Oh oui ça me fait bien rire de voir sa tête. Ses sourcils froncés, je sais très bien qu'elle n'a envie que d'une seule et unique chose et pour être honnête, j'ai exactement envie de la même chose. Putain, même si je veux prétendre le contraire mon érection me trahi et devient de plus en plus douloureuse rien qu'à rester près d'elle et de sentir sa peau brulante contre la mienne. Impossible de ne pas être attiré par elle, par ce sourire et son visage d'ange qui me rend complètement fou et à ce brin de couleur dans ses yeux qui est complètement à tomber par terre. Ouais, je suis vraiment en train de m'avancer vers quelque chose que j'ai refusé pendant des années, mais tout semble tellement naturel avec elle, tout en moi me confirme que c'est la bonne chose à faire même si ça me fiche la trouille - autant qu'elle j'imagine. Plus le temps de penser à ça. Tout ce qui m'intéresse en ce moment c'est de la voir et la sentir tenter du mieux qu'elle peut de me faire craquer et je suis très honnêtement incapable de tenir plus longtemps. Son bassin bouge contre moi me poussant à entrer en elle, mais je n'en fait rien. Je veux l'entendre me dire ce qu'elle désire et ce, même si je dois attendre et brûler d'envie pour elle pendant ce temps. « Joue pas à ça avec moi, Henstridge. », « J'adore jouer avec toi Dimitrios. » Elle me griffe - ce qui ne me fait pas vraiment mal, bien qu'elle pense probablement me faire céder comme cela - et se place pour avoir ce qu'elle veut par elle-même. Sa main se glisse entre nous et provoque quelques spasmes à mon corps lorsqu'elle dirige mon érection en elle et me fait grogner par la même occasion contre ses lèvres que je mords presque jusqu'au sang. Bordel de merde! Je n'ai jamais caché l'effet qu'elle me fait, d'autant plus que c'est difficile de le faire alors qu'elle sent ma queue contre elle depuis tout à l'heure, mais maintenant, c'est impossible de continuer à jouer, pas alors qu'elle me dit exactement ce que j'ai envie d'entendre. « Si tu veux que je te dise clairement la chose : baise-moi, Jake. Fais-le maintenant … » Elle ne bouge pas et je ne fais rien non plus. Pas avant de plaquer à nouveau mes lèvres sur les siennes, plus sauvagement cette fois pour lui montrer que j'en meurs d'envie moi aussi et que je vais lui donner exactement ce qu'elle veut. La basculant pour qu'elle se retrouve sous moi, j'appuie mes mains sur ses bras qui sont de chaque côté de son corps pour ne pas qu'elle bouge, pas tout de suite. Toujours en elle, je reste immobile, passe mes lèvres dans son cou puis à son oreille. « T'es sexy putain quand tu me donnes des ordres! » Oh oui. Tout ce qu'elle provoque en moi, je n'arrive même pas à le décrire, je préfère lui montrer en m'enfonçant en elle encore plus. Je commence quelques coups brusques, m'arrête puis recommence à quelques reprises. Elle gémit, incapable de se retenir ce qui va certainement provoquer quelques questionnements à l'extérieur, mais je m'en balance. Je m'amuse comme ça encore un moment, mais cette fois-ci, je me retire complètement d'elle et revient encore plus profondément, ne faisant qu'un avec son corps.
Invité a posté ce message Sam 21 Sep 2019 - 15:02#
Peut-être ne devrions-nous pas nous laisser aller de la sorte mais au point où nous en sommes … Un homme et une femme enfermés dans une chambre et surpris à moitié nus, ça laisse facilement supposer de la suite. Pourtant sages jusqu’à maintenant, il faut que notre patience soit récompensée. Nous avions besoin de cette discussion et de nous rassurer. Il nous fallait nous retrouver après ces nombreux jours sans nouvelles, à nous torturer l’esprit. Oui, je suis fière de nous. Je suis fière des progrès que nous faisons, de cette peur que nous apprenons à dépasser malgré des blessures qui ne sont pas totalement cicatrisées. Pas à pas, c’est de cette manière qu’il faut avancer. Courir ça ne sert à rien même si, dans notre cas, nous avons carrément sauter du haut de la falaise sans réfléchir. Mais c’est ce saut qui nous rapproche et nous permet de nous dépasser. Je sais que sans ça nous n’aurions jamais osé. Pourquoi prendre un risque lorsqu’on sait que nous avons passé des années à enchaîner les occasions manquées ? La grossesse ne nous laisse guère les choix même si finalement ça nous arrange. Ne pas être un couple comme les gens l’entendent c’est notre problème. C’est à nous de prendre le temps qu’il nous ait nécessaire pour accepter les choses et pour l’instant ce que j’accepte c’est mon désir pour Jake. Besoin viscéral d’être reliée à lui, je me fous de passer pour la femme insatiable qui passe son temps à s’envoyer en l’air. C’est le cas et alors ? Qui ça dérange ? Nous faisons ce que nous voulons de notre vie et de notre relation qui, de base, se résumait à une amitié et au sexe. « J'adore jouer avec toi Dimitrios. » Ça, je l’ai remarqué et pour être tout à fait honnête, ça me plait. J’aime assez cette petite torture, cette nécessité de voir à quel point j’ai envie de ça, envie de lui. Pour la forme je grogne et le griffe. S’il refuse de me donner immédiatement ce que je veux, je me sers. Ce qui nous provoque immédiatement un râle de plaisir. Un frisson me fait trembler. Trop d’attente et un soulagement que je ne suis pas capable de lui cacher. Son baiser semble être un écho à tout ce que je ressens. J’y réponds avec autant d’ardeur en le laissant repasser au-dessus de moi, ses lèvres dans mon cou. « T'es sexy putain quand tu me donnes des ordres ! » Et lui il est sexy lorsqu’il s’applique à me donner du plaisir ce que je fais parfaitement comprendre à monsieur lors de son premier coup de reins Son jeu est différent maintenant. Il me donne et reprend, me rend folle. Agrippée à Jake, ce ne sont pas des gémissements que je lâche mais des cris. Des cris d’extase et de bonheur. Je le laisse continuer et profite par la même occasion en embrassant ses lèvres, sa joue et parfois son cou. Ses mouvements deviennent plus rapides, incessants, j’attrape la tête derrière de lit et continue de le griffer jusqu’à atteindre l’extase dans une synchronisation parfaite avec Jake. Le souffle court, son corps brûlant encore sur le mien, je caresse ses cheveux humides. « On devrait faire ça plus souvent : parler et conclure par le sexe. » Je ris mais parler m’a réellement fait du bien. Profitant du fait qu’il m’embrasse et se laisse tomber sur le lit pour me coller à lui, je soupire d’aise en sentant sa main frôler mes côtes. « Je vais enfin bien dormir. » Lui avoué-je les yeux déjà fermés. Mon souffle se cale sur le sien et tous deux se calment petit à petit tandis que je m’endors dans ses bras parfaitement sereine voire heureuse.
