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 drôle de vie (iain&adri)

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Invité a posté ce message Dim 18 Nov 2018 - 0:14 #

Assise sur le banc du parc, je jète un coup d'oeil sur ma montre. Ça fait une bonne demi-heure qu'on est dehors et il fait froid, il fait terriblement froid. Mary-Jane et Parker courent dans tous les sens pendant que moi, je me gèle sur ce banc en bois imbibé de la neige et de l'eau qui tombe par litres ces derniers jours. Mais forcément, je leur avais promis qu'on irait au parc en fin de semaine et puisque je suis une super baby-sitter qui tient ses paroles, voilà pourquoi nous sommes encore dehors à presque dix-huit heures. Sauf que si je reste cinq minutes de plus, je vais finir avec une pneumonie. Je ne suis pas habituée à avoir si froid et à rester dehors si longtemps par ce temps ! J'ai vécu dix-sept ans sur Jersey City et New York mais ces dernières quinze années à Madrid m'ont habitué à la chaleur. Un nouveau coup d'oeil vers ma montre et je me lève. " Mary-Jane, Parker, on y va ! " Et forcément, ça rechigne un peu. En même temps, comment je peux leur en vouloir ? J'étais pareil à leur page, je refusais de rentrer à la maison et je poussais toujours Jaime et Lorenzo à foutre le bordel pour nous faire gagner du temps. Ces deux petites têtes me manquent énormément et il faudra que je pense à les appeler demain. Ou cette nuit si je n'arrive pas à fermer les yeux. " Pas grave, le chocolat chaud avec les chamallows, ça sera que pour moiiiii ! " Que je lance en sortant le paquet de chamallows de mon sac à main en le secouant devant leurs yeux ébahis. Forcément, le sucre ça fait débarquer n'importe quel enfant. Je souris, range le paquet attrape les mains des deux petits monstres pour filer en direction de leur chez eux. Direction l'ascenseur et on est arrivé bien rapidement. " Enlevez vos chaussures là, histoire de pas tout salir à la maison " Que je leur souffle en ôtant leurs bonnets de mes deux mains libres. Parker ouvre la porte et file, suivi de près par sa grande soeur, en direction de la cuisine et j'entends la voix des deux enfants retentir en un cri unique. " Qu'est-ce qu'il se passe ?! " Ma voix est inquiète, surprise et je file dans leur direction. " De l'eau ! " Et je n'ai pas le temps de dire 'ouf' que je fais la même erreur qu'eux : je marche en plein dans la flaque d'eau qui se trouve aux pieds du frigo. C'est gelé. Le congélateur a du se décongeler lui aussi. Je grimace et sors de la flaque en grimaçant comme jamais. C'est désagréable comme pas possible. " Mais c'est pas possibleeeee ! " Que je beugle en ôtant mes chaussettes et me dirigeant vers le radiateur. Froid. Une main sur l'interrupteur et … rien. Non, c'est pas possible ! J'attrape mon portable et compose le numéro d'Iain, en panique. Qu'est-ce que je vais faire avec deux gamins, sans électricité ? " Iain ! C'est la cata ! " Que je lance, sur le répondeur de l'écossais. " Mary-Jane, Parker, arrêtez ça tout de suite ! " Que je crie en direction des deux enfants qui sautent dans la flaque d'eau et tapent sur cette dernière une fois qu'ils ont dérapé à cause de l'eau. " Par pitiééééé, je fais comment moi ? Rappelles moi Iain ! Et vite ! " Que je geins en laissant mon portable sur le radiateur en me rapprochant des gamins qui continuent de faire les andouilles. Et alors que je vais pour attraper les deux MacLeod, Mary-Jane glisse, se rattrape sur une chaise qu'elle fait tomber en un bruit énorme, faisant sursauter et crier Parker qui a eu peur. " Vous allez vous tuez, arrêtez ça tout de suite ! Et suivez moi ! " Mon accent espagnol sort terriblement. Je prends Parker dans mes bras, embrasse son front et file vers la salle de bain pour les faire quitter ces habits gelés et les sécher avant qu'ils choppent un rhume. Mon portable se coupe tout seul. 0% de batterie, forcément… Mais quelle soirée !
