Invité a posté ce message Mar 12 Fév 2019 - 18:17#
lose my mind
So come on inside, you catch a cold Oh, darling the storm will pass when you grow old
Son grognement m’amuse. Je sais qu’elle a beaucoup trop de fierté pour me le dire, et qu’elle est en plein combat avec soi-même. Mais c’est ce que j’aime, le fait qu’elle souhaite toujours avoir un certain contrôle pour m’affronter. Mais à la seconde où je sonde son regard, cherche ces étincelles dans ces yeux, elle cède : « Toi » Un rictus satisfait s’affiche sur mes lèvres et vient illuminer mon visage. Pourquoi ai-je tant besoin de l’entendre dire ? Sans doute parce que coucher avec elle est devenu si quotidien que j’ai besoin de savoir qu’elle me désire toujours autant. Comme la première fois. Comme un feu qui ne s’éteins jamais. J’avais ressenti la même chose avec Lisa au début, et c’est peut-être démesuré envers Tessa, mais c’est dont j’ai besoin. « Je te voix, toi. Maintenant. En moi » Là, c’est à moi de vriller totalement. Mon cerveau s’éteint, commandé par mon second. Le feu s’embrase intensément au moment où je rejoins nos lèvres alors que mes mains empoignent son visage pour éviter qu’elle recule. Je prends d’assaut ses lèvres une nouvelle fois, liant nos langues dans une danse endiablé. J’oublie le bruit de l’eau qui coule intensément. Tout ce que j’entends c’est les battements de mon cœur si intense qu’ils viennent me taper dans mes tempes. Et dans ma queue. Entre nous, mon érection est bien trop visible, me fait déjà mal. « Enlève-moi ça » soufflais-je le souffle court, en faisant claquée le haut de sa culotte sur ses hanches. Je m’écarte d’elle pour m’occuper de mon boxer de trop, et le balance sans regarder où il atterrit. Lorsqu’elle se relève ayant fait la même chose, je lui saisis ses lèvres une nouvelle fois, en me penchant un peu pour que mes mains agrippent ses cuisses fermes. La seconde d’après, je la soulève et l’attire à moi, ses jambes s’enroulant autour de mes hanches. Nos intimités se touchent, sans pour autant que j’la pénètre alors que je continue à l’embrasser comme un dingue. Ouai, c’est ça. Elle me rend dingue cette nana. Littéralement. Ses bras sur mon épaule, une de ses mains glisse entre nous pour me guider vers elle, trop impatiente que je sois en elle. A cette pensée, je souris malgré nos lèvres toujours liés. Mais il s’estompe à la seconde où elle se glisse sur moi m’arrachant un râle puissant. Je lui agrippe les fesses alors qu’on se met tous les deux à bouger. Je pourrais la coller contre le mur, mais il doit être frais. Non, je préfère la garder au chaud près de moi. De toute manière, la porter pour qu’elle s’empile sur moi n’a jamais été un problème pour moi.
