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Invité a posté ce message Lun 28 Jan 2019 - 23:29 #

Habillement, ma main parvient à son intimité, mon doigt commençant à la titiller pour éveiller un peu plus son désir. Ça marche puisqu’une fois mon doigt en elle, elle se met à soupirer contre ma bouche. Désirant savoir si elle veut qu’on passe directement à l’acte final, je lui parle des préservatifs, sans arrêter de mouvoir mon doigt. Ça lui fait de l’effet, je le sens à son souffle irrégulier contre mon épaule et je souris à ses paroles. Je continue donc, m’exécutant avec joie. D'un mouvement de bascule, je me retrouve au-dessus, m’appuyant sur un coude alors que mon autre bras reste niché entre nos deux corps, ma main dans sa lingerie et mon doigt enfoui dans son intimité. Cette position m'offre nettement plus de mobilité et, sans attendre, j'agite mon doigt en elle de façon plus rapide. Nos regards se retrouvent alors qu’un second doigt rejoint le premier, les deux unis formant parfois une sorte de crochet pour aller frictionner son point g. Les gémissements de la demoiselle viennent briser le silence de la chambre, me prouvant qu'elle prend véritablement du plaisir et me poussant ainsi à continuer ce que je lui fais. À accélérer un peu plus la cadence même, grognant doucement quand elle agrippe mes cheveux avec sa main. Mon pouce trouve son clitoris pour le caresser en rythme avec la pénétration de mes doigts et l'effet est immédiat. Ses yeux se ferment au moment où un gémissement plus puissant lui vient, ses cuisses resserrent ma main et elle jouit autour de mes doigts. Dire que je suis satisfait serait minime. J'ai enfin la preuve que je n'ai pas perdue la main -sans mauvais jeux de mots-. Noor prend un peu de temps pour retrouver une respiration normale, sa tête enfouie dans mon cou pendant que je caresse sa cuisse du bout des doigts. Ce qu’elle murmure me fait lâcher un petit rire, un peu nerveux. « Je crois bien que oui. » Ouais, je crois, je n'en suis pas très sûr. Vu les nombreux mois où je n’ai rien fais, je pourrais être rouillé. Ou peut-être bien que comme un précoce, je vais éjaculer à peine mon sexe dans le sien. En réalité, ça me fout une pression monstre. Je ne veux tellement pas la décevoir ou qu'elle se dise qu'elle a perdu son temps. Heureusement, elle coupe le fil de mes pensées en m'incitant à me lever. J'obtempère et recule jusqu'au lit, me retrouvant assis avec elle entre mes jambes. Se penchant pour m'embrasser, je réponds joyeusement au baiser. Un contact entre nos lèvres qui prend trop vite fin à mon goût et je m'apprête à râler, mais ne le fait pas en la voyant s'agenouiller face à moi. Mon boxer retrouve rapidement nos autres vêtements et ma virilité se retrouve dans sa main. J’ai presque la respiration coupée en la sentant saisir mon sexe et elle le devient vraiment lorsqu’elle y passe la langue de tout son long. Elle plonge les yeux dans les miens, à la recherche d’un signe qu’elle doit lire dans mon regard puisqu’elle n’attend pas plus longtemps pour entourer mon membre de sa bouche. Un gémissement sort d’entre mes lèvres, dire que je me suis passé de ça pendant des mois, de cette sensation si parfaite. Je m’appuie sur mes coudes afin d’éviter de défaillir et de m’étaler sur le lit, et surtout pour pouvoir la regarder en pleine action. Je ne veux pas manquer une miette du spectacle, chose qui ne fait que décupler le plaisir qui monte. Tout autant que mes gémissements qui sont de plus en plus nombreux. « C'est si bon Noor, bordel... Je... Je vais jouir... » Que je lâche après un petit moment, mes paroles tranchées par ma respiration saccadée. Je cherche son regard pour avoir son feu vert et me lâcher quand elle aura retiré sa bouche si délicieuse, sauf qu'elle ne le fait pas. C'est même tout le contraire qui se produit. Elle insère à nouveau mon membre dans sa bouche, le suçant avec encore plus de vigueur et je ne peux me contenir plus longtemps face à cette vision. Dans un ultime râle de plaisir, je jouis entre ses lèvres, la jeune femme me surprenant un peu plus en avalant tout le fruit de mon plaisir, ne laissant même pas une seule goutte. « Merci Noor. » Ça sort sans même que je puisse le retenir. Elle ne va sûrement pas comprendre, et je me vois mal lui expliquer qu'elle est la première femme à me donner un orgasme depuis plus de 6 mois -et quel orgasme !-. Alors avant même qu'elle puisse prononcer le moindre mot ou formuler la moindre question, je place mes mains sur ses joues et l'embrasse à pleine bouche, l’envahissement de ma langue tout en la faisant se relever. Je lâche ses lèvres un court instant, celui nécessaire à lui retirer sa culotte, puis la fait venir à califourchon sur moi, retrouvant sa bouche à cette occasion. Les mains à présent sur sa taille, j’entame quelques mouvements de bassin pour frotter nos deux sexes l'un contre l'autre, sa moiteur éveillant de plus en plus ma virilité. Je le sens, je serais bientôt près à être à nouveau en elle. Sans quitter ses lèvres une seconde, je remonte une main dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge et lorsque c'est fait, je stoppe le baiser pour l'aider à ôter totalement le seul vêtement qui lui reste. Je prends ses seins en coupe, les embrassant du bout des lèvres avant de saisir ses tétons en bouche tour à tour. Je les lèche, les suce, les mords et les tire avec mes dents par moment et, à chaque fois, celui qui n'est pas occupé par mes lèvres est pris d'assaut par mes doigts. Je ne lui laisse aucun répit, continuant en même temps de frotter mon sexe contre le sien.
