t'as pas totalement compris comment vous êtes passés du moment ou elle te reproche - comme d'habitude - le bruit, au moment ou vous vous embrassez chaudement sur le seuil de la porte, tes doigts glissant contre ses fesses et vos lèvres peinant à se séparer l'unes de l'autres. tu souffles doucement contre ses lippes. en même temps, elle débarque comme ça, en nuisette. une allumeuse ? tu hoches la tête, ton visage toujours à quelques centimètres du sien, tandis que tu te pinces brièvement les lèvres. tu viens serrer doucement ses fesses entre tes doigts. et c’est l’homme qui me pince actuellement les fesses qui me dit ça ? tu ris un peu, haussant un peu les épaules à ses mots. dixit celle qui a commencé à étaler ses mains sur mon torse en parlant, comme si de rien n'était. tu pouffes de rire en te mordant l'intérieur de la joue. tu la laisses tirer ton haut pour venir glisser sa main en dessous. tu fermes les yeux quelques instants, ses doigts contre ta peau. tu viens la taquiner un peu, lui demandant si elle sonne souvent ses chez voisins en nuisette. tu te pinces les lèvres, tu ferais volontiers glisser tes doigts un peu plus bas encore. seulement quand ils sont un peu trop bruyant... mm, je vois. tu reviens l'embrasser, cédant face à la tentation de sentir ses lèvres contre les tiennes une nouvelle fois. ses ongles viennent se planter dans ta peau et tu étouffes un léger grognement à la sensation. tu reprends doucement ton souffles. vu que... mon voisin m’empêche de dormir. que dirais-tu de me tenir compagnie pour la nuit ? tu te mords l'intérieur de la joue. ce n'est pas très délicat de la part de ton voisin. tu murmures d'une voix rauque, tandis que tu viens glisser tes doigts dans le bas de son dos. j'en serais ravi. tu murmures en te mordant l'intérieur de la joue. tu viens attrapant ses lèvres une nouvelle fois, la poussant un peu dans le couloir en refermant la porte de la coloc derrière toi. tu te mords l'intérieur de la joue. et si on y allait ? tu proposes en riant un peu. toi, pressé ? peut-être bien. tu te mords l'intérieur de la joue en esquissant un petit sourire, venant poser tes mains sur sa taille.
Tout s’accélère peu à peu dans ton esprit quand tes mots quittent ta gorge. Oui, tu viens tout juste de l’inviter à venir chez toi. Cela pourrait anodin entre voisins. Du moins, cela le serait si vous ne veniez pas de passer quelques longues minutes à échanger quelques baisers. Cette invitation se veut loin d’être aussi innocente que ton petit minois. Bien au contraire. Ton corps en demande un peu plus, ta vue aussi au passage. Tu ne peux pas nier d’avoir plus d’une fois laissé courir ton regard sur son postérieur quand il s’éloignait de toi. Ce n’est pas bien Lila, tu ne devrais pas. Voilà ce que seulement 5% de ton esprit te susurre. Et les 95 autres ? Eux, ils chantent leurs plus noirs désirs. Et, pauvre petite femme que tu es, tu écoutes la majorité. Alors, quand finalement Andreas se montre aussi impatient que toi, quand - ne serait que son corps - te pousse en arrière. Quand ses mots viennent confirmer son impatiente. Tu perds tout sens de réflexion. Lentement, tu laisses tes doigts quitter son corps alors que le tien se tourne sur quelques degrés. Par joie, ton appartement n’est pas loin. C’est l’avantage à être voisin. Tu le saisis tout de même par quelques doigts, comme pour être certaine de ne pas le perdre sur le court chemin qui sépare la porte de son appartement du tien. Quelques pas sont faits, pas énormément. Une petite dizaine maximum avant que tu attrapes la poignée de la porte. En un geste, elle se débloque et la porte s’ouvre sur un appartement dont les traces de ta soirée jonchent encore le sol. Ce n’est pas grand chose, tu n’as juste pas eu le courage de passer le balai. De toute manière, ton attention sera bien vite attirée par une chose plus intéressante. Tu entres, tu le laisses faire de même et, à peine a-t-il franchis le seuil de ta porte que ton corps revient se heurter contre le sien. Ne laissant pas vraiment le choix à son dos de s’écraser contre ta porte, qui claque en raison de ce geste... Finis les douceurs. Finis la patience. Tes lèvres s’adonnent à quelques pressions pour le moins chaleureuses contre les siennes. Tes mains ? Elles sont déjà en train de soulever ce qui haut qui t’obstrue la vue. Tu veux voir cette peau dorée rougir sous le frottement de vos corps.
