Flèche haut
Flèche basyou and me (tomessa) (+18) - Page 3

ANNIVERSAIRES DE MARS
01 : meghan macleod03 : céleste kingstom & lilas martin12 : elvis sokolowicz23 : abbigail nielsen & declan j. archer
LES DIFFÉRENTES ANIMATIONS
défis : à venir
thème avatar : à venir
maj des fiches de liens : à venir
listing des
fiches de liens / persos
fiches de liens dans le besoin
-rps libres
-
-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

 you and me (tomessa) (+18)

Invité
Anonymous
Invité

you and me (tomessa) (+18) - Page 3 Empty






Invité a posté ce message Mer 8 Mai 2019 - 21:59 #

I you and me
As long as I got you and me
Moving through this world as a two-man team
I'll always have everything I need
You don't even realise what you mean


« Non mais je ne m’habitue quand même pas à ce que tu sois capable de m’exciter aussi vite. » « Va falloir t’y habituer, bébé » Je suis fier, trop fier de la voir réagir aussi vite. A quelques paroles, à quelques caresses, à quelques baisers. Avec toutes les filles que j’ai eu, c’est l’une des plus réactives que j’ai eu le plaisir de croiser. C’est sans doute pour ça qu’au début, sexfriends nous allaient pleinement. Parce que je satisfaisais ces désirs inavoués et ces nouvelles découvertes, et elle était assez réactive pour me satisfaire moi. Si à nos débuts, j’en voyais plusieurs des filles ; elle a vite été ma favorite. Par la pudeur qu’elle dégageait, par la façon dont elle me surprenait alors qu’elle décidait de prendre les devants…et puis, elle m’a confié ne pas avoir besoin de capotes parce qu’elle était stérile. Depuis ce jour, où on a du se faire confiance trop vite, le plaisir intense qu’elle me procure tout simplement ne m’a jamais lassé. Non, il a grandi pour ne jamais partir. Etrangement, c’est cette dépendance qui a fait qu’à un moment donné, Tessa faisait plus partie de ma vie que toutes les autres nanas. « Tu as donc des talents cachés…Ça sera avec plaisir ce diner. » Je souris, de nouveau avec fierté avant d’ajouter : « J’ai beaucoup de talents cachés » Libre à elle d’interpréter ça comme elle le désire, mais il est vrai que concernant la cuisine, on en a jamais parlé. Je crois qu’à chaque fois qu’elle passe la soirée avec moi, on commande parce qu’on est trop occupé à nous faire du bien. Commençant à manger, je suis vite interpeller par une Tessa qui me laisse perplexe. « C’est…tu sais quand il a parlé d’enfants… » Je fronce les sourcils, tente de réfléchir à ce qu’il avait posé comme question, et m’en souvient parfaitement. J’ouvre les yeux, prêt à lui dire qu’elle n’est pas obligé de m’en parler mais elle me devance : « Non, s’il te plait…laisse-moi finir. » Très bien, ça annonce bien la couleur. J’acquiesce en silence et la regarde droit dans les yeux là où elle semble hésiter : « Je sais que tu as déjà Tyler, et tu connais déjà ma condition mais…on n’a jamais eu de raison d’en parler jusqu’à maintenant et j’ai besoin de savoir si ça sera un problème pour toi ? » Je fronce les sourcils à nouveau, en osant imaginer que ça pouvait poser problème pour elle. Si j’avais eu envie à nouveau de gosses, je n’en serai sans doute pas tombé amoureux, j’aurai gardé en mémoire sa condition quelque part pour me redire qu’une union avec elle me serait impossible. Or, ce n’est pas le cas. Après ce que m’a fait Lisa, je ne suis pas certain d’avoir envie de redevenir père à nouveau. « De ne plus avoir d’autres gamins, Tessa… ? Parce que… » « Uniquement le fait que je ne puisse pas être enceinte. Je sais qu’il existe des moyens d’avoir des enfants, l’un d’eux a été de faire geler mes ovules avant mon opération… » Là, je suis littéralement perdu. J’écarquille les yeux en entendant qu’elle a congelé ses ovules pour un jour devenir mère, alors que j’avais toujours imaginé qu’elle ne le serait jamais. Certes, y’a d’autres options, l’adoption, comme elle l’a été. Mais…je veux dire, des siens. De ses enfants. «…mais je sais aussi que ce n’est pas la même chose qu’avoir vraiment un enfant qui…qui grandi en moi. Alors…je voulais savoir si ça te posera un quelconque problème si on en arrive à vouloir des enfants alors que je ne pourrais pas porter les tiens ? » Elle a le don de mettre les pieds dans le plat, violemment. C’est comme une claque encore une fois, parce que je réalise qu’elle est plus avancée que moi dans sa réflexion, qu’elle a déjà songé à nos potentiels enfants. Ça me fait littéralement paniqué et me réchauffe le cœur à la fois. J’humecte mes lèvres et finit par prendre une profonde inspiration. Je ne sais pas quoi dire face à ça, je suppose qu’elle attend une réponse sincère, mais aussi une réponse qui pourrait la réconforter, elle. Je dégage ses jambes des miennes et finit par me lever pour contourner la table et m’installer sur la chaise à côté d’elle. Mes mains saisissent les siennes qui tremblent. De peur ? D’anxiété ? Je ne saurai le dire. « Tessa, mon ange… » Je dépose un baiser sur ses mains avant d’aller à la recherche de ses yeux. « Je ne sais pas si un jour j’aurai envie d’avoir de nouveaux des enfants, tu me prends un peu de court là…mais j’étais sérieux en disant que tu m’inspires à vouloir vivre et vieillir à tes côtés. Si un jour j’avais eu la possibilité d’avoir des enfants de toi, bien sûr que ça m’aurait comblé de bonheur, mais s’il fallait abandonner cette perspective juste pour vivre ma vie avec toi, j’étais prêt à prendre ce chemin » Mes mains lâchent les siennes, et viennent rapprocher ma chaise d’elle, puis une se dépose sur sa joue que je la caresser. « Tu sais très bien que le sang ne compte pas pour moi, l’adoption aurait pu faire l’affaire. Et, tu m’annonces que potentiellement, tes ovules sont sagement en train d’attendre pour tes potentiels enfants… » Je souris sincèrement, en imaginant la perspective de Tessa mère de ses propres enfants. C’est une vision douce, prometteuse, et joyeuse. Je la force à venir dans mes bras, ma main glissant dans ses cheveux, ma bouche déposant un baiser sur son front. « …Je…je me fiche que tu ne puisses pas porter les miens, Tessa. Je t’aime comme tu es. Mais, si un jour on décide d’en avoir, je serai heureux d’être le père de tes enfants…même si ça doit passer par une mère porteuse. »

