Un jour peut-être arrêtera-t-il de la taquiner … Wyatt n’en est pas certain. Il reste certain qu’il la désirera toujours autant et toujours avec cette certitude, il sait que Cassie lui fera le même effet indéfiniment. Il en jouera sans doute moins, et encore … ça non plus ça ne semble pas être une certitude tandis qu’il l’embrasse à en perdre haleine. De toute façon, rien n’est certain les concernant hormis le fait qu’il a des sentiments forts pour cette femme qui le rend complètement fou et que, parfois, ça l’effraie. « Je mouille déjà rien qu’à l’idée de ce que je vais pouvoir te faire, sous cette fameuse douche. » Oh bordel … Ce genre d’informations suffit à lui donner envie de la déshabiller là, contre sa voiture, sous le regard des passants. Toutefois capable de se contenir, Wyatt se recule avant de faire une bêtise. Cassie en profite pour entrer dans la voiture non sans lâcher un : « T’as intérêt à vite conduire. » au préalable. Lui, il prend deux petites secondes pour se ressaisir, humecte ses lèvres puis contourne la voiture pour prendre place derrière le volant. Rapidement, ils s’éloignent du parc, roulent vite en direction de la maison où il vit. « Tu jouais au malin, tout à l’heure… » Brièvement son regard tombe sur la main de la brune qui remonte le long de sa cuisse. Pas assez pour le déstabiliser, mais assez pour lui donner envie d’accélérer. « …J’vais peut-être avoir envie de te punir un peu, tu sais » Voilà qui semble être intéressant et qui est surprenant venant d’elle. Ça lui fait toutefois encore plus d’effet, à moins que ça ne soit la main de Cassie posée sur son érection déjà bien visible. « Je me punis assez en t’imaginant me prendre dans ta bouche là … » Ses mains crispées autour du volant prouvent qu’il ne ment pas. Il la désire brutalement, plus que lorsqu’il la taquinait dans Central Park. Alors il accélère un peu plus, sait qu’ils ne risquent pas d’être arrêté, pas avec son poste et ses avantages même s’il se voit mal expliquer que s’il ne respecte pas la loi c’est uniquement pour pouvoir s’envoyer en l’air avec sa petite amie.
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« Je me punis assez en t’imaginant me prendre dans ta couche là… » « Me tente pas…» Je siffle entre mes lèvres en caressant doucement sa bosse. Il est si crispé que ça m’amuse de le voir ainsi. C’est tout autant plaisant d’avoir du pouvoir sur lui qu’il n’en a sur moi. Mais aujourd’hui, quelque chose me dit que je suis la reine de la situation. Ses mains serrant le volant, je finis par enlever ma main de peur d’abuser de sa patience. « Je souhaite pas avoir un accident » Je souris, mais je ressens comme un manque soudain. Bien que dans la même voiture, à quelque centimètre, nous sommes trop loin. J’ai besoin d’un contact quelconque avec lui. Plus avec n’importe lequel de mes exs. La voiture s’élance à vive allure, il me montre ses talents de conducteur. C’est à la fois sexy et dangereux. Lorsque la voiture arrive vers Williamsburg, je souffle : « Chez moi… » Je regarde ma montre et souris fièrement : « Maze vient de commencer son service et enchaine de nuit. Tu pourras grogner autant que tu veux quand je te sucerai sous la douche » Il ose un regard vers moi, furieux et désireux à la fois. Wyatt Markus Farrell est loin d’être quelqu’un de patient. Je pense que je suis à sa limite. Il accélère un peu plus et finit par nous amener dans notre rue. Voiture garée, il me saisit la main rapidement en claquant la porte violemment. Il court presque jusqu’à notre immeuble, et s’autorise à me plaquer contre le mur dans l’ascenseur. Cet ascenseur. Ou tout a commencé. Je vibre en repensant à ce premier baiser si intense qu’il m’avait donné après une pseudo-dispute. Putain… Aussi bon que celui qu’il me donne à ce moment précis. « J’adore cette ascenseur » dis-je entre deux baisers. Les portes s’ouvrent, et il me pousse en dehors, cherchant ses propres clés pour en sortir celles de notre appart’, avec Maze. Il avait retrouvé les siennes depuis quelques jours. Je claquais la porte avec mon propre corps lorsqu’il m’y plaqua une nouvelle fois. Un remake de notre première fois. Seulement la destination était toute autre. « Salle de bain. Maintenant » Arrivais-je à dire d’une manière presque autoritaire sous l’assaut de ses baisers.
