Invité a posté ce message Dim 24 Mar 2019 - 18:22#
long way down
This is not what we wanted, I am lost again
Mais qu’est-ce que je fous ? Genre, littéralement ? Qu’est-ce que je fous à lui retenir le poignet alors qu’elle passait simplement chercher son téléphone ? Pourquoi est-ce que je la ramène contre moi ? Pourquoi est-ce que je caresse sa joue, si douce et rosâtre ? Tout ce qui m’attire, c’est ses yeux de gris qui semble me dévorer d’une manière si innocente et insolente à la fois. J’aimerai pouvoir pour une fois, savoir ce qu’elle pense vraiment. A-t-elle autant envie que moi d’un baiser ? De plus ? Arrive-t-elle à vraiment contrôler ce désir ? Ou fuit le elle sans relâche ? « Je vais essayer. » ça ne me suffit pas, ça ne me convient pas. Parce qu’elle continue de me regarder avec cette même intensité et ça éveille ce vieux démon que j’habite. Celui qui n’arrive pas à se contrôler, ce manipulateur, ce destructeur, ce rebelle. J’ose croire que cette lutte avec moi-même finira par retomber mais elle mordille sa lèvre. Elle mord sa putain de lèvre. C’est trop pour que j’arrive à retenir cette bête qui finit par réduire les quelques centimètres qui séparaient nos lèvres. Ana semble surprise au début, sans doute parce que la puissance de mon baiser exprime l’exactitude de mon désir pour elle. Puissant et ravageur. Je l’entends grogner lorsque ma langue tente une percée pour venir danser avec la sienne. Ma main lâche son poignet et vient se poser sur le bas de ses reins pour la rapprocher contre moi. Celle sur sa joue glisse un peu dans ses cheveux, jusqu’à sa nuque. Elle est totalement à ma merci, et ce n’est que maintenant qu’elle finit par me rendre ce baiser timidement et peu assurée. Mais j’envahis trop son espace pour laisser place à sa douceur. Le fait que je retiens ça en moi depuis ce fameux jour finit par m’exploser en pleine gueule. Ses bras s’aventurent doucement sur mon corps, qu’elle tente d’explorer pour mieux connaître. Je jure que je n’arriverais jamais à m’arrêter, sauf si elle me le demande. Putain, il faut qu’elle me le demande. A bout de souffle, je me détache légèrement d’elle, alors que mes lèvres dérivent le long de sa mâchoire : « Ana, pitié dis-moi d’arrêter… » Je sais très bien que ça va foutre la merde, que notre situation sera d’autant plus compliqué et que d’une certaine manière je vais lui faire du mal. Je ne l’aurai jamais voulu la blesser, mais son corps m’appelle comme un aimant. C’est une trop belle tentation pour ne pas y céder.
Invité a posté ce message Dim 24 Mar 2019 - 21:14#
tu n’en mènes pas large quand il te retient. tu n'en mènes pas large non plus quand il t’approche de lui ni quand il caresse ta joue avec son autre main. et t’en mène encore moins large quand il te demande d’arrêter de le regarder de cette façon. finalement ne pas regarder davon plus de cinq secondes à dans les yeux aurait été une bonne initiative. encore moins parce que t’es toujours incapable de lui promettre quelque chose dont tu n’es pas certaine. et il le remarque davon. si tu connais bien ses mimiques, lui aussi a l'air de bien connaître les tiennes. tu sens qu’il s’approche. plus il se rapproche plus ton cœur s’emballe. pourtant t’es quand même surprise quand ses lèvres rencontrent les tiennes. ce baiser n’a rien à voir avec celui de l’autre soir. vraiment rien à voir. sa langue qui cherche à forcer le passage. tu grognes plus par réflexe que pour autre chose. quand sa langue se fraie un chemin. ton portable t’échappe. ton portable est par terre. mais t’en as rien à faire parce que t’es tout simplement en train de perdre complètement le contrôle. cette perte de contrôle était prévisible. la tension était