Elle savait qu’elle ne serait pas capable de lui tenir tête très longtemps, elle ne pensait simplement pas céder aussi vite. Son corps est en ébullition et rien à voir avec l’eau chaude qui embue toutes les douches. Son cœur bat trop vite à cause de l’excitation et à jouer autant avec le feu, elle se brûle. Elle brûle de l’avoir en elle alors qu’elle aimerait être plus forte. A chaque fois qu’elle cède, que ça soit à Tommy ou à un autre, elle se maudit de ne pas avoir plus de force, de laisser le sexe dicter sa vie. Il faut néanmoins admettre que c’est bon en plus d’être un excellent moyen pour se changer les idées. Là, Tessa en a envie, c’est aussi simple que ça. Inutile de tourner autour du pot très longtemps même si ça pourrait rendre le moment plus intense encore. Ce n’est pas ce qu’elle veut. Non, elle le veut maintenant en elle, c’est tout. Baiser échangé, elle en perd son souffle. Plus encore en sentant son érection gonfler contre son ventre. Merde, ça ne devrait pas être permis d’être ainsi constitué. « Enlève-moi ça » Une chose qu’il n’a pas besoin de lui dire deux fois. Séparés le temps de pouvoir se dévêtir complètement, son bas rejoint son soutien-gorge par terre. Aussitôt collés l’un à l’autre, sa langue part jouer avec celle de Tommy, se séparant de sa bouche que lorsqu’elle doit respirer. Soulevée du sol, ses jambes s’enroulent par automatisme autour de sa taille, la rapproche plus de son sexe, provoque des frottements qui la font déjà gémir. Impatiente, c’est elle qui le guide en elle et au râle qui lui échappe, elle sait qu’il n’aurait pas été plus patient qu’elle. « Mon dieu … » Sa tête part en arrière un instant. Dans cette position, alors qu’il la porte contre lui, tout est plus intense, plus profond aussi. Elle bénit autant le fait qu’ils soient seuls que l’eau qui coule et camoufle ses bruits excités. Ses bras se resserrent autour de ses épaules, son visage se niche dans son cou tandis qu’il va et vient en elle, trop vite à son goût. « Doucement. Je veux profiter. » Glisse-t-elle à son oreille qu’elle mordille. Elle n’a pas envie que ça aille trop vite, pas envie de rejoindre l’extase aussi vite que dans la voiture. Elle veut prendre son temps et tout ressentir.
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Invité a posté ce message Mar 12 Fév 2019 - 20:45#
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So come on inside, you catch a cold Oh, darling the storm will pass when you grow old
C’est une sensation puissante qui me saisit lorsque nos deux corps s’emboitent. Si puissante qu’elle me coupe le souffle – une nouvelle fois. C’est fou comment chaque millimètre de peau peut compter. Chaque frottement est divin, nous laissant en transe tous les deux. Sa tête relâche la pression en arrière, j’embrasse son cou par réflexe. « Mon dieu… » Il n’y a pas de Dieu entre nous. Il y a juste moi, elle…et nos corps humides et chaud. Le claquement de nos corps résonne dans l’espace maintenant à température convenable. Mais dans cette position, c’est surtout la gravité qui fait son travail, m’enfonçant à chaque coup jusqu’au bout sans avoir besoin d’un moindre effort. « Doucement. Je veux profiter » Je souris, j’ai l’impression de m’entendre il y a quelques minutes auparavant, quand je lui demandais d’y aller doucement. Cette fois-ci c’est moi qui n’arrive pas à ralentir, à freiner ma pulsion et mon envie. Je soupire en voyant qu’elle a raison, je ralentis la cadence, mais malgré son poids plume, ces mouvements sont lents sont une vrai torture. Mes bras n’en peuvent plus au bout de longues minutes. Ils sont si contractés qu’ils révèlent chaque muscle en action. « Attends… » Je finis par la faire redescendre à contrecœur, les bras en feu. Je la fais pivoter, pour la capturer entre mes bras, son petit cul contre mon érection. J’embrasse tendrement à nouveau son épaule, puis son cou, où je remarque