« Me tente pas… Je souhaite pas avoir un accident » Lui non plus, sans l’ombre d’un doute. S’ils peuvent rester en vie ou éviter un aller aux urgences, Wyatt ne peut pas refuser. Assez difficile de rester pleinement concentré cela dit, pas avec la main de Cassie à l’emplacement où elle se trouve. Ça réveille pas mal de choses, à commencer par un besoin irrépressible de posséder la magnifique jeune femme à ses côtés. Forcément, il est soulagé lorsqu’elle la retire ce qui ne diminue en rien sa faim d’elle qui l’amène à appuyer un peu plus sur la pédale d’accélération et à griller quelques feux rouges par la même occasion. Ses mains restent crispées autour du volant, son attention focalisée sur la route à cette vitesse. « Chez moi… Maze vient de commencer son service et enchaine de nuit. Tu pourras grogner autant que tu veux quand je te sucerai sous la douche » Bref regard jeté vers Cassie et il opine du chef, retenant le commentaire qu’il aurait pu faire si son attention ne devait pas rester sur la route. Il paraît que la patience est une vertu, chez lui c’est surtout une emmerdeuse, particulièrement aujourd’hui alors qu’elle est mise à rude épreuve. Enfin à destination, Wyatt n’attend pas longtemps pour l’entraîner dans l’immeuble et la plaquer contre le mur de l’ascenseur. Cet ascenseur si particulier. « J’adore cet ascenseur », « Je suis d’accord. » Souffle-t-il juste avant de l’embrasser une énième fois. Cette femme le rend totalement fou. Capable de se contrôler, d’être maître de lui-même, avec Cassie c’est mission impossible. Aussi frustrant que ça soit, c’est également très agréable. Dans l’appartement, c’est contre la porte qu’il la plaque tout en l’inondant de milliers de baisers. « Salle de bain. Maintenant » Regard assombri par le désir, il caresse sa joue. « À vos ordres. » Dit-il dans un souffle, l’entraînant aussitôt dans la pièce en question. Là, il s’empresse de lui retirer ses vêtements tandis qu’elle en fait de même avec les siens. Porte de la douche ouverte, son corps collé à celui de Cassie, il ne la quitte pas du regard tandis qu’il la fait reculer jusqu’à pouvoir allumer l’eau chaude qui coule immédiatement sur eux. « Tu me fais perdre la tête. » Son aveu est tellement sincère qui le surprend lui-même et pour cacher cette surprise, il l’embrasse avec ferveur et amour, ses mains dans son dos qu’il caresse.