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Invité a posté ce message Dim 18 Nov 2018 - 17:16 #

« Ça va, ça s’est plutôt bien passé ! » Un sourire amusé apparaît sur le visage du pompier qui saute hors du camion, se débarrasse de sa tenue et attrape ses autres chaussures qu’il enfile rapidement pour ne pas attraper la mort par ce froid. Imité par les membres de son équipe, il fait le tour, gagne la porte de la caserne en tapant l’épaule de Kellan. « Tais-toi donc ou tu vas nous porter la poisse pour la prochaine intervention. » Le taquine-t-il alors que la petite équipe gagne la salle de repos. Celle de laquelle ils rentrent aura été d’abord stressante pour finalement être l’une de celles qu’Iain préfère, surtout lorsqu’elle n’implique pas d’incendie. Simplement quelques hommes et femmes d’affaires coincés dans un ascenseur entre deux étages. Rien de bien fou mais ça suffit amplement au roux qui préfère les soirées calmes lors de sa garde. Sa radio retirée mais dans sa main, tasse de café fumante dans l’autre, il part en direction de ses "quartiers" pour commencer à rédiger son rapport. Porte fermée, assis devant son bureau, il prend tout de même le temps d’attraper son portable, tasse portée à ses lèvres. Ses sourcils se froncent en voyant un appel manqué ainsi qu’un message vocal qu’il s’empresse d’écouter et … qui manque de lui faire recracher tout son café. « Iain ! C'est la cata ! Mary-Jane, Parker, arrêtez ça tout de suite ! Par pitiééééé, je fais comment moi ? Rappelles moi Iain ! Et vite ! » Il n’y a pas pire que ce type de message pour faire paniquer un parent. Aussitôt sa messagerie vocale quittée, il tente d’appeler Adriana, tombe directement sur la messagerie ce qui ne l’empêche pas de tenter trois fois de suite pour finalement sortir à toute vitesse de son bureau et rejoindre celui de son supérieur. « Chef ? » Dit-il pour attirer son attention alors que la moitié de son corps se trouve déjà dans son bureau. « Iain ? Ça va ? » Non, c’est la première réponse à laquelle il pense. Ça n’ira pas tant qu’il ne sera pas certain qu’une véritable catastrophe n’est pas arrivée. Et il imagine le pire même si selon ce qu’il a entendu, ses enfants semblent aller bien. Du moins, l’Ecossais l’espère. « Pas vraiment. La baby-sitter m’a appelé. Apparemment une catastrophe s’est produite, j’ai essayé de l’appeler mais je tombe sur messagerie. Ça vous dérange si … », « Vas-y, Jamal te remplacera le temps qu’il faudra. » D’un mouvement de la tête il apprécie et le remercie. Repassant vite fait par son bureau, il attrape sa veste et son portable puis quitte la caserne à toute vitesse. La seule chose qu’il regrette en tant que pompier c’est de ne pas avoir sirène et gyrophare sur sa voiture pour aller plus vite si bien qu’il a l’impression de mettre une éternité avant d’atteindre l’immeuble dans lequel il vit. Sa voiture garée un peu n’importe comment devant, il monte les marches quatre à quatre et entre à toute vitesse sous le regard étonné du portier. Dans l’ascenseur, Iain essaye encore d’appeler mais rien à faire et lorsque les portes s’ouvrent sur son appartement, ses sourcils se froncent. Il fait étrangement sombre alors qu’il est persuadé que ses enfants et Adriana sont dans l’appartement. « Adriana ? » L’appelle-t-il en avançant dans le couloir. Portable sorti de sa veste, il allume la lampe torche pour éviter de se prendre quoi que ce soit et continue d’avancer. Ce n’est que dans l’immense salon qu’il entend enfin du bruit. Bruit qu’il suit jusqu’à atteindre la salle de bain. Et là, le soulagement est tel qu’un soupire bruyant lui échappe. « Bon sang ! Mais qu’est-ce qui se passe ici ? C’est quoi la catastrophe ? Pourquoi il n’y a pas de lumière et pourquoi je tombais sur messagerie ? » Enchaîne-t-il à toute vitesse. Il n’est pas sûr de ne pas avoir oublié une question mais pour le moment se sont les plus importantes.