@Tessa Goldstein    - credit : nightgaunt
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

you and me (tomessa) (+18) - Page 3 Empty






Invité a posté ce message Jeu 9 Mai 2019 - 22:21 #

« J’ai beaucoup de talents cachés » Instinctivement j'ai mordu ma lèvre. J'ignore ce qu'il entend par-là et je ne suis pas certaine que ce soit le bon moment pour y penser. J'ai déjà du mal à me tenir depuis tout à l'heure, autant éviter de céder maintenant. Pas que l'idée qu'il me prenne dans la cuisine soit désagréable, elle est même très tentante, mais il y a un sujet que je voudrais aborder avec lui. Un sujet que je dois aborder avant que ça ne me ronge de l'intérieur. Je passe sous silence sa réponse, me concentre sur l'autre chose même si ça s'avère compliqué. Il sait que j'ai dû mal à me dévoiler. Apeurée à l'idée qu'on retourne mes émotions et mes faiblesses contre moi, il y a des tas de choses dont je ne parle pas. À commencer par mon passé. Il y a aussi ma stérilité. Tommy est au courant depuis un moment mais je n'ai jamais parlé de cette option que je me suis laissée il y a environ dix ans. C'était trop personnel jusqu'à maintenant. Jusqu'à ce qu'il devienne tellement plus que je me dois d'en parler avec lui même si je suis mortifiée. Parvenue à la fin de ma tirade, l'ayant empêché de me couper, c'est sa réponse que j'attends avec angoisse. Je le fixe en silence, attendant sa réaction. Mes jambes repoussées, mes yeux le suivent lorsqu'il se lève pour contourner la table et s'installer devant moi. « Tessa, mon ange… Je ne sais pas si un jour j’aurai envie d’avoir de nouveaux des enfants, tu me prends un peu de court là…mais j’étais sérieux en disant que tu m’inspires à vouloir vivre et vieillir à tes côtés. (...)  Et, tu m’annonces que potentiellement, tes ovules sont sagement en train d’attendre pour tes potentiels enfants… » Ma lèvre à nouveau mordue, je dois reconnaître ne jamais avoir été très douée pour tourner autour du pot lorsqu'il s'agit d'un sujet aussi personnel. Je suis tout de même bien heureuse d'avoir dit ce que j'avais à dire. « …Je…je me fiche que tu ne puisses pas porter les miens, Tessa. Je t’aime comme tu es. Mais, si un jour on décide d’en avoir, je serai heureux d’être le père de tes enfants…même si ça doit passer par une mère porteuse. » Désormais très proche de lui, un long frisson remonte le long de mon dos à ses dernières paroles. Tête relevée vers Tommy, je le fixe pendant ce qui me semble être une éternité avant de me redresser et de monter carrément sur ses genoux. Son beau visage entouré par mes mains, ma bouche se plaque contre la sienne jusqu'à ne plus avoir d'air. « Je t'aime. » Je souffle contre ses lèvres alors que mes doigts caressent ses joues rugueuses. « Je n'ai pas dit ça parce que j'envisage d'être mère dans l'année qui vient, je ne suis pas sûre d'être prête pour ça avant des années. J'avais besoin d'en parler avec toi et besoin de savoir que ce n'est pas un problème. Je ne voulais pas te prendre de court. » Parce que le perdre à cause de ça ou le perdre tout simplement je ne le supporterai pas. Il est ancré en moi et m'est tellement nécessaire que ce n'est pas envisageable. « Cela dit, si je dois être honnête, le fait que tu deviennes à l'avenir le père de mes enfants me rend très heureuse. Même dans un futur très lointain. » Je caresse son torse, mon front contre le sien. Ma main continue de glisser jusqu'à l'élastique de son jogging et s'y arrête. « Il faut qu'on termine de manger. » Je chuchote alors que mes doigts continuent de titiller le bas de son ventre nu. « Ma patience est mise à rude épreuve avec toute ta perfection et ton amour. » En clair, et je sais qu'il l'a compris, je suis tendue, brûlante pour lui et complètement mouillée ce qui commence à me faire légèrement perdre les pédales.
you and me
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

you and me (tomessa) (+18) - Page 3 Empty






Invité a posté ce message Dim 12 Mai 2019 - 21:18 #

I you and me
As long as I got you and me
Moving through this world as a two-man team
I'll always have everything I need
You don't even realise what you mean


Ces dernières heures ont été riche en émotions. Si d’ordinaire on se confie beaucoup, depuis hier soir, on a explosé les statistiques. On s’est ouvert nos cœurs – et quand bien même j’osais croire qu’on s’était tout dit, elle continue de me surprendre à parler de nos potentiels enfants. Est-ce que c’est trop tôt ? Complètement. Mais c’est une conversation qui ne me dérange absolument pas, parce qu’on a jamais vraiment parlé de sa situation. Le fait qu’elle soit stérile a toujours été un avantage à notre relation sexuelle. C’était un plus qui a fini par faire la différence selon moi. Mais aujourd’hui, si la perspective de notre couple commence doucement à se dessiner, sa stérilité peut poser problème. Est-ce qu’on aurait dû en parler là ? Pas forcément. Mais je suis ravi de l’avoir fait ; si ça l’apaise d’une manière ou d’une autre. Ses yeux me fixent une seconde : ils cherchent ce je-ne-sais-quoi qu’elle tente d’analyser. Ma sincérité ? L’amour que j’ai pour elle ? Ou simplement le fait qu’elle veille croire à ce que je lui ai répondu ? Je ne bouge pas d’un centimètre, lui rendant ce regard intense et vibrant. J’aime me perdre dans ses yeux bleutés. Ils ont des milliers de nuances de bleus, qui virent légèrement au vert vers ses iris noirs. Le contraste est si violent qu’à chaque fois qu’elle me regarde j’ai l’impression d’y voir son âme. Comme à ce moment précis. De longues minutes s’écoulent avant qu’elle ne se relève doucement et vient s’installer sur mes genoux, sans aucune hésitation. C’est un baiser soutenu qu’elle me donne, ses mains encadrant mon visage pour que je ne lui échappe pas. Les miennes glissent le long du tissu de soi qu’elle porte et viennent se loger dans son dos. « Je t’aime » Je sais qu’à son baiser, son regard, et la tonalité de sa voix, c’est son cœur qui s’exprime. Elle aura beau me le dire un nombre incalculable, l’effet sera toujours le même : mon corps frisonne, s’électrise. Je suis encore plus vivant, plus comblé. « Je n’ai pas dit ça parce que j’envisage d’être mère dans l’année qui vient, je ne suis pas sûre d’être prête pour ça avant des années. J’avais besoin d’en parler avec toi et besoin de savoir que ce n’est pas un problème. Je ne voulais pas te prendre de court. » L’une de mes mains remontent sur son épaule, vient s’infiltrer dans ses cheveux pour finir sa course sur sa joue. Mon pouce lui caresse doucement ses joues rougies. « Je sais… » Débutais-je dans un murmure. « …Je ne sais pas ce que l’avenir nous réserve, mon ange. Mais je suis prêt à tout affronter à tes côtés. » Mes lèvres affichent un petit sourire de satisfaction. J’ai été trop longtemps aveugle, apeuré sans doute par ce que j’ai pu vivre par le passé. Mais maintenant que mes sentiments sont enfin clairs, que j’ai enfin mis le nom sur ce que je ressens pour elle, c’est comme si je réalisais que c’était elle. Elle depuis le début. Elle jusqu’à la fin. « Cela dit… » Son front se pose sur le mien alors que mes muscles de mon torse se contractent sous ses mains. « …si je dois être honnête, le fait que tu deviennes à l’avenir le père de mes enfants me rend très heureuse. Même dans un futur très lointain » Je ne suis pas certain que j’en voudrais à nouveau un jour, mais l’idée que je puisse la combler rien qu’avec ça commence à émerger dans un coin de ma tête. Pour plus tard, c’est évident. Et c’est sans doute cliché de ma part, mais j’ai tellement souffert de l’abandon de mes parents que pour moi, je ne pourrais avoir d’enfants hors mariage. C’est peut-être différent, peut-être que c’est vieux-jeu, mais c’est la seule raison pour laquelle j’avais épousé Lisa, après son annonce de grossesse. Par obligation. Là, ce sera différent, je le sais. Je le ferai par amour, parce que je le voudrais de tout mon être. Il en va de même pour des gamins. « Tu feras une bonne mère » dis-je dans un murmure, perturbé par ses doigts qui s’agitent et jouent avec mon bas ventre. J’aurai pu parler au conditionnel, mais non. Je parle déjà au futur. Comme si cette idée si fraîche c’est déjà bien installée. « Il faut qu’on termine de manger…Ma patience est mise à rude épreuve avec toute ta perfection et ton amour » Je laisse mes mains explorer son corps sous ce doux tissu avant d’ajouter sourire aux lèvres : « Je sais que t’es insatiable…mais tu vois… » J’embrasse rapidement la commissure de ses lèvres. « …j’ai la gueule de bois. » Avec toutes ses confessions, ces efforts physiques, mon corps n’en peut clairement plus. Si je veux profiter encore un peu d’elle, je suis obligé de manger. « …Et si tu veux pouvoir me sucer pendant que je te lècherai…laisse-moi manger. » Rapide baisé sur l’une de ses joues, je me penche pour rapprocher nos deux assiettes et une fourchette qui se plante dans un morceau de bacon. Ma main inutilisée reste de garde dans son dos, lui interdisant de bouger alors que je lui apporte ce morceau à ses lèvres. Elle ne tarde pas à croquer dedans, pour je finisse celui qui reste sur l’ustensile.