que ma trace de tout à l’heure apparaît doucement déjà. Je lèche l’emplacement exact avant d’ajouter : « On dirait que j’ai marqué ta jolie peau… » Une idée qui m’excite encore plus. Je pourrais avoir envie de la marquer constamment, comme pour éloigner les autres qui tenteraient de l’approcher. Mais je sais que ça serait déplacé ; pourtant, il m’arrive parfois comme là de le faire. Une de mes mains caresse son dos, et la force à se pencher pour me donner plus accès à son cul. Je lui assène une claque sur les fesses qui la fait sursauté et gémir à la fois, puis je la pénètre une seconde fois. Sa main vient se poser sur le mur en face comme pour s’aider de ne pas céder devant mon coup d’assaut profond mais lent. Je me retire complètement et réitère ce manège plusieurs fois la faisant grogner, moi le premier. N’en pouvant plus je décide de rester en elle, avant d’empoigner ses longs cheveux pour la forcer à revenir vers moi. Cambrée, elle pose sa tête sur mon épaule, alors qu’une de mes mains vient jouer avec un de ses tétons. « Je me laissera jamais de ton corps… »
Ses mains ou ses lèvres, elle aime sentir les deux sur elle. Ça la rendrait presque euphorique de le voir dans le besoin de sentir et de goûter à sa peau coûte que coûte. Parfois, elle se risque à imaginer qu’elle n’est pas la seule à le mettre dans ses états, puis elle chasse cette pensée, profite du fait que pour le moment c’est bien elle qui le rend fou. Autant qu’il la rend folle. Tessa, elle apprécie chaque contact entre leur peau, chaque coup de reins l’amenant plus profondément en elle et qui la font presque crier. Lèvre inférieure mordue, elle se calme comme elle peut, serre un peu plus Tommy contre elle, se retient d’enfoncer ses ongles dans sa peau à chaque fois qu’elle redescend le long de son érection. C’est bon. C’est vraiment trop bon et perdre pied aussi vite, elle n’en a pas envie. Il a ralenti à sa demande mais elle soupire toujours autant, ressent chaque frottement entre leurs intimités unies. « Attends… » Respiration assez courte, ses pieds retrouvent le sol des douches. Tournée dos à lui, collée contre son torse, son membre contre ses fesses, elle oublie un instant de respirer. Tessa penche sa tête, lui donne un peu plus d’accès à son cou, à son épaule que Tommy embrasse puis lèche. Elle tremble en sentant sa langue faire. « On dirait que j’ai marqué ta jolie peau… », « Comme quoi j’avais raison la dernière fois : t’es possessif par moment. » Ce qui n’est pas un reproche, pas dans sa bouche. Elle pourrait même affirmer que c’est le propre de l’homme si ça peut la rassurer, elle doute qu’il ait besoin de ça. Non, à la place il revient en elle. Brutalement enfoncé en elle, ça et la légère douleur due à sa claque l’a font gémir plus fort que les fois précédentes. Une de ses mains rencontrent le mur, la maintient pour qu’elle ne tombe pas la tête la première. Ses doigts se crispent à chaque fois qu’il recommence son petit jeu, l’effet étant à chaque fois le même. Mélange de puissance, de plaisir et de trop peu. Cheveux tirés en arrière, son crâne rencontre son épaule tandis que sa main libre passe dans le cou de Tommy. Il lui suffit de tourner un peu la tête pour que ses lèvres rencontrent sa peau qu’elle embrasse. « Je me lasserai jamais de ton corps… », « Tant mieux. » Ça sort naturellement et c’est sincère. Tout bonnement parce qu’elle apprécie chaque moment passé avec lui, que le sexe est particulièrement bon. Mais surtout, elle tient à leur amitié. Certes elle a cette petite amélioration qui n’est pas négligeable, seulement il a toujours été là pour elle autant qu’elle a été là pour lui. S’il ne parvient pas à se lasser de son corps, il ne se lassera pas d’elle et ça la rassure. Mordillant quelque peu la peau du cou du sportif, elle apprécie la main de ce dernier qui joue avec sa poitrine, attise plus encore le feu qui brûle en elle.
