la jeune femme, une main autour de sa taille tu viens la rapprocher de toi. Tellement que Lilas se retrouve collé à toi, ses petits seins contre torse. "Ah bah si c'est la tradition alors !" Tes lèvres se plaquent sur les siennes, lui offrant un baiser passionné. « Je suis française. Je sais jouer avec ma voix pour la rendre ô combien érotique. Je parie que depuis que j’ai touché ton membre la dernière fois, tu es en constante érection. » Ce n'est pas faux. Tu as énormément de difficulté à conserver ton calme. À l'intérieur, tu bouillonne d'impatience. Si ça ne tenais qu'à toi, tu viendrais la prendre dans la petite ruelle sur le côté mais Lilas n'est pas ce genre de femmes. Elle mérite mieux que de se faire prendre entre deux containers poubelles, dans une ruelle sombre et humide. « 1m80, jambes de 1m. T’auras même pas le temps de remonter jusqu’à mon vagin que je t’aurai déjà fait jouir. » Ton regard se pose sur ses jambes, tu les remonte très lentement jusqu'à ses fesses. "Tes jambes sont parfaites !" Ses jambes, ses fesses. L'entièreté de son corps est parfait. En aucun cas, elle n'a le droit de complexer sur son corps. Elle est parfaite. Les autres nanas peuvent aller se rhabiller sans attendre. Même Claudia Schieffer est has been face à Lilas. Ses longs cheveux roux détachés, ils retombent à merveille sur ses épaules. « Tu vois, t’es déjà en train de tomber amoureux. » Tu te retiens de sourire et surtout de rougir. John Williams amoureux ? C'est possible ? Tu n'as été en couple qu'une seule fois et ça remonte à des années. Te caser ne t'importe pas vraiment, cela dit jouer ce faux couple avec Lilas ne te dérange pas. La jambe de la jeune femme te caresse le mollet, pour le moment tu garde le contrôle mais pour combien de temps encore ?! C'est elle qui a le contrôle et elle le sait parfaitement. Les doigts de Lilas se mettent à caresser les tiens. Pendant ce temps, tu viens lui faire le récit de ta vie. De A jusqu'à Z. Tu oublies certains détails sans grande importance selon toi mais au moins, elle sait le plus important sur toi. La rouquine te montre l'écran de son téléphone. La garce, elle fait des recherches sur ta personne. Peut-être souhaite-t-elle s’assurer que t'es pas un psychopathe ou un serial killer. Lilas discute avec le serveur qu'elle semble bien connaitre. Un ex ? "Dit dont, t'es connue ici !" Un moyen détourné de savoir si elle a eu une aventure avec ce type ou non. De la jalousie ? Non, ou peut-être que si mais jamais tu ne l'avouera. Pas pour le moment du moins. « Alors qui suis-je ? Oh je vais t’épargner le couplet de mes parents m’ont abandonnée à la naissance alors que ma mère adoptive s’est retrouvée abusive à me scarifier la peau pour m’enfermer dans un placard avec un ordinateur à chaque fois que je ne lui plaisais pas. » C'est à son tour de te parler d'elle, de te faire le récit de son histoire et de son passé. Son bras s'allonge sur le bras et là, l'horreur. Le bras de Lilas est couvert de cicatrices. Tu ne comprends pas. Que s'est-il passé ? Qu'as-t-elle vécue ? Sa mère adoptive, c'est de sa faute. Putain la garce ! Comment peut-on faire ça à une enfant ? Tu ne dis rien, tu ne lui coupe pas la parole et viens continuer d'écouter son récit. « Alors j’ai passé mon bac à l’âge de 12 ans. Je suis devenue pupille de la nation la même année. Mise dans une école pour surdouées parce que je suis une vraie sociopathe. Tout ça parce que j’ai mis le feu à une poubelle quand j’avais sept ans. Je me suis ennuyée grave donc j’ai hacké l’état major à l’âge de seize ans pour me faire repérer par les Lemmington qui m’ont plus ou moins proposé un boulot dans leur entreprise. J’ai débarqué ici à dix-huit ans et l’année