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« Je suis d’accord » Comment ne pas l’aimer cette ascenseur ? Il a quelque chose de spécial. Il renforce l’électricité dans l’air, dans un tourbillon de désir et de tentation. Mais à vrai dire, en y repensant bien, depuis des années, tout est là devant nous, sans que nous arrivions à le comprendre vraiment. Les années lycées avaient été les plus compliqués à gérer, parce qu’ils se mêlaient très souvent de ce qu’il ne le regardait pas. Comme s’il avait un droit sur ma vie. Je n’avais compris seulement que depuis quelques jours que tout ça, c’était à cause de cette attirance. J’étais à lui bien avant qu’on ne se soit embrassé dans cet ascenseur. D’une certaine manière, je lui appartenais depuis des années. Croyais-je vraiment en cette destinée, dans ces astres qui nous avaient destinés ? Je n’en sais trop rien. Tout ce que je sais c’est que ma place, je l’ai enfin trouvé. Dans ses bras. Sous l’assaut de ses baisers. Complètement excitée à l’idée de coucher encore avec lui maintenant. « A vos ordres » Il me pousse littéralement vers la salle de bain, s’attaquant à mes vêtements une fois arrivée. Je fais de même avec les siens, et alors qu’il me pousse sous l’immense douche, je me mords la lèvre en matant chaque partie de son corps parfait. Qu’avais-je fais pour le mériter, lui ? Il tend la main pour allumer l’eau. Au début légèrement froide, elle devient rapidement chaude. La différence de température me fait frissonner ; j’ai encore le cul froid à cause de la neige. Si mon cœur manque un battement avec sa proximité, ce qu’il me dit manque de me couper le souffle : « Tu me fais perdre la tête. » C’est si sincère que je me fige. La sincérité de Wyatt n’a jamais été autant ouverte ces derniers jours. Et j’adore ça. J’adore savoir exactement ce qui se passe dans sa têtes, savoir ce qu’il ressent, savoir ce qui le pousse à agir. Il m’embrasse passionnément, je manque rapidement d’air. Mes mains enroulées autour de son cou, je tente de retrouver une respiration avant d’ajouter : « Tu m’appartiens » Mes bras se posent sur ses épaules, et je le pousse vers le mur en verre de la douche. Mes lèvres capturent de nouveau les siennes, et descendent plus bas…toujours plus bas. Je suis maintenant à genoux devant lui, humectant mes lèvres avant de saisir d’une main son membre. Il se crispe, son regard intense se posant sur moi. Mes lèvres saisissent une de ses boules, que je suce en ventouse. Puis l’autre. Il grogne. Il en veut plus. Ma langue se dépose à la base de sa verge, et remonte tout le long. Sa queue durcie encore plus sous mes caresses, ça m’excite encore plus. Je réitère le même mouvement, avant que ma bouche empoigne son gland entièrement. Ma langue tourne autour, dans des mouvements lents. J’ose un regard en haut, il est fasciné. Son regard crépite d’impatience, et me donne envie de lui faire perdre pied totalement. Non, je veux lui faire perdre la tête complètement. Je veux qu’il s’abandonne à moi. Vraiment. Ma bouche s’ouvre, et j’enfonce un peu plus son membre plus profond. Il gémit sous l’explosion de plaisir qu’il doit ressentir. Sa tête heurte le mur de verre, et ses mains saisissent mes cheveux. Je commence des va-et-vient, lentement. Mais au fur et à mesure, je me cale sur son désir et son rythme à lui. Ses mains m’enfoncent un peu plus, ses hanches viennent à ma rencontre. Je ne contrôle plus rien, c’est lui qui tient la cadence. C’est sa manière de perdre pied, je le sais. Je l’entends murmurer mon prénom, m’avertir, mais je ne ralentis rien. Non, je le plaque encore un peu plus contre la mur, et termine ce que j’ai commencé. Quelques secondes plus tard, il explose en moi, déversant son sperme au fond de ma gorge. Je lèche le surplus, et remonte avant de l’embrasser alors qu’il a les yeux fermés.
