i don't want this to end /blani (fb)

« Ça ne me dérange pas, tant que nous sommes heureux, c'est l'important non ? » C’est tout ce qui importe, oui. On met trop souvent de côté notre bonheur, oubliant les petites choses de la vie qui peuvent faire sourire. Un sourire, ce n’est pas grand-chose et malgré ça il peut signifier tant de choses, à commencer par le bonheur qui envahi une personne. Rester enfermé pendant cinq ans derrière des barreaux, ne pas voir le monde comme on le souhaiterait, ça aide à voir la vie autrement. Bien qu’altruiste depuis des années, je le suis d’autant plus devenu une fois sorti de prison. J’ai pris conscience que la vie est nettement plus courte que ce qu’on s’imagine et que le bonheur de mes proches comptera plus que le mien. Mais il compte malgré tout et si je peux être heureux je sais que c’est avec elle. J’ai encore peur de lui faire du mal, de ne pas contrôler la situation, néanmoins une journée comme celle-ci je pourrais en vivre jusqu’à la fin de ma vie. Cette simplicité et cette complicité entre nous suffisent à me mettre de bonne humeur et à croire à des lendemains heureux et bien moins compliqués que ce que j’imagine sans arrêt. Ceci dit, n’ayant pas organisé ce type de soirée – et journée –  depuis des lustres, j’ai tout de même envie de savoir ce que Dani en pense. « Tu t'y prends merveilleusement bien babe. » Rassuré et heureux de l’entendre dire ça, je lui confie mon ressenti sur la journée, sur le plaisir que ça a été pour moi de la voir avec les garçons et plus particulièrement avec Mael. Je vais sans doute un peu loin en parlant de son futur rôle de mère toutefois j’aime être sincère avec elle. Et si je dois être franc, je n’aurais rien contre l’idée de fonder ma propre famille avec Dani. Elle est de loin la femme la plus parfaite à mes yeux et je sais que je n’aurais jamais envie de penser à mon avenir avec une autre. « Je ne comprends même pas ce que j'ai fait pour qu'il s'attache aussi rapidement à moi. Mais c'est très gentil ce que tu dis, j'espère pouvoir vivre tout cela un jour. » Je repose ma main sur la sienne et en caresse le dos. C’est de la gentille, certes, mais c’est également ce que je pense. « Tu n’as pas besoin de faire quoi que ce soit. Mael … il a été témoin du meurtre de sa mère ce qui, tu t’en doutes, l’a traumatisé. Il ne parlait à personne lorsqu’il est arrivé au foyer. Jazz c’est la seule à avoir pu l’approcher, il s’est ouvert avec elle. Il est très empathique comme petit garçon et il arrive à sentir lorsqu’une personne est digne de sa confiance. Faut croire que tu tapes en plein dedans. » Ce qui ne me surprend même pas. Dani est la bonté incarnée. Du moins, elle l’est avec moi et je suppose que c’est ce que Mael a vu en elle. « Et tu feras sans aucun doute un père merveilleux dans le futur. T'es incroyable avec les enfants. » C’est un rôle que j’accepterai … dans le futur. Pour le moment j’ai pas mal de choses à régler avant d’en arriver là. Je n’ai jamais eu à me plaindre de mes propres parents. Ma mère est une sainte, mon père un homme aimant. Même mon beau-père m’a toujours aimé comme un fils. J’espère être leur hauteur un jour. « A défaut d’en concevoir maintenant, on devrait se concentrer plus souvent sur la pratique … tu sais pour être certains d’en avoir des parfaits à l’avenir. » Un nouveau pas vers l’acceptation, vers ce couple qu’elle veut que nous formions officiellement. J’y avance doucement mais me projette sans trop de mal, probablement parce que c’était déjà le cas avant la prison.