dernière, j’ai pris la tête de la succursale New-Yorkaise. Et pendant que tu me parlais mon logiciel de reconnaissance faciale a réussi à trouver tous tes dossiers sur internet. » Lilas est une enfant précoce. Ok, mieux vaut être ami avec elle que son ennemi. Lilas, elle sait ce qu'elle veut. Tu le sens, c'est une jeune femme avec un fort caractère et qui ne laisse personne lui marcher dessus. "La vache ! T'as un sacré passé toi aussi. Je suis très impressionné par où tu es passé." Tu arque un sourcil. "Des dossiers sur moi ?" Tu te demandes bien ce qu'elle a pu trouver d'intéresser sur toi. Elle ne te regarde pas dans les yeux. Tu remercie ce George de vous servir le vin, il prend congé de vous. "Attends, Tomàs c'est le type de tout à l'heure ? Ce qui veut dire que la nana accroché à son bras c'est ton ex meilleure amie ?" Tu commence à mieux comprendre leur histoire et l'intérêt de Lilas à détruire son mariage. "C'est moi le canon ? Je suis ravi de te rendre ce service. Ça m'a l'air d'être un gros con ce type !" Surtout s'il a laissé partir une jeune femme aussi ravissante que Lilas. Il faut avoir une case en moins pour le faire. « J’avais mon assistant qui a refusé de me sauter et qui m’a largué aujourd’hui-même. J’ai un chien, un carlin, et un chat. » Pardon ?! Mais c'est qui ce crétin qui refuse de se taper une femme comme elle ?! Tant pis pour lui et tant mieux pour toi. Enfin, relax John Williams, rien est fait. T'es que son faux petit-ami, rien de plus pour le moment. "J'ai un chien moi aussi. Un gros chien, plein de poils mais c'est un vrai nounours !" Tu dégaine ton smartphone et lui montre une photo de ta bête. T'es fier d'être le propriétaire de ce chien. « T’es pas con, bonnes notes à l’école, aucune MST. Donc à part ton historique familial qui est à déplorer avec un père abusif et une mère ayant des soucis psychologiques, je pense que ça pourrait le faire. Pourquoi le sport ? T’as pourtant fait de grandes études, diplôme avec presque mention, pourquoi t’as choisi de monter ton club ? Pas envie de se faire contrôler et également pourquoi t’es seul, peur de l’engagement ou ton pénis est juste trop gros et fait peur aux femmes ? » Ok, elle est bien renseigné sur toi. Aucune faute, tout est juste. Elle commence à te faire peur à se renseigner ainsi sur ses proches. "J'aurais aimé être sportif de haut niveau. Mauvaise blessure, mon rêve est réduit à néant. C'était la seule solution pour que je continue à évoluer dans le milieu du sport. Je m'en plaint pas, j'adore mon métier !" La jeune femme devient plus indiscrète lorsqu'elle te demande pourquoi t'es célibataire. "Je ne me prononcerais pas sur la taille de mon pénis, tu devras en juger par toi-même." Réponds-tu d'une voix basse, afin que personne ne puisse entendre votre conservation assez .. intime. "Je ne cherche pas vraiment à trouver l'amour. Si mon âme soeur se présente à moi, je me dis que je le saurais et je ne laisserais pas passer ma chance !" Tu ne te prends pas la tête, tu vis au jour le jour. Ce qu'il va se passer demain reste dans l'inconnu. Tu lève ton verre en même temps et vient trinquer avec elle. "A nous et à cette fausse relation !" Et dire que tu es censé être rentré chez toi, avachi dans ton canapé, le chien à tes côtés et une pizza en guise de repas. La vie te réserve parfois de drôle de surprises. Mais des surprises comme celle-ci, t'en veux bien tous les jours. Tu sens le pied de la rouquine qui remonte de plus en plus haut, bientôt elle va atteindre ton entre jambe. Tu tente de rester de marbre, c'est difficile. T'es certain qu'elle prend son pied de torturer de la sorte.
AVENGEDINCHAINS


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