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 make you feel my love + soraya

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Invité a posté ce message Ven 21 Déc 2018 - 18:55 #

make you feel my love
soraya & ophelia

La certitude dont fait preuve Soraya quant au fait qu’elle ne regrettera pas d’être avec toi est évidemment rassurante. Ça te permet de faire taire une voix dans ta tête, une voix perfide qui vient gâcher certains moments. Ce n’est rien d’étonnant, tu restes jeune après tout, aux proies d’incertitudes qui devraient s’amenuiser avec l’âge. Puis, il y a aussi de mauvaises expériences, des souvenirs que tu gardes loin de ton esprit pour le moment. Ce n’est pas vraiment le moment d’y penser, tu n’as pas envie de le faire d’ailleurs. Alors tu ne t’attardes pas sur la question, te contentant d’abord d’hocher légèrement la tête. Que dire de plus alors qu’elle a su répondre à tes craintes avec une justesse qui pourrait être effrayante dans d’autres circonstances. Alors tu hoches la tête et tu sens les papillons dans ton ventre s’exciter toujours un peu plus. C’est qu’elle te fait cet effet là, peu importe ce qui se passe entre vous. Tu ne veux donc pas t’étendre sur des questions moins plaisantes, sur des doutes que tu peux avoir. Ils ne la concernent pas vraiment, ce n’est pas d’elle que tu doutes au fond. C’est plus complexe, mais ça attendra une autre fois, une situation moins chargée de signification. Parce que c’est bien ça au fond. Ce n’est pas rien ce qu’elle a fait, peu importe si elle ne le regrettait pas, ça ne rendait pas le geste moins important, moins profond.
Qu’elle te dise qu’elle l’a fait pour vous, pour toi te touchait on ne peut plus. Parce que ce n’est pas rien, qu’elle ait décidé de faire ça est impressionnant en soit, mais ça dépasse ce simple fait. « Merci. » Bien sur que tu te sens mieux. Tu es soulagée, tu es rassurée et au-delà, tu es tout simplement bien lorsqu’elle est dans les parages. Et c’est peut-être idiot de la remercier de cette façon, mais c’est la meilleure illustration de ce que tu ressens. Tu sais que ça ne règle pas tous les problèmes, que tu ne pourras pas rencontrer ses parents - ou du moins son père - de sitôt, mais sortir de l’ombre reste une sensation agréable. Une sensation comparable au moment où tu as toi-même décidée d’être honnête au sujet de ton orientation. Une décision que tu n’as jamais regrettée depuis, encore moins depuis que Soraya est dans ta vie. Elle te fait rire lorsqu’elle souligne le dramatisme dont elle a pu faire preuve à ce sujet. Tu estimes que ce n’est pas totalement vrai, mais tu vois ce qu’elle veut dire. « Tu l’as fait maintenant, c’est tout ce qui compte. » C’est ce qui vous a permis d’être ensemble, malgré les débuts plus complexes, les hésitations, les doutes. C’est une histoire du passé à présent, au moins concernant vos sentiments. Ça ne veut pas dire que tout sera clair et simple, mais il n’y avait plus d’hésitation à ce sujet. « Puis tu es très bien comme ça. » Tu l’aimes comme ça, stupidité ou non, maladresse ou non. Tu l’aurais aimé, même si ça avait impliqué de rester dans l’ombre plus longtemps.

Le rendez-vous reprend alors un cours plus normal alors que tu détailles ce que tu as fait de ta journée, c’est-à-dire pas grand chose. Le stress avant ce rendez-vous dirons-nous. Parce que tu voulais être certaine d’apparaitre à ton meilleur, une intention sans doute inutile, mais cruciale pour ce genre de chose. Tu n’avais pas fait le tout pour avoir droit à des compliments de sa part, mais il faut admettre que ça te fait très plaisir. Tu la regardes avec un énorme sourire, les yeux brillants. Les compliments valent plus venant d’elle. « Au moins mes efforts auront servi ! » Ça aurait été plus important encore si vous étiez encore aux premiers stades, à celui où vous vous tourniez autour. Bien sur, ça ne veut pas dire que tu ne veux plus faire d’effort pour être à ton meilleur, seulement les enjeux sont légèrement différents, surtout après qu’elle t’aie vu dans ton accoutrement de révision qui est, somme toute, moins charmant. À ce sujet, la réponse de Soraya t’arrache une petite grimace. « T’oserais pas quand même ? » Disons aussi qu’elle ne pourrait probablement pas le faire considérant qu’elle ne peut pas savoir avec exactitude si tu es devant tes bouquins ou non. « Puis, de toute façon j’ai passé les examens, c’est surtout pour parfaire mes connaissances. » Quelque chose qui te tient à coeur malgré le fait que ton titre d’externe limite les évaluations théoriques pour des questionnements plus pratiques. Puis bon, malgré tout, tu restes quelqu’un de studieux, le genre qui ne délaisserait pas tes obligations même pour passer du temps avec ta soeur ou avec Soraya.