trop forte entre vous depuis ce qu’il s’était passé l’autre soir dans son bureau. sa main passe de ton poignet au bas de ton dos. il réduit encore une fois la distance entre vous. son autre main glisse de ta joue à ta nuque. tu frissonnes et tu es certaine qu’il l’a ressenti. maintenant t’as plus aucune échappatoire. tu l’embrasses furtivement. ça ne dure pas longtemps. il reprend bien vite le contrôle. le baiser se fait plus intense. tu poses tes mains sur ses épaules. tes main glissent sur ses bras. tu laisses tes main glisser le long de ses bras de davon. tu effleures sa peau du bout de tes doigts. davon rompt le baiser quelques secondes. tu poses le bout de tes doigts sur tes lèvres. comme pour t’assurer que c’est réel. tu les poses juste quelques secondes. quelques secondes te laissant le loisir de reprendre ton souffle. souffle que tu récupères doucement. ton cœur menace de se faire la malle. c’est nouveau pour toi. c’est la première fois que tu ressens ce genre de chose. tu comprends rapidement pourquoi quand il te supplie de lui demander d’arrêter. tu sais qu’il te suffit d’un mot ou d’un geste de ta part pour qu’il se stoppe. tu n’as aucun doute là-dessus. tu lui fais confiance. tu n’hésites même pas. tu n’hésites pas parce que t’es forcée de constater que le peu de raison qu’il te restait en début de soirée t’a lâchement abandonné quand ses lèvres se sont posés sur les tiennes. le peu de raison qu’il te restait reposait aussi sur sa détermination. sa détermination à ce qu’il ne se passe rien entre vous. mais t’es forcée de constater que davon ne t’incite pas vraiment à le repousser bien au contraire. le problème maintenant, c’est que tu n’as pas envie qu’il arrête. tu n’en n’as pas du tout pas envie. parce tu ressens cette énergie intense, cette énergie incontrôlable quand davon est dans les parages. énergies auxquelles tu ne peux décemment pas résister. énergies auxquelles t’es incapable de résister. encore moins quand il se trouve en plein dans ton espace vital, comme toi, tu te trouvais en plein dans son espace vital. et qu’en plus de ça ses lèvres se promènent sur ta mâchoire. tu ne sais pas combien de temps exactement il te faut pour rassembler le courage nécessaire pour le repousser légèrement. pour l’éloigner de toi. certainement trop de temps. parce qu'après tout tu n'en avais pas envie. « t’es sûr ? » en d'autre mots toi t'es sûre, mais tu veux qu'il le soit aussi. alors tu le questionnes. tout en étant un peu inquiète par sa réponse tout de même. tu n'es pas à l'abri. davon peut avoir changé d'avis ou il pouvait penser désormais que tu ne voulais simplement pas que ça aille plus loin. ce qui semblerait logique à première vue. parce que c’est vraiment difficile pour toi d’accepter l’idée d’avoir une liaison sans lendemain. et là, il s’agit d’une liaison sans lendemain avec ton patron. tu devrais travailler avec et pour lui. en plus de le voir toute la journée et six jours par semaine. tu t’es pas vraiment facilité la tâche, mais t’es prête pour lui. pour davon tu es prête à le faire. tu te sens prête à l'être. tu laisses tes principes de côté. tu les laisse de côté sans aucune hésitation. tu lui demandes confirmation, tu ne veux pas qu’il regrette. tu ne veux pas qu'il regrette juste après, ni au bout de quelques jours, ni dans quelques semaines ou bien dans quelques mois. s’il agit sous le coup de l’impulsivité il le regrettera certainement un jour et ça tu ne le voulais pas. en attendant sa réponse, tu fais glisser tes lèvres contre la mâchoire de davon. tes lèvres sont chatouillées par sa barbe. tu retrouves enfin la sensation que tu avais éprouvée dans son bureau et c’était vraiment très agréable.