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Invité a posté ce message Mar 5 Fév 2019 - 3:32 #

Avec un seul doigt il réussit à l’emmener ailleurs, à la rendre dingue de ce qu’il est en train de lui faire, tellement qu’elle se sent incapable de l’empêcher de continuer. Ce mec se sert aussi bien de ses mains qu’un pianiste, c’est une des choses insensées qui lui vient à l’esprit sous l’effet du plaisir, alors quand il en entre un deuxième, ses gémissements redoublent sans qu’elle puisse les retenir. Puis il se met à jouer avec son clitoris et là c’est l’explosion, ses muscles se contractent avec une force qu’elle ne leur connaissait pas. Son rythme cardiaque vient d’en prendre un coup, elle a le souffle complètement déréglé et il lui faut un moment pour revenir à la réalité, continuant à frissonner sous ses doigts qui caressent doucement sa cuisse. Il a éveillé sa curiosité, maintenant elle en veut plus, elle veut savoir s’il est aussi doué avec autre chose que ses doigts, savoir s’il peut peut-être lui faire passer une des meilleures nuits de sa vie. Le sexe est bien souvent meilleur quand il est accompagné de sentiments profonds, pourtant là elle veut bien croire qu’il y a peut-être des exceptions. Du moins elle a très envie de l’avoir en elle pour savoir si c’est bien possible. « Je crois bien que oui. » Sa remarque le fait légèrement rire, mais pas d’un rire assuré, comme si au fond il n’était pas complètement certain de ce qu’il dit. Ça la fait sourire, un sourire bienveillant, pendant qu’elle l’incite à relever la tête et plonger les yeux dans les siens, sa main toujours dans ses cheveux qui y fait plusieurs allers. « Doute pas de toi. Moi je doute pas de toi. » L’alcool la fait réagir trop tard et elle a déjà fini sa phrase quand elle se rend compte que dire ça c’est peut-être complètement mettre la pression à la personne, ce qui est tout le contraire de ce qu’elle souhaitait faire. Mais elle a juste dit spontanément ce qu’elle pensait, alors qu’elle ne le connait pas, certes, pourtant c’est vrai, elle ne saurait pas dire pourquoi, surement parce qu’il y a eu cette alchimie entre leurs deux caractères, mais elle ne doute pas. Une petite moue désolée sur le visage, elle se reprend aussitôt. « Pardon, c’est peut-être pas le plus rassurant en fait comme phrase. » Ne lui laissant pas le temps de penser à ça plus longtemps, elle se relève, l’entrainant avec elle et le repoussant contre le lit pour qu’il s’y assoit. Sa bouche passe de la sienne à son sexe, qu’elle prend complètement une fois qu’elle a capté son regard. Elle ne doute pas que ça devrait lui vider la tête – et pas que la tête – au moins un moment avant qu’ils ne passent à l’étape suivant les préliminaires. Sa langue continue de jouer avec son membre, n’en titille parfois que le bout, puis sa tête s’active, remonte et redescend avec un rythme de plus en plus soutenu à chacun de ses gémissements. « C'est si bon Noor, bordel... Je... Je vais jouir... » Un plaisir à entendre pour ses oreilles et un regard espiègle quand elle le voit s’attendre à ce qu’elle recule la tête. Mais ses lèvres repartent à l’assaut de son sexe, et elle le prend encore plus profondément, autant qu’elle le peut. Il ne se retient alors plus de jouir dans sa bouche et elle avale tout. Ce n’est pas quelque chose qui la dérange, pas quand elle a envie de le faire. Lui, il a ce truc qui lui donne l’envie de le satisfaire complètement, il la met en confiance, la fait se sentir bien. « Merci Noor. » Ses sourcils se froncent, elle ne voit pas pourquoi il lui dit merci, mais elle n’a pas le temps de lui poser la question puisqu’il l’embrasse aussitôt. Ça lui suffit à oublier ses paroles. La faisant se relever il lui retire sa culotte et