D’où lui sort cette facilité à lui dire la vérité ? Probablement de la peur qu’il a ressenti de la perdre définitivement il y a quelque temps. La froideur mise entre eux, les tensions, la colère, la rancœur, ç’avait été beaucoup trop pour Wyatt. Pas totalement remis de la perte de son partenaire – et quelque chose lui dit qu’il ne s’en remettra jamais pleinement – se réhabituant à sa vie à New York, sa relation avec Cassie avait été trop rapide et surtout dévastatrice. Qu’il lui ait promis d’être plus franc avec elle, de ne plus lui mentir, ça l’a forcément amené à être plus sincère concernant ses sentiments. Certes, Wyatt ne lui a encore jamais dit l’aimer, mais il aime lui dire à quel point il tient à elle lorsqu’il en a le courage. Là, son aveu fait un effet tout particulier à Cassie qui se fige un instant pour finalement venir se coller à lui. « Tu m’appartiens » Nul besoin de confirmer ou de nier : c’est le cas. Il lui appartient probablement depuis des années sans même s’en être rendu compte. Cette fille qu’il a vu grandir, qu’il a vu devenir une femme et qui n’a eu de cesse d’éveiller tout un tas de sentiments contradictoires en lui au point de le rendre fou. Comme là. Ce ne sont pas seulement les baisers qu’elle parsème sur sa peau en descendant le long de son corps, en direction d’un endroit qui frémit d’impatience. Il est tout bonnement fou d’elle. Cela dit, les gestes qu’elle effectue sur son érection font disparaître toutes pensées cohérentes de son esprit. Il n’est plus qu’un homme primitif qui réagit aux caresses d’une femme qu’il désire à en avoir mal. Ses râles de plaisir résonnent dans la douche tandis que Cassie s’occupe de lui avec sa bouche, léchant, suçant et le prenant entièrement dans celle-ci. Ses mains saisissent ses cheveux et, incapable de se contrôler, il en demande plus. Allant et venant entre ses lèvres, Wyatt commence à trembler. Il est si proche du précipice que le simple fait de poser ses yeux sur Cassie, à genoux devant lui, le fait grogner plus fort. « Cassandra. » Un murmure qui dévoile à quel point il est sur le point de céder. C’est rapide, mais il s’en moque. C’est bien trop bon et, refusant de le lâcher, il jouit dans sa bouche, cri par la même occasion sans la relâcher tout de suite. A vrai dire, Wyatt ne sait pas quand il relâche son emprise. Les yeux fermés, se remettant de son orgasme, il sent les lèvres de Cassie sur les siennes et revient sur terre. Entourant son beau visage ses mains, il inverse leurs positions, la plaque contre le mur froid. « Dis-moi, Cassie. » Souffle-t-il entre deux baisers. Légèrement accroupi, il passe ses bras sous ses cuisses et la soulève contre lui. « Dis-moi que tu ne veux que moi. » Ses iris toujours aussi sombres posés sur la brune, il laisse une main descendre jusqu’à sa poitrine dont il caresse un sein. Il n’en doute pas mais il a terriblement besoin de l’entendre le lui dire.
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« Cassandra » Avant, je n’aimais pas qu’il m’appelle comme ça. Il l’utilisait contre moi, pour me faire rager et me taquiner. C’était plus une arme contre moi. Aujourd’hui, entendre mon nom complet dans sa bouche éveille en moi d’autres sentiments. Mon nom est rempli de désir, de passion, beaucoup plus que je ne l’ai jamais entendu de sa part. Il me chamboule plus qu’il ne le devrait. Mais j’aime ça. D’une certaine manière, il m’a réconcilié avec mon nom. Mes lèvres attrapes les siennes tandis qu’il peine à retrouver ses esprits. Ses mains agrippent mon