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Invité a posté ce message Dim 18 Nov 2018 - 17:40 #

C'est la panique à bord. Les gamins s'éclatent comme des fous dans la flaque d'eau - avant de se filer la peur de leur vie - et moi je tente de tout gérer. Ce n'est pas facile parce que je ne sais pas par où commencer. Dois-je d'abord tout éponger ? Ou alors m'occuper des enfants ? C'est le plus logique. Eux d'abord. Le matériel ensuite. Mais putain, on va faire comment pour ce soir ? Il fait un froid de canard dans ce penthouse, on entend le vent souffler comme pas possible contre la baie vitrée et il n'y a rien à manger qui ne nécessite pas d'être un minimum réchauffé. Et puis, qui a envie de manger un sandwich quand on meurt de froid franchement ? En plein été, tout aurait été différent. Les deux mini MacLeod se déshabillent et je cours entre leurs chambres et la salle de bain, criant à travers l'appartement pour toujours avoir un contact avec eux. De retour à leurs côtés, Parker a les dents qui claquent et Mary-Jane frissonne de partout. Je les emballe dans leurs peignoirs respectifs et les prends dans mes bras pour les réchauffer. " Qui a envie d'aller dormir chez moi ? " Que je leur demande en souriant légèrement. Je ne sais pas si mes colocataires vont être d'accord mais on ne peut pas rester là, c'est tout bonnement impensable. " Allez, habillez-vous " Que je souffle en embrassant leur front tout en leur passant leurs super pyjamas polaires. On a vite cliqué avec Mary-Jane et Parker. Ça ne fait que quinze jours que je m'occupe d'eux mais j'ai l'impression que je suis là depuis deux ans. C'est vraiment cool et ça me permet de bien tout appréhender. Enfin, sauf la légère crise de panique que j'ai claqué au téléphone avec Iain. J'enlève mon jeans trempé et j'entends d'ailleurs mon prénom raisonner dans l'appartement. " Salle de bain " Que je lance. J'attrape les affaires des enfants ainsi que mon jeans, pour aller les poser sur les radiateurs - qui ne chauffent pas, ok - de l'appartement dans quelques secondes. " Y a plus d'électricité ! " Que je souffle en regardant le grand roux, tournant le visage parce qu'il me brûle la rétine avec son flash à la noix. Les petits sont dans ses jambes et je lui souris doucement. " On est rentré et on avait les pieds dans la flotte au niveau du frigo… Le congélateur a du dégivrer… Je sais pas où est le tableau, où sont tes fusibles, on se caille ici ! " Surtout moi qui suit en petite culotte et pull maintenant, les bras pleins d'habits mouillés et bien frais. Si ce temps est fait pour rester des mois, je vais détester New York et je le sais déjà d'avance. Pourquoi est-ce que je suis arrivée maintenant et pas il y a six mois ? Ou dans six mois. Ah. Parce que j'ai démissionné comme une enfant de douze ans et que je n'avais aucune envie de rester sur Madrid. " J'ai plus de batterie et t'as plus d'électricité, cinquante cinquante ! " Que je lance en lui passant devant pour aller étaler les affaires de partout. Erreur partagée, non ? Bon, c'est un peu ma faute. Parce que si on avait une urgence en pleine rue, on aurait clairement été dans la merde. Et puis, quand je commence à étendre les habits, je me tourne vers lui. " T'es pas sensé travailler ? " Je fronce les sourcils. Il est encore en tenue mais pas complètement, bien entendu. Je ne me rends même pas compte que le message que je lui ai laissé ait pu le paniquer de la sorte. Ma mère n'a jamais appelé personne en panique et lorsqu'elle a pu le faire, mon père était en vol et ne pouvait donc pas débarquer en une quinze-vingtaine de minutes.
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Invité a posté ce message Sam 24 Nov 2018 - 18:36 #

Ne jamais, ô grand jamais, laisser un message comme celui qu’Adriana a laissé sur sa boîte vocale. Encore moins à un parent célibataire comme l’est Iain – et légèrement parano à force de voir des atrocités avec des enfants dans son métier. La panique, elle l’a rapidement prise aux tripes. Il aurait été impossible pour lui de continuer sa garde comme si de rien n’était. Il serait devenu négligent, presque dangereux pour son équipe. Demander à son chef de partir, c’était la chose intelligente à faire et tant pis s’il manque une intervention, il sait que Jamal gèrera parfaitement. L’Ecossais préfère légèrement paniquer durant tout le trajet le ramenant chez lui et ce y compris une fois dans l’ascenseur le menant au penthouse. C’est le noir et le froid qui l’accueillent alors qu’il passe les portes de l’ascenseur, avance dans le couloir, la torche de son portable activée. Et c’est dans la salle de bain que se trouvent tout le monde, comme lui crie Adriana après qu’il l’ait appelé. Voilà une chose pour laquelle il n’a pas plus à s’inquiéter. Ils sont bien tous les trois à la maison et une fois dans la pièce, il est assuré que tous vont bien. « Génial. » Grogne-t-il. Plus d’électricité, c’est bien sa veine. Forcément, ça arrive lorsqu’il n’est pas là et qu’il n’a pas franchement le temps pour ça. La suite des explications de la jeune femme n’est pas plus réjouissante. Donc il n’y a plus d’électricité, de l’eau gelée dans sa cuisine et il fait plus froid que jamais. Le principal reste que tout le monde va bien, mais tout de même. « T’aurais quand même pu tenter de m’appeler autrement. » Insiste-t-il en se penchant vers Parker qui tend les bras vers lui. Même s’il accepte de partager les torts, quand bien même n’a-t-il aucun pouvoir sur l’électricité. Ce qui est bien dommage dans un cas comme celui-ci. Il la suit du regard alors qu’elle étend les affaires mouillées sur les radiateurs froids. « Si, mais puisque quelqu’un a laissé un message paniqué sur mon répondeur, tu te doutes bien que j’allais pas rester sagement à la caserne. » Lance-t-il taquin mais calme. Il comprend très bien la réaction qu’elle a pu avoir et ne lui en veut pas du tout. Ce serait idiot de sa part de toute manière. Son fils toujours dans les bras, il passe une main derrière la tête de sa fille et l’entraîne vers la sortie de la salle de bain. « MJ, emmène ton frère dans le salon. Prends mon téléphone pour voir où vous mettez les pieds. » Le petit garçon à nouveau par terre, il tend son téléphone à sa fille qui part aussitôt. Iain, lui, reporte son attention sur Adriana. « Aussi agréable que ça soit, tu peux pas te balader en culotte comme ça. Je vais te passer quelque chose, on s’occupera des plombs ensuite. » Et probablement d’allumer un feu dans cette cheminé dont il ne se sert jamais. C’est l’occasion parfaite pour se réchauffer, peut-être même prétendre être au camping le temps que les radiateurs chauffent tout le penthouse. En attendant d’en arriver à cette partie de la soirée, il se décale, fait signe à Adriana de passer devant lui et lui emboite le pas.