tu ne pensais pas que ta soirée se terminerait de cette manière. et dans le fond, ça ne t'étonnes même pas, au fond. vous êtes tous les deux alcoolisé, il est tard, sans doute que la fatigue est un facteur tout aussi important à prendre en compte que l'alcoolémie. tes lèvres reviennent contre celles de la jeune femme. lila, tu n'y avais jamais trop prêté attention. c'est ta voisine, c'est tout. une fille que tu croises de temps en temps dans la cage d'escalier et qui vient se plaindre du bruit, mais rien de plus, rien de moins. ça t'étonne un peu dans le fond. enfin, ça t'étonnerais si tu étais sobre. ce qui n'est pas franchement le cas. tu glisses tes doigts contre ses hanches durant quelques instants, avant de la pousser un peu à son appartement. c'est elle qui t'a proposé de venir la rejoindre dans ce dernier, quitte à passer la fin de la nuit ensemble. et c'est exactement ce qu'il va se passer, de toute manière. la jeune femme s'éloigne un peu, mais ses doigts restent liés aux tiens le temps des quelques mètres séparant ta porte d'entrée de la sienne. franchement pas grand chose. les joies que d'habiter sur le même palier. tu ne fais pas plus attention que ça à l'intérieur de l'appartement de la jeune femme. demain peut-être, pas ce soir. tu te mords l'intérieur de la joue, la porte se referme derrière toi et dans les secondes, tu te retrouves plaqué contre cette dernière, dans ton dos. vos lippes se retrouvent une nouvelle fois, chaudement, tandis que tes mains glissent sur le corps de la jeune femme, un peu comme les siennes sur le tien, quand elle se hâte de retirer ton haut. tu te défais assez rapidement de ce dernier, avant d'inverser vos positions et de pousser la jeune femme contre la porte à ton tour. tu soupires doucement contre ses lippes, avant de glisser tes mains sous ses cuisses pour la soulever un peu, l'incitant à enrouler ses cuisses autour de tes hanches et poussant son corps contre la porte pour soutenir son poids. tu reviens l'embrasser plus durement, tes ongles s'enfonçant doucement dans sa peau. j'imaginais pas vraiment ma soirée comme ça. tu souffles dans un rire. mais c'est bien, aussi. tu ajoutes en venant mordiller sa lèvre inférieure.
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Invité a posté ce message Sam 11 Aoû 2018 - 23:25#
Voilà un tournant auquel tu ne t’attendais pas mais, un tournant des plus délicieux. Sans doute autant que son corps. Tes doigts glissent d’ailleurs sous cette première couche de tissu qui te gâche la vue. Tu le remontes, presque en hâte avant d’en attraper les bords pour l’aider à le faire passer au-dessus sa tête. Il vole, un peu plus loin derrière toi. Tu ne sais pas trop où tu le lances en fait, tu t’en fiches sur le moment. Encore plus quand c’est ton corps qui finit coincé contre cette porte. Tu as le souffle tremblant ainsi que le corps bien trop chaud. Rien ne s’arrange quand vos salives se mélangent. Une énième fois, sans être la dernière fois. Il va te soulever là non ? C’est ce que ton corps perçoit quand ses doigts se perdent sous tes cuisses. Machinalement, presque instinctivement, tu agrippes cette nuisette qui te colle à la peau. Dans un geste net, précis, tu la soulèves afin de pouvoir plus facilement enrouler tes cuisses autour de ses hanches. Cette proximité fait battre un second coeur entre tes cuisses. « Et moi dont... » réponds-tu simplement à ses premiers mots. Un sourire s’étire sur tes lèvres, tes bras venant s’enrouler autour de sa nuque. « J’ai bien fait de venir toquer chez toi... » C’est à ton tour de laisser un rire s’échapper de tes lèvres alors qu’elle est en proie à ses dents. « Si tu le désires... J’ai une chambre... On serait peut-être plus à l’aise... » Non pas que tu doutes de sa force à te maintenir contre cette porte, mais tu veux aussi pouvoir mener une certaine danse. Tout en disant ces mots, tu laisses tes doigts descendre le long de son torse avant qu’ils ne se glissent un peu plus entre vos deux corps. Assez, pour que lentement, ses doigts s’attellent à ouvrir une partie du pantalon et a desserrer cette ceinture. Il sera mieux ainsi. Mais, tu gardes tout de même le bouton d’accrocher. Tu ne voudrais pas qu’il perde l’équilibre bêtement en se rendant jusqu’à la chambre. Si toutefois, cela l’intéresse.