@Tessa Goldstein    - credit : nightgaunt
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

you and me (tomessa) (+18) - Page 3 Empty






Invité a posté ce message Lun 13 Mai 2019 - 22:32 #

Qu’ai-je fait pour mériter un homme aussi parfait ? Son amour, l’intérêt qu’il me porte, le soutien indéfectible qu’il m’offre depuis tellement longtemps ? Je ne parviens pas à mettre le doigt dessus bien qu’une chose soit certaine : je suis heureuse et totalement amoureuse de lui. Mon cœur s’est gonflé de bonheur à l’instant où il m’a avoué m’aimer sans que l’alcool ne l’aide à délier sa langue. Depuis, il reste gros comme ça et je n’arrive pas à empêcher un petit sourire heureux d’étirer mes lèvres. Je suis sur un petit nuage et, bon dieu, je n’ai pas la moindre envie d’en descendre. Pas même lorsque je lance un sujet qui pourrait être considéré comme épineux. Ce n’est pas le moment de penser à ça, de nous projeter dans un avenir tout de même assez lointain, mais j’en avais besoin. C’est le cas depuis le jour où son fils m’a demandé si j’aimerai avoir des enfants un jour. Déjà je savais aimer son père de tout mon être et maintenant qu’il s’avère que c’est réciproque, j’ai ressenti ce besoin de savoir que mon incapacité à avoir des enfants ne va pas être un problème. Je ne voudrais surtout pas la perdre à cause de ça, à cause d’une chose sur laquelle je n’ai eu aucun contrôle. Je le veux tout entier cet homme et j’accepte de me donner totalement à lui en échange, c’est comme ça que ça doit fonctionner. Son pouce qui caresse ma joue me fait frissonner. A moins que ça ne soit le fait que je ne porte qu’une robe de chambre en soie sur le dos ? Sans doute un mélange des deux.

« Je sais … Je ne sais pas ce que l’avenir nous réserve, mon ange. Mais je suis prêt à tout affronter à tes côtés. » Je ne pensais pas ça possible mais mon cœur se gonfle encore plus, plein d’amour pour lui. Ma bouche s’étire en un sourire sincère, heureux, mon regard plein d’amour et légèrement embué par les larmes de joie que je sens monter en moi. Maudite faiblesse qui m’assaille à chaque fois qu’il est avec moi. A chaque fois que nous nous ouvrons l’un à l’autre. Et parce que je suis incapable de ne pas le toucher, de me retenir de le taquiner, je frôle son torse, descends plus bas sans jamais aller trop loin. J’adore sentir ses muscles se contracter à mon passage, sa respiration s’emballer un peu et me faire comprendre à quel point il aime mes caresses. Je pourrais facilement passer ma vie à le sentir et l’entendre réagir comme ça, sans jamais m’en lasser. « Tu feras une bonne mère » Mon regard remonté vers le sien, je cesse tout mouvement pendant ce qui me semble être un très long moment. Je suis même persuadée que mon cœur a manqué quelques battements. Je ferais une bonne mère. Il en semble tellement persuadé que j’en frissonne. C’est à la fois trop sérieux et trop douloureux pour continuer sur ce sujet. Je prends exemple sur lui, sur toutes les fois où il a chassé le sérieux en ramenant la taquinerie sur le tapis. « Je sais que t’es insatiable … mais tu vois … j’ai la gueule de bois. » Sans retenir mon petit rire, j’humecte mes lèvres.

« Ça t’apprendra à boire comme un trou, Matthews. » Je peux parler ! Je n’ai pas été mieux que lui ces derniers jours hormis que je n’ai pas débarqué chez lui complètement ivre pour faire une semi déclaration et vomir juste après. Si enfants il y a un jour, je me ferais un plaisir de parler du fait que leur père a été d’une grande classe ce jour-là. « … Et si tu veux pouvoir me sucer pendant que je te lècherai … laisse-moi manger. » Je grogne à la fois d’insatisfaction et d’excitation. M’agitant un peu sur lui alors qu’il attrape nos assiettes, je me calme lorsqu’il approche le bacon de mes lèvres. Sans le quitter des yeux je croque dedans et lui en laisse un morceau qu’il avale à son tour. « Hm, je pourrais facilement me faire à tout ça. » Être assise sur ses jambes, lui qui me nourrit avec une telle tendresse dans son regard. Attrapant la dernière gaufre qu’il me reste, je la coupe en deux, sens le miel couler sur mes doigts. Tant pis. Je l’approche quand même de sa bouche et frissonne dès qu’il lèche mes doigts. « Joué avec la nourriture. » Je lâche d’une voix rauque. « Ça fait partie de mes fantasmes. » Putain, je peux déjà m’imaginer répandre je ne sais quelle chose sucrée sur son corps et lécher toutes traces. Bordel, il a vraiment trop désinhibé ma vie sexuelle. Penchée vers lui, ma langue passe sur ses lèvres et récolte les dernières traces de miel dessus avant de l’embrasser à en perdre haleine.
you and me
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

you and me (tomessa) (+18) - Page 3 Empty






Invité a posté ce message Mer 15 Mai 2019 - 20:46 #

I you and me
As long as I got you and me
Moving through this world as a two-man team
I'll always have everything I need
You don't even realise what you mean