Il m’arrive parfois de perdre la raison. De tout foutre en l’air et de ne penser qu’au moment présent. De ne penser qu’à mon propre plaisir, à mes propres envies en éteignant toute source de raisonnement. C’est exactement ce que mon cerveau vient d’effectuer : il a simplement éteins ce bouton à mon plus grand damn. Hélas, maintenant que mes lèvres ont touchés les siennes, que ma langue vient danser avec la sienne, et que son corps est au creux du mien, je ne suis pas certain de pouvoir arrêter, de faire machine arrière. En avais-je envie ? Oui. En serais-je capable ? Putain que non. Son corps m’appelait beaucoup trop pour que j’arrive à me contrôler. Alors, je la supplie, je la supplie de faire barrage, de suivre ce que je lui ai dicté tout à l’heure, de suivre ma raison…d’être ma raison. C’est la seule qui pourrait raisonner cet homme en perdition que je suis devenue. C’est la seule qui serait capable de me faire retomber à la réalité, de me ramener les pieds sur terre. Je profite de chaque micro seconde où mes lèvres découvrent sa peau douce, où j’humecte son délicieux parfum, mélangé à mon gel douche. Ce n’est que lorsqu’elle me repousse légèrement que mes yeux clignent légèrement. Sa voix est perturbée, hésitante : « T’es sûr ? » Sûr de quoi ? D’avoir envie d’arrêter ? D’avoir envie de continuer ? D’avoir envie d’elle ? De ses lèvres ? De son corps parfait ? Putain, oui. Oui, je veux tout à la fois. Si cette question a marqué un réel doute dans mon esprit, le fait qu’elle dépose ses lèvres sur ma mâchoire a littéralement raison de moi. « Putain, j’emmerde le protocole. » Je la soulève de terre, mes mains sous ses cuisses alors que je me tourne pour la poser sur mon bureau encore rempli de dossier. J’attrape de nouveaux ses lèvres, tandis que mes mains s’infiltrent déjà sous son pull beaucoup trop épais à mon goût. Je caresse sa peau douce, et rencontre une brassière qui me laisse imaginer la courbure de ses seins. Je sens ses mains s’agripper à moi, comme si sa vie en dépendait. Je suis littéralement en train de tout faire foirer. Je n’ose penser aux conséquences, à mal que je lui ferai demain lorsqu’elle réalisera que tout ça, ça ne signifie rien. Je ne pense pas à sa carrière, ni au bordel que ça va foutre dans les rumeurs de boulot. Non, mes pensées ne sont guidées que par ma queue qui bande déjà beaucoup trop. Je me détache d’elle pour lui enlever son pull et le jeter à travers le bureau. Mes lèvres retombent dans son cou, glissent le long de sa clavicule et, aidée de ma main qui vient étirer sa brassière bien trop collée à son corps, vient sucer le bout de son téton. A la manière dont elle gémit, je fonds littéralement : c’est un mélange entre une innocence parfaite et une satisfaction achevée. Je suis perdu, Ana Flügge aura ma peau ce soir.
vous prenez un énorme risque. deux choix s'offrent à toi. ton coeur veut dire oui, oui et encore oui. lui tu l’écoutes. alors que ta conscience te demande de réfléchir quelques instants. elle tu ne l'écoutes pas. pourtant c’est certainement elle qui a raison parce que c'est toi qui a le plus à perdre dans l’histoire. pensée négative très vite chassée de ton esprit quand il colle ton corps au sien. il t’embrasse comme si c'était naturel, comme si vous vous chauffiez depuis des heures. il rompt le baiser. quelques secondes. juste quelques secondes. secondes qui te laissent le loisir de reprendre ton souffle. ses lèvres se perdent sur ta mâchoire. davon te supplie de lui demander d’arrêter. il était sensé être raisonnable pour deux parce que tu comptais sur lui. t’es la raison incarnée en général, mais t’es incapable d’être raisonnable à partir du moment où il rentre dans l’équation. il n'avait pas besoin de faire beaucoup ni besoin de beaucoup de temps pour te faire perdre le contrôle. davon n'avait pas besoin de faire beaucoup ni besoin de beaucoup de temps pour te rendre complètement folle. tu perds le contrôle. c’était prévisible. la tension était trop forte entre vous depuis ce qu’il s’était passé dans son bureau. tu as vraiment perdu le contrôle. mais ça ne pouvait que te faire du bien. lui réussissait à te rendre désirable. c’était la première fois que ça t’arrivait. jamais tu ne t'étais sentie désirable avant qu'il se montre plus entreprenant avec toi. il se détache. te laissant reprendre ton souffle. souffle que tu récupères doucement. ton cœur menace de se faire la malle. c’est nouveau pour toi. c’est la première fois que tu ressentais ce genre de chose aussi intensément. tu arrives malgré tout à le repousser, mais pas pour lui demander d'arrêter. tu lui demandes s’il est sûr. toi t’es prête à prendre le risque, mais tu veux t’assurer que lui il est aussi prêt à prendre ce risque. tu laisses tes lèvres courir le long de sa machôire en attendant sa réponse. « putain, j’emmerde