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Invité a posté ce message Mar 18 Déc 2018 - 23:42 #

À situation d'urgence, solution d'urgence. Je pense que mes colocataires allaient me tuer pour ramener deux gamins à l'appartement mais il était tout bonnement hors de question que je reste ici avec ce froid. C'est fou ce que l'eau peut-être glacée et le froid mordant quand il n'y a rien pour se réchauffer. Le sourire des deux petits réchauffaient mon coeur mais mon corps était en train de geler. Jeans trempé, je m'en étais débarrassée rapidement. Aucune envie de chopper la mort. Et quand j'entends le léger reproche d'Iain, je lève les yeux au ciel. " J'aurais pu " Que je concède rapidement. Sauf qu'avec moi, c'était tout ou rien. J'avais du me contenir près de dix ans dans l'armée, j'avais vraiment besoin de laisser ma réelle nature sortir. Tout pouvait prendre des proportions et je m'en rendais compte maintenant. " Je suis pas habituée à ces températures, ce genre de choses et encore moins avec deux enfants qui préfèrent déraper dans de l'eau gelée et se rattraper au mobilier autour d'eux " Je lançais un regard à Parker et MJ. Je ne suis pas habituée à gérer des crises de ce genre. Je devrais le prendre par dessus la jambe, ayant eu bien plus de frayeurs pendant mes années dans l'armée et pourtant. On pourrait s'en sortir pendant un blocus mais là, c'est trop pour moi. Les petites choses de la vie, je n'y suis pas habituée. C'est triste mais bel et bien réel. Je tends les affaires trempées de tout le monde et lui adresse mon plus beau sourire. " Je ne vois pas du tout de quoi tu parles… " Je me la tente souriante sans vraiment m'excuser. Au moins, je savais qu'en cas de soucis, il débarquerait en un temps record, ce qui n'est pas négligeable. " Désolée. J'essayerais de me contrôler la prochaine fois " En espérant qu'il n'y aurait pas de prochaine fois, bien entendu. Les enfants filèrent dans le salon et un léger rictus se dessine sur mon visage. Ah oui. C'est agréable ? C'est sur qu'il n'a pas du voir des cuisses si bronzées depuis bien longtemps ! Le charme de l'Espagne… " Vraiment ? " Que je demande en lui souriant à nouveau. Pour une fois que je mets une culotte, je ne peux pas me balader de la sorte ? Pas qu'en temps normal je n'en mette pas mais on va dire que j'ai plus l'habitude d'autres types de sous-vêtements. Je me dirige vers sa chambre et marche sur la pointe des pieds pour y arriver. Moi il y aura de contact avec le sol froid et mieux ça sera. " Ne dis pas à tes collègues que ta baby-sitter est un petit peu excessive hein… Ça me ferait du tord " Que je souffle en lui jetant un coup d'oeil. Moi qui suit pourtant si calme en temps normal, j'ai perdu mes moyens comme jamais. Mais je n'avais pas que ma vie en mains ce soir. Et quand on arrive dans sa chambre, je me mets assise sur le lit, en tailleur. Parce que je meurs de froid pour le coup… " Sérieusement, je suis plus calme d'habitude… Mais quand ils se sont mis à faire des glissades dans la flaque d'eau, je les voyais déjà se tuer contre le sol " Toujours plus Adriana. Mais une mauvaise chute qui requiert l'intervention d'une ambulance peut vite arriver. On pense que parce que j'étais à l'armée, je suis capable de tout gérer sereinement. La bonne blague. " La prochaine fois n'hésites pas du touuuut, à venir avec toute ton équipe hein " Que je lançais avec un large sourire. Je me moquais de lui, bien entendu. Mais pas tant que ça non plus. Les pompiers sont sexy, ce n'est pas qu'un mythe et Iain en était la preuve vivante.