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Invité a posté ce message Mar 12 Fév 2019 - 22:02#
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De toutes les filles que ma queue à visiter, c’est avec elle que je ressens le plus de chose. Le fait déjà qu’on ne se protège pas apporte sans doute l’ingrédient clé à ce plaisir intense. Cette frustration du préservatif est constante, à chaque fois. Mais jamais je ne déroge à cette règle ; j’ai osé une fois par stupidité et voilà que Tyler était né 9 mois plus tard, m’embarquant dans la pire tromperie de toute ma vie. Mais c’est peut-être quelque chose en plus qui fait que j’apprécie être en Tessa, plutôt qu’une autre. « Comme quoi j’avais raison la dernière fois : t’es possessif par moment » J’eus envie de rire, par cette remarque assez véridique. Mais au lieu de ça, je mords son lob d’oreille, avant de lui confier quelque chose de plus vrai et de plus précieux : « T’es la seule qui me donne envie de l’être » Les petites confessions sur l’oreille, toussa toussa…vous en avez entendu parler ? Et bien, je suis le parfait idiot qui fait ça. En dehors du sexe, je suis hermétique à tout, incapable d’ouvrir ou de dévoiler mes vraies sentiments. Pourtant, je dis toujours ce que je pense quand je le pense, mais lorsqu’il s’agit d’attachement, ou de tout ce qui s’y rapproche, je suis un cœur d’artichaut. Vous voulez une confession de ma part ? Laissez-moi vous prendre, et je vous servirai sur un plateau d’argent ce que vous désirez entendre. Stupide hein ? Je ne me maudis même pas que ce soit sorti comme ça, c’est la vérité. Je préfère passer à autre chose, la pénétrant. C’est bien plus important que mes propos stupides et trop roses. Non, je préfère la faire crier à chaque coup de rein que je lui inflige, et lorsque je la ramène vers moi, je lui confie encore que je me laisserai jamais de son corps. Mais putain, Tommy…ta gueule ! Juste…ta gueule !« Tant mieux » répondit-elle en venant déposer ses lèvres sur ma peau qu’elle a sa disposition. En guise de réponse, je laisse mon bassin commencer des petits mouvements, alors que l’une de mes mains s’acharne toujours sur son téton, puis l’autre. Ma main libre, s’attarde à lui caresser le ventre, pour venir chatouiller son clitoris. La manière dont elle expulse l’air de ses poumons provoque en moi un tsunami d’émotions et d’envie. Je joue avec quelques secondes avant de m’arrêter pour remonter ma main, préférant la faire redescendre un peu. Mes mouvements sont lents et profond, sans brusquer, toujours un rythme régulier. Sa monte en puissance doucement, on profite de nos corps liés avant de lui d’ajouter : « Je vais avoir du mal à ne pas repenser à toi dans ces douches maintenant. » J’y passe le plus clair de mon temps dans ses douches, quand la saison est intense. Une dure épreuve que j’allais devoir endurer mais qui valait clairement le coup.
« T’es la seule qui me donne envie de l’être » Elle mord sa lèvre inférieure, tait la réponse qu’elle aurait pu lui donner. Ça ne serait pas malin de sa part, d’autant qu’il y a de fortes chances que le plaisir lui fasse dire des choses qu’elle ne doit pas dire. Il a cette façon de prendre possession d’elle qui lui fait perdre la tête. C’est bien trop agréable, bien trop bon, pour qu’elle soit capable de penser comme il se doit. Et Tommy en joue. Elle le connaît bien assez pour le savoir. Il utilise son corps comme il le souhaite tout en sachant qu’elle ne dira rien parce qu’elle aime bien trop ça. Ses cries en sont la preuve, ses gémissements aussi. Son corps est si tendu que Tessa est surprise de ne pas avoir déjà craqué. Mais elle ne veut pas que ça aille trop vite. Elle veut profiter du moment autant que possible, de sentir le corps du blond collé au sien, en elle. Sa respiration saccadée, son dos toujours collé à son torse, elle est courbée mais pas plus dérangée que ça. L’avantage à être cheerleader c’est qu’elle a énormément gagné en souplesse et que de ce fait, elle est capable de rester comme ça un petit moment à embrasser sa peau tandis qu’il la caresse. Par moment, elle ne peut rien faire d’autres que de soupirer bruyamment. Les mouvements de son bassin, le traitement qu’il offre à ses seins puis sa seconde main qui glisse vers son intimité, ça la rend folle et son plaisir grimpe en flèche tandis qu’elle s’agite contre lui pour plus de sensations. « Je vais avoir du mal à ne pas repenser à toi dans ces douches maintenant. » Lèvres humectées, elle continue de caresser la naissance de ses cheveux sans retenir son sourire. « Je voudrais bien te dire que je suis désolée mais je ne veux pas te mentir. » Ils font ce qu’ils n’auraient jamais pu faire en temps normal, elle ne peut pas s’en sentir coupable. Leurs mouvements restent lents et profonds jusqu’à ce qu’elle sente sa main venir sous sa cuisse qu’il soulève. Changement d’angle qui lui fait basculer la tête en avant, sa lèvre mordue. « C’est bon. » Tessa se crispe autour de lui puis se redresse, prend un peu plus appuie sur son pied au sol. Elle a envie de se lèvres contre les siennes, exerce alors une pression sur sa nuque pour qu’il vienne l’embrasser même s’ils peinent à respirer convenablement. Leurs lèvres proches mais pas encore scellées, elle gémit son prénom, énième preuve de tout ce qui provoque en elle.