l’attire sur lui, son bassin se mettant à bouger dans un mouvement qui frotte leurs sexes et la fait grogner légèrement. Grognements qui s’intensifient et se transforme parfois en soupirs quand il lui ôte son soutien-gorge et qu’avec sa bouche, sa langue, ses dents, il se met à jouer avec sa poitrine. Pendant quelques minutes elle le laisse faire, savourant ses gestes, une main dans ses cheveux, l’autre caressant doucement sa peau de sa nuque à son dos, bougeant à son tour les hanches en cadence avec les siennes pour que son sexe reprenne de la vigueur, ce qui arrive rapidement. Et quand elle le sent complètement dur contre elle elle ne tient plus, partant à la recherche de ces fameux préservatifs dans le tiroir de la table de chevet pendant qu’il s’installe correctement dans le lit. Elle ne fait pas tout de suite attention à la boite. Ce n’est qu’une fois à nouveau au-dessus de lui et en l’ouvrant qu’elle a un moment de bug avant de pouffer de rire. « C’est histoire de te marrer ou c’est vraiment ton truc les capotes phosphorescentes ? » On ne sait jamais, elle n’en avait jamais vu avant ce soir, mais peut-être qu’il y a des gens à qui ça plait vraiment, elle ne juge pas. Dans tous les cas ça reste un préservatif et elle ne perd pas plus de temps pour ouvrir l’étui et lui enfiler. Sauf qu’en le voyant sur son sexe fièrement dressé, elle ne résiste pas et se lève pour aller éteindre la lumière, plongeant la chambre dans un noir complet, à l’exception de son membre. Elle ne peut pas s’empêcher d’éclater de rire, bien trop amusée par l’effet que ça donne. Elle a rarement autant ri que ce soir en couchant avec quelqu’un, mais ça n’a rien de péjoratif, c’est même plutôt plaisant en fait cette ambiance. Regagnant le lit elle se penche d’abord pour allumer la lampe de chevet, parce qu’elle a envie de le voir, puis se réinstalle au-dessus de lui, tandis que ses lèvres retrouvent les siennes un instant. « Mais je crois que la grosse luciole aimerait bien jouer à cache-cache maintenant. » Elle accompagne ses paroles de gestes et, à l’aide de sa main, guide le sexe de Kenneth à l’entrée du sien, soupirant de plaisir quand il s’y enfonce.
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Invité a posté ce message Dim 10 Fév 2019 - 17:21 #

La jeune femme me fait part quant à son espérance sur l’utilisation de mon sexe aussi efficacement que mes doigts. Je ne peux pas être à 100 % sûr de ça et j’en ris nerveusement, la crainte de la décevoir me dévorant de l’intérieur. Elle ne m’aide pas en lâchant qu’elle ne doute pas de moi, ça me fout une pression supplémentaire, et elle le capte vu qu’elle s’excuse dans la foulée. Je n’ai pas le temps de répondre que je me retrouve assis sur le lit. Agenouillée devant moi, elle s’occupe ensuite de ma virilité avec une main, puis sa bouche. Ses montées et descentes me font un effet fou et je sens le plaisir m’envahir. Appuyé sur mes coudes, je la préviens pour qu’elle se retire, sachant que certaines femmes n’apprécient pas le goût du sperme, mais à l’inverse, elle me prend plus profondément. J’éjacule à l’instant au fond de sa gorge et le souffle court, je mets un moment à rassembler mes esprits. Peut-être pas assez puisque je la remercie pour cet orgasme, avant de réaliser que c’est bizarre. Je pose mes lèvres contre les siennes pour qu’elle oublie mes propos, la relevant pour lui ôter sa culotte et la faisant venir s’installer sur moi, imposant dans la foulée des frottements entre nos sexes. Mes lèvres glissent dans son cou, puis parviennent à sa poitrine avec laquelle je joue. Elle caresse ma peau tout en continuant la friction entre nos entrejambes, ce qui me conduit à une nouvelle érection et elle fouille donc dans mon tiroir pour en