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Invité a posté ce message Mer 19 Déc 2018 - 20:01 #

Une fois passée la panique que le pire se soit produit, Iain sent les battements de son cœur se calmer et son angoisse se dissiper. Capable de faire preuve de beaucoup de sang froid dans son travail, dès que ça touche ses enfants c’est une toute autre histoire. Il peut très facilement devenir fou et s’énerver, s’imaginant le pire alors qu’il peut simplement s’agir d’une fausse alarme. Un véritable papa poule qui l’assume autant que possible. Ça n’a pas été facile pour lui d’abandonner ses enfants pour reprendre le travail. Il s’y est fait petit à petit sans pour autant cesser de s’inquiéter à l’idée de recevoir un appel comme celui qu’Adriana lui a passé. Bien sûr qu’il est parti de la caserne tel un fou, comment aurait-il pu réagir autrement, hein ? Maintenant rassuré, il ne reste plus qu’à régler le problème de plombs et de froid. « Je leur en toucherai un mot pour ce qui est de faire les fous dans une flaque d’eau. » Promet-il dans un soupire. Après tout, ce ne sont que des enfants. Un rien les amuse et ils n’ont pas conscience du danger dans lequel ils peuvent se mettre, clarifier les choses c’est son travail. « S’il y a une prochaine fois tu peux être sûre que la compagnie qui gère l’immeuble va entendre parler du pays. » Au prix auquel il a acheté cet endroit autant dire qu’il s’attend à un service impeccable et non pas voir ses plombs sauter sans arrêt à cause de froid – même si, d’accord, la société ne gère par la météo. Le chemin vers la chambre du pompier pris, il ne peut retenir son rire. « Parce que tu comptes garder les enfants d’un de mes collègues en plus des miens ? Ou peut-être que l’un d’eux t’intéresse ? » La taquine-t-il en ouvrant la porte de sa chambre. Adriana installée sur son lit, il part fouiller dans son dressing à la recherche de quelque chose de convenable et de chaud pour la brune. « Ils sont turbulents, mais dans le pire de cas ils auraient fini avec quelque chose de cassé, pas mort. Ça ne les aurait même pas empêchés de recommencer plus tard. » Par moment, Iain se demande si ses enfants n’ont pas des tendances suicidaires avant de se rappeler qu’il n’était pas mieux à leur âge et plus âgé. Toujours à faire le fou ici et là sur son île, à jouer avec le feu sur le bord des falaises autour de la maison familiale. Pantalon de jogging en main, il se retourne vers la jeune femme et le lui tend. « Quoi ? Je ne te suffis pas ? » Demande-t-il, outré. « Je suis vraiment déçu … » Ce qu’il ne pense pas un seul instant bien sûr. « Tu devrais avoir un peu plus chaud avec ça. On aura qu’à mettre les vêtements à sécher près de la cheminée quand je l’aurais allumé le temps que le chauffage fasse son travail. » Annonce-t-il en refermant les portes du dressing. « Vous avez mangé avant de rentrer ou je prépare quelque chose ? » Après une panique comme celle qu’ils ont vécu, il n’a rien de mieux qu’un repas chaud pour s’apaiser.