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Invité a posté ce message Lun 13 Aoû 2018 - 17:04#
tu te retrouves bien rapidement torse-nu, une fois la porte de l'appartement de lila fermée derrière vous. tu l'aides à te débarrasser du tissu et tu ris un peu, avant de l'embrasser, encore et encore. tes doigts glissent contre son corps pour venir la soulever et la plaquer contre le mur, la maintenant contre toi sans trop trop de mal. ton corps appuis contre le sien pour supporter une partie de son poids. et puis, de toute manière, elle n'est pas non plus très épaisse. et tu ne pensais pas franchement que ta nuit allait se terminer comme ça. et moi dont... tu ris un peu, la laissant venir glisser ses mains autour de ta nuque. j’ai bien fait de venir toquer chez toi... tu hoches la tête. ouai, t'as carrément bien fais. tu souffles doucement, tes lèvres effleurant les siennes et vos respiration se mêlant à chaque souffle. tu te pinces brièvement les lèvres. mais j'crois que c'est la tenue qui a tout fait. tu ris en la taquinant un peu. la tenue, ou plutôt son absence de tenue. tu viens attraper sa lèvre inférieure entre tes dents, doucement. si tu le désires... J’ai une chambre... on serait peut-être plus à l’aise... tu te pinces les lèvres quand ses mains dévalent ton torse pour venir glisser contre ton pantalon, détachant un cran de ta ceinture. tu retiens un petit souffle. ouai. tu souffles en la reposant sur le sol, glissant tes doigts dans tes cheveux pour les éloigner un peu de ton front, tandis que tu observes la jeune femme avec un regard brûlant. j'te suis. tu souffles finalement. après tout, tu ne connais pas son appartement, ou se trouves les pièces. tu pourrais trouver facilement sa chambre, après tout. ouvrant les portes un peu au hasard. tu te mords l'intérieur de la joue. j'ai hâte de la découvrir. tu ajoutes en riant un peu, te mordant l'intérieur de la joue.
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Invité a posté ce message Dim 19 Aoû 2018 - 18:27#
Tu ne peux pas t’empêcher de hausser un sourcil à ses mots. La tenue ? Toi qui avais longuement hésité à enfiler un petit pyjama snoopy, tu as finalement fait le bon choix en te glissant dans cette nuisette. Ah oui ? Une interrogation qui n’en est pas vraiment une au fond. Tu connais déjà la réponse. Tu irais même jusqu’à dire que tu la sens. Puis, tu deviens un peu plus curieuse. Est-ce que la porte est réellement l’endroit rêvé ? Ton dos commence à penser que non. Alors, tu lui proposes une alternative, si cela l’intéresse. Ta chambre. Le temps qu’il se décide, tu ne peux empêcher tes doigts de se faire vagabond jusqu’à sa ceinture à laquelle tu détaches un cran. Oui ? Tu détaches doucement ton regard de ce que tu étais occupé à faire pour le planter dans ses prunelles. Parfait. Tu le laisses te déposer au sol, tu abaisses un peu ta nuisette que tu avais soulevée pour l’occasion et, tu n’attends pas réellement de signe pour traverser l’entrée et le salon. Tu t’engages dans le couloir alors que tu laisses un petit rire s’échapper de ta gorge. Je ne suis pas certaine que c’est la chambre que tu vas prendre le temps de découvrir cette nuit... Arrivé devant la chambre, tu pousses simplement la porte, le laissant passer en premier, tu lui emboîtes le pas juste après. Tu es un peu rouillée au fond pour ce genre de chose, mais pas assez pour ne pas lui sauter une énième fois dessus. Assez pour qu’il s’étale sur ton matelas. Heureusement que ton sommier est solide. Tu te retrouves à présent sur lui, à califourchon, comme si de rien était. Je pense que nous avons assez parlé pour ce soir. Laisses-tu simplement s’échapper de tes lèvres tandis que le haut de ton corps vient se coller contre le sien. Tu l’embrasses, plus chaudement. Tes doigts se baladent sur les parties de son corps encore accessible. Tu soulèves le bassin, assez pour avoir un espace suffisant pour l’une de tes mains. Il faut bien qu’elle termine le boulot non ? Alors, elle le fait, elle déboutonne ce jean, elle ose même se perdre quelques secondes sous le tissu de son caleçon.