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Invité a posté ce message Jeu 14 Fév 2019 - 21:21#
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Cette alchimie entre nous est parfaite ; je ne m’en lasse pas. Et au plaisir montant, c’est cette bête insatiable qui reprend le flambeau. J’y vais parfois brutalement pour la faire crier, puis doucement et tendrement pour la rendre folle. Mais une seule chose est certaine avec Tessa : mon plaisir est toujours aussi intense. Comme au premier jour. « Je voudrais bien te dire que je suis désolée mais je ne veux pas te mentir » La coquine ! Bien sur qu’elle aime l’idée que je pense à elle, chaque fois que je suis ici, à la manière dont je l’ai prise, dont je l’ai fais crier, dont je l’ai fais jouir. Oui, ce moment va hanter mes prochains moments, j’en suis certains. Le souci, ca sera l’érection avec laquelle que je vais devoir faire. « Faudra que tu t’occupes de mes érections juste après alors » dis-je en lui léchant le lob d’oreille. Ma main redescend chercher sa cuisse que je relève et que j’écarte un peu plus. Nouvelle angle, nouvelle ouverture, nouvelle sensation : « C’est bon »« Putain, oui. » Je la maintien en l’air de ma main, alors je commence à de plus en plus à perdre pied, le souffle court. Ses lèvres dans mon cou, je tourne la tête comprenant son désir. A la manière dont elle murmure mon prénom, ça me fait ressentir un million de chose avant de saisit ses lèvres violemment. Comment arrive-t-elle à me faire ressentir tout ça avec si peu de chose, je ne sais pas. Je perds un peu plus patience, ayant besoin de jouir en elle. Violemment. Je repose sa jambe et la plaque contre le carrelage froid. Je suppose que contre son corps chaud et humide, cette fraîcheur est une douce torture, surtout contre ses tétons durcis. Elle gémit, frisonne, mais mon corps collé au sien l’empêche littéralement de bouger. Je la pénètre une nouvelle fois, en accélérant le rythme une dernière fois. J’ai atteins ma dose de patience ; le sang afflue dans ma queue, j’ai besoin de libérer la pression. A chaque coup de rein, elle crie, j’alète, gémit. « Tessa… » Ce murmure est presque doux, avant la vague qui arrive. J’ai besoin de plus, de beaucoup plus. J’ai besoin qu’elle se resserre sur ma queue pour jouir, j’arrive au bout, et j’ai du mal à me retenir maintenant. Je ne cache pas mon impatience : « va y, bébé, jouie, bordel. »
Tout son corps est en feu. Ses muscles la tirent, son bas ventre se contracte régulièrement sous l’effet du plaisir qu’il lui procure. A bout de souffle, elle mord sa lèvre jusqu’au sang pour ne pas craquer trop vite. Il n’a besoin que de la toucher ou de l’embrasser pour qu’elle cède dans ses bras. Ses jambes sont aussi molles que du coton et pourtant elle parvient à rester debout, à ne pas s’écrouler en l’entraînant dans sa chute. Il y est pour beaucoup. Ses bras forts la tiennent contre lui, lui permettent de trouver l’équilibre dont elle a besoin pour ne pas s’effondrer. « Faudra que tu t’occupes de mes érections juste après alors » Un nouveau frisson remonte le long de son épiderme à l’idée de le voir débarquer dans sa chambre avec comme seul besoin celui qu’elle le fasse redescendre. Image charmante, très charmante même, à tel point qu’elle gémit sans réussir à répondre. Est-ce nécessaire de toute manière ? Il sait de quelle façon la faire craquer, comme lorsqu’il passe sa langue sur son oreille, la lèche à lui en donner de nouveaux frissons. Le froid de la tempête, elle l’a totalement oublié obnubilée par les mouvements de leurs bassins, la façon dont leurs intimités se rencontrent et l’eau chaude qui lui brûle un peu plus l’épiderme. Elle commence à être à bout, à sentir l’orgasme monter en elle. Elle soupire de plus en plus fort, parvient par moment à dire son prénom entre deux respirations jusqu’à crier de surprise dès que sa poitrine touche le carrelage froid des douches. Ses mains plaquées contre celui-ci, son front les rejoints. Les coups de rein de Tommy se font plus rapides, plus secs et elle en oublie par moment de respirer. S’il n’était pas collé à elle, elle serait sur le point de tomber à genoux par terre. « Tessa… » Ses ongles voudraient griffer quelque chose pour extérioriser tout ce qu’elle ressent, mais ils ne rencontrent que le mur contre lequel elle est coincée. « Vas-y, bébé, jouie, bordel. » Il ne lui en faut pas plus pour qu’elle cède en poussant un long gémissement de plaisir. Ses jambes la lâchent et malgré ça elle reste debout. Il craque à son tour, se déverse en elle dans une sensation qui la fait gémir une fois encore, plus fort cette fois. Tous les deux haletants, leurs corps se détachent qu’après ce qui lui semble être une éternité. L’eau continue de couler sur eux et elle doit rassembler toutes ses forces pour se détacher de lui et lui faire face. Et parce qu’elle a besoin de le remercier, elle encadre son visage de ses mains et va poser ses lèvres les siennes pour un baiser délicat. Elle explore ensuite son torse trempé qui la fait toujours autant saliver. « Ça ne devrait pas être permis d’être aussi bien foutu que toi, j’espère que tu le sais. » C’est vrai quoi ! Comment une femme est-elle supposée lui résister hein ?
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Invité a posté ce message Lun 18 Fév 2019 - 22:37#
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C’est une terrible frustration ; de devoir se retenir juste parce que j’ai envie de l’entendre vibrer avant que je jouisse en elle. Je souhaite lui donner l’exact plaisir qu’elle m’offre en ce moment. Mais elle résiste, comme si le faire prolonger est ce qu’elle désire le plus. Je ne l’accepte pas. Je martèle son corps, l’emprisonnant contre le carrelage froid. Mes mains agrippent ses hanches, qui m’aident à m’enfoncer jusqu’au fond. Et dans un moment de folie, je le lui ordonne, perdu dans mon propre besoin et plaisir. Je suis au bord du gouffre prêt à tomber de la falaise à la seconde où elle se perdra définitivement. Mes paroles autoritaires ont l’effet escompter, elle se crispe, se resserre entièrement contre ma queue et crie n’arrivant pas à cacher ce septième siècle atteint. Ça m’emporte aussi, frappé par ce tsunami de sensations douloureuses et de bien-être. Ma tête rencontre son épaule, je suis à bout de souffle, littéralement épuisé. Mon corps se relâche à mesure que la pression s’estompe, pourtant je ne bouge pas pendant une éternité. C’est elle qui me fait revenir à la réalité en se tournant pour me faire face. J’ai encore du mal à retrouver mes esprits qu’elle encadre mon visage et m’embrasse avec tendresse et douceur. Ses mains parcourent mon torse mouillé, avant qu’elle n’ajoute trop franche : « ça ne devrait pas être permis d’être aussi bien foutu que