Votre route croise alors une maisonnette de Noël que tu accueilles avec un enthousiasme évident. Élevée dans toutes ces traditions, tu apprécies Noël et tout ce que ça apporte. Il ne fait donc aucun doute que tu es partante à l’idée de commander quelque chose et de le savourer à une petite table en bois. Tu optes pour le vin chaud et un bretzel qui pardonnera plus à tes mains que les marrons pour Soraya. Une question de simplicité, plus qu’autre chose. Tu commences à déguster le bout de pain lorsque le téléphone de ta belle sonne à nouveau et pendant un instant, tu crains qu’il s’agit d’une autre intervention de sa famille, ce dont elle pourrait sans doute se passer pour le reste de la soirée. Ce n’est pas le cas cette fois, c’est plutôt une alarme, la même que tu as sans doute déjà entendu. Tu es curieuse, mais tu ne poses pas de question, fidèle à tes habitudes à ce sujet. Tu relèves la tête vers Soraya lorsqu’elle reprend la parole et écoute ce qu’elle dit avec attention. « C’est normal. » Ce n’est pas comme si elle t’avait posé beaucoup de questions sur des sujets où il y aurait nécessairement quelque chose à creuser. C’est plus simple comme ça au fond et tu t’es toujours dit qu’elle viendrait t’en parler le moment voulu, comme en ce moment visiblement. Tu opines de la tête lorsqu’elle parle de son nez. Tu avais effectivement remarqué, mais passer des commentaires sur le sujet aurait été bien inutile, parce que ce n’est pas non plus quelque chose d’exceptionnel. Elle n’est pas la seule personne au nez refait que tu côtoies tous les jours. Tu es nettement plus surprise lorsqu’elle évoque la raison derrière son nez. Un accident ? Tu restes silencieuse un moment le temps de digérer l’annonce. Certes, ça te parait plus logique qu’un seul souci d’esthétisme de sa part, mais une multitude de questions ne peuvent pas trouver de réponses avec les seules informations données. « Un accident ? » C’est un peu bête de répéter ses mots de cette façon, mais c’est tout de même mieux que la bombarder d’interrogations alors que ça ne peut pas être une histoire facile à raconter. Alors tu te contentes de poser la question qui te semble primordiale. « Quelque chose de grave ? » Sans doute oui considérant qu’elle a évoqué un gros accident et que visiblement il y a encore des traces aujourd’hui.  
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Invité a posté ce message Mar 8 Jan 2019 - 13:47 #

make you feel
my love
La vie reprenait son cours, tu étais là dans cette ville en cette soirée froide mais agréablement douce et légère. Tu te rendais compte que tout allait bien, tout était normal autour de toi. Tu venais de faire un pas énorme dans ta vie, mais ce n’était pas si dingue au final. La Terre tournait toujours, les passants ne faisaient même pas attention à vous si ce n’est pour regarder ta robe hors de prix et tes louboutins, la musique de la petite maisonnette raisonnait toujours dans ce petit endroit si adorable. Tu t’étais débarrassé d’un poids qui paraissait gigantesque pour toi, et tu te rendais bien compte, qu’au final, ce n’était pas si grave. Tu n’étais pas en prison, en asile, à l’hôpital ou dans une île déserte. Tu n’avais rien fait de grave, ta vie était toujours la même sans vraiment l’être. La seule qui changeait, c’était ta relation avec ta famille. Et encore, peut-être que tout ça s’arrangera, et puis, tu n’avais rien fait d’illégal. Tout ce que tu as fait finalement, c’était te rendre heureuse, ainsi que la jeune femme à tes côtés. Tu souriais d’ailleurs aux paroles de cette dernière, tu serrais un peu sa main dans la tienne sur le coup. Oui, tout ce qui comptait, c’est que désormais, tout ça était fait, et tout allait bien.
Alors tu passais à autre chose, tu as le don d’avoir le sang chaud et de stresser rapidement, mais ce soir, allez savoir comment, tu as réussi à mettre tout ça de côté pour profiter pleinement de ce rendez-vous. Tu as fait tout ça pour elle après tout, alors ce serait bête de gâcher une telle soirée. Alors tu riais à ses paroles, tu la taquinais, et tu prenais soin d’elle aussi, et de ses études. « Alors j’oserais ne plus te répondre pour que tu puisses parfaire tes connaissances comme il se doit, mademoiselle ! » Tu la taquinais, mais tu savais très bien que tu n’avais pas besoin de la priver de toi-même pour que ses études se déroulent bien. Tu la toujours connue sérieuse, impliquée. C’est ce que tu aimais aussi chez elle, à croire que les bad girls n’étaient pas vraiment ton genre.