« Tu n'as pas besoin de faire quoi que ce soit. Mael … il a été témoin du meurtre de sa mère ce qui, tu t'en doutes, l'a traumatisé. Il ne parlait à personne lorsqu'il est arrivé au foyer. Jazz c'est la seule à avoir pu l'approcher, il s'est ouvert avec elle. Il est très empathique comme petit garçon et il arrive à sentir lorsqu'une personne est digne de sa confiance. Faut croire que tu tapes en plein dedans. » Ça me touche vraiment d'avoir réussi à interagir avec Mael. Il n'a pas eu une vie facile et si je peux réussir ne serait-ce qu'à lui apporter un peu de bonheur, je suis contente d'avoir pu le faire. Pour ma part, j'ai eu beaucoup de chance avec ma mère qui a toujours été présente pour moi - bien que trop présente même, mais je ne m'en plaint plus vraiment - et Mark qui m'a toujours élevé comme si j'étais sa fille. Je ne peux pas véritablement comprendre ce que c'est de vivre une enfance malheureuse, je suis loin d'avoir vécu cela, mais rien ne m'empêche d'être empathique avec ceux qui n'ont pas eu beaucoup d'amour dans leur vie et de leur donner le maximum que je peux pour qu'ils se sentent apprécier au moins le temps d'une journée. Je sais aussi que cette cause est très importante pour Blake et sa mère que j'ai toujours appréciée et c'est aussi quelque chose qui me tient beaucoup à coeur. Des enfants orphelins ce n'est jamais bien joyeux et je n'ose même pas m'imaginer comment ils peuvent se sentir dans leur petit coeur d'être laissé à eux-mêmes de la sorte. « Contente d'avoir été suffisamment digne de sa confiance alors. On retournera les voir hein? » Je souris sincèrement à Blake. Il faut croire que je me suis déjà attaché à ses gamins et j'aimerais bien retourner les voir si c'est possible évidemment. Je sais qu'il ne faut pas trop les brusquer, mais peut-être que la mère de Blake acceptera - d'ailleurs je me demande si je vais pouvoir la revoir bientôt, je me suis toujours bien entendu avec la mère de Blake, mais j'imagine que je dois laisser les choses aller avant de refranchir cette étape. « A défaut d'en concevoir maintenant, on devrait se concentrer plus souvent sur la pratique … tu sais pour être certains d'en avoir des parfaits à l'avenir. » Il cherche clairement à me faire perdre complètement la tête. Ne pas être prêt à être en couple c'est une chose, mais me parler de futurs enfants, ça a le don de faire battre mon coeur à cent mille à l'heure puisque j'ai toujours su que Blake serait toujours la seule personne avec qui j'en voudrais et je ne savais pas que c'était réciproque. « Oh oui, beaucoup de pratique si on veut être vraiment certains d'avoir les enfants parfaits. Quoiqu'avec leur père, ça ne sera pas trop difficile.. » Un petit clin d'oeil en direction de mon beau brun puis je souris avant de penser qu'encore une fois il parle de sexe, de pratiquer pour concevoir les enfants parfaits. Je ne peux pas demander mieux que ce moment et savoir qu'il pense à notre avenir ensemble même si cela peut sembler étrange ou trop rapide, juste de savoir qu'il veut vivre toutes ces magnifiques expériences avec moi, ça me rend heureuse. Les repas déjà commandés, le serveur revient avec la bouteille de vin et verse dans nos deux coupes avant de nous laisser une nouvelle fois. Mes yeux refusent de quitter ceux de Blake. Passant ma langue sur mes lèvres un instant, je lève mon verre et le regarde avec autant d'étoiles dans les yeux. « À toi et ce rencard plus-que-parfait. » Je cogne mon verre doucement sur le sien et trinque donc avec lui, prenant une gorgée de ce délicieux vin.