visage, d’une façon désespérée. Il pivote, m’entraînant et me collant contre la paroi semi-froide. Je peux encore sentir son corps chaud collé contre la vitre. Mais, ça n’a rien à voir avec la chaleur de son propre corps sur le mien. « Dis-moi, Cassie » Ses mains glissent le long de mon corps, et d’un léger mouvement, il me soulève alors que je laisse un léger cri me surprendre par surprise. « Dis-moi que tu ne veux que moi. » Je ne sais pas si c’est sa proximité, son regard intense, sa main sur mon sein, ou son membre sur le mien qui me rends littéralement folle. Tout me pousse vers lui. Depuis des années. Il est comme un aimant vers qui je ne peux lutter. Et une fois dans ses filets, je suis incapable d’en sortir…non pas l’envie de le faire. Mes mains caresses ses épaules, viennent masser sa nuque et s’arrête dans ses cheveux littéralement trempés. Mon regard chaque quelque chose dans le sien. Dans ses iris mordoré, j’ai l’impression d’y voir son âme. « Je n’ai toujours voulu que toi. » Depuis que je me souvienne, je ne voulais que lui. J’ai simplement continué de vivre ma vie, en sachant que c’était quelque chose qui n’arriverait jamais. Mais je n’ai jamais senti mon corps autant en raccord avec ma tête et mon cœur. C’est lui. Depuis tout ce temps, c’est le seul homme de ma vie. En guise de réponse, il m’embrasse de nouveau, sa langue s’invitant dans ma bouche, l’explorant sans relâche. Il se presse contre mon corps, et le mien vibre qu’à une seule envie : le sentir entièrement en moi. Mes jambes enroulées contre son bassin, je m’ouvre un peu plus pour mieux le sentir. Nous perdons pieds ensembles à la seconde où il me pénètre lentement. Ça me coupe le souffle. Mon regard dans le sien, je n’ai jamais ressenti cette intensité. Si peut-être une fois. Mais c’est tellement bon que je laisse mes idées ailleurs. Il s’enfonce doucement, et lorsqu’il tape enfin jusqu’au fond, mes ongles le griffent. Wyatt commence à se mouvoir en moi, d’une manière tendre et sensuel. D’ordinaire, on est plutôt sauvage et brutal, mais j’ai l’impression qu’on a tous les deux besoins d’exprimer notre amour envers l’autre. Sa tête s’enfouie dans mon cou, qu’il suce avec acharnement. La mienne tape la vitre, mes yeux prêts à faire un tour complet tellement que c’est bon. « J’ai besoin de toi, Wyatt. » Je souffle, ma respiration coupée. J’ai besoin de lui, plus que je ne l’ai jamais exprimé. Je n’ai jamais dit Je t’aime à un de mes exs. Comme si une partie de moi savait très bien que ce n’était pas le cas. Mais là tous mes sentiments m’emmènent au bord d’un gouffre que je suis presque certaine de vouloir franchir. Mais il capture mes lèvres, m’empêchant d’en dire plus. Je mords ses lèvres. C’est passionné, intense. Il n’a absolument pas changé de rythme, c’est si parfait de le sentir me remplir entièrement qu’on en profite lentement. Chaque mouvement. Chaque frottement. Il tient la cadence si bien que j’approche très rapidement de ce paradis. Je veux simplement qu’il puisse me rejoigne avec moi. « Mon amour, je…jouis avec moi. »