sortir une boite de préservatif. Je m’installe mieux dans le lit, la demoiselle se replaçant sur moi et quand elle ouvre l’étui, elle pouffe de rire. Son interrogation me fait réaliser de quelle capote elle parle et je ris. « Tu n'aimes pas ça ? Je trouve ça drôle moi. » Ce n'est pas ce que j'ai dit la première fois que je les ai vues, lorsque mes potes m'ont ramené cette boîte, argumentant qu'il fallait que je me serve de mon sabre autant que possible. Autant dire que je ne les avais pas écoutés, la boîte étant encore quasi-pleine... Pas totalement, non. Un soir, j'ai voulu voir ce que ça donnait sur mon érection et j'avoue m’être bien marré en voyant mon sexe se colorer. Dans tous les cas, personne -hormis moi- peut savoir que je n'en ai pas utilisé à des fins sexuelles. Il n’y a pas longtemps encore, j’étais avec Ella et, après autant d’années de relation et de confiance, le préservatif n’était plus d'actualité -et malgré ça, on a rien fait-. Saisissant mon sexe, Noor installe la protection, puis se lève pour éteindre la lumière. Son rire raisonne dans la pièce et à mon tour, je ris aussi. « Je trouve mon sabre de Jedi plutôt beau, pas toi ? » Je le bouge en parlant, hachant mes propos par les bruits des sabres dans le film. Je ne suis clairement pas très sobre ce soir pour faire ce genre d’acte qui pourrait faire fuir une fille. Sauf que Noor, elle ne fuit pas, ça semble même l'amuser elle aussi. Si elle est allée éteindre la lumière, c’était pour mieux voir le résultat, une vision qui l'a conduite à rire. Ne dit-on pas femme qui rit à moitié dans ton lit ? Pour le coup, elle n'est pas qu’à moitié dans mon lit quand elle revient m'y rejoindre, allumant la lampe de chevet et se plaçant au-dessus de moi. Je lâche mon membre pour poser ma main sur sa nuque, prolongeant avec bonheur le baiser qu'elle m'offre, mais qu'elle m'enlève très vite pour parler de grosse luciole, la mienne, et la comparaison me fait rire. Un rire qui s’étouffe au moment où elle saisit mon sexe pour le positionner, et ce n'est finalement plus qu'un gémissement semi étouffé qui sort quand elle descend le long de mon sexe. La sensation me coupe le souffle, j'avais presque oublié à quel point c'est bon. Des frissons me parcourent l'échine lorsque ses fesses touchent le haut de mes cuisses, mon sexe niché jusqu'à la garde au fond du sien. Par automatisme, mes mains se posent sur ses hanches, l'accompagnant dans ses premiers mouvements de va-et-vient. Elle impose la première cadence et je suis, la regardant onduler des hanches, assise sur mon érection qui s'épaissis encore en elle. Je me mords la lèvre, une de mes mains remontant le long de sa colonne vertébrale, arrivant sur sa nuque et appuyant dessus pour qu'elle se penche. Mes lèvres capturent les siennes, ma langue se faufilant dans sa bouche, pour débuter un baiser langoureux et sensuel. Les mouvements de ses hanches continuent, nous forçant à séparer nos bouches pour haleter, nos regards se fixant et ne se lâchant pas une seule seconde. Nous faisant basculer pour me retrouver au-dessus, je lance la deuxième cadence par des mouvements un peu plus rapide. Nos corps sont complètement collés l’un contre l’autre, je sens son cœur battre contre ma poitrine et ma bouche reste toujours à quelques millimètres de la sienne, nos souffles s’entremêlant, tout comme nos langues à plusieurs reprises. On entend plus que nos respirations saccadées, nos gémissements, dans la pièce. Nos mains se cherchent, tout comme nos regards, et c’est dingue, mais cette connexion qui s’est mise en place entre nous est profonde, intense. Je le ressens tellement actuellement, je crois bien que je pourrais lui faire l’amour des heures entières rien que pour le ressentir encore.