Et puis ton téléphone sonne encore une fois, mais pas pour un message ni un appel, mais une alarme. Un rappel, une prise de cachet. Ca ne te dérangeait pas, au contraire, tu te sentais prête à lui parler. Tu as introduit la chose, as commencé en douceur en la remerciant pour ne pas avoir été intrusive à ce sujet, tu lui parlais de ton nez refait, puis finalement d’un accident. Tu souris à sa question, "quelque chose de grave" ? Tu hausses les épaules. « Assez, mais c’était il y a très longtemps. J’étais toute petite. » Tu prends finalement une pilule et la bois avec ton verre de jus de pomme chaud, puis tu commences : « J’avais six ans, avec ma mère on fait la cuisine en attendant que mon père rentre du travail. On fait frites hamburger. Et, comme j’avais déjà mon sale caractère, je voulais à tout prix éplucher ces patates, alors on s’est disputé, et j’ai glissé sur une épluchure. Je me suis rattrapé sur la poignée de la casserole d’huile chaude et… Voilà. Brûlures au troisième degré au visage et cuir chevelu. Ca a été très douloureux, long, et compliqué. On m’a refait le nez, mais pour les cheveux, ce n’était pas remboursé. Alors j’ai longtemps porté le voile, des bonnets, ce genre de choses pour cacher les cheveux qu’il me manquait. J’ai eu l’opération bien plus tard, quand mes parents ont eu l’argent. C’était pas non plus très facile, mais… Finalement, on y ait arrivé. » Tu souriais, c’était certes un sujet sensible pour toi, mais face à Ophelia, c’était tellement facile. Tu te confiais à elle, sans difficulté. Tu lâchais alors tes cheveux et tu prenais sa main, doucement, la ramenant jusqu’à tes cheveux. Tu posais sa main à l’arrière de ta tête, là où on pouvait sentir cette épaisse cicatrice au cuir chevelu. « Voilà pourquoi je ne te laissais pas y toucher. C'est pas... Très sexy. » Tu la regardais dans les yeux, tu lui souriais avec douceur, avec une once de gêne. Maintenant, elle pouvait. Passer sa main dans tes cheveux, les caresser. Parce que maintenant, elle savait. Tu savais qu’elle n’allait pas te juger, pourquoi faire ? Et tu savais également qu’elle n’allait pas te prendre en pitié. Parce qu’elle est si réfléchie et mature, en tout cas de ce qu’elle a pu te montrer. C’était du passé, une partie de ta vie, et tout ce que tu voulais, c’était lui confier cet épisode qui t’as fait devenir la femme forte et téméraire que tu es aujourd’hui.
Qu'est-ce que j'irais faire au paradis quand tu t'endors près de moi? Qu'il le donne à d'autres, le paradis. Je n'en voudrais pas 
Pando
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Invité a posté ce message Jeu 24 Jan 2019 - 16:30 #