le protocole. » tu souris malicieusement. « je l'emmerde aussi ce soir. » juste ce soir. t'essayes de te persuader qu'après cette nuit cette attirance s'estompera. les mains sur tes cuisses, il te soulève avec une telle aisance que tu ne sens absolument rien. rien mise à part ses mains qui te soutiennent. tu te laisses faire, tu es en totale confiance. il te pose sur son bureau. t'es pas certaine que ce soit une bonne idée avec tous les dossiers présent dessus, mais il t’embrasse. t'es pas certaine que ce soit une bonne idée, mais tu lui diras plus tard. sa main découvre avec assurance ton ventre. tu t’accroches à lui. mais il se détache de toi, et tu n’as pas pu t’empêcher de retenir une petite moue. moue laissant complètement voir ta frustration. davon te débarrasse de ton pull. petite moue qui part aussi vite qu’elle est venue une fois le contact retrouvé. tu l’aides en levant tes bras. une fois débarrassée de ton pull. sa bouche se perd dans ton cou, le long de ta clavicule et tu fermes les yeux. tous tes sens sont en éveils. tu retiens ton souffle quand tu sens que sa bouche dévie. il écarte ta brassière d’une main. ta respiration se fait plus difficile, tu déglutis difficilement. tu as l’impression étrange de ne plus avoir aucun souffle, alors qu’il venait tout juste de commencer. t'as l’impression que ta gorge est enflée. tu sens ses lèvres sur ton téton. un léger gémissement s'échappe de tes lèvres entrouvertes. par automatisme sans que tu ne puisses le contrôler. tu essayes de te contenir. tu serres les poings. tu te pinces les lèvres. tu résistes autant que tu peux. « j’ai envie de toi… » tu oses lui chuchoter. tu en veux plus. tu en demandes plus. tu commences avant de sourire. « je suis certaine que c’est beaucoup plus sympa à dire quand on vouvoie l'autre personne. » tu ris légèrement. « j'ai envie de vous. » c'est effectivement beaucoup plus sympa de le dire de cette façon.
Invité a posté ce message Mer 10 Avr 2019 - 21:10#
long way down
This is not what we wanted, I am lost again
J’emmerde le protocole. J’emmerde les futures rumeurs. J’emmerde ma putain de conscience. J’emmerde cette future culpabilité. Mon cerveau a perdu un fusible ce soir. Je cède à mon désir pour elle, je cède encore une fois à ma queue, je cède à ce qu’elle dégage, « Je l’emmerde aussi ce soir » Très bien. Ça réconforte une partie de mon cerveau pourri, et ça me donne l’autorisation littéralement de la déposer sur le bureau et d’explorer son corps un peu plus. J’embarque mes lèvres sur les siennes, puis plus bas et lorsque j’arrive enfin à l’un de ses tétons libérés, l’entendre gémir gonfle mon érection dans mon jogging déjà trop serré. Je viens à le mordre, chose qui la fait sursauter alors qu’elle mord sa lèvre. Putain, que j’ai envie de la mordre, celle-là ! « J’ai envie de toi… » Mes lèvres s’étirent dans un sourire, alors que mon corps s’éveille encore plus. J’ai trop souvent l’habitude d’entendre cette phrase, mais dans sa bouche, ça a quelque chose d’inédit, d’interdit et putain que c’est excitant ! « Je suis certaine que c’est beaucoup plus sympa à dire quand on vouvoie l’autre personne. J’ai envie de vous » Je lâche son téton en souriant, en me redressant. « Ça te plait de me vouvoyer ? » Je suis du genre à faire attention à ce que mes partenaires aiment, et si ce genre de fantaisie qui augmente son plaisir, autant lui faire plaisir. Mes mains se détachent un peu de son corps, et viennent saisir mon propre t-shirt que je passe par-dessus ma tête. Au regard qu’elle m’offre, je sais qu’elle aime la vue que mon propre corps lui offre. Je me penche un peu vers elle, embarque mes lèvres à son oreille, et ajoute : « Moi, j’ai envie de te baiser sur le bureau » Je suis plus du genre à parler crûment, sans belle façon de faire. Certaines filles adorent, d’autres détestent. Je me demande simplement de quel genre est Ana. « J’en ai envie…à chaque fois que tu entres avec une petite robe qui met en avant tes fesses rondes » Mes lèvres reprennent d’assaut ses lèvres tandis que ses mains parcours mon torse et mon dos, à la découverte de cette peau qu’elle n’a jamais vu. « T’imagines pas tout ce que j’ai envie de te faire. » Mes mains elles caressent sa peau, alors qu’une s’insinue un peu plus entre nous, glisse sur son ventre jusqu’à la bordure de son legging. Elle s’y glisse sans invitation et se dépose sur son point sensible. A ce simple geste, elle frémit, ce qui me fait sourire de plaisir. « T’es déjà prête, à ce que je vois. » Il n’y a pas de mieux qu’une fille qui est déjà mouillé pour moi. Mais, je n’ai pas envie de bruler toutes les étapes. Quitte à faire une connerie, à emmerder le protocole, autant en profiter jusqu’au bout. Putain, cette nuit, je vais lui donner un tas d’orgasme qu’on pourra presque ne pas regretter cet écart.
