Depuis mon annonce à Markus, ma vie est parti en miette sans comprendre comment j’ai tout perdu en un instant non seulement j’ai découvert que je portais un enfant, mais le père de celui-ci a pris ses jambes à son coup prenant bien le soin de ne donner aucune nouvelle cette absence et ce silence a été pour moi claire et direct, je suis à nouveau célibataire. Mais les choses ne s’arrêtent pas là alors que je pensais être à l’abri, j’ai perdu mon emploi la cause ? Une restriction du personnel, je me retrouve donc dans une situation qui ne me permet pas de faire ce que j’ai envie, mais j’avance comme il m’est possible de le faire. J’ai déposé mon préavis concernant mon logement et par chance mon père accepte de me reprendre pour la troisième fois à condition que je sois partie avant que le bébé n’arrive. Il me reste donc huit mois pour trouver un emploi, un appartement et reconstruire des fondations stables pour accueillir l’amour de ma vie. J’ai postulé dans un tas d’endroits et pour le moment, je n’ai pas de réponse mon curriculum vitae est bien remplit alors je sais déjà que je vais avoir du mal à trouver un poste qui me correspond et qui convient à mon niveau salarial. Quoi qu’il en soit ma vie actuelle n’a rien d’amusante, je tente de garder la tête hors de l’eau tout en évitant d’autre vague qui pourrait me noyer. C’est pourquoi, je me retrouve dans les quartiers du Bronx quartier que j’évite absolument, mais une place d’avocate est disponible. Je sais parfaitement que cette boite ne conviendra pas, mais j’ai tout de même décidé de m’y rendre. Mon rendez-vous, c’est parfaitement bien passer et j’ai obtenu le poste qui clairement me paiera moins que mon salaire précédent, mais c’est toujours mieux que rien… J’étais sortie tard du bureau de mon futur patron qui semble être un homme bon et juste la nuit était déjà bien tomber alors je tentais de me faire discrète sur les trottoirs de ce secteur tout en essayant d’attraper un taxi, mais aucun ne s’arrêtait alors j’ai marché de longue minute tournant clairement en rond avant de tomber sur un homme bien plus grand et plus costaud que moi. Je me suis excusé, j’ai tenté de m'éloigner, mais je me suis bien rapidement retrouvé dans cette ruelle contre ce mur. Mur qui est encore présent contre mon dos, je ressens le crépi de la façade griffer ma peau, mes joues sont remplies de larmes qui coulent comme une cascade. Je suis prise au piège par la force de cette inconnue qui a décidé de faire de moi une simple victime. Je me débats comme je peux et je parviens à lui envoyer mon pied entre les jambes chose qui le fait reculer, je ne cherche pas à comprendre et je cours tentant une fuite rapide, mais je ne suis pas assez rapide étant donné qu’il me rattrape et me frappe à plusieurs reprises au visage, je sens ma lèvre exploser sur ses coups, je crie et je me défends comme une feuille prise sous une tempête << Non s’il vous plaît >> dis-je en pleurant à torrent cherchant la moindre humanité chez cet animal qui viens de faire exploser les boutons de ma chemise, je sais que je suis foutue… J’ai bon me débattre, crier encore et encore personne ne semble m’entendre… Ma tête me brûle, mon corps tremble de peur, je ressens l’envie de vomir quand je sens les mains de cet homme sur mon corps… Je suis condamné… La seule chose que je puisse faire, c’est prier pour qu’un miracle se produise.
just want a hot coco and silence, is it too much to ask ?
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Pseudo / prénom : Marty
Age : L'aube de la quarantaine se profile à l'horizon puisqu'il m'est impossible de nier mes 38 ans.
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Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Statut civil : Célibataire
Declan J. Archer a posté ce message Lun 16 Mar 2020 - 7:29#
Bien que je tentais de demeurer en parfait contrôle de ma personne je dois admettre que ce que m'avait raconté le médecin n'était pas sans me tracasser. Je me sentais tout aussi perdu que désemparé face à cette folle possibilité que, d'entrée je refusais de m'avouer, je savais que tôt ou tard j'allais devoir envisager. Évidemment l'idée de me soumettre à des séances de radiothérapies me faisait froid dans le dos, plus que tout je craignais les effets secondaires que ce traitement choc risquait de provoquer et d'hypothéquer mon système immunitaire. Pour l'instant tout ce dont je désirais était de gagner du temps même si d'une certaine façon il m'était compté. J'aurais pu trouver refuge dans un des nombreux bars de la ville afin de m'envoyer quelques verres, dans une vaine tentative d'oublier ce qui pouvait me tourmenter, mais bon c'est bien connu l'alcool ne fait qu'estomper nos problèmes puisqu'ils reviennent toujours nous hanter dès que l'effet de l'alcool fini par s'estomper. J'étais assez rationnel pour comprendre que la fuite n'était pas forcément une option et que la solution à mes maux ne se trouvait pas dans quelques malheureux millilitres d'alcool. J'avais besoin de temps pour y voir clair et plus que tout j'avais besoin d'avoir toute ma tête.