« Je n’ai toujours voulu que toi. » C’est suffisant pour que Wyatt sente tout son corps prendre feu. Cassie a ce don de tout retourner en lui avec de simples mots. Il y sent une telle sincérité qu’il ne peut même pas en douter. Toutes ses craintes se taisent lorsque, dans son regard, il y lit toute sa franchise. Et il s’y perd avec plaisir, préférant de loin ce sentiment à la peur qu’il sent toujours dans un coin de sa tête, celle d’être à nouveau rejeté. Il le sait. Il sait qu’elle comme lui fait des efforts, qu’elle tente tout autant de ne pas laisser ses démons la ronger, mais par moment Wyatt a la sensation qu’elle est bien meilleure combattante qu’il ne l’est. Sauf là. Sauf lorsqu’elle lui dit des mots aussi francs qui vibrent jusqu’au plus profond de son âme. Sa réponse n’est autre qu’un baiser qu’il vient plaquer sur sa bouche. Des petits baisers qu’il y dépose avant d’introduire sa langue qui rejoint celle de Cassie. Une fois de plus, il s’embrase. Une fois de plus il ne désire que ressentir cette connexion particulière qu’il y a entre eux depuis des années. Elle n’a pas besoin de dire quoi que ce soit pour qu’il sache qu’elle veut la même chose. Son corps s’ouvre pour lui et lentement – très lentement – il entre en elle. Une fois tout au fond, un gémissement de satisfaction se fait entendre. Il la sent se resserrer autour de lui et malgré son envie d’être brutal pour atteindre l’extase au plus vite, Wyatt prend son temps. Son regard ancré dans celui de Cassie un petit instant, leurs soupires se mêlent, puis il glisse ses lèvres dans son cou. Il en suçote la peau, compte bien laisser une belle marque. Ses gémissements meurent contre sa peau et il n’accélère en rien la cadence. De cette façon il peut tout sentir. Les contractions du corps de Cassie contre le sien, autour du sien. La façon qu’elle a de raffermir sa prise sur lui pour ne rien manquer, ses gémissements qui lui procurent une satisfaction violente. Wyatt n’en perd pas une miette. « J’ai besoin de toi, Wyatt. » Il grogne, se retient d’accélérer. Ses mains empoignent ses cuisses. S’il reste lent, ses coups de rein se font plus profonds, ses hanches allant claquer contre le bassin de Cassie, le faisant grogner plus fort à chaque fois. « Mon amour, je… jouis avec moi. » Elle part la première, se resserre si fort autour de lui qu’il en voit des étoiles danser devant ses siens. Deux allers-retours de plus et un râle provenant du fond de sa gorge se fait entendre. Il jouit en elle, se crispe alors que ses doigts s’enfoncent dans la peau de Cassie. Sa bouche contre son épaule, il la mord alors qu’il entame quelques petits mouvements pour prolonger l’orgasme de la brune. Puis, à bout de force, il la bloque contre le mur, en appuie sur son corps le temps de reprendre ses esprits. « Meilleur douche de tous les temps. » Dit-il en reprenant son souffle, un petit rire résonnant dans la douche. Il dégage son visage, embrasse ses lèvres et passe une main sur le visage mouillé de Cassie. « Mais j’ai pas fini. » Sourire en coin, il la fait redescendre. Il l’embrasse une fois encore, sa main descendant caresser son intimité encore si sensible. Elle réagit aussitôt et Wyatt sourit contre ses lèvres. « Tourne-toi. » Plus un ordre qu’une demande, il l’oblige à lui tourner le dos. Commençant par embrasser son épaule, ses doigts effleurent ses hanches. « Je t’ai déjà dit que ton odeur me rend fou ? » Souffle-t-il à son oreille. « Comme cette façon que tu as de me regarder avec innocence. Ou ce sourire que tu as sur les lèvres en dormant. » Tandis qu’il parle, ses lèvres se posent sur sa peau, descendent le long de son dos jusqu’à ce qu’il soit à genoux derrière elle. « J’aime aussi ces petits ronflements que tu fais quand tu dors profondément. » L’entendant commencer à protester, il la fait taire en passant sa langue sur son intimité en soulevant sa jambe. Sa phrase meurt laissant place à un gémissement. Satisfait, il continu de lui faire plaisir en intensifiant chaque coup de langue.