CODAGE PAR AMATIS | @BLAKE DANVERS

J’ignore la raison pour laquelle j’ai autant paniqué à l’idée de passer cette journée et surtout cette soirée avec elle. Tout se fait aussi naturellement que par le passé, comme si nos anciennes habitudes revenaient tranquillement s’installer entre nous. Nous avons été en couple pendant tant d’années que je n’ai pas oublié les petites choses qu’elle aime ou, au contraire, ce qu’elle n’aime pas. Passer du temps avec Dani c’est du plaisir, ça l’est sans arrêt. Elle me donne le sourire et me donne envie de me dépasser encore et encore. Il n’y avait pas la moindre raison de m’inquiéter de quoi que ce soit. « Contente d'avoir été suffisamment digne de sa confiance alors. On retournera les voir hein ? » Jamais je n’aurais douté qu’elle soit digne de confiance, dans le cas contraire je ne l’aurais pas emmené voir les garçons, je n’aurais jamais pris ce risque. Leur bien-être compte bien trop pour que je les mette dans une situation délicate, quelque soit cette situation. « Bien sûr ! De toute manière et les connaissant, ils vont demander à te revoir. Ça leur fait du bien en plus. » Voir du monde, sortir, avoir l’impression d’être des enfants et des adolescents normaux en fait. Ils le méritent après tout ce qu’ils ont vécu et c’est à ça que veillent leurs éducateurs, ma mère ou bien moi lorsque je le peux. Mais pour aujourd’hui je préfère mettre ça de côté et me focaliser uniquement sur Dani ainsi que sur ce que nous réserve le reste de la soirée. « Oh oui, beaucoup de pratique si on veut être vraiment certains d'avoir les enfants parfaits. Quoiqu'avec leur père, ça ne sera pas trop difficile... » Je vois bien que malgré son clin d’œil mes propos ont eu un certain effet sur elle. Il faut admettre que me projeter autant dans le futur il y a de quoi la surprendre. Même ensemble, avant cette histoire de prison, jamais je n’aurais pris le risque de parler d’enfants. Cela dit j’ai grandi depuis et j’arrive à un âge où, oui, je commence à y penser … probablement parce que ma mère tente de me glisser son envie d’être grand-mère aussi discrètement que possible et que mon neveu m’a donné envie d’avoir moi aussi ma propre famille. « Leur mère est vraiment très bien foutue aussi … rien que pour ça faudra peut-être envisager plusieurs enfants. » Je prends un air pensif, jouant le gars qui ne parle pas de ça exprès pour la faire réagir mais c’est ce que je fais. J’aime la taquiner, j’aime aussi lui faire un certain effet et … c’est vrai que l’image de Dani enceinte de mes enfants n’est pas dérangeante du tout. Nos verres remplis de vin rouge, le serveur reparti aussi vite qu’il est arrivé, nous levons nos verres ensemble. « À toi et ce rencard plus-que-parfait. » Nous trinquons, buvons une gorgée sans nous quitter des yeux. « Je dirais aussi à tous ces futurs rendez-vous avec une femme parfaite. » J’ajoute après avoir avalé une excellente gorgée de notre boisson. « J’ai faim mais très franchement, j’ai bien envie qu’on dîne vite pour rejoindre l’hôtel. » Incapable de me tenir, incapable de cacher mon regard plus que taquin, je m’enfonce contre le dossier de ma chaise et fixe le haut de sa poitrine en tâchant déjà d’imaginer le reste de sa lingerie.