Invité a posté ce message Jeu 11 Avr 2019 - 19:42#
il s’attarde sur ta poitrine. une morsure et tu sursautes. tu as envie de lui. tu lui dis deux fois sans sourciller. et ça a l’air de lui plaire. il se redresse. il te questionne, tu hausses les épaules. tu n’en sais rien, c’est peut-être le tout. « c’est peut-être le tout qui me plait le plus. » tu lui avoues. tu sens que c’est le moment de lui dire. tu as toujours été très attirée par davon. ce n'est pas vraiment étonnant qui ne le serait pas. il enlève son t-shirt. étonnement, tu ne détournes pas les yeux. « moi, j’ai envie de te baiser sur le bureau. » tu ne sais pas si c’est la phrase tout court ou le fait qu’il te le dise à l’oreille ou bien encore la combinaison de deux, mais ton désir monte en flèche. « j’en ai envie…à chaque fois que tu entres avec une petite robe qui met en avant tes fesses rondes. » tu te demandes quelques secondes comment est-ce que c’était possible et puis tu réalises que tu as beaucoup de chance et que tu devrais accepter ce compliment quelque peu déguisé au lieu de toujours te demander pourquoi. alors tu souris. tu n'as pas le temps de répliquer qu’il colle ses lèvres sur les tiennes. tu laisses tes mains explorer son torse et son dos. comme pour t’assurer que c’est bien réel. que tu ne rêves pas. tu en profites un maximum, mais tu sais pertinemment qu'il va prendre les devants et c'est ce que tu aimes chez lui. plonger en ayant une totale confiance. « t’imagines pas tout ce que j’ai envie de te faire. » si. si, tu imagines. tu imagines même très bien parce que tu veux la même chose, parce que tu attends la même chose, que c'est tout ce dont tu as besoin. alors si, tu le sais, tu le veux, tu as bien trop d'idées en tête qui fourmillent. tu revois la fois dernière, avec cette soirée, et actuellement tu imagines un peu plus ce qu'il est capable de te faire. tu sens son bras descendre. la tension est à son comble. tu veux qu'il te déshabille, tu veux qu'il fasse ce qu'il veut de toi. parce que t'as besoin de ça. c'est dangereux, peut-être même vraiment dangereux, mais là, tu t'en fiches. tu t’en fiches éperdument. tu sens sa main qui descends progressivement jusqu’à se retrouver entre tes jambes. ton ventre se tord encore un peu plus. ta poitrine se gonfle au rythme de ta respiration. tu n'as aucune honte, aucune honte de te trouver dans cet état parce que c'est lui, qui te met dans cet état, ses mains et ses mots. ta température corporelle a grimpé de trois ou quatre bons degrés. ou même plus parce que t'as l'impression d'être chaude comme une baraque à frites. là ça devient concret, vraiment concret, mais tu ne changes toujours pas d’avis. parce que ce soir, tu n’as pas envie d’être raisonnable. pas du tout envie. « t’es déjà prête, à ce que je vois. » tu te pinces les lèvres. avant de hocher la tête. « je ne changerai pas d’avis. » non il n’y a aucune chance que tu changes d’avis. vraiment aucune chance. « je n’en n’ai jamais autant eu envie. »
Invité a posté ce message Sam 13 Avr 2019 - 13:58#
long way down
This is not what we wanted, I am lost again
« C’est peut-être le tout qui me plait le plus » Je ne rétorque rien à ça. L’idée même qu’elle ait envie de moi me suffit à alimenter mon propre désir pour elle. Elle peut bien m’appeler par n’importe quel prénom, le résultat sera pareil. Je laisse libre court à mes envies, mes mains explorant son corps, mes lèvres embrassant sa peau nue qui m’est accessible. Je perds littéralement le contrôle, je suis dicté par cette bête avide de sexe et de pouvoir. Très souvent, c’est le cas. Elle est vorace, décidée à obtenir ce qu’elle convoite depuis longtemps. Et Ana, j’ai beau me persuadé du contraire, son petit cul parfait m’appelle depuis trop longtemps. Alors, sans une once d’hésitation, ni même attendre son accord, ma main se glisse dans son pantalon pour venir caresser son entrejambe. A la manière dont elle gémit et qu’elle se tortille sous mes caresses, je me