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Invité a posté ce message Dim 13 Jan 2019 - 21:27#
santa honey, one little thing i really need
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Mon corps est en transe, ressent chaque centimètre de son pénis en moi, vibre à chaque fois que sa peau rencontre la mienne. Cette pression est en ascension exponentielle. Elle s’accumule partout, se faufile au plus profond de moi, et ne cesse d’approcher le bord de la falaise. Wyatt contrôle sa possession, il reste lent, mais c’est si profond, et les frottements si parfait que ça en multiplie chaque sensation. J’arrive au bout, mise à nue par ce plaisir si intense. Ma voix est presque étrangère lorsque je lui ordonne de venir avec moi. Je me sens littéralement partir, mes jambes se referment autour de ses hanches, mon vagin se resserre autour de sa queue, et ma tête tombe sur le mur, incapable de contrôler les spasmes qui parcourent mon corps. Je suffoque en sentant qu’il continue encore pour me rejoindre et lorsqu’il finit par grogner, il perd pieds. Ses mains s’enfoncent dans ma peau, sa tête sur mon épaule, me mord…Je suis transportée à quelques milliers de lieux de ça, par cette chaleur au fond de moi. On est accroché l’un à l’autre pendant de longues minutes, tentant de reprendre notre souffle. « Meilleur douche de tous les temps » « Et tu voulais encore te balader… » Répondis-je le souffle court. Ses lèvres rejoignent les miennes dans un baiser où nous tentons tous deux d’y trouver exactement ce qu’on ressent l’autre. « Mais je n’ai pas fini. » dit-il avec un sourire au coin « Tourne-toi » m’ordonne-t-il après m’avoir reposée et embrassée à nouveau. Je m’exécute et gémis lorsque sa main descend en pointe vers mon intimité trop sensible encore. Si sensible qu’il me fait frissonner malgré la chaleur ambiante de la douche. Collée contre le mur encore chaud de mon corps en transe, je rejette ma tête en arrière, sur son épaule lorsqu’il commence à embrasser mon épaule. « Je t’ai déjà dit que ton odeur me rend fou ? » Je ferme les yeux, trop concentrée par ces divines paroles. « Comme cette façon que tu as de me regarder avec innocence… » Il dépose ses lèvres un peu plus bas m’obligeant à me détacher un peu de lui. « Ou…ce sourire que tu as sur les lèvres en dormant » Je souris malgré moi, perdu dans ses caresses si tendres et ses paroles que jamais j’aurais imaginé entendre. « J’aime aussi ces petits ronflements que tu fais quand tu dors profondément.. » J’ouvre les yeux instantanément, prête à répliquer. « Hein… ?! Je ne ? » C’est sa langue sur mon entrejambe qui me fait taire illico. Sa main saisit ma jambe pour la relever légèrement. J’expulse tous l’air de mes poumons tant c’est trop sensible encore en bas. Ma tête se laisse choir une nouvelle fois contre la vitre, mon corps se penche pour lui donner meilleure accès. Je gémis, soupire avec férocité à chaque fois que sa langue va plus loin. Elle s’insère, lèche, suce et mords à quelques endroits. Je me laisse de nouveau emportée par les caresses de cet homme alors qu’il m’assène une claque sur les fesses qui éveille en moi plus qu’il n’imagine. « Wyatt…oui… » Mes yeux toujours clos, je laisse mon corps répondre à ses mouvements, sans me rendre compte que mon bassin commence des mouvements pour l’accompagner. A la fin, je bouge autant qu’il lèche. Je baise littéralement son visage parce que mon corps est de nouveau en train d’accumuler trop de pressions. Je ne saurai dire combien de temps nous restons comme ça, mais je finis par m’emporter encore une fois me recroquevillant entièrement sur lui. Mes jambes tremblent tellement qu’il est obligé de me soutenir de ses mains. Mais ça ne suffit pas, je glisse le long de la paroi ; le torrent d’émotion m’envahie. Je ne me rends compte qu’après quelques instants que je suis dans ses bras, assise par terre, alors qu’il embrasse amoureusement mon épaule. Mes yeux s’ouvrent de nouveau, clignent pour s’accoutumer à la lumière, avant de tourner ma tête pour le regarder. Nous sommes si proches qu’il me faut à peine pencher ma tête pour l’embrasser. Je lui confie, incapable de revenir encore entièrement à moi-même : « Je suis heureuse… » Une réponse à ce qu’il m’avait dit quelques longues minutes auparavant, sous la neige. Je suis heureuse là, avec lui.