Mon père n’est pas dans mes meilleures pensées. En réalité, même s’il reste mon père, au fond de moi, je le déteste. Pour tout ce qu’il m’a fait subir, pour sa putain d’éducation macho et misogyne, pour ses absences quotidiennes lorsque j’avais besoin de lui, pour son manque d’amour – ou d’engagement envers son propre fils, pour toutes les occasions qu’il a manqué alors qu’il avait promis. J’ai longtemps voulu lui prouver que je n’avais pas besoin de lui, qu’il avait tort sur la ligne sur l’amour, sur les femmes et sur les couples en général. Faut dire que pour un avocat en divorce de stars célèbres, c’est une chose qu’il voit quotidiennement. Son divorce l’a clairement achevé. J’ai longtemps pensé que j’arriverai à lui montrer que parmi toutes ses connasses, il y’en aura bien une qui sort du lot. Lisa ? Je l’ai pensé pendant quelques années. L’amour – ça s’entretien, me disait Meredith. Mais elle pensait aussi que le coup de foudre on ne le cherche pas, on le subit. Et une fois que l’éclair a frappé, que la flèche de Cupidon est planté, on a d’yeux que pour cette personne. Je l’attends encore ce coup de foudre. Avec Lisa, ça ne l’avait clairement pas été. Je me disais simplement qu’avec le temps, on finira par tomber vraiment amoureux. Mais je me leurrais, sans doute pour Tyler. Rester avec quelqu’un pour son enfant, c’est sans doute l’acte le plus dévoué que j’ai pu accomplir. Mais Lisa…c’est Lisa. Une délicieuse sorcière qui vous promet monts et merveilles avant de vous entuber par derrière. A la signature de mon divorce, le regard de mon père m’a tout dit. ‘Je te l’avais dit’ me disait-il en silence. Un cœur brisé. Une vie foutue. Des années de perdues. Voilà ce que j’avais récolté. Elle avait anéanti en une fraction de seconde l’espoir que je puisse montrer à mon père qu’il avait tort. Non, tout ce qu’elle a fait ça n’a été que d’augmenter son pouvoir sur moi, sur l’éducation que je renie. Et puis…il y a eu Tessa.

Est-ce que j’ai eu un coup de foudre ? Non. Je flirtais avec sa meilleure amie quand je l’ai aperçu pour la première fois en soirée. A contrario de Lisa, elle ne semblait pas à l’aise dans cette fête d’étudiante trop débauchée. Et pourtant, la seconde d’après, ça a été la première à proposer des jeux d’alcool, et à se mouvoir comme une déesse sur la piste de danse. Est-ce que j’aurai eu envie de me la taper ? Ouai, clairement. Mais Lisa semblait trop obsédée par moi pour que je ne lui accorde pas mon attention. Alors, j’avais suivi son mouvement, tout en côtoyant Tessa en simple connaissance. Là où on s’est le plus entendu ? Devant les matchs de football. Désintéressée de tout sport, Lisa préférait sortir et s’amuser que de rester scotcher devant un match important. Pas nous. Cette première soirée en toute simplicité avait signé le début de notre amitié. Une certaine attirance, lueur démoniaque, a vite vu le jour – mais je n’ai jamais joué double jeu. Aucun geste déplacé. Aucune allusion. Aucun regard déplacé. Aucun. Et puis, Lisa m’a annoncé qu’elle était enceinte. La suite s’est enchaînée parce que je suis trop droit dans mes basquets pour ne pas assumer mes erreurs. Dans ce tableau de montagnes russes à la Lisa, Tessa a toujours été là. Dans l’ombre. A être mon amie. A devenir mon agent. A me soutenir. A me lancer des regards que je n’osais interpréter. Meredith avait raison – si Cupidon ne se joue pas de vous, l’amour arrive avec de l’entretien. Avec de la patience. De la confiance. De la dépendance de l’autre. De l’humour. Des surprises. Il se fraye un chemin doucement dans votre cœur sans que vous ne le réalisiez. Il se tapie dans l’ombre jusqu’à ce que vous arriviez enfin à ouvrir les yeux. Ce sont des millions d’étoiles qui vous explosent en pleine gueule. De toute ma vie, je n’ai jamais ressenti quelque chose d’aussi fort. J’ai beaucoup donné d’amour autour de moi, mais personne ne m’a jamais rendu la pareille. Tessa…est parfait miroir. Je vois dans ses yeux toutes ses petites étoiles qui m’animent moi-aussi. Tout ça, grâce à une bouteille de trop. « Ça t’apprendra à boire comme un trou, Matthews » Je ne suis pas d’accord, parce que tout l’acheminement de mes pensées convergent à cette bouteille. A ce qu’elle a fini par craqueler en moi et à révéler. Alors oui, j’ai une sacrée gueule de bois, mais ce que j’ai gagné en contrepartie dépasse toute mon imagination. Je secoue la tête alors, en désaccord, sourire aux lèvres : « Sans ma gueule de bois, je ne serai pas là… » Je lui chasse ses cheveux qui retombent sur ses épaules, vient caresser la lèvre inférieure. « …avec toi. » Egaux à nous-même, le fil de discussion se perde à des allusions plus explicites sur ce qu’on meurt envie de faire à l’autre. « Hm, je pourrais facilement me faire à tout ça. » « Petit Déjeuner avec moi ? »  On l’a déjà fait, sans doute parfois trop rapidement, ayant tous deux un emploi du temps de malade. Mais je sais ce qu’elle veut dire. Jamais on n’a pris le temps – comme un couple de manger comme ça. J’aime surtout cette perspective que désormais, ce genre de moment deviendra fréquent. Oh, joie ! Je la laisse saisir sa gaufre, la coupe en deux et m’offre son pouce couvert de miel en guise de dessert. « Joué avec la nourriture. Ça fait partie de mes fantasmes » Qu’elle m’annonce avant de plaquer ses lèvres sur les miennes, une nouvelle fois. Sa langue s’infiltre dans ma bouche, vient danser d’une manière trop vive alors que tout mon corps s’embrase à nouveau. Je ne tiendrai pas longtemps à toutes ses attaques. J’ai besoin de combler mon estomac vide, de prendre des forces, de la caféine – mais à l’excitation qu’elle m’offre avec ce simple baiser, j’ai surtout besoin d’elle. Une nouvelle fois. Lorsqu’elle se sépare de moi, le souffle coupé, je recherche une bouffée d’air. « Bon sang, Tessa ! Tu vas décidemment pas me laisse manger. » Ma voix est rauque, alors que d’une main vive, je décale nos assiettes sans me soucier de si elles peuvent tomber. Heureusement pour moi, la table est grande pour éviter tout massacre. Je me lève sans attendre, l’allonge sur la table et prend d’assaut ses lèvres sucrées.  Tant pis pour le self-control, pour ma gueule de bois, pour mon épuisement, pour cette pauvre table de séjour : « Tu veux que je te baise, sur la table, bébé ? » A trop joué avec moi, elle s’en brule les ailes.