sens encore plus à l’étroit dans mon propre jogging. « Je ne changerai pas d’avis. Je n’en n’ai jamais autant eu envie » Sa réponse étire mes lèvres dans un sourire trop satisfait. Et alors que ma main utilise son pouce pour venir caresser son clitoris, un de mes doigts s’enfonce en elle ce qui lui apporte un gémissement divin. J’humecte mes lèvres avant de les ramener près des siennes et de venir en mordre une. « Dis-moi Ana…dis-moi ce dont tu as vraiment envie. » Penché un peu plus sur elle, je sens ses jambes s’arquer et venir se poser sur la courbure de mes reins. Une manière pour elle de me donner plus accès à elle, et d’enfoncer un second doigt. S’il y a bien une chose que j’aime durant le sexe c’est cette domination : ce moment où je prends le dessus, juste pour pouvoir voir dans ses yeux à quel point elle est prête à tout m’offrir dans l’espoir d’atteindre un plaisir intense. Certaines femmes sont prêtes à tout, d’autres sont plus prudes. Ana, je ne sais pas. Elle me semble à la fois si vulnérable et si forte que je ne saurai dire dans quel camps elle se trouve. Mais l’idée de découvrir ça ce soir me donne de vrais papillons dans le ventre. Mes lèvres s’amusent à venir lécher quelques partis de son cou, en attendant sa réponse qu’elle finit par me donner, et en l’entendant, j’accélère un peu plus la pression dans son entrejambe. Je sens ses mains agripper mon dos à mesure qu’elle s’emporte dans ce plaisir, mais lorsqu’elle est sur le point de trembler de plaisir et de jouir grâce à ma main, je me retire d’une manière lâche et sadique. « Pas question que je t’entende jouir sans être en toi. »
Invité a posté ce message Sam 13 Avr 2019 - 19:57#
tu ne changeras pas d’avis. t’en as jamais eu autant envie. il constate par lui-même l’effet qu’il te fait. il ne perd pas de temps. un de ses doigts s’occupe de ton clitoris alors qu’un autre s'insinue en toi. tu laisses échapper un gémissement. lèvre mordue. ce qui a le don de donner de l'impulsion au désir que tu éprouves pour lui. « dis-moi ana…dis-moi ce dont tu as vraiment envie. » tu en veux plus. tu as besoin de plus. « de toi. » tu chuchotes une nouvelle fois, avant de te mordiller la lèvre inférieure. tu ne savais pas comment lui dire plus directement que tu en voulais encore. t’es brève. mais précise. t’as envie de lui. de lui tout entier. tu n’as pas hésité longtemps. t’aurais presque pu répondre du tac au tac s’il n’avait pas rajouté un second doigt et si ses lèvres et sa langue ne s’attardaient pas sur une zone érogène. l’aveu passé. il se montre plus impatient. tu gigotes. tu gémis. t’es à bout. tu mors l’intérieur de ta joue. tu essayes tant bien que mal de retarder l’échéance. mais tu te rends vite compte que c’est peine perdue. tes mains s’agrippent à son dos. et puis plus rien. « pas question que je t’entende jouir sans être en toi. » qu’il te dit. tu te bloques. t’es frustrée. ta bouche s'entrouvre immédiatement, ton souffle est coupé et tu ne peux plus t'empêcher de le regarder. alors il doit le voir. il doit voir tes pupilles dilatées. il doit voir ton envie de goûter une nouvelle fois à ses lèvres, voir que tu n'as qu'une envie. qu'il te touche, qu'il te prenne dans ses bras, qu'il attrape tes hanches et ... il faut que tu t'arrêtes de trop penser. tu reprends ton souffle. tu te redresses. tu poses ta main sur sa cuisse. main que tu remontes jusqu’à son cou. effleurant au passage l’air de rien son érection. lorsque ta main se retrouve au niveau de son cou, tu lèves les yeux vers lui. « ça m’a ... vraiment beaucoup plu… » tu chuchotes une nouvelle fois, avant de te mordiller la lèvre inférieure. ta main reste à sa place, pendant que l’autre vint se poser sur la bosse, caressant du bout des doigts son sexe. tu ne voulais pas commettre d'impair. tu es inexpérimentée, mais avec lui, tu arrivais à te laisser aller et à te montrer audacieuse. jamais tu n’avais osé avant. jamais tu n'avais pensé avoir autant d'audace. su moins