make you feel my love
soraya & ophelia

Une nouvelle grimace vient étirer tes traits lorsque Soraya évoque la possibilité de ne pas répondre pour te laisser une pleine opportunité de parfaire tes connaissances. Oh, bien sur, tu sais qu’elle plaisante. Tu n’as pas vraiment besoin qu’on te surveille ainsi puisque malgré tout ce que tu pouvais en dire, tu restes quelqu’un de très studieux. La peur d’échouer est une motivation importante dans ta vie, le genre qui peut te pourrir tes journées, mais aussi c’est quelque chose qui assure un certain de sérieux de ta part. Elle le sait autant que toi et tu peux donc te dire qu’elle n’est pas sérieuse, mais tu préfères plutôt entrer dans le jeu. Un air boudeur sur le visage, tu soulignes : « C’est pas du jeu. » Et pour une fois, tu as l’air d’un enfant, un rappel que tu n’es pas si avancée dans ta vie d’adulte, que malgré une maturité évidente, tu n’en reste pas moins jeune. Ce serait sans doute problématique si tu étais sérieuse sur ce point, ce qui n’était pas le cas. « De toute façon tu ne pourras plus le faire quand j’aurai fini mon externat. » Ce qui n’est pas prévu pour bientôt, mais qui arrive tout de même. Certes, ça soulève aussi certains points plus délicats, comme le fait d’avoir un visa qui continue passé cette date. Mais c’est une autre histoire, une chose à laquelle tu ne comptes pas penser de sitôt.

À la place tu comptes bien profiter de votre rencard. Ce n’est pas difficile à faire considérant que les moments passés avec Soraya sont nécessairement agréables. C’est ça aimer quelqu’un tu supposes, peut-être un peu naïvement. Les choses prennent tout de même une tournure plus sérieuse lorsqu’une mystérieuse alarme sonne sur le téléphone de ta belle. Ce n’est pas la première fois que tu la remarques cette alarme, mais c’est la première fois où tu as droit à une explication. Tu l’observes en silence, ne pouvant réprimer cette petite pointe au coeur lorsqu’elle évoque un accident assez grave. Petite ou non, ça n’a pas pu être facile, une hypothèse confirmée par ce que Soraya dit par la suite. Tu fronces légèrement les sourcils, ne pouvant qu’imaginer à quel point ça a du être douloureux, mais pas que. Tu comprends à présent les pilules qu’elle a du prendre, mais aussi sa réticence à ce que tu passes ta main dans ses cheveux. À quelque part, tu ne peux t’empêcher de t’inquiéter encore pour elle, les brûlures, surtout lorsqu’elles sont aussi graves, ne guérissent pas toujours très bien. « Ça te fait mal parfois ? » Question importante à tes yeux, plus que les questions d’apparence que l’accident a pu laisser.
Tu laisses tout de même Soraya mener ta main jusqu’à la cicatrice. Tu passes doucement tes doigts dessus, faisant bien attention de ne pas lui faire mal. À ses mots, tu secoues légèrement la tête. « Bien sur que c’est sexy, ça fait partie de toi. » Et par conséquent ça ne peut qu’être magnifique, parce qu’elle l’est à tes yeux. Tu le penses vraiment, même si ça peut paraitre idiot. « Ce n’est pas une cicatrice qui va changer ça. » Tu esquisses un petit sourire alors que ton autre main vient lui caresser doucement la joue. De toute façon, c’est bien au-delà des apparences que se situent l’amour que tu portes à Soraya. Oh, bien sur, elle est sublime, tu ne diras jamais l’inverse, mais elle est plus que ça.

Tu viens lui voler un baiser avant d’ajouter. « Par contre je sais qu’il faut que je te laisse éplucher les patates maintenant. » Trop tôt pour faire une blague ? Peut-être, mais tu veux lui montrer que ça ne change pas grand chose à tes yeux. Du moment qu’elle n’a pas mal, c’est vraiment tout ce qui t’importe au fond. Tu esquisses un nouveau sourire avant de retourner ton attention vers le bretzel que tu avais entamé. C’est dans ce genre de moment qu’on voit que ta maturité est aussi - paradoxalement - aidée par ton jeune âge. Parce que tu ne veux pas te soucier de ce genre de chose. Tu es reconnaissante de voir que Soraya te fait suffisamment confiance pour te raconter l’histoire, mais tu ne veux pas non plus que ça devienne trop important puisque c’est du passé. Bien sur, il y a une partie de toi qui aurait besoin de se faire à l’idée, mais elle importe peu au fond. Tout sourire, tu termines ton bretzel avant de te tourner à nouveau vers Soraya. « T’es prête à continuer de braver le froid ou tu préfères qu’on rentre ? » Et par on rentre, tu espérais qu’elle comprenne, rentrer ensemble. Après tout, il fallait bien profiter des moments que vous pouvez passer ensemble de cette façon. Puis, tu voudrais bien l’avoir dans tes bras d’une façon qui n’a aucune chance de la gêner. Après, tu ne proposais pas la chose avec une quelconque idée en arrière de la tête, juste pour être confortable sans les manteaux.  
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