Toute cette journée me semble tellement officielle. J'ai l'impression d'avoir fait un bon dans le temps, d'être encore cette jeune femme insouciante qui croyait au bonheur absolu et surtout à l'amour éternel. La journée que j'ai compris que Blake était plus qu'un simple ami, que je ressentais bien plus que de l'amitié pour lui, j'ai compris par la même occasion qu'il serait toujours le seul à faire battre mon coeur aussi fort. Le premier amour c'est toujours comme ça. Un sentiment tellement intense qui peut durer toute une vie et pourtant du jour au lendemain, tout se termine quelques instants. Avec Blake j'ai tout vécu. Mon premier baiser, la première personne avec qui j'ai fait l'amour, la première personne - et la seule - que j'ai aimé, mais il est aussi le premier à m'avoir brisé le coeur. Jamais je n'aurais pensé qu'après toutes ces années, je serais assise devant lui dans un magnifique restaurant où la seule chose qui m'importe est son regard dans lequel je me perds à chaque fois et surtout, que ce sentiment encore tellement fort serait toujours présent. Évidemment, tout ce qui l'intéresse et tout ce qui est important pour lui l'est pour moi. Je fais beaucoup d'efforts pour accepter son mode de vie allant jusqu'à San Francisco pour être présente pour les matchs les plus importants de sa saison. Visiter les orphelins avec lui, découvrir une autre partie de son monde que je connaissais un peu moins, je ne peux pas demander mieux. D'autant plus que les gamins ont eu l'air de m'aimer. « Bien sûr ! De toute manière et les connaissant, ils vont demander à te revoir. Ça leur fait du bien en plus. » Je ne demande que ça moi aussi. Qu'ils demandent à me revoir et qu'ils aient passés une belle journée avec nous. À voir leurs sourires lorsque nous avons quittés la maison je n'ai pas trop de doutes là-dessus. La main de Blake posé sur la mienne, il caresse le dos en ne quittant pas mes yeux du regard, ce qui, je l'admets, a tendance à me déconcentrer énormément, mais pas ce soir. Pas alors que tout est parfait. « Tant mieux, l'important c'est qu'ils soient heureux, qu'ils sentent qu'ils sont appréciés surtout. » J'imagine qu'il n'y a rien de pire dans la vie que de savoir que nous ne sommes pas appréciés à notre juste valeur. D'être laissé à soi-même et de ne plus avoir personne sur qui compter. C'est important de savoir que quelqu'un dans le monde nous aiment et nous supportent et si je peux apporter un peu de joie à ces enfants, je vais le faire. « Leur mère est vraiment très bien foutue aussi … rien que pour ça faudra peut-être envisager plusieurs enfants. » Un large sourire apparaît toujours sur mon visage. Plus parfait que ça, je ne pense honnêtement pas que cela existe. Blake il a ce don de me faire fondre complètement en mentionnant notre possible futur ensemble tout en parlant par la même occasion de sexe, ce qui me donne encore une fois, très envie d'aller dans cette chambre d'hôtel dans l'immédiat. Je me concentre pourtant beaucoup sur cette conversation qui me surprend, mais me fait plaisir, je l'admets. « Oui parce qu'il doit y en avoir un qui te ressemble.. et au moins un autre qui me ressemble.. Un garçon et une fille et peut-être d'autres enfants parfaits qui sait.. » Je ne pensais pas avoir cette conversation avec lui un jour. D'autant plus qu'en ce moment nous ne sommes même pas officiellement un couple. Ma mère ne sait même pas que je le revois. Ce n'est pas parce que j'ai honte de lui, bien au contraire, j'aimerais le dire à tout le monde qu'il est à moi. Je n'ai simplement pas envie qu'elle s'excite pour un rien si jamais il n'y a rien de plus qui arrive entre Blake et moi. « Je dirais aussi à tous ces futurs rendez-vous avec une femme parfaite. J’ai faim mais très franchement, j’ai bien envie qu’on dîne vite pour rejoindre l’hôtel. » Futurs rendez-vous et femme parfaite, c'est ce qui me fait du bien à entendre. Mes doigts s'enlacent entre les siens et comme pour lui faire comprendre tout ce bonheur qui