@Tessa Goldstein    - credit : nightgaunt
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

you and me (tomessa) (+18) - Page 3 Empty






Invité a posté ce message Mer 15 Mai 2019 - 21:24 #

Chasse gardée … Ce sont les premiers mots prononcés par son ex-femme lors de notre première rencontre. Lisa, elle l’avait vu en premier. Une soirée étudiante parmi tant d’autres où elle n’avait pas eu tellement de mal à me traîner. Le temps pour moi d’aller me chercher un verre qu’elle l’avait aperçu et m’avait clairement dit de ne pas m’approcher. Du Lisa tout craché. A l’époque, je la respectais trop pour tenter quoi que ce soit et malgré ça, il m’a suffi de le voir, de croiser son regard pour que tout en moi s’emballe. L’alcool ou cette attirance indéniable à laquelle nous avons mis des années à céder ? Probablement un peu de chaque. Hantée par son sourire fossettes, son regard hypnotique et bien d’autres choses, j’ai arrêté de compter le nombre de fois où je me suis réveillée complètement excitée suite à un rêve érotique avec Tommy Matthews en rôle principal. Ça m’a bouffé pendant des années. Une attirance à laquelle je n’avais pas le droit, que j’ai refoulé autant que j’ai pu et qui se vengeait la nuit. Il est devenu mon meilleur ami au lieu d’être mon amant. Une personne digne de confiance avec laquelle je partageais tellement de choses. Une torture de plus mais je n’ai jamais rien laissé paraître. Par respect. Ça m’a consumé tout doucement même si mes sourires donnaient le change. Et il y a eu le divorce et, Dieu me pardonne, mais j’y ai vu ma chance sans pour autant la saisir. Encore par respect. Pour Lisa mais surtout pour Tommy. Jusqu’à ce fameux soir où nous avons cédé et qu’il m’a volé mon âme. Rien que ça. Le reste s’est fait sans que je ne contrôle quoi que ce soit, pas même cette petite bulle de bonheur qui m’avalait à chaque fois que je me suis trouvée en sa présence. Une bulle deux fois plus impressionnante depuis hier soir. Oh je m’emballe. Je m’emballe très vite mais c’est ce qu’il déclenche en moi, cette extase que je suis incapable de contrôler. « Sans ma gueule de bois, je ne serai pas là … » Ramenée à la réalité par la voix que je préfère au monde, je lis vite le désaccord dans son regard, tremble en sentant sa main caresser ma lèvre. Mes yeux ne le lâchent plus, le dévorent complètement.

« … avec toi. » Je prends conscience d’avoir arrêté de respirer quand je soupire lentement, humectant mes lèvres par la même occasion. Finalement je vais peut-être ériger un autel en l’honneur de cette bouteille avec laquelle il a débarqué hier soir. « Petit Déjeuner avec moi ? » Me demande-t-il une fois ma confession faite et je secoue doucement la tête. « Pas en coup de vent, pas simplement un café avant de filer. Juste toi et moi, posés et taquins. » Comme un couple, particulièrement le nôtre. Je peux dire ce que je veux, il y a cette électricité entre nous, cette attirance perpétuelle qui fait que nous cédons assez vite au plaisir charnel. Si j’en étais capable, je passerai mon temps contre lui, lui en moi. Et c’est pour cette raison que je ne retiens pas mes tentatives de le faire céder. « Bon sang, Tessa ! Tu vas décidemment pas me laisse manger. » Lèvres pincées, je tente de cacher mon sourire amusé avant de lâcher un hoquet de surprise dès qu’il se redresse et m’allonge sur la table. Bon sang, si je n’étais pas déjà totalement excitée maintenant c’est pire. « Tu veux que je te baise, sur la table, bébé ? » Souffle-t-il, penché au-dessus de moi après m’avoir offert un magnifique baiser. « Putain, oui ! » Ma voix ressemble à un grognement. Je ne la reconnais pas. C’est fou, totalement fou, à quel point je peux avoir envie de lui. Sans arrêt. Insatiable et fière de l’être. Mon intimité trempée depuis plusieurs minutes, il saura assez vite à quel point je le veux. J’en ai besoin. Mes mains saisissent le nœud de mon peignoir que je défais. Dégageant les pans de sur mon corps, je le lui offre sans vergogne. « Et par pitié, ne sois pas doux ! » J’ai bien trop besoin de sentir notre connexion pour accepter sa tendresse. Il me faut plus, tellement plus. Il faut qu’il prenne possession de moi, qu’il me fasse crier mon plaisir comme jamais et que je me sente sacrément vivante, entière grâce à lui. « Je t’offre autant mon corps que mon amour alors prends-les sans hésiter Tom’ … » Du bout des doigts je frôle ses lèvres, le souffle court en imaginant déjà ce qui m’attend. Il peut bien me détruire à l’avenir que je m’en moque éperdument tant que j’ai le droit à son amour.
you and me
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