J'avais donc opté pour une balade nocturne dans les rues de la grosse pomme, une idée pour le moins hasardeuse et risquée lorsque la pénombre prend ses droits et plonge les New Yorkais dans l'obscurité faisait les délices des petites frappes écumant les rues de la cité à l'affût d'un mauvais coup ou d'une cible facile. Étant quelqu'un sans trop d'histoire je ne cherchais pas les ennuis mais je n'étais pas non plus le genre à fuir si les ennuis se présentaient à moi. Le sang de mes ancêtres, de vaillants gentlemen britannique, coulait dans mes veines et il était hors de question que je me permette le moindre comportement qui puisse entacher mon nom, et leur héritage, et les déshonorer à tout jamais. Totalement hors de question.
M'immobilisant pour souffler, je regardai sur mon téléphone afin de consulter quelques messages entrant, et c'est en reprenant ma marche que je vis au loin ce bien triste spectacle. Il y avait ce quidam, apparemment fort mal intentionné, qui semblait s'en prendre à une demoiselle. La voyant au prise à une détresse plus qu'évidente je décidai de m'approcher tout en m'adressant au type en question afin de lui faire comprendre qu'il avait tout intérêt à la lâcher. « Écoute mon gars j'ignore ce que tu as en tête mais à ta place j'y renoncerais. » Lui dis-je d'un ton ferme tout en m'interposant entre lui et la blonde, dans le pire des scénarios si quelqu'un devait prendre un coup ce sera moi. « Cesse de nous fixer comme le dernier des débiles et casse toi. » Lui dis-je en jouant quelque peu de mon physique légèrement plus imposant que le sien … un peu comme si je désirais lui faire comprendre que s'il voulait se battre j'étais son homme. Habituellement ce genre de lascars n'aimait pas trop lorsque ça chauffait et pour lui cela risquait de devenir chaud les marrons. J'avais beau ne plus être militaire je connaissais quelques techniques qui m'aurait permis de le renverser cul par dessus tête en moins de deux. Le regardant s'éloigner j'attendis qu'il y ait une distance plus que raisonnable entre nous afin de porter mon attention vers la demoiselle, qui m'était totalement inconnue, en lui tendant la main afin de l'aider à se relever. « Vous vous portez bien ? Il ne vous pas trop fait de mal ? Vous désirez vous rendre à l’hôpital ? » Lui balançais-je rapidement d'une voix, fortement teintée de mon accent très british, qui ne pouvait que difficilement dissimuler mon inquiétude à l'égard de mon interlocutrice
Aline Henderson a posté ce message Mer 18 Mar 2020 - 0:47#
Je ne suis pas le genre de femme à avoir peur qu’il m’arrive quelques choses pourtant je sais que je suis du style fragile comme demoiselle, je n’ai pas énormément de muscle ni même de poids et ma taille est assez fine autant dire que je n’ai pas le profil d’une combattante. Pourtant, je n’ai jamais eu peur jusqu'à ce soir, je suis contre ce mur, cette façade froide qui me griffe le dos mes larmes coulent à flots et je suis incapable de me défendre face au molosse qui se colle davantage contre moi. Je peux sentir son membre durci sur mon entrejambe encore recouvert du tissus de ma tenue ça me donne envie de vomir, ça me dégoûte. Ma panique est profonde et mes gestes sont désespérés, je tente tant bien que mal de me faufiler pour courir aussi vite loin de ce monstre, mais je n’arrive pas à le faire reculer d’un millimètre. Chaque parcelle de mon corps tremble, mon ventre et crispé comme jamais que je sens des muscles qui jusqu-ici m’était inconnu ma voix éraillée, paniquer, alerté supplie cet homme d’arrêter, mais rien ne fait qu’il se stoppe rien jusqu'à ce moment. Alors que je m’avoue foutu que je m’apprête à lâcher prise un homme apparaît et prend ma défense se faufilant entre moi et la brute qu’est mon agresseur, j’ai du mal à suivre ce qu’il se passe étant encore en état de choc. Accroupie au sol, je me suis laissé tomber sous le poids de mon corps qui est comme paralysé dans un premier temps, je regarde le sol les mains toujours tremblantes avant d’entendre la voix de l’homme qui est mon sauveur. La carrure de l’homme en face de moi est plus imposante encore que la bête qui allait se user de moi quelques paroles bien ferme vienne à faire partir l’enflure qui était à deux doigts de me détruire, il y a quelques secondes. Accroupie au sol, je me suis laissé tomber sous le poids de mon corps qui est comme paralysé dans un premier temps, je regarde le sol les mains toujours tremblantes avant d’entendre la voix de l’homme qui est mon sauveur.
Je redresse la tête le fixant, je dois probablement être affreuse, mais c’est le dernier de mes soucis. Avec une touche d’hésitation normal après ce genre de moment, je pose ma main dans la sienne et je me relève avec son aide directement, je tente de faire quelques choses de mon chemisier qui est déchiré… Avec une touche d’hésitation normal après ce genre de moment, je pose ma main dans la sienne et je me relève avec son aide directement, je tente de faire quelques choses de mon chemisier qui est déchiré… Malgré cette gêne, je croise les bras sur ma poitrine pour cacher le plus possible et je lui réponds la voix tremblante et sanglotant << Je.. Je .. je vais bien >> je bafouille comme une andouille << Je n’ai rien… grâce à vous >> mon regard reste sur cet homme que je ne connais pas, mais une chose est certaine jamais je n'oublierai le visage de celui-ci.