m'envahit, je serre doucement sa main avant de mordre l'intérieur de ma lèvre pour retenir ce désir qui brûle encore en moi. « À nos prochains rendez-vous aussi alors.. » Je souhaite intérieurement que le temps d'attente pour nos plats ne sera pas interminable. Surtout que j'ai bien envie d'un peu de chocolat avant d'aller profiter de ce magnifique homme à l'hôtel qu'il a réservé. « Je propose donc qu'on mange très rapidement et que tu me ramène à l'hôtel. Cette lingerie n'est plus très confortable.. » Dis-je simplement et pas si innocemment que cela. J'en veux plus moi aussi. Ce n'est pas parce que nous avons des discussions un peu plus sérieuse à propos de nous que je ne peux pas m'amuser un peu avec lui. Je souris en voyant qu'il admire ma poitrine sans pouvoir détacher leurs yeux de là. « Surtout que tu sembles déjà admirer le spectacle. »

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« Tant mieux, l'important c'est qu'ils soient heureux, qu'ils sentent qu'ils sont appréciés surtout. » Je ne peux pas être plus en accord avec ce qu’elle me dit que je ne le suis. De toute manière nous sommes souvent sur la même longueur d’onde, c’est l’une des nombreuses choses que j’apprécie dans notre relation. Des désaccords nous en avons et nous en aurons toujours, c’est ce qui pimente une relation – amicale comme amoureuse – mais l’altruisme c’est quelque chose qui nous connait. Nous le sommes probablement autant l’un que l’autre. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous nous sommes aussi bien entendus dès gamins. Mais qu’elle apprécie déjà les garçons autant que je les aime – ou presque – ça me fait l’aimer plus encore. Parce que oui, cette femme je l’aime. Je n’ai jamais cessé de le faire, j’ai simplement peur de l’avouer et de tout briser une fois encore. Petit pas à petit pas, ça me semble être une bonne idée mais ça ne change en rien mes sentiments pour elle et le fait que je sois prêt à me plier en quatre pour cette belle brune. Ce n’est pas pour rien, après tout, que j’en viens à parler d’enfants avec elle. Certes ce n’est réellement pas pour tout de suite mais je mentirais si je disais ne pas l’envisager et l’espérer. Tout comme j’espère la garder auprès de moi et ne pas avoir à tout arrêter de crainte de la briser – peut-être même littéralement. « Oui parce qu'il doit y en avoir un qui te ressemble.. et au moins un autre qui me ressemble.. Un garçon et une fille et peut-être d'autres enfants parfaits qui sait.. », « J’aimerais bien avoir que des filles … que des petites princesses. » Les garçons c’est chiant et si je dois en plus leur interdire de commettre les erreurs que j’ai moi-même fait j’aurais l’impression d’être le père le plus hypocrite de la planète. Alors que des filles ? Je pourrais les protéger et faire fuir leurs prétendants simplement parce que j’aurais ce pouvoir. Oui, ça m’emballe bien comme idée, surtout si elles sont aussi belles que leur mère … ça va m’en donner du travail ! Même si ce n’est pas pour tout de suite, l’idée de nous perfectionner dans la conception devient plus tentante que notre repas malgré mon estomac qui s’éveille de plus en plus. « À nos prochains rendez-vous aussi alors.. Je propose donc qu'on mange très rapidement et que tu me ramène à l'hôtel. Cette lingerie n'est plus très confortable.. » Je ris et pourtant il n’y a rien d’amusant. Disons que j’imagine que ça sera en effet plus confortable pour elle lorsque je lui aurais retiré tout ce tissu parfaitement inutile. Et au regard probablement très envieux que je pose sur elle, Dani doit se douter de mes pensées impures. « Surtout que tu sembles déjà admirer le spectacle. » Mon sourire s’élargit. Mon regard remonte vers son visage et je confirme d’abord d’un mouvement de la tête. « Je t’admirerai même dans mes vieux jours. » Même lorsqu’on sera deux râleurs je la trouverai magnifique, je n’en doute pas. Mais pour l’instant c’est jeune et en forme que je veux profiter d’elle et il me tarde déjà la fin de ce repas.