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Invité a posté ce message Lun 11 Fév 2019 - 22:09 #

« Tu n'aimes pas ça ? Je trouve ça drôle moi. » Elle le regarde, un grand sourire franc et amusé sur les lèvres. « C’est drôle en effet, une fois comme ça pour essayer et rire. » En tout cas c’est sûr que ce soir ça la fera rire, c’est même déjà le cas, mais de là à en utiliser au quotidien, peut-être pas quand même. Ça doit être perturbant et ça doit déconcentrer de voir un pénis clignoter à chaque fois. Par contre elle est bien curieuse de voir ce que ça donne et, après lui avoir enfilé le préservatif, elle part éteindre la lumière. Gros éclat de rire quand elle ne voit plus rien d’autre que son sexe tout fluo dans la chambre. Heureusement il ne le prend pas mal, se marrant lui aussi. « Je trouve mon sabre de Jedi plutôt beau, pas toi ? » Et un nouvel éclat de rire qu’elle ne peut plus arrêter quand elle le voit bouger son sexe comme un sabre et qu’il accompagne tout ça du bruit qui va avec. Il est vrai que la comparaison marche vraiment bien. « Je dirais même magnifique. » Tellement qu’elle ne résiste pas plus longtemps à aller le voir de plus près. Assise au-dessus de lui, leurs langues se retrouvent, puis leurs rires finissent de s’évaporer complètement quand elle s’enfonce sur son membre, remplacés par des soupirs et des premiers gémissements. Il pose les mains sur ses hanches et elle se met à bouger, d’abord lentement, puis un peu plus vite quand il l’attire pour l’embrasser. Mais jamais elle n’accélère vraiment, juste ce qu’il faut pour qu’ils prennent assez de plaisir et peinent à retenir leurs gémissements. Elle veut prendre son temps, ne veut pas que ça se termine trop vite pour profiter de ce moment et de leurs regards accrochés l’un à l’autre. Elle ne saurait dire pourquoi mais elle n’a pas envie de lâcher ses yeux. Le faible rythme qu’elle impose finit par ne plus suffire et il les fait basculer, ses coups de reins plus rapides. Tout lui semble intense, pas un seul millimètre ne sépare leurs corps, leurs souffles se mélangent, leurs doigts, et leurs regards qui ne cessent de se rencontrer quand ce n’est plus leurs lèvres. « Plus vite Kenneth, s’il te plait. » Elle sent qu’elle ne va plus tenir longtemps et elle a envie qu’il la fasse jouir avec des mouvements plus rapides et plus profonds. Il s’exécute et elle gémit de plus en plus fort, jusqu’à ne plus pouvoir retenir un cri quand elle atteint l’orgasme et qu’il la suit aussitôt. Les sensations lui paraissent extraordinaires et elle a l’impression de planer. Ce n’est pas normal de ressentir tout ça avec un mec qui n’est qu’une aventure provoquée par l’alcool, ça ne devrait pas, elle va en vouloir encore et encore maintenant. « Oh merde. Je voudrais pas les vexer, mais en fait tes doigts sont pas au niveau. » Ils lui ont fait prendre son pied, énormément, mais ça ne vaut pas ce qui vient de se passer. Alors qu’il se retire d’elle, elle pose sa bouche contre la sienne, et la main sur son sexe pour lui enlever le préservatif, le nouer et le jeter vers la poubelle sans trop faire attention à ce qu’elle fait. Elle lâche ses lèvres pour voir où il atterrit, et évidemment ce n’est pas dedans. Le courage de se lever pour le ramasser, elle ne le trouve pas, et apparemment Kenneth s’en préoccupe peu. La fatigue lui tombe dessus comme un contre coup et c’est là qu’elle remarque à quel point le lit est effectivement vraiment très confortable. Son cœur reprend petit à petit un rythme régulier et ils n’ont le temps d’échanger que quelques mots avant de ne plus réussir à résister au sommeil.

***

Quand elle se réveille et ouvre les yeux, elle ne comprend pas tout de suite où elle se trouve. Ce n’est pas sa chambre et ce n’est pas non plus une chambre qu’elle connait. C’est le morceau de batterie qui se joue dans sa tête qui lui rappelle sa soirée. Elle a bu, vraiment beaucoup, et a fini dans le lit de Kenneth, ce presque inconnu qu’elle venait tout juste de rencontrer au bar. C’était une folie, complètement, même si elle n’a pas oublié ce qu’ils ont vécu, loin de là même, et qu’elle n’arrive pas à regretter tout ça. D’un coup d’œil sur le côté elle le voit toujours endormi paisiblement et c’est donc en prenant soin de ne pas le réveiller qu’elle sort du lit. Elle n’a pas l’intention de partir comme une voleuse, ce n’est pas son genre, et peut-être parce qu’elle a encore envie de lui parler aussi, mais elle a vraiment besoin d’un cachet. C’est mal de fouiller chez les gens, surtout ceux qu’on connait à peine, elle s’excusera, mais la douleur est trop désagréable. Alors qu’elle enfile sa culotte, son regard passe rapidement sur la poubelle, puis cherche sa robe, puis