you and me (tomessa) (+18) - Page 3 Empty






Invité a posté ce message Ven 17 Mai 2019 - 15:44 #

Ajouter le sexe à notre relation a presque été trop facile. Vu les tensions qu’on avait gardé toutes ses années, ça nous a simplement explosé en pleine figure. Je me souviens encore de cette soirée que j’avais organisée avec quelques potes pour mater ce match de football. Forcément, Tessa avait été invitée. Je ne me souviens plus du nombre de petites piques qu’on s’est lancés toute la soirée. Nos regards se croisaient à chaque fois, lourd de sens. Depuis plusieurs semaines on était devenu plus taquins, plus tactiles, plus ambitieux. Mais aucun n’arrivait à faire ce premier pas qu’on désirait faire. Encore par respect ou par peur de tout faire changer. Ce soir-là, elle avait prétexté vouloir ranger avec moi le désordre que nos potes avaient fait et lorsque nous n’étions plus que tous les deux et que nos regards se sont croisés – ils n’ont pas réussi à se défaire. J’ai brisé la distance en un rien de temps, l’embrassant à pleine bouche tentant d’exprimer tout ce qu’elle éveillait en moi. Seulement une fois que j’eus goûté à ses lèvres douces, je n’ai pas été fort pour m’en séparer. Cette nuit-là, ce fût la première fois qu’on couchait ensemble, le début d’une longue série. Et depuis, c’est un peu ce qui nous relit parce qu’on arrive jamais à se suffire de l’autre. « Pas en coup de vent, pas simplement un café avant de filer. Juste toi et moi, posés et taquins. » Je suppose que désormais nous aurons d’autres choses qui nous lieront. Débuter une vraie relation a toujours été une étape chez moi. Même si je suis du genre fidèle, n’ayant d’yeux que pour ma nana du moment, j’ai toujours tendance à me lasser ou à merder à un moment donné. Avec Lisa, j’ai tenté de me racheter – mais c’est elle qui m’a lâchement brisé. Depuis mon divorce, je ne suis pas retourné en couple. J’avais besoin d’une certaine liberté, sans jamais être dépendant de quelqu’un. Jusqu’à Tessa. Alors, ouai…je suppose qu’on allait devoir définir des vrais moments à passer ensemble, sans forcément penser qu’au sexe. « Un vrai petit déjeuner où madame ne pensera pas qu’à ma grosse queue ? » Je souris parce que je sais ce que son regard me dicte, je sais ce que son corps compte faire et alors qu’elle écrase ses lèvres sur les miens – je sais que je perds toute résistance. « Putain, oui ! » Elle gigote de plaisir sous moi, allongée sur la table. « Et par pitié, ne sois pas doux ! » Mon regard s’allume sans doute d’un éclat sauvage. J’ai au fond de moi ce petit monstre qui tente de s’assouvir constamment. Et parmi toutes les filles qui ont tenté de le combler, la seule qui est parvenue à le faire avant d’en redemander c’est cette créature que je dévisage d’envie. Avant moi, Tessa était ignare sur beaucoup de chose sur le sexe, et continue de découvrir beaucoup de chose. Aujourd’hui, j’ai devant moi cette preuve formelle que j’ai éveillé la tigresse qui somnolait en elle. Son corps s’affiche devant moi tandis que mon sang bouillonne dans mes veines. Je redépose en guise de réponse mes lèvres sur un de ses tétons que je viens mordre sans retenu. « Je t’offre autant mon corps que mon amour alors prends-les sans hésiter Tom’ » Mes mains glissent sur son corps déjà vibrant sous mes caresses et viennent s’arrêter sur le jogging et le boxer que je repousse vivement. Je me relève, positionne un peu mieux ses jambes et saisit ma queue déjà bien dressée d’une main. Je caresse sa fente avec ma verge et frisonne en sentant à quel point elle est déjà toute mouillée. « T’es toujours trempée pour moi bébé. » Je continue mon manège quelques secondes avant de venir la pénétrer profondément. Son grognement ressemble à un cri de surprise et de plaisir à la fois. Je maintien ses jambes écartelées, alors que je ressors pleinement et me repousse en elle d’une violence qui m’étonne moi-même. J’ai exactement le même son de sa part, mêlé au moins qui témoigne mon extase. Plusieurs coups intenses nous font vibrer ainsi avant qu’une fois en elle, je m’immobilise définitivement. Je ramène ses jambes, les poussent doucement vers son torse. De cette manière, son ouverture est presque infime. Je sens à quel point tout est contracté autour de ma queue au moment où je commence à faire des petits mouvements. Tout s’intensifie. Tout est plus profond. Chaque frottement est plus violent et nous coupe le souffle. Dans cette position, je ne peux pas la toucher, seules mes mains qui viennent installé ses pieds sur ma poitrine nous relient. Et puis, elles glissent jusqu’à ses hanches que j’agrippe, mes ongles s’enfonçant dans sa chair bien tendre. C’est à ce moment-là où la vitesse de mes mouvements augmente. Ils sont courts, concis, profonds. Tout son corps réagit : ses seins rebondissent avec rythme, son buste s’arque, ses yeux sont fermés, ses lèvres sont ouvertes, laissant échapper ses petits cris, mais viennent parfois se pincer. Seul le bruit de nos deux corps qui rentrent en fusion ainsi que nos respirations fortes domine le silence. Et puis, Tessa s’accélère, je la sens commencer à partir et je grogne : « Putain, pas déjà ! » Je suis loin de ce point d’orgasme. Mon corps est trop raide sous l’effort, ma tête me martèle, ma gorge est sèche, mon estomac me tiraille. Je suis dans un tel état de fatigue que mon corps s’active sans que mon cerveau ne lui en donne pas l’ordre. C’est comme ce dernier quart d’heure de match, où vous êtes obligé de courir à toute vitesse alors que votre corps n’en peut plus. Mais vous continuez, par obligation, par détermination. Ce running back est trop intense pour mon corps, et pourtant, j’accélère le mouvement, l’emportant dans ce premier orgasme qui la fait crier si fort que si quelqu’un se trouvait dans la maison, il était certain de l’entendre. Elle crie mon nom, encore et encore, sous le plaisir qui continue d’être alimenter. Je ne ralentis pas, je continue, tentant de trouver moi aussi ce point culminant. Les gémissements de Tessa sont interminables, mais lorsque je ressens son second orgasme rapproché dans la volée, et que tout se resserre une nouvelle fois sur ma queue amplifiant une nouvelle fois les sensations, je perds pieds en même temps. « Tessa ! BON DIEU ! » Il n'y a aucun dieu entre nous, il n'y a juste que moi. Je l’immonde de mon sperme au fond d’elle, alors que je lui chasse les jambes et tombe sur elle, de tout mon poids. Et alors que mon corps se relâche, je sens autant le plaisir que la douleur. Je sue comme un bœuf, sous une respiration trop forte. J’ai mal au crâne, mes muscles sont si contractés qu’ils me font mal. Je sens ses mains venir caresser mon crâne, qui repose sur sa poitrine. Ma tête se lève quelques minutes après pour venir l’embrasser passionnément. Souffle court encore, je me relève avec difficulté, et me retire d’elle pour venir m’asseoir sans même relever mon pantalon. J’ai la tête qui tourne tant des étoiles dansent devant mes yeux. Et je sais qu’au regard de Tessa si intense, elle semble inquiète. « Ça va, j’ai juste besoin d’une minute. » Et de combler ce que mon corps réclame depuis tout à l’heure : cette faim qui me déchire les entrailles.
you and me
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