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Invité a posté ce message Ven 24 Aoû 2018 - 18:17#
ah oui ? tu ris un peu et hoches la tête. ouai, j'aime beaucoup. tu souffles en riant, tes doigts tenant fermement la jeune femme contre la porte, ton corps penché contre celui de la jeune femme. elle termine par te proposer de rejoindre la chambre et tu dois avouer que oui, c'est une bonne idée. tu ris un peu en la reposant au sol. parfait. tu esquisses un sourire en la suivant dans le petit couloir. l'appartement est pas très grand, même sans la jeune femme, tu aurais pu trouver la chambre. tu ris un peu. je ne suis pas certaine que c’est la chambre que tu vas prendre le temps de découvrir cette nuit... tu te mords l'intérieur de la joue en laissant ta main tomber contre ses fesses comme simple réponse face aux mots de lila. elle vient t’emboîter le pas quand tu rentres dans la chambre, et ne tardes pas à te faire tomber sur le lit, te faisant rire tandis que tu te retrouves sur le dos. tu la laisses s'installer à califourchon sur toi. je pense que nous avons assez parlé pour ce soir. tu te contentes de hocher la tête pour confirmer les dires de lila, répondant chaudement à son baiser en glissant tes mains au niveau de ses hanches, que tu viens serrer doucement entre tes doigts. tu l'aides à soulever un peu ses hanches, pour laisser ses mains terminer ce qu'elles avaient entreprit plus tôt; c'est-à-dire défaire l'attache de ton jean pour y glisser même une main. un léger souffle s'échappe de tes lippes. quand on y pense, c'est plutôt une bonne façon de commencer l'année. tu ris un peu en venant attraper sa lèvre inférieure entre tes dents, avant de l'embrasser une nouvelle fois, fermant les yeux quelques instants. et c'est pendant ce temps que tu laisses une de tes mains glisser entre ses cuisses, passant outre sa petite culotte.
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Invité a posté ce message Ven 24 Aoû 2018 - 21:56#
Tu ne peux empêcher à un petit sourire de s’installer sur tes lèvres quand tu sens ses doigts venir tomber sur tes fesses. Il a au moins parfaitement compris de quoi tu voulais parler. De toute manière, au vu de vos échanges précédent, la situation était parfaitement claire. Tu glisses dans ta chambre, le laissant te suivre. C’est cette porte-ci qui finit par se fermer derrière lui avant que son dos ne rencontre le confort de ton matelas. Tu n’es pas très douce, tu dois bien l’avouer. Dans cette partie de ta maison, tu n’as jamais su l’être de toute façon. Tu grimpes sur lui, tu épouses ses lèvres alors que tes doigts s’exécutent à lui détacher ce morceau de tissu. Bien entendu, tu ne nies nullement en profiter un peu quand c’est chose faite. Tes doigts se perdent, deviennent quelque peu vagabond et se frayent un chemin jusque sous le tissu. Tu l’empoignes. Voilà. Pour ce soir, il est à toi. Tu ne peux cependant pas retenir un rire s’échapper de ta gorge quand tu l’entends parler. Il est vrai, une très bonne façon et, tu hoches simplement la tête en guise d’approbation. Tu fermes les yeux, tu savoures son contact une nouvelle fois et, quand ses doigts se perdent entre tes cuisses, la danse peut finalement commencer.