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Invité a posté ce message Ven 21 Déc 2018 - 15:50 #

Si j'avis réagi de la sorte, c'est tout simplement parce que j'avais eu peur. Un accident est vite arrivé et je refusais que quoi que ce soit arrive à MJ et Parker sous ma surveillance. Je crois que je m'en voudrais toute ma vie et je n'étais pas venue poser mes valises à New-York pour commencer une vie pleine de mauvais souvenir. Non, non. J'étais un peu excessive sur mes réactions, je pouvais le concevoir mais aurait-il préféré le message vocal d'un baba cool annonçant une inondation à venir ? Peut-être bien. La prochaine fois - en espérant qu'il n'y en aurait pas - je prendrais sur moi pour contacter le père de famille qu'est Iain. " On va partir du principe qu'il n'y aura pas de prochaine fois. La neige va bien finir par fondre et le soleil par montrer le bout de son nez, non ? " Que je demande presque inquiète. J'avais passé plus de temps aux États-Unis qu'en Espagne et pourtant, j'avais tout oublié des hivers gelés de ce pays. J'avais vraiment choisi la bonne période de l'année pour débarquer. J'étais la reine des décisions bancales et toute cette situation le montrait bien. Je ne peux m'empêcher de rire à sa réflexion. Non, c'est plutôt ses collègues pompiers que j'aurais envie de border et de gronder. Mais s'il faut gagner le coeur de leur bambin pour y arriver et bien… Pourquoi pas ! " Plutôt tes collègues en fait. Je suis pas sure de pouvoir me diviser entre ici et une autre maison. Sauf s'ils ont l'électricité, bien entendu ! " Que je lance, carrément taquine pour le coup. Je sais bien que rien n'était de sa faute mais c'était histoire de rire et de me détendre aussi. Il était terriblement calme et je me sentais incapable d'être aussi… zen. Il faut dire que je commence à grelotter alors ça n'aide pas. Je sautille en direction de la chambre, sautant sur le lit pour être sur du moelleux. Mais c'est sous les draps que je devrais me glisser pour me réchauffer. Dessus, ça ne change pas grand chose. Il n'a pas tord. Ça aurait été quelque chose de cassé, au pire. Mais je ne voulais pas y penser. " Les enfants n'apprennent pas de leurs bêtises, c'est noté " Que je souffle avec un léger sourire sur le visage. Je prends le jogging et m'allonge sur le lit. On dirait un vers de terre qui enfile un vêtement, ça doit être bien drôle à voir. " Je ne mélange pas travail et vie privée, désolée " Que je lance avant de lui adresser un clin d'oeil. Je sais bien qu'on rigole tous les deux sur ce point. Iain est plus qu'agréable à l'oeil. Il est doux, gentil, aime ses enfants et a l'air d'être un père plus que parfait. Mais je doute qu'il recherche ce que je cherche : s'amuser, passer du bon temps et ne pas se prendre la tête. Avec des enfants, c'est déjà bien compromis. Surtout que je les apprécie beaucoup ces deux petites têtes. " Non, on était au parc avant… Rien depuis le goûter quoi " Que je souffle avec un petit sourire. J'allais faire à manger mais bon, les éléments se sont déchaînés contre moi, c'est tout. " Je comptais faire une tortilla de patatas. C'est typiquement espagnol. J'ai promis à MJ et Parker de leur faire quelque chose de chez moi pour changer " Que je souffle doucement. Je descends du lit du jeune homme et frotte mes cuisses par dessus le tissu pour me réchauffer. " Je cuisine pendant que tu remets tout en route ? " Que je demande avec un sourire. Je ne sais pas si ça lui arrive souvent d'avoir une femme qui cuisine pour lui mais je peux bien faire ça. Et puis, une tortilla ça va vite à faire. Il ne faut pas grand chose et c'est inratable. " Enfin, tu veux peut-être que je parte du coup " Il est de retour, il n'a donc absolument pas besoin de moi, n'est-ce pas ? Dommage, j'aurais bien passé la soirée avec lui. Ça fait du bien de ne pas être seule, de ne pas manger seule face à un mur. D'avoir de la compagnie. De la compagnie qui a plus que dix ans. Enfin, peut-être que c'est ce qu'il veut aussi… Je ne connais pas assez la vie privée du pompier pour savoir ce qu'il souhaite, à l'habitude de faire et autre.
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Invité a posté ce message Dim 23 Déc 2018 - 20:19 #

« Oui, ça serait préférable. » Confirme-t-il d’un mouvement de la tête. S’imaginer le pire ce n’est pas vraiment sa tasse de thé. Surtout pas lorsqu’il s’agit de ses enfants. Cela dit, ça n’empêche pas Iain de le faire. Pourquoi ? Tout simplement à cause de son travail. Des horreurs, ça lui arrive d’en voir. Pas seulement des incendies. Il y a parfois pire que ça, et en tant que père, il arrive à l’Écossais de s’imaginer à la place des victimes ou des proches des victimes. Donc s’il peut éviter de le faire sans arrêt, ça n’est pas plus mal. Quant à la question que pose ensuite Adriana, Iain ne cache pas son amusement. « Hm … à ta place j’éviterais de me faire de faux espoirs. » Ce n’est que le début. Il arrive souvent que le mois de janvier et le mois de février ne soient pas mieux. Ils sont parfois pires et plein de neige. Ça donne pas mal de travail aux pompiers de la ville d’ailleurs même si – lorsque ce ne sont pas de gros accidents – ils ne s’en plaignent pas. Enfin, même si Iain préfère largement passer toute une garde à se tourner les pouces. « Tu sais que si tu veux une rencontre, je peux toujours t’arranger ça, j’aime rendre service. » Réplique-t-il d’un air malicieux. « Et je ne ferais aucun commentaire pour le reste. » Même si en disant cela, il en fait déjà un bien sûr. Une fois dans sa chambre, le pantalon de jogging donné à l’Espagnole, il la regarde l’enfiler d’une façon assez comique. Iain a même son petit sourire au coin des lèvres qui prouve son amusement. « Ne t’excuse pas, ça me rassure d’avoir face à moi une femme sérieuse. » Bon d’accord, même une femme sérieuse c’est appréciable dans son lit mais là il s’agit d’Adriana et elle est la baby-sitter de ses enfants. Aussi séduisante soit-elle, il ne veut pas prendre le risque de tout gâcher. Il l’apprécie et sait que ses enfants l’adorent. « Une tortilla des papatas ? » Répète-t-il, curieux. L’avantage avec son accent écossais c’est qu’il répète tout ça sans écorcher un seul mot. « Ça m’intéresse aussi. Je pourrais noter la recette dans un coin de la tête s’ils aiment. » Concernant la nourriture, que ce soit MJ ou Parker, ils n’ont jamais été difficiles. Il ne doute pas qu’ils vont aimer. « Arrête, tu as survécu à une coupure de courant avec des enfants turbulents, je ne vais pas te virer de chez moi comme ça. Laisse-moi aussi t’offrir un verre … après avoir régler le problème d’électricité. » Qu’il dit en se dirigeant déjà vers la porte de sa chambre. De plus, il est assez curieux de goûter à ce plat espagnol maintenant.