toi, j’espère que tu le sais. » Je lui souris timidement avant que mes mains viennent dégager son visage de ses cheveux collants, glissent le long pour les déposer derrière ses épaules : « ça ne devrait pas être permis d’être aussi belle » Tessa est magnifique, malgré l’effort qu’elle vient de donner ; ses joues sont rougies, l’eau révèle un peu plus ses yeux, malgré le peu de lumière que nous avons, et son corps…elle a exactement tout ce qu’il faut pour faire craquer un homme. Plus grand qu’elle, mes bras la force à se recoller à mon corps, mes lèvres déposant un baiser sur son front. Avec la fatigue, j’ai juste besoin d’un câlin qu’elle m’offre sans une once de résistance. Après un petit moment comme ça, je finis par murmurer, ma tête prenant appuie sur la sienne : « On ferait mieux de sortir d’ici quand même, non ? » Je n’en ai pas la moindre envie, mais nous n’allons pas rester ici indéfiniment. Malgré la chaleur que l’eau peu diffusée autre nous. « Je te lave avant ? » demandais-je doucement, sans arrière penser. Juste pour avoir le plaisir de me perdre et d’explorer son corps, sans cesse.
Sans ses bras pour la maintenir contre lui, sans son corps sur lequel elle prend appuie, Tessa se serait écroulée au sol, ravie d’y trouver un tant soit peu de répit. Son souffle se calme lentement mais les restes de son orgasme sont encore là, la rendant légèrement faible après cet effort qu’elle a demandé à tous ses muscles. Dans son dos, le carrelage se réchauffe et contre sa poitrine le torse brûlant de Tommy lui donne trop chaud. A moins que ça ne soit l’eau qui a embué toute la partie des douches ? Quoi qu’il en soit, elle ne se décolle pas de lui. Elle n’est pas certaine de pouvoir tenir debout toute seule et, surtout, elle n’en a pas envie. « Ça ne devrait pas être permis d’être aussi belle » Une chance pour elle que l’effort et l’eau brûlante fassent déjà rougir sa peau, elle sent ses joues chauffer brusquement en entendant le compliment. Oh, elle sait qu’elle n’est pas laide, elle se trouve banale malgré tout. Une fille parmi tellement d’autres. Le seul avantage qu’elle possède ce sont ses yeux, les mêmes que sa mère. Sa seule fierté et la seule chose qui lui reste d’elle. Elle tremble en pensant à elle, assez discrètement pour que Tommy ne remarque rien, pas assez pour ne pas sentir son cœur se serrer. Les bras autour de ses épaules, ses mains croisées dans la nuque du sportif, elle ferme les yeux en sentant ses lèvres sur son front. Un moment de détente bien mérité après ce qu’ils viennent de vivre. Un moment hors du temps et de l’espace duquel elle voudrait ne jamais sortir. « On ferait mieux de sortir d’ici quand même, non ? Je te lave avant ? » Tessa ne bouge pas. Quelques secondes de silence et elle lève les yeux vers lui puis soupire de façon exagérée. « Je serais bien restée ici éternellement. » Parce qu’il fait chaud, parce qu’elle oublie qu’il y a la tempête dehors, parce qu’ils sont coincés ici et parce que, bon dieu, elle est bien contre lui. « Mais oui, je devrais pouvoir tenir sur mes jambes maintenant. En plus comment refuser que le grand Tommy Matthews me lave ? Surtout sur son lieu de travail. » Elle rit légèrement sans pour autant se séparer de lui. Si vraiment ils doivent s’éloigner, ça va être à lui de le faire, elle n’en a pas envie ni le courage, elle.
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