✽ ✽ ✽
Si tu avais imaginé cela. Te retrouver entièrement nue dans ta chambre en bonne compagnie ce soir, tu en aurais sûrement ri. Mais, tout cela était bien réel. Tu te reposais contre ton oreiller alors que tu daignais reprendre un souffle à peu près correct. Ce qui ne fut pas chose aisé. Tu jetas par ailleurs un regard rapide en direction de l’homme avait qui tu venais de froisser tes draps. Ton voisin. Celle-ci était encore plus drôle et inattendue. Non, jamais tu n’avais eu dans l’idée de réellement assouvir ce qui par instant te passait par la tête quand tu l’apercevais dans le couloir et, pourtant, ce soir, tu venais de le faire. La question était maintenant : Est-ce que cela se reproduirait ? Serait-ce pareil demain matin ? Oh, ma pauvre, tu te posais bien trop de questions. Tu glissais alors simplement une main sur ton visage alors que le drap couvrait de ton corps uniquement les endroits qui avaient maintenant besoin - à nouveau - d’un peu d’intimité. C’était... Tu ne finissais pas ta phrase, juste un petit gloussement s’échappait alors de ta gorge. Pas besoin de moi de mots pour le décrire. Vos corps reflétaient assez bien le fruit de vos ébats.
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Invité a posté ce message Mer 29 Aoû 2018 - 12:34#
un rire s'échappe de tes lèvres, tu termines par tomber sur le matelas et fermes les yeux un instant, en laissant la jeune femme monter sur tes hanches. et ça va être une très bonne soirée. tu te mords l'intérieur de la joue et retiens un petit soupir s'échappe de tes lippes. les mains se font baladeuses, tandis que vos peaux s'échauffent.
tes doigts glissent dans tes cheveux, tu reprends ton souffle doucement, un sourire sur les lèvres un instant. tu viens tirer légèrement le drap, tu pensais pas que cette soirée se terminerait de cette manière même si ce n'est pas totalement désagréable. tu te mords l'intérieur de la joue et tournes légèrement la tête. lila, c'est ta voisine, tu sais même plus trop depuis combien de temps, mais tu pensais pas, un jour, terminer dans son lit, et encore moins alors qu'elle venait simplement toquer à l'appartement à cause de la musique. et voilà comment ça a terminé. c’était... tu ris un peu à ses mots, te redressant un peu et t'appuyant sur tes coudes pour l'observer. fais gaffe, mon égo pourrait fortement apprécier. tu souffles avec un sourire sur le coin des lèvres, venant éloigner tes quelques mèches trop longues de ton front. mais ouai, c'était vraiment bien. tu ajoutes en te tournant un peu vers la jeune femme. tu te mords l'intérieur de la joue. pourquoi ça s'est pas produit plus tôt, d'ailleurs ? tu pouffes un peu. si ça se trouve tu venais toquer juste pour me voir ? tu souffles pour la taquiner un peu. tu sais pas trop au fond. tu sais même pas ce qu'il va se passer maintenant. tu te mords l'intérieur de la joue un instant, retenant un petit soupir et haussant un peu les épaules.
Tu ne peux pas t’empêcher de hausser légèrement un sourcil à ses mots. Un rire s’échappe d’ailleurs de ta gorge. Ah oui ? Mince. Je vais dans ce cas, éviter de terminer ma phrase. Un sourire des plus malicieux se glisse sur tes lèvres avant que tu ne te tournes tout simplement sur le ventre, la tête posée sur ton oreiller. Tu fermes les yeux, quelques secondes seulement, le temps que ses mots s’échappent de ses lèvres. Oui, vraiment bien. Tu manques de pouffer de rire en écoutant la suite. Peut-être parce que jusqu’ici j’avais plus envie de te tuer qu’autre chose ? Ou alors c’est juste parce que je n’étais jamais en nuisette. Tu hausses un peu plus tes sourcils, lâchant un rire franc. Mince, tu as tout découvert. Je rêvais de pouvoir tâter ce corps qui se trouvait devant moi. Bien entendu, tu grossis la vérité, tu le taquines... Tu te moques peut-être même un peu de lui au fond. Maintenant je saurais quoi faire si je veux que la musique cesse. Je me pointerais en petite nuisette transparente. Tu affiches un énorme sourire, comme toute fière de toi et de ton idée. Bien entendu, tu ne la mettras guère en pratique. Tu n’es pas de ce genre. Enfin, tu crois. Encore bonne année, Andreas. Tu tournes ton regard vers lui, une fois de plus avant de fermer simplement les yeux.