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Invité a posté ce message Dim 23 Déc 2018 - 21:03 #

" Tu m'expliques pourquoi j'ai décidé de quitter l'Espagne fin novembre ? " Que je demande en soupirant doucement. Non mais sérieusement, qu'est-ce qu'il m'a pris ? Ah. Oui. Je sais. Je savais pertinemment que si je ne quittais pas le pays dans la semaine suivant mon départ de l'armée, je ne partirais jamais. Laisser mes frères, ma mère et ma famille derrière moi n'est pas chose facile mais je sais que ma vie est ici. L'Espagne m'a apporté de merveilleuses choses, de très belles années mais je suis américaine et le pays aux mille démesures me manquait beaucoup trop. J'ai grandi ici, j'y ai beaucoup d'attaches, que je le veuille ou non. Mes frères, c'est différent. Je pense que New York ne pourra jamais leur manquer comme la ville m'a manqué. C'est ainsi. Et j'ai déjà hâte qu'ils viennent en vacances un jour ou l'autre. Mes chipmunks adorés. Il aime rendre service. Ok. Je prends note. J'aurais surement de nombreux services à lui demander. Ah non, j'ai dis que je ne mélangeais pas vie privée et vie professionnelle. C'est l'excuse que j'ai servi pendant de trop nombreuses années à mes collègues de travail. Mais je ne voulais pas avoir une mauvaise réputation à l'armée. Là, c'est différent. On pourrait s'amuser et voilà. Ou pas. Allez Adriana, arrête de réfléchir comme ça. " Je ne dis jamais non à un petit coup de pouce " Que je lance en souriant doucement. Qu'il me présente ses collègues, ça me va. J'espère juste qu'ils seront sur la même longueur d'onde que moi : pas de couple, pas de prise de tête, juste de bons moments. J'aime beaucoup trop mon célibat pour changer ça avant un bon moment. Peut-être qu'une exception existe à New York mais ce n'est pas ce que je cherche. Et une fois habillée, je tends l'oreille pour voir si les enfants font des bêtises ou autre. Mais rien. J'ai l'impression qu'on est que tous les deux. Je sais pourtant que ce n'est pas le cas. Alors maintenant, c'est direction remettre les plombs en route et faire à manger. " C'est hyper facile à faire. Quand je serai bien installée chez moi, je vous préparerais de la paella mais pour le moment, c'est un peu galère " Que je souffle avec un léger sourire sur mon visage. J'aime bien cuisiner, je tiens ça de ma mère. Elle s'est toujours appliquée à piquer ma curiosité en matière de cuisine. Et puis, j'ai entendu l'histoire de la rencontre avec mon père une centaine de milliers de fois. Elle était sa colocataire et le jour où elle a fait de la paella, il s'est littéralement invité à manger. Elle en avait fait beaucoup trop. Et voilà comment quelques années plus tard, j'avais fait grandir leur famille. Je lui souris, ravie de voir qu'il ne voulait pas me mettre dehors et le suis hors de la chambre. " Le tableau électrique est dans l'entrée je suppose du coup ? " Que je demande en le suivant toujours religieusement. Je voulais savoir où ça se trouvait, juste au cas où. Je priais le bon Dieu pour que ça n'arrive pas mais je préférais être prête. Mieux vaut prévenir que guérir, comme dirait ma petite maman. " MJ, Parker, ça va toujours ? " On est dans le salon et ils lèvent à peine la tête pour sourire, acquiescer et replonge leur visage dans le téléphone de leur père. Ah, les écrans… Tous les gamins y sont accrocs et les adultes aussi, par la même occasion. " Les serpillières sont dans le cagibi ? " Remettre l'électricité en route c'est une chose. Mais si on pouvait aussi éviter de finir à nouveau tout mouillé, ce serait bien. Surtout moi qui me réchauffe à peine. Je mets les serpillières sous le bras et le suis jusqu'au tableau de bord où il me montre comment tout fonctionne. Il faut changer un fusible. Et tout remettre en route. Maintenant, je le sais. Et alors que la lumière revient, je lève les bras, sautille, bouge la tête et embrasse la joue d'Iain. " Notre sauveurrrrr " Que je lance en dansant en direction des enfants qui doivent vraiment me prendre pour une folle. " On mange tortilla de patatas ce soirrrr, tu es content ? " On peut même se mettre à faire une petite danse de la joie tous ensemble. J'ai l'air belle avec mes serpillières sous les bras, je vous jure...
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Invité a posté ce message Ven 4 Jan 2019 - 18:45 #

« Un élan de masochisme peut-être ? » Répond-il avec amusement. Lui n’a jamais vraiment connu de pays chaud. Écossais sans l’ombre d’un doute, il y a vécu plus d’une vingtaine d’années et sur une île qui plus est. Les vents froids et la pluie, ça a surtout été son quotidien. Bien sûr, il y avait l’été et la chaleur, il ne faut surtout pas fier aux on-dit. Il y a eu Los Angeles, c’est vrai, mais ça lui semble appartenir à une autre vie, comme s’il avait été simplement témoin de ses années passées là-bas. Le cerveau est une chose merveilleuse, le sien lui permet d’effacer de sa mémoire une vie de hauts et de bas avec son ex-femme. Pas besoin d’y penser maintenant de toute façon. C’est simplement que le climat de New York, les hivers froids, Iain s’y est rapidement fait. « Dans ce cas, j’essayerai d’y penser. » Affirme-t-il, son sourire accompagnant celui d’Adriana. Ce n’est pas souvent qu’il s’amuse à jouer les entremetteurs mais pourquoi pas après tout ? S’il peut aider et créer un petit quelque chose entre deux personnes, ça ne peut pas être une mauvaise idée. Sans compter que, comme il le lui a dit, il est toujours prêt à rendre service. En route pour le compteur un peu à l’écart dans le penthouse, il l’écoute lui affirmer que la recette qu’elle compte leur préparer est facile. Il n’en doute pas. Iain a simplement toujours préféré rester dans des recettes qu’il connaît et maîtrise pour éviter d’empoisonner ses enfants. « Tu risques de nous rendre accro dans ce cas. » Il faut admettre qu’un bon plat suffit le concernant. La nourriture, il adore ça, sans doute comme un bon nombre de personnes, mais parfois il ne pense qu’avec son estomac. « T’es en colocation, non ? Ça ne se passe pas bien ? » Curieux, il pose brièvement son regard sur Adriana, puis regarde à nouveau où il met les pieds. Secouant sa tête de gauche à droite, il désigne le fond du couloir dans lequel ils avancent. « Non, dans une petite pièce dans le fond qui est très en bordel et qui sert à ranger un peu tout et n’importe quoi. » Une pièce plus petite qu’un placard à balais et qu’ils atteignent enfin après un rapide passage dans le salon où ils voient les enfants concentrés sur le téléphone. Et puisque le compteur il n’y va que lorsque les plombs sautent, le pompier y laisse toujours une lampe-torche dont il se sert pour y voir clair. « Elles sont dans celui de la cuisine, mais tu sais que je ne te paye pas pour faire le ménage ? » Qu’il demande en jetant un regard vers elle avant de trouver le plomb ayant sauté. Il le change avec un neuf et enfin tout s’allume. Alléluia. « Ce serait honteux qu’un pompier ne sache pas remettre le courant. » Dit-il avant de rire en voyant la danse que fait Adriana alors qu’ils retournent auprès des enfants. Enfants qui la rejoignent lorsqu’elle annonce ce qu’ils vont manger. « Je vais peut-être prévenir mon chef avant tout ça et une fois la chaudière prête, vous allez surtout me prendre une douche tous les deux. » Dit-il en désignant MJ et Parker tour à tour. Son attention se porte ensuite sur Adriana. « Dis-moi de quoi tu as besoin, je serais ton assistant ce soir … après qu’on se soit débarrassé de la flaque d’eau dans la cuisine par contre. » Et hors de question qu’elle s’en occupe. Iain est un grand garçon, il peut le faire et surtout, elle a déjà bien assez fait pour ce soir, autant qu’elle respire un peu.
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