revient sur la poubelle, ou plutôt à quelques centimètres, et s’y arrête. Son cœur rate un battement face à ce qu’elle voit et elle s’en approche pour s’accroupir devant. Le préservatif qu’elle a lancé à côté cette nuit est bien là, traînant au sol, mais pas dans l’état où elle aurait voulu le trouver. Ne pas paniquer, ne pas paniquer, ne pas paniquer. Impossible, elle panique totalement. Elle ressent le flux de son sang qui pulse dans ses veines, la chaleur qui monte dans tout son corps et penser au fait qu’elle doit le dire à Kenneth lui met un coup de stress monstre supplémentaire. Elle ne sait absolument pas comment gérer ça et dans sa tête les pensées fusent. Elle a déjà l’impression que son crâne va exploser à cause de la gueule de bois, ça devient dix fois pire. Alors elle essaie de se rassurer comme elle peut. Elle pourrait tomber enceinte, mais elle prend la pilule et ne la loupe jamais. Ils pourraient tous les deux avoir une maladie, mais elle s’est fait contrôlée une fois et elle n’a jamais pris aucun risque dans ses relations. Elle n’imagine pas non plus Kenneth être de ce genre-là. Ça ne réduit pas les risques à néant, chez l’un comme chez l’autre, mais elle tente de se calmer comme elle peut. Ouais, tout va bien se passer. Tout va bien se passer hein ? Du bruit provenant du lit derrière elle la sort de ses pensées et elle l’entend se réveiller. Pendant plusieurs secondes elle reste accroupie à côté de la poubelle, à écouter ses mouvements. Elle aurait voulu avoir le temps de réfléchir à la meilleure façon d’annoncer un truc pareil mais elle ne l’a pas et l’angoisse la fait se précipiter. Elle se relève brusquement et à peine retournée vers lui, les mots sortent à toute vitesse, presque incompréhensibles. « Elle a pété. » C’est tout ce qui vient, une main relevée, le préservatif qui pend au bout de ses doigts, et son bras libre posé sur sa poitrine pour la cacher. Même s’ils viennent de passer la nuit ensemble, rester tranquillement les seins à l’air la mettrait mal à l’aise. Les yeux fixés sur Kenneth elle déglutit bruyamment. Il faut qu’il parle, s’il ne le fait pas sa respiration ne va pas repartir et elle va s’évanouir à cause du manque d’air. Ou elle abuse peut-être un peu, mais à cet instant précis c‘est comme ça qu’elle se sent.
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Invité a posté ce message Mer 13 Fév 2019 - 1:39 #

Je rêve ou elle vient vraiment de complimenter la beauté de mon sexe ? Je ne sais pas si c’est seulement pour flatter mon ego ou si elle le pense réellement, mais je vais partir sur la deuxième option. Elle me fait bien plus plaisir. Je n’ai toutefois pas le temps d’y réfléchir plus longtemps, la demoiselle venant s’installer à califourchon sur moi, ainsi que sur mon membre sur lequel elle descend doucement. Les premiers gémissements se font entendre, suivis par les premiers mouvements de bassin de la brune. Posant mes mains sur ses hanches, je l’accompagne dans un premier temps, lui laissant totalement les commandes. Elle semble bien plus expérimentée que moi, ou du moins, je suppose qu’elle l’est vu le peu d’expériences que j’ai de mon côté, alors je me contente de suivre. Jusqu’à ce qu’on ne puisse plus supporter autant de lenteur dans le rythme des va-et-vient et que je nous fasse basculer pour être au-dessus. Mon bassin bouge un peu plus rapidement, mon érection allant et venant en elle, pendant que nos souffles et nos doigts se mêlent. C’est bon, j’aime tellement cette montée de plaisir qui m’envahis, j’aime tellement l’entendre gémir. Elle me demande d’accélérer et je sens sa respiration prendre un rythme encore plus saccadé lorsque je mets sa requête à exécution. Mes coups de reins se veulent plus puissants, plus intenses, autant que ses gémissements qui ne font que monter, grandir, se culminant par un cri et son intimité qui se resserre autour de mon membre. « Oh, bon sang, Noor. » Je jouis à mon tour, me laissant aller dans la protection sans me retenir ne serait-ce qu’un peu. Comment ai-je fait pour me passer de ça pendant de si longs mois ? De plus, je suis toujours en forme à priori et j’en ris légèrement. « Ça va, ils ne t’en veulent pas. » Pas du tout même. Une fois toute ma semence répandue, je me retire d’elle. J’halète toujours quand elle pose sa bouche contre la mienne, ma langue ne résistant pas à caresser ses lèvres, tandis qu’elle m’ôte d’une main le préservatif pour le balancer vers la poubelle. Je ne regarde même pas si elle a bien visé, la fatigue étant trop dominante et je bascule à ses côtés, m’affalant sur le dos. Je ne sais pas vraiment si elle s’endort directement, ou si elle fait autre chose, mais moi, je rejoins les bras de Morphée immédiatement.

