earned it (camila) +18

earned it

You make it look like it's magic, 'Cause I see nobody, nobody but you,

La bête est lâchée : je le sais, je la sens. Elle est drôlement en manque et est excitée à cette simplement pensée de la posséder. Enfin. Après autant de fois où elle l’a désirait. Camila, c’est une fille magnifique, et je suppose qu’elle doit se faire plaisir au lit avec n’importe quel gars. Mais ce soir, c’est enfin mon tour. Et je bénis le ciel pour m’avoir mis cette partenaire particulière sur mon chemin. Ma bouche entre ses jambes, je la pénètre, la lèche, l’emmène au bord du précipice beaucoup trop vite. J’ai envie de prolonger son plaisir, mais voir à quel point elle est aussi réactive, c’est encore plus bandant. Elle cherche elle aussi, en bougeant à l’unisson avec moi. Ses lèvres gonflées sous mes caresses me montrent qu’elle arrive bientôt à destination ; elle mouille de plus en plus, se contracte sous mes doigts qui la masse ; son corps se tends. Elle est trop concentrée pour me sentir bouger un peu sous elle. Ma main fouille dans ma poche un préservatif, et vient ouvrir ma braguette. Son cri perce le silence de la pièce, la faisant vibrer intégralement. Mon nom rejoint ses lèvres, et c’est le signal. J’enfile mon préservatif, me redresse et d’une main guide ma queue en elle. La pénétration lente alors qu’elle est encore resserrée la prends de surprise et la fait crier d’autant plus fort. Ça prolonge son plaisir, m’offrant ce plaisir de satisfaction. Elle cogne d’un poing la vitre n’en pouvant plus alors que je commence à me mouvoir en elle. Ma main glisse le long de son dos et vient saisir ses cheveux avec délicatesse. Je la redresse pour qu’elle se colle à moi. Je suis encore muni de ma chemise, mais l’urgence de la posséder m’a complètement dévié de mes intentions. Sa tête retombe sur mon épaule, mes bras l’enfermant à jamais dans mon emprise. Et là…le regard perdu devant ses immeubles illuminés, face au monde entier, ne me souciant presque pas des gens qui pourraient nous voir, je la baise littéralement. Je m’enfonce plus en elle, pour mon propre plaisir que je veux vite perdre pied. Je devrais savoir qu’une fille comme Camila ne se laisse jamais faire – si elle prend ce qu’on lui donne, elle aime tout autant donner, et elle finit par se détacher de moi dans un regard rempli de désir. Elle se retourne et plaque ses lèvres sur les miennes avec férocité. Je prends d’assaut ses lèvres, sa langue avec qui je danse. Je mords ses lèvres. J’explore. Je la soulève d’un mouvement et l’empale de nouveau sur moi avant de la coller sur la vitre froide. Le gémissement à l’unisson nous prouve à quel point nous sommes complémentaires à ce moment précis. Je ne peux pas m’amuser à lui demander : « Tu veux quelle vitesse, ma jolie ? » Lentement et sensuellement. Vite et fort. Dis-moi comment te piloter, Camila…et putain, je me ferai un plaisir de t’amener jusqu’à la ligne d’arrivée une nouvelle fois.

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earned it

You make it look like it's magic, 'Cause I see nobody, nobody but you,

« Bordel ! » J’ai toujours trouvé ça excitant une nana qui devient vulgaire par la force du sexe. Parce que ça me montre sa vraie nature, et la perte de contrôle que j’arrive à lui faire subir en la pénétrant. Bon dieu, quelle est divine ! J’ai beau avoir une capote, je sens presque toutes les sensations. C’est clair que sans, ça aurait été mieux. Mais jamais sans précaution. Jamais. C’est ma règle ultime que je refuse d’enfreindre. Je commence à aller et venir en elle, tentant de me limiter. Si je m’écoutais, je serai déjà à la pilonner sans une once de tendresse ni de séduction. Non, je prendrai mon pied, simplement. Mais je ne le fais pas. Parce que le plaisir de la dame est bien plus excitant. Je lui demande alors la vitesse à laquelle elle veut que je la prenne, pour lui donner un peu de contrôle à la situation. En guise de réponse, elle se tourne, balade ses mains sur mon torse avant d’arracher ma chemise. Hmm…J’aime ça, Mademoiselle Finazzi. J’humecte mes lèvres en regardant les siennes avec envie en tentant de savoir ce qu’elle a en tête. « Prends-moi de toutes les façons que tu veux » Je n’arrive pas à contrer ce petit sourire qui s’affiche sur mes lèvres alors que je la soulève du sol et vient la coller de nouveau sur la vitre, en la pénétrant plus profondément. A nos deux soupires, on sait que c’est bon, et c’est ce qu’on désire tous les deux. « Oh, il y a plein de manières dont j’ai envie de te prendre Camila » J’enfonce ma tête dans son cou où je viens mordre son lob d’oreille, alors qu’elle enfonce ses doigts dans mes épaules. Je commence à bouger en elle, d’une manière lente, parce que dans cette position, je n’ai pas beaucoup de prise. Je préfère m’atteler à des grands mouvements amples, sortant presque totalement pour mieux rentrer totalement. Je soupire d’aise avant d’ajouter : « L’avantage…c’est qu’on a toute la nuit ici » Je viens rechercher ses lèvres, en imaginant la perspective de la prendre toute la nuit. Contre cette vitre, sur ce petit canapé, sur la table, le comptoir, par terre…Oh…putain, oui ! Je continue à me mouvoir lentement, alors que nos respirations sont lourdes de sens, mais je n’arrive pas à me laisser emporter non. J’ai besoin de plus…Alors je l’écarte dans un mouvement de surprise, de la vitre pour la déposer sur la première table que je rencontre. Elle ne s’allonge pas totalement, préférant garder ce contact entre nous. Et pourtant, lorsque j’agrippe ses hanches pour la ramener plus vers moi, elle est obligée de le faire. Ce n’est qu’à ce moment précis que je grogne de frustration en commençant à y aller plus vite. Plus fort. Plus loin. Ses seins se baladent au rythme frénétique, ses gémissements se font plus forts et plus réguliers. Et moi, je me perds dans cette tornade de plaisir qui arrive à grands pas.

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