« Et tu voulais encore te balader… » Une folle idée, n’est-ce pas ? Mais à lui avoir tenu tête, à l’avoir titillé comme il l’a fait, ça n’a fait que rendre ce moment encore plus intense. Il a pris son temps, a pu ressentir chaque frottement, chaque soupire de la part de sa petite-amie avant de totalement sombrer en elle. Malgré la peur d’avoir cru devenir parents dans les mois à venir, maintenant officiellement ensemble, officiellement en couple, ils leur arrivent de se passer de protection, de vouloir profiter pleinement de leur intimité pour que l’extase soit encore meilleure. Comme en ce moment, corps contre corps sous la douche chaude alors qu’ils profitent, qu’ils se font mutuellement plaisir et que leurs cris résonnent dans la cabine de douche, probablement dans tout l’appartement étant donné le manque de discrétion dont ils font preuve lorsqu’ils se savent seuls. Mais malgré l’orgasme et sa respiration courte, Wyatt en veut toujours plus. Il veut l’entendre et la sentir céder une fois encore. Il s’y emploie, la coupe à l’instant où elle s’apprête à lui tenir tête. Cassie, il la connaît par cœur. Avoir grandi avec elle l’y a beaucoup aidé. Mais depuis qu’ils sont ensemble et qu’ils passent plus de temps tous les deux, il se rend compte qu’il arrive à lire en elle tout autant que la brune lit en lui. C’est aussi formidable qu’effrayant. « Wyatt… oui… » Son corps accompagne chacun de ses coups de langue. Elle réagit exactement comme il le souhaite, tremble à mesure qu’elle rejoint le nirvana. De ses mains fermes, il la maintient debout jusqu’à ce qu’elle n’en puisse réellement plus et que son corps se mette à glisser contre le mur. Ravi de tout ce qu’il a provoqué en elle, le flic l’attire à lui, assis dans la douche. Ses bras autour de sa taille, il dépose des baisers d’une clavicule à l’autre jusqu’à ne plus pouvoir. Leurs lèvres se trouvent, leurs langues aussi. « Je suis heureuse… » Sourire dessiné sur ses lippes, Wyatt remonte une main pour aller caresser sa joue. Leurs bouches restent à quelques centimètres l’une de l’autre. « Je suis heureux aussi. » Plus que ça même. Toutefois, il ne se sent pas encore le courage de l’admettre. A vrai dire, il a peur que prononcer ces quelques mots pourrait lui porter malheur et s’il y a une chose dont Wyatt est certain c’est qu’il ne veut pas la perdre, qu’il est bien avec Cassie dans ses bras … y compris assis dans la douche de son appartement après avoir pris pas mal de plaisir.
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Un jour peut-être arrêtera-t-il de la taquiner … Wyatt n’en est pas certain. Il reste certain qu’il la désirera toujours autant et toujours avec cette certitude, il sait que Cassie lui fera le même effet indéfiniment. Il en jouera sans doute moins, et encore … ça non plus ça ne semble pas être une certitude tandis qu’il l’embrasse à en perdre haleine. De toute façon, rien n’est certain les concernant hormis le fait qu’il a des sentiments forts pour cette femme qui le rend complètement fou et que, parfois, ça l’effraie. « Je mouille déjà rien qu’à l’idée de ce que je vais pouvoir te faire, sous cette fameuse douche. » Oh bordel … Ce genre d’informations suffit à lui donner envie de la déshabiller là, contre sa voiture, sous le regard des passants. Toutefois capable de se contenir, Wyatt se recule avant de faire une bêtise. Cassie en profite pour entrer dans la voiture non sans lâcher un : « T’as intérêt à vite conduire. » au préalable. Lui, il prend deux petites secondes pour se ressaisir, humecte ses lèvres puis contourne la voiture pour prendre place derrière le volant. Rapidement, ils s’éloignent du parc, roulent vite en direction de la maison où il vit. « Tu jouais au malin, tout à l’heure… » Brièvement son regard tombe sur la main de la brune qui remonte le long de sa cuisse. Pas assez pour le déstabiliser, mais assez pour lui donner envie d’accélérer. « …J’vais peut-être avoir envie de te punir un peu, tu sais » Voilà qui semble être intéressant et qui est surprenant venant d’elle. Ça lui fait toutefois encore plus d’effet, à moins que ça ne soit la main de Cassie posée sur son érection déjà bien visible. « 