jusqu'à davon. tu arrivais même à le faire sans te sentir ridicule. tu remontes ton autre main sur ses lèvres. tes doigts effleurent ses lèvres et jouent délicatement avec. tu glisses ta main de ses lèvres à son bureau pour pouvoir l’embrasser. petite diversion pendant que ton autre main prend place entre son jogging et son boxer. elle est bien loin votre volonté de rester professionnel en début de soirée. tu y vas étape par étape. t’es inexpérimentée et donc t’es aussi très facilement impressionnable. tu t’écartes juste quelques secondes. tu retires ta main. tu enlèves ta brassière. tu te retrouves quasiment nue devant lui et t’es absolument pas gênée. tu l’embrasses. encore un moyen de faire diversion pendant que ta main s’infiltre délicatement entre l’élastique de son boxer et sa peau. tu prends ton temps.
Invité a posté ce message Mer 17 Avr 2019 - 22:45#
long way down
This is not what we wanted, I am lost again
Je sais que je fais une belle connerie, mais mes pulsions et mes envies ont pris le dessus sur ma raison. Je ne contrôle plus rien. Tout ce qui m’importe le plus maintenant c’est son corps, loin des paroles que je lui ai servis quelques minutes auparavant. De quoi être bien hypocrite, tout de même. C’est visiblement ce qu’elle attend depuis bien longtemps vu que tout ce qu’elle a envie c’est moi ; et lorsqu’elle le dit, ça embrasse mon érection. Je ne suis que feu qui doit être consommé sur le champ. Et bien que je prends le temps de la taquiner, de l’amener jusqu’au gouffre pour ne pas l’y guider, je n’ai qu’une envie c’est d’être en elle. En guise de réponse, après avoir repris son souffle, elle se redresse et vient explorer mon corps. Je note qu’elle frôle mon érection ; ce n’est pas une maladresse, c’est volontaire. Ana est une enfant, qui a toujours eu des allures de sainte-ni-touche. Mais je me rends compte maintenant que c’est exactement ça qui m’attire. Lui faire découvrir toutes ses choses qu’elle doit ignorer, qu’elle doit détester, apprécier, adorer. Elle a la vie devant elle, ce serait bête de ne pas y avoir le droit. « Ça m’a…vraiment beaucoup plus » « Attends de voir ce que je te réserve » dis-je en souriant alors qu’elle joue avec mon corps. Je la laisse prendre une seconde le commandement, appréciant le baiser qu’elle m’offre, mais qui m’arrache un frisson quand sa main glisse entre mon jogging et mon boxer. Je viens à lui mordre à nouveau la lèvre tant cette sensation est agréable, mais elle se retire, se détache de moi et enlève sa brassière. Je souris devant ces petits melons qui s’affichent devant moi, mes mains les saisissant au moment où elle m’embrasse à nouveau. C’est un râle profond que je laisse échapper quand elle saisit mon érection directement dans mon boxer cette fois-ci. Sans attendre, mes mains laissent glisser mon jogging et mon boxer à mes pieds pour lui donner meilleur accès. « Prends ce que tu veux » dis-je entre deux baisers, en sentant sa main faire des petits mouvements qui m’invitent à plus. Je laisse le plaisir monter un peu plus, comme pour me chauffer, mais lorsque je sens que c’en est trop, ma main vient chercher la sienne pour l’arrêter : « Enlève-moi ton legging. » C’est presque un ordre que je lui donne, en me séparant d’elle pour enlever le reste de mes vêtements déjà au sol. Elle s’exécute, en me voyant contourner le bureau et ouvrir un tiroir : des préservatifs. J’en ai toujours autour de moi, sait-on jamais. Le jamais est arrivé. Complètement nu comme un ver, je ne fais même pas gaffe à la grande baie vitrée que mon bureau possède : de toute manière avec la tempête de neige, on ne voit même pas le bâtiment d’en face. Je reviens à son niveau, elle s’est remise en place, et décidé à me protéger, je prends quelques secondes pour m’équiper. Une fois fait, je la regarde – ses yeux pétillent. C’est d’abord un assaut sur sa bouche que j’exécute, alors que je lui relève un peu plus une jambe, et finit par la pénétrer sans plus tarder.
Invité a posté ce message Jeu 18 Avr 2019 - 17:52#
ça t’a plu et tu n’hésites pas à lui dire. sans ressentir la moindre gêne ni le rouge qui te monte aux joues. tu ne sais pas ce qu’il t’arrive ce soir, mais t’en es contente. parce que tu n’auras aucun regret dans quelques heures. tu en auras profité un maximum. « attends de voir ce que je te réserve. » qu’il te dit en souriant. tu te mordilles la lèvre inférieure. t’es consciente et bien placée pour savoir qu’il choisit et pèse toujours ses mots, alors tu ne peux qu’en avoir envie. tu prends les devants. tu sais que ça ne sera que de courte durée. parce que davon aime trop avoir le contrôle pour te laisser l’avoir plus de quelques minutes. alors tu veux en profiter de ce contrôle. tu veux profiter d’avoir le contrôle sur lui. même si c’est que pour quelques minutes. tu l’embrasses une première fois. baiser qui sert en quelque sorte de subterfuge parce que tu en profites pour glisser ta main entre son jogging et son boxer. il te mord ta lèvre. tu te détaches. tu enlèves ta brassière. ses mains s’attardent sur ta poitrine. tandis qu’une de tes main s’aventure entre son boxer et sa peau. si tu n’étais pas certaine de toi lui ça avait l’air de lui plaire. davon se débarrasse de son jogging et de son boxer. là ça devient concret. « prends ce que tu veux. » il te dit entre deux baisers. cette phrase à le don de booster ta confiance en toi. tes gestes sont moins hésitants. tu y vas un peu moins hésitante et il te stoppe. tu as peur d’avoir fait quelque chose de mal, mais il reprend la parole. « enlève-moi ton legging. » ça te rassure. il se détache avant de mettre de coté ses habits. puis davon s’éloigne. tu descends du bureau et tu enlèves le peu de couche de vêtements qu’il te restait. tu en profites pour récupérer ton portable sur le sol. tu poses tes affaires sur le coin du lit. tu t’installes à nouveau sur son bureau et il réapparaît avec le petit emballage carré. tu prends la pilule, mais ça te fais plaisir qu’il puisse faire attention à ce genre de détails parce que clairement à vingt-deux ans avoir un bébé ce n’est pas envisageable pour toi avant au moins cinq ans. pour l’instant, tu te lèves travail, tu manges travail, tu dors travail et parfois même tu rêves travail et t’espères que ça soit le cas encore pendant des années. parce c’est tout ce qui compte pour toi. une fois le préservatif enfilé davon se positionne à nouveau sur toi. tu n’appréhendes pas vraiment. tu lui fais confiance et tu en as envie. il t’embrasse. relève un peu une de tes jambes et il entre en toi. ton gémissement étouffé par ses lèvres. tu te cambres de plaisir sous cette nouvelle sensation. tes mains se posent instinctivement sur ses bras. instinctivement tout en essayant un maximum de rester délicate. tu veilles à ce que ça soit délicat pour ne pas le marquer. tu perds le contrôle. « davon … tu me rends folle. » vous êtes en parfaite harmonie. vous êtes en phase durant de longues minutes. tu ne sais pas comment tu fais pour tenir autant. tes mains se retrouvent sur son dos. le trou noir. ton corps se tend. se tend de plus en plus tout comme tes muscles. ton souffle se fait de plus en plus court. ta vue se brouille. ta tête retombe sur le bureau. par chance, les dossiers éparpillés rendent le retour à la réalité un peu moins douloureux. ton corps retrouve peu à peu sa souplesse. tu te sens plus légère. tu as l’impression de flotter sur un petit nuage ou d’être entièrement constitué de coton. tu n’aurais pas pu rêver mieux. tu te contentes de lui adresser un sourire. tu aimerais lui dire qu’il a été parfait, mais tu t’abstiens. tu te redresses. « tu trouves les lits surfaits ? » tu le questionnes. non pas que ça t'as déplu, bien au contraire, mais parce t'avais encore jamais fait ça ailleurs que sur un lit.