you and me (tomessa) (+18) - Page 3 Empty






Invité a posté ce message Ven 17 Mai 2019 - 18:20 #

« Un vrai petit déjeuner où madame ne pensera pas qu’à ma grosse queue ? » Un grognement remonte du fond de mes entrailles et de ma gorge. Ce n’est réellement pas fairplay de sa part de me parler de ce qui me travaille depuis de longues minutes. Je n’ai jamais su calmer mon attirance indéniable pour lui, toutes ces pensées impures qu’il n’a de cesse d’éveiller en moi et qui me font rougir même si je suis la seule à les connaître. Mon regard me trahi à chaque fois, particulièrement avec lui. Il suffit qu’il me regarde intensément pour comprendre ce que je pense et m’adresser ce petit sourire en coin qui me fait fondre. C’est assez effrayant de réaliser que nos regards en disent souvent long sur ce que nous pensons, que parler n’est pas forcément utile, mais j’adore cette facette de notre relation. Avant même que nous n’ajoutions le sexe et alors que notre amitié se renforçait de jour en jour, il y avait cette facilité de communiquer sans rien dire. Du moins verbalement. Et là … là je sais que mon grognement et mon regard brillant parlent trop pour moi. Ils lui communiquent cette excitation que je n’arrive plus à refouler, ce besoin de ressentir cette connexion toute particulière lorsqu’il est enfoncé profondément en moi. La dernière pièce de mon puzzle. Si j’ai refusé de lui dire clairement que je l’aimais de peur qu’il me repousse, je suis heureuse que ça soit désormais chose faite. Le pire est que je ne peux pas le reprendre, calmer son ego lorsqu’il parle de son membre parce que, bon dieu, il est réellement très bien monté et ça me fait sacrément frissonner. Je meurs d’envie de l’avoir en moi, de retrouver cette perfection qu’il m’offre à chaque fois. Qu’importe que nous soyons dans une pièce commune, il n’y a personne à la maison et personne qui n’a besoin de savoir ce qui va se produire. Mon corps tremble, anticipe ce qui va arriver. Ses mains caressent ma peau brûlante alors que je mords ma lèvre et ne le quitte pas des yeux. Pas même lorsqu’il s’amuse à frotter son intimité contre la chaleur moite de la mienne. « T’es toujours trempée pour moi bébé. » Ça me rend folle, me fait doucement soupirer avant qu’un gémissement plus fort ne résonne dans la pièce quand il s’enfonce en moi. NOM. DE. DIEU. M’offrant une exquise torture ensuite, se jouant de moi, je n’arrive pas à contenir les petits bruits qui s’échappent d’entre mes lèvres, prouvant à quel point j’aime tout ça. Tout ce qu’il m’offre. A chaque fois.

Et lorsque la partie commence vraiment j’explose de bonheur. Ça jailli en moi, se propage partout alors qu’il se meut en moi, mes pieds contre son torse. Mes mains agrippent fermement ses poignets au niveau de mes hanches. Toute la frustration de ces dernières semaines, ce besoin de ne faire plus qu’un, de retrouver notre putain de connexion, tout ça fait que je vacille trop vite vers le gouffre du plaisir. Mes muscles se bandent, mon dos s’arcboute et je sais qu’il sait. « Putain, pas déjà ! » Il sent que je cède mais il n’y a rien à faire pour arrêter le torrent de plaisir qui me submerge alors que je ne crie pas, non je hurle son prénom, le répète encore et encore, les vagues de plaisir me submergeant violemment. Mes ongles s’enfoncent dans la chair de ses avant-bras et je ne sens plus que mon sang qui cogne dans mes oreilles, mon cœur qui s’emballe. Lui, il continu de venir en moi, de chercher à atteindre cette perfection alors que je sens le début d’une seconde vague me dévorer. Mon souffle s’arrête un instant et j’expulse tout d’un coup dans un nouveau cri, me resserrant fortement autour de son érection. « Tessa ! BON DIEU ! » Je le sens plus que je l’entends. Cette preuve du plaisir qu’il ressent qui se déverse en moi, me fait gémir une fois encore. Cette perfection que je ne saurais jamais expliquer. C’est juste une joie, de l’euphorie de savoir que je peux réveiller ça chez lui, l’amener à une telle jouissance qu’il se lâche brutalement en moi. Etalé sur moi, à bout de souffle, mon premier réflexe est d’aller caresser amoureusement ses cheveux humides en cherchant mon souffle. Mais il se relève, vacille et retombe sur la chaise sous mon regard inquiet qu’il aperçoit vite. « Ça va, j’ai juste besoin d’une minute. » La culpabilité m’assaille d’un coup alors que je referme mon peignoir autour de mon corps repu. Et voilà que je suis celle qui l’a poussé à bout, qui l’a trop cherché et qui l’a forcé à aller trop loin. Lèvres pincées, je me penche pour attraper une assiette, peu importe laquelle, avant d’aller me placer sur ses jambes nues et fortes sous les miennes. « Ouvre la bouche, il est temps que je te nourrisse comme il faut. » J’arque un sourcil pour lui faire comprendre de m’écouter et glisse un morceau de fruit entre ses lèvres en gardant l’assiette entre nous. « Désolée de t’avoir trop poussé. » Je m’excuse en sentant le rouge me monter aux joues, honteuse d’être celle qui a été aussi assoiffée de sexe alors que généralement c’est lui.
you and me
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

you and me (tomessa) (+18) - Page 3 Empty






Invité a posté ce message Sam 18 Mai 2019 - 18:10 #

D’ordinaire, je suis endurant. Mettez-moi une belle fille comme Tessa devant moi, et je peux lui faire l’amour toute une nuit. Et quand bien même on aurait eu notre dose avant de s’endormir dans les bras l’un l’autre, j’aurai finis par peut-être en redemander au petit matin. Je suis né comme ça, un vrai insatiable du sexe. Depuis ma première fois après une soirée trop arrosé, aux alentours de mes 13 ans-14 ans, je ne m’étais pas arrêté. Au lycée, surtout. J’étais ce grand quaterback que toutes les filles adulaient. Je changeais de copine comme de chemises, et sans doute parce que la fille la plus populaire était plutôt une bonne copine qu’une petite copine. A cette époque, j’étais un vrai petit merdeux qui profitait un peu trop de la vie mais qui niveau sexe, continuait de se découvrir. Et puis, il y’a eu l’université. Les deux premières années, j’ai sans doute testé plus de choses que les dernières années. De nouveaux plaisirs, de nouvelles positions, des plans à trois, des endroits insolites. Putain, c’était l’extase à l’état pur. Et si je suis sans doute resté aussi longtemps avec Lisa avant qu’elle ne m’embarque dans sa grossesse, c’est parce qu’elle était aussi dingue de ses découvertes. Grâce à toutes ses expériences, je sais ce qu’elles aiment, et ce qu’elles n’aiment pas. Je sais ce qui peut leur faire plaisir, comment accentuer leur plaisir, et utiliser certaines choses pour augmenter leur excitation. A nos débuts, avec Tessa, c’était du sexe vanille. Celui un peu doux et classique – mais ça m’allait très bien, parce que je satisfaisais l’autre partie avec d’autres. Et puis, lorsque Tessa a pris un peu plus d’importance, cette partie s’est transféré sur elle – et elle l’a accueilli à bras ouverts, prête à tester des nouvelles choses. Comme le sexe bestial, sans douceur ni romance. Celui qui ressemble plus à un besoin qu’à une union. La première fois, j’ai regretté, parce qu’il s’est passé dans les toilettes d’une soirée mondaine et que pour la première fois je la voyais pleurer. A cause de moi. Mais tout allait bien m’avait-elle dit, m’expliquant qu’elle n’avait pas été prête. Depuis, c’est quelque chose qu’elle réclame souvent. Juste parce que c’est un besoin qu’elle a besoin d’assouvir.