***

C’est de légers bruits dans la chambre qui me réveille. J’ouvre un œil et j’ai l’impression que ma tête va exploser. Bon dieu, qu’est ce que j’ai foutu hier soir ? Tant bien que mal, je parviens à m’asseoir dans le lit, découvrant ma nudité apparente. Ainsi qu’une fille accroupie près de la poubelle, en petite culotte. Ok... Je n’arrive pas à me rappeler de qui il s’agit, pas avant qu’elle se retourne et que je découvre son visage. La fille du bar, Noor. Qu’est-ce qu’elle fout là ? On aurait... Couché ensemble ? Pas le temps de le lui demander qu’elle me parle. Elle a pété ? Qui, elle ? De quoi elle... Oh merde ! À l’évidence, on a couché ensemble. « Elle a... Quoi ? T’es sûre ? » Évidemment qu’elle en est sûre, elle ne pourrait pas faire une blague là-dessus. Il faut que je réfléchisse avant de poser des questions parfois moi, notamment lorsqu’une montée de stress s’empare de mon calme légendaire. Mes yeux se posent alors sur le préservatif qu’elle tient du bout des doigts, découvrant clairement et très nettement qu’elle a raison. Elle a explosé et, visiblement, en plein acte. « Ce n’est pas possible... » Je me lève, nu, et marche un peu dans ma chambre, une main passant dans mes cheveux. Complètement plongé dans mes pensées, ce n’est qu’un court instant plus tard que je réalise que je suis toujours nu comme un ver, et que Noor a les seins à l’air. Une vision qui semble plaire à ce que j’ai entre les jambes, mince. Je récupère mon boxer au sol et l’enfile rapidement, avant de passer mon t-shirt à la jeune fille, histoire qu’elle puisse couvrir cette partie de son anatomie que je semble avoir bien apprécié durant cette nuit, à en juger les marques rougies autour de ses tétons. C’est la première fois que je constate de telles marques, l’alcool me rendrait-il plus fougueux et passionné ? Étrangement, je ne tiens pas à tester pour le savoir. Lorsque je lui tends mon haut, je remarque qu’elle est dans un état de stress pas possible elle aussi, sa respiration étant plutôt difficile. Ok, il faut que j’arrive à la calmer, il ne faudrait pas qu’elle s’écroule ici, j’aurai bien l’air con. « Regarde-moi, Noor... Respire, inspire. » Je tente de la canaliser, à faire en sorte qu’elle respire avec plus de régularité, alors qu’au plus profond de moi, je panique complètement. Et si elle tombait enceinte ? Non, non, non, je ne suis pas prêt à être père, je n’ai même pas encore l’âge légal pour boire dans un bar, nom de Dieu. Je n’ai même pas encore fini mes études, vous imaginez le drame si je ramène un gosse à la maison familiale ? Le pire serait quand même une maladie sexuellement transmissible... Est-ce qu’elle se protège toujours ? A-t-elle une maladie ? Je n’ai même pas la réponse à ça, elle est une inconnue pour moi. Est-ce que j’ai vraiment fait ça ? Est-ce que j’ai vraiment couché avec une fille alors que je ne connais que son prénom -et sa passion pour l’aventure- ? Ça ne me ressemble tellement pas... Mais qu’est-ce que j’ai foutu ? Pourquoi ai-je été aussi imprudent ? Ça me travaille, le sentiment d’avoir fait une énorme connerie me ronge, et je me pose sur le bord du lit, plaçant ma tête entre mes mains. Ne pas paniquer, respirer et se calmer. C’est ce que j’essaie de passer en boucle dans ma tête. Il n’y a qu’une seule façon pour ôter les doutes de mes pensées, l’interroger. Je relève donc la tête vers la jeune femme, captant son regard. « Noor, est-ce que tu prends la pilule ? » Pitié, faites qu’elle me dise oui, ça augmenterait le pourcentage de non-fécondation et donc, un peu plus de chance de ne pas avoir de gosse maintenant. « Tu t’es toujours protégé ? Tu peux m’affirmer que t’es clean ? » Ça fait limite interrogatoire, une énorme intrusion dans son intimité, mais je ne vois pas comment faire autrement. Et puis, la pénétration de son intimité, je l’ai fait hier soir alors bon... Mais merde, pourquoi je pense à ça moi ? Ce n’est pas le moment, vraiment pas.
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Invité a posté ce message Jeu 14 Fév 2019 - 1:28 #

« Elle a... Quoi ? T’es sûre ? » On ne peut plus sûre. Elle vient d’observer cette capote sous tous les angles pendant plusieurs minutes, comme si c’était une œuvre d’art à analyser. Et son analyse elle est formelle, pétée. « Ce n’est pas possible... » Oh ça l’est si, elle peut le confirmer maintenant. Malheureusement. Le genre de truc qui ne peut pas lui arriver et n’arrive qu’aux autres qu’elle s’était toujours dit. Faut vraiment pas avoir de chance, ou y aller comme une brute pour que ça arrive, etc. Visiblement non. Si seulement ils avaient inventé les préservatifs increvables, mais faut croire que c’est comme les collants qui ne filent pas, impossible. Et quand elle y pense, c’est un truc qui revient souvent que les préservatifs fluo, niveau sécurité, se situent plutôt vers le rayon collants bas de gamme. Ce qui devait être un truc pour rire se transforme en la pire des idées. Son attention se repose sur Kenneth, qui s’est levé du lit et fait des allers-retours, nus. Malgré la situation elle peine à ne pas baisser les yeux sur son sexe et ses fesses en train de sa balader devant elle, elle n’est qu’humaine après tout, et forcément attirée par cette vision. Elle reprend ses esprits en le voyant récupérer son boxer, l’enfiler, et venir vers elle avec son t-shirt pour lui donner. C’est vrai qu’elle est toujours à moitié nue elle aussi et que ce n’est pas la meilleure tenue pour une discussion sérieuse. « Regarde-moi, Noor... Respire, inspire. » Ses mots lui font réaliser qu’elle est dans un état catatonique, ses gestes sont automatiques, son cerveau s’est mis sur off. Elle prend donc une grande inspiration, essayant de se détendre, de prendre du recul et de ne pas voir tout ça de façon plus grave que ça ne l’est en réalité. Mais observer Kenneth ça ne l’aide pas du tout. Assis sur le lit, la tête dans les mains, il a l’air de se sentir vraiment mal, ce qui est normal, il a toutes les raisons d’être dans le même état qu’elle, ça la fait cependant se sentir de plus en plus coupable. « Noor, est-ce que tu prends la pilule ? » Le regard perdu, elle le tourne vers lui en le voyant relever le sien et en entendant sa voix. « Oui, oui, tous les jours, à heure fixe, jamais un oubli, comme il faut. » Elle répète machinalement, plus pour elle-même que pour lui, lui se fout surement de ces détails, un oui lui aurait certainement suffit, il veut juste savoir s’il ne risque pas d’avoir fait un enfant à une inconnue qui n’utilise pas de contraception. Mais elle le fait, elle visualise même sa plaquette de pilules, pas un oubli non, elle déconne pas avec ça. « Tu t’es toujours protégé ? Tu peux m’affirmer que t’es clean ? » Sur ça aussi elle est sérieuse, elle a jamais pris de risques, mais elle ne peut rien affirmer, elle se trouverait malhonnête de faire ça. « Toujours. Aux dernières nouvelles je le suis. Mais le risque zéro existe pas. » Il est faible cela dit, ça elle en presque certaine et c’est la seule chose grâce à laquelle elle réussit un minimum à se calmer et à se dire qu’il n’y a rien de grave, mais ils pourraient vraiment avoir la poisse jusqu’au bout. Elle qui n’est pas née sous la meilleure des étoiles, qui sait ce qui pourrait encore lui tomber dessus. « T’es sérieux aussi là-dessus hein Kenneth ? » Elle aussi elle a besoin d’être rassurée. Le contraire l’étonnerait, mais les apparences peuvent être trompeuses, elle ne le connait pas au fond. Les minutes passent et font leur effet, elle commence à prendre un peu de recul, à s’apaiser et à réfléchir à nouveau d’une façon un peu plus lucide. Alors elle bouge enfin et ramasse sa robe, qu’elle n’enfile que jusqu’à sa taille, comme une jupe, puis elle se tourne à nouveau vers Kenneth. « Je suis désolée, je… je devrais rentrer chez moi. » C’est surement la meilleure chose à faire, elle ne veut pas le déranger plus longtemps, elle en a déjà assez fait. Tout ça c’est de sa faute, elle n’aurait pas dû le tenter de rester avec elle au bar alors qu’à la base il avait envie de partir rapidement, elle n’aurait pas dû boire autant, n’aurait pas dû le laisser boire autant, pas dû non plus repartir avec lui, oublier son adresse, le draguer. Elle avait fait un tas d’erreurs hier soir et elle l’avait mis dans la merde. Quelle conne. « Pardon, sincèrement. » Son regard plonge dans le sien, elle espère qu’il voit qu’elle l’est, sincère. Elle enfile ensuite ses escarpins et s’avance vers la porte de la chambre. Avant de sortir elle se tourne encore une fois vers lui. « A part le… » Elle laisse sa phrase en suspens, le regard fuyant. Elle trouve ça encore gênant et difficile d’en parler, parce que la culpabilité la ronge. Mais elle finit par poser les yeux sur lui après quelques secondes de silence. « J’arrive pas à regretter. » Elle a envie d’être honnête, elle a aimé sa soirée et sa nuit avec lui, énormément, et elle est déçue, peut-être même triste, que ça se termine de cette manière-là. Puis elle quitte finalement la chambre, récupère ses affaires dans l’entrée, enfile son manteau et ouvre la porte pour sortir de l’appartement, la clé étant restée sur la porte. Une fois dehors elle se hâte de faire signe à un taxi et lorsqu’elle y entre elle s’affale littéralement sur le siège en soupirant bruyamment. Ses yeux descendent sur son ventre et elle remarque qu’elle porte toujours le t-shirt de Kenneth. « Merde. » Visiblement elle n’avait pas l’esprit encore tout à fait assez lucide pour se rendre compte de ça avant.
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