Seulement voilà, ce matin, je n’étais pas prêt. Avec cette bonne foutue gueule de bois, cette faim insoutenable qui me tiraille depuis… - Depuis quand n’ai-je pas mangé d’ailleurs ?! – et la fatigue de toutes ses émotions et révélations qui mine de rien pèse quelque part…j’étais loin d’être en état de la prendre comme une bête. Je le paye maintenant alors que je regarde ma copine (putain, ma copine !) sans forcément la regarder. Mon regard est vide, mon souffle encore irrégulier, les battements de mon cœur trop sourd. Elle se rhabille et glisse sur mes genoux. Mes mains viennent instantanément s’inviter autour de sa taille, ma tête rencontrant son épaule. « Ouvre la bouche, il est temps que je te nourrisse comme il faut. » Je ne la contredis pas et lui obéis en ouvrant la bouche afin qu’elle y glisse un morceau de fruit. « Désolée de t’avoir trop poussé. » Mes ongles s’enfoncent dans sa hanche qu’elles agrippent en guise de réponse.« T’excuse pas pour du sexe, bébé. Jamais. » Je soupire, avant de prendre un second morceau qu’elle m’offre. « J’ai juste vraiment trop bu hier » ça ne se comptait plus en verre mais en bouteille, j’en suis persuadé. Et heureusement que je n’ai pas d’entrainements en ce moment, je me serai fait entubé par mon coach à la seconde où j’aurai mis ma sale gueule sur le terrain. Je la laisse me nourrir, sans avoir la notion du temps. Je reste juste dans cette position, la bite à l’air, la tête sur son épaule, mes mains autour d’elle. A mesure que mon corps commence à reprendre des forces, j’ai presque envie de fermer les yeux pour me rendormir. Mais la chaleur de Tessa et son doux parfum m’oblige presque à ne pas le faire, pour profiter de sa simple présence. Assiette vide, café bu, elle pose la tasse sur la table satisfaite en venant caresser la base de mon cou. « Je t’aime, Tessa. Plus que je ne pourrais jamais l’imaginer »
you and me
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

you and me (tomessa) (+18) - Page 3 Empty






Invité a posté ce message Dim 19 Mai 2019 - 14:12 #

Me sentir coupable ça me connaît bien. Je suis capable de m’en vouloir pour la moindre petite chose, de laisser ce sentiment me travailler – me ronger même – petit à petit jusqu’à devenir complètement folle. C’est plus simple de considérer que je suis la fautive parce qu’au moins je n’ai pas à aller voir plus loin que le bout de mon nez, pas besoin de m’étaler sur le sujet avec quelqu’un et ainsi prendre le risque d’accepter que je compte. Que je compte assez pour que mes erreurs ne soient pas graves. En fait mon problème réside là : j’ai peur de réaliser que je compte pour quelqu’un, d’accepter de le faire entrer dans ma vie et d’être ensuite rejetée. C’est l’erreur que j’ai répété plusieurs fois de suite dans mes débuts d’orpheline, lorsqu’une famille m’acceptait et que j’étais assez idiote pour croire qu’ils allaient me garder. Avec le temps j’ai fini par me fermer, par être froide à chaque fois que j’arrivais dans une nouvelle famille d’accueil et chaque fois que j’étais renvoyée je me disais avoir bien fait. J’ai été aussi affreuse avec les Goldstein qui ont toutefois été assez patients avec moi – sans doute la force de l’habitude. Malheureusement, c’est resté ancrer en moi. Cette crainte qu’on finira forcément par m’abandonner parce que je n’ai jamais été assez bien. C’est aussi pour cette raison que je me bats autant pour réussir et que j’ai eu autant de mal à accepter l’aide de Tommy … de n’importe qui en fait. J’ai ce besoin de prouver à tout le monde et surtout à moi-même que je suis capable de m’en sortir toute seule à tel point que j’ai du mal à laisser qui que ce soit m’apporter un quelconque soutien. Que j’ai fini par céder à Tommy relève presque du miracle mais aussi borné – peut-être même plus – que moi, il a fini par avoir raison … particulièrement lorsque mon corps a lâché. Là, ma culpabilité n’a rien à voir avec tout ça. Certes je reconnais que trop bien cette émotion qui m’assaille mais je le suis parce que j’ai poussé une personne à laquelle je tiens – une personne que j’aime – à aller trop loin. Ses mains glissent de mon dos à mes hanches. Il enfonce ses doigts dans ma chair et me fait légèrement grogner. « T’excuse pas pour du sexe, bébé. Jamais. J’ai juste vraiment trop bu hier » Mordant ma lèvre, je continue de le nourrir sans arrière-pensées, simplement le besoin de contenter cet appétit qui le ronge depuis que nous nous sommes réveillés. « Si je m’écoutais je t’interdirais de boire à l’avenir mais je sais que la bière c’est bien trop tentant. » Un petit sourire amusé étire mes lèvres. Je passe mon index sur sa joue rugueuse jusqu’à son menton et me penche pour l’embrasser brièvement. Je recommence à lui donner à manger jusqu’à finir nos assiettes tout en buvant mon cappuccino – seul café que j’accepte de boire – par moment. Il se détend, je le sens sous moi et alors qu’il me serre un peu plus contre lui en allant nicher son visage dans mon cou. « Je t’aime, Tessa. Plus que je ne pourrais jamais l’imaginer » Bon dieu, est-ce que ça va un jour arrêter de me faire sourire comme une idiote de l’entendre m’affirmer ça ? Je ne pense pas … je ne pourrais pas m’en passer. Jamais. « Je t’aime aussi. » Mes doigts caressent la base de sa nuque, mon menton posé contre son crâne. Nous restons comme ça de longues minutes, parfaitement heureux et paisibles dans les bras l’un de l’autre. « Tommy … » Je l’entends marmonner sans pour autant bouger alors je le fais pour lui et me décale pour le regarder. « J’adore t’avoir nu contre moi mais je pense que tu as besoin d’une douce … Sans vêtements cette fois et calme. » D’un simple regard je lui fais comprendre que je ne suis pas certaine que du sexe soit une bonne idée même si l’idée qu’il me prenne réellement sous la douche est très séduisante. Mais il a besoin de se détendre, de laisser l’eau chaude effacer une partie de sa gueule de bois. Alors je me lève et tends la main vers lui. « Je m’occuperai de la vaisselle après, mon gros bébé d’abord. »
you and me
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

you and me (tomessa) (+18) - Page 3 Empty






Contenu sponsorisé a posté ce message #

Revenir en haut Aller en bas
you and me (tomessa) (+18)
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4  Suivant
Revenir en haut 
 Sujets similaires
-
»  'cause she's a goddess / tomessa (+18)
» you've got that power over me (tomessa)
» glitter in the air / tomessa
» speechless (tomessa) +18
» no matter what (tomessa)


Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
NEW YORK AND CHILL :: corbeille : rps-
Sauter vers: